I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé]
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Sujet: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 19:11
ELISABETH KENWAY
Feat Michelle Trachtenberg
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ 5 Janvier 1985 AGE ☞ 30 ans NATIONALITE ☞ Américaine CAMP ☞ Les bien-pensants la rangeraient du côté du mal NOM DE VOTRE VAMPIRE ☞ Yago Mustaphaï DATE DE MARQUE ☞ Seulement la première marque, depuis peu DISCIPLINE ☞ Occultation ETAT CIVIL ☞ Le fameux « c'est compliqué » LIEU D'HABITATION ☞ Officiellement, dans un appartement du Midtown, à Olive Street METIER ☞ Ecrivain CLASSE SOCIALE ☞ Moyenne, à vue de sa popularité mitigée. ETIQUETTE ☞ Certains aiment sa plume, admiratifs de son recul, ou de son style. Mais d'autres savent qu'elle est particulièrement méprisante de ce qui l'entoure, et assez méchante dans mon mépris. Donc ces personnes ne lui accordent aucun respect.
ENTREVUE DE PRÉSENTATION
Traits de caractères
Si je devais me présenter, je commencerai par dire que j'ai tendance à m'éloigner des autres. Je n'aime pas trop la foule, elle me fait un effet étrange, et me colle des frissons assez difficiles à comprendre. De la peur ? Difficile à dire ... Mais ces regards, ce mouvement si follement uniforme, me flanquent un malaise si peu dissimulable, que je préfère ne pas l'afficher. Aussi, il faut parler de ma nature drôlement bavarde. Non seulement ça peut être assez surprenant de quantité, mais en plus c'est très sélectif. Ça ne cible que les personnes qui sont les plus faciles à cerner, les plus franches, ou les rencontres d'opportunité. Cela parce que les gens intrigants suscitent ma réflexion, et cela me rend plus silencieuse. Je me force souvent à sourire, parce que l'on m'a dit que parait-il, ce sont les manières, mais il m'en faut peu pour être sur les nerfs. Mon caractère n'est pas facile du tout, et un mot peut vite me mettre de mauvaise humeur, s'il n'est pas pesé avant. Mais cette tendance caractérielle est annulée par l'affection : toute personne proche n'y aura jamais droit. Puis, finalement, je ne peux pas trop le nier, j'ai tendance à être parfois très garce. Avec les hommes comme avec les femmes. Souvent, j'essaye d'attirer le regard des hommes, et au mieux leur envie, pour mieux les repousser après. La meilleure arme pour être débarrassée des plus sensés, et remarquée des plus fous. Avec les femmes, je ne m'y prends pas comme ça, bien sûr ... Je ne suis pas sociable, et si on croit me cerner, ça peut parfois être un piège.
Occupation nocturne
Rien qu'en évoquant mon métier, je pourrais avoir fait le tour de l'affaire. J'écris au moins cinq heures par jour : certains écrivent plus, et tout le reste pense que je ne fais rien d'autre de ma vie. Le reste du temps, j’écoute de la musique dans les bars musicaux et les petites salles de concert. N'importe quoi, de toute façon ils ne passent pas tous les styles. Je préfère le jazz, mais un rock très fort ne me gêne pas quand je suis posé tranquillement sur ma place assise. Je ne lis que très peu, je considère avoir fait le tour des auteurs intéressants des autres siècles ; mais si un écho me parvient sur un livre, je me jette dessus. Je dois garder la main, quand même. Et en général, je ne lis que dehors, pas chez moi. Chez moi, ça n'est pas très joyeux, d'autant plus que Yago n'y vient jamais. Il n'aime pas trop, mais tant pis. Même moi, je n'aime pas trop ces murs étroits, et ma tendance à épargner mes bénéfices me dissuade à en changer. Si je rends des services à Yago ? Un. Lui acheter des cigarettes. Il a des goûts difficiles, étrangement, mais moi aussi. Oui, je suis fumeuse. Mais il demande rien d'autre. Il ne demande rien, en fait. A part me voir. A ce propos, on se voit irrégulièrement, mais on se voit. On a tendance, parfois, à préférer ne plus se voir, mais ça nous reprend vite, malgré nous, malgré notre caractère mauvais. Mais quand on passe du temps ensemble, on en passe beaucoup. De toute façon, je dors très peu la nuit .... Et s'il s'agit de lui, je n'ai pas la force de refuser ...
