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 NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »

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MessageSujet: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 01:17

NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Muvm6o

Naamàh Lux Blackheart
Âge : 378 ans. Bien qu'elle n'en paraisse pas plus de 17.
Date et Lieu de Naissance. 14 Février 1616, Salem (Massachusetts)… Tout du moins, ce qui le deviendrait en 1626.
Nationalité. Américaine.
Nom de votre vampire. Giddeon d'Aiglenoir. Aujourd'hui, Elisius Cicéro… 
Date de la marque. Août 1632
État civil. Célibataire.
Lieu d'habitation. North, dans un petit cottage.
Métier. Étudiante en Anthropologie.
Étiquette qui vous est collé. Discrète. Naamàh n'est pas une jeune fille que l'on remarque immédiatement… Effacée, tout comme saurait l'être son vampire.
NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » 29au1id

Qui je suis
CES PETITS DETAILS QUI ME DEFINISSENT


TRAITS DE CARACTÈRE • « Acide • aguicheuse • avisée • bienfaisante • bienveillante • calculatrice • caractérielle • charmeuse • charnelle • délicate • discrète • douce • effacée • effrontée • érudit • farouche • féline • fragile • franche • gracieuse • habile • inaccessible • lunatique • mélancolique • meurtrière • nostalgique • prude • rancunière • redoutable • tactile • vengeresse … »

Elle aurait put être une créature des plus célestes, intouchable, inaccessible, adulée et vénérée … Être l’égale d’une reine de par sa douceur, sa bienveillance naturelle, sa grâce et sa délicatesse. Il n’en fut rien pourtant, ou tout du moins, l’on ne se souviendra de cette image qu’aux premières lueurs de sa vie, l’aube de sa jeunesse, au coucher de son soleil. Elle aurait put avoir un destin à nul autre pareil, mais les Moires semblèrent en décider autrement, la menant sur une voie qui la fragiliserait puis la briserait, jusqu’à la rendre craintive des hommes, puis méfiante.

Elle aurait put demeurer dès lors fragile et brisée, mais on la releva, lui rendant cette fierté qu’elle avait perdue, cette effronterie égarée, jusqu’à lui donner les moyens de ce venger, lui donnant cet aspect dangereux, farouche… Jusqu’à en faire une meurtrière bien trop discrète pour qu’on la retrouve. Et la rancune demeura, la rendant plus que jamais méfiante, lui ôtant à jamais le sourire des lèvres, ne lui permettant jamais de rire, la laissant dans ce sérieux si rare, dans ce mutisme des sentiments, ne lui permettant que d’être curieuse de ce monde qui l’entourait, de ses merveilles et des cultures… Lui intimant d’apprendre tout ce qu’il était possible, ne reculant jamais, avançant toujours, guidée par l’ange déchu.

Et les années déroulantes lui permirent de retrouver ce qu’elle avait perdue, cette grâce, cette bienveillance naturelle, ce besoin de comprendre, d’apprendre. Jusqu’à ce que tout lui soit rendue … de ses larmes à son sourire, de son rire à son cœur… Jusqu'à sa contradiction, ce paradoxe bien réel.



OCCUPATION DIURNE • Depuis quelques temps déjà, Naamàh semble occuper ses journées de par les études. Majoritairement en anthropologie, où les matières semblent réellement l’intéresser, et ce certainement du fait que sa connaissance en culture étrangère est à combler. Sans doute aurait-elle put se retourner dans le droit ou la biologie tant les progrès sont remarquables… Mais devenir avocat ou chirurgien ne l’a jamais réellement intéressé… D’autres part, sans doute aurait-elle put passer ses journées à ne rien faire, mais est-ce réellement le quotidien d’une personne dont l’adolescence reste figée sur ses traits ? Mais les études ne prennent pas toutes ses journées et l’adage « métro-boulot-dodo » ne semble pas faire partie de son vocabulaire… Ainsi, pour paraître une adolescente banale et n’ayant rien d’extraordinaire dans sa vie, travaille-t’elle dans cette petite boutique de vêtements de laquelle il est rare qu’elle ressorte sans un nouvel effet pour sa garde-robe. Une petite rentrée d’argent qu’elle pourrait expliquer comme utile à payer ses études, ou sortir le soir, ou mieux encore, payer le cottage dans lequel elle vit. Faibles explications auxquelles l’on croit pourtant… Une couverture agrémentée de quelques autres occupations tel le yoga, où elle accompagne certaines nouvelles amies, ou sports de combat pour « être capable de se défendre au cas où. » accompagné d’un regard de jeune fille innocente. Qui pourrait en douter ? Pas les simples mortels dont l’esprit ne se pose jamais de questions. Oui, aux yeux des humains, la sorcière désormais médium passe pour une jeune fille des plus banales, qui peut rendre service de par ses pouvoirs, que le temps semble affaiblir malgré toutes les mises en œuvres pour que cela n’arrive pas… Cela ferait alors une nouvelle occupation à ses journées, concoction de potions, révisions de certains sortilèges des plus moindres, tour de passe-passe aussi inutiles qu’amusants… Amuser les amis, n’est-ce pas ce que toute personne se doit de savoir faire ?

Et les journées s’accompagnent de nuits, aussi longues que fascinantes, aussi fascinantes qu’ennuyeuses… Contradiction à l’état pur. Sans doute pourrait-elle sortir dans ces fameux nouveaux night-clubs si celui avec qui elle vit s’y rendait, et pourtant, se contente de l’accompagner où qu’il aille, partage ses occupations avec lui… Ne le suivant pourtant jamais lors de ses nuits de chasse, préférant dès lors se coucher sur ses songes secrets ou regarder l’un de ses nombreux cartoons jusqu’à son retour. Et si les nuits sont longues, les jours qui suivent le deviennent alors. Mais la fierté de la demoiselle n’en prendrait –elle alors pas un coup si seulement elle l’avouait ? Le tout est un quotidien, une routine sans fin que l’on pourrait pourtant agrémenter de voyages de temps à autres, de montée d’adrénaline par des courses de vitesse, par de longues réflexions s’accompagnant de débats… Qui sait ? La recherche de la nouveauté est l’occupation la plus prisée de la jeune marquée… Et Dieu seul sait si elle y réussit…


MANIE, HABITUDE ET GOÛT •
Elle aime lire durant des heures, sans être dérangée. Ses lectures étant variées, dérivant de romans à livres d'études. De ce fait, elle possède une bibliothèque pleine d'ouvrages d'antan ou de la nouvelle ère, complète et qu'elle considère comme l'un de ses plus grands trésors. Les livres les plus anciens cependant, sont gardés sous vitrine afin d'éviter qu'ils ne s'abîment.
Son goût pour les arts et la musique la pousse à apaiser ce besoin de dessiner ou de jouer d'un instrument. Son choix s'est porté sur le dessin au fusain et dont elle n'a jamais montré le résultat à qui que ce soit, pas même son maitre, gardant ses œuvres dans des pochettes enfermées dans un coffre. Le piano et la harpe demeurent ses instruments de prédilection et il n'est pas rare qu'elle joue quelques morceaux quand l'envie l'en prend. Cependant, elle se refuse à chanter, bien que sa voix demeure une merveille à entendre.
Elle possède trois grandes passions. La première est immanquablement les cartoons, qu'elle collectionne depuis leur toute première sortie. Elle ne manque jamais un seul programme et n'hésite pas à les enregistrer si elle ne peut pas les voir, ignorant les moqueries de ses camarades. La deuxième est la moto, férue de vitesse, elle en possède quelques unes, enfermées dans un garage qu'elle ne sort qu'à certaines occasions. Quant à la troisième passion, il semblerait que ce soit les armes blanches. Naamàh possède une pièce emplie d'épées, de sabres, dagues et autres armes à lame tranchantes. Certaines sont des cadeaux, d'autres semblent être des trophées… Une passion qui à l'âge de la jeune fille. Par ailleurs, il semblerait qu'elle porte toujours deux dagues sur elle, très bien cachées mais toujours à portée de main. À croire que la méfiance ne la quitte jamais.
Elle a prit l'habitude de manger des céréales et de ne jamais boire le lait si celui-ci n'est pas parfumé.
Elle ne se laisse pas facilement approcher par les garçons, une crainte ancrée en elle depuis 362 ans.





