DATE & LIEU DE NAISSANCE New-Orleans, 15 septembre 1980 ; ORIGINES Américaine ; CAMP suit le maître ; NOM DU SIRE Bruce Hamel ; DATE DE L'ETREINTE 15 septembre 2012; STATUT Nouveau né DISCIPLINE Aliénation niveau un, qu'elle contrôle très mal ; ETAT CIVIL célibataire LIEU D'HABITATION District, dans un appartement METIER gardienne de la crypte au Fang-Tomb CLASSE SOCIALE moyenne. ETIQUETTE En Nouvelle Orleans, on la croit morte. Ou très loin, car voici plus de trois ans qu'ils n'ont aucune nouvelle d'Amara. Et Shreveport ? Elle vient tout juste d'arriver, personne ne sait réellement qui elle est...
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères Avant la mort de son frère, Amara était une personne pleine de vie. Elle était curieuse et gourmande, croquait la vie à pleine dents, très pipelette, elle adorait les discussions autour d'un café, elle aimait refaire le monde avec ses amis. Ses études d'histoire, il y a cinq ans, font qu'elle a une bonne culture générale et une bonne analyse critique. Elle était douce et détestait les injustices. Elle aurait pu retourner le monde contre ces injustices, l'une des choses qu'elle a perdu lors de sa transformation. Depuis, Amara est très mystérieuse aux premiers abords. Elle se révèle être une femme pleine de charme qui sait s'en servir pour la bonne cause. La jeune vampire a un caractère trempé qui fait qu'elle se met dans des situations où elle échappe de peu à la mort, rien que par "mauvais caractère". Elle est très méfiante, mais une fois sa confiance accordée, elle sera prête à tout pour la personne en question. Inutile d'essayer de la berner, elle anticipe souvent les choses grâce à son flaire de chasseuse et son sens de l'observation. Elle n'a peur de rien et fonce souvent dans le tas quitte à faire des dégâts. La jeune femme est pourtant très organisée et déteste perdre le contrôle de la situation, chose qui a tendance à la faire paniquer. Elle déteste la trahison, la raison pour laquelle elle restera fidèle à Cinéad qui l'a adopté en tant qu'Infante. Seulement, Amara est très fière, ce qui lui vaut parfois des piques de colère qu'elle contrôle très mal depuis sa transformation. C'est la raison pour laquelle elle est devenue très solitaire, une phase encore très difficile pour elle alors qu'elle avait été très entourée dans sa vie humaine. Occupation nocturne Après avoir été repérée par Cinéad, Amara devint gardienne de la crypte, dans les sous-sols du Fang-Tomb, veillant sur lui durant son sommeil, prête à tuer n'importe quelle personne s'approchant d'un peu trop près de celui-ci. En dehors de ses heures de boulots, elle tente de contrôler ses pouvoirs ou sort à des endroits où elle pourrait enrichir sa culture, les musées, une grande passion qui lui rappelle ses études d'histoire, l'opéra, leurs voix les a toujours fasciné. Elle aime aussi rester simple et regarder des films au cinéma, drôle, le plis souvent, elle a perdu l'habitude de s'amuser. Sinon, il arrive à Amara de passer sa nuit cloitrée chez elle à dessiner sur son gigantesque calepin. Ses dessins sont parfois très étrange mais c'est un moyen pour elle de décompresser. Sinon, elle adore danser, et passer parfois son temps libre à danser dans des boites de nuits, elle s'amuse à y séduire, pour mettre ensuite fin à leurs espérances, elle a mis de côté l'amour depuis un bout de temps. Manies, habitudes & goûts Il est certain qu'Amara aime l'art est que celui-ci est plutôt limité depuis qu'elle est du monde de la nuit... Elle trouve donc le moyen de sortir, après ses crises de soif qui lui a permis de faire le plein de sang, à l'opéra, au cinéma, ou à certaines expositions nocturnes, de façon à ne pas perdre pied. A New-York, elle partait souvent chasser lorsqu'elle était chasseuse, ce qui lui donna le droit, ou plutôt l'obligation, de quitter la ville pour ne pas se faire tuer par le roi de la ville, de peur qu'elle ne tue un vampire, En plus du fait qu'elle est un vampire "illégitime" et qu'elle fut extrêmement violente sur la route de Shevreport. Sinon, elle passe son temps cloîtrée chez elle, craignant la prochaine crise de soif. Discipline Déjà très seule, Amara n'avait encore jamais remarquée qu'elle possédait des pouvoirs vampiriques. Elle connaissait l'existence de ces pouvoirs lorsqu'elle chassait, mais n'en connaissait pas les règles exactes, comme la date à laquelle le pouvoir apparaissait, quel genre de pouvoir un vampire pouvait avoir, elle n'avait vu que très peu de vampire s'en servir sur elle. Mais Amara, ne contrôlant déjà pas ses propres émotions, genre encore plus mal celle des larmes. Elle a déjà dû faire face à l'hystérie de certaines personnes, des crises chez d'autres, ou une empathie totale, la chose la plus spectaculaire auquel elle ait plus assister... La jeune femme a parfois tenté de contrôler émotion et pouvoir, en vain. Convictions Que