Léonardo de Medici âge. 520 ans. date et lieu de naissance. 1490, Florence, Italie nationalité. nom du sire. Elizabeth date de l'étreinte. 1514, Venise, Italie. statut. Ancien. discipline. Domination. état civil. célibataire lieu d'habitation. Quartier résidentiel. basé à Coven Garden. métier. Mannequin au VICTORIAN'S CREATION et ... étiquette qui vous est collé. Une réputation assez ... flippante. Si vous voyez ce que je veux dire. A première vu, il à l'air froid, distant, sans émotion. Quelqu'un de renfermé sur lui même. Cependant, ceux qui le connaissent disent qu'il est très protecteur et à le coeur sur la main. Sa seule présence, l'aura qu'il dégage est assez terrifiante et impose le respect et la crainte. Il fait peur, mais si vous le connaissiez vraiment, vous verrez qu'il est loin de ce que peuvent dire les gens sur lui...

traits de caractère.
« Je vais essayer de répondre à votre question concernant le caractère de mon ami Léonardo. Il est assez… pffff… Il n’y a rien de plus compliqué et d’aussi particulier que la personnalité de Léonardo de Medici. Mon ami. Il est très calme. Extrêmement calme. Assez intelligent pour ne pas dire très intelligent, il reste souvent silencieux, observant les gens avec une rapidité déconcertante avant de pouvoir les juger et se faire une idée sur leur personnalité. Et autant vous dire que cela fait assez peur puisqu’il ne s’est jamais trompé. En tout cas, je ne l’ai jamais vu se tromper. Assez dynamique, il distribue sa joie de vivre partout où il passe et surtout avec ses amis. C’est quelqu’un qui attache une place importante aux valeurs de l’amitié. Donc, si vous êtes son ami, vous êtes sûr de pouvoir compter sur lui à n’importe quel moment. Il fera tous ce qui est en son pouvoir pour vous aider et vous satisfaire. C’est quelqu’un qui a le cœur sur la main. Mais je soupçonne cette trop grande gentillesse de cacher quelque chose. Une peine, une lourde peine mais quelle est-elle ? Je ne préfère pas vraiment savoir et préfère le voir comme ça, joyeux, joueur et charmeur. On forme une bonne paire tous les deux et ce n’est pas vraiment pour me vanter mais… nous sommes de bon séducteur et on s’amuse bien à compter nos conquête… »

Federico, meilleur ami de Léonardo.

« Je le suis depuis sa transformation et autant vous dire que je n’ai jamais eu autant peur de quelqu’un que de lui. Même si je suis terrifiante moi aussi et que j'ai un certain pouvoir sur lui, il arrive à me mettre sur mes gardes. Pourquoi dis-je que j’ai autant peur ? Il dégage une aura phénoménal, quelque chose de monstrueux mais à la fois d’extrêmement doux. C’est difficile à décrire mais je sens derrière cette montagne de muscle quelqu’un de sensible et de torturé. Cette mort qu’il a subit, et celle de son ami l’ont profondément chagriné et changer. Il arbore toujours un visage sans expression, limite dépressif alors qu’au fond, quand on le connait, on sait qu’il est capable de grande chose. De plus, son pouvoir et sa confiance en lui en font quelqu’un qu’il ne faut pas prendre à la légère. Tuer ne lui fais pas peur et il est prêt à exterminer tout ceux qui se mettront en travers de sa route. Quand je lui ai offerte cette deuxième chance, je lui ai demandé de ne pas me faire honte, et de faire en sorte que je sois toujours fière de lui… Jusque là, je n’ai rien à en redire. Simplement, je vous conseille de faire attention. La meilleure des choses qui puissent vous arriver est de devenir son ami sinon… je ne donne plus très chère de votre existence… »

Lizzie, sa créatrice…

occupation nocturne. Généralement, avec mon job de mannequin, je passe mon temps dans les séances de Shooting ou en défiler pour la créatrice que je représente. Je travaille donc mais me produit aussi essentiellement dans les plus grand club de la ville, d'une part pour représenter cette marque de vêtement mais aussi et surtout pour me détendre et m'amuser. Faire la rencontre d'autres personnes, attirer, jouer au jeu du chat et de la souris et aussi... pour me nourrir.

