➽ date et lieu de naissance. 2i juin 1987 shreveport➽ nationalité. américaine ➽ votre forme animale. luppine➽ date de la transformation. 22 novembre 2004 ➽ type de métamorphe.hybride ➽ camp. meute locale ➽ état civil. célibataire ➽ lieu d'habitation. Southampton ➽ métier. libraire au BREATH'S WRITING➽[/color] étiquette qui vous est collé. Sita est vue comme une jeune femme totalement adorable. Certains connaissent sa nature de lycane, d'autre non. En tout cas, même les plus mauvaises personnes n'arrivent pas à la détester, elle arbore une sorte de bienveillance autour d'elle et tente toujours de comprendre les autres. Elle s'abandonne souvent pour rendre service aux autres. Malgré le fait que la ville soit petite, personne ne sait réellement se qu'elle cache par delà des blessures profondes qu'elle garde en elle et dont elle a dû mal à confier.Tout ce qu'on sait, c'est qu'on croit que son père avait tenté de la tuer, mais que quelqu'un s'était interposé. On la voit un peu comme une survivante à ce drame

Sita est une personne dont on peut faire confiance. Aussi muette qu'une tombe, elle peut vous garder des secrets les plus sombres. C'est une femme avec une extrême douceur cachant une violence en elle. Elle ne serait pas capable de gueuler sur quelqu'un ou de tuer ... sauf pour protéger ceux qu'elle aime, mais disons que cette violence est celle qu'elle a toujours connu jusque ses 17 ans. Même si cela s'est estompé avec le temps, c'est toujours ancré en elle. Sita ne ferait en tout cas pas de mal à une mouche, bon ok après, ça dépend des raisons et de la situation, il ne faut juste pas trop la pousser à bout, elle pourrait être capable de vous rentrer dans les nerfs et de balancer ses 4 vérités de manière très brutale, bien qu'elle soit originellement franche, elle essaie souvent d'être douce dans ses propos afin de ne vexer personne, parfois quand elle vexe une personne sans le vouloir, elle culpabilise et s'excuse toujours en 100 exemplaires. De nature sociable et altruiste, elle est toujours là pour les autres. Elle est aussi protectrice, préférant se sacrifier pour la survie des autres. Elle peut être aussi parfois trop naïve, mais quand elle s'aperçoit qu'on se fiche d'elle ... outch ... elle peut être rancunière. Mieux vaut se méfier du loup ...enfin ici, de la louve qui dort ... ça peut faire mal. Niveau phobie, elle n'en a pas vraiment, hormis peut être une sainte horreur des films d'épouvante ou du vide, qu'elle exorcise parfois dans des montagnes russes
elle est bibliothécaire, c'est réellement un métier qu'elle aime faire puisqu'elle adore lire, elle est devenue libraire grâce à ses études. En même temps, elle commence à écrire un livre. Elle aime bien faire des sorties avec des amis (humains ou lycans). Il lui arrive aussi de partir avec des potes dans des parcs d'attractions un peu pour hurler comme une folle dans les manèges. Elle adore faire du shopping. Surtout ça. C'est son dada. Elle est amoureuse de fringues et de chaussures ... sinon ce qu'elle fait parfois c'ets se plonger dans des bouquins un peu partout, quand elle en a l'occasion en fait

Sita a une manie à elle le matin, c'est de faire des exercices de mouvements. Etant atteinte d'une apraxie gestuelle, elle a toujours été très maladroite avec ses mains, du coup, les médecins disaient qu'elle devaient faire des exercices chaque matin. En générale, une apraxie gestuelle est une incapacité à effectuer à exercer un ou une série de mouvement. Sita la vivait très mal étant plus jeune, elle ne supportait pas sa maladresse, de plus son père ne l'aidait pas du tout en lui criant dessus et ne comprenant pas sa maladie qu'il disait être une invention des médecins. Cependant, le temps a passé et Sita a appris à vivre avec cela. Elle avait remarqué que plus elle était motivée à vouloir guérir de cette maladie, moins elle était maladroite. Elle savait que ça n'allait pas partir d'un claquement de doigt et que ça allait rester sous forme d'actions maladroites. Elle était juste plus heureuse désormais et se voyait être moins maladroite. Elle continu toujours chaque matin à aire ses exercices ... se sont ses petits rituels avant d'entamer sa journée

