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 Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »

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MessageSujet: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 17:47


« L'univers est rempli de magie et il attend patiemment que notre intelligence s'affine. »
Noah Eléa Denam


© Inconnu


Prélude

date et lieu de naissance. Paris ; 17 Février 1990 nationalité. Franco-Américaine camp. Bien. type de magie. Sorcier descendante des VASSILIEV statut occupé.Membre de la Blanche Confrérie classification. Potentiellement dangereux - état civil. célibataire lieu d'habitation. quartier d'habitation en ville. métier. Agent de la DRIS étiquette qui vous est collée. Noah vient de débarquer en ville. On la voit comme une personne mystérieuse parfois froide bien que sympathique. On a pas encore vraiment d'avis sur elle, on se méfie de cette jolie brune..


I. I want to know who you are

traits de caractère.
Je n'ai pas un caractère facile. Je suis quelqu'un de solitaire bien que sympathique. Je suis assez impulsive sur cedrtaines choses. Intelligente et rusée, j'ai rapidement fait mes preuves dans mon métier. Je peux paraitre froide au premier abord mais je suis quelqu'un de sensible et chaleureux, encore faut-il me connaitre. Je n'accorde que très difficilement ma confiance et c'est encore plus dur avec les hommes qui pour moi sont des menteurs nés, ne pensant qu'avec leur queue. Je reste néanmoins loin des filles, de ces gares hypocrites ne sachant que parler maquillage et garçon, cassant du sucre sur n'importe qui. Je ne suis pas quelqu'un qui aime exposé ses sentiments, parler autour d'un café chaud des soucis d'une relation. Je suis plus dans l'action, je vis à cent à l'heure. Je suis une éternelle insatisfaite de moi même, inépuisable et presque indémontable. Je peux être affreusement méchante dans mes mots, et j'ai un sang froid à toutes épreuves dans mon boulot. Toute fois ma patience à des limites..
occupation diurne.
J'ai été employée à la BRIS peu après être sortie des mes études de psychologie. J'ai tout de suite fait mes preuves. Je viens d'être mutée à Sheverport et je passe mon temps sur les missions, à régler des conflits ou chercher des criminels. Mes nuits et mes journées ne sont pas ennuyantes, car quand je ne travaille pas je m'exerce à la magie ou bien je fais du sport.
manie, habitudes & goût.
Chaque jour je me lève à l'aube pour aller courir une bonne vingtaine de minutes. Je finis dans un petit café où je déjeune rapidement et je repars chez moi un cappucino à la main. C'est un peu comme un rituel, ce qui me permet d'être de bonne humeur chaque jour.
J'ai aussi la manie de boire un café noir dès que je suis stressée. Débile n'est ce pas ? Ce n'est pas quelque chose qui rend nerveux qui va me calmer.. En temps normal je n'aime pas ce goût fort, mais quand mes émotions ( stress, colère, nervosité..) m'envahissent il faut croire que mes papilles n'ont plus la même sensibilité au goût..
magie utilisée.
J'utilise bien évidemment la magie blanche, j'ai reçue mon éducation magique après le décès de mon père, par les membres de la confrérie. Je dirige l'eau à partir du moment où elle est déjà présente mais ne peut contrôler celle qui se situe dans l'organise d'un être vivant. Quand à mes boucliers, genre champ de force, j'ai fais la sale expérience qu'ils sont inefficace face à une attaque " normale ". En effet ils peuvent arrêter vampires, sortilèges, balles magiques, ou lycanthropes en colère mais un humain lancé à pleine balle vers moi, des balles de leurs armes, peuvent traversées mon bouclier. De plus, je ne peux le tenir éternellement, cinq minutes au maximum pour au moins une bonne heure d'inefficacité où je dois me recharger, et cela peut m'affaiblir le temps où je le mets en place vue la concentration que cela demande ais aussi après.. Plus un être magique est fort plus cela me demande de la concentration, je peux même aller jusqu'à m'évanouir. Bref, je me demande si cela n'est pas une arnaque au final...
conviction.
Je n'ai pas vraiment vécue la révélation. Enfin si un peu comme quand on vous annonce une guerre en Afghanistan, vous savez que ça se passe mais vous pensez pas que c'est bel et bien réel, que des gens meurent et des familles se brisent. Et bien moi, lors de la révélation j'ai vu et engouement, ces manifestations contre a citoyenneté des vampires mais étant à la Confrérie j'ai vu tout ça un peu de loin, à travers un poste de télé, un peu comme pour une série de science fiction. J'ai vraiment pris conscience de tout ça quand je suis rentrée au FBI et qu'à peine un mois après on faisait des tests sur tout le monde. Quand on s'est rendu compte malgré moi de mes capacités, on m'a pressé le pas pour faire parti de la BRIS. Là j'ai fait un saut dans le vide. C'est comme vous réveillez un matin et vous dire " Ca y est c'est arrivé, c'est réel je suis dedans; " Comme si vous sortiez d'un mauvais cauchemars et qu'en ouvrant les yeux vous vous rendiez compte que ce mauvais rêve c’est votre vie. Au début j'ai pas trop pris conscience de ça quand ont traitait des conflits inter race, et puis les crimes sont arrivés et là tout à basculé. Ma vie à prit un sacré tournant en à peine un mois. Je savais que cela existait les vampires, les loups garous et les méchants sorciers, mais en prendre conscience comme ça d'un coup c'était comme se prendre une sacré claque dans la gueule. Pendant plusieurs mois, voir presque un an j'avais l'impression de vivre à coté de mes pompes, j'avais l’impression que tout ça n'était pas vraiment réel, que ma petite vie reprendrait bien un jour. Et puis je me suis faites à l'idée que jamais plus rien ne serait comme avant, que ma vie à présent c'était ça et aujourd'hui je ne me sens plus comme à coté de ma vie. Seulement je dois dire que je préférais tout de même avant la révélation, car tout ces crimes, toute cette haine et ces curieux malsains qui envahissent nos rues ne me rassurent pas.
signes particuliers.
J'ai un sigle russe tatoué dan l'intérieur du poignet gauche. Et mon nom de famille en russe sur la nuque.

