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 Esther ✖ Call me karma, babe. Cause karma's a bitch!

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MessageSujet: Esther ✖ Call me karma, babe. Cause karma's a bitch!   Esther ✖ Call me karma, babe. Cause karma's a bitch! Icon_minitime27/7/2013, 03:56

ESTHER GRACE IMOGEN CRAWFIELD
Feat Amber Heard.


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE 15 août 1763, à Londres (souffle bientôt ses 250 bougies) ; ORIGINES anglaises ; CAMP si je suis une conseillère je suis obligée de suivre le maître, duuuh ; NOM DU SIRE Crispin ; DATE DE L'ETREINTE 23 décembre 1790 (à 27 ans) ; STATUT conseillère du maître de la ville (je peuuux ? yeah ) ; DISCIPLINE Thaumaturgie niv.3/Piège des Flammes → Pyrokinésie ; ETAT CIVIL célibataire ; LIEU D'HABITATION je possède un loft en centre-ville METIER écrire ici ; CLASSE SOCIALE aisée ; ETIQUETTE à Shreveport, tout le monde sait que je fais partie des conseillers. J'assure la surveillance de ce cher maître, au cas où il franchirait une limite qui ne serait pas au goût de tout le monde. On peut me considérer comme la garce ultime, faisant preuve de sarcasme - et parfois d'un brin de cruauté - dans n'importe quelle situation. Mais personne ne s'en plaint, je suis belle, riche et puissante. Si quelqu'un le fait, gare à son derrière.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères Décrivez les traits de caractères qui définissent votre personnage, vos qualités, vos défauts, vos phobies, etc… 150 mots minimum. 400 maxi.
Occupation nocturne Généralement les réanimateurs travaillent la nuit... D'ailleurs, avez-vous un emploi? A quoi occupez-vous vos nuits & vos journées plus simplement. Activité sportive, amis, cinéma, boulot… 150 mots minimum. 400 maxi.
Manies, habitudes & goûts Listez vos manies, vos habitudes, ce que vous aimez faire, ce que vous n’aimez pas, bref une petite liste pour montrer votre personnage sous son vrai jour. Facultatif
Discipline Décrivez vos pouvoirs (voir la liste des disciplines) et votre contrôle de vos pouvoirs. Pour les maîtres vampires n'oubliez pas de préciser quel animal vous pouvez appeler. 150 mots minimum. 400 maxi.
Convictions Que pensez-vous de la révélation ? Préférez-vous avant ou après la révélation ? En bref votre opinion sur la question. 150 mots minimum. 400 maxi.
Signes particuliers Vous avez un tatouage ? Une cicatrice ? Peut-être qu’il n’y a pas que votre don qui vous rend différent, dites-nous donc ce que c’est. Facultatif.
VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? inventé ; PSEUDONYME Ellie ; DERRIERE L'ECRAN J'aurais 17 ans dans moins de quatre mois et j'habite en France, dans un coin paumé (a) CODE DU REGLEMENT « Et bien, il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. » ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? via un partenaire, je crois ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM J'ai tout de suite accroché quand j'ai vu les mots « True Blood » et btw, le thème est tout simplement sublime ; AVATAR UTILISE Amber Heard la plus seksouale de toutes. love02  


Dernière édition par Esther G. Crawfield le 27/7/2013, 12:19, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Esther ✖ Call me karma, babe. Cause karma's a bitch!   Esther ✖ Call me karma, babe. Cause karma's a bitch! Icon_minitime27/7/2013, 03:57


Chronologie (en cours)


15 août 1763 – Domicile des Crawfield.

La benjamine de la famille naquit enfin, après huit mois d'attente – et fort insupportables pour la mère, qui passa de vie à trépas avant même que l'enfant n'émette ses premiers pleurs. Dernière d'une famille de trois enfants assez grands pour mener leur propre vie, seul son père était là pour la choyer. Mais il n'avait pas fait preuve de la même joie à l'annonce de cette grossesse, car il savait que cela allait mal se terminer, que ce serait de la faute à sa propre progéniture si celle qu'il aimait disparaissait. Alors il refusa de l'élever et, n'ayant aucune famille à qui demander de l'aide – et se sentant trop coupable de demander à l'un de ses enfants –, il emmena son dernier enfant à l'orphelinat. Il le déposa simplement devant la porte, enveloppé dans un linge immaculé avec pour simple message le nom que sa femme voulait si leur enfant serait une fille : Esther Imogen Crawfield.

20 Mars 1778 – The Girl's Home, Orphelinat exclusivement féminin.

Esther, âgée à présent d'une quinzaine d'années, habitait à l'orphelinat depuis sa naissance. Elle était considérée comme la paria de l'établissement, car tout le monde savait que son père était encore en vie, qu'il l'avait simplement abandonnée. Ne les croyant pas, elle sortait à tout bout-de-champ la version de sa nourrice, qui consistait à raconter les exploits de son paternel comme quoi il serait mort au combat, pour la gloire de son pays. Pour elle, c'était un héros, elle n'aimait pas la façon dont ses camarades ternissaient sa réputation. Alors ni une ni deux, elle décida de s'enfuir. Seulement accompagnée d'un sac repli de quelques vivres et de robes de change, elle jeta un drap noué par la fenêtre de sa chambre, et en descendit, une fois le soleil couché. Elle ne retournerait sûrement jamais dans cette maison, et se jura de se venger un jour ou l'autre. Pour la gloire de son père.

