AccueilAccueil  Tumblr DMTH  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 
Bienvenue sur DMTH Invité love01
PRENEZ LA ROUTE DE BÂTON ROUGE, SUIVEZ NOUS SUR LA V2 !
   
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon : la prochaine extension ...
Voir le deal

Partagez
 

 Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime3/1/2012, 21:54

C'est au moment où on a vraiment peur de la mort, qu'on commence à vraiment apprécier la vie. Tu tiens à la vie mon ange?
Astarte Lavinia Fergusson


© tumblr

Prélude

date et lieu de naissance. New York, 6 juin 1987 nationalité. Américaine, elle a des origines anglaise du côté de sa mère et Irlandaises du côté de son père. camp. Quel camp ? Astarte a toujours suivit son propre chemin et se refuse à entrer dans un camp ou un autre, elle vit pour elle-même et ne veut pour rien au monde dépendre de qui que ce soit. On pourrait dire qu’elle est dans un camp neutre même si par ses actions, elle aide plus le camp du bien que le camp du mal. capacités. Polymorphe, elle est capable de prendre l’apparence d’un autre individu par simple contact. Ainsi elle peut se transformer en homme si elle le désir, généralement elle prend l’apparence de personnes inconnues. Elle peut emmaganiser une dizaine d’apparence différentes. classification. considérée comme potentiellement dangereuse, la blanche confrérie a tenté plusieurs fois de l’approcher en vain, la donzelle était plutôt de nature à ne pas rester très longtemps quelque part, et de plus elle est très méfiante. Vitaly est le seul qui ai des informations sur elle mais lorsque la blanche confrérie lui a demandé de tout dire à propos de la jeune femme, il a seulement dit qu’elle ne ferait jamais de mal ce qui n’est pas entièrement vrai. état civil. célibataire, elle a connu seulement deux hommes dans son existence, enfin deux hommes ont réussit à atteindre son cœur, mais c’est à cause d’eux également qu’elle a fermé son cœur à tout le monde. Le premier Vitaly, il l’a quitté brutalement sans donner de nouvelle, ce qui a poussé la jeune femme à se méfier des hommes et plus généralement de l’amour. Le second l’a transformé en froide tueuse à gage pour après l’abandonner à son tour. Elle ne veut plus entendre parler d’amour maintenant. lieu d'habitation. Peu importe le quartier, son appartement sera petit, décoré sommairement, de toute façon, elle déménage de manière très régulière. métier. tueuse à gage spécialisée dans le meurtre de CESS. Auparavant elle était une simple chasseuse, mais une rencontre a bouleverser sa vie, et l’a rendue moins regardante sur ses cibles. En réalité elle se moque bien de gagner de l’argent, ce qu’elle aime c’est la sensation de danger, l’adrénaline, et la victoire à la fin, mais elle ne crache pas sur l’argent qui lui permet de changer régulièrement d’identité et de mieux de cacher dans l’ombre. Elle travaille aussi une nuit sur deux aux 7 pêchés capitaux en tant que danseuse officiellement mais toute la clientèle sait qu’elle peut jouer les soumises en fonction des fantasmes des clients. étiquette qui vous est collé. ses voisins de palier la trouve trop maigre, presque squelettique, s’interroge sur sa vie et surtout ses horaires puisqu’elle semble vivre plutôt la nuit que le jour et jureraient avoir entendu un coup de feu une nuit. Mais ce qu’ils n’aiment pas, c’est tous ces hommes qu’elle ammène chez elle, certains pensent que c’est une prostituée, d’autre une nymphomane mais personne ne s’interroge sur ce que deviennent ces hommes. Tout ceux qui ont bossés avec elle, ses clients, la trouve très froide et se demandent comme un brin de jeune fille comme elle peut faire pour tuer ses cibles alors qu’elle semble vraiment maigre à faire peur et très fragile. Ses victimes, si elles pouvaient parler, diraient que c’était le meilleur coup qu’ils aient eut jusqu’à ce qu’elle les tue.


I. I want know who you are

traits de caractère.

Ne vous faites aucune illusion, même s'il y a une part de la jeune femme qui reste douce, une facette où elle peut se montrer charmante, espiègle, intelligente, observatrice, attentionné, et même amusante, cette facette d'elle ne ressort que très rarement. Et étonnamment pas lorsqu'elle en a besoin, mais envers certaines personnes, bien souvent des jeunes femmes parfois des hommes, mais des personnes avec qui elle se sentira en parfaite confiance et avec qui elle voudra jouer à quelqu'un de normal. Mais retenez bien le fait que ce n'est qu'une facette de sa personnalité, car si on devait la décrire, ce serait plutôt comme quelqu'un de froid, de distant, une tueuse parfaite, une créature de l'ombre dont la seule passion, le seul art est d'offrir la mort. Elle manipule à la perfection les armes à feu, et connait tous de leurs secrets. Elle aime plus que tout tuer. C'est devenu pour elle pratiquement vital, chaque nuit, elle doit offrir la mort comme pour se libérer d'un poids, et ce besoin est devenue une drogue, qu'elle a transformé en art. Tuer n'est pas jouer, et cela elle le sait. Très méticuleuse dans son travail, elle ne laisse aucun détail au hasard. Suivant un certain code, sa principale préoccupation est bien sûr de ne jamais se faire pincer. Pas seulement par peur de la chaise électrique, mais aussi parce que sa condamnation signifierait le désastre pour sa famille. Même si elle a coupé les liens avec son passé et sa famille depuis très longtemps, elle tient malgré tout à les épargné de la vérité, de ce qu'elle est devenue. La jeune fille s'est drapé dans le mensonge depuis très longtemps. Elle ment comme elle respire, c'est devenu naturellement vital pour elle étant donné son travail, mais elle a toujours été très secrète, ne se livrant jamais, et lorsqu'on posait trop de question, elle se mettait à mentir comme une arracheuse de dent. Si jamais quelqu'un soulève le voile qu'elle a posé, et découvrait la vérité, ça risquerait de la rendre folle de rage. Elle ne doit pas révéler la vérité. C'est une promesse qu'elle avait fait enfant à son père, jamais elle ne révèlera la vérité sur la mort de sa mère, une promesse très lourde à porter pour une enfant, qui a finit par influencer complètement sa personnalité. Aujourd'hui elle est incapable de dire la vérité. Elle se déguise, elle change, tel un caméléon, offrant un visage et une personnalité différente pour chacun sans jamais se dévoiler, jouant toujours un jeu. Le seul instant où elle se révèle malgré elle, c'est au lit. Car elle ne ressent pas de plaisir sans l'humiliation, la violence. C'est une sadomasochiste. Elle a ressenti cela la première fois que son père a levé la main sur elle, et n'a cessé enfant de casser des objets pour que son père la batte. Elle en ressentait un immense plaisir, mais elle savait également que c'était mal. Par conséquent, elle a commencé à développer un véritable sentiment de culpabilité, mêlé à la conviction qu'elle était une perverse bonne pour l'enfer. N'assumant pas cette facette d'elle, elle souffre aujourd'hui d'hystérie. Oublier les cris sans fin, l'hystérie n'a rien à voir avec ce que le commun des mortels pense. C'est plus dans la convulsion, la crispation des muscles, allant jusqu'à des cris parfois, de douleur, aux portes de la folie, mais c'est surtout une manière qu'à son corps d'exprimer ce qui ne va pas dans sa tête. Lorsqu'elle a une crise, c'est lorsqu'elle ressent un désir sadomaso non approprié, une humiliation publique, et son corps se tord, ses muscles se crispent, et elle ne peut plus parler normalement, elle hoquete, lutte pour sortir un seul mot.