CONVICTION. La découverte de l’existence des vampires, lycans et autres paraît être une excellente chose à première vue… Pourtant, même si une part de soulagement vint envahir la marquée qu’elle est, cette dernière fut rapidement remplacée par une méfiance sans nom, habitant tout son être, guidant ses pas et ses gestes. Car quand certains font étalage de leur amour pour les vampires, ou de leur particularité nocturne ou animale, elle demeure silencieuse, observatrice et des plus banales. Son point de vue demeure neutre lorsqu’on lui demande ce qu’elle pense de la révélation, et son regard lointain. De son plein gré, elle ne révèlera jamais son secret, son affiliation à un vampire, non par honte, mais pour préserver ce dernier, les protégeant au détriment de son existence, car tel est le rôle qui lui est assigné depuis sa seconde vie.

Etrangement cependant, sa seconde nature, médium, ne demeure pas inconnue de certains de ses camarades, à croire qu’elle pourrait commencer à faire confiance aux humains…


RELATION AVEC VOTRE VAMPIRE Si elle considéra le vampire qui la marqua comme son sauveur et comme un second père qu’elle respecta toute sa vie, il en est tout autre avec celui auquel elle est affilée aujourd’hui. Fascinée par ce dernier, en plus d’en être amoureuse sans réellement le croire, elle le fuit autant qu’elle cherche sa présence, dans une contradiction pure et difficile à comprendre. Par ailleurs, elle se lia charnellement à lui après plus de 362 ans de chasteté, un geste qu’elle ne comprend toujours pas, mais qu’elle ne regrette en rien.

SIGNES PARTICULIERS En plus de posséder des yeux d’une couleur unique, Naamàh possède quelques tatouages, dont certains sont apparentés à des runes de protection quand d’autres sont fantaisies liées à l’évolution. Par ailleurs, elle possède quelques piercings, une autre fantaisie qu’elle a pourtant choisie de ne pas montrer, par pudeur.


pseudonyme. Lunatic pleasure
âge. 21 ans, 22 soon
code du règlement.
avis général à propos du forum. Superbe naturellement, mais attention aux fautes d'orthographe dans les descriptifs.
avatar utilisé : Abbey Lee Kershaw.


Dernière édition par Naamàh L. Blackheart le 28/5/2010, 18:27, édité 33 fois
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NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Empty
MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 01:17

Une histoire extraordinaire
TOUTES CES EPREUVES ONT FAIT CE QUE JE SUIS


NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » 2j0xxrs

Chapter One
All the children grow up

14 février 1616 marqua le début d’une toute nouvelle vie dans ce qui serait quelques années plus tard, Salem ; connue aujourd’hui pour sa célèbre chasse aux sorcières, et à laquelle la famille la plus connue de l’époque n’échapperait pas ; … Les Blackheart, aristocrates de l’époque et famille respectable parmi toutes celles vivant dans le comté se préparaient à fêter un événement important, de ceux qui rassemblent jongleurs, poètes et musicien, fête où immense festin serait à l’honneur, autant que le vin et autres boissons alcoolisées, plus encore que la petite créature que l’on prénomma « Lumière ». En cette froide nuit enneigée, Mary Blackheart donna naissance à sa dernière progéniture, cadette d’une fratrie de trois frères dont l’aîné, Whisper atteignait tout juste la première dizaine, le second, Noctem, sept ans, et le dernier Thaddeus, venait tout juste de fêter ses cinq ans. Un homme aurait été comblé d’avoir tant de fils engendrés, mais la seule et unique fois où il versa une larme de joie et où il festoya sans retenue fut lorsque son plus proche valet vint lui annoncer que de son dernier engendrement résultait une fille. « Et la lumière fut. », demeura la seule réplique intelligible de Sir Albéric Blackheart qui ainsi, décida du prénom de sa cadette. Une étrange tirade en vérité, et si l’on avait put poser ce genre de question à l’époque où l’histoire se déroule, l’on aurait immanquablement demandé pourquoi. Interrogation à laquelle l’homme d’une quarantaine d’année aurait immanquablement répondu par : « Les filles font de bien meilleures sorcières. Redoutables et excellentes … Ainsi ma cadette sera. » Savait-il seulement que cette pensée serait sans aucun doute la plus juste ?

Il s’avéra que Lux Naamàh Mary Blackheart dépassa les plus grandes attentes du père, plus encore celles qu’il n’attendait pas… Sa beauté semblait dériver de celle des mortels : on l’envisagea à l’instant même où ses pupilles s’ouvrirent sur le monde, dévoilant un regard couleur lilas, aussi rare qu’envoûtant, et que l’on associa à un don des Feys ou de la nature ; une réponse à laquelle seuls les arbres généalogiques des Blackheart et de la famille de l’épouse sauraient répondre en vérité ; à cela, on ajouta sa peau demeurant dorée en toute saison, dérivant vers le caramel sitôt l’été aux portes du temps, cette grâce perpétuelle imprégnant chacun de ses gestes, ce rire s’échappant de ses lèvres rosées au dents aussi blanche que le nacre des perles… Néanmoins, ce fut la vivacité de la petite enfant qu’Albéric apprécia le plus, ce côté sauvageon qu’elle ne tenait pas de lui, mais bien de l’épouse et mère et que cette dernière semblait avoir donné en héritage à chaque enfant qu’elle avait mit au monde. Comment ne pas sourire ou éclater de rire en observant la petite fillette à la chevelure couleur des blés courir après un papillon ou un agneau les pieds nus et la robe bien souvent déchirée par endroits, participer aux jeux de ses aînés sans jamais montrer de couardise mais bel et bien la hardiesse qui ne lui incombait pas, n’hésitant jamais à se montrer plus dure que ces derniers pour se faire une place parmi eux lorsqu’elle se devait d’être cette cadette à protéger, cette sœur sur laquelle il fallait veiller et qui pourtant, de l’admettre le refusait. L’aîné lui-même ne savait remettre sa sœur à sa place, incapable de répondre au mordant de sa langue qu’un regard enjôleur agrémentait. Le second se voyait bien souvent mit à terre lorsque la jeune fille mêlait la ruse à ses paroles… Quant au dernier, il se voyait bien souvent compagnon de jeu de la demoiselle, et ce n’était jamais de poupées dont il s’agissait, mais bel et bien d’épées de bois. Un domaine dans lequel la jeune enfant se montra bien douée, certes moins bien que son aîné en ce qui concernait le maniement de l’épée, par ailleurs, l’affronter elle n’osa jamais, se contentant d’observer ce dernier, analysant ses parades et ses attaques, détaillant chacun de ses mouvements à tenter de les reproduire à l’abri des regards. Les arts de la guerre, cette tâche qui n’était pas pour elle, les siennes se résumant à apprendre les sciences, les lettres, les arts et l’étiquette. Fut-ce la curiosité ou la jalousie qui la poussa à apprendre à manier l’épée, le tir à l’arc et l’art de la perfidie ? Nul n’aurait sut le dire, pas même elle en l’époque…

