Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé)
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Sujet: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 20/6/2014, 17:40
Prélude DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ Huntsville, Alabama ; AGE ☞ 34 ans ; NATIONALITE ☞ Américain ; CAMP ☞ Inspecteur du BRIS ; ETAT CIVIL ☞ Célibataire LIEU D'HABITATION ☞ Midtown, modeste. ; METIER ☞ Policier. CLASSE SOCIALE ☞ Moyenne-riche (aisée) ETIQUETTE ☞ Social et attentif, il s’agit du bon gars de service à première vue. Opportuniste, immoral, vendu serait plutôt ses vrais étiquettes. .
Corruption is nature's way of restoring our faith in democracy. # USTINOV
Adam Zia Philipps
Feat Sebastian Stan
✤ Traits de caractères Imprégnés dans son visage se trouvent les traits provoqués par des rires et des sourires répétés. Que ce soit d’un air narquois, froid ou réellement sincère, ce léger pli des lèvres quitte rarement l’homme. Il a un rire clair et communicatifs de celui qui l’utilise en tout temps : pour désamorcer des conflits, pour socialiser ou tout simplement pour déstabiliser ses ennemis, rien au monde ne l’empêcherait de rire… ni la mort, ni la torture. Plusieurs criminels ont craqué devant ce sourire cruel et ces yeux d’une froideur polaire. Plusieurs collègues ont partagé son rire éclatant à la suite d’une bonne blague. Plusieurs femmes ont craqués suite à un sourire charmeur, remplies de promesses. Habitué à avoir ce qu’il veut, il prend très mal qu’on lui résiste ou qu’on lui dise non. Jaloux, orgueilleux et arrogant, il est aussi prêt à presque tout pour obtenir ce qu’il veut. Ce n’est tout de même pas sa moral presqu’inexistante qui se mettrait au travers de ses désirs. Il est loyal qu’envers son ambition personnelle et envers son meilleur ami et partenaire du BRIS. Il trahirait sa grand-mère pour une bonne somme d’argent, mais sait évaluer ses allégeances et ne risquerait pas sa précieuse peau sans un gain équivalent. Il est les muscles de son petit duo, a toujours été l’un des plus gros de la cours d’école ce qui lui confère une arrogance parfois dangereuse. ✤ Occupation diurne D’un point de vue légal, il est membre à part entière du BRIS comme inspecteur, avec son partenaire. Ayant commencé dans les narcotiques et transféré dans les vices, il est depuis peu dans cette branche du FBI consacrée aux CESS. Il est passé par l’académie policière et si ses tests physiques ont dépassé toutes les attentes, ce n’est surement pas à cause de sa connaissance des lois qu’il porte maintenant un badge. Il est l’un de ceux qui ont choisis cette branche pour le prestige de l’uniforme, le contrôle et le pouvoir que cela lui confère par rapport aux simples citoyens. Au noir, il fait de l’argent en protégeant le clan Corleone du BRIS. Il ferme les yeux avec facilité et n’hésite pas à avertir ses vrais bosses quand vient le temps d’une petite descente «surprise». D’un autre côté, il poursuit les ennemis du clan avec une férocité et une passion qui lui vaut les regards admiratifs de ses collègues. Si seulement ils savaient… ✤ Manies, habitudes & goûts Disons tout simplement que le café n’est pas la seule drogue nécessaire à son système pour fonctionner. Bien qu’il est longtemps réussit à combattre les drogues humaines, son caractère a facilité sa dépendance aux quelques drogues surnaturelles sur le marché… bien qu’il vous dirait qu’il peut arrête d’un jour à l’autre sans problème.C’est peut-être la vérité, il ne ferait pas n’importe quoi pour de la drogue seulement, mais son «fix« occasionnel le rend plus qu’heureux. ✤ Convictions Habitué à toujours être le plus fort et le plus gros dans la cours d’école, disons que le fait de voir qu’il n’était qu’une poussière par rapport à tous ces monstres a sérieusement ébranlé son sentiment de supériorité. D’abord attiré par ces derniers, une peur profonde de se conformer à une autorité supérieure à lui l’empêche de vouloir franchir la barrière. Après tout, même s’il devenait l’un deux, il ne serait que le plus faible d’entre eux. En tant que policier, l’autorité des hommes vaut parfois mieux que la force et le pouvoir brut des CESS. Même certains des plus forts d’entre eux ne veulent pas se mettre la loi à dos et après tout, la loi des hommes, c’est lui. Dans certaines situations, son badge vaut plus que n’importe quelle force surhumaine. Est-ce que vous avez dit arrogant et malavisé? Il croit quand même qu’il y a dehors des plus forts et effrayants que lui… pourquoi pensez-vous qu’il est à la solde de l’un d’entre eux?
