Galia Emilya Solowski • I'm a not a monster, I'm just like you bab'

Traits de caractères On va être clair, Galia est une personne souriante, serviable, vous voyez le topo ? Elle n'aime pas s'attirer d'ennuis et elle est assez douée pour les éviter d'habitude. Le seul problème majeur qu'elle ne peut pas sauter ou contourner c'est bien Aleksei, ce vampire qu'elle ne peut pas voir en peinture. Normalement, Galia n'est pas rancunière pour un sous, mais il faut dire qu'il a touché ce qu'il ne fallait pas et voilà vingt ans qu'elle l'a en horreur. Et croyez-moi, elle n'est pas tendre avec lui et pour la mettre en colère comme il est le fait, il ne faut être que LUI pour y arriver. Si vous la connaissez un tant soit peu, vous serez surpris de voir dans quel état d'irritation elle peut être juste après lui avoir parlé, ce qui est vraiment rare. Mais revenons-en au principal. Elle est agréable à vivre dans toute circonstance - hormis celle dis précédemment - elle se met toujours en quatre pour essayer de faire plaisir à ses proches, que cela soit en cadeau ou en surprise. C'est une personne protectrice, un peu maternelle aussi, à cause de son frère jumeau. Elle est plutôt naïve, où elle pense qu'une personne n'est pas forcément mauvaise parce qu'elle agit de tel ou de telle manière - sauf Aleksei - il y a toujours une raison pour elle. Pour elle, l'amitié est quelque chose de précieux et elle l'a appris à ses dépens quand on a su lors de la révélation qu'elle était une marquée. En effet, nous pourrions dire aussi qu'elle est très têtue, et ne lâche jamais rien ou presque. Surtout avec l'autre suceur de sang, elle ne supporte pas son de boire son sang. Oui.
Occupation nocturne Elle travaille en tant qu'assistante dans un salon de Tatouage, elle est là pour accueillir les gens, appeler les tatoueurs pour la commande, préparer le matériel adéquate de neuf heures du matin à... Ça dépend de la charge de travail. Et le soir, elle reste tranquillement dans son appartement en espérant qu'Aleksei ne vienne pas lui rendre visite sauf en cas de nécessité. Elle va le plus souvent possible à la bibliothèque de la ville, c'est une boulimique littéraire, elle engloutie les livres comme un rien et aime tous les genres qu'il peut exister. Etant insomniaque, elle dort très peu et au lieu de s'ennuyer sur des blogs d'hypocondriaque sur Internet, elle préfère largement se plonger dans les livres et les histoires fantastiques, dans un autre monde. Seule les histoires avec les vampires l'insupporte à présent. Galia aime aussi faire du jogging pendant plusieurs heures ou aller à la salle de sport quand il fait trop mauvais temps pour sortir. Vous voulez en savoir une bonne ? Elle n'arrive qu'à dormir qu'avec son vampire, sinon, elle ne dort qu'entre deux et quatre heures pas nuit.
Manies, habitudes & goûts Elle fait toujours craquer ses doigts quand elle commence à être irritée ou énerver. Elle déteste la couleur orange. Elle boit pratiquement une bouteille d'eau par jour, ayant toujours une impression de sang dans sa bouche. Porte deux bagues d'or coller l'un à l'autre pour n'en former qu'une autour de son cou et deux bracelets autour de son poignet droit. Un de chaque appartenait à son jumeau et elle ne les quitte sous aucun prétexte. Elle n'as pas son permis de conduire, refusant de conduire un engin de la mort. Elle préfère encore prendre le train pour les longs voyages. Pour la ville, c'est à pied ou en vélo.