Mais pourrait-on dire que cet apprentissage tacite et défendu ne lui servit jamais ? Ce serait offense que de croire telle sottise… puisqu’il s’avéra qu’elle était presque aussi douée que le premier aîné, ne le surpassant qu’au tir à l’arc, résultat de maintes années d’exercice et d’entrainement dans les sous-bois, où la fratrie ne devait jamais se rendre, par ordre de leur père… Ordre que la dernière née ne défiât que trop sans que jamais nul ne se sache, jouant de ses enjolivements innocents pour se tirer d’affaire. Mais plus encore, elle s’avéra être meilleure que ses frères dans le seul domaine où son paternel la prit sous son aile : la sorcellerie. Cet art ancestral qui l’habitait comme il vivait en chaque membre de la famille Blackheart … Aux côtés de son père, la fillette qu’elle était alors dévora la connaissance, chercha à percer les énigmes, les mystères et respecta les interdits de cet art… Tout autant qu’elle apprit à reconnaître les plantes et à s’en servir, à différencier les venins et à en faire des poisons ainsi que des antidotes, à jouer des sortilèges… Une discipline dans laquelle elle se sentait en osmose, où elle évoluait à un rythme qui lui était propre, et où ses parents se montrèrent plus que jamais fiers d’elle. La fierté… Était-ce vraiment ce qu’elle recherchait ? Non hélas, cette simple reconnaissance ne semblait lui suffire, l’ambition et le savoir seuls comptaient, ces deux qualités qu’elle tenait de son paternel… Ainsi chercha t’elle toujours à aller plus loin dans ses recherches, sans jamais franchir les limites, prenant bien garde aux dires de son sorcier de père dont l’expérience primait en rapport à la sienne…



NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » 16gwqhv

Chapter Two
Another mindless crime, behind the curtain…


Et les années continuèrent de s’écouler dans les sabliers du temps, laissant la petite fillette devenir une jeune demoiselle au charme des plus certains et dont la grâce et la délicatesse égalaient celles d’une reine. On la vit abandonner sa robe de moineau pour celle du plus pur des cygnes, et son innocence n’avait d’égal que sa douceur. Pour certains, elle était l’image parfaite et incarnée d’une quelconque déesse païenne de Grèce ou d’Italie… Vénus ou Aphrodite sans doute… A moins qu’elle ne soit la future Hécate, cette déesse si souvent associée à l’ombre et la mort… Et aussi belle puisse t’elle être, on la sut aussi puissante sorcière… Bien moins que son père, mais bien plus que les autres femmes qui se prétendaient l’être. Et bien que cette information demeurât secrète aux oreilles les plus futiles, l’annonce de sa douceur et de son éclat eurent tôt fait le tour du continent sur lequel elle résidait, et par delà les mers encore, comme Hélène jadis. Mais nul Paris ne vit jamais grâce à son regard unique, pas plus qu’à ceux de ses frères ainés, conservant jalousement l’innocence de leur cadette des profanateurs. Ne leur en déplaise, la demoiselle se montrait particulièrement liée à sa fratrie, au point que l’on crut l’inceste naitre à chaque baiser qu’elle déposait avec douceur sur la joue de chacun d’eux, que chaque main déposée sur l’avant bras de l’un d’eux n’était que la couverture de bien d’autres plus cajoleuses… Le premier aîné tout particulièrement fut l’objet de bien des attentions et de ragots, et sur lesquels le concerné riait à pleine gorge … Car comment imaginer que ses mains puissent s’attarder sur la peau quémandeuse de sa cadette ? Comment même croire que ses lèvres puissent profaner les siennes et dévorent les merveilles que ses robes légères cachaient habilement ? Mais hélas, comment ne pas y croire lorsque l’on observait à la dérobée son regard océan s’attarder avec jalousie sur la Lumière, lorsqu’il l’invitait à danser, sachant pertinemment son goût pour l’amusement. Était-ce alors l’amant qui la faisait tournoyer, prenant garde à ne pas écraser ses pieds continuellement nus ou était-ce le frère veillant seulement sur la vertu de sa sœur à en écarter tous les prétendants inconvenants d’un sombre regard qu’il agrémentait de quelques menaces ? Il eut pourtant suffit d’un élixir de vérité pour dénouer le vrai du faux, mais à cela, ni l’ainé ni la cadette ne désirèrent se plier, l’un déclarant sur l’honneur que nul inceste ne verrait le jour en cette demeure quand l’autre réclama que sa mère vienne chercher la preuve que sa valeur demeurait encore intacte et ne serait offerte qu’au mari qu’on lui choisirait. Une humiliation à laquelle les concernés se plièrent et sur laquelle la vérité éclata. Aucun n’avait fauté, et cela suffit à faire taire les bruits qui couraient… Mais n’attisa jamais les jalousies envers l’aîné ni même l’amour que l’on portait à celle qui demeurait inaccessible.

Et une autre année s’écoula lentement dans les rues de la nouvelle Salem, et très vite, on fêta les quinze ans de la délicieuse Lumière, sans se douter un instant que par delà les sept mers, la réputation de cette dernière était parvenue aux oreilles de la plus détestable des créatures, ce pirate au cœur de pierre ne méritant pas même le titre de corsaire… cet homme que l’on associait bien trop souvent au célèbre démon Leviathan… Celui que tous sur les mers craignaient, celui que l’on ne craignait que trop de croiser sur terre. Sahab, celui que l’on surnommait « le pirate de la mort ». Les hommes le fuyaient quand les catins le rêvaient dans leur lit, et ceux qui croisaient son chemin ne restaient pas longtemps vivants à ce que l’on racontait… Ce qu’il désirait, on le lui cédait sans même marchander, craignant bien plus ses lames affutées que son regard abyssal. Il était aux portes de la « Nouvelle Néerlande » lorsque le nom de Lux Blackheart fut prononcé devant lui… « Une femme parmi tant d’autres… » esquissa-t’il sans vouloir en entendre plus parler… « C’est la plus belle demoiselle de Salem et la plus puissante des sorcières à ce que l’on raconte … A peine âgée de quinze printemps… On raconte qu’elle est à marier. » Sur ce beau discours, le jeune pirate qui n’avait pas encore la trentaine ne retint qu’un mot… Sorcière. Quel plus beau gain que celui d’avoir une sorcière à son bord, prête à satisfaire le moindre de ses caprices d’ambition ? Ne doutant pas même d’une réussite, il mit cap sur Salem, cherchant mille et une façon d’approcher la créature que l’on disait céleste. Se ferait il gentilhomme quémandant la main de la princesse du ciel ou choisirait il une voie bien plus sombre ?

