Athéna Brooklyn Aslanidis âge. 23 ans. date et lieu de naissance. 18 septembre 1987 à Athènes. nationalité. Grecque. état civil. Célibataire. lieu d'habitation. Olive St. basée à Midtown. métier. Styliste étiquette qui vous est collé. Athéna est pour ainsi dire, invisible. Elle ne se montre que très peu, seulement quand elle est au boulot, mais en dehors de cela, les gens ignorent tout d'elle. D'une timidité maladive, elle ne parle presque jamais. Elle passe pour une solitaire qui n'apprécie pas la compagnie des autres. Ce qui n'est pas spécialement faux.

traits de caractère. La première chose qu'on remarque chez Athéna, c'est sa timidité. Elle est incapable de dire une phrase sans que des rougeurs apparaissent sur ses joues. Lorsqu'elle adresse la parole à une tiers personne, elle baisse automatiquement les yeux, contemplant de près le sol ou ses chaussures. Elle est incapable d'être à l'aise avec quelqu'un. Pourtant, elle peut être une oreille attentive. Les gens se confient assez facilement à elle. Certainement parce qu'elle ne juge jamais le comportement des uns et des autres. Elle a cette facilité à comprendre ce que les gens peuvent vivre ou ressentir. Et puis, il est certain qu'un secret est toujours bien gardé par Athéna. Après tout, à qui irait-elle répéter toutes ces choses ? A personne. Elle paraît très fragile, ce qui est le cas. Un rien peut la rendre très triste, elle est capable de se mettre à pleuré pour la moindre petite chose qui lui arrive. Elle tient cela de son extrême sensibilité. Et malheureusement, Athéna n'arrive pas à mettre cela de côté, ce qui est assez handicapant dans la vie de tous les jours. Aux yeux des parents de la jeune femme, elle était la douceur incarnée. Incapable de faire du mal à quiconque. Au contraire, si elle voit une personne qui ne va pas bien, elle se fait violence pour lui venir en aide et s'assurer que tout ira bien. Mais bien évidemment, ensuite, elle ne s'encombre pas de faire la conversation. Elle part aussi rapidement qu'elle était venue. Pourtant, elle cache une force de caractère que personne ne soupçonne. Elle ne se laisse pas facilement abattre, elle relève toutes les difficultés que la vie lui impose. Même les plus difficiles et les plus destructibles. Et même si elle n'en sort pas indemne, elle s'accroche pour vaincre les problèmes. Athéna est méfiante envers tout le monde. Peu importe la personne qui s'approche d'elle, elle ressentira cette méfiance immédiate. Il n'est vraiment pas facile de la mettre en confiance, c'est même tout le contraire. Elle a besoin de connaître la personne avant d'être parfaitement en mesure de dire plus de trois phrases à la suite. Comme tout le monde, Athéna a des phobies, et pas des moindres. Elle a peur des insectes, en particulier des araignées. C'est une phobie que presque tout le monde connait. Elle ignore encore pourquoi ces petites bêtes lui font autant peur. Aussi, ce qui amuse les enfants a le don de la terrifier. Les clowns. Elle a une peur atroce des clowns. Et si elle se rend dans un endroit où il y en a, on peut être certain qu'elle fera une belle crise d'angoisse à cause de cela. Et autour d'Athéna, se cache toujours une ombre mystérieuse.

occupation diurne. Athéna exerce un métier qui lui plait énormément. Elle est styliste. Dessinant très bien, elle n'a eu aucun problème à pouvoir faire cela. Elle se montre extrêmement douée et consciencieuse dans ce qu'elle fait. Elle n'aime pas le travail bâclé, au contraire, elle prend le temps qu'il lui faut pour faire les choses correctement. Son métier, c'est un peu toute sa vie. En dehors de cela, elle ne sort pas tellement. Préférant la solitude de son appartement, les douces mélodies qui s'échappent de sa guitare lorsqu'elle joue. Bien évidemment, elle ne reste pas enfermée trop souvent. Il lui arrive de sortir. Parfois. Elle se rend au cinéma lorsqu'un film lui plait vraiment, mais en dehors de cela, il n'y a rien d'exceptionnel dans sa vie. Des amis ? C'est pas vraiment une priorité dans sa vie. Mis à part le travail, quelques sorties, sa vie se résume à la solitude.

