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 ◊ et on avance, comme de vulgaires automates.

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MessageSujet: ◊ et on avance, comme de vulgaires automates.   ◊ et on avance, comme de vulgaires automates. Icon_minitime10/11/2013, 17:09

THEA "ROZEN-FAUST" DEREVAN
Feat Mila Kunis


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE 22 décembre 1990, New York. ; NATIONALITE Bien qu'elle soit d'origine Allemande de par son côté maternel, elle a toujours vécu sur le territoire Américain, donc nationalité américaine. ; CAMP Bien. ; CAPACITES Don de guérison. ; CLASSIFICATION Inoffensive. ;  ETAT CIVIL Célibataire, et ça risque de durer encore un petit moment. LIEU D'HABITATION Jusqu'à peu encore, elle habitait chez ses grands-parents, dans un manoir du côté de Coven Garden. Néanmoins, elle a fuit cette ambiance, dès que sa situation devint stable et habite maintenant un appartement dans le nouveau quartier Western Hills. METIER Journaliste à la plume acérée au Dailey Comet. CLASSE SOCIALE Moyenne. ETIQUETTE Théa s'est très rapidement faite une réputation dans l'univers du journalisme, connue pour ne rien laisser derrière elle, pour ne dissimuler aucune information aux yeux des lecteurs, et pour pointer du doigt de véritables coupables. C'est une fouineuse, qui ne se laisse ni acheter, ni amadouer. Ce qui ne plaît pas vraiment à tout le monde. Néanmoins, ses articles sont connus sous le pseudo de Rozen Faust, patronyme de sa mère biologique, pour éviter de possibles retombées, même si ce stratagème ne marchera pas éternellement, elle en a bien conscience.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères D'apparence, Théa a tendance à être plutôt brusque, trop franche, comme si elle n'avait pas de filtre à paroles. Vérités, pensées sur le vif, voire grossièretés, rien n'est épargné. C'est une pile électrique, survoltée. Les deux seules et uniques choses qu'elle parvint à garder sous contrôle et qu'elle ne dévoile jamais sont son passé et ses ressentis, ce qui a peut-être joué dans sa réputation de femme dure et insensible. Parce que c'est ce qu'elle est devenue. Bourreau du travail, incapable de se détendre, qui peut être très souriante, puis aussi froide qu'un glacier l'instant d'après, au moindre faux pas de la part de son interlocuteur. Une réplique séductrice, un mensonge qu'elle va détecter, une flatterie inutile ou une personne qui va insister un peu trop longuement. Elle ne se vexe pas, presque jamais, mais elle va vite devenir agacée. Elle aime les gens qui vont droit au but et qui ne perde pas leur salive en route. Certes, de ce point de vue, elle apparaît franchement désagréable. Pourtant, c'est juste qu'elle n'a pas apprit à communiquer comme tout le monde. Enfant, on la poussait à cacher qui elle était et l'adolescence n'a pas été un joli jardin de roses tous les jours non plus. Le fait qu'on ait tenté de la faire taire, alors qu'elle avait bien des choses à crier, a sans doute joué dans cette attitude sérieuse et froide.

Néanmoins, au-delà de cette carapace, Théa n'en demeure pas moins une personne passionnée par son métier, et plus particulièrement par l'écriture, qui lui a permit de garder la tête hors de l'eau dans les moments les plus difficiles. Et elle ne connaît pas bien les codes de la société, ce qui la rend souvent un peu maladroite, malgré elle. Puis, en creusant un peu plus encore, on peut découvrir une jeune femme très agréable, amusante, bien que pleine de sarcasmes, qui sera toujours la première à prendre le parti des plus faibles, ayant en horreur l'injustice. Et bien qu'elle ait tendance à se montrer patiente avec ceux qu'elle aide, elle est de ce genre de femmes trop exigeantes envers elles-mêmes. À jamais insatisfaite de son travail et de la personne qu'elle est. Intransigeante.

Elle ne supporte pas non plus la bêtise crasse et son passé tortueux peut parfois l'emmener à devenir violente envers les hommes du genre de Jeff. Elle ne se contrôlera pas face à eux, impulsive. Car son histoire continue de la hanter, peu importe le nombre d'années qui se sont écoulées depuis.

Occupation nocturne Peut-être que les souvenirs de son passé sont encore trop vifs, elle n'en sait rien, mais le fait est là, Théa est une insomniaque. Elle aura beau poser sa tête sur une montagne d'oreillers très confortables, il lui sera impossible de trouver le sommeil. Ou alors, si elle le trouve, ses cauchemars la rattraperont au milieu de la nuit, ce qui revient au même, finalement : pas de nuit complète de sommeil, depuis bien trop longtemps. Pour le coup, c'est souvent dans ces heures-là qu'elle écrit. Parfois, elle peaufine ses articles pour le Daily Comet, d'autres fois, c'est juste des écrits personnels. Des mots crus tapés sur le clavier, à la lueur blafarde de l'écran.