Relations avec votre vampire Sa relation avec son vampire est des plus complexes. Elle l’aime comme elle le déteste. Elle a besoin de lui comme elle ne peut pas supporter sa présence. Son frère n’aurait jamais voulu qu’elle meurt pour le suivre, il aurait voulu qu’elle vive pour lui. Alors, avant de faire une connerie, affectionnant Aleksei à sa manière, elle accepta de devenir sa marquée. De devenir sa poche de sang. Certes, elle aurait préféré mourir dans cet accident avec Alexis, son frère jumeau en 1991 lorsqu'ils avaient vingt ans tous les deux. Ils avaient décidé de partir en voyage pour fêter leurs vingt ans. Un chauffard, deux jeunes gens ne faisant pas attention tellement ils riaient en voiture, un coup de volant trop rapide et ce fut le noir totale. Si elle aime son vampire ?... Ahah. Ne lui dites jamais ça, où vous pourriez vous faire incendier comme jamais. Elle ne peut pas le voir en peinture, le fait de le savoir dans le même quartier qu'elle lui donne des frissons. Il adore taquine sa marquée, la pousser à bout et elle le rembarre en essayant de se contenir, car elle le considère comme responsable de tout. Elle ne digère toujours pas le fait qu'il soit mort et préfère tout mettre sur les épaules d'Aleksei. Sa haine contre son vampire lui permet de tenir le coup, car au plus profond d'elle-même, c'est une haine qu'elle voue à elle-même, pour sa faiblesse, le fait qu'elle soit vivante. Chose étrange aussi, elle ne supporte que ses bras pour le moment. Quand elle commence à trop réfléchir, elle a besoin de lui à ses côtés pour se calmer, l’insulter puis se serrer contre lui sans raison. Une relation plutôt explosive.
Convictions  Septique. En effet, pour elle, c'est à la fois une libération et une malédiction. Ainsi, elle peut rester « jeune » sans que cela interpelle les voisins et qu'ils sortent les crucifix et les gousses d'ails devant chez elle. D'un autre côté, cela veut dire que tout le monde pense qu'elle est une adoratrice des buveurs de sang, la mettant dans la même catégorie qu'eux. Ce dont elle se défendra bec et ongle, l'idée que son vampire boive son sang et qu'elle doit aussi le faire pour ne pas être en état de manque telle une drogué la répugne au plus haut point. Elle essaye de ne pas se mêler des conflits des races, essayant de vivre malgré elle sa petite vie tranquille entre ses lèvres et le salon de tatouage. Il y a plus de négatif que de positif dans son esprit, mais au moins, elle est tranquille pour les fourches et l'argent me direz-vous. Ou presque.
Signes particuliers  Galia à une cicatrice sur l’omoplate qu’elle a fait recouvrir d’un tatouage. Un serpent à deux têtes, l’une d’elle arborant un air de quiétude alors que l’autre semble dressé, prête à en découdre.

Chronologie

• 1 Janvier 1971, Pologne : Naissance de Galia et de son frère jumeau de cinq minutes son cadet Alexis. Ils sont nés à l'hôpital principal de Varsovie, d'un père polonais nommé Ivan Solowski et de sa femme Emilya Solowski. Ils ont choisi de donner en second prénom de leurs enfants leurs propres prénoms pour une raison farfelue.
• 15 Avril 1978, Pologne : Les parents Solowski décident de quitter la Pologne pour des raisons financières évidentes, souhaitant simplement trouver un bon travail aux États-Unis pour nourrir leur famille. Les jumeaux ne comprennent pas vraiment à l'époque ce que veut dire quitter le pays, ils savent seulement qu'ils vont rester ensemble et ça, c'est le plus important.
• Mai 1978, États-Unis : Ils arrivent enfin sur la terre du rêve américain. Tout de suite, les deux parents cherchent un emploi, tout en faisant intégrer Galia et Alexis à l'école. Plus ouverte que son frère, Galia essaye de lier des amitiés avec les enfants, son frère ne la lâchant pas d'une semelle tel un chevalier servant. Les enfants se méfient plus d'Alexis qui a des yeux vairons bleu et vert que de sa soeur.
• 1 Janvier 1981, Etats-Unis : Le père des deux jumeaux est malheureusement absent. Les deux enfants attendent avec détermination son retour, ne bougeant pas de table de toute la journée. A trois heures de l’après-midi, un homme tape à leur porte. C’est le voisin de palier. Il annonce dans un mauvais anglais qu’Ivan avait eu un accident, un accident malheureux. Ecrasé par une voiture et le conducteur avait fui sans se retourner pour aider le père Solowski. Pendant presque trois mois, les jumeaux furent incapables de monter dans une voiture et ils n’empruntèrent que des petites rues pour éviter la circulation des véhicules.