II. A true story


Avez-vous déjà cru aux deuxièmes chances ? Ou encore, croyez vous au destin, à l’heure de votre mort auquel vous ne pouvez pas échapper ? Est-ce que quand quelque chose de dramatique vous arrive vous vous dites « c’était écrit de toute manière » ? Pensez vous que l’ame sœur existe ou que les grandes lignes de votre vie sont écrites dès votre naissance ?
Moi je ne sais pas. Tout ce que je peux vous dire c’est que, quand vous êtes au bord de la mort, votre vie défile devant vos yeux, comme un film qui sauterait des chapitres .

17 Février 1990.



Peu de personnes se souviennent de leur naissance pas vrai ? Mais aucune femme n’oubliera son accouchement. Ce jour restera gravée dans la mémoire de la jeune mère qui se cramponnait au bras de son mari, mari qui était là impuissant face à la douleur de sa femme et aux évènements qu’elle provoquait. Pour lui non plus cette nuit ne disparaitrait pas de sa mémoire. Piur les sages femmes non plus, ni pour le vieux plombier qui s’efforçait de tenir une canalisation d’eau froide en place, pour éviter de frigorifier la mère avec ce liquide froid qui glacait les mains du vieil homme. La canalisation venait de péter, les sages femmes avait les pieds dans l’eau et s’efforçait de couvrir le bruit de l’eau en cirant « Poussez madame ! Encore ! Encore ! » Maigre encouragement pour une sorcière qui souffrait le martyr. Toute femme enceinte sait que le jour J il va falloir pousser de toutes ses forces. Enfin, d’un coup, l’eau arrêta sa pression folle et cessa d’inonder toute la pièce, laissant un faible écoulement d’eau, rejoindre la piscine qui venait de se faire dans cette salle d’accouchement.
La sage femme en formation tandis un draps blancs à celle qui tenait le petit bébé dans ses bras Elle l’enveloppa dans une serviette chaude et humide tout en le berçant. Le nouveau né ouvrit de magnifiques yeux bleus et cligna plusieurs fois des paupières aveuglé par la lumière.
- Il ne pleure pas c’est normal ? s’affola le jeune papa.
- Elle respire déjà pourtant.. s’étonna la dame tenant le petit corps fébrile
- C'est une petite fille ? s'empressa de demander la mère.

La petite s’agita doucement et, hésitante, la demoiselle posa la petite sur le cœur de sa maman. Ainsi, la mère et l’enfant lachèrent leurs premiers sanglots en ême temps, entourées d’amour et d’une émotion plus forte que n’importe la quelle : la vie.


31 Décembre 1999.


Je posais mes mains contre la vitre froide et observa ma mère au loin dehors. Les rires bruyant de ma famille retentirent dans mon dos mais je préférais rester là, à garder un œil sur maman. La neige se glacait autour d’elle et elle commença une course effrennée après quelques chose. Mes yeux s’équarquillèrent et je courus très vite vers mon papa, pour me jeter sur ses genoux.
- Papa , Papa ! Maman elle court dehors dans les bois !
- Ne t’en fais pas maman doit juste voir un ami, elle revient après.
- T’es sur ?
- Oui mon trésor, dit-il en me portant sur ses genoux et me serrant contre lui.