25 Mars 1778 – le Guilty Pleasure, Maison close.

Cinq jours passés dans la rue. Cinq abominables jours. La jeune Crawfield ne tiendrait pas une heure de plus dans ces rues insalubres et seulement couverte de sa cape pour se cacher aux yeux des malfrats du coin, et la faim commençait à se sentir – elle n'avait plus rien à manger. Son teint était plus pâle que jamais, elle avait même constaté une perte de poids. Il fallait qu'elle trouve un endroit où elle pourrait être nourrie et logée gratuitement. L'orphelinat ? Hors de question d'y retourner, on la prendrait pour une idiote. La blonde se promenait dans les rues sombres de Londres quand une insigne tape-à-l'œil lui fit relever la tête : il y était inscrit « Guilty Pleasure » en dessous d'une femme peu vêtue et semblant heureuse. Peut-être qu'elle aussi y serait heureuse.

30 Janvier 1779 – le Guilty Pleasure.

Dix mois étaient passées depuis son admission au Guilty Pleasure, qu'elle avait passés en tant que serveuse. Pour une raison quelconque, ses collègues – si on peut les appeler de cette façon – avaient insisté pour qu'on lui donne un autre nom, et avaient opté pour Grace, faisant référence à l'adresse et la grâce avec laquelle elle servait les clients. La jeune blonde aimait la façon dont on s'occupait d'elle : elle était gâtée, et la plupart des employées la considéraient comme la fille qu'elles n'avaient jamais eue. Mais un mystère planait encore sur la maison : elle n'avait encore jamais vu – ne serait-ce qu'aperçu – le patron. Elle avait qu'il existait, car certaines femmes parlaient de lui. Mais jamais il ne sortait de ses quartiers, ce qui la surprenait. Ne mangeait-il donc pas ? Et pourquoi la maison close ne fonctionnait-elle que la nuit ? Elle était la seule debout la journée. Une autre question lui revenait sans cesse : pourquoi certains des clients ne sortaient plus de la chambre, une fois entrés ? Depuis quelques semaines, plus elle se posait de questions, plus le mystère grandissait et plus elle découvrit qu'on ne lui avait pas tout dit.

Quelques heures plus tard

Elle avait mal. Très mal. Ce n'était pas une de ces douleurs comme celle où on se coupe et qui s'arrête au bout d'un moment, non. C'était une de ces douleurs vives, qui vous brûle les entrailles, qui vous fait sentir comme la personne la plus irresponsable et la plus maladroite de la planète toute entière. Elle aurait dû hurler, lui ordonner de s'arrêter, mais elle n'y arrivait pas ; seul des gémissements sortaient de ses lèvres, qui prouvaient qu'elle aimait ça. Son corps tressautait sous les assauts de son jeune amant, ses mains se refermaient sur les draps tellement fort que ses jointures en devenaient blanches, sa respiration devenait hachée et sa peau se couvrait d'une légère couche de sueur. Il continuait encore et encore, s'acharnait sur elle, et ne s’arrêterait pas tant qu'il serait entièrement satisfait. Soudain, une poigne ferme et rugueuse se referma sur la gorge pâle et douce de la jeune blonde. Elle fut privée d'oxygène, n'arrivait plus à respirer, et seuls quelques moments d'inattention de la part de l'homme parvenaient à la maintenir en vie. C'est là qu'elle vit qu'il allait trop loin. Elle arrivait à peine à bouger, mais un de ses bras était encore libre. On l'avait déjà prévenu au cas où un des clients allait trop loin ; une dague se trouvait dans le tiroir de la table de chevet droit. La peur commençait à s'installer en elle, il fallait qu'elle fasse vite avant qu'il resserre sa main sur elle. Tendant le bras sans qu'il s'en aperçoive, elle réussit à attraper l'arme. Et, faisant passer son bras autour de lui, faisant ainsi semblant de l'étreindre, la dague se planta dans son dos, se frayant un chemin jusqu'à son cœur. C'est ainsi qu'elle tua son premier homme.

15 Août 1790 – centre ville de Londres.

Après ce fort regrettable incident, Esther avait recueilli les félicitations de ses camarades, en disant qu'une aussi jeune femme ne serait pas capable d'autant de courage pour tuer de sang-froid un homme, qui plus est son amant. Elles pensaient toutes qu'elle serait morte bêtement asphyxiée, mais après l'avoir vue sortir de la chambre, rhabillée et l'arme sanglante à la main, tous leurs doutes à propos de la blonde s'étaient envolés : elle était faite pour tuer.
Onze années s'étaient écoulées depuis cet événement, et Esther était devenue une des tueuses les plus expertes et malines de la maison, attirant ainsi la curiosité du patron de la maison close où elle travaillait. En vérité, le Guilty Pleasure était un établissement qui menait les pires criminels à leur perte, aveuglés par le désir et le décolleté généreux de ses employées. Une fois passés la porte du bordel, le retour était impossible.
Ce jour-là, jour de son vingt-septième anniversaire, la blonde se promenait dans les rues de la ville, affublée d'une toute nouvelle robe et ayant une ombrelle à la main, protégeant ainsi la pâleur exquise de sa peau. Elle profitait de la journée ensoleillée comme toute jeune femme normale, tout en réfléchissant à sa prochaine cible à abattre. Cela devait se faire en extérieur, et non dans une des chambres disponibles. Par l'intermédiaire d'une de ses employées, le patron lui communiquait ce qu'elle avait à faire, et cette fois elle aurait affaire à un gros poisson. Quelqu'un qui détenait des informations plutôt sensibles à propos de quelqu'un – elle ignorait de quoi il s'agissait, et de qui il s'agissait. Quelqu'un qui traînait dans de sales affaires, sans doute.
Mais ce qu'elle n'était pas sensée savoir, c'était que sa cible n'était autre que son propre père. Elle ne s'en rendit compte seulement après l'avoir poignardé.