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 Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.

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Oscar Blehm
 
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Oscar Blehm
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MessageSujet: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 20:07

Prélude
DATE & LIEU DE NAISSANCE 13 décembre 1979 dans les bas fond de la Nouvelle Orléans ; AGE 35 ans ; NATIONALITE Américain ; CAMP A rejoins les HA à leur commencement et se destine à ne vivre que pour cela ;   ETAT CIVIL Célibataire sans attache, aucune, jamais plus. LIEU D'HABITATION Appartement à Midtown ; METIER Enchaîne les petits boulots en intérim : livreur, coursier. CLASSE SOCIALE Modeste ETIQUETTE Un type sans histoire, que l’on évite en général. L’on change de trottoir, parce qu’il est différent ; parce que l’époque actuelle n’aime pas la bizarrerie. Il aimerait que l’on se souvienne que l’humain est un animal original. Le plus fascinant qui soit. Mis à part ce look vestimentaire qui sort de l’ordinaire, bien qu’à cette époque il est tout ce qui semble de plus basique parmi les monstres. Il est quelqu’un de discret dans ses comportements. Peu souriant, peu d’amis et aucune activité sociale. Un type seul dans une vie monotone. Un type comme des centaines. Un soupçon lugubre dans cette façon de rester calfeutrer, de ne point sortir se divertir, d’être là tout simplement dans un quotidien quasi morbide.  Mais qui s’en soucie ? Personne.

These are the days like crazy rain. Like a flood will try to catch you and just fade away

Oscar Blehm
Feat Gerard Way


✤ Traits de caractères
Silencieux. Un regard sur la vie. Un passé qui hante tant le vide est présent. Le gouffre, le néant qui m’aspire. Un regard franc, comme si tout était clair. Comme si c’était évident. Un faux calme. Sourire hypocrite, sourire menteur. Visible, évident. Que personne ne veut voir. L’esprit de revanche. Le besoin de mordre, d’exploser, d’écrabouiller. Détruire. Un faux air d’enfant, une âme sale et brisée. Une fausse banalité. Putain de menteur. Pourtant, tellement vrai avec moi-même. Pas d’hésitation. Semblant de lassitude, amour de l’humanité inexprimé. Amour défendu avec hargne. Solidarité silencieuse, explosive. Parfois le regard triste ; l’envie morbide de m’enfouir. Quelques larmes cachées, absorbées par l’oreiller à l’aube des cauchemars. Poète de l’autodestruction, de la dévastation. Pas d’inconscience, tout simplement rien à perdre. Un sourire dans le vide et je saute sans regarder derrière. Pas besoin, c’est tellement dégelasse. Ne pas chercher à s’en sortir, petit rêveur. Butinant vers un monde meilleur, justicier raté. Injuste. Borné. Fermé. En colère. Idéaux brisés. Racisme radical. Insupportables monstres planqués sous le lit, grignotent mes chaussettes et m’étranglent en silence. Se battre, se défouler. Fausse sérénité. Equilibre brisé. Nageur désespéré. La peur au ventre, serrant les dents. Peur de la monstruosité ; peur de la couleur de mon âme. Probablement bleue. Couverte de coups. Ceux qui ne pardonnent pas, ne guérissent pas.
A sang. Rouge. Âme noire. Gosse brisé.

✤ Occupation diurne
Vagabond. De ci, de là de la ville. A faire quelques courses. Un travail éphémère, comme la vie. Sans responsabilités. Personne ne compte sur moi si ce n’est au jour le jour. Réaliser des taches sommaires. Remplaçable. Je suis attendu une heure puis on l’oublie. J'esquisse un sourire. Politesse. Parfois envie de rage. En repérage. Porte à porte. Quadriller la ville. Observer. Remarquer. Détailler. Noter. Mémoriser. Je connais la ville comme sa poche alors que je n’y vit que depuis trois ans. Cela a suffi. Le reste du temps, je suis chez moi. Vautré dans le canapé. Puis s’entrainer. Préparer ses armes, monter et démonter. Nettoyer. Se laisser aller à la perfection. Aller remplir le frigo les jeudis après midi dans la supérette du coin. Acheter des clopes tous les vendredis matins. Parfois descendre chez le coiffeur avant de disparaître derrière cette tignasse indomptable. Ne pas sortir boire un café, ne pas sortir tout simplement. La journée, je se repose en dehors du travail. Je regarde la télévision, je me marre comme un con devant les dessins animés. Seul. Boire un verre à midi, manger des pates avec des knacki. Parfois une pizza. Quand le jeans est trop serré, j'opte pour des légumes ; je n’aime pas forcément cela pourtant ; une préférence pour les endives. Un gout d'amertume que je connais bien. Regarder par la fenêtre les gens qui sortent du métro ; les analyser. Fumer une cigarette, puis deux et le paquet. Faire le ménage, puis mettre le bordel. Entasser la vaisselle puis se résigner. Sortir les poubelles, faire le tri sélectif. Engueuler le chien du voisin qui pisse sur sa porte ; prendre le courrier et tout jeter. Se faire petit.