L’on comprit qu’il choisit la voie la plus sombre lorsque la cadette de la famille ne revint jamais de sa promenade nocturne, ne laissant derrière elle que deux indices d’enlèvement : son propre sang accompagné du médaillon qui ne l’avait jamais quitté depuis son enfance, et dont la chaine semblait avoir été arrachée du cou de la demoiselle. Hélas, l’on partit à sa recherche bien trop tard, sans jamais se douter qu’elle eut put être sur l’un des navires qui venait de quitter le port, encore inconsciente et ô combien plus que jamais en danger entre les mains d’hommes qui n’avaient jamais que goûté la saveur des putains leur ouvrant les cuisses … Et la belle innocente ne le comprit qu’à l’instant où elle s’éveilla dans l’une des cabines face à un nain muet guettant chacun de ses moindres gestes. Ce fut au moment où elle ouvrit les yeux que ses ennuis commencèrent, curieux, effrayés et pourtant défiant… Mais ce ne fut qu’une fois devant le capitaine du navire qui la menait loin de chez elle qu’elle sut qu’elle ne repartirait jamais de cette geôle … « Pour une fois… ce que l’on raconte est vrai. La plus belle demoiselle qu’il m’eut été donné de rencontrer. Ses yeux sont étranges il est vrai… On raconte que tu es la plus puissante des sorcières malgré ton jeune âge. Est-ce la vérité ? » . « Les ragots ne sont que les ra… » n’eut-elle terminé sa phrase qu’une violente gifle la mettait à terre… « Je ne t’ai pas donné la permission de parler sorcière ! Tu es ici par ma seule volonté, souviens t’en ! Et ma volonté est telle que tu vas me servir comme les bouseux qui sont à mon bord. Tu vas m’aider, à trouver certains trésors que l’on raconte perdus… je suis certain qu’une sorcière comme toi n’aurait pas de mal à les retrouver n’est-ce pas ? Qu’en dis-tu ? » Un seul signe de tête négatif scella son sort. Servir les ambitions des autres n’était pas de son ressort… Que n’eut elle alors accepté ? Car ignorait-elle la punition qui lui serait infligée, ô belle naïve ? Et ignorait elle que cet homme là désirait posséder tous les trésors quels qu’ils soient ? Et quel plus beau trésor que de posséder celui même d’une femme que l’on juge désirable ? Ce ne fut qu’une fois qu’on lui attacha les mains et que l’on arracha sa robe avant de la plaquer contre le mat qu’elle comprit… Cinq coups de fouets pour la rendre plus docile, cinq autres pour avoir osé braver le capitaine du navire sans que jamais elle ne desserre les dents tandis que la peau de son dos se zébrait de marques carmin… Mais la punition ne s’acheva pas encore… la menant à se retrouver à moitié nue dans la cabine de celui qui l’avait fait enlever, n’appréciant jamais le contact de ses lèvres sur sa peau, lui exhortant des tremblements excitant le monstre au charme pourtant certain. « Désormais, tu m’appartiens sorcière. » furent les seuls mots qu’elle perçut alors que les larmes brouillaient son visage, alors que les mains du seul homme présent dans la cabine ôtaient le reste de ses vêtements … alors qu’il lui forçait à écarter les cuisses pour arracher ce qu’elle possédait de plus précieux … Alors qu’elle le sentait en elle tout en cherchant à se débattre, hurlant de toute son âme… Souillée mais pas encore brisée, violée et battue. La mort elle-même était bien plus souhaitable que de demeurer en vie… mais elle ne vint pas, ne lui laissant que ses larmes en diamants briller sur ses joues alors que son violeur se retirait, embrassant sa poitrine à la façon d’un enfant qui cherche encore à téter. Était-elle prête à le servir désormais ? Et la réponse demeurait négative, mais elle ne mourrait pas lui avait il susurré à l’oreille… Il la briserait jusqu’à ce qu’elle accepte, jusqu’à ce qu’elle lui cède de son plein gré. Qu’elle supplie pour lui plaire et le servir… Il la donna en pâture à ses hommes, la jetant sur le pont sans plus se soucier de ce qui lui arriverait … Ses ordres étaient clairs, elle ne devait sous aucun prétexte mourir. Elle chercha à mener l’esprit de ces porcs dans la confusion la plus totale, y parvenant malgré la blessure morale, chercha à s’enfuir avant que le nain qu’on lui avait assigné pour compagnon ne l’enlève avant même qu’elle ne parvienne à se jeter par dessus bord. Cet homme de petite taille qui serait son unique confident, son unique compagnie et qui jamais ne chercha à profiter d’elle…

Et les jours s’écoulèrent, et Sahab tint parole, cherchant à briser la jeune fille jusqu’à ce qu’elle lui cède, s’emparant d’elle chaque soir sans ménagement, laissant ses hommes terminer le travail par la suite sans qu’elle ne puisse plus mener leur esprit dans la confusion, hurlant sous chaque assaut qu’elle subissait, jusqu’à s’évanouir lorsqu’elle n’avait plus la force de supporter la douleur… Et les nuits défilèrent sans que jamais ce manège ne cesse, jusqu’à ce qu’au bout de trois mois, à bout de patience sans doute, Sahab ne parvienne finalement à ses fins, brisant sa poupée sous les viols, allant jusqu’à la battre jusqu’à la mort, lui arrachant ce « oui » qu’il attendait depuis le début. Et la mort ne voulait toujours pas de la belle, la narguant de voiles devant ses pupilles violettes, jouant avec son souffle et son cœur, n’apaisant jamais cette douleur qui lui tiraillait les entrailles et brûlait son entrejambe. « C’est ainsi que l’on brise une sorcière. » clama le Prince des mers, menant son ange déchue sur le pont afin qu’elle exécute ce qu’il lui avait demandé… Ainsi découvrit il l’un des fameux trésor que l’on avait perdu au fond des océans… Mais le cauchemar ne s’arrêta pourtant pas là, les ambitions de l’homme demeurant toujours grandissantes, jusqu’à obliger un jour la sorcière abusée à passer un pacte avec un démon … Et l’on aurait put croire qu’elle l’avait fait tout en pensant qu’un jour, ce démon en viendrait à chercher à la tuer pour briser le lien qui les liait … Elle y avait songé, véritablement … autant qu’à cette demande de tuer l’équipage entier qui avait abusé d’elle, plus encore, ce pirate qui la prenait de force toutes les nuits dans sa cabine, à en faire une épouse implicite qui lui donnerait un bâtard héritier. Hélas… jamais ce serment de mort ne fut exaucé, à l’instar de celui de Mère Nature, qui en vint à emplir les entrailles de la jeune demoiselle d’un enfant dont elle ne voulait pas pourtant …

Mais la roue du destin peut parfois changer de sens, peut-être est-ce là l’œuvre des trois Moires, honteuse de cette destinée qu’elles avaient faussé par pure jalousie sans doute, menant ainsi la route de la douce prisonnière devant celle d’un autre homme que le temps ne semblait vouloir abîmer. Ce même homme qui la tirerait de son terrible destin pour un autre lié à l’éternité … Giddeon d’Aiglenoir.