pensez-vous de la révélation ? La révélation ? Sérieusement ? On sait tous qu'un bon nombre de vivant la craignait, cette révélation et ils avaient raison. Depuis quelques années maintenant, le monde bascule et les catastrophes s'enchaînent, et depuis que son frère est mort, à cause d'un vampire de surcroît, autant dire qu'elle déteste tout ce qui a rapport au surnaturelle. La seule personne qu'elle ait pu supporter cordialement était une sorcière qu'elle avait sauvé un jour et qui lui avait rendu l'appareil. Elle avait d'abord fait en sorte de totalement d'en détacher, de faire comme s'il ne s'était rien passé. Elle évitait les coins surpeuplés de surnaturels, mais plus le temps passait, plus les êtres faisaient leur coming-out, et plus il était difficile de trouver un endroit "sain". Son frère et sa meilleure amie lui donnèrent alors quelques petits conseils pour se protéger, tel que des techniques de combat, la verveine, l'argent, etc. Lorsqu'elle devint chasseur, elle tentait de s'informer au maximum de ses adversaires, mais les règles redevenaient plus strictes et même si on savait leur existence, il était plus difficile de s'en débarrasser à présent. Maintenant vampire, elle tente de s'habituer à cette condition qu'elle gardera indéfiniment, sa soif et sa souffrance lui rappelle tous les jours que c'est à cause de la révélation que tout a basculé pour elle. Signes particuliers Amara possède une multitude de tatouages rappelant des moments marquants de sa vie, gravés dans sa mémoire autant que l'encre sur sa peau, moments dont elle parle difficilement.
Carnet de route
L'hiver était doux à Shreveport, contrairement à New-York où la neige était souvent le manteau qu'elle revêtait durant cette saison. Même si le froid n'était plus un problème pour moi, mes sens étaient plus développés et je pouvais à vu d'œil facilement juger de la température d'un endroit, alors qu'avant, je me contentais de dire qu'il faisait ou chaud, ou froid. Au dessus de la rivière rouge connectant la ville à Bossier City, j'admirais de nuit la vile qui s'étalait sous mes yeux. Je resserrais mon manteau alors que je n'avais pas froid. Les couleurs vives des buildings qui s'étendaient sous mes yeux n'étaient pas aussi impressionnant que ceux que j'avais pu voir durant ma vie à New-York. Je finis par avancer en direction de la ville, me demandant par où commencer. Savoir mon assassin en liberté dans une ville qui m'était inconnue me rendait furieuse, mais mes talents de chasseuse me permettraient de vite retrouver sa route, si toutefois mes pouvoirs vampiriques me le permettaient, car il fallait dire que cette nouvelle condition m'était insupportable. J'étais de plus en plus faible, je ne me contrôlais que très rarement, certaines nuits ne sont que des trous noirs qui finissent par se transformer en cauchemars qui hantent mes jours -oui, je ne me fais toujours pas au fait de vivre la nuit-, et les mains pleines de sangs à mon réveil me culpabilise encore plus chaque jours, priant pour que la victime de la veille ne soit qu'un animal, ce qui m'étonnait fortement.
Dans un quartier malfamé qui s'était tout de suite offert à moi, je commandais une chambre dans un petit motel miteux, pas très cher. Une fois dans la chambre, je déposais mes affaires et fermais les volets, mis des bouts de tissus dans chaque trou qui pouvait laisser passer la lumière du jour et déposais sur le chevet un bocal de terre de New-York que j'avais eu beaucoup de mal à me procurer. Je ne savais pas vraiment à quoi il servait, mais je savais que beaucoup de vampires en avait. Je me permettais un dernier coup d'œil au ciel noir, où à l'horizon, nous pouvions apercevoir un fil de lumière qui prévenait le lever du soleil. J'étais fixée, il était l'heure d'aller se coucher.
Deux jours que je me réveillais à Shreveport et toujours rien. Mes yeux se firent facilement à la pénombre de la chambre, comme je m'étais rapidement fait à la ville. La veille, j'avais réussi à trouver un bar surnaturel, mais aucun d'eux ne connaissait Hamel... Ou du moins, me le faisait croire. Une jeune vampire m'avait conseillée d'aller au Fang-Tomb, une boite de nuit où je pouvais me présenter au Maître de la Ville du nom de Mikaïl. Mais j'ai cru comprendre qu'il fallait passer par quelqu'un d'autre et je détestais cette idée. Ce n'est pas parce que la personne est proche de celui-ci que l'avis sera le même. Une fois prête, habillée simplement, on frappa à la porte. Suspicieuse, j'attrapais un couteau que je cachais dans mon dos et ouvrit la porte avec un sourire de façade. - Je peux vous aider ? - Amara Matthews ? - C'est moi. Il se contenta de sourire et deux hommes derrière lui m'attrapèrent par les bras en me faisant tomber mon couteau. - Vous êtes quoi ? Des flics ? Lâchez-moi ! J'eus à peine le temps de me débattre, que le troisième homme me brisa la nuque.
