AccueilAccueil  Tumblr DMTH  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 
Bienvenue sur DMTH Invité love01
PRENEZ LA ROUTE DE BÂTON ROUGE, SUIVEZ NOUS SUR LA V2 !
   
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal

Partagez
 

 Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 02:27

Il y a un principe bon qui crée l'ordre,
la lumière et l'homme.
Il y a un principe mauvais qui crée le chaos,
les ténèbres et la femme.
Lilas Dresden


Bann : tumblr. Citation : Pythagore.
Musique : Children of Bodom, "Somebody Put Something In My Drink" (Ramones cover)




Prélude

date et lieu de naissance. 1er Avril 1987 à Colmar, en France (Alsace). nationalité. franco-allemande (grand-père et mère allemands), elle dispose d'un visa américain. état civil. célibataire lieu d'habitation. possède un petit loft à Olive St., Midtown. Cependant, elle passe beaucoup de temps dans des squats à Galloway Bd., Stoner Hill. métier. pour pouvoir se permettre ses lubies, et puisqu'elle ne vit pas assez régulièrement de son art, elle a choisi de cumuler les métiers de dessinatrice pour le Daily Comet et de barmaid au Hell's Angels. Tout le reste de son temps utile est consacré à sa pratique artistique indépendante. étiquette qui vous est collé. Lilas vit à Shreveport depuis deux ans, dans un logement qui lui a été légué. Elle s'est tout de suite trouvée à l'aise dans cette nouvelle ville, sortant beaucoup au début bien qu'elle ait les poches quasiment vides, pour trouver de quoi vivre principalement. Elle assistait aux réunions anonymes des accoutumés au V-Juice, y rencontrant un certain nombre de gens avec qui elle a plus ou moins gardé contact. De par son côté entreprenant, beaucoup de gens se souviennent sans doute de son visage ou la reconnaîtront à l'attitude, selon un sentiment plutôt positif puisqu'elle inspire généralement très vite la sympathie. Mais derrière lui, il y a toujours quelque chose de moins reluisant. Les gens restent tout de même à une certaine distance sentimentale de la jeune femme, comme par instinct, ou parce qu'on a été témoin de ses coups de folie. La plupart de ses relations demeurent superficielles, la marque du chaos sur elle les empêchant probablement d'aller plus loin.