manie, habitudes & goût. J’ai pour habitude, d’ailleurs cela fait partie de moi, de ma personne, de mon être et même parfois je ne le fais pas exprès, d’observer et d’analyser le comportement des gens. Comment ils se tiennent avec tels ou tels personnes, leur façon de se vêtir, de se tenir en publique, de parler. Les mots qu’ils peuvent utiliser, les intonations que peuvent avoir leurs voix. C’est assez… fascinant. Intéressant. J’arrive facilement à en apprendre beaucoup et très rapidement sur une personne rien qu’en l’observant. Et généralement, je ne me trompe jamais. C’est une manie comme certains pourraient dire mais pour moi, cela fait partie de moi, de mon être et je ne saurai m’en débarrasser. D’ailleurs, je n’en ai pas vraiment envie pour vous dire.
Ce que j’aime beaucoup, c’est jouer du piano. Je peux passer des heures assis en face de mon piano et laisser mes doigts glisser doucement sur les touches, les effleurant pour sortir des mélodies que j’aimais tant, en reprenant certaines, en créant d’autres selon mes inspirations. C’est un des instruments les plus mélodieux, les plus romantiques. Là où je me sens totalement à l’aise. Là où mon âme est pleinement représenté.
Autre chose que j’aime assez aussi c’est lire. Tout genre y passe. La lecture me transporte, m’évade pendant quelques temps. J’en oublie alors l’espace de quelques minutes le monde dans lequel je vis mais aussi ce que je suis. C’est apaisant.
Le comportement humain. Je sais que c’est dans ma nature, mais j’aime voir les gens se comporter. C’est très instructif et après plus de 500 ans d’existence je dois dire que je connais le moindre recoin de la personnalité et du comportant de l’espèce humaine.
Et puis… vous mesdames et mes demoiselles. Je dois dire qu’avec tous ce que j’ai pu voir à travers le monde, rien n’égale la beauté que peut dégager la gente féminine. Elles me fascinent, m’attirent et je crois que je ne pourrais vivre sans elles. Mais malgré ça, je n’ai toujours pas trouvé la bonne, celle qui me correspond. Celle en face de qui je resterai hébété, totalement sans voix et sans « talent ». Celle que je ne saurai comment prendre, comment me tenir, quoi dire, quoi faire. Celle qui m’attirerait mais qui en même temps me ferait terriblement peur. Cette femme n’ait toujours pas arrivée, n’est toujours pas apparue et je l’attends toujours…

régime alimentaire. Omnivore. Je me nourris bien entendu toujours de sang humain. Généralement, pour ne pas dire tout le temps même, mes victimes sont consentantes. Il m’arrive aussi, de temps en temps, mais c’est très rare, de goûter un peu à ce sang de synthèse qui a était créé. Mais avouons-le, ce n’est vraiment pas très fameux et puis, il ne fait rien d’autre qu’augmenter notre faim. Enfin, c’est ce dont j’ai l’impression puisque ce dernier ne nourrit pas très bien pour ma part. Rien ne vaut le sang, le vrai, celui puiser à la source.
A une époque, j’étais sans pitié. Je chassais, tuais et éliminais les humains pour me nourrir mais aussi pour satisfaire ma soif de sensation forte et d’adrénaline, cette soif que je ressentais lors de mes nombreuses chasses. Ce plaisir intense de traquer et apeurer sa proie. Mais, et c’est ce qui me différenciais des vampires à l’époque, je ne chassais et tuais que les hommes indigne de ce nom. Je veux dire par là, tous ceux qui avaient des activités allant contre le bien être des humains. Bizarre n’est-ce pas ? Mais s’était comme ça.
Aujourd’hui, tout est bien différent. Je ne tue plus. Et ce, depuis bien longtemps. Pourquoi tuer les humains alors qu’avec de simples mots nous pouvions les attirer et leur laisser le choix ou non – souvent consentant d’ailleurs – de nous offrir leur délicieuse gorge. Rien de très compliqué. Encore faut-il savoir y faire. Après quelques mots, quelques petits échanges, voila que j’attire ses jeunes demoiselles pour un moment de plaisir intense et partagé. D’après ce qu’elles pouvaient dire, après la douleur la sensation était bizarre, étrange mais diaboliquement bonne est excitante. Une belle étreinte, les crocs délicatement plantés dans le cou, me délectant de ce nectar vermeille…

