Mélusine Juliett Roseburn âge. 18 ans date et lieu de naissance. Le 23 décembre à la Nouvelle-Orléans, le centre du monde. (comment ça, non ?) nationalité. américaine. camp. neutre ... pour le moment ! type de magie. alors, si j'ai tout bien compris xD Mélusine est une magicienne du feu. statut occupé. aucun (a) classification. potentiellement dangereux état civil. célibataire lieu d'habitation. Là, ça se complique. Je dirais que Mélusine habite encore chez son père - mais comme il est seul, et policier, ils n'habitent sûrement pas dans les quartiers riches. Je vote pour Red River, mais c'est un peu au pif :016/: métier. lycéenne, hélas. Et serveuse. étiquette qui vous est collé. La réputation de Mélusine au lycée est assez catastrophique. A cause de son caractère et de son attitude, elle est considérée à juste titre comme la garce en chef du lycée, une fille facile et folle de laquelle il vaut mieux ne pas s'approcher.

traits de caractère.
Mélusine a toujours été une charmante jeune fille. En apparence. Être abandonné enfant par sa mère peut avoir des conséquences, être une magicienne n'aide pas des masses non plus. S'étant toujours sentie un peu seule, un peu différente des autres, elle a fini par agir comme si elle était vraiment, fondamentalement, différente des autres.
Et elle l'est, quelque part. La jeune femme fait preuve de ce que l'on appelle couramment nymphomanie. Ainsi, elle enchaîne constamment les relations sexuelles – d'où sa réputation de fille facile. Elle traîne également derrière elle une aura de cinglée, garce agressive et dangereuse. Pourtant, si Mélusine prouve régulièrement par son comportement qu'elle refuse toute forme d'autorité ou de tentative de contrôle sur sa vie, elle n'en reste pas moins quelqu'un d'agréable, quand on la connaît. Il est vrai que sa franchise peut paraître un peu désarmante, au début. Quant à son côté garce, sa réputation sur ce point tient sans doute au fait que quand elle veut quelque chose – ou quelqu'un – elle l'obtient. Sans se soucier aucunement des conséquences de ses caprices sur son entourage. Par par méchanceté, non, mais elle n'a pas vraiment de limite tracée entre le bien et le mal. Ce qui est est, point final. Ainsi, elle ne se rebelle pas, ou plus, contre sa destinée pour le moins injuste … à savoir mourir, et rapidement. Au contraire, elle en profite pour connaître tout ce qui peut l'être et découvrir les plus puissantes sensations sur cette terre. Et si, par hasard, elle croise votre chemin, ne vous inquiétez pas. Réservée parce que mise à l'écart, elle n'a de dangereux que le nom. La magie est certes présente dans sa vie, mais elle n'est pas de ceux qui l'utilisent contre autrui … pas encore.

occupation diurne.
Le lycée, enfer diurne rempli d'ignorants et de méprisants, est l'activité principale de Mélusine censée passée son bac à la fin de l'année. Occupation qu'elle ne prend pas très à cœur, puisqu'elle mourra avant d'avoir pu faire quelque chose de constructif de sa vie. En parallèle, elle travaille comme serveuse dans un bar/restaurant, ce qui lui permet de financer ses lubies et frasques sans avoir à raquetter son père, qui souffre déjà des frais médicaux dus à son problème cardiaque.

manie, habitudes & goût.
Quand on dit manie, on pense surtout à mettre "nympho" devant, en ce qui concerne Mélusine. Question habitudes, elle aime répandre ses vêtements partout dans sa chambre et ailleurs - montrant qu'elle n'est pas si mure ni adulte. Mais ça, personne n'y croyait vraiment. Elle aime par-dessus tout prendre place à la terrasse d'un café qui se voudrait imitant les cafés français des années soixante. Et savoir que les hommes la regardent quand elle y est assise, dévorant faussement un livre en croisant et décroisant ses jambes innocemment.
En revanche, elle n'aime pas que ce regard qu'on lui porte se teinte de compassion. Elle peut faire face au mépris et le transformer en désir, mais la compassion lui rappelle qu'elle ne connaîtra jamais certaines choses que les autres auront, qu'elle n'est encore qu'une petite fille qui n'a pas de maman et mourra bientôt. Mélusine déteste la compassion dont les gens feront preuve à son égard,n elle préfère encore être haïe.