Prélude CHOIX DANTESQUE ♆ Inventé P'TI NOM ♆ Jo RUMEURS ♆ Je lis compulsivement SESAME ♆ indiquez ici le code du règlement LE VENT D'EST ♆ Google DECLARATION ♆ J’aime bien! TROMBINE ♆ Sebastian Stant
Dernière édition par Adam Z. Philipps le 22/6/2014, 23:02, édité 1 fois
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Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 20/6/2014, 17:41
Ticket for Pandemonium Le bruit des sirènes sonne doucement à mes oreilles. J’associe ces sons à tout ce qu’il y a de bien dans ma vie : ma job de policier, la vie sociale d’une ville grouillante d’énergie, le doux pouvoir du badge. Né dans une grande ville, je suis de ces citadins qui dénigrent les petites villes et qui ne connaîtront rien d’autre dans sa vie que le bruit constant des passants, des voitures qui klaxonnent et des gens qui crient. Dans mes jeans délavés, dans mon chandail gris avec une légère encolure, je sens ma main frôler le glock à ma ceinture, le gun le plus léger dans mon holster à l’épaule, le badge autour de mon cou au bout d’une lanière. Mon sourire légèrement satisfait se dresse sur mes lèvres alors que je regarde les passants détourne le regard des armes, avec leur petit sourire nerveux.
En face de moi se trouve cette crapule de vampire, un petit trafiquant qui ne connaît pas les règles de MA ville. Autour de ses poignets se retrouvent ces menottes spéciales que l’on possède au BRIS pour ce genre de situation. J’aimerais qu’il coure un peu, qu’il me donne une bonne raison de le passer à tabac, je m’ennuie d’un peu de violence. Je souris à Tim, qui le maintient fermement. Je sais déjà la suite des choses : nous l’amènerons au poste, il me dira qu’il travaille seul, je ferai semblant de ne pas le croire. Je le menacerai alors qu’on est seul puisqu’il a osé vendre sur le territoire de Corleone, sans autorisation. Pas en ces mots, mais la sentence sera lourde, très lourde, nous aurons quelques félicitations puisque cet idiot vendait aussi aux jeunes du quartier. J’ouvrirai le dossier sur mon bureau pour un autre cas.
Il posa les yeux sur mon sourire, froid et cruel. D’un coup plus rapide, comme seuls les CESS peuvent en faire, il fonça sur Tim, qui débalancé, tomba sur le sol. S’il n’avait pas eu d’aussi bon réflex, sa tête aurait percuté le sol rapidement. Une roulade rapide lui permit de reprendre l’équilibre alors que la tête du suceur de sang, les canines bien exposées, se dirigea vers sa gorge. Le Glock était déjà entre mes mains et le coup résonna dans la nuit. Les cris au loin m’indiquèrent la panique des humains. À ce moment, je ne pensai ni à la mort du CESS, ni même au regard des passants. «Fuck». J’aurai une tonne de papier à remplir. Faites qu’il soit vivant. Faites qu’il soit vivant. «On appelle l’ambulance?» Après toutes ces années, je ne sais véritablement jamais quand un de ces cadavres ambulants est réellement mort. Pas de pouls ne veut rien dire pour eux. Allez bouge... Après quelques secondes, je lâchai le souffle que je ne savais pas être en train de tenir. Il remua légèrement, les poignets toujours entre les menottes, mais un grand trou sur l’épaule gauche. Mon sourire se fit moins froid : après tout, l’imprévisibilité est toujours la bienvenue dans ma vie. Je lançai un coup d’œil complice à Timothy sur son cellulaire avec l’ambulance. Une belle soirée.
Corruption, the most infallible symptom of constitutional liberty. # GIBBON
Une histoire de dingue
Life is a waterfall, We're one in the river, And one again after the fall.
L’image dans le miroir n’est pas celle que vous croiserez dans la rue, ni même celle que vous côtoyez chaque jour. Ces yeux presque noirs, la pupille si grande que l’iris si clair est presque inexistant, le calme et la froideur qui n’est qu’une illusion de ce que je ressens en ce moment même… Doucement, l’image se brouille alors que je m’écroule. Le voyage commence alors qu’un léger sourire aux lèvres, mi-désespéré, mi-satisfait s’impose dans mon visage.