✤ Manies, habitudes & goûts
Les écouteurs vissés aux oreilles, la tête au fond du casque de moto. Un boucan infernal. Parcourir les routes. En solitaire. S’exploser les tympans. Un léger sourire. Le gout de la liberté. Un œil attentif, mais pas d’excès de prudence. Danser comme un possédé, faire trembler le parquet. Juste dix minutes. Dix minutes où ses voisins peuvent se rappeler de mon existence. Le plaisir d’un œuf coiffé d’une tranche de bacon au saut du lit, un bon verre de jus d’orange. S’habiller n’importe comment, acheter des fringues inutiles. Se regarder dans le miroir, se trouver dégelasse à voir. Sans charme. Sans intérêt. Invisible. Emmerder le miroir et se foutre pas mal de ce que l’on pense. Ne pas vouloir d’un corps de télévision, ne plus avoir le gout de grand-chose. La beauté humaine, si fragile. Gout ferreux dans la bouche, se mâchonner les lèvres jusqu’à ce que ça fasse mal. Lire des bandes dessinées. Gosse pas fini qui n’a pas honte. Plaisir retrouvé de descendre chez le libraire pour les derniers numéros. Lire le journal, établir une liste. Passion de la destruction ; feu ardent de la haine dans ma poitrine. Un corps en attente d’être déchiré. Mettre ma tête sous la guillotine avec le sourire. Conviction de faire tomber des têtes avec la mienne.

✤ Convictions
J'ai toujours cru aux monstres. Enfant, je les avais pensé planqués sous le lit. Attendant mon sommeil pour me grignoter. Attendant la pénombre. J'ai cru aux ombres, cachés dans son armoire et me noyait de sueur dans mes cauchemars. Je croyais aux ombres sous les escaliers, aux tentacules noirs qui me tireront par les pieds. Gamin sensible, je croyais à Jack l’éventreur et espérais que Superman sera là pour me protéger s’il venait. Puis j'ai regardé dans les bandes dessinées, j'ai vu comme les héros ont mal. Les coups reçus, les bleus aux corps ; les bleus à l’âme. La peine et pourtant, les héros sont fiers et forts. Les héros survivent, les héros gagnent. Ils perdent des pièces d’eux même. Alors je dormais avec mon pistolet à billes dans les bras, avertissant les cauchemars de ce qu’ils prendront s’ils viennent me hanter. J'avais mis les fantômes en fuite. J'ai grandi. Les billes sont devenues des balles. Un revolver sous l’oreiller ; dans la table de chevet. Toujours là, pour être rassuré. Parce que si les monstres ne sont pas sous le lit, ils étaient bien dans les rues de la nouvelle Orléans. Les violences, un combat quotidien. J'ai appris à encaisser les coups et à continuer malgré tout. Les monstres ont grandi avec moi. Ceux de l’adolescence s’effacent. Viennent les vrais monstres. Les super vilains. Alors, c’est un pieu sous l’oreiller ; le métal remplacé par de l’argent dans le chargeur. La haine. Oh que je savais bien avant la révélation, la légalisation des montres. La pire erreur de l’humanité. Alors, puisqu’il est autorisé d’être un super vilain, il fallait des justiciers. Il fallait se lever, mettre le masque de se battre. Se défendre. Et dire que s'est nous, les terroristes. Comme Batman fut l’ennemi de Gotham. Les HA sont les ennemis de l’humanité. Pour vous servir, camarades. A la défense de nos idéaux, de notre race. A la guerre. A cette bataille pour la lumière de vos yeux qu'ils ne prendront pas, mes frères.

