No one knows how to say
That they're sorry and don't worry
I'm not telling lies

La journée touchait peu à peu à sa fin, ça, je n'avais pas besoin de jeter un oeil sur l'horloge qui surplombait le montant de la porte d'entrée de mon bureau pour le savoir. Il me suffisait de jeter un oeil à travers les stores à demi-fermés qui occultaient quelque peu la lumière pour apprécier un minimum la douceur des couleurs du crépuscule: du rouge orangé au bleu violacé suivant le point de ciel sur lequel se pose mon regard pendant un instant. Toute la journée a été épuisante, non pas que j'aie dû sortir ou quoi que ce soit, mais rester à littéralement cuire à petit feu par ce temps presque caniculaire n'était pas le mieux non plus et le ventilateur n'a eu de cesse de cracher de l'air chaud brassé pour être rafraîchi dans tout mon bureau. Laissant un instant tomber mes notes et l'écran du pc sur lequel je tapais un énième rapport, je me suis finalement décidée à lui laisser une nuit de répit et à profiter de l'air frais qu'ouvrir ma fenêtre ferait pénétrer dans l'office. Et si d'ordinaire, la nuit ne me plaisait pas tant que ça à cause de tout ce qui grouillait dans l'ombre, celle-ci était plus que bienvenue; j'appréciais tout particulièrement la saveur de la nuit naissante en opposition à la lourdeur du soleil. Maudit soit l'été, j'ai toujours détesté cette saison et maintenant je me rappelle pourquoi...

En me retournant, j'embrasse immanquablement du regard ce lieu qui me sert de repaire, d'antre... De salle de torture.. Sérieusement, comment décririez-vous, vous, les paquets entiers de paperasserie à faire si ce n'est que par le qualificatif de "torture" ?? Je serais bien curieuse de connaître votre avis. La déco n'était pas super recherchée et j'aimais bien souvent imaginer à quoi devaient ressembler ces lieux avant que je ne vienne y installer tout mon bordel. Non mais sérieux, imaginez-vous un peu: une pièce dégageant un certain sentiment d'espace et de liberté tout en étant particulièrement exigüe si on la compare à d'autres offices, une bibliothèque chargée de manuels traitant autant de criminologie et de tueurs en série que de démons, de monstres et autres chimères prétendument sorties de l'imagination de l'homme. A moi seule, je pense que j'avais de quoi alimenter une section d'ésotérisme d'une bibliothèque pendant au moins quelques années... et ce n'était là que les livres que je consultais le plus souvent, ça n'avait rien à voir avec ma collection personnelle. Que voulez-vous, je suis fascinée, obsédée, tout ce que vous voulez... par ces choses. Il y avait déjà quelques bouquins quand j'ai emménagé ici, mais je me suis autorisé une petite personnalisation. On se croirait dans un bureau d'un afficionado des X-Files, mais en beaucoup mieux rangé, tout en maintenant cette impression de sérieux implacable et de tension presque palpable. Pourquoi croyez-vous que j'aie surnommé ce bureau "l'antre" ?? Ne manque plus que les bougies au mur et la musique d'orgue et le tour sera joué.. Non, en fait, je plaisante, mais c'est toujours mieux que quatre murs et un bureau nu, non?? Pourtant tout ne me rappelle pas à la tâche en permanence. Je me suis toujours permise de garder ma famille avec moi, donc si vous voyez une photo d'un couple sur mon bureau, surtout ne venez pas me dire que mon petit ami et moi faisons un beau duo, parce que non seulement je vous prendrais pour un con de ne pas comprendre, mais ensuite je vous ferais des yeux si ronds que vous en prendrez peur. Je vous le garantis. Non mais sérieux, depuis quand m'as-t-on un jour vue au bras d'un mec, hein? Et puis, vu l'air de famille, ne me dites pas que vous n'auriez pas compris que le beau gosse qui me tient compagnie sur ce cliché est mon grand frère. Non, mais sérieusement... On rit, on se taquine, et à chaque fois que mon regard croise celui d'Anthony sur la photo, je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire qu'on ne voit que trop rarement orner mon visage...

