SAMUEL ☆ Il fallait choisir une route alors on a choisit la pluie... {Terminée}

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Mais c'est plus fort que moi, tu vois je n'y peux rien. Ce monde n'est pas pour moi. Ce monde n'est pas le mien.

Samuel Zeyn Levinsky

Prélude

➽ date et lieu de naissance. Le 5 mars 1985 à St Pétersbourg ➽ nationalité. Russe ➽ nom de votre vampire. Un vampire nommé Dimitri. ➽date de la marque. fin 2010. il y a donc un peu plus d'un an. ➽ état civil. célibataire et gay, même si on ne me l'a pas demandé ~ ➽ lieu d'habitation. Midtown. ➽ métier. Photographe au Victorian's creation et mannequin à ses heures perdues, quand on a besoin de lui. Ça lui rappelle l'époque où il était mannequin en attendant de finir ses études de photographie. ➽ étiquette qui vous est collée. Ce n'est pas vraiment le genre de choses sur lesquelles je m'attarde. Mais d'après ce que j'ai vu, je suis le photographe torturé, qui a toujours l'esprit ailleurs. Peut-être même que j'ai l'air dérangé, qui sait. Personne ne me connait encore vraiment ici - à part Anton - et je pense que je garde encore cette part de mystère qui pousse les gens à se méfier, mais aussi à vouloir en savoir plus sur ce que je semble cacher.

I. I want know who you are

traits de caractère.

« Je ne sais pas par où commencer. Il y a tellement de choses à dire sur Sam. Bien sûr, je ne suis pas objectif, parce qu’il a toujours été la personne la plus importante à mes yeux. Ce n’est pas ma faute… Il a cette façon bien à lui d’attendrir les gens par son naturel, sa douceur. Pourtant, il peut être tellement impulsif parfois. Il agit sous le coup de la peur, de l’émotion et ça fausse son jugement. Inévitablement. Au fond, il a peur que son instabilité, son manque de repères ne nuisent à ceux qu’il aime. Et au fil des années, son insécurité et sa peur de perdre ces êtres chers n’ont fait que le ronger davantage encore. Peut-être ne se sent-il pas à la hauteur, parce qu’il n’a jamais pu les protéger, les sauver, comme il l’aurait désiré. Ses erreurs le rongent et pourtant, il les accumule, comme si c’était plus facile de décevoir les gens que de tenter vainement d’être à la hauteur. Il faut dire que le bonheur, ce n’est pas vraiment quelque chose qu’il a eu l’occasion de connaître. Depuis la mort de sa mère, son père ne s’est plus jamais intéressé à lui. Sauf lorsqu’il buvait et qu’il avait besoin d’évacuer sa peine sur quelqu’un. Sur Samuel. Lui qui admirait tant son père, ça a été plutôt dur à encaisser… Pour ne pas dire que ça l’a complètement brisé. Et lorsqu’il se raccrochait à moi, je voyais sa faiblesse et loin de le rendre pitoyable, elle le rendait magnifique. Même lorsqu’il est aussi vulnérable, il ne lâche jamais prise. Parce que c’est un être passionné, qui puise sa force dans ce qu’il ressent. Sûrement parce qu’il fait parti de ces personnes qui ne donnent jamais sa confiance à la légère. Et son cœur est tout aussi difficile à atteindre. Il le protège derrière des barrières.
Avec du recul, j’ai conscience qu’il n’est pas toujours facile à vivre. Il a son petit caractère et souvent, il agit égoïstement. Sans parler de sa jalousie et de sa tendance à s’emporter, lorsque l’on touche un point sensible. Alors qu’à première vue, il a l’air de se moquer de tout. Comme s’il était blasé. Et il y a du vrai là-dedans. Peut-être que la vie lui échappe depuis qu’il a découvert qu’il n’était pas fou, que ses hallucinations n’étaient en réalité que la manifestation de ses dons de médium. Mais à sa façon, il a la rage de vivre, de capturer les instants qui méritent d’être immortalisé, dans son esprit comme sur ses photos. »

occupation diurne.

Etant photographe, je passe beaucoup de temps derrière mon appareil photo et ça même lorsque je ne travaille pas. Au fond, je vis de mon art et c'est bien la seule chose positive qui me soit arrivée depuis longtemps. Sinon, j'aime lire, boire, errer dans des endroits insolites, me noyer dans la musique. Je suis un type normal. Enfin presque...

manie, habitudes & goût.

Alors il y a deux ou trois choses à savoir sur moi. Je suis passionné et j'ai la manie de tout faire avec intensité. De ce fait, je dis toujours ce que je pense et je ne lâche que rarement ce qui me tient à coeur.
Bien que je sois habile dans l'art de dissimuler ce que je ressens, il m'arrive parfois de rougir bêtement, de me mordiller la lèvre. Peut-être parce que j'ai du mal à prendre à la légère ce qui compte réellement pour moi.
Sinon, je suis secrètement accro au chocolat et je fume comme un pompier.
A part ça, je conduis comme un manche et je chante sous la douche ~

relation avec votre marqué.