conviction. La révélation ? D’un coté c’est assez bien je dirai, de l’autre non pas vraiment. Comment expliquer ça… C’est bien parce que dans un sens, nous n’avons plus vraiment besoin de nous cacher. Nous pouvons bouger et agir sur le monde aux yeux de tous sans contrainte. Cependant cette révélation est aussi à double tranchant. Maintenant que les humains savent que nous existions, certains vouent leur existence à notre extermination. Certes des lois nous « protège » de ça mais bon… Connaissez vous une loi qui n’a jamais était transgressée ? Non ? Donc voila vous avez votre réponse. Avant, nos seuls ennemis étaient les autres vampires. Maintenant, nous devons aussi nous méfiait des humains alors que nous pouvions nous fondre dans la masse par le passé.
Concernant le régime alimentaire, je connais beaucoup de vampire qui ont était perturbé par tout ça et qui n’ont pu vivre correctement. Pour ma part, cela ne m’a pas réellement affecté. Mon régime étant assez spéciale depuis plusieurs années maintenant, je n’avais qu’à continuer ainsi. Aujourd’hui je me sens assez bien. Aucune menace ne plane encore sur moi, mais cela ne saurait certainement tarder…

signes particuliers. Un tatouage Tribal dans le haut du dos, allant d'une épaule à l'autre.

Spoiler:

histoire. « Mon histoire n’est pas comme toutes les histoires. Pas comme toutes ces histoires d’amour qui se termine bien et où tout le monde est heureux. Tout d’abord parce qu’elle n’est pas encore finie et que je ne peux prédire l’avenir. Il n’y a pas de happy end. Elle n’est pas faite pour les âmes sensibles. Mais c’est mon histoire et je vais vous la conter…
Je suis né en l’an de grâce 1490 à Florence en Italie, pendant la période de la Renaissance. Une des plus belles périodes de l’histoire de l’Europe. Berceau de la Renaissance en Italie, Florence, classé patrimoine mondial de l’Unesco, présente une très grande richesse artistique. La puissante cité des Médicis ne se laisse pas apprivoiser au premier coup d’œil. Cette ville à alors vu naître le dernier fils de la puissante famille italienne des Médicis. Mon père, Lorenzo Il Magnifico de Medici, était celui qui a propulsé la ville de Florence au sommet de l’Italie. C’est sous son gouvernement que Florence a connu son apogée.

Né dans une famille alors assez aisée, je jouis toute ma vie d’une aisance fiscale et diplomatique jusqu’alors réservé à une petite minorité. Cependant, je n’eu pas le loisir de connaître réellement mon père. Il Magnifico comme tout le monde l’appeler alors, nous avait quitté prématurément durant l’année 1492. Je n’avais alors que deux ans. Ma mère, s’occupant avec l’aide de ses fils ainés de l’empire Medici, me confia alors aux bonnes de la maison. De vieilles dames très gentilles qui me donnèrent tous l’amour que je pouvais demander. Je grandi alors dans cette famille, sans vraiment la connaître, et sans vraiment être très connu moi-même comme étant un Medici à part entière. L’ensemble de ma petite vie de privilégié et de Noble se déroula alors assez calmement. J’étudiais les finances, tous ce qui touchaient aux arts, que se soit la peinture, la sculpture, la littérature ou la musique, et était adepte d’un petit jeu que quelques amis et moi avions créés en quelque sorte. En tout cas, simplement les règles puisque pour la base, j’étais sûr que nous n’étions pas les seuls…
L’année de mon vingt-quatrième anniversaire, mon meilleur ami, celui que je considérais vraiment comme un frère, me fit le cadeau d’un voyage assez long à Venise. Une magnifique ville d’Italie, réputé pour son carnaval et ses soirées festives. Franchement, je ne trouvais alors pas meilleur cadeau. Les yeux pétillants et tout heureux, c’est en souriant que j’embrassais les femmes qui m’avaient élevées avant de partir au bord de la charrette en direction de cette ville. À ce moment là, j’étais loin de me douter que s’était la dernière fois que je les voyais… Après plusieurs jours de marche, tout en rigolant et en s’amusant, s’arrêtant ci et là, nous arrivèrent dans l’une des plus belle cité d’Europe, les festivités du carnaval commençant déjà à avoir lieu. C’est sous un air émerveillé que nous nous adonnions alors aux joies de la cité, portant des costumes chic et chère et des masques cachant notre visage, les jeux de séduction pouvaient donc avoir lieux…

« Regarde par là-bas mon frère. Ne sont-elles pas magnifique ? En plus elles nous invitent à une soirée privée. Allons-y Léo… »