Je lui faisais confiance. Eperdumment confiance et je ne m’inquiéta pas, certaine que maman serait là pour fêter le nouveau millénaire avec nous. Dans notre Dame de Paris, ils disent que la fin du monde est pour l’an deux mille. Est-ce que, ce soir, le monde va explosé ? J’avais fait rire maman en lui demandant cela et elle m’avait assurée que cela n’arriverait pas, que mon monde resterait debout bien après l’an deux mille et qu’il faudrait des années avant qu’il ne se fissure. Je l’avais cru. Comme chaque enfant je croyais mes parents. Comme quand ils nous disent que le père noël existe et que la petite souris aime nous féliciter de la perte de nos dents en nous donnant une pièce. On croit toujours les adultes pas vrai ? Les maitresses, les papas et les mamans, pour nous ils savent tout puisqu’ils sont grand.
Une demi heure passa, puis une heure et le décompte commença. Je comptais avec ma famille, les yeux rivés sur la fenêtre, la neige tombait et elle avait déjà recouvert les pas de ma maman qui s’étaient formés dans la neige. Soudain, il y eut un énorme « BONNE ANNEE !!! » je sursauta et avant même que je ne puisse dire quelque chose mon père me souleva de sol en me faisant tourner sur moi-même. Je riais aux éclats quand j’aperçus ma mère revenir en marchant dans la neige. Mon père me posa à terre en m’embrassant sur le front et j’ouvris la porte. De ma petite voix aigue je souhaita une bonne année à ma maman en me jetant à toute allure vers elle. Elle esquissa un sourire, tomba à terre et tendit ses bras vers moi. Toute deux nous tombions dans la neige elle me regarda doucement avant de me souhaiter une bonne année en caressant mes cheveux d’or. Les siens, longs et lumineux, se mélèrent dans la neige et se mouillèrent très vite. Je me redressa et lui tira la main. Je glissa et tomba sur les fesses. En regardant ma jolie robe blanche je remarqua des traces rouges et mes mains étaient poisseuse. Ma mère tendit ses bras vers moi et je me mis contre elle.

- Maman tu saignes !
- Je sais mon ange.. Maman doit partir.. Elle, elle va rejoindre les anges, ils ont besoin de moi tu sais. ;
- Mais moi aussi j’ai besoin de toi ! sanglotais-je
- Mais toi tu as papa mon amour.. Papa prendra soin de toi.
- Papa il sait pas me coiffer..
- Il apprendra..
- Je ne veux pas ! dis-je en la serrant contre moi.
- On a pas le choix. N’oublie pas, n’oublie jamais que je t’aime bien plus gros que tout le système solaire.
- Et moi encore plus.. On se reverra ?
- Un jour surement mais il faudra que tout le monde soit patient.. V is, vis pour moi..
- Oui maman…
J’entendis le cri horrifié de ma belle mère qui essaya de me retirer du corps de ma maman qui venait de fermer les yeux. Mon père la serrait contre lui de toutes ses forces en pleurant. Ma grand-mère finit par me serrer contre elle en pleurant. Les larmes froides coulaient sur mon visage de porcelaine, le froid s’emparait de chacuns de mes os et doucement je me rendis compte que mon monde venait d’exploser. La fin du monde était bien pour l’an deux mille…


05 Janvier 2000.


Peu après l’enterrement nous avions fait nos valises. Papa m’avait prié de dire au revoir à ma grand-mère et je m’exécuta dans le silence. Voici 5 jours que je n’avais pas dis un mot, 5jours que je n’ouvrais la bouche que pour avaler de petites quantités de nourriture.
Lorsque les bras de ma grand-mère se serrèrent autour de moi et que je sentis ses larmes glisser dans mon cou, je m’efforçai de la réconforter en lui disant d’une voix à peine audible que je l’aimais. Mon père me fit monter dans le taxi, et après des étreintes douloureuses avec mamie, monta avec moi. Après de longues minutes de route, silencieuse, où je restai blottie dans les bras de papa, nous descendîmes à l’aéroport. Il pria le jeune homme qui conduisait d’apporter nos valises, et lui laissa de l’argent. Alors que nous passions au milieu de la foule, je m’accrochais fortement à lui, me jurant de ne plus jamais lâcher quelqu’un d’important pour moi, de veiller sur papa, de ne jamais le laisser seul, pour ne jamais le perdre.
Arrivé aux portiques de sécurité, on nous pria de nous séparer. Je fortement au bras de mon père et un homme en uniforme me porta et me sépara de lui. Prise de panique, je hurlai et pleurai, me débattant de toute ma maigre force. Mon père me regardait affolé et impuissant, se laissant contrôlé. Ces quelques secondes me semblèrent une éternité, et quand il hurla que je venais de voir ma mère assassinée le gardien me reposa rapidement à terre. En sanglots et tremblante je me jetai dans les bras de la personne la plus importante à mes yeux.

- Ne m’abandonnes pas à ton tour papa…
- Je ne t’abandonnerai pas mon ange, je te le promets..


3 Mars 2006.


Je regardai mon père et finit par lever les yeux au ciel. Je m’avançai vers lui et lui déposa un baiser tendre et chaud sur la joue.
- Je préfère ça, dit-il tout fier de lui
- Je n’ai plus dix ans pas…
- Je sais mais tu es toujours ma fille. Et ne jamais partir faché fais partie de notre pact.
- En effet… Mais je pourrais y aller Samedi ?
- Noah..
- Mais papa !
- On en parlera ce soir d’accord ?
- Promis ?
- Promis mon ange.
- Parfait, dis-je le sourire aux lèvres, alors à ce soir !
- Je t’aime petite capricieuse !
- Moi aussi papa, dis-je en sortant.