Sinon, pour ce qui est de ses débuts de soirée... en général, elle ne sort pas beaucoup. Ce n'est pas comme s'il y avait une foule d'amis qui l'attendait en bas de chez elle pour sortir, très peu supportent la personne avare de contacts qu'elle est. Néanmoins, elle s'obligent à aller courir après son travail, au moins deux fois par semaines, et elle prend des cours d'Aïkido, le mardi soir. Sans compter les fois où elle doit aller en quête d'informations sur telle personne ou tel bar. Il est vrai que, ces dernières semaines, ça lui est arrivé plus souvent, entrer dans le cœur de ses sujets pour en retirer le maximum. Ce qui n'est pas toujours non plus pour plaire, quand on sait qu'elle ne se fait n'y acheter, et qu'elle ne compte pas dissimuler la moindre information pour les beaux yeux d'un patron embêté.

Ses journées se passent de manière un peu plus classique. Au bureau ou sur le terrain, encore une fois. Et les week-ends, elle les passe avec ses grands-parents tout juste retrouvés, ou à New York, où elle rend visite à Mary, internée depuis peu dans une clinique. Rien de bien réjouissant, je vous l'accorde.

Manies, habitudes & goûts Théa peut sembler très prise dans ses habitudes, aux premiers abords. Boulot, métro, dodo. Pourtant, si elle va suivre cette règle de longs jours durant, elle peut tout aussi bien s'arrêter brusquement, d'un coup. Détestant la routine de ce genre, elle va alors devenir imprévisible. Elle va changer ses horaires, sortir dans un endroit où elle n'aurait jamais été, suivre tout simplement le fil de ses envies, peu importe où il l’emmènera. Cette impulsivité peut parfois la conduire dans des situations un peu étranges, mais c'est ce dont elle a besoin. Du changement. Toujours un peu. Elle va même jusqu'à modifier la composition de sa chambre, au moins une fois tous les deux mois, comme si elle refusait de s'habituer au lieu qui est maintenant devenu sa demeure. Oui, d'une certaine manière, elle n'arrive pas à s'attacher, elle se le refuse. Les liens matériels ou humains peuvent être dangereux, ils peuvent être une faiblesse, dont elle n'a pas à s'encombrer.

Par ailleurs, elle abhorre plus que tout les contacts physiques. Ne jamais poser la main sur elle par surprise, ou si vous êtes un total inconnu, elle risque d'avoir des réflexes plutôt brusques. Les seules personnes ayant eu un geste gentil pour elle de toute sa vie furent ses grands-parents et ils sont les seuls à pouvoir l'approcher de cette manière. Pour les autres, cela réveille en elle une peur incontrôlable qui peut la rendre vraiment mauvaise, bien malgré elle. Le souvenir de son passage chez les Matthews, qu'elle entretient en rendant visite à Mary deux fois par mois, ne s'est toujours pas effacé.

On pourrait même se demander pourquoi elle lui rend encore visite. Parce qu'elle s'était attachée à cette gamine déjà brisée. Et probablement par culpabilité. Elle, elle a réussit à s'en sortir. Mary s'est retrouvée en clinique, dans une salle stérile qui rendrait fou n'importe qui, bourrée de cachets anti-dépresseurs après une tentative de suicide. Elle a échoué, elle aurait dû la protéger. En vain.

Une chose en amenant une autre, Théa s'est également engagée en tant que volontaire pour répondre et être présente au siège de SOS suicide. Plusieurs soirs durant, elle essaye d'apaiser avec des mots la douleur de personnes au bord de la rupture. Se refusant de dévoiler au grand jour son don de guérison, il n'y a alors que par ce moyen qu'elle peut tenter d'apaiser et soigner les personnes qui appellent pour être aidées.

Capacité Sa mystérieuse capacité est apparue à l'âge de quinze ans, alors qu'elle venait de se faire battre avec Mary. Ce fut comme un déclic. Un véritable enfer venait de lui tomber sur le coin de la tête, mais la petite blonde vivait cela depuis toujours, de son côté. Et quand elle est venue la serrer dans ses bras, elle s'est mise à espérer pouvoir faire disparaître sa douleur, elle aurait aimé faire plus que lui donner une simple étreinte. Cette envie éclata en elle avec une violence qui la surpris. Et alors que ses paumes effleurèrent les bleus laissés, elle sentit qu'il y avait quelque chose d'autre. Elle vit les blessures s'effacer doucement, au fur et à mesure qu'elle les touchait. C'était comme regarder un film en marche arrière. Et elle crut bien que sa tête allait imploser, la première fois. Pourtant, ça ne l'empêcha de recommencer. Tous les jours d'après, où il lui fut nécessaire. Mary elle-même était un peu effrayée par cette capacité, elle se demandait qui elle était vraiment et pourquoi si elle était si forte, elle ne pouvait pas les sortir toutes deux de cet endroit. Elle pouvait lire dans son regard bleuté, derrière l'admiration mêlée d'espoir et de soulagement, de la crainte. Qui était-elle vraiment ? Théa ne lui en voulait pas. C'était une réaction normale. L'homme ne pourra jamais éteindre tout à fait cette petite étincelle de frayeur qui s'allume en lui, lorsqu'il fait face à de la différence, à l'inconnu. Il ne peut pas, ce serait contre-nature. Son instinct lui hurle de ne pas lever entièrement sa garde face à plus dangereux, plus robuste.