• Période de 1981 à 1986, Etats-Unis : Ce fut une période dur pour les deux jumeaux. Il n'y avait que leur mère pour assurer les finances de la famille alors que les enfants continuaient l'école. Elle a toujours refusé que les jumeaux fassent de petits boulots pour ramener un peu d'argent, souhaitant qu'ils fassent de bonnes études pour avoir un bon métier.
• 14 Octobre 1989, Etats-Unis :| Emilya Solowski tombe soudainement à son tour, rejoignant son mari de l'autre côté. Elle fit un AVC soudain. En cours d'Histoire tous les deux à ce moment-là, quand on vint les chercher. Ils étaient tout seuls maintenant. Ils avaient 18 ans et Galia fut intraitable à ce sujet, son frère devait continuer ses études, il était intelligent et il était passionné par l'astronomie. Quant à elle, elle accepta d'avoir son diplôme du lycée, elle quitta les études et commença les petits boulots pour pouvoir les nourrir, devenant une mère pour son frère qui ne cessa pas de la taquiner par la suite sur son rôle.
• 5 Janvier 1991, Etats-Unis : Vingt ans ! Une liberté de plus ! Des souvenirs précieux, il ne fallait pas les oublier. Alexis et elle avaient décidés de partir faire le tour du pays. Tout allait bien depuis quatre jours, ils traversaient des villes, des plaines. Entre eux, ils ne parlaient que polonais vous voyez le genre ? C'était un code secret entre eux, ils riaient à s'en faire mal au ventre... Et puis plus rien. Un choc. Des tonneaux. Hee... Ca faisait seulement quatre jours... Elle avait du mal à respirer. Pourquoi elle était là ? Pourquoi Alexis avait les yeux grands ouverts, mais sa bouche ne cherchait aucun air. C'était fini. Son coeur se déchira. C'était impossible. Pas lui. Pas lui. Tout, mais pas lui. C'est alors qu'elle ressent quelqu'un ou quelque chose le tirer par les pieds pour la sortir de la voiture. Elle ne sent que des bras contre elle et... Un mur blanc. L'hôpital ? Où était son frère ? L'image de celui-ci étendu à ses côtés sans vie la frappa de plein fouet et la frappèrent violemment. Un cri. Déchirant. Perdre un parent était horrible. Perdre un frère ou une sœur était inhumain. Perdre son double, son jumeau, l'être avec qui nous sommes né, c'était une abomination, un châtiment.
• Durant 2 mois d’hospitalisation, Etats-Unis : Elle rencontra son sauveur. Un garçon dés plus charmant c’était vrai. Elle était prête à le remercier, même si elle ne comptait pas faire de vieux os dans ce monde. Il c’était enfermé avec elle. Elle trouvait ça étrange, les heures de visites étaient terminées depuis longtemps. Il annonça sans se présenter qu’elle était maintenant sa chose, qu’elle devait devenir sa marquée, et qu’il était un vampire. Quand on vous dit ça, et que vous êtes en état de détresse, vous faites quoi ? Vous essayez d’appeler à l’aide. Rien à faire, cet homme avait quelque chose. Elle n’arrivait pas à crier. Deux mois de tortures. Deux mois où elle ne se sentait plus seule. Elle avait au moins cette impression d’être importante pour quelqu’un.
• 6 Mars 1991 : La nuit était déjà là quand elle quittait l'hôpital. Elle le savait. Il était devant elle. Ils s'étaient fixés un long moment avant de se sentir attirer contre lui et se résigna à le suivre. Elle demanda pardon à ses parents et à Alexis pour ça. Mais il était la raison de sa présence sur terre. Elle ne savait pas ce qui allait lui arriver réellement dans son monde où il n'y avait que la fragilité de l'être humain. Ce fut douloureux dans le sens psychique et absolument dégoûtant ce gout prononcé de fer. Ce fut la nuit de sa première marque. Elle pensait que tout cela n'était qu'un cauchemar. Mais non, elle le sentit. Cette chose qui avait changé en elle. Quand elle faisait du sport par exemple, elle sentait qu'elle allait bien plus vite que d'habitude, qu'elle était capable de résister plus de deux heures de jogging sans problèmes. Son corps entier c'était endurcie grâce au sang de Aleksei. Tout comme cette étrange capacité que posséder aussi la chauve souris. Elle était capable de s'enfermer dans une bulle de silence. Pendant très peu de temps, et puis de plus en plus. Jusqu'à tenir plusieurs longues minutes. Une relation haine/amour se mit tout de suite en place entre eux, lui pour s'amuser et la torturer peut-être, elle n'en savait rien. Galia, seulement pour se protéger un minimum de son passé qui la rongeait lentement.