Voilà le jeune Adam, grandissant dans une maison unifamiliale pareil à toute celle du voisinage. Enfant unique, quel autre mix aurait donné cet enfant-roi si capricieux, cette arrogance que l’on ne retrouve que chez ceux pour qui NON est un mythe? Je regarde ma mère qui se prépare, l’image même de la vanité fait femme, douce, aimante, mais si insipide. L’image qu’elle projette est si importante pour elle qu’elle transmettra ce plaisir, ce désir de plaire à son jeune garçon. À ses côtés, un homme grand, fort. Mon père. Il la sert dans ses bras, sa femme trophée. Il en est fier. Son regard se pose sur moi, celui qui malgré tout mes problèmes ne verront dans mes yeux qu’un prodige, qui n’a jamais tord. CEO d’une compagnie de fabrication de meuble, adjointe dans une entreprise familiale, nous avions tout ce dont nous avions besoin et même plus.
J’ai eu une belle enfance. Des parents pour qui j’étais le monde entier, qui m’aurait tout donné… sauf de la discipline. Auprès des professeurs, auprès des autres parents, ils étaient mes plus grands défenseurs. « Ce n’est qu’un petit garçon, il ne sait pas ce qu’il fait», « Ce sont les hormones, vous savez bien qu’il n’a pas de contrôle! », «Si votre enfant ne l’avait pas provoqué, jamais il ne lui aurait causé du mal», « De toute façon, ce n’est pas comme si la matière que vous enseignez est intéressante et lui servira dans la vie». Le genre de parents que l’on cite pour expliquer que l’enfant n’est que le produit d’une éducation raté. Se demande-t-on parfois quels sont les sentiments du dit-enfant? Un sentiment de puissance, d’impunité, mais le bonheur est composé de ces petites choses.
J’ai grandi et même si je suis passée très près de la criminalité. Un de mes professeurs s’est mis en tête qu’en transformant mon influence de façon positive, il pourrait faire de moi un citoyen exemplaire. Je revois déjà cet adolescent plus grand que les autres, dans le hall de l’école avec un badge l’identifiant comme surveillant. « Pourquoi ne pas mettre ta force au service du bien? Tu es assez fort pour inciter les autres garçons à bien se comporter. » Savait-il vraiment ce qu’il venait de créer? D’un côté, l’école n’avait jamais eu autant peu de problème avec ses élèves : presque aucun graffiti, aucune bagarre… ils avaient peurs de ma réaction… D’un autre côté, je faisais la loi dans ces corridors, alors qu’avec violence et menaces je tenais les autres en laisse et sur le droit chemin. L’image même de l’ironie.
And we are the ones that want to choose, Always want to play, But you never want to lose.
Voulant garder ce petit pouvoir plus longtemps, c’est dans l’étude de la criminalité que je me suis dirigé au collège. J’ai vite compris que ceux de l’autre côté du badge sont les véritables personnes aux pouvoirs. Pouvoir contrôler et édicter des faits et gestes et le faire avec tout le soutien de la belle populace, qui donc serait assez fou pour refuser? Une fois mon degré acquis, je me dirigeai vers l’académie de police. L’académie fut pour moi une véritable partie de plaisir. Si tous les cours de philosophie sur les droits des citoyens m’apparaissaient inutiles, je réussissais à le cacher, à me camoufler dans ces classes. «Non non, monsieur le professeur. Je crois qu’il est important de servir le citoyen. Nous sommes, après tout, à leur service». La bonne blague. J’aimais apprendre à me défendre et à devenir plus forts. J’aimais savoir me défendre alors que j’apprenais aussi à attaquer. Je suis sorti de l’école avec ce sourire des gens qui n’auront jamais à travailler de leur vie puisque leur travail est leur passion.
