Je suis pas sportive. D'ailleurs, j'ai aucune envie de pratiquer ce genre d'occupations qui met en puéril le nombre de clopes que je fume par jours. Deux paquet de Blastesph Whife (Cigarettes), je veux bien, à condition que j'en laisse pas une moisir dans le paquet, ça m'agace et ça gâche mon principe de vie. Je chante, parle, dévisage les gens, rie, crise, me comble sexuellement et mange obligatoirement attaché à une clope de marque Blastesph Whife. Rien à foutre, fumer me donne confiance en moi, en mon aisance scénique comme en mon aisance verbale.

Sinon, je suis plutôt du genre à ne pas supporté LA moindre réflexion, quelle qu'elle soit, à mon égard. Celle qu'on fait aux autres m'importe peu. Je suis exaspérante et digne de l'être. Bourrée de principes et d'impulsivité aussi bien physique que moral. J'aime les raviolis, je souhaite seulement qu'on arrête de m'emmerder à me demander si j'ai encore faim quand je termine mon assiette parce que la boite de raviolis est vide. En faite, ce qui m'insupporte, c'est quand mon père me demande : "T'es sur, tu veux pas gouté le foi gras ?" et que mon frère rabâche par derrière : "Laisse Papa, Yelle est anorexique depuis trop longtemps pour que tu puisse t'en rendre compte." Certes, c'était Noël dernier, mais ma famille aurait pu faire l'effort de m'acheter une boite de raviolis ce jour là, du moins pour évité que je tombe dans les pommes parce que j'avais rien bouffé de la soirée. Je mange que ça et j'ai en tête de ne rien avalé d'autre. J'imagine toujours des groins de cochon à la place des pains au chocolat, des serpent à la place des pattes, de la morve à la place des yaourts. Puis je suis végétarienne, alors bon. Mais les raviolis sont une exception !

Quand j'y repense, mis à part mes principes et ma répartie occasionnelle, je ne sais pas réellement qui je suis. Je me demande parfois si la vie veut de moi, car je veut de la vie. Peut être devrais-je ne plus vouloir d'elle pour qu'elle ai à nouveau envie de moi ?

Je joue la comédie H24. J'adore ça ! Puis d'ailleurs, j'évite de me faire connaitre en tant que telle pour ne pas éveiller les soupçons. J'ai fais et dis tellement de conneries que j'y tiens dur comme fer, je ne veux pas que mes proches me prennent pour une menteuse, je préfère garder l'image d'un zombie à gueule de bois ambulant le Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi et Vendredi.

Je me déchire la tronche à l'air sec. Produit pour nettoyer les toilettes et les ordinateurs. Je sais que mon cerveau en prend un bon coup de fouet mais... Mais je peux plus m'en passer et point barre sans retour à la ligne ! Bon, ouais, sinon, j'aime dessiner pour les sans abris, ils sont plus attentif que les autres à mes chef d'œuvre mal foutu. En réalité, je passe mon temps à fumer, à boire et à papoter avec les gens de mon quartier.

Je m'exerce et me concentre plus sur mon métier de comédienne que sur mes pouvoirs, tous aussi médiocre les uns que les autres. Je me répète sans cesse qu'il faut que je travaille certaines bases. Même si j'avoue savourer une partie de cette pratique. Néliacie était, et est redevenue tout pour moi ! Je m'accroche à ma revenante et ne souhaite plus, pour rien au monde, réanimer un étranger pour me tenir double compagnie. Elle me suffit, je sais que la présence d'une autre personne revenue à la vie la rendrait folle de rage. Déjà que Néliacie supporte mal la présence des vivants... Malheureusement, elle est encore au stade "Légume, gardant ses pétage de câble", mais je finirais un jour par lui redonné son âme ! J'ai su à mes 14 ans que j'avais ce don, je l'ai plutôt bien encaissé. Disons que je n'avais pas réellement le choix, je n'ai pas su faire le deuil de la mort de Néliacie, ma meilleure amie d'enfance. Je ne pratique cette chose que pour moi, pour personne d'autres ! Qu'importe le prix et le chagrin, car je sais que pour ma part, la réanimation de Néliacie était une erreur. J'en souffre plus qu'autre chose. Je sais qu'un jour je devrais m'en séparer.