Prélude
CHOIX DANTESQUE InventéP'TI NOM Une licorne avec une jambe de bois RUMEURS J'aime les knacki SESAME Validé par Iza  LE VENT D'EST dans un kinder DECLARATION Je vous aime les copinous ! TROMBINE Gerard Way. Bavez pas trop devant ses fesses *sort*


Dernière édition par Oscar Blehm le 25/1/2015, 20:39, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 20:08

Ticket for Pandemonium
Je suis arrivé en ville il y a trois ans de cela. Alors que j’étais près à rejoindre des chasseurs. L’ennui avec eux, c’est qu’ils se méfient. Quand les HA ont pris naissance là bas, n’ayant plus la moindre attache. Je suis parti. Sans hésiter. Parce que les monstres ont bouffé ma vie. Je les ai rejoint, l’on m’a appris bien plus que je n’avais pu le faire seul. J’ai appris la solidarité humaine, à faire confiance en mes semblables. J’ai foi en l’humanité, même si elle m’avait dupé quelques fois. Je crois que j’avais simplement de retourner ma haine contre quelque chose. Je les hais. Je me suis radicalisé dans cette ville. Peut-être fus-je manipulé, je n’en sais rien. Les créatures ne m’ont jamais montré quoi que ce soit de bon en eux. Jamais. Les monstres ont toujours hantés ma vie et j’ai toujours eu à les combattre. Je sais que cela ne changera jamais. Je me sens plus fort à présent. J’ai moins peur. Je sais me battre, je sais tuer. Je ne regrette rien. Je sais ce qu’est la douleur, ce qu’est le deuil. J’ai fais le deuil de ma vie d’avant. Ma vie banale n’est plus qu’un mensonge. Mais cette vie me convient. Je n’ai pas d’amis. Je me dis que je n’en ai pas besoin. Que je n’ai besoin que de semblables. Que de camarade de combat. Pourquoi se lier Pourquoi aimer ? L’on m’a cru fou. L’on ne m’a jamais cru en amour. Je n’ai rien à perdre. Je veux les voir tomber, comme ils m’ont mis à genoux.

Because they sleep with a gun and keep an eye on you, son.

Une histoire de dingue


Aujourd’hui c’est la photo de promotion. Putain, qu’est-ce que ça me fait chier. Encore planté dans les chiottes des mecs devant le miroir comme une fille qui vient d’avoir ses menstruations avec le fond de teint de sa mère à planquer ses premiers boutons. Je me suis jamais maquillé avant, j’en mets des caisses. Mon père espère recevoir la photo de son fils, vous savez ; celui qu’il ne vient jamais voir. Je devrais me ficher pas mal de l’allure que je vais avoir, mais il envoie un bon chèque à ma mère tous les mois : pour payer les frais du gamin. Il pense que je vais devenir un grand homme. Comme lui. Cela se voit qu’il ne vit plus avec nous depuis dix ans. Il veut être un père, il ne veut pas de contrainte. Il dit qu’il m’aime. Je n’y crois pas. Mais c’est ainsi. J’ai enfilé une chemise propre et peigné mes cheveux noirs un peu trop longs selon ma mère. Puis je suis là ; à me tartiner la face. Putain d’hématome. Deux gars passent, m’insultent de salope, de pédale. Je ne bouge pas, j’efface ce coquard. Je recouvre ma peau d’un mensonge, comme mon visage qui n’exprime rien. Alors que je suis tellement en colère. Mais j’avale ma peine, ma rage. J’en tricote une pelote au fond de mon estomac. Je vomirais l’acide plus tard. Pour l’arcade, je ne peux rien faire. Un pansement tient les berges de ma peau fermées et si je l’ôte je vais pisser le sang. Bonjour le tableau. Encore une photo foiré. Puis avec ma gueule. Qu’est-ce que j’espère ? Le regard empli de défi, j’ai fixé l’objectif. - Fais donc un sourire. - Va te faire foutre. Alors voila, une fois de plus : je fais la gueule. Franchement, les cours auraient pu me plaire si seulement je ne servais pas de bouc émissaire. Qui ne péterait pas un capable au bout de plusieurs années de tyrannie par les autres. Pas d’amis, pas d’aide. On me rackette mon pognon pour la cantine et quand j’apporte un sandwich je le retrouve au fond de la cuvette. Si seulement j’étais  un élève brillant. Mais ce n’était pas même le cas. J’ai toujours été un gosse trouillard. Le genre de gamin qui n’exprime pas son opinion. Je me reflétais dans le regard des autres, alors que c’était à moi de m’y imposer. Je veux qu’on me foute la paix. Le sport était probablement ce que je déteste le plus. Pourtant, j’adore l’activité. Mais tout semblait propice à me démantibuler. Le maigrichon, va aux cages. Si on me laisser bouffer je ne serais pas aussi maigre. Alors voila. Je me fais déglinguer à coup de ballon. J’ai passé ma vie à l’infirmerie. A tel point que je m’y refuge parfois alors que je n’avais rien. Juste couché sur le plumard à lire une bande dessinée. La pauvre grosse dans sa blouse blanche, elle a pitié de moi je crois. Parce que les gosses n’aiment pas plus les gros que les maigres.
Putain de normalité. Pendons là !