FLASH-BACK
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Un hurlement déchira le silence pesant… De nouveau, le souffle de la jeune fille se fit court, saccadé et douloureux. Son ventre était bas, signe que d’ici quelques heures, elle mettrait le bâtard de son violeur au monde, cet enfant qu’elle ne désirait ni voir et auquel elle ne se sentait pas même liée. Tout en elle était douloureux, de sa mâchoire à son bas ventre… Une fois encore, Sahab y était pour quelque chose, provoquant de ce fait l’accouchement qui n’aurait du être que dans quelques semaines encore. A ses côtés, un homme de petite taille ; muet de naissance et que l’on avait rendu sourd pour avoir tenter d’aider la jeune fille à s’échapper ; s’activait, cherchant à soigner les blessures provoquées par son capitaine tout en veillant à mener la grossesse à terme sans que l’enfant ni la mère ne subissent la visite de la faucheuse. Une tâche qu’il devait mener à bien s’il ne voulait pas lui même servir de repas aux poissons. Ni elle ni lui ne devaient faillir dans la mission qui leur était accordée, et déjà la faucheuse leur semblait bien plus douce qu’elle ne l’avait été…

Un nouveau hurlement franchit les lèvres tuméfiées de celle qui autrefois avait été d’une beauté enviée, et déjà on lui écartait de nouveau les cuisses, lui arrachant un tremblement qui en disait long sur le cauchemar qu’elle avait vécu sur ce sombre navire, sur les outrages qu’elle savait sans fin jusqu’à ce qu’elle trépasse… Et la vie semblait quitter sa frêle silhouette, pas la sienne hélas, mais celle qu’elle préférait voir au fond de l’eau. Le nain qui lui servait d’unique compagnie eut un signe qu’elle ne put que comprendre, l’obligeant à serrer les dents tandis qu’elle poussait son corps à rejeter l’intrus qu’elle avait contribué à engendrer. Et lorsqu’au bout d’un temps qui lui parut interminable, elle se sentit libérée, la tension qui tenait la sorcière s’évacua, revenant pourtant aussitôt qu’elle entendit le cri du monstre qu’elle venait de mettre au monde. Son enfant était né sous les traits d’un garçon et déjà des larmes de honte glissaient sur les joues de celle qui n’était pas encore âgée de dix-sept ans. Et pourtant, ne vint elle détourner le regard lorsque le fils lui fut présenté pour qu’on le nourrisse, qu’on le réconforte de la manière que seule une mère savait faire… Elle ne voulait pas de lui, pas plus qu’elle reconnaissait ce nouveau statut qui lui était conféré… Les choses allaient de mal en pis… Et pourtant que n’eut elle cette faiblesse en entendant la chair de sa chair hurler à la mort sa famine et le désintérêt de sa génitrice, lui arrachant des sanglots lui rappelant combien elle était faible alors qu’elle prenait le nourrisson dans ses bras, venant coller ses lèvres à son sein afin qu’il s’abreuve du lait maternel. Pourquoi ne mourût il pas alors qu’elle lui donnait naissance, quand en l’instant elle était incapable d’ôter la vie à cet être innocent.

Et lorsqu’enfin il fut rassasié, le petit garçon lui fut de nouveau enlevé pour être déposé sur un tas de couverture qui lui servirait de berceau. Mais de nouveau les pensées de la jeune fille étaient ailleurs, loin de cet enfant qui allait s’endormir d’ici quelques instants … quelques minutes. Ce fut cet instant que choisit un homme pour entrer dans la cabine dans laquelle l’odeur du sang semblait persister… Sans doute était-ce cette dernière qui l’avait attirée… « Que veux-tu vampire ? » Avait elle laissé échapper, sans même jeter un regard à l’homme bourgeoisement vêtu et dont le regard ne se détachait pas de la faible silhouette bien trop abîmée pour qu’il laisse en si piteux état. « J’ai entendu ta détresse, et je viens t’offrir la possibilité de te venger de tes geôliers. »… Ces simples paroles suffirent à relever le regard étrange de la sorcière sur cette créature que l’on n’appréciait guère en tant qu’humain. Se redressant doucement, l’adolescente toisa l’homme qui ne paraissait guère plus de trente-cinq ans mais qui devait en avoir bien plus. « Je t’écoute. »… « Je peux faire de toi un vampire, mais alors tu perdrais tous tes pouvoirs de sorcière, comme tu t’en doutes. Ou alors, tu peux devenir ma servante, celle qui veillera sur mon repos diurne… En échange, je t’offre l’éternité et les armes pour te venger de ceux qui t’ont fait outrage… » Était-ce là une proposition qu’il fallait refuser ? Esclave, elle l’était déjà, et pourtant, tout semblait lui indiquer qu’il valait mieux être l’esclave de cet homme-là que de demeurer un instant de plus sur ce navire de mort. Un imperceptible mouvement de tête vint marquer l’accord du nouveau contrat, alors que déjà la créature nocturne s’approchait de la sorcière, l’enveloppant de ses bras avant de la soulever avec toute la délicatesse du monde, veillant à ne pas éveiller la souffrance qu’elle éprouvait déjà. Son regard alors se posa sur le nain dont la main était posée sur la dague qui avait servit à couper le cordon reliant la vie de sa protégée à celle de son enfant. « Tu peux me suivre et demeurer en vie, ou rester ici et subir le courroux de ton capitaine. Cette jeune fille ne reviendra pas sur ce navire. » Un mouvement de tête pour une réponse accordée. « Prends l’enfant et suis-moi. » … « Débarrassez-vous en… Je ne veux pas de ce bâtard. » Nulle hésitation en ces mots, seule la lassitude vint se loger dans le regard lilas de la créature. Elle entendait que l’enfant soit rendu au Roi Triton où à Neptune, quelle différence ? Sa vengeance était en train de prendre forme dans son esprit brisé, et elle entendait bien mettre fin à la vie de ceux qui avaient porté la main sur elle … Y comprit leur descendance… Alors la première traitrise vint à naitre : et contrairement à ce qu’avait quémandé la mère, le fils de Sahab fut déposé sur le seuil d’une maison dont les occupants ne parvenaient à avoir d’enfants à qui confier leur immense héritage.


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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 01:18

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Chapter Three
There was many years ago… 


Quelques années s’écoulèrent à partir de l’instant où Giddéon d’Aiglenoir tira Lux Blackheart de son enfer, prenant alors soin de cette dernière, soignant chacune de ses blessures à la manière d’un père aimant son enfant, jusqu’à la marquer comme sa servante humaine, la séparant dès lors du démon auquel elle était liée en plus de la vie qu’elle avait connue. Comme elle le jura à leur première rencontre, elle ne chercha jamais à s’enfuir, et ne posa jamais de questions quant à l’avenir qui l’attendait à l’unique condition que le vampire lui fournisse les armes pour détruire ceux qui avaient osé l’enlever un an et quelques mois plus tôt, l’arrachant à sa famille de façon brutale, abusant d’elle à la moindre occasion jusqu’à la briser. Avant qu’elle ne mette sa vengeance à exécution pourtant, le vieux vampire la mena en France, afin qu’elle se rétablisse de toutes les blessures dont elle était atteinte, autant physiques que morales, cherchant par cette même occasion à apaiser son cœur de moineau s’affolant au moindre mouvement brusque. Pourquoi avait-il prit une jeune fille telle qu’elle en pitié lorsqu’elle priait chaque nuit la faucheuse de venir l’enlever ? Lui-même n’aurait sut le dire … mais au bout de deux ans pourtant, la douce créature qu’elle avait été refit peu à peu surface, osant se promener sous l’éclat du soleil sans que pourtant elle ne veuille porter le nom de ce rayon avec lequel elle était née, ne répondant plus qu’au doux prénom de Naamàh, ange déchue selon certaines légendes. Fut-ce à cet instant que la poupée brisée décida de reprendre l’arc et que son maitre la mena en Perse afin qu’elle y apprenne certains arts de l’épée qu’elle n’aurait jamais connue dans la douce France de l’époque ? Et parce qu’elle ne connaissait pas ces arts, l’apprentissage fut aisé bien que difficile malgré tout. On lui apprit l’habileté des Hassassins, ces guerriers de Hassan dont l’activité principale demeurait les assassinats, première marche de sa vengeance si habilement calculée, destructrice.