Je peux crier sur tout les toits ce que je vaux, ainsi que mes pratiques, reste à chercher à qui... Je ne suis pas beaucoup entouré et mes proches, peu soit-il, pratique la nécromancie, tout comme moi. Je ne voie pas d'intérêt à avouer ce que je fais à des personnes extérieure.

Il y a peu de temps de ça, je me suis marqué un dessin de cigarette sur mon poignet, avec une clope Blastesf Whife. Je m'ennuyais.

14 ans, l'âge con. Je logeais chez mes parents dans un des appartements les plus luxueux de Stoner Hill. Même si, à vrai dire, cet appart' était totalement dérangé, fenêtre brumeuse, tables, chaises, salon, cuisine en mauvais état. Le fait que nous possédions un étage munit de cinq chambres, un salon, deux cuisines et deux salles de bain le rendait bien trop vaste par rapport aux voisinage qui résidait dans un une pièce moins dégradé.

Comme à mon habitude, je me rend devant le pallier de ma porte, en cachète de mes parents. Une feuille glisse sous la porte, la prenant avec excitation, je n'eus pas besoin de reconnaitre l'écriture de Nellie, ma seule et véritable amie de mon âge.

VICTOR
Yelle, ta mère au téléphone qui veut te parler.

Merde. Mon visage se crispe, je scrute en travers de l'entré le salon ou repose mon père sur son canapé fonction lit. Il ne me jette pas le moindre regard, obnubilée par ses mot croisés, tendant le téléphone fixe à mon égard. L'ignorant, j'approuve un grand sourire au petit mot de Nellie, attendant devant l'entrée.

" Y'a Grég qui nous attends au 7 PÊCHÉS CAPITAUX. "

J'attrape vivement un stylo d'un des meuble de l'entré et lui écrit " Le gars chelou, grave canon au Tennis là ? ". Puis, je glisse à nouveau le papier sous la porte.

VICTOR
Yelle ?

HÉCATE
Oui ?

VICTOR
C'est quand tu veux hein.

Ne trouvant pas d'autres solution, j'improvise et me met à tousser de manière assez crédible pour l'enroulé.

VICTOR (Sans décliner des yeux son magasine)
Ça va pas Yelle ?

HÉCATE
J'ai.. (Tousse) Je croie que (D'une voie étranglé).. Je vais prendre l'air !

Je sors en claquant la porte. Nelly me souris, me décapite des yeux, m'attrape par la main en laissant la feuille de papier et m'emmène descendre les deux étages de l'immeuble à tout allure, mon cœur en fait un retour arrière, puis elle m'arrête en me plaquant contre le mur, sa main sur le milieu de ma poitrine.

NELLIE
Tu sais quoi ?!

Je désapprouve son questionnement.

NELLIE
Parait que Grégoire c'est le genre de mec en qui tu peux pas avoir confiance... Briseur de cœur et tout le tralala.

HÉCATE
Greg ?! Non, c'est juste un type super sensible qui sait pas dire non !

NELLIE
C'est pas le problème chérie ! (Prend une pause) ..Ce mec là, c'est un gars pas net du tout. Tu sais, l'autre fois, je l'ai aperçue vers le cimetière du coin vers Galloway...

HÉCATE
Ouais et ben ?

NELLIE
Bah je peux te jurer qu'il est pas net !

HÉCATE
Tu sais, c'est juste un quartier comme tant d'autres, avec plus ou moins de misère...

Nelly plaque sa main sur ma bouche.

NELLIE
Tu vas me rendre un service.

Je me défais de son emprise et m'allume une clope.

HÉCATE
Je savais bien que y'avait un truc. Ouais donc, t'es sortis avec, il t'as saut...

NELLIE
Non ! C'est un attardé ! Un nécrophile ! Un fou furieux ! Je t'assure, je suis pas sortie avec ni rien ! Et même s'il m'aurait fait du mal, tu me vengerais hein ?

HÉCATE (Mal à l'aise)
...Évidemment... Oui.