Sita a aussi ses habitudes comme de voir si personne ne la suit ou de faire en sorte que sa maison soit fermée de partout à clé. Elle n'a pas trop envie que des visiteurs viennent dans son appartement pour lui faire du mal ... parano ? un peu. En tout cas, notre blondinette adore plusieurs choses comme ... la bonne nourriture et surtout la sucrée. Accroc aux fraise, à la chantilly, au chocolat, aux pancakes ou au sirop d'érable, on peut la voir assise devant la télé a savourer de bonnes choses, y compris de bonnes glaces, elle adore entendre la pluie sur sa fenêtre et s'endormir en l'écoutant, elle adore l'orage aussi, ce que certaines personnes ne supportent pas. Elle aime aussi quand on lui dit la vérité sur certaines choses, elle pète un plomb quand on lui ment. Elle adore aller au ciné, manger des pop corn et rire devant un film.Elle adore les fruits, surtout les fraises et en mange surtout la nuit devant un film ... enfin quand ça lui arrive. Ce qu'elle n'aime pas par contre, ce sont ces insectes qui gigotent dans tous les sens ... qu'elle évite de tuer ... elle parait folle quand elle leur parle en tout cas. Elle déteste les hypocrites et les menteurs, elle n'aime pas quand on se fiche d'elle. Elle a une sainte horreur des films d'horreurs, elle n'aime pas pleurer devant les films, elle les regarde en général qu'une seule fois. Il y a des animaux qui lui font froids dans le dos comme les serpents. Elle est phobique des espaces clos, du feu - elle possède que des plaques chauffantes - des films d'horreurs ... elle fait de VRAIS crises d'angoisse quand elle est confrontée à tout cela
Elle se change en louve depuis que Gabriel l'a mordu un soir d'hiver. Les premières transformations ont été dures et surtout perturbantes, mais aujourd'hui, ça va un peu mieux et elle l'accepte de plus en plus. Et puis, il le faut bien puisqu'elle est dans la meute locale
Sita préfère totalement le monde APRES la révélation puisque les choses sont enfin claires pour tout le monde et l'on connait tous les réels dangers qui peuvent nous être présenter. Cependant, même si elle l'avait su lorsqu'elle s'était enfuie de chez elle, ça n'aurait sans doute rien changé à son état.
Elle possède sa maladie psychologie qui est l'apraxie gestuelle qu'elle a depuis son enfance, ainsi que des marques de coupures qu'elle s'était faites quand elle 12 ans. De ce fait, elle s'est fait deux tatouages pour pouvoir les cacher, le poignet droit a une aile et le gauche la croix égyptienne