Je n'ai absolument pas choisi mon sort. Par conséquent ma relation avec Dimitri est conflictuelle... De son côté, il me désire et sûrement veut-il me posséder de toutes les façons possibles. Mais pour ma part, il n'y a pas le moindre sentiment amoureux. Parce que cette place est déjà prise, mais aussi parce que je ne peux que haïr celui qui a tué Matvei, avant de faire souffrir Anton. Il m'a détruit peu à peu, mais à présent c'est fini... Je vais combattre le manque jusqu'à ce que notre lien ne disparaisse enfin, me libérant de mes chaînes.

conviction.

Hum... Je pense qu'on aurait vraiment dû rester dans l'ombre. Cette honnêteté a déclenché une vague de haine et de violence qui nous a pourri la vie. Pourtant au début ça s'annonçait bien, mais là... Je ne sais pas ce qui nous attend, mais ça n'a pas l'air bien joli.

signes particuliers.

J'ai plusieurs tatouages. Dont un loup sur l'épaule et deux révolver en haut du torse... Je garde leur signification pour moi. Quant aux autres, vous n'aurez qu'à les chercher.
Sinon, j'ai également des cicatrices, surtout dans le dos. Quelques souvenirs que j'aurais voulu oublier.

III. That thing I want to tell you

➽ pseudonyme. Leïlan ➽ âge. 22 ans ➽ code du règlement. eh bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer. ➽ avis général à propos du forum. j'aime beaucoup les fo' de type fantastique, et ça manque un peu de nos jours donc ça fait toujours plaisir d'en trouver un ** ➽ avatar utilisé. Thomas Dekker

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II. A true story

Viens ne me laisse pas
Ce pays n'est pas le mien
Là où tu n'es pas

Au fond, j’ai toujours su que je n’étais pas un gamin comme les autres. Non pas parce que ma mère était morte alors que je n’avais que huit ans, mais parce que je pouvais encore la voir. Bien sûr, je savais qu’elle n’était pas vraiment là, puisqu’elle avait été vaincue par un cancer. Pourtant, en quelque sorte, c’était toujours elle. Je reconnaissais son sourire et son regard à la fois triste et rempli de tendresse. Le regard d’une mère qui rassure et apaise. Il m’avait toujours manqué. Au début, j’avais même pensé que c’était pour ça que je la voyais, alors naïvement, j’avais demandé à mon père si c’était possible, mais il n’avait pas vraiment apprécié que je parle de ma mère. Je ne me souvenais plus exactement des mots qu’il avait prononcé ce soir-là, mais en revanche, je ne pouvais oublier la douleur cinglante des coups qu’il m’avait donné. Ce n’était pas la première fois qu’il levait la main sur moi, bien sûr, il me réprimandait souvent lorsque je faisais une bêtise, mais cette fois-là, c’était différent. Quelque chose avant changé, comme s’il s’était brisé… À l’époque, je ne comprenais pas encore ce que ça signifiait, mais à présent, à l’âge de seize ans, je pouvais reconnaître l’odeur de l’alcool qui l’avait bu au point d’en être écoeuré. « Samy ? » Je ne bougeais pas, la douleur ma paralysait les muscles, mais ce n’était rien en comparaison de la rage sourde qui s’emparait de moi lorsque je me remémorais chaque seconde de ce calvaire. Peu importe à quel point il avait aimé ma mère, à quel point sa mort l’avait détruit… Aux yeux de tous, il était toujours un grand avocat, l’un des meilleurs même. Mais il n’était plus mon père… Autrefois, je buvais ses paroles, je riais lorsqu’il me racontait des histoires incroyables, juste pour me divertir. Puis l’alcool avait étreint son âme et il s’était terni, m’entraînant dans son enfer.
« Samuel, regarde-moi… » Un gémissement se glissa entre mes lèvres alors que je posais péniblement mon regard sur le visage familier de Matvei. « Maty… » Un sourire se dessina sur ses lèvres, mais je sentais son inquiétude, même s’il tentait de la dissimuler derrière une expression sereine. Lorsqu’il m’observait de cette façon, j’étais persuadé qu’il devait être quelque chose comme mon ange gardien. Pas seulement parce qu’il venait me cueillir lorsque j’étais incapable de me lever, mais parce que je me sentais mieux dès qu’il me touchait, bien avant qu’il ne s’applique à panser mes plaies… « Tu ne vas pas encore disparaître, hein ? » Un rire s’échappa de mes lèvres, m’arrachant des crispations de douleur. Le moindre mouvement me faisait souffrir et je me demandais si je n’avais pas quelques côtes de cassées. « Non, si je veux que tu me soignes, il faut que tu me voies. Et tu sais bien que j’aime me faire dorloter. » Je me croyais drôle sans doute, mais son sourire triste me dissuada de continuer dans cette voie-là. Je n’aimais pas lui faire du mal, mais je ne lui avais jamais rien caché. Après tout, nous avions grandi ensemble et en toute innocence, je lui avais - dès mon plus jeune âge - absolument tout dévoilé au sujet de ces êtres que j’étais le seul à voir et de ces halos colorés qui entouraient chaque personne qui croisait ma route. Dans un premier temps il avait cru que je lui racontais des histoires, jusqu’à ce que je ne parvienne à me rendre invisible, sous ses yeux. Au fond, je m’étais entraîné rien que pour lui, pour qu’il sache que je n’étais pas fou et que j’étais incapable de lui mentir. Même à cet âge-là, je l’aimais déjà, plus que je ne l’aurais dû. Et d’ailleurs, lorsque j’avais compris que mon don ne se manifestait que lorsque je désirais vraiment disparaître, plus que tout, je m’étais imaginé en train de l’embrasser et j’étais devenu tellement rouge que mon don s’était manifesté en un temps record. Même lorsque mon père me frappait, je n’avais jamais pu m’évaporer si vite. « Embrasse-moi. » Ce souvenir d’enfance m’avait rappelé ce qui comptait réellement pour moi, au-delà de la colère, au-delà de la douleur. Mes sentiments pour Matvei m’avait toujours donné la force de tenir, parce que je savais qu’il viendrait me chercher, qu’il ne me laisserait jamais crever comme un moins que rien. Parce que si l’alcool obscurcissait l’esprit de mon père, au point de lui faire oublier l’importance que pouvait avoir son fils à ses yeux autrefois, Maty lui, tenait vraiment à moi. Je pouvais le sentir lorsqu’il passait des nuits entières à surveiller mes blessures, à appliquer des pommades sur mes plaies, à changer mes pansements. Dans ces moments-là, je réalisais à quel point, il ferait un merveilleux médecin, même si l’idée de le partager avec d’autres, de savoir que ses doigts doux apaiseraient des douleurs qui ne seraient pas les miennes, me rendait terriblement jaloux. « Mais ta lèvre… Elle est gonflée… » Raison de plus. J’avais déjà mal, alors autant oublié cette sensation en l’effaçant derrière le velours tendre de ses lèvres… « Maty, s’il te plait… » Il était adorable lorsqu’il se mordait la lèvre de cette façon, en plein combat, entre raison et sentiments. Mais ces derniers étaient toujours les plus forts et rapidement, à travers la douleur lancinante qui me tiraillait la peau, je sentis la caresse passionnée de ses lèvres familières. Avec une douceur presque innée, il taquina chaque parcelle de ma bouche, avant de laisser sa langue rejoindre la mienne, m’arrachant un soupir de plaisir. J’aimais qu’il cède à mes attentes, qu’il ose me dévoiler ses sentiments, malgré sa timidité. J’avais toujours été sa faiblesse, sa tentation. Et j’avais beau savoir qu’il était effrayé, je voulais qu’il ne puisse pas me résister. Peut-être parce que, au fond, j’avais terriblement peur de le perdre.