Je me réveillais avec une affreuse douleur au cou. Je me levais en sursaut en voyant un homme d'une soixantaine d'année, penché sur moi, un couteau à la main, dont la lame devait être en argent au vue de la réaction de ma peau. Il voulut s'approcher un peu plus et par instinct, je reculais, le dos rond, j'avais l'allure d'un chat en colère, prêt à bondir. Sur mes deux jambes, les mains prêt du sol, je regardais les personnes qui m'entouraient. Ils étaient peu mais tous centré autour d'un homme blond et charismatique. Je me redressais lentement, fronçant les sourcils, désolée de n'avoir aucune arme. Le vieil homme qui semblait être un humain s'approcha à nouveau, couteau à la main. -Bienvenue au Fang-Tomb. Je ris doucement en le regardant, hautaine. Je voulais y aller, mais c'était lui qui m'avait trouvé. Ils m'avaient demandé qui était mon Sîre. J'avais à nouveau rit, insinuant que c'était un lâche que je cherchais justement. L'homme blond sourit en coin, ne pipant mot. Il n'avait pas l'air bavard, et je ne pensais pas espérer qu'il s'adresse à moi. Mais son sourire n'était pas dû aux blagues amères que je lançais à la figure de ceux qui me questionnaient. Il savait quelque chose que je ne savais pas. Je le fixais, suspicieuse, quand l'humain m'ordonna presque de conter mon histoire. Je refusais d'abord, jusqu'à ce qu'il utilise la force pour me faire parler. Je m'assis face à eux sur une chaise qu'on m'avait présenté.
Mon histoire est longue mais je me dois de commencer par le début...
Je n'étais qu'une simple orpheline de Boston, parents disparus d'une raison qui nous était inconnue, la seule chose à laquelle j'étais attachée était mon frère. Nous faisions famille d'accueil sur famille d'accueil, la seule raison pour laquelle ils nous prenaient était la pension qu'ils recevant en nous aillant, et deux enfants plutôt qu'un seul, c'était encore plus d'argents pour eux. Nous vivions dans des conditions de vie misérables, que ce soit à l'orphelinat ou chez nos parents adoptifs, mais nous nous suffisions à nous même, jusqu'à ce qu'une famille honnête nous adopte. Mon frère était plus affecté par la mort de mes parents, il avait neuf ans, moi je n'avais que deux ans, et me souvenais à peine d'eux que part le biais de photos. Il avait mal vécu leur disparition. Il ne travaillait pas, ses notes étaient catastrophiques, il était du genre détaché et n'apportait de l'importance qu'à sa famille, autrement dit moi.
Les années passèrent vite. Je m'épanouissais dans cette nouvelle famille, tandis que mon frère plongeait. Il finit par atteindre la majorité et faire des petits boulots ici et là. Nos parents adoptifs se doutaient qu'il leur cachait quelque chose, persuadés qu'il était tombé dans une dépendance, mais moi, tous les soirs, j'écoutais ses histoires surnaturelles que je n'avais jamais pris au sérieux. Il jurait par tous les dieux que nos parents avaient été massacré par une bande de vampires, je riais... Il s'énervait, et cette histoire restait au placard durant de mois. J'avais finalement eu mon diplôme et avait été accepté dans une université de Boston, où je fis des études d'histoire, enseignement qui me plaisait par dessus tout. J'étais heureuse de rester dans la même ville, pouvant ainsi garder contact avec mon frère. Je devins indépendante et durant quatre années, je me débrouillais bien, seule, en suivant mes études.
Mais vint la révélation. Tout changea. Mon frère, dont les doutes sur la mort de nos parents furent confirmés, devint un chasseur de prime, qui travaillait pour une entreprise secrète afin de maintenir l'ordre dans la ville. Ils étaient un tas dans le monde, un réseau de personnes qui apprenaient à se battre et qui risquaient leurs vies face à des créatures beaucoup plus puissantes. Je m'inquiétais pour mon frère, mais celui-ci, avenant, prenait soin de venir me voir afin de calmer l'anxiété grandissante en moi. Beaucoup trop douce, naturellement stressée, j'avais peur de sortir la nuit. Bien que des règles avaient été érigés, certains n'hésitaient pas à les enfreindre, encore plus de travail, de danger, pour mon frère. Les rues n'étaient plus sûres et je m'enfermais chez moi, de peur qu'ils n'entrent. Les vampires ne pourront certes pas, mais pour ce qu'il en est du reste... Ma meilleure amie que je m'étais faite trois ans auparavant m'avoua qu'elle était d'une lignée de sorcière et me rassura sur ces créatures. Elle me montra quelles faiblesses avaient chacune d'entre elles, afin d'avoir un minimum de protection, et m'expliqua également les races que je ne connaissais pas, comme celle des métamorphes pour n'en citer qu'une. Mon frère, quant à lui m'apprenait quelques techniques de défense, au cas où il m'arrivait de croiser la route d'une créature aux envies malsaines, que ce soit vivant ou non. Ma crainte s'évaporait peu à peu, j'avais acquis une confiance en moi que je n'avais pas avant, vivant presque normalement.