Théa n'a donc pas vraiment eu d'autres choix qu'accepter cette capacité. Elle lui est tombée comme un trésor entre les mains. Elle a apprit à maîtriser son don, durant sa détention chez les Matthews, et s'en est servit maintes fois. Ses maux de crâne ont diminué d'intensité, mais ils restaient ensuite un peu plus longtemps. Jeff était étonné de voir à quel point sa fille cicatrisait vite, il aimait voir les marques qu'il laissait sur la peau. Mais quand il essayait de taper plus fort, c'était toujours Théa qui s'interposait. Depuis qu'elle a quitté cette « famille », il est néanmoins vrai qu'elle ne s'est plus vraiment servi de ce don. Elle en a refait usage sur l'une des filles qui était en fac avec elle à New York. Mauvaise chute dans les escaliers. Elle lui a rendu visite à l'hôpital, elle l'appréciait, et a absorbé son mal alors qu'elle était endormie. Et encore parfois, elle guérit des petites blessures pour Mae, mais ça ne va pas au-delà. Elle ne veut pas que tout le monde soit au courant et ne va donc certainement pas le crier sur les toits. Elle sait bien que certaines personnes mal avisées pourraient vouloir l'utiliser pour cela, tandis que d'autres la considéreraient comme le nouveau monstre de foire en vogue. Merci, mais non merci.

Pour ce qui est des autres choses qu'elle voit, elle prend cela comme un cadeau supplémentaire pour contrebalancer l'autre côté cruel de son existence. Enfant, elle pouvait déjà apercevoir ce gamin aux traits flous, mort. Mais à présent, les choses se sont accentuées. Elle arrive à ressentir l'énergie des lieux, peut percevoir des auras et déterminer à qui elle a affaire. C'est quelque chose de très utile, quand elle sort glaner ci et là des informations, même si, encore une fois, elle se garde bien de dévoiler ses capacités.

Convictions Elle ne peut le nier ; dans un premier temps, la révélation lui a fait un choc. Ce n'était pas tant la surprise de découvrir une autre espèce débarquer, non... parce qu'après tout, elle-même n'était pas vraiment comme tout le monde, même si elle restait humaine, mais... L'imaginer et le savoir, concrètement, sont deux choses bien différentes. Et elle s'est mise à paniquer, elle doit l'avouer. Elle avait peur qu'ils ne soient pire que les hommes encore, qu'ils finissent par répandre le chaos, que les humains ne deviennent que de simples pantins sans qu'ils ne puissent rien y faire. Irraisonné, mais la peur ne se contrôle pas. Toutefois, ce point de vue s'atténua avec les mois, elle finit petit à petit par s'y faire. Après tout, on finit toujours par s'habituer à tout. Que ce soit, l'absence, la mort ou les vampires. Le temps ne fait aucune distinction.

Maintenant, elle s'y est habituée. Bien sûr, cela a créé de nouveaux conflits et il y a toujours cette espèce d'épée de Damoclès qui semble tournoyer au-dessus de leurs têtes, mais... Enfin, elle est aussi rassurée, depuis qu'elle sait que l'aura des vampires est différente de celles des humains. Elle peut les percevoir et si son instinct se manifeste, les éviter. Ce qui est vraiment un soulagement pour elle, qui a toujours tendance à fourrer son nez partout sans se soucier du danger. Disons qu'elle fait un peu plus attention, maintenant. Elle ne pourra pas toujours se montrer inconsciente et s'en tirer. Enfin, ils sont là, elle fait avec, mais elle se méfie. Le risque n'est tout de même jamais très éloigné.

Signes particuliers Par rapport à ce qu'elle a vécut, Théa ne s'en sort pas si mal. Elle n'a gardé que quelques cicatrices. L'une sur son bras, juste au-dessus de son coude, une autre sur ses omoplates, une sur sa cuisse et une dernière dans le dos, dans le creux de ses reins, plus longue que les autres, car donnée par la boucle d'une ceinture en cuir.

VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Personnage inventé et torturé par mes soins. odieuxlylou  ; PSEUDONYME Loren. diabolus01  ; DERRIERE L'ECRAN Pas grand-chose à dire, j'ai 18 ans et toutes mes dents, puis je vis en France et je suis fan de bit-lit, films d'horreur, tout ça tout ça, quoi. nimuqueuse (puis, j'adore vos smileys pedobear ) CODE DU REGLEMENT Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Sur Bazzart, il me semble. hum ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM Je dois dire, que ce soit le contexte ou le design, j'adore... love03 je n'aurais pas dû craquer, mais voilà, je suis faible, adoptez-moi. :63:  ; AVATAR UTILISE MILA KUNIS. :67: 


Dernière édition par Théa "R-F." Derevan le 11/11/2013, 22:09, édité 5 fois
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