➽ date et lieu de naissance. 18 décembre 1988 à New York. ➽ nationalité. Américaine ➽ camp.On ne sait pas vraiment si elle est du côté du bien ou du mal étant donné qu'elle tue tous ceux qui l'empêcheraient d'achever sa mission. Les chasseurs comme elle pensent qu'elle fait le bien alors que les humains "normaux" diraient que c'est le diable en personne. ➽ capacités. Télépathie. ➽ classification. agressive. ➽ état civil. Célibataire. ➽ lieu d'habitation. Stone Hill. ➽ métier. Tueuse à gage, chasseuse de prime, et chasseuse de vampires. ➽ étiquette qui vous est collée. « La blonde là-bas ? Je la ramènerai bien dans mon lit ! » « Pff…Si elle n'a pas de métier c’est qu’elle n’a rien dans la tête ! » « Elle ? Un vrai cas social ! Elle n’a aucun ami, elle ne dit jamais bonjour, elle ne respecte aucune règle de politesse. » Voilà ce qu’on pense d’elle. Vous pensez que ça lui fait mal ? Et bien non, elle s’en fout de ce qu’on peut penser d’elle. Ce n’est pas parce qu’elle est blonde qu’elle n’a rien dans la cervelle bien au contraire...

Astarte n’a quasiment que des défauts. C’est quelqu’un de détestable même si elle est belle à en mourir. Les blondes sont bêtes parait-il, pourtant c’est une fille si intelligente, qu’elle manipule très bien les autres. Elle fait souvent les choses sur un coup de tête. Elle n’a aucune pitié pour ses victimes, elles meurent souvent dans d’atroces souffrances. C’est une rebelle dans l’âme, elle n’aime pas les ordres, se fout des lois et des règlements. Elle est froide, n’est pas sociable, ce qui fait qu’elle n’a pas beaucoup d’amis pour ne pas dire qu’elle n’en a pas du tout, ce qui est peut-être dû au fait qu’elle est méfiante envers quiconque. Elle ne se confie pas aux autres et n’aime pas non plus les écouter raconter leur vie, sauf si c’est une des rares personnes qui compte pour elle. En revanche, elle joue très bien la comédie mais sait être sincère quand c’est nécessaire. Elle est dotée d’un grand courage. Elle sait dérober des voitures sans se faire piéger. Elle a une peur panique des avions.
Pour elle, son véritable métier c'est de tuer les vampires, elle considère ça comme un travail à temps complet. Elle peut faire des choses illégales, comme acheter des armes aux trafiquants, mais elle s'en fiche.Elle est capable de tout pour se débarrasser de ceux qui la gênent pour effectuer sa mission. Accessoirement, elle est aussi chasseuse de prime et tueuse à gage. Sinon, elle sait très bien voler des voitures, c'est presque comme un "autre travail".
Fume de trop. N’aime pas dire bonjour. Ne supporte pas les contacts physiques. Adore la musique violente. Collectionne les armes à feu. Aime provoquer. Est sexy sans le faire exprès –l’est même au réveil. Aime la nuit. Aime la pluie. N’aime pas le rose. Préfère le noir. Aime les bad-boys. Aime la liberté. Pense qu’elle n’a besoin de personne. N’aime pas être surprotégée. Aime les sports de combat, la course et la natation. Aime se lever tôt. Adore les nuits blanches. Se mord les lèvres. S’habille bien. Aime la café serré, les vieux whiskys, les alcools forts. Adore les enfants. Supporte les animaux. A toujours un briquet sur elle. N’aime pas la drogue. Adore le chocolat et les plats épicés. Ne laisse jamais ses armes déchargées. A horreur qu’on lui pose des questions. Ne supporte pas qu’on abîme sa voiture, qu’on mange dedans ou qu’on critique la musique qu’elle met lorsqu’elle est sur la route. Déteste qu'on la regarde fixement.
Astarte est télépathe, c’est un pouvoir extrêmement puissant qui lui permet de lire dans les pensées des autres. Toutefois, c’est un don limité, elle ne peut s’en servir qu’autour d’un rayon d’une centaine de mètres, pas plus. Les pensées des gens sont plus simples à lire pour elle lorsqu’elle a un contact physique avec la personne en question. Elle peut y voir des images ou entendre ce que l’on pense.
On peut dire que c'est quelque chose de bien, peut-être que certaines personnes décideront elles-aussi de détruire les vampires... Allez savoir... Il ne faut pas que tous les humains se mettent à la chasse sinon certains n'agiraient pas comme il faut. Mais il faut que tous prennent conscience du danger qui nous entoure et arrêtent de se préoccuper de leurs insignifiants petits soucis !
Elle a une cicatrice en forme de carré, sur son avant-bras gauche, faite au fer par son père lorsqu'elle n'avait que sept ans. Elle possède un tatouage sur l'épaule droite représentant un pistolet, fait à cet endroit pour attirer l'attention sur le dessin et non pas sur la cicatrice.