Un soir de novembre de l'année 2010
Il faisait froid, mon amie Bethy, la sorcière était rentrée chez ses parents en Californie pour Thanksgiving, et j'avais supplié mon frère de ne pas me laisser seule pour cette fête en famille. Il avait d'abord refusé, en pleine mission contre des vampires, des big-bad boys qui allaient au delà des lois, des gens sanguinaires qui tuaient tout ce qui passait sur leur route. Mais il avait dit oui à sa petite sœur qu'il aimait tant. J'étais heureuse qu'il vienne, m'inquiétant pour lui ces derniers jours. Il n'avait pas le temps de manger, maigrissait à vu d’œil. Je comptais bien le gaver comme une oie pour rattraper tous ces repas manqués. Dans ma minuscule cuisine, je regardais la dinde dorer dans le four tandis que j'entendis trois coups à la porte. - Entre ! Mais je n'entendis aucun bruit de porte. Je retirais donc mon tablier pensant que la porte devait être fermée à double tour comme j'avais l'habitude de le faire. Sauf que cette fois-ci, elle ne l'était pas. Je fronçais légèrement les sourcils en guettant dans le couloir si mon frère n'y était pas. Je haussais doucement les épaules avant d'entrer à nouveau chez moi.
Quelques minutes plus tard, mon frère arriva avec une bouteille, et nous mangions ensemble. La soirée fut délicieuse et pleine de nostalgie, une bonne nostalgie. Nous ressassions nos bêtises lorsque nous étions enfants, nos aventures, nos petits secrets. Mais cette flamme éteinte dans les yeux de mon frère était toujours présente. Je prenais doucement sa main pour le rassurer. Nous échangions un sourire, lorsque la porte s'ouvrit à la volée. Un homme imposant, aux lèvres inexistantes s'introduit chez moi. Il s'avança de quelques pas, des cris retentirent derrière lui, ainsi que du verre qui se brise et des coups de feu parfois. - On ne m'invite pas à manger ? Quelle ingrate attitude, Luke... - Bruce Hamel, ça m'aurait étonné que tu capitules aussi vite. Comment as-tu fais pour pénétrer ici sans même avoir été invité ? - Ta sœur l'a fait, peu avant que tu arrives. Mais j'ai préféré te laisser arriver avant... Il lui adressa un sourire pour clore sa réponse et se jeta sur lui. Je poussais un cri tandis qu'ils se battaient dans une lutte acharnée. Malgré la rapidité de la créature, mon frère était agile, il se débrouillait bien. Je courrais dans la chambre, attrapais une malle sous le lit et chargeais le flingue que m'avait procuré mon frère en cas d'urgence. Mais lorsque j'accourais pour aider mon frère, je vis le suceur de sang sortir du cou de mon frère ses gigantesques crocs. Je vis son corps sans vie tomber sur le sol alors que je poussais un cri déchirant. Je visais le vampire sur son épaule puis sa jambe, ce qui lui arrachait un cri de douleur. - Il me faudra plus que ça pour me tuer, ma jolie. Je chargeais à nouveau mon pistolet quand il disparut. Ne voyant presque plus rien à cause de mes larmes, je restais immobile, tenant mon pistolet des deux mains, attendant d'être sûre qu'il avait bien disparut. Je lâcha mon arme pour accourir sur le corps de mon frère, pleurant jusqu'à ce qu'il ne me reste plus une seule larme.
Réalisant que je n'étais plus à l’abri et que mon frère avait à présent rejoint mes parents biologiques, j'accourais dans ma chambre faire mon sac. Je ne prenais que le plus important : quelques vêtements, quelques armes, le téléphone de mon frère et le collier autour de son cou, mon talisman. Je sortais de mon appartement pour voir des corps sans vie dans le couloir, les plus jeunes pleurant sur leurs dépouilles. Ils avaient gardé des témoins pour montrer de quoi ils étaient capable. Comme pour donner une leçon. J'accourais en bas, monta dans ma voiture et fila à tout allure. J'étais anéantis. Ma petite bulle de douceur avait éclaté, ma naïveté en avait pris un coup. Maintenant, j'étais seule, et je comptais bien venger la seule personne qui avait compté pour moi. J'arrivais à la maison de nos parents adoptifs qui étaient partis pour Thanksgiving également. J'attrapais la clé caché dans un pot de fleurs à droite de la porte et entrait. Je savais maintenant que ma vie ne tournerait plus qu'autour de cet homme : Bruce Hamel.