☆ ☆ ☆

« Maty ? Pourquoi est-ce que… ? » Le désordre de la pièce m’alerta immédiatement. En effet, sans être maniaque, Matvei avait toujours été quelqu’un de très ordonné et il ne cessait de me faire des remarques sur mes tendances à entasser mes affaires partout comme une petite tornade. Mais loin de me faire réagir, je m’amusais toujours à disperser vêtements dans toute sa chambre, comme pour marquer mon territoire. Sauf que ce soir-là, les meubles cassés et les objets éparpillés sur le sol ne me donnaient absolument pas envie de rire. Quelqu’un s’était battu ici, dans le salon, à quelques pas de sa chambre… Et, le cœur battant, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le pire. « Maty ! » Pris de panique, je m’élançai vers la porte de sa chambre et je crus mourir lorsque je le retrouvai allongé sur le sol, baignant dans son propre sang. « NON ! non, non, non… » Mes jambes se dérobèrent et je tombai à genoux à ses côtés. Affaibli, il ouvrit les yeux afin de me regarder, un léger sourire déformant ses lèvres. « Samuel, tu es venu… » Bien sûr que j’étais venu, je lui avais promis d’être là ce soir, mais j’arrivais trop tard. Enlaçant son corps, je posai mon front contre son torse meurtri, avant de murmurer. « Pardonne-moi… Je suis arrivé trop tard… » Malgré moi, les larmes traçaient des sillons amers le long de mes joues alors que je me redressai afin de composer le numéro des urgences. « Non, Samy… Je ne voulais pas que tu viennes avant… Ils… Ces hommes, ils te cherchaient… Tu te souviens, j’ai fait des recherches sur tes dons et j’ai découvert ce que tu es. Ecoute-moi bien, tu es un médium et tes dons les intéressent beaucoup. Beaucoup trop. Il faut que tu fuis… Pars, immédiatement ! » Sa voix était si faible… Mais ce n’était rien comparé à la pâleur de son visage. Alors je me fichais bien de savoir si j’étais un médium ou un sorcier vaudou. Je ne voulais pas le perdre et c’était tout ce qui m’importait. « Chut… je n’irai nulle part, les secours vont bientôt arriver. » Quelqu’un décrocha enfin et la voix rendue roque par la peur, je donnais rapidement les renseignements nécessaires avant de couper la communication. « Samy… Je suis sérieux. Va-t-en… Je voulais te revoir une dernière fois, mais tant que tu ne seras pas en sécurité, je ne serais pas en paix. S’ils te trouvent alors, je serais mort pour rien… » Mes doigts caressèrent doucement son visage, alors que je me penchai lentement pour cueillir ses lèvres avec tendresse. « Ne dis pas ça… Tu ne vas pas mourir, tu m’entends ? » J’avais conscience qu’il y avait peu de chance qu’il survive assez longtemps pour voir les secours arriver, mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas abandonner… Je ne pouvais pas le perdre ! N’importe qui d’autre, mais pas lui… « Je ne leur ai rien dit, tu sais… Ni ton nom, ni quel don tu possédais. Je t’ai protégé, j’y suis arrivé... » Comment pouvait-il sourire dans un moment pareil ? Alors qu’il s’était sacrifié pour moi quel imbécile. « Espèce d’idiot ! Tu aurais du leur dire, c’est mon fardeau, pas le tien, Matvei… Tu ne peux pas me laisser, je te l’interdis ! MATY ? Maty ?! » Ses yeux s’étaient fermés et lorsqu’il les ouvrir à nouveau, ils étaient voilés et sa respiration était si faible… « Ton fardeau est le mien… Depuis que tu m’as rendu dépendant de toi… Samy, ne m’oublies pas… » Son dernier regard fut pour moi, alors que mon cœur implosait dans ma poitrine. J’aurais voulu mourir moi aussi, pour ne plus avoir à supporter cette douleur, pour ne pas avoir à supporter son absence… Vivre sans oxygène m’aurait paru tellement plus agréable. Au moins, je serais mort, rapidement et le supplice aurait pris fin. Comment avait-il pu croire que je pouvais un jour l’oublier ? « Jamais… »