When I'm losing my control, the city spins around
You're the only one who knows, you slow it down

Colorado - 14 ans plus tôt
Une seule boule de neige. Franchement, il n'en suffisait pas de plus pour me mettre en pétard, surtout lorsque c'est visé avec suffisamment de précision pour finir pile poil dans ma chevelure ondulée. Dans le fond, peut-être que la boule de neige aurait pu passer sans représailles, mais à l'entendre rire et se foutre de moi gentiment, je ne pouvais pas passer outre sans lui avoir rendu la monnaie de sa pièce... Ah, il voulait la guerre, hein? Bien, il l'aurait, aîné de quatre ans ou pas, on n'ennuie pas une Murphy sans s'en mordre les dents au final.. D'un regard rapide, je m'assurais que la neige que je prenais avait tout de la composition d'une simple poudreuse et non pas une neige plus compacte. Je veux bien l'embêter un peu, mais de là à l'envoyer aux urgences, non, quand même pas... Mais dans le fond, ça ne changeait rien à la situation, quelle que soit la neige que j'utilisais: le défi était lancé. Je frottais mes cheveux d'une main pour dégager la neige fondante qui s'y écoulait doucement, comme un chien qui s'ébroue, et je me relève en récupérant mes livres en faisant mine de quitter les lieux dépitée pour aller étudier dans un endroit plus calme. Il sembla y croire, parce que son rire ne s'étouffait pas dans sa gorge... Pauvre de lui..

Quelques instants plus tard, et avant même qu'il n'ait le temps de dire "ouf", le voilà qui se trouvait assailli d'un coup d'une myriade de boules de poudreuses qui semblaient exploser juste devant son nez, non contentes de s'étaler dans sa figure, mais en s'éparpillant bien partout. En tout cas, c'est mon père - qui est militaire - qui m'avait appris ça et c'est d'un dommage que Tony l'avait si rapidement oublié: fais-toi discret, prépare le combat et une fois que l'adversaire a le dos tourné.... frappe.

Au bout de ce qui lui sembla être une éternité, mais qui n'était vraiment pas plus longue qu'une paire de minutes, il se retourna pour me faire face, bouche bée, trempé des oreilles aux chaussettes et carrément sur le... euuh, étonné. Peut-être même que son égo de mâle en a pris un coup, surtout si l'on compte que si j'avais préparé plus de boules, on y serait encore... Et là, c'était à MON tour de rire, voire même de presque m'en rouler par terre tant ma revanche était douce à vivre.

Kathleen: 1; Tony: 0

All we know is distance
We’re close and then we run
Kiss away the difference
I know you hate this one

Rien qu'à y repenser, un petit rire s'échappe de mes lèvres avant de venir mourir sur mon coeur à l'instant où je reprends ce masque de dureté qui m'est si caractéristique. Tony ne perdait jamais rien pour attendre, de toute manière et ces temps-ci, on continue quand on arrive à se voir: j'ai toujours aimé lui mettre une raclée quand on sortait se battre, que cela soit au paintball, au cercle de tir ou alors sur le ring. C'est une sacrée compétition qui nous lie, ça, c'est moi qui vous le dis. Dès qu'une occasion se présente, on ne se loupe jamais. C'est papa qui nous a appris tout ça, dans le fond, peut-être que je devrais lui en toucher un mot aussi la prochaine fois que je le vois. Officier militaire, qui a élevé seul ses deux enfants, quoique je passais quand même un peu trop de temps avec mon grand frère parce que papa travaillait. Peut-être que ça a fait de moi un garçon manqué, peut-être pas -je me considère comme sacrément féminine quand même, les flingues et le cuir à part.

Je me trouvais maintenant face à mon bureau, et si mon regard passait doucement de cette joyeuse photo de famille à mes diplômes et récompenses du F.B.I., mon enthousiasme fondit bien vite comme neige au soleil, laissant progressivement bouillonner une frustration et une colère incroyable. Je leur avais bien dit, que les vampires existaient. Et ces ploucs tout ce qu'ils ont trouvé à me répondre, c'est m'envoyer chez un psy mandaté par le Bureau pour discuter de cette vision de vampire que je prétendais avoir eu. Sauf que je ne prétendais pas, c'était réellement arrivé.