J'étais déterminée
Je voulais faire payer ce salaud. En quelques jours, grâce aux contacts de mon frère, j'avais pu remonter jusqu'à certains chasseurs. Bien qu'ils soient tous solitaires, y compris mon frère, j'avais réussi à trouver une femme que mon frère appréciait. Elle avait promis de m'aider, de me former, ce qu'elle fit. En quelques mois, j'avais acquis de la force, des techniques de combats, des astuces. Chaque objet était une arme, chaque endroit une arène dont je serais le gladiateur. J'avais une colère en moi que je n'arrivais pas à dissiper, et mon premier vampire tué n'arrivait pas à étancher ma soif de vengeance. J'en voulais plus. J'étais devenu un vrai danger pour les jeunes vampires et certains plus vieux. Mais je n'étais pas assez puissante pour réussir à tuer certains comme les Anciens, et ils étaient généralement les plus puissants et les plus dociles aux règles. Moi, je me devais de tuer ceux qui ne les respectaient pas.
En an plus tard, j'avais appris que ce Bruce Hamel, en danger, avait fuit à New-York. J'eus vite fait de dire au revoir à mes parents, Bethy, et bonjour New-York. Je me fis vite à la solitude, et là-bas, j'étais certaine de ne mettre personne en danger. Regarder les photos de mon frère me donnaient encore plus la force de me battre. J'avais atteint une hargne sans limite. J'avais eu beaucoup d'ennuis pour avoir tuer des vampires pour la simple raison qu'ils étaient sur ma route, je me suis finalement détaché de la Guilde pour être chasseuse pour mon propre compte. Je l'avais poursuivit des mois durant, impatiente de le tuer. J'avais été discrète, de façon à ce qu'il ne me voit. J'avais établit une liste de toutes ses connaissances que j'avais classé par ordre d'affinité, j'avais érigé un plan, les zones rouges étaient les endroits qu'il fréquentait le plus. A force d'espionnage, j'étais capable de savoir quand est-ce qu'il mettait sa chemise bleue nuit, c'était celle qu'il m'était pour draguer, il sortait toujours le jeudi pour draguer deux ou trois humaines qu'il finissait par boire au coin d'une rue sombre. J'étais devenue complétement folle, mais je m'en fichais. Tout ce que je voulais, c'était serrer son cœur entre mes mains.
C'était le 24 Décembre 2012...
Allongée sur le sofa en cuir de buffle de ma dernière victime vampire, je me préparais moralement au moment que j'attendais depuis presque deux ans maintenant. Je respirais doucement pour calmer mes nerfs à vif, trop excitée, je ne rêvais que d'une chose, que ce salaud goûte au calibre de mon joli pistolet. J'avais manigancé ce plan depuis des mois, à présent. Comme on le disait, la vengeance est un plat qui se mange froid, le mien avait eu tout le temps de libérer les effluves chaudes qu'il possédait. J'avais la tête froide, je savais exactement comment procéder, si une seule petite chose foirait, c'était foutu. Mais tout était parfaitement calculé et ma motivation était plus qu'à son sommet. Je tournais légèrement ma tête pour voir ce qui restait du vampire fraichement tué. Elle avait fait l'erreur d'être seule aujourd'hui, pourtant toujours accompagnée habituellement. Ce vampire était une connaissance de l'homme dont je devais me venger et la seule manière de le retrouver ce soir était le laissez-passer pour la soirée de charité qui se déroulerait aujourd'hui. Je souris doucement alors que les choses prenaient enfin leur place. Mais le temps était compté, je devais me dépêcher avant que quelqu'un ne se ramène. Je fouillais ses vêtements pour enfin trouver le pass, attrapa la blouse contenant une robe couteuse volée au vampire et fila à l'anglaise pour me préparer.
Quelques heures plus tard, j'avançais dans les rues de New-York en direction du gala. La rue bouchonnait, les voitures klaxonnaient, tout le monde voulait voir les célébrités qui étaient invitées et moi, je tentais de me frayer un chemin au volant de ma voiture afin d'accéder à l'arrière du bâtiment, là où personne ne me verrait. Une fois garée, je sortais de la voiture en toute discrétion, après avoir pris quelques armes qui ne se verraient pas trop sous ma robe et qui me serviraient à achever Bruce Hamel. Dans une rue sinueuse, j'enlevais mes talons pour ne pas faire de bruit, et sur la pointe des pieds, j'atteignais la porte qui me servirait à entrer dans le bâtiment. Je refermais la porte derrière moi, enfila mes chaussures, épousseta ma robe en soie noire et traversa les couloirs. Je croisais une ou deux personnes qui me regardèrent de haut en bas sans se poser de questions. Je traversais les cuisines, puis une fois l'étage monté, on me demanda mon invitation, que j'avais évidemment falsifié avant d'arriver. - Miss Goodwell, j'aurai cru que vous passeriez par devant ? - Je n'aime pas me faire remarquer... J'échangeais un sourire courtois avec l'homme avant de m'introduire dans la salle de réception, où l'ont pris ma veste. En balayant la salle du regard, j'observais la moindre chose qui pouvait m'être utile. Les humains étaient certes au rendez-vous mais énormément de vampires peuplaient la soirée, ils avaient amassés l'argent depuis des décennies, des siècles pour certains, il était sûr que pour une soirée de charité, ils seraient les bienvenus. Au loin, sur un balconnet, on pouvait apercevoir le Maitre de la ville qui avait l'air encore plus jeune que moi. Brun, élancé, il avait un teint cadavérique et était pourtant très séduisant. Le vampire était entouré d'un tas d'hommes qui montaient la garde, tandis qu'il observait la foule sous ses pieds. J'attrapais un verre de champagne au passage d'un serveur que je portais à mes lèvres et remarquais enfin Hamer. Le goût du champagne me fut amer en bouche, tandis que mon cœur fit un bon. J'avais toujours ce ressentis lorsque je le voyais : on me bouffait de l'intérieur, comme si j'étais en état de décomposition, cet homme provoquerait ma mort, je le savais. J'approchais un peu plus prudente, dans l'espérance de croiser son regard... Bingo.