À partir de ce jour, j'étais foutu, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même, m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais.

Malgré moi, je dus me rendre à l’évidence et après la mort de Matvei, n’ayant plus aucune raison de risquer ma vie et de rester, je respectai ses dernières volontés en m’envolant pour Perm. Là-bas, je n’avais plus à supporter un père alcoolique et les souvenirs de Maty qui hantaient chaque recoin de mon existence. Même si lui, il était là, parfois. Il avait du mal à me dire adieu et comment aurais-je pu le lui reprocher alors que de mon côté, je me raccrochais continuellement à lui. Pourtant, je m’étais inscrit à l’université, afin d’y suivre des cours de photographie et parallèlement, je travaillais en tant que mannequin pour une grande agence. Au fond, je n’avais pas besoin d’argent, puisque mon père remplissait régulièrement mon compte en banque, sûrement parce qu’il se sentait coupable, réalisant tout ce qu’il avait râté avec moi, maintenant que je n’étais plus là… Mais je m’en moquais éperdument. Grâce à son argent et au mien, je vivais si confortablement, qu’au bout de trois ans, j’eus l’idée saugrenue de briser un peu ma solitude en me payant un prostitué. Une initiative plutôt surprenante pour un étudiant de vingt-trois ans tout juste, mais je ne parvenais pas à me lier à qui que ce soit, ayant irrémédiablement peur de m’attacher à cette personne et de la perdre, comme j’avais perdu Matvei. Bêtement, je pensais qu’avec un prostitué, je prendrais du plaisir tout en évitant ce genre d’inconvénient. Mais j’étais con… Anton était un mec comme les autres, au fond. Le fait qu’il vende son corps ne le rendait pas moins humain, moins touchant. Au contraire, il ne me semblait que plus fragile, plus brisé. Tout comme je l’étais encore, malgré les années qui passaient. À ses côtés, je trouvais cette présence qui m’avait manqué, et les mois se succédèrent sans que je ne puisse arrêter de le voir. Comme s’il me devenait indispensable, comme si au lieu de tirer mon coup, comme tout autre client, j’avais peu à peu décidé de m’offrir à lui, alors que je lui faisais l’amour avec de plus en plus de tendresse.
Je me noyais lentement dans son être et je n’étais pas effrayé. Alors que j’aurais dû l’être. Parce que j’aimais un homme qui n’était avec moi que parce que je le payais pour ça… Parce que j’aimais à nouveau après une longue torpeur. Et pire encore, parce que peut-être qu’au fond, il était en mesure de me suivre dans cette folie, cette destruction dont je ne voulais pas.