Nellie me relance un regard offusqué, me tourne le dos et sort de l'immeuble, je la suis sans poser de questions. Après vingt minutes de marche silencieuse, lançant des regards autours de moi, paniqué à une heure aussi tardive dont j'avais loupé le coup de feu et la remise à l'ordre au lit pour péter la forme le lendemain, on s'éloignaient de plus en plus de notre résidence. Je n'ose lui demandé quoi que ce soit, de peur qu'elle s'énerve et qu'elle fasse son spectacle au beau milieu de cette rue accompagné de personnes malveillante. Cinq minute plus tard, à marcher jusqu'à ne plus sentir mes pieds, je remarque tout juste que cette douleur au orteils provenait du faite que j'avais totalement oublié de me chausser. Nellie, projeté et ne lâchant pas son idée qui me tracasse depuis plusieurs minutes, ne l'avait pas remarqué de même.

NELLIE
Arrivées !

Surprise par son enjouement, je reste bouche bée. Mes pieds sont congelé, je ne les sens plus. Un homme d'une quarantaine d'année nous intercepte, ses paroles sont vive mais mes oreilles emprise, je suis tétanisé. Je ne comprends pas un seul mot de ce qu'il raconte, mis à part que son arrogance et ma non présence à l'air de l'enragé quelque peu.

L'INCONNU
T'es sourde ?!

Il me pousse, Nellie me rattrape et se met à gueuler. Je suis ailleurs, totalement achevée par ce que Nellie me fait subir sans que je n'ai mon mot à dire, sous peine, ou plutôt peur, de la perdre à jamais. Nellie me prend par le bras et me fait contourner cet homme, elle marche d'un pas vif. Reprenant peu à peu mes esprits, une jeune femme se fait agressé par quatre hommes, je reste planté là, cherchant une solution.


Nellie me remet les pieds sur terre et continue sa démarche, me tenant toujours fermement le bras. Un jeune violoniste, assit sur un rebord de route, fait part d'une musique plutôt joyeuse dans une ambiance macabre comme je n'en ai jamais vue.
C'est la première fois que je pose mon pied ici, jamais auparavant je n'aurais songé à passé par un quartier aussi malsain.

HÉCATE
Attends moi.

NELLIE
Qu'est ce que tu fou ?

Ne l'écoutant pas, je m'approche de cet étranger, m'assoit à ses côtés et écoute sa mélodie.

HÉCATE
Je peux vous en prendre deux, trois petite gorgés ?

Dis-je au musicien en souriant. Celui ci acquiesce, avalant au goulot sa bouteille de Muscadet, je n'ai pas pu m'empêcher de prendre la double dose.

LE MUSICIEN
Oh ! Pas touche !

Nellie s'approche de moi, révoltée.

NELLIE
Non mais tu me fais hallucinée ! Allez viens, t'auras autant d'bières que tu voudra tout à l'heure !

Je me lève lentement.

LE MUSICIEN
Oh, t'es pas bien toi ! T'as dis trois gorgés !

HÉCATE
Bah ouais.. Trois grosses...

Le violoniste explose son violon et se redresse pour m'en foutre une, Nellie m'ordonne de courir. Une fois sortit de ce quartier d'attardé, Nellie m'embarque vers un cimetière derrière le bar des "7 PÊCHÉS CAPITAUX". Mon amie continue son chemin vers le bar tandis que je cesse mes pas, attendant une réflexion de sa part.

HÉCATE
Tu m'disait qu'il t'avait fait souffrir ce mec ?

Nellie s'approche et je lui susurre à l'oreille.

HÉCATE
J'te propose qu'on s'fasse une soirée spiritisme avec monsieur bizarroïde, voir si ça lui flanque la trouille ce genre de trucs.

Stupeur ! Je reconnais cette voie familière et inconcevable à un moment pareil. Je reçois quelque postillons sur un coin de ma nuque dégagé de ma chevelure.

VICTOR (Abasourdit)
Rentre à la maison !

Mon père détourne son regard sur le visage de Néllie, rougissant d'un malaise peu commun dans son fonctionnement.

NELLIE
On voulait juste...

VICTOR (La coupe)
Je veux rien savoir ! Monte dans la voiture Yelle !