Alors les premiers assassinats commencèrent, dans le port de Marseille tout d’abord, où le navire de ses cauchemars avait accosté. Quelques marins de son ancienne vie y trouvèrent la mort, poignards plantés dans le cœur. Ces hommes sans importances qui pourtant avaient eu le malheur de souiller la sorcière. D’autres trouvèrent la mort dans d’autres ports, de diverses manières, et les superstitions vinrent alors effrayer ces quelques pirates à l’esprit fragile. Il fallut sept longues années pour que les pirates du navire maudit ne périssent d’un esprit vengeur, le châtiment s’achevant sur le capitaine Sahab… Le seul homme auquel Naamàh eut le courage de faire face, venant le surprendre durant son sommeil dans cette cabine maudite qui avait abrité ses cris et gémissements de douleurs autant que les râles de plaisir de l’homme dépourvue de toute morale. Une dague sous la gorge pour une pointée sur le cœur, à attendre le réveil du trentenaire, à planter son regard dans le sien, à susurrer les dernières paroles de haine, à prendre ce malin plaisir à annoncer la mort subite de l’enfant qui aurait dû être leur … jusqu’à recevoir elle même un coup de poignard. « Die and come with me in Hell. » furent les dernières paroles du pirate avant que son cœur ne cède sous une lame aiguisée. Mourir à ses côtés elle aurait sans aucun doute put le faire … mais alors l’histoire n’aurait plus de raison d’être… La douleur d’un marqué est celle du maître, ainsi la belle témoigna t’elle de sa souffrance, expiant quelques prières à quelconque Dieu, ramenée chez elle dans les bras de celui qui la sauva bien plus d’une fois, et de bien des façons possibles…

Et Salem refit son apparition aux yeux de la belle, plus belle que jamais, plus grande … différente de ses souvenirs. Une décennie s’était écoulée depuis son enlèvement, et sa demeure elle-même avait changée, tenue dès lors par l’ainé de sa fratrie qu’elle rencontra lors d’une nuit, au pied de l’arbre où ils aimaient se retrouver autrefois. Le souci avait marqué son visage quand elle n’avait pas changé à ses yeux, demeurant cette adolescente qu’elle était à l’époque, passant pour un fantôme du passé. Morte, elle l’était depuis le premier jour de sa disparition, confessa t’elle dans un souffle, recueillant les larmes de son aîné du bout des lèvres, jusqu’à glisser ses lèvres sur les siennes, dans le baiser chaste d’une sœur à son frère, pleurant avec lui ces non-dits qui ne seraient jamais avoués, pleurant le décès d’une mère qui n’avait pas supporté la disparition de sa cadette, la folie d’un père de n’avoir jamais su où se trouvait son rayon de lumière… pleurant sur les adieux définitifs.

Alors le temps s’écoula, les mois se changeant en années, les années en siècles… Et le vampire et sa marquée visitèrent de nombreux pays, s’installant pour quelques temps dans certains, laissant les deux curieux en apprendre un peu plus sur la civilisation, la curiosité venant étreindre la jeune sorcière en son sein, l’intimant à apprendre certains arts, à comprendre la culture de ces contrées jusqu’à s’en imprégner… Et l’art des Geishas n’eut plus de secrets pour la demoiselle qui se plut à jouer de ces atouts-là sans jamais céder à un homme, comme si une vie d’éternité ne suffirait jamais à racheter la vertu volée… Pas même le secret des concubines de Siam ne résista à la curiosité de la douce créature, encore moins le talent des shinobis… Et la musique devint une source d’abandon, autant que la peinture… Mais l’art de la sorcellerie toujours demeura sa matière favorite, et voyager à travers le monde renforça ses connaissances, combla certaines lacunes, et lui permit de ne jamais perdre ce don qu’elle possédait et qui pourtant était devenu bien plus faible que lorsqu’elle était encore simple humaine. Et ce fut en 1960 que son monde bascula…


FLASH-BACK
---------------------------------------------------
Un sanglot quitta les lèvres de la délicate jeune fille, bordant ses yeux violets de perles d’eau prêtes à tomber. Depuis quand n’avait elle pas pleuré ? Depuis le décès de sa famille en vérité, depuis le procès des sorcières de Salem où le reste de la famille Blackheart n’échappa pas, menant ses trois frères au bûcher, précédés de leurs femmes et de leurs enfants. Nulle larme n’était plus jamais venue couler le long de ses joues dorées, et nul sourire n’était jamais venu orner ses lèvres. « Vous ais-je déçu de quelques manières que ce soit ? Êtes-vous donc lassé de moi pour vouloir ainsi m’abandonner à un autre ? » … « Calme-toi ma petite… es-tu donc si pressée de rejoindre le néant ? Je t’offre une chance de continuer à vivre. Le monde ne me satisfait plus, mais je sais que tu demeures curieuse de tout ce que tu ne sais pas encore… »… « Mais que vaut la vie et ses secrets si vous n’êtes pas là pour les partager avec moi ? Laissez-moi venir avec vous. »… « Est-ce vraiment ce que tu veux ma petite ? Elisius sera aussi bon avec toi que j’ai pu l’être… Et j’ai entièrement confiance en lui. Il saura te traiter comme je l’ai fait et bien mieux encore. » Une discussion qui ne valait pas la peine d’être continuée, car jamais la douce Naamàh n’obtiendrait gain de cause… Elle savait que celui qu’elle avait toujours considéré comme un père ne lui mentait pas, il ne le ferait jamais, elle en demeurait certaine. Si ce Elisius était fait pour elle, alors elle le croyait et ne pouvait que se conduire comme elle l’avait toujours fait. Pourtant… Pourtant quelque chose la dérangeait, activant cette méfiance endormie. Il n’était pas comme ces autres vampires qu’elle avait put rencontrer, il avait ce quelque chose en plus, la fascinait comme jamais nul autre ne l’avait fait, jusqu’à pousser sa raison à lui intimer de ne pas demeurer seule face à lui. « Ta lumière te quitte ma petite… Il est temps pour toi de la retrouver, et je demeure certain qu’Elisius sera parfait dans le rôle de la lanterne servant à te loger… Laisse lui une chance. » Un imperceptible acquiescement, alors qu’elle baisait la main de son maitre, jusqu’à se lever pour quitter la pièce… Le soleil n’allait pas tarder à se lever, et la sorcière voulait absolument assister au lever de ce dernier sur ces contrées qu’étaient les Indes, terre d’épices et de mystères…