Il est normal de se faire cogner dessus quand on habite la Nouvelle Orléans et que l’on est faible. Il est normal d’être malheureux. De voler dans les magasins un paquet de tampon pour sa copine. Dire que certaines en pincent pour moi. A croire qu’il y a vraiment une frontière entre nos mondes. J’accepte parfois, juste pour prouver que je ne suis pas gay. Parce qu’à une époque je me suis mis à douter façon a mon désintérêt pour elle, face à cette façon que j’avais de regarder les types musclés. Je les enviais seulement. Enfin. Je crois. Une fois j’en ai invité une chez nous, pour ‘bosser un exposé’. Ma mère a du penser que l’on allait se marier, elle avait dépensé tout le fric du mois pour acheter du foie gras. La honte. Maman. Elle est un peu tarée, mais je l’aime. Je suis un poète de merde, pourtant elle trouve ma vie fascinante. Je ne lui parle pas de mes problèmes. Elle en a bien assez comme ça. Des dettes, encore et encore. - Sois gentil avec ton père, je sais que tu lui en veux. Mais on a encore besoin de lui. – J’en ai marre de me taper une semaine de vacance chez lui, dans cette baraque dont on ne voit pas le bout. Il parle de son boulot, de ses voyages. Moi qui ne pars jamais nulle part. Moi qui n’a envie d’aller nulle part. Il est parti, parce que ma mère est folle. Parce quelle est bipolaire et qu’il ne veut pas la faire soigner. Mais moi je l’aime, même si elle est étrange. Je l’aime, c’est ma mère et elle ne m’a pas abandonné. Je mentais à tout le monde. Parce que j’ai appris bien trop jeune que la vérité n’attire que des ennuis. Qu’il faut garder des secrets. Je me sens enfermé dans cet engrenage. Je me noie. Je coule. Adieu et bonne nuit.

Alors c’est tout. Tu vis. Puis un jour. Chez mon père. J’ai trouvé un flingue dans le tiroir de son bureau. Je l’ai volé. J’ai fait le con. Mais ce n’était rien encore. J’avais moins peur. Je me suis senti plus fort. Puis je me suis fait tabasser comme une merde dans la cour par un élève plus âgé. Ma mère a pleuré toute la nuit derrière la porte de ma chambre. Le lendemain, la gueule tuméfiée. J’ai pointé le canon sur sa boite crânienne. Il a pleuré et j’ai été satisfait. J’aurais voulu tiré, je n’ai pas trouvé la force. L’école a été évacuée. J’avais quinze ans, je me suis retrouvé dans une prison pour jeunes délinquants. Un stage pour me faire peur. Pour me calmer. J’ai été renvoyé. Mon père m’a renié. Tant mieux. J’avais quinze ans. J’avais disjoncté. Mais ce n’était pas fini ; en prison. Les choses sont pires. Mais je ne me suis plus laissé faire. Je me suis mis à cogner. Quitte à avoir mal après tout. Je me suis défendu. Je suis resté là bas quatre mois. Et j’en avais bien plus appris sur moi-même. Maintenant, je peux lever mes mains crasseuses vers le ciel. Ils m’ont sali.