Ne pouvant l’empêcher et étant là pour m’amuser aussi, je le suivis alors et m’engouffra, après quelques petites secondes de marches dans les rues pavés de Venise, dans une magnifique maison où le hall de réception pouvait accueillir à vu d’œil plus d’une centaine de personne. Quelque chose de vraiment impressionnant et d’enivrant mais la chose qui me perturba le plus à se moment là, était la beauté qui émanait des femmes mais aussi des hommes présent dans le lieu. A coté d’eux, j’avais l’impression de n’être rien d’autre qu’un moins que rien, qu’un minable à coté de Dieux et Déesses. D’ailleurs, je n’étais pas le seul à penser cela. Souriant et faisant mine d’être totalement décontracté, mon ami se retourna vers moi et me glissa alors ses deux mots que je garderai toujours en mémoire « Très effrayant… » Hochant simplement la tête pour lui montrer mon accord, nous fûmes alors précipité violemment contre le mur qui se trouvait derrière nous. Je n’avais rien vu venir. Que s’était-il passé exactement ? Me redressant difficilement en m’appuyant contre le dit mur qui était effrité de toute part, je retombais violemment sur le sol en sentant une douleur envahir l’ensemble de mon corps. S’était comme si tous mes os avaient cédés. Retournant difficilement mon visage vers mon ami, je le vis, les yeux livides alors que les personnes présentent s’acharnaient sur son corps. Qui étaient-ils ? Qu’étaient-ils entrain de lui faire ? Je n’en avais aucune idée jusqu’à ce que d’autres se jettent à leur tour sur moi et m’inflige le même sort…
Des monstres… s’était la seule chose qui me venait à l’esprit. Le regard vide, je commençais doucement à perdre se monde. Je sentais mon sang me vider alors que je ne pouvais plus bouger. Ce qu’ils étaient entrain de me faire n’avait plus réellement d’importance. Je ne sentais plus rien et je savais que mon heure était venue. Les yeux clos, je sentais la mort m’envahir et me prendre dans ses bras jusqu’à ce qu’une douce voix se glisse au creux de mon oreille. Celle-ci me murmura plusieurs fois quelques mots, comme si elle s’attendait à ce que je l’écoute, la comprenne et suive ses dires. Mais je ne comprenais rien, simplement un charabia. Etait-ce la parole d’un ange ? Je n’en avais encore une fois aucune idée mais je savais que je me devais de l’écouter et de la suivre. me concentrant, j’arrivais alors à capter ses paroles…

« … vie. Vie et venge ton ami. Venge ce qu’ils t’ont fait. Un homme aussi beau et puissant que toi ne devrait pas mourir dans ses conditions. Je t’offre une seconde chance. Accepte là et fait en sorte que je ne sois jamais déçue et honteuse de toi. Vie belle homme et peut-être qu’un jour, nous nous retrouverons… »

Qui était-elle ? Qu’avait-elle fait ? Une immense douleur s’empara alors de moi. Moi qui, quelques secondes plus tôt ne ressentais plus rien. Là j’avais mal, je hurlais de douleur. J’avais l’impression qu’un feu, qu’un torrent de lave coulait dans mes veines, me déchirant et me détruisant de l’intérieur. Une seconde chance ? Allais-je vraiment m’en sortir ? J’en doutais. La seule impression que j’avais était que l’on me torturé avant de me rendre à la mort. Puis… plus rien. Petit à petit, je sentais la vie me reprendre. Mon corps était mort, je le ressentais. Je ressentais le fait que plus rien ne bougeait ni ne vivait à l’intérieur. Mais j’étais toujours là, toujours dans se monde. Ma conscience était toujours éveillée et présente dans se monde. Mais bizarrement, elle avait l’air de prendre bien plus de place. Ouvrant alors vivement mes yeux, je fus déconcerté par la clarté de cette vision. Les moindres détails qui apparaissaient devant moi étaient très clairs. Que s’était-il passé ? Me relevant, je me mis sur mes pieds rapidement et en un geste simple et léger. Petit à petit, je découvrais les changements qui avaient eu lieu sur moi-même. M’agenouillant près du corps de mon ami, je le vis sans vie, mort. Très pâle, l’ensemble de son sang l’avait quitté. Et un flash me transperça l’esprit. *Vampires…* pensais-je alors. J’avais lu des histoires, des comtes et des légendes venir des quatre coins de l’Europe. Toutes parlaient de créature, mi-humaine mi-monstre, se nourrissant du sang des humains et étant immortel. Etait-ce ça qui nous avait frappé. Etais-je devenu l’un des leurs ? L’attirance que j’avais à l’instant même pour la petite flaque de sang se trouvant sous le corps de mon ami répondit directement à ma question. Oui j’étais désormais l’un des leurs… et j’étais assoiffé. Mais j’avais aussi une mission. Une mission confiée par une femme que j’avais à peine vue, une femme qui m’avait donné une seconde chance. La Vendetta m’attendait…