Je baisse le menton, camouflant mes yeux de ma frange juvénile. Puis approuve. Mon père m'emmène sur le trottoir opposé où se trouve sa vieille poubelle munit de vitre automatique. Emprise par la main de mon paternel, serrant fort mon poignet comme jamais, je me tourne vers Nellie, sauvagement écœuré de mon obéissance. Mon père ouvre la portière arrière, énervé et à la fois angoissé de mon comportement.

HÉCATE
Je monte à une condition...

VICTOR (Sec)
Y'a pas de négociation.

Il ferme la portière violemment et s'installe sur la banquette de devant, enroule ses clé avec agilité et commence à démarrer. La voiture démarre rapidement, Nellie reste planté au même endroit, gardant toujours la même expression de dégout paraissant fissuré sur son visage. D'une impulsivité comme jamais je n'avais eu à cette époque, j'ouvre la portière et saute de la voiture, me cognant accidentellement le front sur le gravier.

VICTOR (Hurle, terrifié)
Yelle !

Je me relève, secouée. Nellie est en face de moi, agenouillée, les mains tremblante, tâtant ma plaie en perdant ses moyens. Je ne pense pas saigner, j'ai seulement l'impression de recevoir plusieurs coup de marteaux d'affilé interne de mon crâne. Enragée par cette douleur qui me procure un mal fou, parmi le public surprit de mon acte, me scrutant abondamment les uns des autres, je dévisage mon père avec une profonde agressivité.

HÉCATE (J'hurle)
Putain mais t'es trop con ! T'es un bordel d'égoïste qui pense qu'à ta gueule ! T'aurais laissé ma pote dans la merde dans ce quartier pourrit ?!

Plusieurs minutes plus tard, assise avec Nellie se consacrant à mes besoins sur la banquette arrière, je ne lance aucun regard à mon père, encore sous l'effet de la douleur et de sa non réaction lors de ma chute de tout à l'heure. Ignorant l'ambiance dans cette bagnole, je regarde le quartier défilé par la fenêtre. Une bande de quatre personnes parlent entre eux, alcools et clopes à la main.

HECATE
STOP !

Mon daron frêne et dérape sur la route parsemé de verglas.

VICTOR ET NELLIE
Quoi ?!

Sans prendre la peine de leurs répondre, je me hâte de sortir de la voiture pour rejoindre un de ses mecs. Gregory est en leurs compagnie. Je le salue et fait signe à Nellie de me rejoindre. Mon cœur carbure ce qu'il lui reste encore. Je sais que je dois venger Nellie, par n'importe quel moyen, mais rien que le fait de faire souffrir un garçon que je connais qu'à peine me tord le plexus solaire. L'angoisse, ouais, ça doit être ça. Je m'en fou ! Je voie Nellie échanger quelque mots avec Victor, puis sortir à son tours, s'avançant vers nous dans une démarche aguicheuse qui ne lui ressemble pas. Je ne me demande même plus ce qu'elle complote, j'ai conscience que ses actes sont irréfléchi mais remédiable.

GREGORY
Qu'est ce que tu fou là toi ?

Je rattrape le coup, du moins j'essaye.

HÉCATE
Nellie souhaite s'excuser pour ce qu'elle t'as fait subir.

Choqué et dans une incompréhension la plus totale, Gregory échange des regards sceptique à l'encontre de mon amie.

GREGORY
M'a fait subir ?

NELLIE
On peut se parler en privé, cinq minutes max !

GREGORY (L'ignore et continue sa route)
J'ai pas de temps à perdre.

HÉCATE
Je peux vous tenir compagnie ?

VICTOR
Tu me déçois Yelle ! J'en toucherais deux mots à ta mère !

UN MEC DE LA BANDE
Pas commode ton père...

HÉCATE
Ouais...

Je sens la présence de Nellie se mettre à l'écart de la bande. Je fixe vaguement les trois autres jeune me lançant un sourire sympathique. Nelly s'écarte de plus en plus et tourne talons, ce qui interloque Gregory. Mon père perd patience et redémarre la voiture puis s'éloigne.

NICOLAS (Éméché)
Je m'appelle Nicolas.

GREGORY
Nellie ! Attends !

Greg cours à sa poursuite.

Une soirée sympathique, courte, mais joviale.