« Lis-moi la première page. » Mes lèvres parcouraient ses épaules dénudées, alors que je me délectais de cette peau veloutée, que je connaissais par cœur à présent. Depuis quelques mois, je lui apprenais à lire, parce que j’avais remarqué que lorsque je venais le voir pour me réfugier dans ses draps, il ne lisait jamais le journal que je lui laissais. Bien sûr, il le feuilletait, l’air de rien, mais j’avais bien vu que son regard ne s’attardait que sur les images. Au début, il avait nié, mais quand je lui avais demandé de me lire l’un des articles, il était resté muet pendant de longues minutes avant que je ne le contraigne à se rendre à l’évidence. En revanche, il apprenait vite et j’aimais ces moments de complicité passés avec lui, où j’étais son professeur et où de son côté, il s’entraînait assidûment pour retrouver cette liberté de lire. « Toute la page ? » Il écarquilla les yeux devant la longue succession de lignes qui s’étalait sur le papier et je ne pus m’empêcher de sourire devant son air inquiet. Il était vraiment adorable quand il agissait avec tant d’innocence. J’aurais voulu être en mesure de le protéger de ce qui se passait dans notre monde depuis la révélation des créatures surnaturelles, les Outres. Grâce à mes pouvoirs de médiums, j’avais immédiatement découvert, à travers la couleur de son aura, qu’il était un lycanthrope. Pourtant, ça ne m’avait pas effrayé, au contraire, il m’intriguait… « Oui, toute la page. Mais ne t’en fais pas, je vais te donner de la motivation… » Placé dans son dos, je laissai mes lèvres descendre le long de sa colonne vertébrale, embrassant chaque centimètre de peau qu’elles rencontraient, alors qu’il déchiffrait chaque mot avec difficulté. « Continue, tu te débrouilles bien. » Je m’interrompais pour l’encourager en constatant qu’il ne faisait aucune erreur et qu’il prenait de l’aisance. Au fond, j’étais vraiment fier de lui et des progrès qu’il faisait, parce que ce n’était pas facile d’apprendre à lire plus de quinze ans après les autres. Mais il était courageux et il désirait vraiment y parvenir. Alors je l’aidais du mieux que je pouvais. Pourtant, lorsqu’il était à demi nu, de cette façon, tout contre moi, je ne parvenais pas à me retenir de le toucher, de l’embrasser, de glisser mes lèvres jusqu’au creux de ses reins, lui arrachant des frissons de plaisir, tandis que de mon côté, j’attisais mon propre désir. Son odeur m’enivrait et machinalement je baissai son boxer afin d’accéder à une partie plus intime de son corps, suivant toujours le prolongement de son dos. « Qu’est-ce que tu fais, Sam, tu me déconcentres… » Pris en flagrant délit, je relevai la tête vers lui, affrontant son regard inquisiteur en me mordillant la lèvre. « Je… Je te récompense pour ton travail exemplaire ? » Un soupir s’échappa de ses lèvres et je souris, amusé par sa réaction. « Ça te déplait ? » Évidemment, je connaissais déjà la réponse, mais c’était justement pour ça que je lui posais la question, afin qu’il m’encourage involontairement à continuer. « Tu sais bien que si… Mais je ne vais pas pouvoir finir si tu me tentes… » Incapable de m’arrêter là et de contenir mon désir plus longtemps, j’eus une idée diabolique… « Mais si, dis-toi que quand tu auras fini, je cesserai de te goûter pour te donner tout ce que tu voudras. » Surpris, il arqua un sourcil, quelque peu sceptique, avant de prendre un air méfiant. « C’est du chantage ? » Un sourire se glissa à la commissure de mes lèvres alors que je me penchais pour l’embrasser avec tendresse avant de murmurer contre ses lèvres. « Non, c’est un cadeau… Un don de mon corps, si tu le désires. » Et j’espérais vraiment que c’était le cas, parce qu’un refus n’aurait pas seulement entraîné une frustration, mais également une période de doute, où je me demanderais s’il me désirait vraiment ou si ce n’était vraiment qu’une simple histoire d’argent pour lui. Juste un travail. Pourtant, il sourit et, sans un mot, il reprit sa lecture avec application, tandis que de mon côte, je plaquai à nouveau mon corps contre le sien avant d’effleurer sa peau du bout des doigts, reprenant lentement mes baisers là où je les avais interrompu.

☆ ☆ ☆

Le vent froid me faisait frissonner alors que je traversais les allées familières du cimetière. J’avais encore du mal à me faire à l’idée que c’était sûrement la dernière fois que je mettais les pieds ici, moi qui y avais passé tellement de temps. Même après avoir déménagé à Perm, je revenais régulièrement m’asseoir sur leurs tombes. Parfois, ils venaient me voir eux aussi. La plupart du temps, je ne disais rien, parce que, dans leur dimension, les mots étaient devenus obsolètes. Ils savaient déjà qu’ils me manquaient, que je faisais de mon mieux pour ne pas sombrer. Mais aujourd’hui, j’avais quelque chose à leur dire. C’était important pour moi. « Je ne reviendrais plus. Bien que je n’ai aucune certitude, je préfère m’en tenir à cette réalité. Parce que je ne pense pas remettre un jour les pieds en Russie. Ça devient trop dangereux pour nous ici… » Mon regard se posa sur Matvei, toujours aussi beau, même dans la mort. J’aurais voulu lui dire que je l’aimais encore. Mais c’était stupide, parce que j’avais refait ma vie et que lui n’en avait plus. À cause de moi. « Je suis désolé, Maty. Je ne peux pas refaire les mêmes erreurs et attendre que quelqu’un tue Anton. Parce qu’ils le feront… Ils ont prévu de s’en prendre aux lycanthropes à la prochaine pleine lune. Alors je ne pouvais pas prendre le risque de voir cette bande de fanatiques lui faire la peau, tu comprends ? Je lui ai demandé de partir en Amérique avec moi… Et il a accepté. Il m’aime, je crois. Il ne sait pas qui je suis et j’espère que ça suffira pour le protéger. Parce que je ne pourrais pas continuer sans lui. Je ne pourrais pas revivre ça à nouveau… » J’étais sûrement con, mais je l’aimais et j’avais besoin de l’exprimer encore une fois, comme si le fait de lui avoir dit ne suffisait pas. Parce que c’était une raison de partir. De commencer une nouvelle vie, avec lui. C’était comme ça que je voyais les choses. « Maman… » Mon regard se posa alors sur la silhouette de ma mère, assise sur une tombe un peu plus loin à quelques pas de celle de Matvei, où je m’étais installé. « Merci d’avoir continué à veiller sur moi pendant tout ce temps… J’espère ne jamais te décevoir. » Un sourire mélancolique se glissa sur mes lèvres, tandis qu’elle me couvait de son regard maternel. À contre-cœur, je me levai et, leur jetant un dernier regard, je partis à grandes enjambées avant de perdre le peu de courage qu’il me restait. En quittant la Russie, je coupais mes racines, mes seules attaches et je réalisais à quel point j’étais seul.