A ma sortie, je me suis retrouvé dans un foyer jusqu’à ma majorité. Mon père couvre ses arrières. L’on fera de moi quelqu’un de bien. C’est ça. J’étais quelqu’un de bien. Maintenant je ne suis qu’une merde. Mais l’avantage en foyer. Il n’y avait que des types comme moi. J’ai appris à mentir à la psychologue et je me suis mis à bosser comme serveur dans un fast-food pour me payer le permis à coté de mes études payé par le foyer. Avec les autres, l’on parle beaucoup. De toute. De conneries. Des filles. Des héros. Des monstres. Les monstres. Certains parlent de vampires, je n’y croyais pas vraiment. Et l’on a voulu me prouver le contraire. Belle preuve. Premier cadavre. Innocence perdue. Egarée depuis bien longtemps avant. Presque de marbre. En colère. On c’est amusé alors. A y croire. Parce que c’était trop réel. Parce que c’était là, sous nos yeux. On l’espionne. Ce grand type trop pâle. On n’ose rien faire. C’est contre nature. Cela nous obsède. Puis j’oublie tout ça. Quand je rentre certains week-end voir ma mère. Elle va bien, mis à part qu’elle boit. Elle me propose un verre. Je l’accompagne. Elle est jolie, même détruite. Elle jure que ce n’est pas de ma faute. J’ai du mal à y croire. Maman, la semaine prochaine je suis majeur, mais je ne rentre pas à la maison.

Avec mon pote Davis, on s’est pris un appartement en colocation. J’ai passé mon permis moto et j’ai décroché un job de coursier dans une petite entreprise. Lui, il deal. Il rapporte plus, mais je ne veux pas toucher cette merde. J’ai assez de souci à me faire à coup d’anxiolytique. Ouais, je suis accro à cette saloperie. Si je ne vois plus les autres de la bande. (Dire qu’il a fallut que j’aille en taule pour me faire des amis). Nous continuions nos délires sur les vampires. Un jour, je me suis garé en bas de chez ma mère. De jolies fleurs sous le bras. Comme bien des dimanches. J’ai monté les escaliers et… Les fleurs ont trouvé le sol et sont peintes en rouge, comme dans le conte.

J’avais vingt et un ans, j’ai enterré ma mère. Il n’y avait pas beaucoup de personnes ce matin là dans le cimetière. J’ai pleuré sur sa pierre. Je me suis retourné et je l’ai défiguré. Ce salopard de géniteur. J’aurais pu le tuer, si l’on ne m’avait pas séparé de lui. Comment pouvait-il être là ? Je suis rentré chez nous, j’ai foutu le bordel puis j’ai avalé des médicaments. Trop. Je suis tombé. Si blanc. Je suis tombé au fond d’un lit blanc. J’aurais du crever. L’on m’a dialysé, transfusé. L’on m’a rafistolé. - C’est bon, tu marches bonhomme. - Je n’ai plus de cœur docteur.

Je n’avais plus le cœur à rien. Bosser, dormir. Télé. Médicaments. Encore. Et encore. Puis il y a eu cette fille. Puis une autre. Puis celle qui dit ‘je t’aime’. Celle qui revient. Celle qui me coule un bain, qui m’invite chez elle, qui me fait un repas, qui me dis que je suis beau. Celle avec laquelle j’emménage. Celle avec laquelle j’essaie de grandir. Elle ne comprend pas pourquoi je m’en vais le soir. Pourquoi je traine dans les rues avec une caméra. Pourquoi je suis si paranoïaque. Qu’est-ce qui m’obsède. Juste cette vieille obsession qui me tient debout. Celle qui me retire mes médicaments, qui le jette à la poubelle alors que la pharmacie de garde est à l’autre bout de la ville. Celle que je cogne parfois, que je pleure. Celle qui me pardonne tout, à qui je promets de ne pas recommencer. Celle à qui je mens le plus mal. Celle pour laquelle je m’en voudrais toute ma vie, d’être tombé aussi bas. Je l’aimais. A ma façon. On s’aimait à se détruire. J’allais finir fou, j’allais finir comme ma mère. Je ne croyais pas en son suicide. Les monstres. Je n’avais pas idée de savoir à quel point j’avais raison. A quel point je n’étais pas fou.