Je me souviens encore de son poids sur moi. C'est dingue, comme être entraînée à tout s'évanouit face à la surprise et la terreur. Cette nuit là, j'étais sortie pour fumer une cigarette, et il m'a surprise devant un café alors que je marchais un peu (je pense avoir dit que je ne supportais pas de rester immobile, non??). Il était si fort, si violent, et je ne comprenais pas ce qui se passait. Un peu comme si votre cerveau se fichait totalement qu'un parfait inconnu vous arrache vos vêtements en n'ayant qu'une seule intention en tête. En vrai, réaliser ce qui se passe ne prends qu'une seconde. Mais quand vous vous trouvez dans ma situation, tout ne vous paraît être qu'une éternité. A l'instant même où j'ai commencé à comprendre ce qui se préparait et où je me lançais dans une campagne désespérée pour me libérer de l'emprise que ce salaud avait sur moi qu'il me rouait de coup. A chaque mouvement pour contrer son acte, il renchérissait avec un peu plus de violence et d'ardeur. Au final, j'étais à bout de souffle, totalement résignée, l'oeil me brûlait alors qu'il se gonflait doucement suite à un coup. Je voulais pleurer, mais je m'y refusais, alors j'ai détourné la tête, en tentant encore de temps à autre de lui envoyer un coup pour me dégager, mais rien n'y faisait. J'avoue que pendant un instant, quand son poids m'a libérée, j'étais persuadée d'avoir été souillée. Mais lorsque je compris qu'il n'en était rien, je me risquais un regard et c'est là que je l'ai vu. Ce vampire qui se délectait du sang de cet enfoiré. Ce vampire qui m'avait sauvé la vie sans le savoir. Et moi, je me recroquevillais, tentant tant bien que mal de me cacher des deux prédateurs. Je ne savais pas qu'il était suceur de sang, à l'époque, ce n'est qu'après coup que j'ai compris ce que j'avais vu, et bien que le clamant haut et fort à qui voulait bien l'entendre, tout le monde remettait toujours ça sur le coup de la folie que je devais hériter de ma mère, ou bien du choc de l'agression qui avait dû sérieusement me griller la cervelle.

Et pourtant, j'étais ici. Dans ce bureau de Shreveport dans lequel on m'avait placée en charge du B.I.A.S. local. La Grande Révélation a dû leur faire effet d'un coup de pied dans les valseuses, parce que je me souviens encore parfaitement de l'air déconfit qu'ils avaient quand ils sont venus annoncer ma nomination. Certes, j'ai été reléguée de l'office régional de Louisiane à ce bureau plus modeste, mais ce n'était pas ça qui comptait pour moi.

J'avais raison. Je le savais.

C'était la seule satisfaction dont j'avais réellement besoin, dans le fond...

Of quiet birds in circled flight. I am the soft stars that shine at night. Do not stand at my grave and cry; I am not there, I did not die.

Je détestais être ici.

Le couloir était froid. Les faïences qui ornaient les murs de part et d'autres de l'étroit corridor n'arrangeaient rien. La morgue. C'est marrant comme on se dépêche de cacher la mort, dans notre société. Trop rarement vous trouverez une morgue ailleurs que dans le sous-sol d'un bâtiment, ou alors bien à l'abri des regards du monde entier; et d'une certaine manière, ça me rends triste. C'est comme si on en avait honte, alors qu'on me rappelle tous les jours que c'est normal, et que ça fait partie intégrante de la vie. Bien sûr, la mort a dû reprendre un tout nouveau concept à la découverte de l'existence des vampires, mais le principe de base, le "naturel", c'est absolument pareil. Mais cela n'empêchait pas que je haïssais avoir à me retrouver en ces lieux, parce que ça voulait toujours dire qu'une personne avait eu à souffrir d'actes qui tombaient dans ma palette d'investigation. Et la raison qui m'amenait aujourd'hui en cet endroit me brisait tout particulièrement le coeur.