manie, habitudes & goût. Athéna a cette manie de glisser ses doigts dans ses cheveux lorsqu'elle n'est pas à l'aise, ce qui lui arrive tout le temps. Elle remet des mèches derrière son oreille, ou elle les glissent entre ses doigts. Son autre manie est de rougir. Constamment. Dès qu'on lui adresse la parole, des rougeurs apparaissent sur ses joues et elles ne partent pas. Dans un cas pareil, elle baisse la tête, regardant le sol durant toute la conversation, n'osant pas affronter le regard de l'autre personne. Lorsqu'elle ne va pas bien, son habitude est de prendre son bloc à dessin et tracé tout ce qui lui passe par la tête. Des visages, des paysages. Tout y passe. Elle a une très grande imagination et n'est jamais à court d'idée. Dans l'autre cas, si elle ne dessine pas, elle joue de la guitare. Ses doigts glissant avec aisance sur les cordes de cet instrument qu'elle porte dans son cœur. Athéna n'est pas une personne très difficile, elle est capable de se prendre d'amour pour tout et n'importe quoi. Elle aime les animaux. Certainement parce que le chien qu'elle avait enfant fut sa seule véritable compagnie. Depuis, elle se sent bien plus à l'aise lorsqu'elle se trouve entourée d'animaux. Elle les trouve bien plus intéressant que les êtres humains qui sont pour la plupart, prétentieux et qui ne pensent qu'à leur petite personne. C'est une chose dont elle a horreur. Elle ne pense que très rarement à elle, alors elle ne peut pas comprendre une personne qui ne pense qu'à soi. De toute façon, le comportement humain lui échappe complètement. Elle n'aime pas avoir des longues conversations – même des petites lui posent problème -, échanger avec les autres n'est pas dans ses habitudes, au contraire.

conviction. Athéna n'a pas vraiment d'avis sur la question. Certes, cela lui pose problème. Déjà qu'elle ne sortait pas beaucoup de chez elle, là, c'est encore pire. Elle n'a aucune confiance envers les créatures de la nuit, bien au contraire. D'ailleurs, elle évite les sorties nocturnes. Inutile de dire que de toute façon, ce n'était déjà pas dans ses petites habitudes. Elle ne sait pas pourquoi cela est arrivé. Elle ignore tout sur les faits et les causes, et d'ailleurs, elle ne s'y intéresse pas du tout. Ils sont là, elle peut rien y faire. Elle vit sa vie tranquillement, elle se tient à l'écart et fait comme si de rien n'était, même si elle n'ignore pas qu'ils sont là. De toute façon, même si personne ne le veut, ils resteront là. Apparemment, ils s'installent bien et ne sont pas prêt de partir. De plus, elle estime que son opinion n'a aucune importance. Elle n'en parle pas. N'y pense pas. Elle fait juste attention à ce qu'elle fait.

signes particuliers. Un tatouage dans le bas du dos.

Spoiler:

histoire.