Sita Azmaria Rosette McBeth. De beaux noms pour une jeune fille qui n’a réellement pas eu de chance dans sa petite vie. Pourtant ses parents l’aimaient énormément, sauf qu’ils ne s’aimaient plus tous les deux. Les années passèrent et leur relation empirait. Un amour des plus passionnel qui vous déchire deux êtres, ça peut engendrer énormément de souffrances et ça n’a pas loupé. La mère de Sita croyait que tout irait bien une fois la petite au monde, mais quand elle hurlait en plein milieu de la nuit, seul sa mère venait la bercer, tandis que son père ne rêvait d’une chose : l’étouffer. Les parents de Sita ne cessaient de se disputer, se réconcilier, s’aimer, se détruire. Etant ainsi, ils détruisaient aussi leur fille qui grandissait mal dans cette ambiance de noirceur. La mère de Sita s’aperçut que sa fille développait peu à peu des soucis d’apraxie gestuelle, plutôt liée à un désordre psychologique. Plus Sita grandissait, plus elle était renfermée et avait peur de ses parents. Elle ne sentait aucun réconfort de leur part ni même … un quelconque amour porté à son égard. Au début elle pensait que c’était normal, jusqu’à ce qu’elle voit les autres familles développer une relation stable et bénéfique pour l’ensemble. De la famille. Sita se sentait donc anormale, indigne de vivre même … alors qu’elle avait à peine 10 ans, elle pensait déjà au suicide. Quelle noirceur dans l’esprit d’une enfant si jeune … quelle tristesse qu’une enfant pense cela à son âge. A 12 ans, Sita commença à se mutiler, ne supportant pas l’ambiance familiale, elle cherchait une échappatoire. Elle avait déjà fugué plus d’une fois, mais sa mère la retrouvait toujours au même endroit. Elle réussissait à faire en sorte que personne ne comprenne tout ce qu’il se passait autour des McBeth. Ne pouvant plus de cacher ces mensonges derrière des sourires, la mère de Sita décida de faire quelque chose … fuir. Avec sa fille. Mais son mari les avait retrouvées. Il ne voulait pas qu’elles partent. Il ne voulait pas que sa femme soit heureuse sans lui, alors il décida de l’attaquer en justice. Divorce. Garde de l’enfant. Il gagna tout. Il permit de la faire quitter la ville, faisant en sorte que sa fille croit que sa mère l’abandonnait. Sita se renfermait de plus en plus. Subissant les coups de son père. Se taisant. Elle souriait à ses amis qui se doutaient fortement qu’elle vivait malheureuse. Mais elle ne disait rien. Se montrant aimante envers son père. Elle était tellement habituée à ce climat qu’elle avait peur qu’il change. Elle pouvait le faire changer, sauf qu’elle ne savait pas comment faire. Sita était toujours sujette à cette apraxie psychologique, mais elle était moins prononcée qu’à l’époque, ce qui la fit passer pour être une fille maladroite. Les années passèrent, Sita décida alors de bouger. 17 ans, elle pouvant s’émanciper de son père. Elle le fit. Il péta un plomb. Un énorme … plomb. Le lendemain de l’anniversaire de Sita – elle n’avait jamais fêté son anniversaire d’ailleurs – Sita s’enfuit du motel d’où elle avait élu domicile en attendant le jugement. Son père était bourré et avait hurlé dans le couloir à sa porte avant de la défoncer. Sita avait déjà ouvert une fenêtre, pris l’escalier de secours et courait dans la neige. Inconsciente. Innocente. Ne connaissant pas encore les lycans, ni les vampires, ni tout ce qui se rapportait au surnaturel, elle courait dans la neige. Sa propre survie comptait, le reste, ce n’était rien. Elle ne voulait pas mourir, ce n’était plus comme il y avait 5 ans où elle se marquait déjà. Non. Non elle voulait vivre et connaître ces choses qu’elle ne connaissait pas. La curiosité primait sur cette volonté de mort. Une famille. Aimer. Être aimée. C’était le plus important. Être heureuse. Sourire. Rire. Être vraie. Cesser de dire qu’elle allait bien, cesser de se forcer à sourire. Si seulement. Elle pouvait le faire dès maintenant, mais elle était encore trop préoccupée à courir, à réfléchir où exactement elle pouvait se réfugier le temps que son père arrête de la poursuivre. C’est dans la nuit du 22 novembre 2004 que tout bascula. Sita courait dans le central parc de la ville, elle avait entendu un grognement, s’était retournée et vautrée sur le sol. Ayant pris un banc de plein fouet sur son tibias, elle avait crié de surprise. Ramenant sa jambe vers elle, elle serra des dents. La douleur la faisait pleurer. Elle renifla. Déglutissant, elle se releva et ouvrit sa bouche en formant un « o ». Il fallait continuer. Reprenant sa respiration, elle marchait. Durant ces années où elle avait vécue avec son père mais aussi quand elle avait vécu avec sa mère, elle avait appris à être forte, à serrer des dents. A ignorer la souffrance. La détermination de vouloir rester en vie fut telle qu’elle marchait en boitant. Elle s’arrêta cependant … pleine lune. Un chien. Voila d’où provenait le grognement. En fait, ce n’était pas un chien, mais plutôt un loup. Puis en arrivait un autre et encore un. Non. Impossible. Complètement perturbée, elle entendit la voix de son père qui lui hurlait dessus. Tout se passa très vite. Sita ne comprenait rien. Elle crut voir son père braquer une arme sur elle … une détonation. Des loups qui lui sautèrent dessus. Le tuèrent certainement. Et puis quelque chose de lourd lui sauta dessus, elle tentait de se débattre et sentie sa main gauche se faire mordre. Elle hurla. Et tomba dans les pommes. Un homme s’approcha d’elle, totalement nu. Un juron s’échappa de sa bouche. Il fallait appeler les urgences. C’est ce qu’il fit … mais bien sûr, plus loin et tard aussi quand il pu le faire. On la retrouva donc in extremis entre la vie et la mort. On la porta et on l’hospitalisa. Elle fut bien entendu innocentée de la mort de son père. Le temps passait et elle se sentie bizarre. Un homme vint la voir à l’hôpital pour lui expliquer ce qu’il s’était passé. Cet homme, c’était celui qui l’avait vu et appelé les secours. Elle le traita de fou et appela les infirmières, sauf qu’il était vexé et préféra partir de son propre chef. Les jours passèrent et elle s’était inscrite pour aller en fac de lettres modernes option lettres classiques. Elle se rendit compte qu’elle fut une louve garou lors de sa première transformation. Elle se cru dingue et se disait aussi que l’autre malade de l’hôpital avait eu raison. Et croyez-le ou non, il était là quand cela s’était produit. Il lui proposa d’entrer dans la meute, mais tout ceci était trop … perturbant pour elle qu’elle refusa pour réfléchir et se retrouver. Elle fit ses années et eu comme ami et confident … cet homme … d’ailleurs il s’appelait Gabriel. Ils s’appelaient souvent. Se confiaient aussi beaucoup de choses. Ils commencèrent à s’adoraient. Une véritable amitié était née. Plus le temps passait, plus elle acceptait de rejoindre Gabriel. Qu’elle voyait que lorsqu’il venait la voir. Elle l’appréciait beaucoup. Elle revint donc dans sa ville natale et accepta une nouvelle fois la proposition de Gabriel. Elle se présenta au chef de la meute dont elle fut pour ainsi dire assez impressionnée. Elle finit par se faire une place et appréciait surtout qu’on la laissa tranquille dans son coin. Ce qui lui important, c’était de travailler en tant que bibliothécaire, mais aussi passer du temps avec Gabriel …