Manies, habitudes & goûts
Comme je l'ai dit avant, je suis fumeuse. Et pas qu'un peu, et irrégulièrement. Je fume quand l'envie m'en prend, toutes les cinq minutes ou toutes les deux heures, en fonction de mon humeur versatile. Je prends toujours la même marque d'industrielles, un peu difficile à ce niveau-là, même si l'habitude est plus solide que l'argument. Depuis la marque (ou environ un bon mois après), je fume bien plus, me sentant moins affectée par la toxicité des vapeurs de nicotine, entre autres. Quand j'écris, j'ai quelques tics gestuels : j'ai tendance à manipuler mes cheveux sans m'en rendre compte, jusqu'à ce qu'ils emmêlent ; ma main gauche écrit, ma main droite doit tout de même bouger à côté. M'en soucier ne ferait toutefois que me déconcentrer dans mon œuvre. J'ai l'habitude d'écrire sur un ordinateur, n'ayant jamais apprécié écrire sur papier. Le grincement du graphite m'a toujours déplu, et l'encre n'est pas pratique pour se corriger.
Relations avec votre vampire
Ma relation avec Yago est tout sauf simple, voyez-vous. De l'amour, il semble malhonnête de dire qu'il n'y en a pas ... Parce qu'il y a un besoin mutuel, et lui comme moi le savons. Mais le mot stabilité est le plus inapproprié pour nous décrire. On se voit presque selon le choix du hasard, et je pense que cela nous va bien. Mais la marque est là pour créer une ambiguïté, entre un couple de personnes voraces de liberté, et un couple de personnes reliés par le surnaturel, et inexplicablement mus d'un besoin de l'autre. Ainsi, nous sommes toujours dans l'alternance de deux cycles : l'un étant une période d'addiction mutuelle, l'autre une période où nous nous éloignons, comme dégoûtés d'avoir été si proche. Mais la deuxième est toujours suivie de la première, de telle sorte que le boucle n'est jamais bouclé. Bien que j'aie choisi délibérément d'être marquée (et que je n'avais aucune idée de ce que c'était, en fait), c'est cette marque qui complique notre relation. La marque, sinon, a quelque chose modifié mon corps : ma force autrefois bien pauvre s'est nettement améliorée (pas en démesure, mais soulever certains poids devient dès lors possible), mon immunité est quasiment parfaite, et mes sens, déjà bien aiguisés contrairement à mes compétences physiques, s'étaient affûtés. De plus, j'ai remarqué quelques fois que mes mains, dans une zone sombre et immobiles, deviennent parfois transparentes. Elles ne le sont que quelques minutes, mais il est alors très difficile de les discerner. Tiens-je cela de Yago ? Je n'en sais trop rien ...
Convictions
Pour être franche, le monde surnaturel ne m'intéresse pas. De temps en temps, je m'en inspire dans des romans policiers, mais connaître les vampires n'a rien changé à ma façon de vivre, jusqu'à ma marque. Et même en étant marquée, mon opinion est toujours indifférente. Le monde était déjà haut en couleurs, alors pourquoi s'affoler quand il l'est davantage ? Les soucis politiques engendrés sont pour moi un prétexte des castes, surnaturelles ou pas, pour récupérer une parcelle de pouvoir. La Révélation et ses conséquences ne sont, après tout, pas du fait des gens moyens, mais des décideurs pragmatiques, toujours prompts à disposer de leurs pouvoirs et à calculer les avantages. Et quand bien même je fais l'objet de certaines messes basses, j'étais assez indifférente de ce genre de pratiques avant ma marque pour savoir appliquer la méthode après. L'opinion publique n'est qu'une voix bruyante et vulgaire, lorsqu'il s'agit de préjugés, et toute chose vulgaire n'est pas à prendre en compte pour construire sa propre vie.
Signes particuliers Aucun
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Inventé PSEUDONYME LightGrace DERRIERE L'ECRAN Ouh ouh ouh CODE DU REGLEMENT et bien, il ne manque que … J'me souviens pluuus COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Les âges ont oublié le pourquoi du comment ; mais je suis là. AVIS GENERAL SUR LE FORUMAVATAR UTILISE Michelle Trachtenberg
Dernière édition par Elisabeth Kenway le 18/5/2014, 21:17, édité 6 fois
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 19:12
Novembre 2014 :
Rien qu'une tranquille petite soirée, à la base. Rien qu'un instant à ne rien faire, sinon siroter un cocktail très peu alcoolisé, et savourer du jazz. Et ce à mon bar musical préféré, le Jazz Baby, qui pour une fois était assez relativement peu occupé. Il me fallait donc en profiter au maximum, tant que l'exception valait encore. Au programme : rien. C'était là tout le charme, en fait. Rien, c'était la raison première de ma présence ici. Souffler, après mes heures entières d'écriture, qui m'avaient secoué la rétine. Profiter du goût fruité de ce cocktail, et de l’énergie de ce groupe de jazz débutant, qui me donne l'impression de vivre davantage. J'appréciais toujours d'être ici, car peu de gens s'attardaient à venir d'interrompre dans le plaisir que me procurait ces circonstances. Personne ne voulait, et moi encore moins. De toute façon, certains buvaient, d'autres écoutaient attentivement, tout comme moi. Le reste, ceux qui grouillaient, ont déjà un cavalier. La stupidité, au moins, était de leur côté. Vraiment, j'aimais cette musique, mais danser dessus ne me serait pas possible. Ce serait l'insulter, je pensais. Allez ailleurs, plutôt que de brouiller ma vue de vos mouvements lourds et dépourvus de sens du rythme. Il était évident, dans leur ivresse, qu'ils avaient réussi à changer mon humeur. Il m'en faut peu, il est vrai. Mais ils n'en surent rien : mon caractère n'est pas si fort au point de créer conflit. Je m'en contentais de jeter des regards froids aux danseurs improvisés, le nez dans mon verre presque fini, espérant follement que ce bal affreux allait cesser. Mais autre chose allait capter inéluctablement mon attention, pour l'engloutir d'un trait.