Longtemps, elle est demeurée vierge, jusqu'à ce qu'elle rencontre un homme qui l'aide à assumer plus facilement ses penchants sadomaso, mais cet homme l'a poussé aussi à utiliser ses charmes pour tuer des cibles. C'est lui qui a fait d'elle une tueuse à gage, mais c'est aussi lui qui a singulièrement transformé le caractère de la jeune femme. Avec lui, elle s'est détaché un peu plus de son humanité, avant elle ressentait des remords à tuer un humain, avant elle n'était qu'une simple chasseuse de CESS, mais il lui a apprit que tout le monde avait quelque chose à se reprocher, que personne n'était innocent à part peut-être les nouveaux-nés. Il lui a aussi appris qu'il lui était plus facile pour elle de tuer quelqu'un si elle le faisait au moment où son attention était la plus relâché, autrement dit, elle couche avec toutes ses cibles masculines et les tuent au moment de l'orgasme. Véritable mante religieuse? Peut-être bien, mais d'un autre côté, elle prend rarement de plaisir dans ces moments là. Ne couchant que pour tuer, elle ne prête pas vraiment attention à ce qu'elle ressent ou pourrait ressentir, et vend en quelque sorte ses charmes pour offrir la mort. C'est sa manière d'opéré. Il est rare qu'elle fasse part de ses penchants sadomaso à ses cibles, elle préfère qu'ils en sache le moins possible sur elle, quitte à ne rien ressentir, tant pis, de toute façon elle est là pour les tuer. Ce qui parfois lui fait se dire qu'elle ressemble vraiment à une prostituée, d'ailleurs c'est souvent une couverture qu'elle utilise, s'habillant comme telle, faisant le trottoir, cela lui permet de ratisser la plupart de ses cibles, elle joue néanmoins d'autres rôles en fonction des préférences de ses cibles, au moins elles vivent un bon moment avant de mourir. C'est ce qui lui vaut le surnom de la tueuse au sourire puisque ses victimes ont toutes un immense sourire aux lèvres lorsqu'elle les tue.


occupation diurne.
Astarte est une tueuse à gage spécialisé dans le meurtre de CESS. Longtemps elle opérait en tant que chasseuse de vampires, lycans et même sorciers. Elle avait sa petite réputation à New York, mais depuis les choses ont changés. Elle bosse pour de l’argent, et ne tue que lorsqu’on lui donne un contrat. Même s’il lui arrive parfois de décider elle-même de lancer un contrat sur un vampires ou un sorcier parce qu’elle estime qu’il le mérite ou parce que c’est un assez gros poisson pour qu’elle veuille l’accrocher à son tableau de chasse. Généralement elle se moque bien de qui on lui demande de tuer, à ses yeux les CESS ne sont pas humains alors elle s’en moque, et elle a battit sa morale sur le fait que si on lui demande de tuer quelqu’un, faut vraiment que cette personne soit un enfoiré pour qu’on paie quelqu’un pour la tuer. Donc oui, elle accepte des contrats sur des humains, ça ne lui pose pas plus de problème que ça. Et quand elle a de soudaine crise de remords, elle choisit une cible qui mérite vraiment de mourir en disant que ça rétablit l’équilibre.
Sa manière de travailler en revanche est assez inhabituelle. Pour commencer, elle n’accepte des contrats que sur des hommes, pas de femmes. Ce n’est pas une question de morale, juste que sa manière de tuer n’est pas adapté pour les femmes. En effet, pour approcher sa cible, la demoiselle couche avec, puisque le moment où l’attention se relâche chez tout homme est au moment de l’orgasme et c’est donc à cet instant qu’elle frappe. Etonnante tactique mais qui a fait ses preuves. D’autant que tant qu’elle n’est pas humiliée ou frappée, elle ne ressent pas vraiment de désir, ses pulsions sexuelles nécessitant qu’elle souffre ou qu’elle soit humiliée, ce qui lui permet de garder l’esprit clair. Oui, à cet moment là elle ne ressent rien et donc elle simule à la perfection, mais cela lui est nécessaire pour exécuter son geste, tuer sa cible à la fin. Cela exige naturellement que pour exprimer ses besoins sexuels elle doivent recourir à d’autres personnes que ses cibles mais qu’importe ?
Une nuit sur deux ou presque, la jeune femme se rend discrètement dans un club privé appelé les 7 pêchés capitaux où elle travaille en tant que danseuse strip-teaseuse. Cela fait quelques semaines maintenant qu’elle a ce travail et déjà la clientèle sait qu’elle est une soumise dans les jeux SM, certains clients se réservent des nuits avec elle. C’est Dmitri qui l’a engagé et a répandu le bruit parmi la clientèle la plus riche. Car une nuit avec elle n’est pas donnée. Astarte a beau y prendre beaucoup de plaisir dans ces nuits là, elle n’en oublie pas son travail puisque à la base si elle a cherché ce boulot c’était justement pour approcher une cible qui était parmi la clientèle du club. Depuis il arrive régulièrement qu’un de ses clients aux 7 pêchés soit en cible, et par conséquent c’est à ces personnes là qu’elle accepte de les suivre chez eux pour une nuit complète dont évidemment ils n’en sortent pas vivants.

