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 (terminé) louw; survival of the fittest

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MessageSujet: (terminé) louw; survival of the fittest    (terminé) louw; survival of the fittest  Icon_minitime22/1/2014, 17:55

MAGIEL “LOUW” VAN VUREN
Feat Ryan Gosling


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE 24 décembre 1976, Hectorspruit, Est Mpumalanga, Afrique du Sud ; AGE 37 ans, apparence 30 ans; NATIONALITE Sud African - Afrikaans ; CAMP Pommé ; FORME ANIMALE hyène tachetée ; NOM DU LOUP VOUS AYANT CONTAMINE pas de loup, juste une histoire de vengeance entre papa et sorcière ; DATE DE PREMIERE TRANSFORMATION aux alentours de 5 ans ; STATUT Cabot solitaire, hyène SDF, charognard sans famille ; TYPE DE METAMORPHE Métamorphe par malédiction ;  ETAT CIVIL célibataire, à tendance "fuite" devant une femelle LIEU D'HABITATION Motel un peu à l'extérieur de la ville ; METIER Travailleur prolétaire sur les chantiers, et arbitre au Fighter CLASSE SOCIALE pauvre aux poches trouées ETIQUETTE Dérangeant, silencieux, pas normal... évidemment, quelque chose ne va pas avec ce mec, parce qu'il a une gueule qui revient à personne, une gueule à piquer dans votre assiette et à vous tabasser si vous protestez.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères Mal préparé. À tout. Quitter son coin pommé. Être un métamorphe. Devoir s'intégrer dans une civilisation qui n'est pas la sienne. Il a la bouche close et le regard froid, noir. Taciturne, silencieux, et quand un sourire se dessine sur ses lèvres, on aimerait qu'il s'efface. Pas forcément mauvais – mais pas forcément bon, il oscille entre les extrêmes, entre son besoin d'être entouré, et sa haine presque maladive de l'être humain, ses défauts, ses maladies et ses folies. Décalé aussi. Flippant et dérangé, du genre à cloper pendant des heures sans dire un mot, à suivre des inconnus. Mal à l'aise avec les femmes, Louw a l'échine qui se dresse et les poils qui se hérissent quand l'une d'entre elles s'approche, et s'il faut bien 'tirer son coup' de temps en temps, question de rester sain d'esprit, justement, plus elles sont simples d'esprit, plus ça lui convient. Jamais tombé amoureux – hein, pour quoi faire ? Dans le genre charognard flippant, quand la pleine lune se rapproche il a le visage au vent, le sourire au dent, et le gloussement facile. Et peut-être parce que la mort est son garde-manger, il vit à la lisière d'un autre monde, où les corps se décomposent et les esprits hurlent. Les cimetières lui plaisent. La foule lui fait peur. Son silence fait de lui une oreille attentive, et un cerveau réactif, curieux. Oui, peut-être par-dessus tout, Louw est curieux : curieux de l'être humain qu'il comprend de moins en moins, curieux des autres bestioles dans son genre. Pas curieux des sorciers, par contre. Peur morbide de la magie. S'il n'est pas quelqu'un de foncièrement violent et agressif, être sur la défense est un mode de vie. Tout l'agresse. Tout le frustre. Et les provocations se terminent toujours sur le bitume, le goût du sang entre les dents et des croûtes sous les ongles, les phalanges écorchées. Mal du pays ; malade de la vie. Pas ou peu d'ambition, il roule une clope, la coince entre ses lèvres et dévisage les riches. Les moyens. Les tout.

Occupation nocturne Un de ses passe-temps favoris est sûrement fumer, en regardant les gens. Louw a une vie relativement vide. Il n'a pas de passion. Il n'a pas de sujet préféré de conversation, et une culture relativement restreinte. Pauvre lecteur, et trop pauvre pour aller au cinéma ou au restaurant, le Sud Africain a des occupations plus primitives. Bosser au Fighter est un job qu'il affectionne tout particulièrement, il y a quelque chose de délectable dans la manière dont ces hommes s'explosent les gencives et se pètent les dents sous ses yeux, n'attendant rien de lui, rien d'autre que d'observer, de juger. Les gerbes de sang, les gouttes qui s'envolent, s'écrasent sur le sol. Se battre à proprement est aussi amusant, et ce hobby là, c'est comme une drogue dure : parfois, un bon coup, une bonne baston, ça vous libère l'esprit et vous vrille les synapses. Des passe-temps peu catholiques, mais qu'est-ce qu'il y a de catholiques à bouffer des morts à la base, il vous dira. Étant aussi solitaire, Louw affectionne fouiner dans les alentours sous sa forme animale, dans le silence le plus complet, aller sous les fenêtres des maisons isolées et écouter, renifler. Renverser vos poubelles. Il se fait néanmoins discret, et si quelques habitants disent avoir vu un 'loup déformé' aux alentours de leurs maisons, son identité est anonyme. La gueule d'ange blonde préfère se taire sur ses occupations nocturnes, vous comprenez.