Une ombre. Une silhouette nappée de noir, et surtout de mystère. Rien en lui n'attirerait un regard, d'un point de vue rationnel ; mais il a attiré le mien. Une attitude qui ferait passer une personne inaperçue avait attiré mon attention avec autant de force que le bruit d'une explosion. Il semblait presque ne pas savoir pourquoi il était là, il semblait mépriser n'importe quel être vivant qui était dans son sillage. Il semblait mépriser cette humanité, qui n'avait en fait rien d'autre à faire. Tout comme moi. Moi qui ne perdait jamais mon temps à analyser une personne du regard ne pus s'empêcher de s'y adonner plusieurs minutes, tant l'aura qu'il dégageait me surprenait. Le temps ne m'importait déjà que peu, il ne m'intéressait plus du tout à ce moment-là. Ses prunelles de sable, et son charisme empli de mystérieux me donnaient plus de satisfaction que n'importe quel misérable existence ici-bas. Mieux, ils me vivifiaient. Ils me donnaient presque envie de me lever, et d'aller le rencontrer. Et découvrir tout ce qu'il pouvait cacher derrière cette apparence si délicieusement dissimulatrice. Était-ce un coup de foudre ? Pour n'avoir jamais expérimenté cela avant, je ne savais que penser. Mais j'avais là tout ce qui me fallait pour apprécier la soirée. Jusqu'à ce que son regard vienne heurter le mien, posé depuis quelques temps sur lui. L'attraction montait en intensité, alors que ce regard semblait lui aussi me sonder. Plus rien n'existait, plus rien d'autre que ces yeux profonds, qui, tels ceux d'un félin, analysait les miens. J'étais paralysé par leur profondeur, et cet homme semblait s'être aussi immobilisé. Un moment étrange, mais intense. Soudain, il se leva, laissant un verre encore rempli, et se dirigea vers moi. Je baissai immédiatement le regard, mais sa venue était tout ce que je souhaitais. Tel était notre premier contact.
Février 2015 :
Ce soir-là était plus calme, et plus froid. Des frissons me parcouraient même, parfois. Mes mains seules étaient à une température assez bonne, car elles pianotaient, de manière infernale. J'étais en plein travail, et mon esprit était totalement voué à la création, à la construction. La marque me rendait plus agile, je le sentais : depuis qu'elle m'était apposée, j'écrivais à une vitesse impressionnante. Mais j'arrivais tout à fait à suivre, alors je n'y prêtais plus vraiment attention. D'un point de vue, j'étais plus productive, mais ces âneries de productivité m'épuisait, puisque je gagnais bien assez pour vivre, et à partir de là, je me moque du surplus. Et pourtant, je le gagne : alors je l'épargne, la plupart du temps. Je pourrais le donner, mais ce serait dommage que ceux qui le reçoivent soient corrompus par la maladie sociétale du billet vert, alors je préfère le confier à ceux dont l'esprit est déjà dévoré. Ces maladies sociétales étaient d'ailleurs la base de mes réflexions écrites, dans mes ouvrages. Pour faire court, comment l'individu peut à ce point se convaincre que sa société décadente et néfaste est le meilleur des mondes. Et c'était à cela que je passais la dite soirée. Ce genre d'ouvrages ne pouvait que faire du bien à certaines consciences, tant qu'elles existaient encore. Mais puisqu'il n'en restait, selon moi, que peu, j'écrivais surtout pour moi. Pour me permettre de réfléchir d'une manière optimale, et surtout contestée. Là était l'intérêt de publier : de confronter mes idées à celles de mes lecteurs, tant que d'un côté, ou de l'autre, ce n'était pas stérile. Et ça ne l'est pas toujours, puisque parfois, la correspondance était longue, et me permettait de comprendre ceux qui étaient de l'autre côté du livre. Écrire était ainsi une sorte d'échange d'opinions, fructueuse et des plus utiles.