Je me suis fait attraper un soir. Je n’ai pas eu le temps de dégainer mon revolver. Un type m’a plaqué au mur d’une vitesse surréaliste. Merde, Flash est censé être du bon coté. Le type a plongé son regard dans le mien. Ses longues canines me sont apparues. –Tu aurais du comprendre, quand j’ai tué ta mère. – J’aurai du oui… Je n’ai pas réagi et il a essayé de me tuer. Mais il a été gravement blessé. Moi aussi. Enfin, je ne me souviens pas très bien. Je me suis réveillé dans un lit, retour à la casse départ. C’est sur, j’allais y laisser ma peau un jour.

Je suis rentré. Elle m’a prise dans ses bras. Je n’ai rien dit. Elle ne me croira jamais. J’aurais du comprendre, que je ne devais pas me mêler de leur vie. J’ai commencé à avoir peur. Peur qu’on me l’enlève elle aussi. J’avais si peur que je me suis mis à la surveiller. Je l’aimais merde. Elle me souriait, elle ne comprenait pas mon changement de comportement. Je dormais peu, je restais là. Pensif à la fenêtre. Parfois, je fermais à clé en partant bosser et elle ne pouvait pas sortir. Elle me haïssait de lui infliger cela. Je lui coulais un bain. C’était le monde à l’envers. Certains soirs, je pleurais. Elle me caressait la joue et promettait que tout irait bien. Puis les jours se succèdent et je n’ai pas cessé de trembler. La peur de la perdre avait éteint cette rage en moi. Je ne l’ai plus jamais frappé, plus jamais insulté ; plus jamais parlé de mes angoisses. Elle regrette le temps d’avant, le temps de mes sourires, de cette façon que j’avais de ne pas faire attention tout simplement. De vouloir tout réparer en demandant simplement pardon. Nous entrions dans une vie banale, une vie stable. Une vie calme. J’allais être quelqu’un de bien. Nous sommes restés ensemble quatre ans. Ce n’est pas rien dans une vie quand l’amour est si fort. J’ai grandi avec elle. Mais j’allais régresser avec lui. Davis. Il a frappé à ma porte. Il m’a reparlé de tout cela, je lui ai dit que nous n’étions que des gosses inconscient et que c’était derrière nous. Il n’a rien voulu entendre. Me parla de chasse et je l’ai simplement écouté sans agir. Jusqu’au jour de sa mort.

Elle disait que ce n’était pas de ma faute. Mais c’était mon meilleur ami. Je perdais tout le monde. Parce que je faisais les mauvais choix. Mais il avait choisi cette vie. Et moi ? Quelle vie avais-je choisi ? J’ai commencé à m’armer. Elle ne comprenait pas. Je lui disais de ne pas avoir peur. Que cela nous protégerait. La psychose était en marche. Toujours dans cette idée de ne jamais être séparé d’elle. Personne ne me l’a arraché. Elle est partie d’elle-même. Je l’ai perdu, parce que j’étais moi. Un soir, je suis rentré et j’ai trouvé un appartement vide. Une lettre sur le lit sans couverture. Une lettre d’adieu, une lettre d’amour. L’étincelle allait renaitre. Dans le malheur. Je me suis senti dévasté. Elle a écrit vouloir des enfants, vouloir une vie. La mort était bien trop présente dans la mienne. J’ai commencé alors à me couper de toute relation sociale. Je l’ai vu pour la dernière fois quelques jours après la révélation. Elle m’a faiblement souris, je n’ai pas vu d’alliance à son doigt. Elle qui voulait tant m’épouser. J’ai baissé les yeux. Elle ne m’avait pas cru. Maintenant elle savait, je n’ai jamais été fou. Je suis parti de la Nouvelle Orléans. Je suis parti pour cette destinée. Pour sauver cette humanité qui se détériore ; délabrée par la présence des monstres en notre monde.

En bref.

13 décembre 1979 : Naissance à la nouvelle Orléans.

Mai 1984 : Divorce de ses parents. Naissance des cauchemars.

Mars 1994 : A bout de se faire tyranniser par les autres, il vole le flingue de son père pendant les vacances d’hiver. Se rassure en le gardant toujours sur lui.

17 avril 1994 : Se fait tabasser dans la cour de l’école.

18 avril 1994 : Menace du revolver en pleine classe de faire sauter la cervelle de son agresseur. Il finira la nuit en détention.

02 mai 1994 : Jugé et envoyé en prison pour jeunes délinquants pour une durée d’un an et demi ‘pour le remettre sur les rails’. Premières amitiés, début de la rébellion. Apprend à se défendre.