manie, habitudes & goût.

— Son appartement ne contient aucune décoration personnelle, en fait elle n’a rien apporté ou presque, juste un sac avec ses affaires et un sac avec ses armes. Sa conception de la vie la pousse à ne posséder que des choses qu’elle peut emporter quand elle doit s’en aller, du coup toutes ses affaires doivent tenir dans deux sacs de voyages.
— Sa seule coquêterie est de la lingerie sexy ainsi que quelques petits accessoires SM, qu’elle n’achète que avec l’argent de ses contrats puisqu’à ses yeux c’est pour son boulot qu’elle use de tout cela.
— Elle a toute une collection d’arme à feu, et attention, personne n’a le droit d’y toucher, sinon ça la rend folle de colère.
— Personne ne doit jamais découvrir ses secrets, elle estime protéger sa famille en ne disant jamais rien à leur sujet, et se protège elle-même en ne se révélant jamais, mais si quelqu’un la perce à jour, elle se sentira affaiblie, et du coup comme un animal blessé attaquera toute personne qui a levé le voile.
— Elle ne mange pas beaucoup, elle picore.
— Elle passe tout son temps dans libre dans les salles de sports où elle s’exerce pour parfaire sa ligne, elle s’inflige un entraînement quasi militaire.
— Curieusement, elle ne déteste pas les CESS, si elle les traque c’est uniquement à la base pour faire plaisir à Vitaly, mais avec le temps, elle trouve qu’ils sont bien plus difficile à tuer que les humains et que c’est plus amusants, plus excitants, parce que plus dangereux.
— Déterminée, lorsqu’elle a une cible, elle ne la lâche pas jusqu’à ce qu’elle l’est tuée. Un contrat est un contrat, et elle doit absolument le remplir.
— Méticuleuse dans son travail, elle aime faire les choses bien, en autre ne pas laisser d’indice pouvant faire remonter jusqu’à elle ou pire jusqu’à son ou ses clients. Evidemment, elle fait aussi tout pour ne jamais se faire prendre.
— La seule chose dont elle a peur, c’est d’être prise par les policiers. Elle redouta naturellement la chaise électrique, mais c’est surtout le scandale qu’elle entraînerait pour sa famille qu’elle redoute.
— Elle s’est fermée à l’amour après que les deux seules personnes qu’elle a aimé l’ont laissée tomber.
— Bisexuelle, elle préfère néanmoins les hommes, surtout parce qu’elle pense qu’ils sont les seuls capables de lui donner ce qu’elle désire, c’est à dire la souffrance et l’humiliation.
— Elle a une armoire chez elle contenant des centaines de perruques, elle aime changer de coiffure souvent et ça la rend plus anonyme.
— Malgré ses violentes douleurs qui apparaissent à cause de son don, elle refuse d’utiliser des anti-douleur, elle préfère ressentir la douleur de manière intense et surtout elle déteste les effets secondaires que peuvent provoquer ce genre de pilules. Elle préfère garder l’esprit clair.
— Pas vraiment de nature colérique, dans le sens où elle pique très rarement de grosses colères, c’est quelqu’un qui intériorise beaucoup sa rage et sa colère, et qui s’en sert pour conserver l’esprit clair et surtout résister aux pouvoirs d’hypnotisme des vampires mais aussi des sorciers.
— Guère bavarde, elle n’aime guère les discutions et bavardages pour ne rien dire. Parler de la météo ou du programme télé l’exaspère au plus haut point.
— Si elle a tout un arsenal d’armes à feu qui sont ses armes préférées, elle a aussi une manie réservée pour les vampires : les seringues. Toujours quatre sur elle, deux contenant du sang d’humains mort, un poison pour les vampires potentiellement mortel, une contenant du nitrate d’argent hautement mortel, et la dernière contenant de la verveine parfaite pour assommer un vampire. Ces seringues lui sont d’autant plus utiles qu’elle peut ainsi tuer plus discrètement et sans risquer que le coup de feu soit entendu.
— Véritable pro du sniper, c’est l’une de ses techniques pour abattre une cible.
— Ayant bénéficier d’une éducation hors norme, elle parle quatre langues : le français, le russe, l’espagnol.