Time, it needs time
To win back your love again

Le voyage avait été minutieusement préparé. J’avais choisi tous nos moyens de transport avec application et, afin de brouiller les pistes, j’avais tout payé en liquide. Alors autant dire que je pensais avoir été suffisamment vigilant. Mais comme toujours, mon plan avait une faille. Une énorme faille nommée Dimitri. Ce vampire était une enflure sacrément douée pour pister ses proies et son faible, c’était les petits médiums. Il en cherchait un, à tout prix, comme un trophée, et il avait toujours su que j’étais là, quelque part, même s’il avait mis du temps à me trouver après avoir tué Matvei. Mais lorsqu’il m’avait attrapé sur le pont du bateau où, Anton et moi, nous avions embarqué, j’avais immédiatement su que c’était lui. Son regard, sa façon de sourire en me disant qu’il me tenait enfin… C’était comme ça que j’avais toujours imaginé l’ordure qui avait tué Maty. En beaucoup plus beau, certainement. Mais son charme n’avait aucun effet sur moi… Je le haïssais, de tout mon être. « Mon petit médium… Nous allons conclure un marché toi et moi… Soit tu me livres ton petit ami, pour remplacer notre homme à tout faire, soit tu viens avec nous… » Il y avait quelque chose de malsain dans sa façon de prononcer les mots “ petit ami ”, comme s’il était jaloux… « Ce n’est pas mon petit ami… Je l’ai juste payé. » C’était faux, bien entendu, mais quelque chose me disait que je devais surtout pas lui avouer la vérité, sinon il le tuerait, comme il avait tué Matvei. « Bien. Dans ce cas, prouve-le et ramène-nous ce petit loup… » Il me tendit une arme et je sus immédiatement qu’elle contenait des balles en argent. Cette information faillit me faire renoncer, mais la peur de retrouver un jour le cadavre d'Anton, était plus forte que tout. Alors je m'emparai de l’arme, priant pour qu’il me pardonne, lorsque je me rendrais invisible pour aller le chercher dans leur antre. Pourtant, j’en doutais… Mais avais-je le choix ? Ce genre de vampires ne laissaient rien derrière eux, surtout pas un lycanthrope. Et si je ne leur ramenais pas, Dimitri saurait que je tenais assez à lui pour me sacrifier et il l’éliminerait pour se débarrasser de la seule personne pour qui j’étais prêt à me battre. Il ne devait rien savoir… Serrant l’arme entre mes doigts, je m’éloignai d’eux, sachant très bien qu’ils garderaient un œil sur moi, jusqu’à ce que j’ai accompli ma mission. La plus grosse erreur de ma vie.