L’image de l’étudiant au sourire niais se superpose avec celui qui, le regard dure, apprend que le métier de policier requiert plus que du plaisir à contrôler les autres sans pénalités. C’est le regard d’un homme qui revient de patrouille pour la 3e semaine consécutive, qui a donné des amendes pour des raisons idiotes et qui n’y trouve plus de plaisir. Celui qui, désabusé, se demande s’il y a vraiment dans cette plaque de métal un pouvoir à trouver. 3 ans dans une patrouille merdique, avec un coéquipier plus vieux qui préfère passer sa vie à arrêter des piétons qui traversent aux endroits interdits… même le plaisir de faire chier un bon citoyen avec des répliques cinglantes a perdu de sa saveur pour cet Adam. À la retraite de son partenaire, il n’espère plus rien. On lui impose un jeunot tout frais sorti de l’académie, avec ses yeux tout brillants. Peut-être après tout peut-il retrouver un peu de plaisir à son métier?
Toujours perdu dans cette brume, cette visite de mon passé à travers la drogue épaississant mes pensées, un léger sourire se dessine sur mes lèvres. Ces premières scènes de rencontres, ces premiers mots échangés, ces premiers moments d’une amitié si solide dans lesquels je vois des liens fraternels se tisser alors que je suis enfant unique. Timothy a su lire en moi dès ces premiers moments et a su conquérir cet enfant terrible à coup de remarque disgracieuse, de répliques cinglantes miroirs de mes propres mots. Depuis ce jour où on nous a mis ensemble dans une auto-patrouille, nous sommes devenus meilleurs amis. Pas ces «Ah-tu-es-mon-meilleur-ami-le-plus-beau-et-le-plus-gentils» que l’on voit dans ces films d’enfants. Ces vrais liens entre deux personnes qui se comprennent sans avoir besoin de mots, qui partagent leurs frustrations à coup d’insulte et qui savent que la personne à leur côté prendrait une balle pour eux. C’est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivée dans la vie, cette rencontre.
De patrouilleurs anonymes au sein d’une force plus grande, nous sommes passés à de véritables détectives en l’espace de quelques mois seulement. Son intelligence et son ambition, son esprit de déduction et son désir de justice se mêlèrent facilement à ma facilité à pousser les limites, à entreprendre des gestes «non sanctionnés » et ma témérité. Nous n’avions pas de mandat pour interroger un suspect? « Je crois que j’attends des cris dans la maison Tim. Je crois qu’on a besoin d’aide à l’intérieur de sa maison "clin d’œil"». On doit attendre l’avocat? «Oups, je crois que l’avocat s’est trompé d’adresse… » Disons que je n’ai jamais été doué pour suivre les règlements à la lettre et dans son désir de justice, même s’il savait que mes méthodes n’entraient pas toujours dans le guide du parfait policier, Timothy aimait bien prétendre que tout allait bien, pourvu que le méchant se retrouve les menottes au poing à la fin de la journée. Mes années dans les narcotiques et dans le secteur du vice nous ont ouvert des portes suite à la révélation.
Les images se brouillent en avant de moi. Je vois le bulletin télévision qui annonce au monde l’arrivée du Tru Blood. Je revois la première scène officielle de crime se rapportant à ces choses. La force avec laquelle il était parvenu à déchirer cette femme! Et tout d’un coup, je n’étais plus le plus fort. Je n’étais même plus spécial. Au milieu de tout ce monde maintenant surnaturel, j’étais cet humain tout ce qu’il y a de plus bête, tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Plus fort que la moyenne, beaucoup plus faible. Joe-tout-le-monde. Je n’avais pas peur de ces monstres… j’étais jaloux et envieux. Je voulais moi aussi être fort, moi aussi être spécial… jusqu’au jour où j’ai rencontré un de mes amis du collège. Récemment «trépassé», nouveau mort. Un vampire. Après quelques bières, j’ai su qu’être un vampire, ou même un lycan, ne m’aiderait aucunement dans mes buts. Il était à la solde d’un plus fort que lui, moins qu’un serviteur, moins qu’un esclave. Condamné pour des décennies à servir, sans jamais de possibilités de monter dans l’échelon. Il vieillirait, deviendrait plus fort. Son maître aussi. Peut-être que dans une centaine d’années? Et puis quelques jours plus tard, une entrevue à la radio m’a montré la voie. Un ancien, un vampire, qui dit que la police est venue chez lui, l’a arrêté. Les humains qui l’accusent de meurtres. On l’emprisonne, on le contrôle. Tout d’un coup, le badge à ma ceinture prend plus de valeur à mes yeux que des centaines d’années de vie et d’immortalité. Vous savez ce qu’on dit : pourquoi servir au paradis lorsque l’on peut régner en enfer!