I. I want know who you are

traits de caractère.
Le moment de vérité, hm ? Va-t-elle énumérer ses qualités en s'extasiant elle-même dessus ? Va-t-elle faire la liste de défauts qu'elle n'a pas toujours en oubliant le plus grand : la fausse modestie ? Ou va-t-elle faire semblant de ne pas aimer qu'on parle d'elle, mensonge vaniteux ? On verra bien.
Je suppose qu'on peut dire que j'ai un caractère bien trempé. C'est vrai que je ne mâche pas mes mots quand j'ai quelque chose à dire. En fait j'ai le compromis en horreur, et je n'aime pas qu'on cherche tout le temps à arrondir les angles. La vie n'est pas lisse. Plus on essaye de l'aplanir, plus on douille quand apparaissent les faux-plis. Je ne suis pas non plus du genre à me modérer quand il s'agit d'agir. De faire ce qui doit être fait, comme de faire ce qui ne le doit pas. J'aime la sensation du travail achevé comme celle du danger imminent. Ce n'est certes pas la même chose, et d'ailleurs je crois que j'ai une préférence pour la seconde... Je fonctionne un peu par lubies. Et mes lubies ne sont pas toujours correctes.
Ça s'applique aussi au domaine "amoureux", encore que dans mon cas, je ne sais pas vraiment si le terme est le bon. J'aime séduire, faire des paris avec moi-même en premier lieu, et jouer avec le péril là encore – mais je n'ai pas de but sur le long terme, je laisse le hasard me guider en trichant juste un peu. Quand je veux quelque chose, il me le faut. Une fois que je le tiens, bien malin celui qui pourrait me persuader de m'en défaire. D'une part parce que j'ai horreur qu'on essaye de m'influencer, d'autre part parce que je suis possessive et l'admets sans embarras. Et malheureusement, comme je ne fais pas les choses à moitié, il n'arrive pas que de bonnes choses. Pourtant, en avoir conscience ne m'arrête pas. Le plaisir que je prends dans la transgression peut occasionner des dommages collatéraux. Mais, que ce soit par vengeance ou par volonté de créer ce chaos que j'affectionne tant, je n'arrive pas à éprouver de honte face à mon comportement. Pas parce que j'aime faire du mal au gens : affirmer ceci est une erreur. Puisque de toute façon, je n'ai pas l'impression d'être un être de bien ou un être mauvais. Ni oie blanche ni engeance noire, pour moi la morale est un concept foireux qui n'a tout simplement pas de réalité. L'existence est ainsi faite, qu'on ne peut devenir complet qu'à travers les épreuves et la douleur. Je le pense sincèrement, viscéralement. Ça fait partie de mes acquis, pour ne pas dire "principes" – un mot que je n'aime pas.
Pourtant, comme dirait Oscar Wilde : « J'ai les goûts les plus simples du monde, je me contente du meilleur ». On peut quelquefois me trouver un peu psychorigide pour cette raison. Exigeante, oui. Et je m'agace vite de ne pas avoir les moyens de mes ambitions ou les résultats que j'espère. Mais le plus grand de mes vices, celui dans lequel je trouve plus de plaisir, c'est générer le feu. Je ne suis pas sorcière, même si je dois bien avouer mon intérêt pour la chose. Mais il y a quelque chose d'exaltant à ne pas avoir besoin des artifices magiques pour faire naître le miracle des flammes. Le feu, cet élément primordial, qui détruit, stérilise, permet à toute chose de renaître par sa chaleur, qui élève la mortalité vers l'immortalité. Le feu, peut-être mon seul véritable amour en ce monde. Parce que je suis peut-être condamnée à ne jamais aimer de manière conventionnelle, ennuyeuse et morne.
Pourtant, vivre en société est quelque chose que j'adore. J'adore rencontrer des gens. Je les observe, tous les jours, des visages que je ne reverrai peut-être jamais, des voix que je n'entendrai peut-être plus de toute ma vie. J'aime aller vers eux, que ce soit de visu ou à travers les livres que quelques uns, parmi la multitude, écrivent en y jetant leur psyché et quelques uns de ses replis. J'ai toujours été favorable à l'amusement, je prise l'humour, et apparemment, ça me réussit. Car bien que je ne me sente qu'une similarité toute relative avec autrui vu comme un tout, m'adapter pour explorer ce qui fait leur individualité me passionne, et la légèreté est un bon masque pour mes ténèbres.

occupation diurne.
J'suis pas trop sûre de bien comprendre. Selon vous, parce que je fais des tableaux, des sculptures etc, je ne fous en gros rien de ma vie ? C'pas un peu obtus, ça, comme jugement ? Nan, le matin, j'me lève de bonne heure, comme ça j'ai ma journée pour faire c'que j'veux. Bon évidemment, vu comme ça, ça fait genre « j'suis en vacances toute l'année » mais est-ce que c'est pas le cas de tous ceux qui font le métier qui les passionne ?
Bon et puis, c'est pas tout à fait vrai, je ne fais pas que ça. J'ai besoin de nourrir un peu mon inspiration, disons. Si je sortais pas de chez moi j'deviendrais folle ! Je suppose que j'ai un côté sociable qu'on ne peut pas dissocier de ma créativité. Alors je me ballade. Généralement, je vais du côté de Stoner Hill. Je sais que c'est mal famé, mais justement. Les mondes clos m'intéressent, surtout quand ils renferment des choses que les gens bien comme il faut préfèreraient oublier.
Du coup j'ai proposé mes services au Daily Comet, ils me demandent de quoi publier une page par jour, ce qui veut dire que si j'en fais pas au moins six d'un coup, ils risquent de me sucrer ma petite paye. Oui c'est des cons. Comme partout, y paraît. Enfin... ils le sont pas tous, apparemment, mais je traîne quasiment jamais là-bas. Parfois j'illustre aussi une rubrique, quelques uns me consultent en vertu de mes diplômes pour l'arrangement de leurs pages. Mais bon, d'après moi, mon avis est pas souvent pris en compte. Mon boulot le plus régulier, c'est surtout la nuit que ça se passe. Pendant huit heures je tiens le bar au Hell's Angels. C'est pas toujours drôle, pas toujours "safe" concernant mon retour chez moi. Mais j'aime bien. En fait, certains soirs, c'est même fascinant, on voit de ces gens... Oui, certains soirs, je rentre et au lieu de dormir, je reste dans mon atelier et je recrache tout ce que mon esprit a ingurgité sur des carnets, des toiles, des travaux préparatoires.
Bon, et puis... à vous je le confie... Parfois sur le chemin du retour, je passe par des quartiers plus chics et je zyeute à travers les vitres des maisons. Il m'est arrivé plusieurs fois d'entrer par une fenêtre ou d'escalader un balcon parce que j'avais repéré quelque chose qui m'attirait particulièrement. Peut-être que je suis modérément kleptomane, en fait. Mais je me demande si à la base, c'est pas plutôt le frisson du danger qui m'a accrochée à cette... « pratique ». Celui de partir victorieuse, aussi. D'avoir dérobé quelque chose à quelqu'un... Comme je dérobais leur sang aux vampires y a longtemps. Si ça se trouve, c'est juste une survivance de mon addiction.