Je claquai la porte de la voiture et me recula jusqu’au trottoir faisant signe de la main à mon père et le regardant s’éloigner. Il s’arrêta au feu rouge face à mon lycée et je restai là à attendre qu’un ami me rejoigne. Alors que la cloche sonnait, et que je m’apprêtais à tourner les talons un bruit fracassant retentit suivit d’un énorme bruit d’eau, comme si nous jetions de la taule dedans. Plusieurs cris retentirent et je fixai avec horreur la voiture de mon paternel s’enfoncer dans le lac glacé à plusieurs mètres de moi. D’abord sous le choc, je restai plantée là, et, prise de panique je jetai mon sac et courus tout droit vers l’eau. Autour de moi, tout semblait être au ralenti, les gens s’affolaient, téléphonaient, la panique se ressentait, et dans mes oreilles mon cœur battait la chamade. Sans réfléchir à la température de l’eau, je plongeai et en quelques secondes, mon corps fut glacé jusqu’au os, atteint jusqu’à sa moindre cellule par ce froid mortel. Pourtant, réchauffée par l’adrénaline, je m’efforçais de vouloir atteindre la portière de mon père, et doucement je m’avançai vers elle. Ne réussissant d’abord pas à l’ouvrir je finis par passer par le pare brise explosé. Je ne sentais plus mes mains, bientôt l’air me manquait, ma vue se troublait, la sensation d’avoir des aiguilles dans tout le corps dut au froid m’envahie et attrapant mon père par sa chaine en argent je perdis doucement connaissance, rentrant dans un état second.
A ce moment là, la panique me quitta et la peur m’envahie. La peur de la mort. Je croyais ne pas avoir peur de la mort, pourtant à cet instant je ne voulais pas mourir, je ne voulais pas partir. J’avais mal, affreusement mal, jusque dans mon cœur, dans chaque centimètre carré de mes os. Je me vis imaginé des mains me tirer vers le haut, et miraculeusement je me sentis remonter, ne voyant rien d’autre que mon corps, comme si j’étais une autre personne, spectatrice de mon sort. Peu à peu mon corps remonta alors qu’il était vidé de tout oxygène, avec un courant d’eau qui me portait à la surface. Je ne vis pas la lumière du jour, la surface, je ne vis rien. Rien que du noir, rien que le néant.


7 Mars 2006.


Je me tenais là, dans ce cimetière couvert de neige, les proches de mon père, ses collègues, ses amis, ses deux parents et quelques un de mes amis proche à tous me fixer. Je ne savais quoi leur dire. Je les haïssaient tous avec leur pitié, avec leur « Je suis désolé, toute mes condoléances, heureusement que l’on ne t’a pas perdu avec lui. » Heureusement ? Heureusement que moi je suis vivante et pas lui ? C’est moi qui doit vivre à la douleur d’avoir vu mourir mon deuxième parent, avec la souffrance de n’avoir pu le sauver de ce lac, avec la solitude et l’injustice. Alors pour moi c’est un malheur que d’être là, avec vous et non avec lui, au près de maman. J’étais en colère, mais avant tout j’étais terriblement effondrée. Ma grand-mère Russe arriva et me saisie la main, doucement et dans sa langue natale elle me rappela ce que me disait toujours mon père. Alors j’ouvris ma bouche, et commença par ça, car de toute façon il n’y avait pas vraiment de phrase approprié pour commencer un hommage lors de l’enterrement de son propre père.