Il faisait doux en ce mois de septembre de l'année 1987. Dans la ville d'Athènes, une jeune femme répondant au nom de Thea Anastassakis se trouvait dans une voiture conduite par son fiancé, Alexander Aslanidis. La jeune femme enceinte de neuf mois était sur le point de mettre au monde son enfant. La grossesse n'était absolument pas prévu. Avant d'avoir des enfants, le couple voulait s'unir devant Dieu, mais les choses ne se sont pas passés comme prévu. Tombant enceinte un an avant le mariage, ils ont décidés que cela n'était rien. Après tout, ils s'aiment et ils savaient tous les deux que leur union durerait jusqu'à la fin des temps. Ainsi, en ce mois de septembre, Thea mit au monde une petite fille. Athéna Brooklyn Aslanidis. Mais l'accouchement ne se passa pas le mieux du monde. Après cette naissance, la jeune mère ne pourrait plus jamais avoir d'enfant. Bien évidemment, cela lui fit un choc, mais elle savait déjà que tout l'amour qu'elle avait, elle le donnerait à son unique enfant. En sachant que ces beaux-parents ne seraient pas les plus ravis, car ils voulaient à tout prix avoir un descendant. Un petit fils. Néanmoins, elle se fichait bien de cela. Pour elle, le plus important était que sa fille soit heureuse. Lorsque la petite fille eut seulement trois mois, ces parents se marièrent enfin. Faisant d'eux trois, une vraie famille. Et comme prévu, les parents d'Alexander ont mal prit le fait qu'ils n'auraient jamais de petit fils. Une dispute éclata entre les membres de cette famille. Thea ne voulait pas que sa fille soit rejetée par ces grands-parents, mais il n'y avait rien à faire, ils ne voulaient pas d'elle. Chose que leur fils prit mal. A partir de ce moment, il ne voulait plus être en contact avec ces parents qui ont toujours été bien trop sévère à son goût. Déjà qu'ils n'approuvaient pas son choix d'épouser Thea, alors si en plus ils refusaient la présence de sa fille, ça ne passait pas. Ainsi, le contact fut rompu et la petite famille prit son envol.

Quelques années plus tard, alors qu'elle a tout juste 10 ans, Athéna surprend une conversation entre ces parents. Notamment son père qui exprime son malaise depuis qu'il ne parle plus à sa famille. Ils étaient pourtant unis malgré tout. Bien qu'il ait eu une éducation strict, il se trouvait très attaché à ces parents ainsi qu'à son frère. Sans que les parents ne se rendent compte de sa présence, Athéna entendit toute l'histoire, le conflit qui a suivit sa naissance. Aucun détail ne lui échappa. Elle comprit que c'était de sa faute si ces grands-parents ne parlaient plus à son père. Très vite, un sentiment de culpabilité s'empara d'elle. Elle se sentait coupable, se disant que tout était de sa faute. Si seulement elle ne serait pas venue au monde, ou si seulement elle aurait été un garçon, cela aurait été plus simple. Son père exprima le fait que lui aussi voulait avoir un petit garçon, que cela l'aurait rendu moins malheureux. Pourtant, il aime sa petite fille. Il donnerait sa vie pour elle. Mais toutes les belles paroles glissèrent sur Athéna comme la pluie sur une vitre. Elle ne retint que les mauvais mots, ceux qui font mal. Ceux qui sont destructeurs et blessant. Dès ce jour, son comportement ne sera plus jamais le même.
Une semaine plus tard, Alexander invite ces parents et son frère chez lui. Il veut mettre les choses à plat, que tout s'arrange. Toute la famille est réunit. Son frère avec sa femme et leur deux fils. Ses parents. Thea, Athéna et lui. La petite fille ne voulait pas être parmi eux. A ce moment là, elle aurait même vendu son âme pour être loin de cette famille qui ne voulait pas d'elle. Tout l'amour qu'elle porte au fond d'elle, cette amour qu'elle exprimait si bien envers ses parents, devint muet. Comme elle. Durant ce repas, ils avaient bon lui poser toutes les questions possible, s'assurer qu'elle allait bien, elle ne répondait jamais. Le regard rivé sur son assiette, elle refusa d'y toucher. Plus aucun mot ne sortait de sa bouche. Elle semblait être morte de l'intérieur.

En grandissant, la situation ne s'arrangea pas. Au contraire, c'était encore pire. Bien qu'elle parlait de nouveau après un an de silence, elle ne savait plus comment s'exprimer avec les gens. Des phrases confuses, elle murmurait ses mots. La tête toujours baissée vers le sol, ne voulant pas voir le regard de la personne en face d'elle. Son seul refuge était le dessin et la musique. Deux passions qui la faisait vivre. C'était son unique moyen d'évasion, et elle se sentait mieux. D'ailleurs, c'est bien la dernière chose qui l'unissait à son père. En dehors de la musique qu'ils partageaient ensemble, elle ne lui disait jamais rien. Avec sa mère, cela se passait un petit peu mieux, mais tout ce qu'elle aurait voulu dire ne sortait pas. Sa souffrance, sa peine, sa détresse... Personne ne se rendit compte de rien. Ils pensaient que ce n'était qu'une période et que cela s'arrangerait avec le temps. Ils se trompaient. Si ils avaient fais quelque chose avant, elle aurait pu reprendre une vie normale. Mais ils n'ont rien fais. Ils n'ont pas compris que ce mutisme était un appel au secours. Un appel qui resta sans réponse. Lorsqu'elle eut fini le lycée, elle prit une grande décision. Celle de quitter son pays, sa ville, sa famille. Elle avait été reçu dans une université Américaine. Elle s'envola quelques mois avant la rentrée, en sachant que plus jamais elle ne verra la Grèce.