Un an après la révélation, nous avons postulé pour être dans la branche du vice du BRIS. Celle qui s’occupe du trafic de drogue, de la prostitution de CESS, ce genre de crime. Avec nos années dans ces départements et mon secret désir de contrôler l’incontrôlable, nous avons réussi à nous faufiler comme inspecteur dans cette nouvelle branche. Tout était parfait… nous arrêtions des suspects, nous sauvions des lycans mis en trafic, et même un petit marché noir de dents de vampires et de ces horreurs que les gens achètent à des prix d’or.
Aerials, in the sky, When you lose small mind, You free your life.
Alors comment cet inspecteur est devenu l’homme aux yeux noirs écroulés en face d’un miroir, du V sur les lèvres, alors qu’il est un inspecteur du BRIS respecté? Corleone. Voilà. Un mot qui décrit ma descente… enfin… de mon point de vue ma montée. J’étais tout simplement dans un bar, à prendre une bière tranquillement le lendemain d’une grande débarque. Victorieux, nous avions réussi à avoir le nom d’un contact haut placé pour le marché noir de substances illégales. Je ne demandais rien à personne quand un type tout propre s’est approché, un gun en dessous du chandail, me demandant de le suivre sans faire de problèmes. Ne vous y trompez pas, je ne suis pas du genre à me laisser faire sans combattre, mais je ne suis pas un idiot qui va se faire tuer sans raison non plus. Dans l’allée derrière le bar, le type me mentionne son patron, si puissant qu’il contrôle presque toutes les importations. Il me menace, menace ma famille, dit quelques conneries pour me faire comprendre qu’il n’est pas du type à rire. Me dit de laisser tomber la piste, la brouiller sinon… Bon, à ce moment, je revois ma face, partagé entre l’envie de lui éclater la face, de lui dire non tout simplement parce que j’hais la contrainte et celle de rire à gorge déployé. J’ai éclaté de rire. Pas la réaction que monsieur attendait. Un sourire froid, je regardai l’homme avec son gun pointé. « Tu dois être nouveau dans ce genre de chose. Laisse moi deviner… on t’a dit de me suivre et de me convaincre de coopérer? Tu connais l’adage : on attrape les mouches avec du sucre, pas du vinaigre? Tu aurais du faire tes cours mon petit, te renseigner un peu. Tu aurais peut-être compris qu’un billet glissé en douce dans ma main et HOP. » Je laissai la phrase en suspens. Rien de très incriminent. Son regard me fit vite comprendre qu’il n’était pas une lumière. Je soupirai. «Amène-moi à tes boss le jeune. De toute façon, si je fais quoi que ce soit, tu m’éclates la face, c’est ça?»
La rencontre se passa bien. Petit à petit, de plus en plus d’argent passa dans mes poches. De simples petits contrats, je suis devenu l’une des pièces bien en place de Corleone. Après avoir gagné sa confiance, j’ai finalement su pour qui je travaillais. J’ai toujours eu une morale vacillante et les billets de plus dans mes poches, le sentiment de puissance relié à mon nouveau patron m’attirait dans ce nouveau rôle. D’un autre côté, j’aidais ces derniers à se débarrasser de leur compétition, je gardais aux yeux de la police une image du policier semi-modèle avec l’aide de Timothy qui lui ne savait rien de mes arrangements. Il se doutait bien qu’il y avait de quoi, mais on est toujours prêt à croire le meilleur de ceux qu’on aime. J’expliquais l’argent en partie par l’héritage eu à la mort de mon père, j’ai pu déménager dans une plus belle place.
Aerials, so up high, When you free your eyes, Eternal prize.
Et la drogue? Disons qu’une fois dans l’antre de la bête, il a été facile pour moi de sauter la clôture. D’essayer une fois, d’aimer, de vouloir recommencer. Je n’en ai pas besoin pour vivre, mais j’aime bien une fois de temps en temps m’y réfugier, m’y perdre. Comme aujourd’hui. Les yeux vitreux, noirs, fixés sur le plafond, je reprends tranquillement conscience. C’est la première fois que ça me fait cet effet. Une visite du passé. Je regardai l’heure sur l’horloge de ma chambre. Plus de 2 heures du matin. Dans quelques heures, Tim m’attend chez lui pour l’anniversaire de sa dernière. J’adore sa famille, pour eux je suis l’oncle qu’ils ont toujours connu. J’aime ses petits monstres comme si c’était les miens, même si je n’en voulais jamais. Cette distance est parfaite pour moi. Et puis demain, la job. Un cas tout à fait intéressant. Soirée de bière avec des collègues. Voyez? Normal. Social. Vendu.