Manies, habitudes & goûts Louw a des sales habitudes, et de sales manières. Trop de cigarettes. Trop de bagarres. Trop d'espionnage et de coups d'oeil dérangeants. Trop d'injures, et pas assez de politesse. Pas de notions de limites, surtout en moto. Alors ses manies ? Il a la sale manie de voler. Et ses goûts ? Il apprécie les odeurs nauséabondes, annonciatrices de bonnes nouvelles. Pour lui. Rarement pour l'auteur de l'effluve. Très peu de goûts en matière de femelles ; d'ailleurs, ses manières rustres ont tendance à les tenir à l'écart. Anti-capitaliste qui garde les mêmes jeans et les mêmes manteaux, les mêmes chaussettes et les mêmes gants en cuir. Il aime l'odeur de l'huile du moteur et le ronronnement d'une cylindrée. Et puis la liberté. La sensation de la terre qui se déforme sous ses pattes, épouse son corps et répond à l'impulsion de ses tendons. Le vent. Les espaces libres. Infinis.

Transformation Louw est stable. Du moins, sa forme l'est. La délicieuse sorcière ne lui a guère laissé le choix – hyène a t'elle choisi, et hyène il restera. Du bout du museau jusqu'à la pointe des griffes, de la racine des cheveux aux doigts de pieds. Hyène, hyène, hyène. Et l'animal influence largement son caractère, ses émotions. Il ne s’embarrasse plus de convenances, il vit l'animal en lui comme on vit sa propre expérience, une expérience puissante et pleine de sensations. À 37 ans, la métamorphose se fait sans trop de dégâts, et l'étranger se transforme souvent. Très souvent. Si ce n'est toutes les nuits, il passe rarement plus de 3 jours sans se transformer. Principalement parce que, pauvre lorsqu'humain, il mange à sa faim plus aisément sous sa forme animale. Alors cette forme. Environ 1m50 de long, 90 cm à l'épaule, 60kg de muscles, d'os et de peau, et une des mâchoires les plus puissantes du règne animal. Capable de briser un os... et de l'ingérer. Bien que la hyène soit un animal de meute, Louw est un solitaire endurci. Il apprécie très peu la compagnie, et bien qu'il n'ait que rarement rencontré d'autres métamorphes, il s'en méfie comme de la peste. Il ne partage pas ses courses nocturnes. Il ne partage pas ses repas. D'ailleurs, même humain, il ne partagera pas. Mais il volera le vôtre. Et lorsque Louw s'approprie votre repas, mieux vaut aller s'en acheter un autre. Après tout, vous en avez les moyens, vous.

Convictions Cette idée de foutre de la lumière sur ce qui aurait dû rester dans l'ombre, qui appartenait à l'ombre. Les ténèbres, la nuit, les étoiles et la lune, tout ça, ça leur appartenait à eux, rien qu'à eux. Et cette révélation a été une erreur. C'était comme rendre publique une monstruosité privée. Un tabou. Il a regardé la télé pendant des heures. Il ne savait pas que les vampires existaient. Il se doutait qu'il n'était pas le seul à se métamorphoser, et puis les sorcières, putain il en connaissait un répertoire sur les sorcières. Mais des cadavres ambulants, ça lui avait coupé le souffle – et ouvert l'appétit. Et puis les gens ont commencé à se retourner. À le dévisager, lui et ses cicatrices. Il a enfilé un pull, marché à l'ombre des arbres et au ras des murs, mais il pouvait plus se dissimuler. Il a été chassé. Menacé. Mais personne a jamais osé lever la main sur lui ; personne a jamais voulu prendre le risque de perdre la dite main. Alors quoi ? Pourquoi se révéler au grand jour quand on n'a besoin que de la nuit ? Le secret dévoilé n'a pansé aucunes blessures, n'a soigné aucuns souvenirs. On ne change pas une bête. On l'expose, à la limite.