Quelque part en Italie, 1544, 30 ans plus tard…

Son visage entre mes mains, je le regardais en souriant alors qu’il me suppliait de ne pas le tuer. Ses paroles me firent rire et c’est en le regardant avec sérieux et méchanceté que je le décapitais avant de le jeter dans les flammes. Me retournant je repris alors mon chemin. Un chemin désormais vide de but. Ma Vendetta avait pris trente ans de ma vie. Trente ans durant lesquelles j’avais traqué à travers toute l’Italie nos assassins. Et maintenant, je n’avais plus rien d’autre à faire. Je me mis alors à marcher, sans savoir où j’allais, laissant mes pas me traîner là ou ils le voulaient.

test rp. La nuit était fantastique ce soir là. Mes pieds foulant le sol de cette ville, je marchais doucement, tranquillement, vers le studio où j’avais rendez-vous pour ma séance de shooting habituelle. Je fermais les yeux, humant délicatement le parfum qui flottait dans cette atmosphère fraiche et calme. Un bien être total s’empara de mon corps, de mon âme, alors que j’avançais avec des pas lents et discret dans les rues de la ville. Pendant un instant, mes yeux se posèrent sur cet océan noir que formait le ciel, y découvrant alors ses merveilleuses étincelles dont il était parsemés, m’y perdant totalement alors que mon esprit vogué vers des temps lointain…
Je revoyais rapidement mon passé, avant mon arrivé dans cette ville. Voyageur, j’avais entrepris de réaliser un rêve qui m’avait toujours tenu à cœur lorsque je n’étais qu’un simple humain, voyagé à travers le monde. Grâce à mon immortalité, j’avais pu entreprendre ce voyage et découvrir chaque pays, chaque terre mais aussi chaque civilisation. Chaque culture, leur façon de vivre, de penser, de se nourrir, de travailler ensemble etc… chaque régions était bien différente. J’avais donc pu emmagasiner un tas de connaissance qui n’avait jamais quitté mon cerveau avant de venir m’installer ici. Dans cette ville.

Mes pensées filèrent alors une nouvelle fois, faisant un bon dans le temps à l’époque où la Révélation venait d’avoir lieu. Comment exactement ? Qu’est-ce qui avait poussé cela ? Je ne le savais pas réellement. Tout ce que je savais s’était que mes coutumes et mon train de vie n’avait en rien changé. Ce qui n’était malheureusement pas le cas de tout le monde dans la communauté vampirique. Pour certains, cela était du grand n’importe quoi. Nous étions alors connus de tous et même traqués par certains qui ne voulaient pas de nous dans leur monde. Mais ces humains là ne savaient pas que nous avions toujours existé. Que depuis des siècles immémoriaux, nous foulions le sol de cette Terre. Nous avions donc autant le droit de « vivre », qu’eux. Il n’empêche, cette Révélation eu des effets assez négatif dans un premier temps et pendants quelques années. Combien de vampire avais-je vu craquer au point de ne pas respecter les règles établies et tuer sans scrupule les humains ? Combien de vampires avais-je entendu se faire tuer par des groupes d’humains désireux de les voir retourner en enfer ? Beaucoup trop.
Pour ma part, me concernant moi exclusivement, rien n’avait vraiment bougé. J’agissais de la même façon que le code d’étique que je m’étais élaborer plusieurs années plus tôt. Je ne tuais plus les humains, au contraire, je faisais en sorte de me nourrir d’eux sans leur apporter la mort. Ils m’apportaient la vie alors pourquoi devais-je leur ôter la leur ? J’arrivais généralement, sans avoir besoin de ma force de persuasion, à me nourrir sans difficulté grâce à toutes ces charmantes filles qui tombaient sous mon charme. Découvrant ma nature, étant fasciné par tout ça, elles acceptaient alors totalement de vivre l’expérience de la morsure et l’orgasme qu’elles pouvaient en tirer. S’était quelques choses de bénéfique pour tous.