Je suis née 18 décembre 1988 à New York, dans un hôpital assez privilégié. Je suis issue d’une famille aisée donc, des bourges comme on dirait. Quand j’étais petite, que j’avais à peine quelques mois, il fallait que je la ferme. Mon quotidien se résumait à : manger, dormir. Étonnamment je ne faisais pas de bruit, je ne dérangeais jamais personne. Ma mère n’était pas très présente, ce n’était pas comme si elle travaillait beaucoup, au contraire c’était mon père qui ramenait de l’argent à la maison. Je lisais dans les pensées de maman parfois et j’y discernais souvent de l’ennui, une envie de partir, d’être libre… A vrai dire, elle pouvait plus voler de ses propres ailes et laisser tomber son horrible mari dont elle dépendait totalement. Elle l’aimait, même quand il était insupportable. Il l’accusait de ne pas lui avoir donné de fils et j’ai rapidement compris que je n’avais pas ma place ici,pourtant, je voulais qu’il m’aime. J’avais l’impression que c’était perdu d’avance mais j’avais de l’espoir. Ma mère, bien que pas très impliquée dans son rôle m’aimait et je le savais depuis toujours, je lisais souvent ce sentiment dans ses pensées. Puis on a appris qu’elle avait un cancer, il n’y avait rien à faire… Elle m’avait dit avant de s’en aller qu’elle m’aimait et qu’elle souhaitait que je trouve mon âme sœur parce qu’au fond d’elle, elle savait que mon père n’était pas la sienne, vu ce qu’il lui faisait endurer et la haine qu’il me vouait au fait que je n’ai pas été un garçon –le fils qu’il désirait avoir. Croyez-moi, ce genre de truc, ça ne s’oublie pas comme ça. Ensuite, le bourreau n’avait plus que moi mais n’était pas devenu plus agréable pour autant. Souvent, il me fouettait avec sa ceinture, me tapait sur les doigts avec une règle en fer… Il aura fait les pires choses qu’on puisse faire à son enfant. Parfois, enfin je devrais dire régulièrement, il m’humiliait en public : il se moquait de moi sur des sujets qui me touchaient, comme le fait que je sois trop marquée par le fait d’avoir perdu ma mère si tôt ; de me dire que j’étais nulle, que je n’arriverai à rien dans la vie... Les pires tortures autant morales que physiques…Souvent, j’en portais les marques mais rassurez-vous, ce dingue faisait tout pour qu’on ne les voit pas en les masquant avec du fond de teint la plupart du temps. Il y a une cicatrice qui n’est-elle, jamais partie, une marque sur mon avant-bras gauche, de la forme d’un petit carré : elle venait d’un fer chauffé au-dessus de la cheminée. Non, je ne me l’étais pas faite toute seule loin de là ! Il me l’avait faite quand j’avais sept ans et j’avais souffert le martyr… J’avais l’impression que ma peau partait en lambeaux tellement c’était douloureux. Je savais qu’il ne fallait pas que je me débatte alors je l’ai laissé faire, encore une fois, pour ne pas que la marque s’étale… Il ne me l’a pas soignée et moi j’ai essayé tant bien que mal mais la brûlure me faisait toujours autant souffrir…