magie utilisée.
Mélusine est une magicienne du feu. Autrement dit, elle ne possède pas de pouvoir magique en soi, mais tire des pouvoirs qu'elle arrive ensuite à manipuler du feu. Dans la pratique, elle est plutôt portée sur la magie blanche, même si elle ne pratique pas vraiment.

conviction.
Sans aucun doute, Mélusine est satisfaite de la Révélation. Toutes ces choses étranges qui avaient toujours fait partie de sa vie ont trouvé un sens, une place. Sans compter que cela lu ouvre d'infinies possibilités quant à sa propre destruction et à la découverte de choses qu'elle ne peut mourir sans avoir testé. En revanche, elle ne fréquente pas encore vraiment de vampires.

signes particuliers.
Aucun (a)

histoire.
Les jolies histoires commencent toujours par une rencontre. La rencontre qui marqua définitivement la vie de Mélusine et déterminerait son cours à venir fut la visite de l’assistante sociale. Le système délabré de soutien aux familles en Louisiane n’avait miraculeusement pas laissé échappé que Mrs Roseburn, mère heureuse et épanouie d’une famille de deux enfants, avait fichu le camp.
A vrai dire, la petite fille qu’elle était ne se rappelait pas de cette visite. Elle jouait avec une poupée, cachée derrière sa sœur, et ne gardait aucun souvenir de la fureur de son père quand l’assistante avait suggéré que les filles aillent vivre chez leur tante.

Il aurait peut-être mieux valu pour les filles qu’il cède, ce jour-là. Cela leur aurait sans nul doute évité des déboires, et la cadette aurait peut-être un peu moins mal tourné. Mais ce qui était fait était fait, et l’existence de la famille Roseburn avait pris un virage définitif.
Cassiopée Roseburn était prête à tout pour protéger sa famille. Ce qui tombait plutôt bien, étant donné que leur père se consacrait plus à son job qu’à sa famille. Il était de ces hommes patriotes, qui considèrent l’autorité et l’Etat comme la condition sine qua non de la grandeur de son pays. De ce point de vue, il avait tout bon. Du point de vue pater familias, il ne se rendit jamais compte de ce qui se tramait sous son toit.
La mère de Mélusine était une sorcière, cette certitude fut acquise au bout de quelques années au vu des capacités surprenantes des deux filles. Mais sans guide, sans personne pour les guider, elle eut rapidement l’impression d’être un monstre. Ou à défaut, un cas à part.

La petite fille solitaire grandit sans maman. Peut-être parce que son père incarnait l’autorité suprême, peut-être parce qu’il était maladroit dans sa façon de s’exprimer, elle apprit rapidement à passer outre ses commandements et les ordres en général. Parlez de la grandeur et de la toute-puissance de la police américaine à une adolescente dont on n’a jamais retrouvé la mère. Au grand dam de sa sœur, Mélusine se débrouillait toujours pour connaître les issues de sortie, faire l’école buissonnière, rentrer tard et surtout, ne jamais prévenir personne. Intérieurement, elle imaginait sans doute se rapprocher de sa mère absente, qui avait à jamais préféré l’indépendance et la liberté aux boulets qu’étaient les membres de sa famille.