2007. La révélation. Sita était encore à la fac’. Elle regardait les informations sur son ordinateur portable tout en faisant un devoir à rendre pour quinze jours. C’est là qu’elle entendit ce qu’il se passait. Nullement étonnée, elle eu un sourire. Cette annonce avait eu … une sorte de décharge pour elle. Un peu comme quelque chose qui venait la rassurer sur sa nouvelle nature. Elle regarda son cellulaire et le prit. Elle fit glisser son doigt sur son portable tactile et chercha dans ses contacts un prénom très particulier : « Gabriel ». Elle mit son téléphone à son oreille et regarda les infos. Tout allait si vite, c’était complètement fou.

« Allo Gabriel ? … Je te dérange … On peut parler ? Oui … Je suis devant les infos là … je crois que … je vais accepter ce que tu m’avais demandé avant que je parte à la fac »

Ils discutèrent un moment au téléphone. Elle ne voulait pas le lâcher pour l’instant, entendre sa voix était plus important pour elle dans l’immédiat. Elle souriait, craquant totalement pour lui. L’aimait-elle ? Certainement. Elle ne savait pas que quelqu’un pouvait vous rendre si joyeux et que rien qu’entendre sa voix, ça vous faisait battre votre cœur comme un fou. Sita était vraie dans tout ce qu’elle disait, mais préférait lui taire sa vie. Il essayait toujours de fendre les défenses qu’elle se faisait, mais ni parvenait pas. C’était certainement trop tôt pour elle de se confier, bien qu’elle lui fasse entièrement confiance. Sita finit par raccrocher, ses devoirs n’allaient pas avancer tout seul, il fallait qu’elle y mette du sien. Elle souriait. Heureuse. Elle continuait de regarder la télé et y compris que d’autres races existaient et dont elle devait se méfier comme … les vampires. Elle fronça les sourcils. Ça lui faisait un peu flipper tout ça. Elle constata aussi que sa porte était bien fermée à clé. Elle devra se montrer prudente … et c’(est dans un soupir qu’elle recommença à travailler une nouvelle fois et le son de la télé lui paraissait comme un fond sonore



Sa mère s’appelait Alice et son père Fynn. Ayant vécu dans un amour beaucoup trop passionnel, ils étaient rentrés dans une sorte de relation emplie de violence, de jalousie et de méfiance. Alice aimait énormément sa fille et s’en voulait de l’handicap que Sita développait de jours en jours. Elle en devenait même malade. Fynn quant à lui, disait que c’était de la pure connerie et qu’elle n’était qu’une gosse maladroite qui méritait des baffes. Alice n’est toujours pas revenue revoir sa fille, bien qu’elle l’observe au loin avec une certaine fierté et surtout, une certaine peur. Son père quant à lui … est tout bonnement 6 pieds sous terre après une attaque de loup garou

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