- Il est logique que les enfants voient leur parent partir, me répétait sans cesse mon père. J’aurais aimé que sa phrase me réconforte en ce jour, mais tout ce que j’ai à lui dire c’est que ce n’est pas logique qu’il soit mort comme ça, pas si tôt, pas sous mes yeux. Mon père était pour moi mon pilier et mon repère. On me disait souvent que ma relation avec mon père était trop fusionnel, avant d’être un fabuleux papa c’était un confident, il y a quelques mois quand je me suis faite larguée, c’est lui qui m’a réconforté, quand je baissais les bras c’est lui qui me rattrapait et quand j’avais peur, mal ou que j’étais triste il était là, à me prendre dans ses bras et me faire aller mieux. Comment je vais faire aujourd’hui qu’il m’a abandonné ? Il y a six ans il m’avait promis qu’il ne me laisserait pas, et pourtant aujourd’hui j’ai du mal à voir ça comme quelque chose de logique. Qu’y a-t-il de normal dans le fait de le voir mourir dans un lac gelé et que moi je m’en sorte ? Tout le monde savait que papa était un homme exceptionnel. Il a sut m’élever faire face à la perte de maman, sans jamais flancher. Il est venu aux Etats Unis après sa mort, et à tous il nous a donné une belle leçon de courage. Il était toujours là pour chacun de vous, à se taire sur ses blessures, à ne jamais tomber mais toujours à relever les autres. Il taisait sa détresse et nous souriait, nous rappelant chaque jours que chaque vie est importante, que chaque instant peu être un instant marquant de notre vie. Mon père est un homme qui manquera à son monde, et moi je crois que dieu s’est rendu compte qu’il avait égaré un de ses anges et qu’il a voulut le rappeler a lui, nous laissant tous seul, loin de ce grand homme qui était important pour tous. Je ne sais pas quoi dire, mis à part que je n’étais pas prête pour ça, que encore quand je me lève et que je descends, je m’attends à le voir en bas buvant son café devant le journal télévisé en me lançant son joyeux « Bonjour princesse, Alors cette nuit ? » J’aimerais oublier ce jour funeste, ce jour où j’ai perdu mon allier, mon armure, mon pilier, mon ange, mon roi. J’aimerais pouvoir recoller les morceaux de mon cœur brisé et lui dire encore une fois que je l’aime et qu’il n’a pas le droit de faire ça, pourtant je sais que ces derniers instant sont passés, et que je devrais me faire à l’idée que Dieu me l’à enlevé sauvagement, sans me prévenir, sans me donner un signe, sans me préparer à cela.. J’aimerais qu’on me le rende, je donnerais tout pour qu’on me le rende, même quelques minutes pour que l’on se dire adieu.. J’espère juste sincèrement qu’il a retrouvé maman..

Je jetai ma rose blanche sur son cercueil, et les gens vinrent les uns après les autres faire de même. Je resta là, une heure, peut être deux, jusqu’à ce que le soleil se couche, regardant les employés refermer le trou, les gens se disperser et reprendre le cours de leur vie, seule ma grand-mère resta longtemps avec moi. Lorsque la lune apparut, elle m’embrassa sur le front et rejoignis son mari le cœur lourd. Moi je restais là, je ne sais combien de temps encore, agenouillée face au trou à me remémorer les derniers instants de sa vie, à chercher ce que j’aurais pu faire de plus pour le sauver.
- Tu ne t’es jamais demandé pourquoi tu t’en étais sortie et pas lui ?

Je sursautai et me retourna rapidement. Un homme la vingtaine me fixait. Un blouson en cuir, un jean bien coupé et brut, des chaussures de villes, des cheveux brun bien coiffé et surtout un regard persan et d’un bleu éclatant que je pouvais discernés même dans la nuit. Je me levai et me retrouva face à un homme d’au moins 1m90. Je séchai mes larmes d’un revers de main et d’un ton agressif je lui demandais qui il était et ce qu’il faisait là à une heure pareil.
- Parce que tu as une notion de l’heure vu le temps que tu as passé ici ?
- Je sais au moins qu’il fait nuit !
- Je me présente, moi c’est NikolaÏ. Je suis un ami de ton père..
- Il ne m’a jamais parlé de vous, le coupais-je.
- Je sais. Pourtant je le connaissais. Je réitère ma question, tu ne t’es jamais demandé pourquoi lui et pas toi ?
- En quoi ça vous regarde.. ?
- Par simple curiosité.
- Je n’aime pas les gens curieux, dis-je en tournant les talons.
- Ce n’est pas étrange une robe blanche pour un enterrement ? C’est un honneur pour la mort de ta mère ?

Je me stoppai et regarda ma tenue. Une simple robe blanche avec des escarpins noir et un trench noir. Personne ne connaissait cette signification, personne sauf papa. Je baissai la tête, lui le savait, il savait que j’avais vu ma mère mourir alors que nous étions toutes les deux en robe blanche et pour moi cela signifiait à présent que c’est un jour funeste. D’abord déstabilisée puis énervée et paniquée par ce qu’il s’avait je saisis mon sac et me retourna vers l’homme qui n’avait pas bougé.
- Ecoutez moi bien, je ne sais pas qui vous êtes ni ce que vous me voulez, mais je veux que vous me laissiez tranquille d’accord ? Je ne veux pas de vous, de votre pitié ou de vos condoléances, je me fous de ce que vous avez à me dire sur mon père, surtout si c’est pour lui faire des éloges. Je n’ai pas besoin de vous, je veux que vous disparaissiez, que vous m’oubliez, que vous fassiez le deuil de Papa dans votre coin sans venir me surprendre devant sa tombe au milieu de la nuit. Compris ?
- Même si je peux expliquer pourquoi toi tu t’en es sortie ?
- La chance, ou simplement parce que mon corps était plus léger que le sien, que moi je n’étais pas dans une voiture. Il n’y a pas d’explications exact, vous ne m’apprendrez rien, alors disparaissez.

L’homme s’avança vers moi et glissa dans mon sac une carte de visite, en plongeant son regard azur dans le mien.

- Détrompes toi Noah j’ai des choses à t’apprendre.