Aout 1996 : Placement dans un foyer de ‘réinsertion’ jusque sa majorité par son père. Nouvelles amitiés, gout de délinquance sur les lèvres. Gout de l’aventure et du surnaturel. Traque aux vampires. Vision du premier cadavre, premier vampire. Naissance de la psychose.

13 décembre 1997 : Majorité. S’installe avec son meilleur ami ; Davis, Dealer. Poursuite de l’espionnage des vampires.

13 mai 2000 : Assassinat de sa mère déguisé en suicide. L’effondrement de son univers.

16 mai 2000 : Enterrement de sa mère. Passage à tabac de son père. La fracture de son cœur.

17 mai 2000 : Tentative de suicide médicamenteuse. Début de la dépendance aux anxiolytiques

Mars 2002 : Rencontre la femme de sa vie. Leur amour est difficile. Ils emménagent ensemble. Elle veut le sevrer de ses médicaments, il est violent. Elle l’aime quand même. Il s’en veut et recommence.

Juin 2004 : Est sauvé in extremis d’un vampire par un chasseur. Naissance de la paranoïa. Etouffe sa compagne de sa prudence. Elle ne croit pas en ses histoires de vampires.

Février 2006 : Assassinat de Davis qui était devenu chasseur. Naissance de la culpabilité.

Mars 2006 : Elle le quitte. A bout. Il est fou comme sa mère. Achat d’armes en quantité massive. Préparation à la guerre. Près à rejoindre un jour, les chasseurs.

2007 : Révélation. Il n’est pas fou. Mais c’est trop tard pour elle.

2008 : Rejoins les HA, quitte la Nouvelle Orléans.

2011 : Participa à l’attentat de Philadelphie. Aidera les humains à se procurer des armes de défenses et d’attaque.

Début 2014 : Participe dans l’ombre à la campagne de vaccination. Force des créatures à le faire.

Février 2014 : Participe à l’attaque de l’Ulfric. Sera blessé gravement. Cela aura eu le mérite de le calmer pour le reste de l’année si ce n’était quelques attaques très ciblées.

2015 : Continu son combat. Reste un homme de l’ombre. Noirceur dangereuse.



Dernière édition par Oscar Blehm le 26/1/2015, 12:33, édité 13 fois
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Yago Mustaphaï
 
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HABILITIES : Chimérie III.
OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos.
SERENADE : Hagia Sophia - Irfan

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ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 22:12

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Bienvenu ici ! :63:
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 22:28

Merci mon poussin coucou

Tss ça m'étonne pas de toi ce genre de remarque :cachotier:
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Barbra Landgraf
 
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Wer mit Ungeheuern kämpft, mag zusehn, dass er nicht dabei zum Ungeheuer wird. Und wenn du lange in einen Abgrund blickst, blickt der Abgrund auch in dich hinein. ☨ Nietzsche
 
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 23:04

Rebienvenuuuuue **

J'ai hâte d'en lire plus et surtout qu'on se tape dessus (comme d'habitude) yeah
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime24/1/2015, 23:14

Merci poulette x3
Je finirais demain soir ma fichounette je pense coucou
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Izabelle Kennedy
 
Soigne. Vole. Aime.

— It`s nice to be important... but it`s more important to be nice! —
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« J'ai appris que l'on pouvait presque toujours voir le bon côté des choses, pourvu que l'on prenne la décision de le faire. Bien sûr, il faut que ce soit une décision très ferme. » LMM
 
Izabelle Kennedy
ADMIN — Piou-Piou, le super oreiller en plumes de poulet blanc.


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 01:01

Pouet :dédé:
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Ikarias Tavian
 
SMOKIN' SHOES

SIGNALEMENT : Le casseur de burnes gominé
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OFFICE : Artiste et Gérant du Tavian's, homme de main à ses heures perdues
SERENADE : They Say - Scars on Broadway

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THE SECRET DOOR
SOBRIQUET : LightGrace
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ACTE DE PROPRIETE : Plateau