Signes particuliers Un tatouage d'un trois mâts des reins jusqu'à l'épaule. Une petite dizaine de cicatrices, variant de quelques millimètres à une dizaine de centimètre sur le flanc droit – un congénère, un con qui dégénère. Mais le tout dissimulé sous des vêtements, Louw ne passe que pour un autre pommé qu'on n'a pas trop envie d'aller emmerder.

VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? personnage sorti tout droit de ma tête ; PSEUDONYME belethya; DERRIERE L'ECRAN étudiante à McGill en première année, beaucoup trop de boulot mais je suis dans le RP depuis presque 7 ans et ça me manquait (j'ai pas RP depuis quelques mois, soyez indulgents, gniiiih) ; j'aime RP. Genre. Beaucoup. Et le RPs glauques. Hihi. Vous êtes tous beaux, aussi. Ah oui, je parle anglais toute la journée, donc navrée si quelques fois mes expressions sont bizarres, mon cerveau devient gâteux et perturbé CODE DU REGLEMENT Et bien il ne manque plus que Dracula prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Mmmh. Un lien dans une signature sur Bazzart il me semble; AVIS GENERAL SUR LE FORUM C'est beau. Inspirant. Ça donne froid dans l'dos, aussi ; AVATAR UTILISE Ryan Gosling


Dernière édition par M. Louw Van Vuren le 24/1/2014, 01:54, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) louw; survival of the fittest    (terminé) louw; survival of the fittest  Icon_minitime22/1/2014, 17:55

Chronologie

1976

    ☞ 24 DÉCEMBRE – Naissance. La base pour une vie : deux parents, d'origine Néerlandaises, immigrés depuis plusieurs générations en Afrique du Sud. Fermiers, agriculteurs et petits producteurs dans le Mpumalalanga. Père profondément raciste et pro-blanc, pro-apartheid ; trop d'alcool, trop de soleil, violent. Mère effacée et silencieuse, mais aimante. Borde l'enfant et l'aime de tout son cœur, tendance protection avancée.
    ☞ Le père entretient des relations très tendues avec la population locale Zulu, et dans le passé il a battu une femme noire, du village voisin.

1982

    ☞ JANVIER – Chaque samedi, c'est lessive. La mère défait les draps, agite les grands tissus blancs, et en janvier, observe des poils tomber par terre. Elle pense aux couinements de l'enfant, qui la réveillent depuis quelques temps. Sa bouche reste close, muette dans ce déni. Elle pense à cette femme noire. Elle y pense tellement fort qu'elle en a mal au crâne ; alors elle ramasse les draps, et les lave, les désinfecte. Efface les traces. Ce week-end, elle priera encore plus fort à l'église.
    ☞ FÉVRIER – Soirée douce de fin d'été, sèche, un vent silencieux souffle dans les herbes folles. Dans la cuisine carrelée, le père hurle, renverse une chaise et pointe un doigt accusateur vers la femme, et crie, crie plus fort. Menteuse. Salope. L'enfant, dans un coin de la cuisine, commence à trembler. La douleur revient, mais cette fois plus forte. Elle brouille sa vue, la teinte de rouge, et il couine. Puis il crie. Hurle, en crescendo. Le père s'énerve, lève une main vers la mère qui se jète sur l'enfant. La scène dure quelques minutes. Dans les plaines silencieuses Africaines, les hurlements résonnent. Jusqu'à la métamorphose. Dans les bras de la femme, contre sa poitrine, les vêtements s'affaissent ; et au creux du t-shirt vide, la petite hyène couine, tremblote. C'est étrange comme le silence s'installe.
    ☞ FIN FÉVRIER – Son père ne lui parlera plus. Ne le regardera plus. Il menacera de l'expulser, mais n'en fera rien – quelque part, il sait, il sait pourquoi. La mère aimera l'enfant avec précaution et protection. Chaque pleine lune, elle essuiera son front suintant et lâchera l'animal dans la nature, attendant au petit jour, que la hyène revienne.  