FLASH-BACK
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Une nouvelle fois, la fièvre l’emporta, la clouant à son lit dont elle ne cessait d’écarter les draps puis de les remettre, ne sachant jamais si elle avait trop chaud ou bien trop froid. De nouveau, une nausée bien trop forte l’obligea à se redresser, jusqu’à rejeter le dernier repas qu’elle venait d’avaler dans une bassine. Des semaines que ce manège durait et déjà elle n’en pouvait plus, maudissant dans toutes les langues qu’elle connaissait les deux vampires responsables de cette situation. Attrapant le verre d’eau qu’on lui tendait, la sorcière but une gorgée dans le but unique de se rincer la bouche avant de rejeter le contenu dans la bassine, puis d’avaler d’un trait le liquide insipide. Se laissant de nouveau retomber sur l’oreiller avec lassitude. La dernière fois qu’elle avait été malade et clouée de la sorte remontait à l’unique fois où elle avait eut le malheur de tomber enceinte… un trouble qui la gagna l’espace d’un instant, sitôt brisé par une voix douce et suave qui la mettait bien souvent dans tous ses états, dérivant de la honte à une gêne plus légère pour s’achever sur le choix unique de l’ignorance. « Cela finira par aller mieux … Il faut laisser du temps au temps. » Tel était le conseil de ce nouveau maitre, celui qui lui faisait boire son sang pour effacer les marques du premier vampire qui avait prit une place importante dans la vie de la jeune fille. « Comment pourrais-je vous apprécier par la suite alors que vous me rendez malade et m’intimez la profonde envie de vomir ? » Des paroles à double tranchant certainement, mais dont elle n’en pensait qu’un sens. « Lux, soit plus conciliante… », et les yeux violets de la sorcière dérivèrent sur Giddéon, dont le sourire ancré sur les lèvres en disait long sur ce qu’il pensait. « Pardon. Pour ma défense, je préciserai qu’il s’agit de votre faute à tous deux. » laissa t’elle échapper avant qu’une nouvelle crampe d’estomac ne lui arrache une grimace de souffrance, l’obligeant dès lors à agripper les draps. « Je vous hais. », ne put-elle réussir qu’à formuler entre ses lèvres blêmes, fuyant le regard des deux vampires, unique indice que ses mots n’étaient que mensonge, aussi faible soit-il.


Dernière édition par Naamàh L. Blackheart le 28/5/2010, 13:47, édité 26 fois
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 01:18

test rp.

Huit heures du matin, et le poste de télévision hurlait son ramassis d’idioties, ces cartoons que la jeune fille à la longue chevelure dorée adulait depuis leur toute première sortie, ne manquant jamais d’enregistrer ces derniers si elle ne pouvait les regarder. Une passion dont elle en assumait le semi ridicule, ignorant dès lors les remarques de ces amis qu’elle avait réussit à se faire à l’université, ignorant les railleries de celui avec qui elle partageait désormais un demi-siècle de vie. La chevelure encore humide et dérivant jusqu’à ses reins, une serviette entourant son corps que l’on ne pouvait que deviner nu, et sur lequel quelques gouttes d’eau s’attardaient, la jeune fille au regard unique se laissa tomber dans le canapé, jusqu’à s’asseoir en tailleur, avant d’enfourner une cuillerée de céréales au chocolat dans sa bouche. A la voir ainsi, on ne pouvait que croire à une adolescente, et pourtant, trois-cents années et quelques autres marquaient sa vie, ne lui laissant que pour couverture les traits de sa jeunesse, fins et immaculés, ses seize ans en vérité. Machinalement, elle termina son petit déjeuner, ne laissant que le lait au fond du bol, ce liquide dont elle détestait le goût s’il n’était pas parfumé, avant de se lever, veillant l’heure comme si le reste de sa journée en dépendait. N’était-ce pas le cas après tout ? Son emploi du temps était chargé, entre ces études en anthropologie qu’elle avait choisie, une voie ne visant qu’à occuper ses journées et à comprendre l’humanité, ses rites, ses symboles et pourquoi pas comprendre ces autres personnes, lycans et vampires, dont elle n’avait jamais ignoré l’existence, étant sorcière de nature et de ce fait, bien peu ignorante des caprices de la vie… Par la suite, elle irait sans aucun doute à son lieu de travail, ce petit magasin de vêtements qu’elle ne quittait jamais sans un nouveau top ou pantalon, et qui ne lui servait qu’à combler son temps, gagner un peu d’argent pour meubler le petit cottage qu’elle possédait, et par dessus tout, passer pour une jeune fille des plus banales.


Car depuis la grande révélation… Rien n’était réellement pareil. Les vampires avaient fait irruption un peu partout, possédant des night club qu’elle évitait soigneusement ou bien d’autres endroits que les humains et lycans aimaient fréquenter. Les lycans aussi avait fait surface, continuant pourtant à cacher leur nature au risque de prendre une balle en argent en plein cœur… Rien n’était pareil désormais, il fallait prendre encore plus de précautions, car si les vampires et les lycans pouvaient circuler librement… il n’en demeurait pas moins que désormais, les chasseurs et autres avaient fait leur apparition, bouleversant le quotidien. Si l’on découvrait son secret, que pourrait-il lui arriver ? Elle qui partageait sa vie avec un vampire pour lequel elle ferait n’importe quoi, qu’elle protègerait au détriment de sa propre existence. Cela devenait une évidence : nul ne devait jamais connaître son secret, un serment qu’elle jurait de ne jamais trahir. Mais comment expliquer le fait que ses traits n’évoluaient pas comme ceux de ses camarades ? Comment expliquer ses éternels dix-sept ans ? Elle n’en avait encore pas la moindre idée, et la seule explication qu’elle pouvait fournir était cette avance qu’elle possédait sur ses camarades. Une explication qui ne pourrait pourtant pas durer. Était-ce le moment d’y songer ? Pas encore, et pourtant, un léger soupir glissa hors des lèvres de la jeune fille, alors qu’elle laissait sa serviette glisser sur ses hanches pour s’échouer au sol. Il était temps de se préparer, temps d’affronter le dehors et de prier pour que l’esprit des êtres mortels avec qui elle partageait sa vie demeure encore endormi, et qu’aucun soupçon ne vienne jamais l’éveiller. Attrapant quelques affaires au hasard, elle ne prit pas la peine de sécher ses cheveux, pas plus que de peindre son visage de ce maquillage que toute fille de son âge adulait, ne se contentant que d’attraper son sac de cours, son ordinateur qu’elle glissa au fond de celui-ci, puis de se glisser dans un endroit connu d’elle seule, et qui protégeait celui pour qui elle ne pouvait plus cacher sa fascination. Endormi il était, et pourtant, irradiait de ce charme contre lequel elle ne pouvait rien, la laissant toujours rêveuse, quand éveillé, elle semblait constamment le fuir pour des raisons obscures et qu’elle ne comprenait pas. S’approchant doucement de celui qui avait sombré dans un sommeil de mort, elle ne déposa qu’un léger baiser sur ses lèvres, humant son parfum qui lui faisait d’ores et déjà tourner la tête avant de repartir aussi rapidement qu’elle n’était arrivée. Au dehors, le soleil réchauffa doucement son visage avant qu’elle ne disparaisse dans sa voiture, direction l’université. Aujourd’hui serait un jour comme les autres, c’était la seule pensée dont elle désirait faire une certitude.


famille.