Voilà, j’avais vécu des tas de choses semblables à celles-ci, un peu moins douloureuses, certes mais pas agréables pour autant…Ce que je vais dire va vous surprendre mais à force j’étais devenue sadomasochiste, ouais j’avais même réussi à m’y habituer. Le pire, c’est que j’avais fini par y prendre du plaisir et ça, c’était vraiment effrayant… J’avais eu envie de mourir en m’en rendant compte. En fait, je haïssais mon père pour ce qu’il m’avait fait subir, mais au fond de moi, mon rêve c’était qu’il m’aime. Peut-être que je l'aimais malgré ce que j'avais enduré, mais c'était vraiment complexe, en fait, j'avais comme l'impression que mon histoire était semblable à celle d’Œdipe, vous savez, le gars dans l'Antiquité qui a tué son père parce qu'il aimait sa mère plus qu'il ne l'aurait dû... Enfin ça ce n'était qu'une légende alors que tout ça fut réel. J’étais alors devenue complètement hystérique et j’avais dû aller chez le psy pour faire soigner tout ça… Heureusement, la thérapie a marché mais tout ça s’était passé bien plus tard, quand j’avais quitté mon horrible maison vide qui regorgeait de tant de souvenirs dont je voulais me débarrasser. Parfois, les crises d'hystérie persistaient, je n'arrivais pas toujours à les gérer, mais souvent, je laissais des cadavres sur mon passage...

A un moment, je fis la connaissance d’un garçon, -nommé Vitaly- j’avais 13 ans à cette époque-là, lui 14. Nous sommes rapidement devenus amis et je le considérai comme mon meilleur ami. Il faut dire que même petite je n’avais pas d’amis. Il m’a appris des tas de choses, comme me battre ou alors connaître l’existence du surnaturel. Ça ne m’avait même pas effrayée, plus rien ne pouvait me faire peur après tout ce que j’avais vu… J’avais l’impression d’être indestructible avec lui, que rien ne pouvait me heurter. Quand nous sommes devenus un peu plus grands, notre relation s’est transformée en quelque chose de plus ambigüe. Ouais c’est ça le mot. C’était ma première fois et nous avons couché ensemble un certain nombre de fois. On voulait rester ensemble pour toujours mais c’était impossible malgré qu’au moment où nous l’avions fait je me sois dit : je crois que c’est lui mon âme sœur. Puis il a disparu, du jour au lendemain, sans explications. Tant pis, je ne pouvais pas me laisser aller, il fallait que je poursuive ma vie. Après tout, d’autres auraient pensé que ce n’était qu’un amour de jeunesse mais j’étais persuadée que c’était plus que ça…

Un jour, j’ai rencontré un homme qui lui, m’a appris l’art de tuer, ni vu ni connu. Il m’a donné toutes les techniques pensant que j’avais du potentiel pour être tueuse à gage et il avait raison. Ce type s’appelait Sevastian. J’avais commencé à m’attacher à lui, je crois même que je l’ai aimé, pas d’un amour aussi sincère que celui que j’avais éprouvé pour Vitaly. N’empêche, j’ai beau lui en vouloir aussi, je sais que ce qu’il m’a enseignée m’a été utile : mentir, manipuler, jeter. Je m’étais jurée de ne plus tomber amoureuse, ça fait bien plus mal que des coups de ceinture…

Ce fantôme a fini par refaire surface en 2009, avant la révélation des vampires au monde des humains. J’étais si heureuse de le revoir ! Même si ça ne se voyait peut-être pas tant que ça, c’était le cas. Il était devenu un peu plus… homme me semble-t-il. J’avais beau être contente de son retour, je ne lui en voulais pas moins du fait qu’il m’ait laissée seule. D’ailleurs, ce jour-là, nous nous sommes battus, très violemment et je pleurais de colère. Je jetais les objets à travers la pièce, je cassais tout sur mon passage, je le bousculais, je tapais des pieds, je hurlais… Mais il m’avait tellement manquée que je me suis jetée sur lui pour l’embrasser puis on a fini par faire l’amour. Nous nous étions retrouvés, ensemble nous détruisions tout au péril de notre vie sans nous poser de questions car notre amour si passionnel nous rendait plus forts. Les vampires tombaient les uns après les autres et nous étions heureux d’être ensemble et défendre cette cause qui nous tenait tant à cœur. Or, il voulait à tout prix me protéger, j’étouffais, et moi je voulais plus d’espace, de liberté, plus de risques encore. Jusqu’au jour où la dispute s’est faite plus violente que d’habitude. J’en étais venue à saisir l’arme que je pointais sur lui et inversement. Je lui hurlais que je l’aimais mais que je ne supportais plus d’être surprotégée comme une enfant, c’était de trop pour moi.