Mais qu'est-ce qui pouvait provoquer cette sensation de froid ? Pas l'hiver, j'avais allumé les radiateurs, et mon appartement était adéquatement isolé. Non, mais au bout de 3 mois, je crois que j'ai compris cette sensation. Ce n'était que la distance. La distance, inconnue, entre lui et moi. Yago n'était pas près de moi, et même si, mentalement, ce n'était pas une nécessité, le malaise était là. Un malaise difficilement gérable, car la réaction nerveuse implique des tremblements plutôt gênants. Et qu'importe la durée de l'absence, en fait : dès qu'il part, le sentiment de solitude est présent, et explicite. Plus que démonstratif, c'est gênant. Je me levai alors, pour me diriger la fenêtre, et j'observai : un couple se tenait en bas. La vue ranimait la nervosité, déjà facile. Je m'éloignai alors d'un pas, mis l'envie de nicotine, me fit retourner sur mes pas. Je sortis un paquet, ainsi qu'un briquet jetable, et je fumai alors de ma fenêtre, regardant par dépit les deux amoureux qui s'embrassaient. La cigarette arrivait à ma calmer, alors seul mon regard envers eux était froid. Ils ne m'avaient pas remarquée, et se seraient sentis gênés si tel avait été le cas. Je remarquai soudain, alors que ma tenue était plutôt immobile, que ma main droite, posée sur le rebord, commençait à disparaître. J'en déduisais toujours que cet étrange don d'invisibilité intervenait lorsque la partie du corps était discrète et immobile. J'observai alors cette main, qui était occultée par cette espèce de sortilège, qund soudain, un message nerveux me parcourait promptement. Je ne ressentais plus de froid, et je me sentais bien plus énergique. Yago arrivait. Je finissais la cigarette, quand la porte s'ouvrit lentement ; je m'adossais alors au mur à côté, et j'attendais, le cœur battant d'une intensité presque inquiétante. Il était là.
Dernière édition par Elisabeth Kenway le 18/5/2014, 20:42, édité 2 fois
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 19:52
Bienvenue ! J'adore cette tête de sale petite peste *-* (A trop regardé Gossip Girl..)
SEUL LE PIRE ARRIVE
SIGNALEMENT : big bad wolf, wouf! HABILITIES : Capacité à avoir un carma de merde, comment ça c'est pas un super pouvoir... OFFICE : Détective privé spécialisé dans les affaires obscures des CESS SERENADE : Ben Frost :: 'Venter' (musique de la sign)
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 1359 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memories.
Je vomirais sur mes contemporains le dégoût qu'ils m'inspirent. Flaubert
Piotr Vuk Ludwiczak
FONDA BITCH Ϟ there is a new sheriff in town
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 20:14
Bienvenue miss parmi nous
SMOKIN' SHOES
SIGNALEMENT : Le casseur de burnes gominé HABILITIES : Don de l'Esprit Distrait, expérimenté en guitare et basse OFFICE : Artiste et Gérant du Tavian's, homme de main à ses heures perdues SERENADE : They Say - Scars on Broadway
« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 20:50
Je ne suis même pas le premier... (Ca s'annonce bien. )
"C'est compliqué", c'est un euphémisme je suppose ! Hum. Ne t'éloignes pas trop, et tout se passera bien.
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 14/5/2014, 22:21
Rebienvenue parmi nous Bon courage pour cette nouvelle fiche ! ^^
Soigne. Vole. Aime.
— It`s nice to be important... but it`s more important to be nice! —
« J'ai appris que l'on pouvait presque toujours voir le bon côté des choses, pourvu que l'on prenne la décision de le faire. Bien sûr, il faut que ce soit une décision très ferme. » LMM
Izabelle Kennedy
ADMIN — Piou-Piou, le super oreiller en plumes de poulet blanc.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 15/5/2014, 00:31
POUET
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 15/5/2014, 12:51
Rebienvenue Une demoiselle cette fois-ci, hâte de voir ce que ça va donner.
« J'ai appris que l'on pouvait presque toujours voir le bon côté des choses, pourvu que l'on prenne la décision de le faire. Bien sûr, il faut que ce soit une décision très ferme. » LMM
Izabelle Kennedy
ADMIN — Piou-Piou, le super oreiller en plumes de poulet blanc.
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé] 19/5/2014, 01:01
C'est transféré en zone staff
Welcome
Je suis là pour te guider
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
Souris, la vie est un fromage !
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!
Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option! Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan mais aussi pour recenser ton CESS.. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Si tu te sens perdu, n'hésite pas à demander un parrain. De plus, bénéficie de quelques astuces en faisant un tour ici. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell. Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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Sujet: Re: I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé]
I don't ever want to hate you, so don't show me your bad [terminé]