Père : Albéric Drahkus Blackheart : Puissant sorcier de son époque et issu d'une noble famille de sorciers pur sang. Né en 1573, il mourut en 1646 des suites de sa folie.
Mère : Mary Georgia Blackheart, née Galdwen. Sorcière dont l'un des lointains ancêtres était un Fay qui retourna dans l'outre-monde. Elle mourut en 1634 de chagrin.
Fratrie : Whisper Blackheart : Aîné. L'histoire ne le dit pas, et il ne l'avoua jamais, mais il était amoureux de sa cadette. Un non-dit que les lia secrètement, sans que jamais ils ne se l'avouent pourtant. Il se maria cinq ans après l'enlèvement de sa sœur, après avoir remué ciel et terre pour la chercher. De son mariage, il eut trois enfants, dont aucun ne survécut à l'inquisition.
Noctem Blackheart : Second de la fratrie. Il aurait put être un grand sorcier si la magie l'avait intéressé, mais son esprit se tourna vers les armes. On raconte qu'il sombrât dans la rage du guerrier après l'enlèvement de sa cadette et que celle-ci ne se calma jamais, n'épargnant pas sa femme ni ses enfants. Ces derniers moururent de la même façon que leurs cousins.
Thaddeus Blackheart : Troisième frère, très proche de Lux. Ni les armes ni la sorcellerie ne l'intéressèrent jamais, préférant la poésie et la musique. Il devint un grand poète de son époque et parcourut le monde. Il mourut sans s'être marié.

Edward Kingsley : Le fils de Lux et du célèbre pirate Sahab. Cette dernière ne le connut que le temps de quelques heures, avant d'ordonner à son sauveur de se débarrasser de lui, entendant par ce mot, de le tuer. Elle ignore encore qu'il survécut et donna à son tour naissance à d'autres enfants.

Giddéon d'Aiglenoir : Il fut le vampire qui tira Lux de son enfer, celui qui la marqua et qu'elle considéra comme un second père. Il quitta la vie en 1960, confiant la jeune fille à un de ses plus proches amis : Elisius T. Cicéro.

Jéricho Kingsley : Descendant de Naamàh et sorcier. Il est chasseur de sang, et tous deux ignorent encore qu'ils sont apparentés. Cependant, ce dernier ressemble trait pour trait au pirate qui enleva Lux dans le passé, mais aussi à l'ainé de cette dernière. A voir comment la marquée pourrait réagir, elle qui a juré la perte de tous les êtres apparentés à son violeur.




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HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
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I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
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On dit quoi? Re bienvenue? Razz
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 02:04

Il me semble que c'est le plus approprié :006/:
Ravie d'avoir trouvé une idée de personnage qui me plaise … en espérant être capable de pouvoir terminer sa fiche cette fois ^^' … 
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Faut espéré! Pas d'abandon de fiche! :032/:
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 10:52

Bienvenue et bon courage ^^
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 10:56

Re-bienvenue =D Re- Bonne continuation pour ta fuche :028/:
NAAMÀH Beautiful name :010/:
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Aless — Owi fouette moua *O* … (oui oui … elle est maso la cocotte ><' )

Neelah — Merci *_* … 

Robert — Meurci beaucup *____________*
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Re-bienvenue alors et bon courage pour ta fiche (:
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Re-bienvenue ♥️
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 13:21

Naamàh L. Blackheart a écrit:
Aless — Owi fouette moua *O* … (oui oui … elle est maso la cocotte ><' )

Neelah — Merci *_* … 

Robert — Meurci beaucup *____________*

Derien :70:
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 14:55


JOLIIIIE - again -.
Re bienvenuuue donc ! Et re bon courage pour la suite =D
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime18/5/2010, 15:45

Bienvenue parmi nous :014/:
Bonne continuation pour ta fiche de présentation ^^
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime26/5/2010, 03:14

Merci encore *-* … 
J'ai presque terminé … d'ici deux ou trois jours … ce devrait être achevé :005/:
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime26/5/2010, 10:08

Rebienvenuuue :56:
& rebon courage pour la fin de ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime28/5/2010, 16:13

Merci Laureen <3 <3

Voilà, ma fiche est terminée, ce n'est pas fameux fameux, j'en suis navrée --'  …
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Lucian A. Corleone
 
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SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime28/5/2010, 17:39

Welcome
JE SUIS LA POUR TE GUIDER

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modéré pour la validation.


Je trouve la partie réservée à occupation diurne un peu courte. Tu pourrais nous en dire plus sur le jonglage qu'elle doit faire entre ses études, son travail, et puis le fait qu'elle doit vivre sans doute aussi la nuit du fait de son état de marqué, ça doit s'en ressentir sur ses journées. Je sais que tu es plus explicite dans ton test de rp, mais je ne voudrais pas faire une exception même si c'est la seule chose qui me retient de te valider sur le champs.
Petit erreur de frappe dans ses manies & habitudes: manger des céréales, pas langer... Quitte à devoir modifier légèrement ta fiche, autant effacer cette petite erreur.
Voilà pour le reste je trouve ton histoire absoluement magnifique, alors dépêche toi de rajouter quelques lignes à ton occupation diurne histoire que je te valide rapidement! Voui, ta fiche est sublime c'était un vrai plaisir de la lire.
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime28/5/2010, 18:12

OMG ! J'ai écrit ça ? XDDD … (ça m'apprendra à ne jamais me relire.)
Voilà qui est modifié, j'espère que ça ira cette fois =S … (et non, la fiche n'est pas sublime o: )
Merci beaucoup :015/:
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime28/5/2010, 18:21

Welcome
JE SUIS LA POUR TE GUIDER

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modéré pour la validation.


Oh que si, elle est sublime. J'adore ta manière de raconter son histoire, je me suis laissé emporté par ton histoire, tu m'as fait voyagé. J'ai encore plus apprécier le fait que tu évoque sa période sur le bateau d'une manière sobre, en n'essayant pas de tout raconter en détail. Parfois la simplicité c'est préférable. Franchement c'était un véritable plaisir. Très bon choix de police, ça va très bien avec l'histoire que tu raconte. Une dernière chose, un petit détail que je t'indique plus pour le jeu, mais étant marquée ta sorcière possède des capacités de médiums plus que sorcière, étant donné qu'elle ne peut pas conserver sa puissance en ayant du sang de vampires dans les veines. Par exemple si elle veut continuer à exercer ses dons, elle devra se tourner dans la magie noire et exercer la diablerie, magie noire pratiquer par les vampires ou encore la thaumaturgie, mais sera tout à fait incapable de faire une potion correcte ou encore de communier avec la nature. En fait, elle devra tirer ses pouvoirs du sang démoniaque qu'elle boit régulièrement. Et là encore elle ne sera jamais très puissante puisqu'elle est entre deux chemins, l'humanité et les vampires, et dans cet état, elle ne peut pas vraiment accéder à un niveau acceptable pour une sorcière. Disons qu'une chance sur deux pour que sa magie réussisse. Voilà.

NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » 20j09sn
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé!
Toutes mes félicitations!

Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des challanges ou bien dans l'animation. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime28/5/2010, 18:26

Merci pour cette information ! Je vais le modifier de ce pas, histoire que ce soit plus clair =D … 
Eh bien, merci, vraiment. J'ai vraiment tenté de faire au plus simple, parce que moi-même ça m'aurait rendu malade si j'avais fait dans le détail. Vraiment merci, au plaisir de rp un de ces jours avec toi Wink … 

Encore merci pour la validation <3
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Tu m'étonnes, c'est en plus qu'elle n'est pas toute jeune, ça en fait une longue histoire à raconter.
Bah écoute... faudra qu'on se trouve un c'tit lien mais ça devrait pas être trop compliqué, Elisius étant mon mentor...

De rien, ce fut un plaisir.
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MessageSujet: Re: NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… »   NAAMÀH — « Love me, adore me, abuse me… I’ll destroy you… » Icon_minitime

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