capacité.
Polymorphe, elle peut se transformer en n’importe qui. Il lui suffit d’un simple contact avec une personne pour pouvoir se transformer en elle lorsqu’elle le désire. Si vous voulez un exemple parlant, Mystic des X-men possède ce pouvoir. Astarte le possède depuis qu’elle est enfant. Lorsqu’elle était apeurée, ou en colère, son corps entier se transformait à l’exception de ses yeux demeurant toujours de la même couleur, de la même intensité, étrangement fixe comme signe qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Elle a bien sûr exercer son don, au fil des années, pour ne se transformer que lorsqu’elle le désire. Adolescente son jeu préféré était de se transformer en homme pour voir comment le monde réagissait différemment face à elle, aujourd’hui elle utilise son pouvoir pour tuer en toute discrétion, jamais on ne pourra l’accuser puisque c’est quelqu’un d’autre qui a commis le crime. Et là vous vous dites, mais ça la gêne pas qu’un homme innocent puisse aller à la prison à sa place ? Eh bien non, comme je vous l’ai dit, pour elle il n’y a personne de complètement innocent, hormis les nouveaux-nés. A noter que son pouvoir demandant beaucoup d’énergie, elle ne peut pas l’utiliser trop de fois à répétition sans risquer de s’évanouir de fatigue. Parfois elle ressent de violentes douleur tout le long de sa colonne vertébrale lorsqu’elle use trop de son pouvoir.

conviction.
Pas mal de chasseurs ont dus rendre les armes à la révélation. Il était soudainement interdit de chasser les créatures. En tuer une était devenu un meurtre, du moins, aux Etats-Unis. Astarte elle aussi a changé de carrière au moment de la révélation, elle est devenue une tueuse à gage. Il était clair pour elle que le gouvernement se trompait en accordant des droits civiques aux vampires, et cependant elle n’a rien de particulier contre les vampires, pour elle se sont juste des cadavres joliment animés, le problème étant qu’avant tout se faisait dans l’ombre, et maintenant, certains préfèrent la lumière alors que l’obscurité est leur seule amie. Sincèrement, lorsqu’il y a eut les différents attentats, cela n’a pas étonné Astarte. « Fallait que ça pète. » avait-elle dit à ce moment là. L’erreur selon elle est de croire que les vampires sont capables d’arrêter de boire du sang et de les considérés comme des humains normaux, ils ne le sont pas. Et puis quand le chaos s’est installé à Shreveport, ça ne l’a pas plus étonné, en fait ça l’a attiré ici. Elle voulait elle aussi s’amuser, et savait que pour trouver du boulot, c’était l’endroit idéal.

signes particuliers.
Elle a en effet plus de cicatrices que de tatouages. Lorsqu’elle change d’apparence ses blessures guérissent plus vite, mais elle n’est pas un vampire ou un loup-garou, ses blessures importantes elle en conserve la marque sur elle. Elle aime glisser du bout du doigt sur les lignes de ses cicatrises qu’elle porte fièrement. Elle a également des tatouages, une petite rose derrière la cheville, une goutte d’eau enroulée sur elle-même à la base de la nuque, un signe tribal sur le bras qui était un tatouage en constante évolution lorsqu’elle était chasseuse. Aujourd’hui elle n’y a plus touché depuis très longtemps, il semble donc inachevé.


III. That thing I want to tell you

pseudonyme. Eden Memories âge. 24 no comment code du règlement. Eh bien, il ne manque plus que le thème Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer. avis général à propos du forum. Information, je change donc comme vous l'aurez compris Kassian en Astarte, normalement hormis le sexe qui change et quelques détails (notamment de névroses) le personnage en soit niveau caractère ne change pas. A priori je garderais donc toutes les relations déjà construites avec Kassian, en effectuant des modifications si besoin ai. avatar utilisé. Keira Knightley



Dernière édition par Astarte L. Fergusson le 3/1/2012, 23:57, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime3/1/2012, 21:54

II. A true story

Résidence Fergusson à Manhattan
Septembre 1992

« Astarte Lavinia Fergusson ! » hurla la voix massive et profonde du père de famille. L’homme dans son costume cravate sur mesure valait des millions dès qu’il ouvrait la bouche pour beaucoup de monde, mais pour sa famille, il était seulement un bon époux, un homme souvent absent mais qui n’oubliait jamais les anniversaires, offrait toujours des cadeaux somptueux mais en revanche ne supportait ni l’impertinence, ni la bêtise. Un homme exigeant. La fillette leva les yeux. Elle était en pleine partie d’échec avec sa sœur aînée. Les deux enfants s’échangèrent un regard inquiet. Le père n’utilisait jamais cette manière d’appeler ses enfants que lorsqu’il avait quelque chose à leur reprocher, et à en croire le ton utilisé, Lavinia avait beaucoup à craindre. La fillette savait que faire attendre son père était une très mauvaise idée. Aussi elle se leva, espérer de l’aide de sa sœur était inutile, pas plus que de la mère aussi aimante était-elle, personne ne pouvait rien pour elle. Elle s’avança maladroitement, la tête baissée, les mains nouées derrière son dos, d’un pas hésitant vers le paternel qui pointait du doigt les morceaux de vase qu’elle avait tenté de masqué en les poussant sous le buffet. Encore une erreur de débutant songea-t-elle. « Non seulement tu as brisé un objet auquel ta mère tenait beaucoup, jeune fille, mais en plus tu as tenté de masquer la chose ! » La fillette n’osa même pas ouvrir la bouche. La voix de son père tonnait dans toute la pièce. Elle aurait aimé pouvoir disparaître entre les lattes du plancher ou se transformer en souris et disparaître dans l’instant. « Je… » commença-t-elle tentant malgré tout de se défendre. « suis désolée. » Son père s’avança vers elle, lui attrapant l’oreille entre ses deux doigts épais et tira pour l’attirer jusqu’au buffet au pied duquel dépassait les morceaux de porcelaine. « Tu sais qu’on ne supporte pas le mensonge dans cette famille. Et ce que tu as fait, est de la dissimulation. » Il tira sur l’oreille si fort, la douleur aigus saisit la fillette qui avait l’impression que son oreille était en train de prendre feu. La chaleur était intense. Presque aussi intense qu’en dessous, là, juste plus bas, à cet endroit qu’elle n’osait touché ni regarder. Le rouge monta à ses joues tant elle se sentait honteuse. « Pire que tout, tu nous a prit pour suffisamment imbécile pour ne rien remarquer. Tes sœurs auraient pu être accusés à ta place ! La domestique aurait pu être renvoyée par ta faute ! » Lavinia senti les larmes monter à ses yeux. Sa vision se troubla alors qu’elle espérait secrètement que son père allait lui donner la fessée ou mieux encore sortir la ceinture. Elle détestait cela, elle se détestait. Quelle genre d’enfant souhaite être battue ? Quelle genre de monstre était-elle pour se sentir aussi humide ? Elle ignorait pourquoi elle aimait autant que cela les punitions corporelles. Cela la remplissait de honte. Jamais elle n’oserait en parler à qui que ce soit, car enfin elle sentait bien que ce n’était pas normal de ressentir ce genre de choses. Elle faisait de la peine à son père, et s’il savait, il aurait encore plus de peine. Une grosse larme roula sur la joue de la fillette.