Entrant alors dans une université Californienne, la jeune femme suit des études littéraires, option mode et arts appliqués. Elle se démarque assez facilement des autres étudiants. Elle n'est pas celle qui ira faire la fête tous les soirs, c'est même hors de question. Athéna s'est rendue une seule fois dans une soirée étudiante, et autant dire que cela lui a suffit. Il est hors de question qu'elle recommence une nouvelle fois. A la place de cela, elle poursuit tranquillement ses études, sans faire attention au monde qui l'entoure. Inutile de dire qu'elle est très solitaire, personne ne la remarque et c'est mieux ainsi. De toute façon, elle n'a rien à dire aux gens. Elle est encore incapable de dire plus de trois phrases à la suite. Elle a toujours été mieux toute seule, alors elle ne voit pas pourquoi cela changerait. Athéna ressort de l'université première de sa promotion. Diplôme en poche, elle n'a aucune envie de resté dans cette grande ville qui lui paraît bien trop étrange pour elle. A la place de cela, après quelques semaines de recherche, elle part dans une petite ville de Louisiane, là où elle pensait qu'elle pourrait être tranquille et au calme. Une décision qui lui apprendra bien plus tard que ce fut une lourde erreur. Même ici, les choses ne sont plus les mêmes. Bien qu'elle n'y croit pas vraiment, bien qu'elle pense que cette histoire ne durera pas longtemps, dans le fond, elle sait qu'elle se trompe.

test rp. La ville se réveille doucement. Les premières agitations matinales se font entendre. Une voiture qui démarre. Une porte que l'on ferme un peu trop brusquement. Une tasse qui se casse sur le sol. Les enfants qui se lèvent un peu trop bruyamment après une longue de nuit de repos. Les cris, les premières disputes. C'est dans cette atmosphère qu'Athéna ouvre doucement les yeux. Roulant sur le côté, elle se met doucement en boule, voulant dormir encore un petit peu. Ne plus entendre les talons de la voisine qui claquent sur le sol. Ne plus entendre la voix un peu trop forte du voisin qui s'exprime sur les informations locales qu'il écoute. Finalement, elle sait qu'elle ne retrouvera plus le sommeil. Le moindre bruit la sort de ses songes, et ce matin n'échappe pas à la règle. En grimaçant, elle rejette les couvertures au bout du lit, restant pétrifiée par le froid qu'il fait en cette matinée. Ne voulant pas avoir plus froid que cela, elle sort vivement de son lit et se dirige d'un pas rapide dans la salle de bain. Une douche chaude. Voilà qui lui fera le plus grand bien. Se prélassant sous l'eau chaude qui coule sur sa peau, elle ferme les paupières, profitant pleinement de cet instant de tranquillité. Elle n'entend plus rien. Simplement l'eau qui tombe. Après quelques minutes, elle ferme le robinet et sort de la douche. Enroulant une serviette autour d'elle, Athéna avance vers le miroir d'un pas peu assuré, sachant qu'elle est parfaitement capable de glisser et tomber lourdement sur le carrelage de la salle de bain. Elle se sèche rapidement, laissant sa longue chevelure brune légèrement ondulée descendre en cascade le long de son dos. Attrapant des vêtements dans son dressing, elle s'habille simplement, n'aimant pas en faire trop. C'est surtout sa façon à elle pour qu'on ne la remarque pas. Une légère touche de maquillage plus tard et la voilà enfin prête pour ce grand jour.