Je parcourais les couloirs du gigantesque bâtiment. Je rasais les murs couleur crème, tandis que quelques personnes s'aventurant dans l'hôtel particulier croisaient ma route. Mais je ne faisais pas attention, j'avançais vite, j'étais certaine qu'il était sur mes talons, il avait croisé mon regard et ce sourire malsain qui était né sur ses lèvres, alors que je levais mon verre vers lui de la manière la plus provocante qui soit... Et s'il ne m'avait pas reconnu, il savait au moins que je voulais m'entretenir avec lui, mon regard avait été assez insistant, bien que trop haineux. J'étais au pas de course, heureuse que la moquette couteuse au sol étouffait le bruit des talons que j'avais chipé. Au tournant d'un couloir, enfin seul, je sortais mon pistolet que j'effleurais avant de le charger. Mon souffle était court, mon cœur battait vite.... Je ne savais pas si j'étais réellement prête, mais j'étais maintenant face à ma destinée, je ne pouvais plus reculer. Enfin au bout du couloir, je mis tout mon poids contre la porte, beaucoup trop apeurée, je me voyais trembler et, pourtant, j'avais tué un tas de vampire avant lui, jamais aucun ne m'avait fait cet effet. J'essayais de calmer mon souffle pour écouter si un quelconque bruit était audible. Rien, pas même une mouche. Je tentais d'ouvrir la porte qui se révélait définitivement close. Fouillant le chignon flou qui se dressait sur ma tête, j'attrapais une barrette fine qui fit tomber mes cheveux sur mes épaules. Je m'empêchais de respirer fort, aussi difficile que ce soit, je perdais du temps, je risquais de le croiser d'une seconde à l'autre. En quelques secondes, le verrou n'était plus un problème. Dans la pièce, je restais derrière la porte, la laissant entrouverte, ce seul filet de lumière m'indiquerait si quelqu'un arriverait. Dans la pénombre, je pouvais distinguer un lit majestueux et deux rideaux lourds. Tout prêt de moi, une commode style Louis XV et à l'opposé, un bureau dans le même style avec une chaise en bois. Rien de très dangereux aux premiers abords. Des pas retentirent enfin dans le couloir, une main sur ma cuisse contenant un pieu poli, l'autre tenant mon arme à feu, je restais silencieuse. Je savais qu'il entendrait ma respiration ou les battement de mon cœur, mais justement, il me cherchait. Après quelques minutes qui me paraissaient presque une éternité, alors que j'avais une forte envie de rendre mon diner, une ombre masqua la quasi totalité de la lumière du dehors. La porte grinça... Je retins mon souffle. Un pas... deux pas... trois... Sa silhouette m'était presque visible quand je referma la porte sur nous deux. Il se tourna, un sourire sur ses lèvres presque inexistantes, tandis que j'affichais un sourire plein de satisfaction. Je pointais mon calibre entre ses deux yeux, mes lèvres incarnat s'entrouvrirent et mes yeux se perdirent dans les yeux du tueur... Mon souffle redevint haletant tandis que je fronçais les sourcils. - Je suppose que tu te rappelles de moi, suceur de sang.