Manquant de trébucher sur un trottoir que je ne perçus qu’à la dernière seconde, je décidais alors de sortir de toutes ses pensées et de revenir à l’instant présent, au fait que je marchais tranquillement dans les rues de la ville, vers mon travail. Je me demandais d’ailleurs ce que Joy avait pu créer dernièrement et ce qu’elle comptait me faire porter. Quoi qu’il en soit, cela devait être comme toujours assez exceptionnel. Son talent me surprenait agréablement de jour en jour. Tournant sur la droite, empruntant la rue principale de la ville, je longeais avec plus de vitesse les immeubles qui s’y trouvaient pour arriver plus rapidement au studio de mode. Alors que je ne me trouvais plus qu’à quelques mètres, je sentis soudainement un parfum qui s’empara de mes narines. Un parfum si doux, si alléchant que mes pas s’arrêtèrent. Mes sens se réveillèrent et s’intensifièrent alors et après quelques secondes, j’aperçus la personne à qui appartenait ce parfum si exquis. Mes yeux s’écarquillèrent grandement alors que je suivais la démarche de cette beauté. Chacun de ses gestes m’apparaissaient clairement et c’est avec une certaine joie que je perdis dans la contemplation de son visage si angélique. Ses traits fins, les courbes de ses yeux et leurs couleurs, ses longs cheveux brun voletant dans les airs… Sentant une pression dans ma poitrine, j’y déposais ma main et remarqua avec stupéfaction que mon cœur s’était emballé. Celui-ci qui battait normalement à une certaine lenteur était entrain de cogner avec force et détermination contre mon torse, y soulevant presque mes muscles et ma cage thoracique. Quel était se sentiment ? Qu’elle force était-elle entrain d’exercer à se moment là ? Je n’arrivais pas à le comprendre et pour la première depuis bien longtemps, la peur s’empara de moi. la regardant poursuivre son chemin, je ne me remis en route et entra dans le studio qu’une fois que mes yeux ne la percevaient plus. Qui était-elle ? …

famille. Ma famille… que dire sur elle que vous ne savez pas ? La famille de Medici était une puissante famille de banquier de Florence dont la puissance émergea à l’époque de la Renaissance italienne. A vrai dire, à l’époque où mon père, Lorenzo Il Magnifico de Medici, pris les reines de la puissante cité de la Toscane. Cependant, c’est le seul lien que j’eus avec ma famille. Né en 1490, je ne connus pas mon père, ce dernier nous quittant en 1492 alors que je n’avais que 2 ans. J’étais le petit dernier d’une famille composé de dix enfants. Tous ayant vu le jour entre 1470 et 1479. Autant dire qu’ils étaient tous assez proche et tous assez vieux et éloignés de la famille lorsque j’eus l’âge de la raison.
Notre famille détenant un empire bancaire dans différentes grandes villes d’Italies mais aussi d’Europe, il y avait beaucoup à faire pour que tous fonctionnent correctement, voila pourquoi je ne pu réellement connaître mes frères et sœurs. Ils n’étaient pour moi que des étrangers et je les considérais comme tel lorsque nous nous voyions. Mais ceci était assez rare tout de même. De plus, ma mère, Clarisse Orsini, était assez occupée, trop occupée même, pour ne pas s’occuper de moi. Enfin… c’est l’excuse que je m’étais donné pour son manque de présence à mes cotés. Les seules personnes qui avaient pu me donner l’amour dont un gamin de mon âge avait besoin étaient les bonnes femmes de la maison. Elles étaient les figures maternelles dont j’avais besoin et jamais je ne pourrais assez les remercier…

Irène de Sainte Hermine a écrit:

moi je dis qu'il devrait être mannequin :045/:

Leonardo de Medici a écrit:

Irène de Sainte Hermine a écrit:

moi je dis qu'il devrait être mannequin :045/:

Hummm... pourquoi pas :D

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.

Pour commencer le contrôle des forces terrestres ne fait pas parti des disciplines, et pour être franche ça ne correspond pas du tout au type de pouvoirs que possèdent les vampires. Je suis pas contre qu'on propose des disciplines inventés mais ça c'est des pouvoirs réservés aux sorciers.
Pour le reste je dois dire que même si l'histoire s'arrête juste après la transformation, tu as quand même réalisé une bonne fiche, intéressante et dévoilant toute la complexité de ton personnage. En fait, s'il n'y avait cette petite erreur sur la discipline, je t'aurais volontier validé. J'attends donc que tu modifie ce détail.