Sa première journée de travail. Elle n'arrive toujours pas à y croire. Elle, qui travaille en tant que styliste. Elle ne sait même pas comment elle a réussit l'entretien. Sa timidité handicapante avait prit le dessus par moment. Mais sa force de caractère restant indemne, elle a su se faire violence pour que cela se passe au mieux. Et maintenant, il faut qu'elle assure. Elle n'a pas le droit à l'erreur. D'ailleurs, elle ne se l'autorise pas. L'estomac noué, Athéna sait qu'elle ne pourra rien avaler. Cela lui est impossible. Elle a peur. Peur de faire une erreur. Peur de dire n'importe quoi si on lui adresse la parole. Peur de paraître ridicule. C'est la peur au ventre qu'elle quitte son appartement en fermant derrière elle. Décidant de s'y rendre à pied, préférant prendre l'air, elle avance doucement dans les rues de la ville. Méfiante comme toujours, elle n'a de cesse de regarder derrière elle. La crainte qu'on la suive, certainement. Elle presse légèrement le pas, avançant plus rapidement, mais lorsqu'elle arrive à destination, elle panique. Devant la porte, elle ne sait pas si elle doit s'y rendre, ou faire machine arrière. A vrai dire, sa seule envie est de rentré chez elle, s'enfermer à double tours et ne plus jamais en ressortir.

Restant à l'extérieur durant plusieurs minutes, elle ne parvenait toujours pas à savoir ce qu'elle comptait faire. Elle pesait le pour et le contre. Elle a la chance d'avoir ce travail qui lui plait déjà énormément. Ce poste aurait pu être pour quelqu'un d'autre, mais c'est elle qui l'a obtenu. Mais de l'autre côté, comment faire ? Elle n'arrivera pas à être normal avec les gens. Dès qu'on lui adressera la parole, elle se sentira mal.. Tout devient très compliqué. Elle d'abord. Puis la ville dans laquelle elle vit. Prenant une grande inspiration, elle franchit les quelques mètres qui la sépare de la porte. Elle se hâte, sachant qu'à tout moment, elle peut faire marche arrière. Se trouvant dans le hall, elle regarde la personne à l'accueil qui lui sourit. Athéna lui rend son sourire et baisse immédiatement la tête ensuite. La journée risque d'être longue, très longue.

famille. La famille d'Athéna. Assez simple à décrire, puisque minime. Commençons par son père, Alexander. Architecte connu à Athènes, c'est un homme bon et généreux, mais qui se laisse bien trop souvent envahir par ses émotions. Sa mère Thea, une femme merveilleuse et exceptionnelle qui s'occupait de son unique enfant. Ceux ci n'ont jamais compris le comportement soudain d'Athéna. Ils ne parvenaient pas à comprendre pourquoi elle était si silencieuse et qu'elle se coupé du monde. Simple passade, une petite période qui passera, c'est ce qu'ils disaient. Mais ce n'était pas le cas. Ils n'ont jamais su qu'elle avait surprit cette fameuse conversation, et que depuis ce jour, elle ne se sentait plus à sa place dans cette famille. Un oncle qu'elle connait à peine, des cousins qu'elle a du voir seulement quelques fois, mais aucun lien n'a pu être tissé entre eux. Mis à part les liens du sang, rien ne les unis. Des grands-parents qui n'ont jamais réussi à aimer cette petite fille, et d'ailleurs, cela lui convient très bien. Après tout, son bonheur dépendait uniquement de ses parents. Bien qu'avec les années, ce ne fut plus le cas. Une famille qui paraît être parfaite de l'extérieur, mais qui ne l'est pas de l'intérieur.

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.

Bon petite note mais les araignés ne sont pas des insectes. lol. Sinon je trouve ta fiche remarquablement bien construite, même s'il y a quelques répétitions entre le caractère et les manies, on perçoit bien le mal l'aise de la jeune femme vis à vis du monde extérieur. C'est presque étonnant qu'elle n'ai pas plus de toc ou de comportement étrange. En tout cas je trouve que l'histoire est vraiment bien construite, simple et efficace. J'ai hâte de voir comment elle va affronter le monde extérieur. La pauvre! Bon eh bien je passe à la suite.

J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!

Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des challanges ou bien dans l'animation. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!