Je percutais le bureau et tombais au sol dans un bruit sourd. Face contre sol, je reprenais mon souffle en attrapant le pieu attaché à ma cuisse, tandis qu'il me retournait sans ménagement. Il me fit lâcher mon pieu avec une simple pression sur ma main et attrapa mon cou qu'il serra, serra... Je toussais, étouffant, l'air était plus dur d'accès, mais je n'allais certainement pas mourir ce soir. - La jolie sœur du chasseur... Je suis nettement plus fort que toi... - Mais je suis plus en colère ! Je tordais sa main avec une bonne pression de la mienne, technique que mon frère m'avait appris alors que je n'étais qu'une innocente jeune fille. Une fois qu'il m'eut lâché, j'attrapais de mes deux mains sa nuque glacée pour percuter sa tête de la mienne. Surpris, il recula de quelque pas, ce qui me permis de planter le pieu que je récupérais au sol dans sa jugulaire. Je toussais en glissant le plus loin possible de lui au sol et récupérer mon flingue que j'avais fait tomber auparavant, vérifiant qu'il reste toujours les bals d'argent et qu'il est toujours en état de fonctionner. J'entendais alors un rire alors qu'il se relevait doucement. - Très en colère, effectivement, petite garce. La petite princesse a un manque de son frère adorée, elle fait un caprice... J'ai bu tout ce sang à ce salaud, crois moi, tu vas suivre son chemin, t'en fais pas... Il retirait d'un coup sec le pieu de son cou pour s'approcher de moi. - Tu penses que je suis l'un des pauvres vampires que tu as tué auparavant ? Que je suis faible et stupide ? Ma jolie, si ton frère a agonisé sous mes crocs, c'est parce que je suis fort. Je suis l'un des plus forts de cette ville et tu oses me... - LA FERME ! le coupais-je. Mes joues maintenant mouillées, j'avais tenté de ne pas craquer, mais Dieu savait que c'était beaucoup trop dur pour moi. A peine quelques mètre nous séparaient. Sous la colère, j'avais crié et maintenant, mon pistolet se tenait entre nous, pointant son cœur, tandis que je ravalais la peine qui m'envahissait. J'étais faible, mon "humanité", comme diraient certaines créatures, avait pris le dessus. J'étais dévastée, mon maquillage coulait lentement sur mon visage pâle et lisse tandis que la pression de mon arme sur son cœur était plus forte. - Des années de ma vie gâchées parce que tu avais "faim". Je rêve toutes les nuits de mettre fin à tes jours aussi sadiquement que tu ais pu le faire avec mon frère. Nous n'avions rien demandé, nous ne connaissions même pas votre existence ! Je lui mis un coup de canon sur son corps, je voulais tirer mais j'étais trop ravagée. Je regardais l'homme dans les yeux en attente d'excuses... Et je me rendis compte de mon erreur, de ma stupidité... J'étais trop naïve, trop humaine, cette subjectivité m'empêchait de mettre ma mission à terme et avant même que je puisse dire quoi que ce soit, mon arme glissa sur le sol, beaucoup trop loin de moi. Il attrapait mes mains d'une seule des siennes et tandis que j'essayais de me dépêtrer de son emprise, il mit le point final : - Tu n'es qu'une stupide petite gamine qui est venue m'ennuyer. Tu crois que je ne sais pas que le meurtre de ma femme, ce matin, vient de toi ? Mais tu sais quoi ? Je m'en trouverais une autre... Il s'approcha de mes lèvres pour glisser les siennes tout près, pure provocation tandis que je m'empêchais de trembler. - Quelques années que tu contrecarres mes plans, j'aurais pu avoir le pouvoir de cette ville, si j'avais mis fin à tes jours. - Tues moi donc, salaud, que je rejoigne mon frère. - La mort serait une bénédiction de ma part. Et sans pouvoir ajouter quoi que ce soit, je sentais le goût du sang dans ma bouche et se fut le trou noir.
Je me réveillais dans la pénombre de ce qu'il semblerait être une chambre. Tous mes membres étaient douloureux et je grimaçais en essayant de reprendre peu à peu mes esprits, en essayant de me souvenir. Alors que mes yeux s'habituaient au noir le plus total, je vis un homme que je ne connaissais pas en face de moi. Il attrapa son téléphone et se contenta de dire que j'étais réveillée. Je comprenais enfin dans quel danger je m'étais mise et par instinct, je me levais pour m'en aller, avant de remarquer qu'on m'avait attaché au lit dans lequel je me trouvais. Mes poignets portaient des plaies béantes dues aux menottes et plus je tirais dessus, plus je souffrais. Je me demandais quel sort ils avaient bien pu utiliser pour faire pareil dégâts sur ma peau. L'homme face à moi riait alors que je grognais de douleur. La haine monta en flèche et avant même que je ne me rende compte de quoi que ce soit, j'étais plus prêt de lui, le plus près que les menottes me le permettaient. Mes canines étaient douloureuses et je voyais rouge. L'homme apeuré était contre la porte et prenait à nouveau son téléphone : - Bordel, faites vite, elle va me bouffer ! - Tu sais très bien qu'elle ne peut pas, je l'ai attaché, il ne t'arrivera rien. Je suis en route, arrête de geindre. Je fronçais les sourcils. J'avais été capable d'entendre ce que le combiné avait pu répondre à l'homme dont les battements de cœurs étaient plus rapides. J'entendais son cœur s'affoler à mesure que le temps passait, toujours contre la porte. Je reculais doucement et toucha mon visage encore crispé : mes incisives étaient plus longues et acérées et je me rappelais soudain ma bataille avec Hamel... Il m'avait transformé...