Cabinet de Psychanalyse, New York
Juin 2004


« Aviez-vous provoquer cet incident ? » demanda l’homme assis sur son fauteuil confortable. Astarte était une adulte à présent. Une jeune femme à l’allure élégante, mince elle l’était presque trop, on voyait les os saillir à travers sa peau. Ses cheveux bruns tombaient sur ses épaules. Elle était assise sur un fauteuil en osier, les jambes croisés, portant un pantalon de flannelle avec une chemise blanche en soie. Elle senti les muscles de sa mâchoire se tendre, se tordre, et le mouvement fut spontanné, comme toujours. Ses bras se tordirent alors que sa mâchoire inférieure s’avançaient. Des spasmes secouaient la jeune femme alors qu’elle tentait de reprendre le contrôle de son corps, complètement paniquée. « Je… » Elle luttait pour prononcer chaque mot tant sa mâchoire se décrochait alors que sa colonne vertébrale se tordait en tout sens. « …voulais… » Une larme roule sur sa joue. La honte l’envahie à chaque fois qu’elle se souvient, et en parler à voix haute est d’autant plus horrible qu’elle ne devrait pas ressentir toutes ces choses là. « …être punie. » Elle était mauvaise, tellement mauvaise. Ressentir du plaisir quand son père la battait n’était pas normal, et avec le temps cela avait empiré à croire que plus elle tentait de résister plus c’était difficile. A chaque humiliation, à chaque coup, chaque douleur, son corps lui envoyaient des signaux des plus clairs, montée de chaleur, humidité au niveau de son intimité, folles idées traversant sa tête, l’envie d’être punie revenant, le besoin de sentir le cuir de la ceinture sur sa peau nue, de la main forte et masculine sur ses fesses frêles, et la honte la submergeait à chaque fois. Avec le temps, elle avait commencé à manifesté des troubles physiques. Ses muscles se tordaient, ses membres ne lui obéissaient plus, elle se crispait, subissait des convulsions, faisait des gestes nerveux, parfois elle hurlait tellement cela était insupportable. En cinq ans son cas c’était tellement aggravé qu’elle ne pouvait même plus travailler. La dernière chasse, un vampire avait retourné le pieu en argent contre elle et l’avait enfoncé, heureusement il n’avait pas réussit à lui planter en pleine poitrine. Après avoir passé ces trois semaines à l’hôpital, non seulement les infirmières avaient trouvé le moyen de contacté sa famille alors qu’elle avait volontairement choisit de ne plus leur parler ni leur donner la moindre nouvelle, estimant que c’était mieux pour eux que la honte et le scandale qu’elle finirait par apporter à cause de son comportement, mais en plus elle avait été amenée ici, dans cet asile psychiatrique. Ce qui expliquait la présence de ce psychiatre derrière elle. Lavinia n’était plus que l’ombre d’elle-même mais elle voulait aller mieux.

Elle devait aller mieux. Sinon comment ferait-elle donc pour retrouver Vitaly ? Ce dernier avait brutalement disparu sans laisser de trace. Elle avait aujourd’hui 17ans, jamais le chasseur n’avait manqué l’anniversaire de la jeune fille, mais elle doutait qu’aujourd’hui il puisse venir. Savait-il seulement où elle était ? Elle voulait aller mieux parce que vivre ainsi ce n’était pas vivre. Elle ne pouvait pas avoir le moindre contact avec qui que ce soit. Tous les hommes qu’elle croisait, même les plus plaisants, elle ne pouvait leur parler. Obtenir un véritable travail lui était impossible. Elle adorait la chasse, parce que c’était ce que Vitaly lui avait enseigné, parce qu’elle aimait beaucoup le jeune chasseur, mais cela aussi devenait de plus en plus difficile. Il fallait qu’elle aille mieux. Alors, elle tentait de répondre aux questions du médecin. Elle essayait de jouer le jeu même si elle n’y croyait pas trop. « Je… » Elle luttait pour articuler le moindre mot, mais ce n’était rien en comparaison de sa première séance. Plus elle discutait mieux ça allait, sans qu’elle sache pourquoi. « J’aimais ça. » finit-elle par réussir à dire avant d’étouffer un sanglot. Son père n’avait jamais chercher à lui faire du mal, elle savait qu’il faisait cela pour la rendre plus forte, plus intelligente que les autres, mais à chaque fois qu’il la punissait elle ressentait toutes ces choses mauvaises. A treize ans, elle avait compris ce qu’elle ressentait quand son père la battait, elle avait saisit pourquoi elle faisait exprès de casser toutes ces choses, pourquoi elle se sentait aussi honteuse après, et ne pouvant lutter contre cela, elle fugua. Les rues de New York devinrent son second foyer. Enfant intelligente, elle parvint à se débrouiller facilement. Elle avait toujours été débrouillarde, capable de s’en sortir dans les pires situations, elle n’était pas une enfant capricieuse même si elle était gâtée, et la réjouissance de savoir qu’elle ne ressentirait plus toutes ces choses mauvaises était un leitmotiv suffisant. « J’aime ça. » répéta-t-elle simplement. Elle sentit ses épaules s’effondrer. C’était la première fois qu’elle admettait cela à voix haute. Dans les premières séances elle parlait uniquement des coups de ceintures, de canne, de la violence, mais jamais de la honte, encore moins du désir et du plaisir. « A chaque humiliation… » Elle tente de retenir les larmes. « Quand on m’attache à mon lit… » Elle sent sa main droite se crisper. « Vous vous touchez après ? » demanda-t-il d’une voix douce pleine de compassion. La jeune fille se contenta d’hocher la tête.