Les relations de Mélusine avec les garçons avaient toujours été des plus étranges (elle prenait un malin plaisir à diriger les choses et leur montrer qu’elle était la plus forte). A l’âge de onze ans, en surprenant la factrice avec le voisin dans une grange, Mélusine ressentit pour la première fois un élan violent qui n’allait plus jamais la quitter. Oscillant sans cesse entre curiosité et dépravation, elle laissa pour la première fois un garçon franchir la barrière de son intimité alors qu’elle n’avait que treize ans. Son cousin, en fait, à peine plus âgé qu'elle, qui se fit débaucher un jour de printemps par cette fille qu'il connaissait à peine, et qui lui proposait ce dont tous les adolescents rêvent, sans conséquences ni relation. Le malheureux n'apprit que la sulfureuse demoiselle était sa cousine que quelques heures plus tard. Quant à Mélusine, elle se dit en cet instant que
Par la suite, l’adolescente ne cessa jamais de pousser ses barrières au point de non-retour, multipliant les frasques. Ayant peu d’amis, se montrant brusque et méchante avec ceux qui l’approchaient, elle eut rapidement fait le tour de tous les garçons de son collège et passa même du côté de son professeur de français, si jeune et si mignon. En entrant au lycée, Mélusine Roseburn avait acquis une étiquette qui ne la quitterait plus, celle de la traînée de l’établissement. Sa
L’année de la Grande Révélation fut également celle de tous les bouleversements. Malgré ses va-et-vient, elle n’avait jamais été une grande sportive. Et plusieurs malaises qui se multiplièrent au cours de son adolescence finirent d’alerter la famille. Un jour de juillet, assise dans un bureau, Mélusine apprit froidement, de la bouche d’un cardiologue qui se voulait compatissant, qu’à moins d’un miracle elle n’attendrait jamais sa majorité.

Il est étrange comme les mauvaises nouvelles ont le don de tout relativiser. D’un coup, la nymphomanie de la jeune fille, sa réserve et son mauvais comportement se retrouvaient effacés comme d’un coup de baguette magique. Comme si la vie n’était qu’un mauvais rêve qui allait prendre fin. Chaque jour pouvant être le dernier, Mélusine s’enfonça encore un peu plus en avant sur la pente de la noirceur, se mettant délibérément en danger. La Grande Révélation, celle qui affecterait l’ensemble de la planète, apparut alors comme un exutoire soulageant. Et finalement, la magie qui n’avait toujours fait que gâcher sa vie en la mettant à part finissait par trouver sa place dans l’étrange puzzle que devenait sa vie.

test rp.
Il avait commencé à pleuvoir, d'un coup. Des trombes d'eau, s'abattant sans prévenir sur tout ce qui avait le malheur de se trouver dehors – Mélusine Roseburn, par exemple. A vrai dire, elle était sur la véranda, prête à se diriger vers sa voiture pour aller quelque part (n'importe où sauf chez elle, pour être précis). Et à l'instant précis où sa sandale se posait sur les planches, le ciel se déchira et même les poissons moururent noyés.
Mélusine grinça des dents. Il était tard, elle avait faim, et l'envie furieuse d'aller voir ailleurs, là où les hommes présents n'avaient pas cinquante ans, une moustache et ne s'appelaient pas « Papa ». Sans compter qu'un bar métamorphe avait ouvert en ville, qu'elle mourrait d'envie d'expérimenter.
Si Cassiopée avait été au courant de ses intentions, elle l'aurait probablement tuée. Ou envoyée au couvent. Mais elle n'était pas là, ne savait rien, donc sa petite sœur avait le champ libre.

Et elle comptait bien en profiter. Le temps pourri de l'État pourri où elle habitait n'allait pas lui mettre des bâtons dans les roues. (En vérité, Mélusine adorait la Louisiane, mais ces derniers temps, elle se rendait compte qu'elle n'aurait jamais le temps de visiter les quarante-neuf autres états, ce qui la rendait d'humeur exécrable).

Deux heures plus tard, la pluie tombait toujours, et la jeune fille était assise au comptoir avec un verre de bière. Elle avait beau n'avoir que dix-huit ans, son assurance, couplée à son attitude et à une fausse carte d'identité lui avaient permis de passer outre l'interdiction légale pour boire de l'alcool. Bien sûr, ça ne serait pas passé aussi facilement dans les plus vieux bars de Shreveport, dont les propriétaires connaissaient généralement le père de Mélusine. S'éloigner un peu, fréquenter les établissements métamorphes et vampiriques, tout ça donnait à son existence un jour infiniment plus palpitant.