☆ ☆ ☆

Un an. Pendant un an, j’ai du tenir mes distances, parce que j’avais merdé et j’étais incapable de réparer mes erreurs. Dimitri m’avait joué un sale tour… Évidemment, après avoir tiré sur Anton, avec cette balle en argent, il ne m’avait pas laissé partir. Pire encore, il avait fait de moi son marqué et à présent, j’étais lié à lui, de cette façon qui me rendait fou. Parce que je lui appartenais et que par conséquent, il me surveillait sans cesse, jouait avec mon manque, mon besoin de lui et de son sang. Pourtant, il sentait ma haine, mais à ses yeux, j’étais un challenge. Il me voulait pour lui seul, et pour relever ce défi, il avait des siècles devant lui et en attendant, il était prêt à user de moi jusqu’à la corde, jusqu’à ce que je cède, complètement brisé. Au fond, il tenait à moi d’une façon obsessionnelle, sûrement parce que de mon côté, je n’avais pas peur de lui et surtout, j’étais insensible à ses charmes. Et j’étais certain que ça ne lui était encore jamais arrivé auparavant. Sa fierté en prenait un coup et je crois que je ne l’intéressais que plus encore. Alors, pour ne pas qu’il comprenne que c’était Anton qui prennait toute la place en moi et que tant que ça serait le cas, je n’appartiendrais à personne d’autre, je restais froid avec mon jeune loup. Et croyez-moi, c’était une vraie torture… Tous ces vampires qui jouaient avec lui, presque sous mes yeux, sans que je ne puisse rien faire, sans que je puisse lui parler, lui dire la vérité. J’aurais voulu lui dire que je l’aimais, que j’avais fait une erreur. La peur avait faussé mon esprit et mon plan avait lamentablement échoué et depuis, je savais que sa haine à mon égard grandissait chaque jour. Mais ce sentiment le protégeait de Dimitri qui ne soupçonnait pas que son rival n’était autre que ce lycanthrope que je prenais soin d’ignorer. Cependant, je savais qu’avec le temps, notre lien se renforcerait et inévitablement, il finirait par découvrir ce que je lui cachais. Cette pensée m’obsédait, mais je ne trouvais aucune solution pour protéger Anton de mon maître. Je l’avais pourtant déjà bien trop fait souffrir…
Heureusement, il était plus malin que moi et il sauva sa peau sans mon aide. Ce jour-là, un soulagement indescriptible libéra mon cœur de l’étau dans lequel je l’avais enfermé. « Il est parti. Ce petit con de lycanthrope que nous avons ramassé avec toi sur le bateau s’est enfui il y a quelques heures. » Dissimulant habilement la vive émotion qui m’étreignit, je pris un air indifférent, presque blasé. « Oh, tu en trouveras un autre. Ce n’est pas les loups-garous qui manquent dans le coin. » Surpris, il se tourna vers moi, satisfait de me voir prendre tout à la légère, comme à mon habitude. Du moins, en apparence. « Je suis ravi de voir que tu continues à te moquer de ce qui peut bien lui arriver, mais tu vois, je n’aime pas que mes jouets échappent à mon contrôle… Alors, tu vas devoir me le retrouver, puisque c’est toi qui l’a attrapé le premier. » Un soupir las s’échappa de mes lèvres, tandis que je jouais mon rôle à la perfection. Au fond, j’étais euphorique. C’était la chance que j’avais toujours attendue. En effet, j’avais enfin une raison de m’éloigner de Dimitri, tout en me rapprochant d’Anton. Bien sûr, je savais qu’il ne me laisserait pas revenir à ses côtés. Parce qu’il me détestait à présent… Mais de mon côté, j’étais prêt à tout pour qu’il me pardonne et qu’il me laisse fuir avec lui. Mes sentiments pour lui n’avaient pas changé et je voulais à tout prix lui dire que je n’avais pas eu l’intention de le trahir. Même si tout semblait crier le contraire. « Tiens prends ça. » Le vampire le glissa une fiole dans la main et je la fis rouler entre mes doigts. « C’est mon sang. Quand le manque se fera sentir, bois-le, mais attention, tu devras revenir avec le loup pour en avoir d’autre, alors sois rapide… Je n’aime pas attendre. » Sur ces mots, il m’embrassa férocement, mordillant ma lèvre jusqu’au sang. Je détestais qu’il agisse ainsi, comme si j’étais son amant. Et je savais que pour lui, c’était exactement ce que j’étais. Mais pour moi, je n’étais que son esclave. Un amant, lui, n’était jamais inférieur, brisé, contraint à devenir dépendant.
Enfin libre de mes mouvements, je m’éloignai de mon bourreau, bien décidé à ne pas boire le contenu de cette fiole. Même si Anton me repoussait encore et encore, je ferai face au manque, une bonne fois pour toute. Aussi forte soit la douleur, je casserai le lien qui m’unissait à Dimitri et je me battrai pour récupérer ce que j’avais perdu par sa faute.

Invité

:050/: te voila enfin ! :046/: ben prem's hin. Bon courage pour ta fiche :050/: j'ai hâte de lire ça ! :006/:

Invité

Merci :046/: J'espère que ma fiche te plaira et que je ne mettrais pas dix plombes à l'écrire x)

Invité

Coucou ! Bon courage pour ta fiche et bienvenue sur le forum

Invité

Bienvenue ! :D.

Pour un marqué... ARTHUR ! :046/: Il est tellement... GRAOUH xD. Mais prends Thomas, je saurai pas rester sage sinon... (a). Même si faut pas toucher, beeeeh... :045/:

Ahem. Sinon, bonne chance pour ta fiche xD.

Invité

Leïlan...
Le pseudo m'est familier, je t'aurais pas sur msn des fois? >< Je te connais de rp je crois mais je ne sais plus si c'est d'un forum harry potter ou de Shadly Hallow XD

Enfin en tous les cas je te souhaite la bienvenue parmi nous! Bonne chance pour ta fiche, quand à ton problème d'avatar...Essaie pile ou face, moi c'est comme ça que je fais *BAM*

Invité

Merci Morgane :D

Aphrodite •• Mouahahah, ça donne envie de prendre Arthur (a) Non, je ne suis pas sadique, c'est faux ! :046/:
Merci :'3

Aleksandr •• Ah ben peut-être oui xD J'étais sur SH donc c'est sûrement ça ~
Sinon, mercii :D Même si je fais pile ou face, je vais continuer à hésiter xD Je suis chiante avec ça *sbaf*

Invité

*Ne flood pas :036/: .*

Bah du coup, tu choisis Arthur, pis cey tout :D. J'dois être un peu maso aussi... :036/: Je t'aide vachement n'est-ce pas ? Ca implique un lien, obligey ! :040/: *Sort vite avant de se faire mordre par Loulou.*

EDIT : En plus, on est fait pour s'entendre vu qu'on est Russes tous les deux... :005/: :70: :baise:

Invité

*mord aphrodite et la jette dans une poubelle* COUCHE SALE PETITE CATIN !
#BAF#

Sinon, bienvenue *-*. perso... moi je kiff Thomas D. *pleurniche* l'autre sans plus Razz

Courage pour ta fichounette !