Spoiler:
Entrevue du BRIS
Je jetai un coup d’œil à ma montre pour la millionième fois et poussai un grand soupire. La réceptionniste me regarda l’air de dire «mais pour qui il se prend celui là? ». Après tout, ce n’était pas mon premier soupir et j’étais là pour une entrevue. Son regard m’indiquait clairement que si le choix était de son ressors, je n’aurais pas eu le temps de dire un petit mot qu’on m’aurait refusé le poste! La BRIS était une nouvelle brigade du FBI. Il cherchait le talent un peu partout et nous avions appliqué Tim et moi. Ensemble, comme le vieux couple de policier que nous étions. Nous étions à la dernière étape du processus, celui de l’entrevue finale. Je grognai, mécontent. Je déteste les entrevues. J’aurais préféré faire mille fois le test de tire ou même les questionnaires psychologiques. Ce n’est pas que je n’aime pas les gens, au contraire… mais parfois, il y a dans ces gens qui passent les entrevues ce type de personne qui regarde au travers de ton âme, qui me Voit. Qui voit au travers de ce sourire charmeur, de cette sociabilité, mon manque de morale qui m’a amené où je suis maintenant. Un médium m’a déjà accosté dans la rue à ce sujet. «Vous savez monsieur, vous avez l’âme la plus grise que j’ai jamais vu! Des fois, je vois un peu de blanc, des fois un noir profond. » Ce n’est pas que je crois en toute ces conneries, mais avec tout ce qui s’est passé dans la dernière année, les mots me reviennent et se répètent dans mon inconscience.
La porte finie par s’ouvrir alors que trois personnes à l’intérieur me regardèrent, comme des oiseaux de proie qui pense trouver une petite souris. Je n’ai rien d’un rongeur, être un animal, je serais sans doute une espèce d’oiseau aussi, qui vole au-dessus des gens et qui se fou de la gravité. Le visage de la dame me semblait bizarrement familier mais impossible de dire où la dernière fois ni même si je la connaissais. Les gens du bureau s’assirent devant moi après une solide poignée de main, la femme me regardait comme si j’étais une vermine. La bouche pincée, l’air complètement coincée. «Détective Adam Zia Philipps». J’accusai la reconnaissance de la tête. Il est rare qu’on mentionne mon nom au complet. Quelque chose de très officiel dans la présentation. «Merci d’être venu aussi rapidement et de vous êtes offert pour le poste. La plupart des jeunes gens préfèrent les homicides aux vices.» Intéressant. De mon sourire le plus charmeur, je répondis gracieusement à la question qui n’en était pas tout à fait une « Je n’ai pas choisit ce métier pour passer dans les journaux monsieur… Je ne cherche ni la gloire, ni la reconnaissance»… du petit peuple. Que sa peur, son respect et son obéissance. «Il y a autant de défi dans ce département, autant d’intrigue avec des motifs parfois beaucoup plus vagues». Dans vos dents les homicides, avec vos petits cas faciles. Mon sourire était toujours sur mes lèvres, toujours charmeurs, rejoignant mes yeux.
« Vous avez postulez à la condition d’être placé avec le détective Thatcher. C’est une requête assez… unique disons-le. Avez-vous considérez qu’un seul d’entre vous pourrait être accepté?» Je regardai l’homme. Bien sur que oui. Nous en avions justement discuté la veille ensemble autour d’une bière. Je n’étais pas dupe. Avec son dossier parfait, Tim sentait l’agent fédéral à plein nez. Je lui avais dit que la seule raison qu’on m’accepterait à sa place, c’était que l’équipe de Baseball du FBI avait besoin d’un meilleur frappeur et d’une meilleure première base dans leur équipe récréative dans la ligue des policiers de Shreveport. On avait blagué, mais je sais qu’à l’intérieur de lui-même, il savait que mes chances étaient moins bonnes que les siennes. Il avait tout de même insisté pour qu’on soit ensemble peu importe où… lire ici si j’étais refusé, l’idiot allait rester avec moi et passer à côté de la chance de sa vie. Ce petit souvenir me ramena à l’entrevue en cours. Ce n’était pas seulement pour moi, mais aussi pour Tim que j’étais ici. Je ne pouvais pas le décevoir. «Oui. Nous sommes une équipe lui et moi. Je crois que nos compétence mutuelle complète l’autre d’une façon qui ne m’est jamais arrivé de voir dans ma carrière de policier, et que cette synergie serait profitable à un nouveau département comme la BRIS, qui n’a pas le temps de s’en faire avec les querelles d’équipiers et qui saurait, dès le départ, à quoi s’attendre de ses employés. Nous avons un haut taux de performance dû à cette complicité, puisque nos habilités diffèrent et s’additionnent. » Voilà. Répondu comme un bon petit politicien, avec que des vérités et quelques omissions. Je pense qu’ajouter mes propres apports à notre petit duo ne seraient pas la meilleure des idées en ce monde.