Je continuais d'avancer, laissant mes talons claquer sur le carrelage, offrant un écho lugubre à la marche que j'opérais ici. Une description de blessure avait attiré l'attention de certaines personnes, qui m'avaient à leur tour contactée pour que je m'en charge. Et lorsque j'ai appris les détails de la jeune femme en question, mon estomac s'en est presque retourné. Je continuais ma marche, négligeant les deux premières salles pour me diriger vers celle qui m'intéressait, facile à reconnaître parce qu'en ce début de matinée, c'était la seule salle réellement allumée, laissant darder sa lumière blanche à travers la petite fenêtre qui offrait à la salle d'autopsie la seule vue sur l'univers extérieur. Cette morgue en particulier possédait plusieurs salles d'autopsies, chacune pourvue de matériels spécifiques selon le cas de décès que le médecin légiste avait à faire. Par exemple, je savais que l'une des salles bénéficiait d'un système ultra développé d'aération et de récupération des liquides, et elle était tout particulièrement réservées aux cas de noyades ou de corps à l'état de décomposition avancée. Mais lorsque j'entrais dans la salle qui m'intéressait, on ne peut plus classique, on ne pouvait pas s'émerveiller sur ces bijoux technologiques qui permettaient de rendre une voix aux victimes. On ne pouvait pas ignorer la frêle silhouette qui se trouvait allongée sur la table que j'imaginais si froide que j'en avais moi-même des frissons.

Elle n'avait pas l'air bien vieille, peut-être âgée de 16 ou 17 ans, et le légiste se penchait vers elle avec un soin tout particulier. L'avantage d'avoir une légiste plutôt qu'un homme, et j'appréciais ça. Elle avait encore l'air d'une enfant, et si on mettait de côté les hématomes qui couvraient son corps entier, témoins silencieux d'une maltraitance flagrante, elle aurait presque pu passer pour une jeune étudiante endormie. La femme se retourna vers moi, et acquiesca silencieusement avant de me tendre un dossier contenant un rapport préliminaire. Et j'agissais comme en auto-pilote, incapable de quitter des yeux ce visage fin et ses longs cheveux bruns, revoyant un instant le fantôme de ce qui aurait pu m'arriver à moi. Souvent, les victimes me touchent par leur histoire, mais celle-ci, d'une certaine manière, était différente. Et je savais que j'allais tout faire pour découvrir ce qui avait bien pu lui arriver.

Délicatement, le médecin tourna le visage de l'adolescente et m'indiqua alors ce qui m'avait été dissimulé par l'angle que j'avais pris vis à vis du corps. Au niveau du cou, bien net, se trouvait une vilaine marque encore ensanglantée. Cause apparente du décès: hémoragie artérielle frôlant l'exsanguination. Je n'avais même pas besoin de faire savoir ce que j'attendais de la jeune femme: elle se retournait déjà vers sa petite tablette de travail sur lesquels étaient posés ses instruments, y récupérant un baton de prélèvement avant de doucement caresser la plaie, comme si elle cherchait à gratter quelque chose sur la blessure. Nous savions toutes deux que la technologie nous permettait aujourd'hui d'identifier une protéine propre aux vampires et si le prélèvement s'avérait concluant, je saurais au moins dans quels milieux commencer mon enquête. Parce qu'alors que je ne pouvais m'empêcher de doucement caresser la chevelure de cette enfant qui n'avait pas à mourir si tôt, je me fis la promesse que je me faisais à chaque cas suspicieux auquel j'étais susceptible d'apporter des réponses. J'allais découvrir ce qui lui était arrivée, je retrouverais qui elle était, et qui lui a fait ça et pourquoi. J'affronterais ses parents et leur annoncerait la terrible nouvelle, mais surtout, je raconterais son histoire.

A elle.

famille.