Appartement à Los Angeles
Octobre 2007


La jeune femme tira sur ses bras. Ses poignets étaient douloureux, tout particulièrement celui de droite où elle tirait à chaque coup de fouet qui lacérait sa peau. Un hurlement s’échappa de ses lèvres. Elle sentait douloureusement le plaisir remonter le long de ses cuisses, pour devenir brûlant au centre. Elle bascula, tirant sur ses liens, l’envie de serrer ses jambes la saisissait à nouveau, mais il l’avait attaché aussi par les chevilles. Le fouet vint frapper ses parties intimes et elle gémit de douleur et de plaisir en même temps. Les coups avaient finit de pleuvoir finalement, puisqu’elle sentit soudainement sa main chaude caresser les formes de son corps nu, parcourir les cicatrices toutes fraîches s’étant imprimé sur sa peau. L’homme continua à caresser la peau à vif laissant la douleur envahir à nouveau le corps de la jeune femme. Il abandonna le dos lacéré et rouge vif pour venir faire face à jeune femme brûlante de désir et de douleur. Il posa sa main sur la joue humide de la jeune fille. « Tu es si belle. » souffla-t-il avant de s’approcher de sa nuque, repousser les cheveux pour attraper entre ses lèvres le lobe de l’oreille de la jeune femme. Elle poussa un gémissement. Pourquoi la torturait-il ainsi ? Parce qu’elle aimait ça ! Monstrueuse, elle l’était, la différence avec sa vie d’avant c’est qu’elle l’assumait maintenant. Elle avait même trouvé un amant qui parvenait à lui donner ce dont elle avait besoin sans la prendre pour un monstre pour autant. Sans doute l’étaient-ils tous les deux. Non, c’était elle la perverse. Lui était simplement un ange. « J’ai une affaire à te soumettre ma belle. » fit-il en s’écartant. Cette fois-ci elle gémit de colère et de frustration. Pourquoi s’éloignait-il maintenant ? Pourquoi devenait-il soudainement sérieux ? Il s’avança vers le lit et saisit une pochette contenant des photos et certainement tout un tas d’informations. Cet homme là n’avait pas seulement l’avantage d’accepter les étranges coutumes de la jeune femme et ses perversions, il acceptait aussi ce qu’elle était et ce qu’elle faisait de sa vie. Il avait transformé la chasseuse de vampires et autres CESS en une tueuse à gage. Elle avait été idiote de travailler durant toutes ces années sans même songer à se faire payer, et plus encore sans aucun filet de sécurité. C’était la révélation qui avait tout fait basculer, évidemment. C’était la même qu’elle l’avait rencontré. Il s’appelait Sevastian, il travaillait dans le milieu, et gagnait énormément d’argent en fournissant aux gens ce qu’ils convoitaient le plus. A leur première rencontre, il voulait la livrer à l’un de ses clients avant de se raviser, au dernier moment. Lavinia était rapidement tombé sous le charme de cet homme de 40 ans qui possédait tant de charme et de charisme. Elle se sentait minuscule à côté de lui. Il savait tant de choses, et réussissait tout ce qu’il entreprenait. Grâce à lui elle gagnait bien sa vie désormais, elle savait comment changer d’identité, comment masquer ses traces, parce que maintenant il lui était interdit par la loi de tuer un vampire. Aujourd’hui elle risquait la prison. Et sans Sevastian elle aurait déjà sombrer. Il était son ange gardien.