Il disparut dans la nuit et moi je restai là. Vidée de toutes larmes possibles, sciée et inquiétée par cet étrange personnage. Je ne savais quoi faire, j’étais perdue et seule. Terriblement seule.


11 Mars 2006.


- Tu me crois maintenant ?
Je regardais le jeune homme, les yeux écarquillés. Il sourit et m’assis sur le muret en pierre. J’ouvris la bouche et la referma doucement, sans pouvoir dire un mot. Le jeune homme venait de maitriser le feu avec excellence, le faisant danser à sa guise. Je ne savais quoi dire, ni quoi penser. Si cela était aussi réel que ce que je pensais, alors toutes mes certitudes sur ce monde s’écroulaient. Mon père m’avait caché cela, ma nature propre et je ne pouvais que me sentir trahie. Comme une enfant à qui l’ont aurait dit que mamie était partie en vacances pendant très longtemps, alors que mamie venait de mourir. Je me sentais un peu comme la gamine de 6 ans à qui l’ont vient d’annoncer que, non, le père noël n’existait pas, que c’était juste pour rendre noël un peu plus magique.
Je restai clouée là, les yeux rivés sur les mains du grand brun. Il sortie un petit rire charmant, mais je n’y prêtai pas attention tant je me sentais échouée en pleine mer sur ne bouée, sans savoir comment regagner le rivage. Il posa sa main encore chaude sur mon épaule et soupira. C’était d’ailleurs assez contradictoire avec le petit son précédent qui venait de sortir de sa gorge.
- Noah quel est le difficile pour toi ? me demanda—il doucement.
- Le fait que Papa m’ai menti..
- Il ne t’a pas menti.. Il t’a caché les choses pour ne pas te perdre comme il a perdu ta mère, à tes dix huit an il t’aurait tout dit mais..
- Il m’a caché tout ça alors que je croyais que l’on se disait tout, le coupais-je en protestant contre ses arguments, pour moi, tout était basé sur ces confidences complètes et cette confiance aveugle, là tout est différent..
- Rien n’est différent. Il t’a juste caché tes dons, le reste tout était vrai.

Je levai les yeux vers les beaux yeux bleus du jeune homme et il ouvrit ses bras comprenant que j’avais la gorge serrée. Je me jetai dans ses bras tout en m’agrippant à lui. Trop d’émotions, trop de douleurs, trop de peur, trop d’incompréhensions mais surtout trop de solitude, je craquais, je tombais en miette dans les bras de Nikolaï qui âgé de ses à peine 23ans savait divinement bien me réconforter, sans un mot, juste avec ses gestes rassurant, comme le faisait si bien mon père.


16 Octobre 2009.



Je poussai doucement la porte de notre appartement ans pouvoir y entrer. Je regardai ses affaires éparpillé un peu partout, un briquet sur la table à mangé, ses magazines empilé au pied du canapé, sa veste en cuir légendaire sur le pore manteau, et d’autres choses qui me rappelait qu’il n’était plus là. Ma grand-mère glissa tendrement sa main dans la mienne comme pour me donner toute la force qui coulait en elle depuis qu’elle avait perdu son fils. Aujourd’hui, mis à part elle, j’avais tout perdu, même NikolaÏ. Il y a deux semaines lors d’une mission à la BRIS il avait été abattu. Mort sur le coup, aucune douleur, la laissant entière pour moi. Sans préavis, sans lettre de départ, il m’avait laissé ainsi.
Je posai un pied sur le carrelage, doucement, comme si je m’attendais à voir surgir un énorme chien. Non c’était pire, je le revoyais arpenter l’appartement, dossier dans une main, café dans l’autre, m’expliquant les points incohérents de ses affaires. Il avait ce don de me captiver lorsqu’il faisait ça, ses cheveux noirs brillant à la lumière du lustre, ses grands yeux bleus rivés sur son dossier avec ses traits tirés, un peu comme quand il était jaloux. Moi, je faisais des études de psychologie pendant que lui résolvait les affaires paranormales de la ville, avec lui cela semblait si palpitant, si intéressant, que je pouvais le regarder et boire ses paroles durant toute une nuit, me bourrant de café le matin pour assurer en cours, mais peu m’importait, j’aimai lui rendre service, l’entendre dire durant le repas « Watson, j’ai besoin de toi ce soir, ça te dérange ? ». A lui seul, il était mieux que les experts et NCIS réunit. Plus passionnant et palpitant, il était aussi plus sexy et plus drôle. Combien de fois nous sommes nous aimé sur le sol au milieu de ses dossiers étalés ? Tout ces fous rires, ces instants où il me regardait intensément en réfléchissant et enfin sa joie lorsque je l’aidais à trouver la solution. Cet appartement était pour moi la caverne d’Ali baba pour nos souvenirs, en presque trois ans ici, nous en avions entassé.
A la base c’était son appartement à lui, et quand je suis venue à l’université dans le quartier d’à coté, il m’a suggéré de venir en collocation plutôt que de rester chez ma grand-mère. Nous étions, là déjà très proches, cela faisait 6mois que nous nous connaissions, tout ceux qui nous connaissait à peine nous croyait déjà en couple, puis au bout de quelques soirées à l’aider sur ses dossiers cela est arrivé. Le premier baisé, juste là dans le couloir. Je sortais de la salle de bain et lui encore sur son dossier, après m’avoir accordé une pause douche, sortait de la chambre où il avait récupéré un élément du dossier, et nous nous sommes rentré dedans. Cela nous arrivait assez souvent d’ailleurs mais cette fois ci quand je me suis excusé il m’a étreinte passionnément et à déposé ses lèvres sur les miennes. Voilà comment tout avait commencé pour notre histoire d’amour, ce beau brun qui m’avait tant fait peur le soir de l’enterrement de papa, qui avait détruit mes connaissances sur le monde, redonné de la joie de vivre, qui avait fait battre mon cœur aujourd’hui n’était plus là et lorsque je monta sur le balcon en passant par la chambre, j’eus le cœur lourd revoyant le mur où nous avions écrits des choses, des schémas, des théories, juste pour retrouver l’homme sur qui il enquêtait et qui venait de le tuer. Ses moments de réflexion lui faisaient faire des choses assez incongrues, comme écrire sur le mur au marqueur. Cette nuit là, je m’étais d’ailleurs d’abord affolée puis j’avais rit aux éclats le voyant faire, un peu comme un artiste qui vient d’avoir l’inspiration, où un mathématicien qui vient de trouver LA solution à son problème.
Nikolaï était tout ce don j’avais toujours eut besoin et aujourd’hui je me retrouvais là, à devoir vider l’appartement. Ma grand-mère posa les affaires que la Confrérie m’avait données de lui et je l’entendis commencer à ranger les bibelots. Elle arriva la veste en cuir à la main, posant une main douce sur mon épaule comme il avait l’habitude de faire, et posa doucement la veste sur la rambarde.
- Qu’en fait-on ? demanda-t-elle doucement