• Jusqu’à l’année 2001 : Mentant sur son âge, mentant sur son nom, elle suivait plus ou moins son cher Aleksei. Se crachant des horreurs à la figure, le maudissant de tous les noms pour tout ce qu'il lui avait fait depuis dix ans. Et malgré ça, elle ne pouvait pas s'empêcher de souffrir de son absence. Le pire c'était quand il ne répondait pas à ses provocations. C'était le pire pour elle. Quand une personne ne répond pas, c'est qu'elle montre bien que vous n'aviez aucune importance pour elle. Alors qu'une personne vous répond, c'est qu'elle vous considère en tant que personne. C'était des batailles. Jamais quelque chose de physique, seulement du venin jeté en pleine figure pour pourrir l'autre avant de mordre le vampire et de rester coller à son dos sans dire un mot. Une relation destructrice.
• 17 Juin 2001, Etats-Unis : Un besoin. Un besoin d'être plus proche de lui. Sans réellement se parler, elle sut que le moment était venu de passer à une seconde étape de leur relation. L'apposition de la seconde marque. Elle avait besoin d'être mordu. Elle avait besoin de le sentir le plus près d'elle. Dans sa tête. De ressentir quelque chose de sa part. Oui, c'était ça donc elle avait réellement besoin. Le sentir au plus près d'elle. Quand elle y repense de nos jours, elle a seulement envie de se tuer. Avant de ressentir l'envie vitale d'être à ses côtés... Pour le repousser. Ce fut dans ses conditions que fut imposer la seconde marque, révélant encore une fois un contenue surprenant. Cette sensation d'être plus prêt de son vampire était bénéfique pour Galia, sentir sa présence quand on se sent mal et l'appeler dés qu'elle en à besoin. C'est vrai cependant que le fait de pouvoir ressentir l'autre par les rêves n'est pas tout à fait bénéfique. Aleksei prends un malin plaisir à effrayer Galia ou à s'amuser avec elle en la mettant à bout de nerf même quand elle dort. Et elle fait la même chose avec lui quand elle en à la force, en lui disant des choses dont il n'as pas l'habitude d'entendre de sa bouche. Ce qui est comique en voyant la tête qu'il tire à chaque fois au réveil.
• 2007, Etats-Unis : Cette fameuse année. Tout bascula. Les vampires montrèrent leurs crocs aux yeux du monde. Un des plus vieux poids de l’humanité s’allégea ainsi. Elle put dire son vrai nom, son vrai âge. Jugée peut-être, mais elle s’en fichait maintenant. Elle avait trente-cinq ans maintenant, elle commençait légèrement à mûrir et s’être forgé une armure autour d’elle. Et oui, elle était ainsi. Une saloperie de marqué, une qui aime les vampires. Si les gens savaient seulement ce que c’était d’être elle. De supporter Aleksei. Oh oui… Les gens ne savaient rien de sa vie. Et la guéguerre des créatures, elle s’en moquait bien. Elle se fiait à Aleksei pour l’opinion qu’elle devait adopter sur ce point de vue.
• Années suivantes, Etats-Unis : Un petit travail dans un salon de tatouage. Un petit loft dans le quartier qu'elle voulait et surtout, là où elle ne risquait pas de se faire brûler vive. Sa relation au fil des années n'étaient pas réellement différente. Elle supportait sa présence seulement quand elle dormait. Dormant peu, elle arrive à dormir le jour dans ses bras sans avoir envie de lui hurler dessus. Quelle vie. Essayer de vivre étrangement. C'était son seul moyen de survit. De vivre écorchée.