Il montra les photos à la jeune femme, en les plaçant devant son visage. Elle gesticula. C’était ridicule, il parlait boulot alors qu’elle était complètement nue et attachée en croix. « Détache-moi, s’il te plait. » réussit-elle à articuler. Il eut un sourire amusé. « C’est vrai, j’avais oublié. » Il s’approcha d’elle à pas de loup puis finalement s’arrêta à mi chemin, le bras levé en l’air, il se ravisa. « Hum, j’ai peur que ça devienne un peu trop sérieux si je fais cela, et que tu n’écoute pas pleinement ce que je vais te proposer. » La jeune femme secoua la tête. Elle sentait l’humidité de l’intérieur de ses cuisses, les palpitations de ses lèvres, et le désir toujours là, dès qu’il la frôlait, elle frémissait. « Je ne pourrais pas me concentré. » Il s’avança et montra les photos de l’homme à nouveau. « Ce mec vaut 3 millions ma belle. » Elle soupira. « Je l’aurais fait pour rien si tu me l’avais demandé gentiment. » Il hocha la tête. Astarte ferait n’importe quoi pour lui et l’homme le savait pertinamment. Il n’ignorait rien du pouvoir qu’il avait sur la jeune femme. « C’est un vampire. » Elle soupira à nouveau, agacée. Pourquoi avait-il mit fin à leur jeu aussitôt la mettant dans un tel état d’excitation si c’était pour simplement lui demander de lui apporter la tête d’un vampire ? Qu’il vaille 3 millions ou rien du tout, ce serait avec plaisir qu’elle le tuerait. Pas parce qu’elle détestait les vampires, ni pour faire plaisir à Vitaly, mais parce que ça l’amusait, parce que c’était en ces instants qu’elle se sentait vraiment en vie, parce qu’elle savait que l’amour et l’attachement que lui portait Sevastian n’était pas éternel, en revanche il y aurait toujours des cibles à éliminer. « Et depuis quand ça pose problème ? » murmura-t-elle d’un ton ironique plein de lassitude. « Parce qu’il a plus de six cent ans, qu’il dirige l’une des plus grosses entreprises du pays, et qu’il ne se laissera pas approcher aussi facilement que les proies que tu pourchasses. » Elle ignorait si elle devait bien le prendre ou pas. Mais il avait raison, deux siècles c’était la plus grosse proie qu’elle avait mis sur son tableau de chasse. « Qu’est-ce que tu veux me proposer ? » L’homme caressa la joue de la jeune femme. « Je sais que ça va à l’encontre de ton éducation, mais la seule manière de l’approcher serait de coucher avec lui. » La jeune femme eut l’impression qu’elle allait s’évanouir. Etait-il vraiment en train de lui proposer gentiment d’aller coucher avec un autre mec ? Il aurait dû être le premier à se révolter contre l’idée au lieu de cela il lui proposait cela comme si c’était un nouveau jeu. Elle devait avouer que c’était en partie excitant comme en témoignait son corps, mais elle se refusait à l’admettre. Ou peut-être qu’elle devait le faire ? Si elle le rendait jaloux il comprendrait à quel point il tenait à elle ? « Et si j’acceptais ? » Il sourit. « J’étais certain que tu étais suffisamment intelligente pour comprendre que c’était nécessaire, mieux encore, que tu aurais l’audace de relever ce défi. » Elle n’en croyait pas ses oreilles. La fureur commençait à s’emparer d’elle et en même temps elle n’osa pas se rebeller. Il allait la prendre pour une idiote, pour une petite bourgeoise coincée qui ne pense qu’à son mec, incapable de percevoir le possible et l’imaginable. Il sorti une lame, et la détacha. La retenant pour ne pas qu’elle tombe, il l’emmena jusqu’au lit. « C’est simple, la cible m’avait demandé, il y a pas longtemps de lui fournir des filles. Je suis certain que tu rempliras parfaitement ce rôle. Joue les prostituées et lorsqu’il sera concentré uniquement sur tes magnifiques courbes, plante lui tes petites seringues. »


Bus n°365 à destination de Shreveport
12 novembre 2012


« Prochain arrêt la gare de Shreveport » annonça la voix du chauffeur passablement transformée par les enceintes de mauvaise qualités situées dans le bus. Astarte était assise au fond du bus, observant le paysage. Elle ressemblait à une poupée brisée. Ses yeux étaient froids comme la glace malgré leur couleur chaude chocolatée. Le regard dans le vide, elle songeait à son dernier logement, à Chicago, à son minuscule deux pièce qu’elle avait dû quitter dans l’express. La jeune femme avait toujours su qu’un jour elle serait contrainte de quitter cette ville, cet appartement, mais elle s’y plaisait bien malgré tout. Là-bas elle ne manquait ni de travail ni d’occupation. Elle dînait presque tous les soirs dans des restaurants, payés généreusement par la mafia, c’était la première fois qu’elle travaillait pour un client unique, et cela lui avait plu. Pourquoi rejoindre la Louisiane alors que le domaine dans lequel elle était n’était pas vraiment exploité là-bas ? Parce qu’elle était sûre que dans ce coin paumé de l’Amérique son père ne pourrait plus la trouver. Elle soupira en songeant à l’apparition de son paternel dans son minuscule deux pièce. Comment as-t-il fait pour me retrouver ? a été la première question qui lui a traversé l’esprit. La seconde était comment mettre fin à cette entrevue le plus vite possible. Evidemment, il était furieux. Elle s’était enfuit de la maison à 13ans, pourtant malgré les accès de colère de son père et sa manie de battre ses enfants, il n’y avait absolument aucune raison de fuir. Son père était devenu violent et possessif après la mort de leur mère, mais Astarte savait pourquoi il agissait ainsi, et elle lui avait toujours pardonné. Ce n’était pas là le problème. Elle aurait été une de ces gosses de riches qui n’ont à se soucier d’absolument rien. Ce destin ne lui aurait certainement pas plu, mais elle aurait pu s’adonner à son vice en toute quiétude. C’était bien ça le problème. Papa ne devait jamais savoir. Seulement il a finit par savoir. Suite à son internement, qu’il avait exigé, Astarte avait dû subir les visites familiales bien qu’elle ai expressément demandé à ne recevoir aucune visite, mais qui pourrait refuser quoi que ce soit à son père ? Il possède tout de même l’une des plus colossale fortune d’Amérique ! La jeune fille avait versé des larmes bien sûr, sa famille ne la laissait pas indifférente, mais rompre les ponts avec eux avaient été nécessaire, et qu’ils puissent la voir dans cet état n’avait certainement pas fait revenir Astarte dans de meilleures disposition. Ce qui expliquait la fureur de son père, après la mort de sa mère il avait commencé à manifester un besoin compulsif de tout contrôler surtout la vie de ses enfants. Et que sa cadette soit quelque part sans qu’il sache où ni comment elle va devait le rendre dingue. Il avaient dû dépenser des fortunes pour la retrouver, parce qu’elle changeait sans cesse d’identité, et déménageait très souvent. Elle était passé maître dans l’art de disparaître. Mais son père avait une fortune conséquente et la volonté suffisante.