Droguée, tenant sur pattes, je scrute la pièce où je suis retombé, ne me souvenant que trop peu de la nuit passé avec les ami(e)s de Gregory... Les draps me gène, j'ai chaud, physiquement et intérieurement, mes jambes sont lourdes, mes bras bourré de fourmillement. Je remarque tout juste que je me retrouve en sous vêtements dans un lit superposé, Nicolas, le garçon paraissant si responsable dort profondément à mes côtés, une de ses mains moite sur ma poitrine. Je prends confiance et lui enlève agressivement. Il grogne mais ne se réveil pas de son sommeil profond. Paniqué, je saute du la mezzanine, fouillant de fond en comble mes affaires d'hier. Que dalle. Je pousse l'épaule de Nicolas, celui ci pousse un deuxième grognement. Il commence à me gonfler ! Je le repousse à nouveau, beaucoup trop fort à son gout.

NICOLAS
Il se passe quoi là ?!

Consternée, je réplique avec arrogance.

HECATE
T'as foutue où mes fringues ?!

Nicolas se recouche en me faisant signe de dégager.

NICOLAS
Je sais pas, lâche moi.

HECATE
Bordel ! Il est où Greg ? Et Nellie, sont partit où ?!

Nicolas se lève d'un bond, menaçant.

NICOLAS
T'as que ça à foutre ! T'as pas eu ta dose là ?! T'en avais rien à foutre hier où elle pouvait bien être ta petite Nellie.

Je ne voie pas de communication avec cet abrutit. Vêtue que d'un shorty simple et d'un soutien-gorge, je cours vers la porte renfermant la pièce par derrière. Arrivé dans un couloir étroit, je fonce sans prendre conscience de l'aménagement de cette maison et dévale les escaliers à toute allure. J'aperçois de manière flou les deux autres, dont un allongé sur un tapis dans le salon et un autre jouant à la console.

HECATE
Woh ! Elle est où Nelly ?!

LE GARS RÉVEILLÉ
Je sais pas moi...

Je file vers l'entré et ouvre la porte d'entré, sort et dévale le jardin. Arrivé devant la barrière fermé à clé, la poussant et donnant plusieurs coup de pied dedans, je pris l'initiative si je puis dire d'escalader la grille. Passée par dessus, je fouille mes poches, cherchant avec agitation mon téléphone portable pour rappeler mon paternel, qu'il me vienne au secours, j'en prierais et me convertirais dans n'importe quelle religion pour exaucé un voeu qui n'existe pas. Je reste réaliste, je sens la panique monté, monté, je mâche ma paume de main, hurlant à l'intérieur pour ne pas me faire entendre. Je sprint et me tient debout devant un bar. Je rentre à l'intérieur pour demander de l'aide, un téléphone ou autre. La pièce est vide, dévasté, les chaises du bar sont toute retourné, cassé. Une télévision est explosé. Appréhendant, je me dirige vers les toilettes. Faut que je me calme, je retiens ma respiration jusqu'à couper mon souffle et la relâche. J'ouvre la porte des wc pour homme. A mon grand soulagement, il n'y a rien, pas de blessé, pas d'horreur que j'imaginais dans ma transe, comme celle d'un meurtre, ou de voir Nellie allongée sur le carrelage...

NELLIE (Hurle de torpeur)
Yelle !

Ma réaction est immédiate, je fonce et sort du bar. Yelle se tient sur un lampadaire. Le quartier est désert. Elle tombe d'un coup sec. Je pousse un crie. Je ne supporte plus, je dois encore être sous l'effet de ce truc qu'ils m'ont filé, je rêve, c'est pas possible, juste... Non, non, je rêve pas, je la sens me toucher ma chaussette humidifié par la neige.











Faites nous un rp de 15lignes minimum, vous pouvez choisir la situation que vous désirez mais vous avez une contrainte, ce rp doit se situer après la grande révélation afin que nous en sachions plus sur la situation actuelle de votre personnage.

Vous décrirez l'histoire de votre personnage, les passages importants de sa vie, sous forme de rp. Vous êtes totalement libre quand aux moments que vous désirez mettre en scène. Nous en revanche on vous contraint à faire un minimum de deux anecdotes différentes, dont la dernière qui doit être récente. Nous exigeons plus de 30 lignes pour cette partie, c'est à dire 600 mots.

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