Une demi heure plus tard, deux hommes entraient dans la pièce. Le maître de la ville que je reconnus immédiatement et ce qui semblerait être l'un de ses larbins. Il s'approcha tandis que j'essayais de m'en écarter le plus possible. -Une chasseuse transformée... Typiquement Hamel, incapable de s'occuper de ses Infantes... Je fronçais légèrement les sourcils, préférant garder le silence. - Tu sais qui je suis, n'est-ce pas, petite ? - Le chef des vampires de cette ville. - Exactement, petite. Et tu es ce qu'un chef doit éliminer, tu le comprends ? - Je sais aussi qu'il m'a transformé sans votre accord et qu'il devrait être mort pour ça. - Perspicace. - Je traque cet homme depuis des années, je pourrais vous le retrouver. Je vis l'homme rire un instant, s'avancer vers la porte et ordonner mon exécution à son larbin. Mes yeux s'écarquillèrent, mais pour moi, ma nouvelle vitesse acquise me permettait de suivre ses mouvements, même s'il avait l'avantage de l'âge. Avant qu'il ne puisse m'attraper la poitrine, j'entourais son cou des chaînes en argent dont j'étais prisonnière. - Cet homme a tué mon frère, personne ne tuera Bruce Hamel si ce n'est moi. Réfléchissez, je suis un vampire, mais j'ai été chasseuse, j'ai l'avantage de savoir me battre, d'avoir des réflexes. Qui veut sa mort plus que vous ? Moi. Vous êtes certain que dans quelques mois, Bruce ne sera plus de ce monde et moi avec, je ne resterais jamais un vampire, je préfère me suicider. Le maître de la ville se caressa lentement le menton tandis que je serrais plus les chaînes autour du cou de l'homme. - Marché conclu, mais si j'apprends que tu entres dans ma ville sans avoir tué Hamel, je te tuerais de mes propres mains et cette fois, tu n'auras pas le temps de faire l'une de tes ruses. Je lâchais donc le vampire qui me libéra et retourna près de son maître. - Au fait, j'ai cru entendre qu'il était parti dans une ville du nom de Shreveport... Il laissa l'humain et le vampire et en refermant la porte sur lui, il susurra : tu as trois heures pour quitter la ville.
Je levais mes yeux vers le groupe de vampires, j'avais terminé le récit de ma vie.
A ma plus grande surprise, l'homme au centre se leva. Il jeta la cigarette qu'il avait allumé alors que j'étais en train de parler et s'approcha. Il était sûr de lui, ce qui me rendait encore plus méfiante. Son ultimatum confirma ses doutes : il connaissait Hamel, l'avait caché quelque part. Il le fit emmener. Je m'étais tout de suite affolée lorsque je le vis et l'on dû me tenir pour que je ne lui arrache pas la tête avec mes dents.
- Ta haine envers les vampires est intéressante. Tu l'es restée simplement pour le tuer. Tu as deux choix. Il sortit ses mains de ses poches pour poser une main sur mon épaule et me susurrer à l'oreille. - Je ne te laisserais le tuer que si tu restes vampire. Si tu refuses, je vous tue tous les deux, et adieux ta vengeance, tu ne l'auras pas tué de tes propres mains. Il recula tandis que je le regardais, furieuse. Si c'était le prix à payer, peu importe. On me lâcha, et ni une ni deux, le cœur de Bruce Hamel fut entre mes doigts.
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PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? inventé ; PSEUDONYME cacahuete ; DERRIERE L'ECRAN fille de vingt ans en histoire, qui ne souhaite que partager son histoire avec les autres. CODE DU REGLEMENT Et bien, il ne manque plus que Dracula, prince des ténèbres, NC-age et je crois qu'on pourra commencer. COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? par magie ! ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM l'univers est super, chaque race, les hiérarchies, les intrigues, tout est super ; AVATAR UTILISE Angelina Jolie
Dernière édition par Amara Matthews le 8/12/2013, 18:04, édité 46 fois
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1920 ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr
Je la modifie tous les deux jours maximum et elle est presque terminée ! Me reste combien de temps ? :x
HELL COME HERE
SIGNALEMENT : Poilue pleine de crocs. HABILITIES : Pouvoirs Lycans. Communication avec les morts. OFFICE : Proprio du Sunco Gazoline SERENADE : Marta - Saez
You saw my pain, washed out in the rain Broken glass, saw the blood run from my veins But you saw no fault no cracks in my heart And you knelt beside my hope torn apart But the ghosts that we knew will flicker from view And we'll live a long life So give me hope in the darkness that I will see the light Cause oh they gave me such a fright But I will hold as long as you like Just promise me we'll be alright
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
Alors c'est vrai que l'histoire manque d'informations, j'aimerais que tu rajoutes au moins une chronologie pour que tout soit bien clair dans ton histoire, comment tu as commencé, ce qui est arrivé à ton frère, quelles villes tu as visité, etc. jusqu'à ce que tu arrives à Shreveport. Marque bien que ton test rp est un flashback parce qu'à la base je pensais que ça se déroulait à Shreveport et j'étais en train de me dire "ouais mais Mikaïl est pas du tout comme ça..." donc n'hésite pas à préciser. J'aimerais aussi que tu étoffes la partie occupation nocturne parce qu'au final, tu ne nous dis quasiment rien mais tu parles de Cinéad, du coup... Je trouve ça dommage.
En plein déménagement, très peu d'accès à internet durant les jours qui viennent, la raison de ma lenteur. J'ai prévenu Tomas et je préviens ici également !