Les questions sur mes différentes perceptions des CESS «ce sont des citoyens comme vous et moi, seulement plus dangereux et avec des armes que nous n’aurons jamais. Des humains auxquelles il faut faire face avec tout la prudence possible», sur mes relations avec mes coéquipiers « je n’ai jamais eu de problèmes avec personnes dans le département. Je suis un bon joueur d’équipe», mes relations personnelles « Je suis seul. Mon métier est ma maitresse, et mes envies d’être un bon père de famille sont assouvies par ma proximité avec Tim. Je suis le parrain d’un de ses enfants et je les considère comme les neveux et nièces que je n’aurai jamais» et la drogue « j’ai essayé au collège. Ça ne me servirait à rien de vous mentir, je crois que vous préférez quelqu’un d’honnête à un homme sans expérience quelconque. Je n’ai pas aimé la perte de contrôle. Les putes? Jamais. Je n’en ai pas besoin». Sourire en coin à la femme, qui me répond par un regard froid.
Nous serrons les mains. Tout a bien été, les deux hommes sont radieux. Je vois dans leur regard qu’ils ont déjà dit oui. Qu’ils espèrent que Tim sera aussi à la hauteur de leur attente. J’ai un sourire satisfait. Mes réponses étaient celles du parfait policier, avec quelques remarques pour détendre l’atmosphère. Regardez par ici pendant que je glisse sous vos yeux des renseignements un peu tirer par les cheveux… Enfin… il ne manque que la femme à séduire. Et c’est à ce moment que j’allume. Je la connais. Enfin, un peu. Une histoire d’un soir dans un bar. Une disparition bien en règle le lendemain matin. Je la regarde. Elle vient aussi de comprendre que je l’ai reconnu. Elle regarde les deux hommes et je comprends quelques choses : ce sont ses supérieurs. Même si elle ne m’aime pas beaucoup, c’est eux –déjà conquis- qui auront la décision finale. Le sourire satisfait s’élargit. Tout est bien dans le meilleur des mondes.
…
Dans l’épicerie qui est proche de ma résidence, je téléphone à Timothy. Le téléphone sonne quelques fois avant qu’il ne réponde. Il vient tout juste de sortir de l’entrevue, j’ai dû attendre tout ce temps avant de lui parler. «Hey. Et puis l’entrevue?... Ah je ne l’ai jamais vu… une ancienne conquête… Ne t’inquiète pas, c’est dans la poche… Appelle ça l’intuition. J’apporte une caisse de bière, on fête ce soir…Pourquoi?... Ta femme elle m’adore, ton fils lui m’IDOLÂTRE…. Non mais, elle ne ferait pas ça. Bye » Je raccrochai, regardant la caisse dans le panier en poussant un soupire. À la place, je prendrai une bonne bouteille de tequila, avec quelques citrons. Il n’a rien dit à propos des citrons.
En bref.
1981 : Naissance 2001 : Sortie de l’académie, emploi comme patrouilleurs 2004 : Rencontre de Tim. 2006 : Entrée dans la section du Vice. 2008 : Entrée dans le BRIS, section du vice. 2010 : Entrée en service pour Corleone
Dernière édition par Adam Z. Philipps le 25/6/2014, 23:11, édité 1 fois
Les chats tout comme les roses ne griffent que ceux qui ne savent pas les prendre. # Inconnu
Cillian Ó Connor
PARRAIN ; Chat-volant
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 20/6/2014, 19:51
Bienvenue et courage avec ce qu'il reste de ta fiche :13:
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 20/6/2014, 19:52
Bienvenue à la BRIS, sale vendu. Tu as un style d'écriture sympathique, j'espère que tu te plairas ici.
Au plaisir.