Quant à ce type, un grand brun au coin de la salle, il risquait également de rendre les choses plus amusantes. Un peu âgé, peut-être, puisqu'il semblait naviguer autour de la trentaine, mais Mélusine avait depuis longtemps fait une croix sur ce genre de détails. Les restrictions d'âge, de race et autres petites choses ne la concernaient plus ; elle avait même tendance à chercher les situations les plus dangereuses.
Elle attendit encore un instant. Inutile de se précipiter. Elle aimait par-dessus tout les moments qui précédaient l'étreinte, où son cœur battait la chamade comme pour lui perforer les côtes, et où son esprit s'affolait.

L'homme semblait s'ennuyer. Mélusine traversa la salle discrètement, en balançant exagérément des hanches comme elle aimait à le faire, et plaquant un sourire charmeur sur son visage.

« Bonsoir », ajouta-t-elle en se coulant sur le tabouret qui faisait face à celui de sa proie. « C'est un peu triste, de boire seul. »

Papillonnement des sourcils, balayage de chevelure. Et recommencer.

« Et si vous m'offriez un verre ? »

famille.
La famille de Mélusine est, somme toute, assez réduite. Un père, une sœur. Papa et Cassie, deux personnes qu'elle aime et qu'elle respecte au milieu d'un océan d'étrangers. Enfin, qu'elle respecte, c'est encore à voir, parce que l'enfant que Mélusine est refuse encore de se soumettre à leurs demandes.
Ensuite, il y a l'oncle Julien, l'ancien mentor de Cassie, et son fils, le premier à avoir été pris dans les filets de Mélusine. Qu'elle ne voit plus trop, d'ailleurs.
Et enfin, sa mère, qui n'existe pas à ses yeux - tout simplement pas. Elle est partie, a fait le choix de disparaître ? Très bien. Mélusine se comporte comme si elle était morte.

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.

Globalement, j'aime bien ta fiche. C'est aéré, agréable à lire. Pour la première partie, tout me convient, c'est OK — même la partie qui concerne ta magie, c'est bon — un peu court parfois, mais tu vas à l'essentiel. Pas besoin de délayer pendant 1 000 ans xD
Pour ce qui est de l'histoire, il y a deux petits points qui me chiffonnent. Enfin, un qui me chiffonne, et l'autre qui serait plutôt à décrire un peu plus. Celui qui me chiffonne est le fait que Mélusine se "tape" ses professeurs au collège. La plupart des professeurs de collège sont généralement des vieux croutons... alors je pense que ce serait mieux de dire qu'elle se cantonne aux plus jeunes, voire — ce serait même mieux à mon avis — uniquement aux grands frères de ses "camarades" d'école... Qu'elle commence les profs à partir du lycée... Enfin, c'est mon avis... mais même si Mél est une nymphomane, je pense que ça va quand même graduellement :silent: enfin, j'en sais rien xD Je ne le suis pas et j'ai pas fait d'études de psycho (ou pas poursuivis ma médecine suffisamment longtemps) pour savoir vraiment, mais bon. C'est mon avis xD
Ensuite, il y a le point qu'il faudrait décrire un peu plus : le moment où elle perd sa virginité. On sait qu'elle a eu des palpitations, tout ça, quand elle a vu le voisin avec la factrice... mais comment a-t-elle réussi à convaincre son cousin — là aussi, il faudrait peut-être en parler, du cousin xD qu'on ne sache pas seulement dans la partie famille que c'est lui qui lui a dérobé sa petite fleur xD — de lui faire l'amour ? Qu'est-ce qu'elle a ressenti, pensé à cet instant ? et plus tard ? Qu'est-ce qui a fait d'elle cette nymphomane.
Voilà les deux points que tu as à retravailler ^^ Si jamais tu as la moindre question, besoin d'un conseil, n'hésite pas Je suis là pour ça ^^ Une fois que tu auras apporté ces modifications, préviens-moi et je viendrais voir si ça me convient, et te valider

Mélusine J. Roseburn a écrit:

Ca sera avec plaisir ^^ Je vais essayer de finir rapidement mais je suis malade et mon boulot monopolise le peu de capacité à écrire que j'ai ><

Welcome Miss & have fun :013/:
J'adore ton avatar :005/:

Bienvenue miss! *-*
Joli choix d'avatar