Après cet évènement tragique, j’ai poursuivi ma vie comme bon me semblait, plus besoin de dépendre de personne et ça c’était ce dont j’avais besoin. J’alternais mon travail de chasseuse de vampires et celui de tueuse à gage. Je piquais des voitures, de préférence de luxe. Je n’avais pas beaucoup de temps pour moi en fait mais ça m’évitait de penser à toutes ces choses que je voulais oublier.

Peu de temps après la révélation, j’entendis quelqu’un qui frappait à la porte de mon appartement. Un visage que je n’aurai jamais pensé revoir était apparu. Ce visage avait un nom : Vitaly. Je ne l’avais pas oublié depuis tout ce temps mais la colère s’empara de moi, laissant place à la rage, à la folie, à la destruction. Il rentrait dans l’appartement et moi je m’en allais vers la fenêtre. Nous ne disions rien, probablement trop heureux de nous revoir enfin. Pour moi c’était un mélange de colère et d’amour. Un peu de haine aussi peut-être à cause du fait qu’il soit resté si longtemps éloigné de moi… Il avait refermé la porte, espérait-il que nous allions retrouver notre intimité d’antan ? Non, il pouvait toujours courir. Pourtant, quelque chose en moi me disait que c’était ce que je voulais, ce dont j’avais rêvé pendant tout ce temps… Mais non, je saisissais un vase contenant des fleurs en tissu et le jetais par terre. Je criais alors quelque chose qui ressemblait à : « mais qu’est-ce que tu attendais pour revenir ? Mon enterrement ? ». Et là il ne disait rien, me laissait évacuer ma rage qui atteignait chaque chose que je touchais, chaque objet qui était à proximité. Parfois je laissais échapper des « pourquoi » qui demeuraient sans réponse et je crois que c’est ça qui me blessait le plus. Je renversais une table, donnais des coups de pieds dans les chaises, des coups de poing dans les fenêtres avec une force qui aurait fait que ma main aurait pu pisser le sang. Je cassais un pot qui contenait une plante verte et la terre se répandait sur le parquet. Les larmes de colère tombaient au sol les unes après les autres. Je ne pouvais plus les arrêter. Je tirais d’une violence inouïe sur le rideau qui partit en lambeaux quelques secondes après. Stop. Je ressentais sa frayeur face à ma furie. Je venais de m’en rendre compte. Je ne disais plus rien. Je ne hurlais plus. Je ne cassais plus rien. Je me précipitais vers lui et l’embrassais avec fougue. Finalement, nous avions retrouvé notre intimité d’autrefois.
Famille… Ce mot n’évoque pas grand-chose pour moi. Mon père était un salaud qui m’avait humiliée, fait souffrir et transformée en monstre en manque de… « Sensations fortes ». Je ne l’aime pas et je ne l’ai jamais aimé. Je le hais depuis toujours pour ce qu’il nous a fait endurer, à ma mère et moi. Elle… C’était la seule personne de ma famille qui ait compté. Peut-être qu’elle ne valait pas mieux que lui mais sa disparition avait été si brutale que je n’avais pas eu le temps de mieux la connaître. Je n’ai pas connu mes grands-parents, je ne sais pas pourquoi. Les ponts avaient dus être coupés depuis longtemps… En fait pour moi, ma seule famille fut Vitaly, même si ça avait plus été un amant qu’un frère.

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? Prédéfini. ➽ pseudonyme. Emy. ➽ âge. 16 hivers. ➽ code du règlement : Et bien, plus que le thème musical de Dracula, et je crois qu'on pourra commencer. ➽ avis général à propos du forum. Un contexte super, sombre comme j'aime ainsi qu'un très joli design et un personnage auquel je n'ai pas pu résister.➽ avatar utilisé.Amber Heard.