*lui donne une ptite fessée pour la route*

Invité

Aphrodite •• En effet, tu ne m'aides pas et tu es maso (a) vu que tous mes persos sont gays (à part quelques rares bi) et que Sam' est un "scénario" d'Anton, donc... *sbaf* Pour le moment, je pars sur Thomas et je verrais en faisant ma fiche si ça colle bien au perso ou si Arthur colle mieux x)
J'aurais quand même un lien ? *out*

(Oui on est russes, ça rapproche ça (a) :baise: )

Lorenzo •• Merci *0* Je crois qu'Anton préfère aussi Thomas, même si elle le nie, donc je pars sur lui, en espérant ne pas changer en cours de route mais qui sait, une fois que le perso se formera plus nettement dans mon esprit... *sbaf*
Merci, j'ai pas mal de boulot donc je risque de trainer un peu (je dois faire un site web et une dissert, et ensuite j'enchaine avec d'autres tâches tout aussi prenantes) mais je ferai de mon mieux :3

*grogne pour la forme* (a)

Invité

j'ai dis que j'aimais les deuuuuuux :025/: :64:

aaaaahn Thomas :70: :62:

Invité

Bienvenue parmi nous joli coeur Razz

*la joueuse voit pas du tout Amélia parler comme ça, donc c'est sûrement la joueuse qui parle Razz

*
Bon courage pour ta fiche ^^ et puis Thomas, c'est Thomas quoi :046/:

Invité

Moi, j'suis pas d'accord xD. Thomas il est fadasse à côté d'Arthur >o<. *Grogne, pas contente, et va voir ailleurs si elle y est.*

Pourquoi faire que des bis et des gays ?! Et les pauvres femmes qui restent, hein ? xD. En plus j'avais pas vu qu'Anton avait fait un scénar' O_O. Bref, je flood pas, cey pas vrai.
Pour le lien... On verra si t'es sage ! (a).

PS : *Mord aussi Lorenzo, parce que hein, bon !* J'suis pas une CATIN xD. T'es jaloux de mon corps de rêve, pfuh.

Invité

c'est parce que je ne l'ai pas posté XD donc normal que tu ne l'aie pas vu, j'hésitais encore à le proposer mais comme je voulais que Leïlan vienne alors je lui en ai parlé directement comme elle cherchait une idée de perso heart

et Arthur est canon aussi, mais les yeux de Thomas, c'est...c'est... :70:

Invité

*profite de sa pause pour se connecter sur son tel*

anton ¤ oui t'aimes les deux mais tu préfères thomas (a)

amélia ¤ merci jolie jeune fille *o*
oui thomas a un charme spécial, je l'aime beaucoup :3 meme si arthur a un corps d'apollon *out*

aphrodite ¤ rhooo rale pas (a) en plus j'ai pensé que le choisir allait te frustrer mais t'aimes peut etre ca :arrow:
sinon, je ne suis inspirée que par des persos bi ou gays ce n'est pas de ma faute x)
oui c'est un scéna d'anton mais il me l'a proposé avant de le poster, parce que j'avais accepté de le rejoindre ici ~
et pour le lien, je serais sage (a)

Invité

yeaaaaaaaaaaah *fait la danse du ventre*
t'as pris thomaaas *fait péter le champomy et le trueblood choco*

très bon choix *-* j'aime !
et tracasse pas, elle aime être frustrée ahah. c'est dans sa nature Cool

Invité

WELCOMEUUHH ! Bienvenue sur le fo' et tout le patatati et patata, bréfouille. Mumuse toi bien ! heart

Invité

Lorenzo •• Ouais ! (a) *cache une bouteille de champagne*
J'ai droit à une récompense ? (a) *sbaf*

Ah bon, ben je comprends mieux alors xD

Willemina •• Merci beaucoup heart

Invité

Samuel Z. Levinsky a écrit:: Aleksandr •• Ah ben peut-être oui xD J'étais sur SH donc c'est sûrement ça ~
Sinon, mercii :D Même si je fais pile ou face, je vais continuer à hésiter xD Je suis chiante avec ça *sbaf*

Est-ce que tu jouais pas le petit ami de mon Damian? >< Enfin petit ami...On se comprend. XD
Sinon tu jouais qui? =O

Invité

Si tu penses à l'objet de ses désirs, alias Khelliam *sbaf* Oui, c'était moi x)

SIGNALEMENT

Bienvenue

Bon courage pour ta fiche.
Très joli choix d'avatar.

Est-ce que tu pourrais mettre l'état d'avancement de ta fiche dans le titre même du sujet? (cf: https://bloodandpleasure.forumsrpg.com/t2454-regle-au-niveau-des-fiches-de-presentations )

Invité

Merci Alessandro heart

Han je suis bête, je l'avais mal écrit et mis en description du sujet u.u J'étais crevée quand j'ai posté ma fiche, faut croire *se cache* Bref, j'ai rectifié ça ~

SIGNALEMENT

cool merci!

Invité

Oh... déjà gourmand et si jeune... *soupire et lui caresse la tête*

Fais le beau ! allez ! allez ! c'est qui le gentil toutou ? quiqui sait *-* *lui gratouille le menton*

OK !!! OK c'est bon. je sors et m'en vais très loin.

» Samuel, a wolfman
» Samuel Willbourg: an immortal wizard <terminé>
» (Samuel) [en cours]
» Le léopard-garou Samuel du pard
» Samuel Evan Pryce [Under Construction 5%]

SAMUEL ☆ Il fallait choisir une route alors on a choisit la pluie... {Terminée}

SAMUEL ☆ Il fallait choisir une route alors on a choisit la pluie... {Terminée}

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