1982 à 1994

    ☞ Louw grandit, s'endurcit ; il domine doucement sa forme animale, mais l'accepte difficilement, notamment à cause de la pression paternelle. Il vieillit, vit entre le travail dans les champs et les fuites pendant la nuit. Notamment, il se lie d'amitié avec un petit garçon noir du village voisin, Kidji. Ils deviennent inséparables. Louw devient maître dans l'art de bafouer les règles – métamorphe, ami avec un Sud Africain noir. Haïr son père est un mensonge : il le renie.
    ☞ AVRIL – Louw a 18 ans lorsque Mandela est élu président. C'est l'heure des révélations, du changement ; il observe le courage au travers d'une télévision, et prend le sien à deux mains. Il annonce à son meilleur ami ce qu'il est vraiment. Son ami lui raconte alors l'histoire, non, son histoire. L'histoire d'un gosse blanc, maudit par une sorcière Zulu, parce que son père était un gros con. L'histoire d'une vie transformée, entachée par la magie, à cause d'idéologies qu'il ne partage pas. Il reste malgré tout à la ferme, mais personne ne saura jamais vraiment pourquoi.

1996

    ☞ JANVIER – Sa mère quitte le foyer, elle fait ce que Louw n'arrive pas à faire : dégager, admettre que leur existence est misérable et triste. Il reste, rentre la tête dans les épaules, et aide dans les champs.

2000

    ☞ JUIN – Son père touche le fond, et tout particulièrement celui d'une bouteille d'alcool. Un soir, ils se mettent à hurler, à se cracher à la gueule. Cette culpabilité, cette haine, ces insultes et ces frustrations ; ces émotions qui les bouffent jusqu'à la moelle. Le père est le premier à lever la main. Quinze minutes plus tard, Louw le laisse à moitié mort sur le carrelage vieillot de la cuisine dans une flaque de sang et de dents, ramasse ses fringues, les fourre dans un sac en toile, et se tire avec l'argent dans la boîte à bijoux de sa mère. Il dit au revoir à Kidji, et prend le premier bus en direction du Mozambique.

2000 à 2006

    ☞ Louw passe 7 ans à voyager entre l'Afrique du Sud et la Somalie. Il s'installe parfois pour quelques mois, parfois ne reste pas plus qu'une heure dans une ville. Il a acheté une petite moto. Quand il est à cours d'argent, il trouve un boulot, dans le marché noir le plus souvent. Il survit, mais s'en contente. Il finit par s'installer en Somalie, mais il ne sait plus exactement, comment ni pourquoi. Il s'installe, c'est tout. Mais c'était en 2006, ça il en est sûr.
    ☞ 20 JANVIER – La guerre a éclaté depuis presque un mois. Visa en poche après s'être battu avec les autorités, beuglant un droit à quitter ce pays qui pisse le sang, Louw s'envole pour les États-Unis, sans trop savoir pourquoi une nouvelle fois. Des histoires qu'il a entendu quand il était petit, sûrement. Des trucs sur la liberté, des plaines et des cowboys, des espaces vides et des villes corrompues. Il vomit à nombreuses reprises dans l'avion, mais arrive à destination, des valises sous les yeux et un sac en toile sur l'épaule. Il ne retournera plus jamais en Afrique.

2007 à 2013

    ☞ Il voyage dans les États-Unis et finit par faire une demande de visa temporaire. Le désenchantement, néanmoins, ne peut être plus profond. Les plaines sont mornes et déprimantes. Les gens ne lui plaisent pas. À mi-chemin entre le SDF et le prolétaire blasé, il erre, pas comme une âme en peine, mais comme une hyène qui a le mal du pays. Il se mure dans ce silence qui devient une routine. Et puis il y a la révélation, ah ! La Grande Révélation. Elle lui pourrit joyeusement la vie et fait de lui un paria, les humains sont suspicieux et aiment de moins en moins voir des étrangers débarquer. Puis c'est c'qu'il est. Un étranger.
    ☞ MARS – Il entend parler d'un boulot sur les chantiers, aux alentours d'une ville nommée Shreverport. Pour une raison qui lui échappe, elle semble être l'épicentre du débat sur le surnaturel. Alors il y débarque, une vieille valise accrochée à sa moto, pour différentes raisons. Le boulot et le logement pas cher. Une meute de loups s'est fait connaître dans le coin, et qui dit loups, dit carcasses. Et finalement, après s'être fait chasser à grand coups de fourches au cul, cet endroit peut pas être pire : les habitants supportent bien des vampires et des sorcières, ils peuvent bien supporter une hyène galeuse. Ça fait maintenant 10 mois qu'il vit dans un motel pourri à l'extérieur de la ville, et quelques temps qu'il bosse au Fighter, le premier job qui lui plaît. Son histoire ne parlera jamais de grand amour, ni de pard.