Je la saisis doucement et la porta à mon visage, aspirant encore une fois son odeur si enivrante, celle qui me rappelait tant de choses et me faisait tant de bien, l’odeur qui s’accordait à l’étreinte de ses bras. Cette odeur qui me rassurait toujours. A cette instant de stress immense je réalisa mon tic : faire tourner la bague de fiançailles qu’il m’avait offert. Il y a trois mois, il m’avait demandé en mariage à Paris. Je tombai à genoux en pleurant de toutes me forces.
- Rendez-le moi je vous en supplie, rendez le moi !


5 Novembre 2013.


- Épouse-moi !

Je lâchai l’assiette que j’avais dans les mains et elle explosa à mes pieds. Je ne pus bouger, mais je réussis à écarquiller les yeux. Mon cœur accéléra la cadence et je sentis Joshua se lever et prendre mes mains, je montai mes yeux vers lui et le fixa, les yeux brillants et le sourire aux lèvres.
- Oui puisque tu dois partir pour ton boulot, c’est un bon moyen d’avoir un nouveau départ, là bas, ensemble.
- Je.. Non ! m’exclamais-je
- Non ? S’étonna-t-il en me lâchant les mains.
- Je ne t’aime pas ! avouais-je, résignée.

Sans même ramassé l’assiette je partis m’enfermer dans la salle de bain. Je m’assis sur les toilettes et fixa ma bague de fiançailles, celle que NikolaÏ m’avait offert. Évidemment que non je ne voulais pas me marier, pas avec lui-même s’il avait été patient et doux avec moi, je ne l’aimais pas, ce n’était pas cet amour inconditionnel et pure que j’avais éprouvé pour mon homme défunt. Je l’entendis faire ses affaires dans le silence, et partir en fermant doucement la porte derrière lui. Lorsque je sortis, il n’y avait plus rien de lui chez moi, car non, nous n’habitions pas ensemble même après 7mois de relations. Je ne voulais pas de lui chez moi, je ne voulais pas d’un autre homme à mes cotés.
Je restai ici toute la nuit, m’endormant sur le tapis de la salle de bain, les larmes de la plaie béante de Niko, ruisselants lentement et en silence sur mes joues. Au petit matin je fis mes valises, emportant des vêtements, des photos, et autres choses importantes pour moi et je recouvris mes meubles des draps que ma grand-mère m’avait laissés la semaine dernière. Je fermai à clef mon appartement laissant la vaisselle dans les meubles et autres choses normales que l’on trouve dans un logement, puisque j’allais louer cet appartement, il n’y avait en revanche plus rien de personnel. Le petit studio allait être loué par une étudiante et moi je m’en allais pour Shrevreport. J’avais été embauché par la BRIS après le décès de mon fiancé, Joshua était d’ailleurs un de ses collègues qui avait été très présent pour moi à partir du moment où je suis venue chercher les affaires qu’il avait laissé à son bureau. Son patron qui était de la famille et de la confrérie, m’avait longtemps aidé financièrement et après s’être rendu compte de mes capacités m’avait longtemps fait la cour pour que je rentre dans son équipe, si bien, que le lendemain de mes examens de psycho je passais mes examens pour la BRIS. Je fus prise et au vue des excellents résultats que je menais, il m’a souvent emmené au sein des grands de la Confrérie, pour expliquer ce que l’on avait trouvé. Puis la confrérie c’est effondré, les guerres entre les races sont montés et l’ont me transfert à présent à Shervreport là où une ancienne déesse à fait des dégâts. Je me retrouve à repartir de zéro loin de la seule personne importante à mes yeux : Mamouchka, ma grand-mère russe.
Dans le taxi qui me mena vers l’aéroport, je regardais une fois encore les rues de la ville que j’avais tant arboré au bras de Niko, priant pour que Shevreport aide à cicatriser ma plaie béante.