L'ambiguité se définit par la possibilité de la défendre, comme de la contredire
 
Ikarias Tavian
ALIAS ; Babouchka, le tyran dominator ~ #Diarias


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 02:29

:feu:
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Freyja Njörd-Völsunga
 
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DEVIL INSIDE ME

SIGNALEMENT : la voleuse de corps, le monstre sur le seuil des ténèbres, le cauchemar au visage d'ange.
HABILITIES : Télépathie à double sens ; absortion des cauchemars ; lecture d'âme ; création d'illusions ; magie noire.
OFFICE : gère une petite troupe d'accrobate et des réunions occules au sous-sol de sa boutique
SERENADE : Tiamat - Judas Christ

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SOMBRES SACRILEGES
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Freyja Njörd-Völsunga
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 07:21

Reuh toi. J'aime ton nouveau look. coucou
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 08:14

Oh un HA, quel plaisir ! Rebienvenue ! smile
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Yago Mustaphaï
 
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SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim
HABILITIES : Chimérie III.
OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos.
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WELCOME TO THE MACHINE
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ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 12:38

Oscar Blehm a écrit:
Merci mon poussin coucou

Tss ça m'étonne pas de toi ce genre de remarque :cachotier:

J'ai pris du temps à comprendre qui tu étais xD

*Vole amoureusement dans les plumes du poussin*

Il est prometteur ce bonhomme. Hâte de lire la suite. :63:
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Cillian Ó Connor
 
Chaton à apprivoiser

SIGNALEMENT : petit chaton du Pard
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Les chats tout comme les roses ne griffent que ceux qui ne savent pas les prendre. # Inconnu
 
Cillian Ó Connor
PARRAIN ; Chat-volant


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 14:03

bienvenue :)
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 16:59

Re-bienvenue ! Jolie trombine coucou
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Hecate M. Vinclet
 
HELL COME HERE

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SIGNALEMENT : A côté de ses pompes, étrange, secrète.
HABILITIES : Clairvoyance | Magie rouge, à niveau débutant.
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La solitude me désespère; la compagnie des autres me pèse. La présence d'autrui dévie mes pensées; je rêve cette présence avec une distraction d'un type spécial, que toute mon attention analytique ne parvient pas à définir.
 
Hecate M. Vinclet
ALIAS ♣ Chaussette orpheline & Chevaucheuse de Gnome


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 17:04

:mauve:
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 19:45

Merci les copinous coucou

Et voui c'est moi superman
*roucoule avec Yaya*
(maintenant je suis aussi un rouge gorge *dead*)

:mauve:
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Jürgen Landgraf
 
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Jürgen Landgraf
ADMIN — Humanissimi Lamia. Juju la Vigie - Fait beau là-haut ?!


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 19:51

Rebienvenue! Fous bien le bordel! Et bon courage pour cette fiche! ^-^
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 20:41

Merci heart
Ouais, il est fait pour ça lui :11: Il aime les ProBlehms *sort*
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 21:31

(Re)BIENVENUUUUE ! :63: La trombine tue tellement ! *-*
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 22:00

Merci madame coucou
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime25/1/2015, 23:21

Encore un fou. :63:
Rebienvenue avec à priori un personnage lui aussi haut en couleurs (et HA en plus ... !). Le style d'écriture que tu prends avec lui est intéressant.
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Rhys V. Archos
 
★ OFFICIER DIEGO ★

SIGNALEMENT : Prince du Chaos ; Fils du Feu ; Lui-qui-attire-les-goules-dans-les-multis ;
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Je bois dans ta déchirure et j'étale tes jambes nues ; je les ouvre comme dans un livre où je lis ce qui me tue. - GB
 
Rhys V. Archos
ALIAS Rhysette ; l'amateur de pâté en croûte et de sérénades au clair de lune


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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime26/1/2015, 03:07

Rebienvenue gros *__*
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime26/1/2015, 07:01

Livreur humain, Ha, déjanté, va nous falloir un lien avec Alice!!
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime26/1/2015, 11:37

Merci Jules x3

Merci Gros !

Pas de souci miss on se fera ça x3
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime26/1/2015, 12:48

Oscar Blehm a écrit:
Et voui c'est moi superman
*roucoule avec Yaya*
(maintenant je suis aussi un rouge gorge *dead*)

Je vais te la rougir ta gorge moi, tu vas voir. What a Face

(:63:)
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MessageSujet: Re: Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear.   Oscar Blehm ▬ Life's like you're screaming and no one can hear. Icon_minitime26/1/2015, 13:28

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