HELL COMES HERE
OFFICE : Barmaid
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Lily MISSIVES : 848 ACTE DE PROPRIETE : Moi même
Chassez le surnaturel, il revient à pas de loup.(Serge Beucler)
Sharon Bennet
MARRAINE / La follasse indomptable
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 20/6/2014, 20:54
Bienvenue et bon courage pour la suite et fiiiiiiin de ta fichounette !! N'hésite pas si tuu as des questions, on a un super staff *les brosse dans le sens du poil*
In my head I’m losing ; For sanity I’m begging
SIGNALEMENT : ton pire cauchemar « Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. » ; -La ligne verte- ; Stephen King
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin MISSIVES : 1504 ACTE DE PROPRIETE : Marley Smith ; Klainerofthemoon ; Max Brooks
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon. Ou, tout simplement : tu deviens fou. ; Stephen King
Gwendoline Wright
ADMIN ; Don't touch me ; I don't want to feel your body
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 21/6/2014, 00:27
Collègue
Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ce qu'il te reste à faire
SEUL LE PIRE ARRIVE
SIGNALEMENT : big bad wolf, wouf! HABILITIES : Capacité à avoir un carma de merde, comment ça c'est pas un super pouvoir... OFFICE : Détective privé spécialisé dans les affaires obscures des CESS SERENADE : Ben Frost :: 'Venter' (musique de la sign)
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1359 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memories.
Je vomirais sur mes contemporains le dégoût qu'ils m'inspirent. Flaubert
Piotr Vuk Ludwiczak
FONDA BITCH Ϟ there is a new sheriff in town
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 21/6/2014, 11:17
Bienvenue à toi, J'ai lu ta fiche (ps: mon dc c'est Lucian) et franchement je rejoins Jules.
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 21/6/2014, 16:09
SOAD
Bienvenue
Personnage prometteur ! T'as l'air d'avoir bien saisi l'ambiance :05: Si néanmoins tu te sens un peu à l'ouest, si tu as besoin de quoi que ce soit... on prend même les questions cons, c'est dire si on est des jambons. N'hésite pas, quoi qu'il en soit.
Bon courage pour la fin de ta fiche :13: et encore bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 22/6/2014, 04:10
Merci ! J'attends les quelques validation de détails de Timorhy (un autre nouveau ), mais techniquement il ne devrait pas y avoir de changements :) merci à tous pour les commentaires ^^
And we are doomed to play
♦ Life is full of chapter. Just because you have one that`s bad doesn`t mean the book`s finished ♦
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin MISSIVES : 6790 ACTE DE PROPRIETE : Ziamsboy ♦ lordbryndenrivers ♦ The Meteors
« Mais évidemment, si les cochons avaient des ailes, le bacon volerait. » ♦ Dôme tome 2 ♦ Stephen King
Stella Montgomery
ADMIN ♦ Le jambon galactique, autrement appelé le distributeur Durex.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 22/6/2014, 04:18
Hey èé les jambons c'est au-dessus de tout *en balance un dans la tronche de Shamina*
Oh, un autre nouveau
SANDS OF TIME
SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim HABILITIES : Chimérie III. OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos. SERENADE : Hagia Sophia - Irfan
« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 22/6/2014, 23:01
Mh, un corrompu... Brave homme.
Bienvenu ici ! Amuse-toi bien parmi nous !
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 22/6/2014, 23:15
Merci ! C'est terminé :)
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 22/6/2014, 23:27
Je transmet ta fiche au staff
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 23/6/2014, 01:33
Je me charge de lire ta fiche !
Welcome
Je suis là pour te guider
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
• NON • « Dans mes gens délavés, » tu veux dire jean peut-être ? Parce qu'entrer dans des gens délavés, je veux voir ça ! • Tout est correct, mais il y a quelques erreurs ici et là, fait attention dans tes rps • Mon sang est très faible, ne t'y intéresse pas .
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!
Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option! Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan mais aussi pour recenser ton CESS.. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Si tu te sens perdu, n'hésite pas à demander un parrain. De plus, bénéficie de quelques astuces en faisant un tour ici. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell. Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
Invité
Invité
Sujet: Re: Adam Zia Philipps- Aerials, in the sky (100% terminé) 23/6/2014, 10:19
Ha ! Un collègue, j'avais pas vu ! Bienvenue !!
Chaton à apprivoiser
SIGNALEMENT : petit chaton du Pard HABILITIES : métamorphe once OFFICE : trapèziste - acrobate