Père:

Papa est militaire de carrière et il aime tellement ça qu'il nous a passé le virus, à mon frère et moi. Sauf que moi j'ai été happée dans le système fédéral alors que les deux mecs, eux, passaient des heures glorieuses au service des Etats-Unis d'Amérique. Si je ne dois citer qu'une chose de tout ce que j'ai vécu avec lui, c'est l'amour et le support: nous déménagions souvent suivant la base auquel il était affecté et changer sans cesse de voisinage, d'amis, de tout ce que je connaissais, cela n'avait rien de facile pour moi, même si ça me faisait découvrir le monde. Avec l'absence de maman, il a eu deux rôles à remplir et je pense qu'il s'en est sorti avec brio; il n'a jamais cherché à nous cacher maman, il n'a jamais été honteux de son état, je pense au contraire que ça l'attristait profondément. Il nous racontait des histoires d'elle et lui, de leur vie, il entretenait à mes yeux un souvenir que je ne pouvais vivre par moi-même. Je l'aime, mon père. Il a eu une période difficile à vivre lorsque les rumeurs ont commencé à lui parvenir: autant annoncer à un homme fier que sa fille est une lunatique. Il a eu peur pour ma santé mentale, pendant un moment et si sur le coup cela m'ait rendue furieuse qu'il ne me croie pas, maintenant je comprends les raisons qui l'ont poussé à ces conclusions. Vous n'avez pas idée à quel point je suis ravie que la Grande Révélation me donne raison, tant aux yeux de tous qu'à son regard à lui... Son respect est ce qui m'est le plus important...

Frère:

On fait exception à certains duos de frères-soeurs qui ne savent pas se pifrer. Nous, c'est tout le contraire, ou au moins cela l'a été jusqu'à une certaine époque. Maintenant, ce n'est pas que nos relations se sont détériorées, bien au contraire, mais nos boulots respectifs ne nous permettent plus d'entretenir tout ça aussi bien qu'avant. On appelle ça devenir adulte, hein? Mais il reste toujours mon meilleur ami, mon confident. Celui qui, immanquablement, ne rate jamais une occasion de me rendre le sourire et de me conforter dans mes entreprises, quelles qu'elles soient. Et dire qu'il fut l'un des rares à me prendre au sérieux lorsque j'affirmais haut et fort l'existence du surnaturel... Et bien... Rien que ça, à mes yeux, cela n'a pas de prix.

Mère:

Maman a été internée dans une institution spécialisée quand j'étais enfant. Je n'ai jamais vraiment su ce qui s'était passé, juste qu'au final il a été décrété qu'il serait mieux qu'elle soit encadrée dans un environnement spécialisé. Je ne l'ai jamais connue en famille, toujours internée, mais ça n'a jamais empêché que j'apprenne à la connaître. Aujourd'hui, je retrouve l'habitude d'aller la voir de temps à autre...

Damian S. Reyes a écrit:

Bienvenuueeeee :015/:

Alessandro E. Llywlyn a écrit:

Alors là, tu m'a bluffé, quand tu m'a dis que tu avais changé d'avis j'étais loin de me douter que c'était pour la délicieuse Murphy! Ca tombe bien parce qu'on va avoir du boulot à lui donner avec l'intrigue!
Re bienvenue
Bon courage pour ta fiche.

Alejandra I. Starling* a écrit:

Bienvenue belle brune ! :014/:

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modéré pour la validation.

Comment dire... tu as magnifiquement cerné le personnage. Ce n'est pas vraiment une surprise mais ta fiche est vraiment bien faite. J'adore tout particulièrement ton histoire et l'épisode avec la boule de neige, à la fois tendre souvenir d'enfance et en même temps très révélateur sur sa personnalité. Bref tu nous a fait une très belle fiche.

J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!

Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des challanges ou bien dans l'animation. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!

Alessandro E. Llywlyn a écrit:

Comment dire... tu as magnifiquement cerné le personnage. Ce n'est pas vraiment une surprise mais ta fiche est vraiment bien faite. J'adore tout particulièrement ton histoire et l'épisode avec la boule de neige, à la fois tendre souvenir d'enfance et en même temps très révélateur sur sa personnalité. Bref tu nous a fait une très belle fiche.

Alessandro E. Llywlyn a écrit:

L'ambiance dans le bureau était très inspirée de l'actualité avec la canicule

*plaide non coupable *



:004/:

Freyja I. Mandrake a écrit:

:002:
Félicitations Môman !!!