III. That thing I want to tell you

personnage inventé/scénarii/prédéfini ? Personnage Inventé pseudonyme. Beedoo âge. Je suis la femme bicentenaire :52: code du règlement. Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer. avis général à propos du forum. Mis à part que les hommes sont des pervers en manque de gros nichons ; je le trouve superbe ( Je vous taquine ) Non j'aime vriament beaucoup, l'accueil à l'air d'être chaleureux et tout et tout. Bref si je l'aimais pas, je serais pas là :D avatar utilisé. ??


Dernière édition par Noah E. Denam le 1/11/2012, 19:10, édité 23 fois
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 17:52

Bienvenue ma petite Rayne sur DMTH :) (je me trompe pas hein? ^^)

Si tu as la moindre question, je suis à ta disposition et si tu viens de NE tu ne seras pas trop perdue lol
Bonne chance avec la fiche
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 17:55

Bienvenue mademoiselle =3
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 17:59

Merci à vous deux !
Et non tu ne te trompes pas je suis bien Rayane :D
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 18:06

:39: gigidun

Cool donc :)
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 18:16

Bienvenue.
Par contre attention ton image de profil déforme la page =).
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 18:17

You are Wolfy ou Suzanne ? carton

Merci Liam ; Et oui je l'ai changée ;D
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 18:34

I'm Suzanne Wink

LoL d'ailleurs te dois toujours un rp mais on en parlera sur NE ^^
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 19:56

Bienvenue sur le forum :dédé:
Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 20:09



Bienvenue :dédé:
Hâte de voir ce que va donner la demoiselle Razz
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime18/9/2012, 21:55

Hm, un membre qui a pour pseudo "Bedo"... Tooi, je sens que tu vas bien t'adapter coucou

Bienvenuuuuue pucelle
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 01:49

J'arrive pas à croire que tu te ballades avec autant de monde au balcon et que j'ai raté ta fiche..............

.......

Non, mais bref. Je...


Je suis pas pervers...

Je...


Welcome, et je dis que, bon choix d'avatar!

dehors
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 16:03

Note que là on voit surtout les jambes...

Bienvenue, Noah, 'relève' bien la Blanche Confrérie =)
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 16:56

Merci à tout le monde heart
Julian te justifier autant prouve que tu es un obsédé en manque je dis ça je dis rien Rolling Eyes
Et mon pseudo se lit " Bidou " Lyle ; hey
Quand à Gray' tu les trouves pas belles ses jambes ? ><
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 16:58

Ne te prends pas autant la tête sur la plastique de ton avatar Laughing

Elles sont très bien, ses jambes ^^
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 17:06

Je vais pas la refaire de toute façon, même si toshop fait des miracles maintenant :11:
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 17:52

Bienvenue sur le forum, si t'as des question t'hésites surtout pas.
Vraiment. J'insiste. * relook les jambes*

*Sort*
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 17:55

Heum modo dévoué ou homme subjugué ? hum
Je te remercie de ton accueil :)
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 17:56

Y a des deux. hum
Derien !
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 22:01

Moi je dis, "bédot" hum
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime19/9/2012, 23:21

Mais c'est Bidou :bimboum:
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime20/9/2012, 06:44

RAYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANE ! *Vient de tilter*

C'Roman en fait. golmut
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime20/9/2012, 08:01

MDR j'adore Vitaly XD

Tu vas voir Rayne, tu ne sera spas trop perdue... le staf de NE est bah au minimum membre ici ^^
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime20/9/2012, 12:55

Sérieux, quand je vois ton titre de topic, je lis « Là où il y a une femme, il y a du ménage. »

golmut
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime20/9/2012, 17:45

Ah, ouf, j'ai cru que j'étais le seul.

J't'ai pas dit bienvenue ? Oh, bah bienvenue ! :dédé:
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MessageSujet: Re: Noah - « Là où il y a une femme, il y a de la magie. »   Noah -  « Là où il y a une femme, il y a de la magie. » Icon_minitime

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