« Tu ne te rends pas compte de ce que ta mère et moi nous endurons ! » avait-il dit achevant un long monologue pour tenter de faire comprendre à sa fille combien ils l’aimaient tous les deux, peu importait ce qu’elle était, ce qu’elle faisait. Elle aurait pu rétorqué que cette femme n’était pas sa mère, mais cela aurait été cruel et puéril. Et puis, c’est vrai qu’il avait accepté ses dons qu’elle avait hérité de son grand-père, mais ce n’était pas pareil. Si jamais sa capacité à changer d’apparence ne lui avait paru monstrueuse, c’était aussi une question de logique après tout, ce n’était qu’une capacité, en revanche ce qu’elle ressentait enfant quand son père la battait était quelque chose de mal, et cela ils ne pouvaient le nier, ou encore pire faire comme si cela n’existait pas. « C’est mieux ainsi. » avait-elle rétorqué. Elle était furieuse qu’ils sachent, furieuse qu’aucun d’eux n’ai l’air plus choqué que cela, furieuse qu’ils soient si pressant de la faire revenir chez eux, furieuse qu’ils ne songent même pas à l’engueuler, et pire encore, elle aurait voulu que son père soit suffisamment fâché pour vouloir la battre. Elle secoua la tête. Elle ne pourrait pas affronter ça une fois encore. Passe encore lorsqu’elle était gamine, elle ne savait pas ce qu’elle ressentait, mais maintenant ? Elle était une adulte, qui plus est une adulte responsable. « Je ne te laisserais pas disparaître à nouveau. » Son père lui avait attrapé le bras suffisamment fort pour y laisser une marque. La jeune fille senti immédiatement le désir courir le long de son corps. « On peut te trouver un psychanalyste si c’est ça qui te fait peur. » s’était permise de dire sa belle-mère. Astarte finit par trouver la force de lutter contre l’emprise de son père. Elle parvint à lui faire lâcher prise sans lui faire mal ce qui était en soi un exploit. « Vous ne comprenez pas ! Personne ne pourra me guérir ! Je dois juste vivre avec ça, et il est clair que je me débrouillerais infiniment mieux sans vous. » C’était sur cette phrase qu’elle était partie, en claquant la porte.

Par conséquence, elle avait dû faire une croix sur son argent amassé durant toutes ces années de travail, ainsi que sur toutes ses affaires. Mais en soi, il n’y avait rien d’important. Des vêtements ça se rachetait, des armes ça se trouvaient, Astarte était déjà habitué à l’idée qu’elle devrait un jour partir en laissant tout derrière elle, et par conséquent elle n’avait jamais rien de trop précieux, jamais d’objets auquel elle était trop attaché. La pire des bêtises serait de risquer sa vie pour une babiole soit disant parce que trop de souvenirs y sont rattachés. Elle était donc parti comme ça, sans rien emporté. Elle avait les clés de sa voiture encore dans les poches aussi elle avait pu partir directement, puis la voiture avait finit par tomber en panne et faute d’argent pour payer l’essence elle avait dû prendre le bus. Pas de fausse carte d’identité sous la main, elle devra se débrouiller en attendant d’en avoir une nouvelle. Elle se demanda quel nom elle allait prendre. Fergusson ça lui semblait bien sonner. C’était un nom comme un autre après tout. Comme toujours, elle garderait son prénom. C’est vrai qu’il était plutôt original, mais elle y tenait, c’était la seule chose qui la rattachait à ce qu’elle avait été, à son passé, c’était ça son souvenir, la seule chose à laquelle elle s’accrochait tout en ayant conscience de à quel point cela pouvait être stupide. Ce n’était qu’un prénom, oui mais c’était le sien à elle. Le bus s’arrêta et elle descendit. Le chauffeur ne la regarda pas plus qu’au départ, c’était le genre de bus qui faisaient le tour des Etats. Elle leva le nez en l’air. Ici il faisait une chaleur presque étouffante pour un mois de novembre.


Dernière édition par Astarte L. Fergusson le 4/1/2012, 13:09, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime3/1/2012, 22:18

Chasseuse/New York/ Médium/Tatouage?

Eh bah, j'pense que le lien va être plus facile à trouver qu'avec Kassian. What a Face Avec de la lingerie sexy en plus, que demande le peuple? SBAAAF

Amuse-toi bien avec ce nouveau perso! \o/
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime3/1/2012, 22:24

    J'ai lorgné sur ce pv un temps, c'est un super choix ♥️
    (re)Bienvenue heart
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime3/1/2012, 23:53

Re bienvenue Cool
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime4/1/2012, 06:03

Ton code n'est pas bon.
:sort:

Bon amusement quand même ! : p
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime4/1/2012, 12:49

Merci à tous.
Julian: j'avoue ça va être plus facile lol.
Kesia: j'adore ce personnage aussi.
Duncan: oh la boulette lol, mais sort pas tu as raison c'est moi qui suis pas réveillée du tout en ce moment...

Fiche officiellement terminée, normalement tout est bon.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime4/1/2012, 21:32

Welcome
Je suis là pour te guider

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.


Malade mentaaaale malaaade mentaaaaaleuuuuh! *arrive en sautillant*
Ahem bah j'ai quand même lu la fiche et...Malade mentaaaale XD *BAM*
Très belle, très complète j'aime beaucoup et tout ce qui colle au club ça va ^^ Donc...Bin...Voila même si c'est une validation qui sert pas à grand chose vu que...Concrètement la fondatrice sait quand même bien elle-même si son perso convient au forum ou pas XD Je te VALIDE!
PS: Fais attention avec son pouvoir Wink

Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] 20j09sn
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé!
Toutes mes félicitations!


Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
Revenir en haut Aller en bas
 
Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime5/1/2012, 01:27

T'inquiète pas, de toute façon comme je sens que ce pouvoir risque de me prendre la tête, je vais l'utiliser au minimum, mais bon ça me permet aussi de justifier certains traits de son caractère avec.
Revenir en haut Aller en bas
 
 
 
Contenu sponsorisé



Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Empty
MessageSujet: Re: Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]   Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Astarte Lavinia Fergusson CANDYGIRL [terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Astarte L. Fergusson - Les traquer. Les trouver. Les tuer [Terminée]
» Astarte L. Fergusson [U.C.]
» Astarte L. Fergusson
» Astarte L. Fergusson - One night of the hunter... One day I will get revenge. [En cours de modération]
» Rosalyn (Lynn) Lavinia Haverford | U.C

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DRAG ME TO HELL ::  :: Never Forget :: Archives fiches de présentation-