manie, habitudes & goût.
L'ordre, les convenances, les lignes droites, la retenue, la bienséance, tout ça m'ennuie à mourir. J'aurais voulu d'un monde où ces termes ne sont pas les avatars du bien, et où leurs opposés ne sont pas signes de malédiction. Mais à l'inverse, je suis née ici, et j'ai appris à faire avec. J'ai fini par faire un art de vivre de ma damnation volontaire.
Lucifer, peut-être, est mon inspirateur, mon mentor et l'amant éternel de mon âme. Disciple de Chthonos, adoratrice du feu, j'ai en moi les germes de l'Enfer et de ma main naissent les flammes. Toujours un briquet et des allumettes dans une poche. Toujours un paquet de cigarettes et mon portable dans une autre. Souvent un rasoir pliable, caché dans une troisième.
Pour ce qui est des choses plus matérielles, j'ai les caractéristiques de beaucoup de gens de mon âge. Les musiques diabolisées sont mes préférées. Surtout quand elles osent cracher la rébellion et la complaisance sauvage dans le chaos. Car c'est ainsi que je vis. On voudrait me voir vêtue comme une de ces reines de promo que je méprise avec le sourire, mais à la place, c'est un fatras de tissus marqués par leur vécu, ou par la morphologie masculine. Je suis fière de ma féminité, c'est ainsi que je l'exprime : vivante et magnétique, pulsant dans le secret de formes qui ne sont pas les siennes. Je n'ai que faire de ceux qui les préfèrent façonnées par l'étoffe que la mode impose. Je ne suis pas un porte-manteau.
La nuit, ma muse. La nuit du ciel, celle des temps, celle des êtres qui m'entourent, celle qui m'habite. Elle est ma mère, ma sœur, ma confidente, parfois ma fille car l'engendrer me fascine et m'épanouit. Souvent dans l'esprit des gens, elle ne va pas sans les astres. Peu me chaut, la lune et les étoiles n'ont pas la force des flammes. Et bien que je reconnaisse leur beauté, leur aura mystique qui ne manque pas de charme, il leur manque cette puissance destructrice qui me galvanise.
J'aime détruire des choses. J'aime les gens détruits. J'aime m'autodétruire. Réellement. Tout cela fait mon plaisir, mon sourire, mon rire, mon bonheur en quelque sorte, il me semble. Auparavant je prenais du V-Juice et j'avais l'impression de contribuer à ma marche vers cette complétude. Je n'en prends plus, parce que mon pouvoir en ce monde, qui est celui de donner une image et une texture à tout cela s'en trouvait amoindri. Et parce que la substance faisait miroiter un visage que je ne veux plus avoir sans cesse en tête. Je n'aime pas trop ressasser le passé, je crois. Pourtant, autour de mon cou, il y a toujours cette longue chaîne épaisse faite d'argent, au bout de laquelle s'alanguit un pendentif creux en forme de croix latine. Vide. Comme tout le reste. Des tas de bagues et de bracelets du même métal à mes mains et poignets. Comme des habitudes ineffaçables.
Évidemment, l'art est un synonyme de respiration pour moi, et mon domicile y est tout entier dédié, à la fois atelier et temple. Toutes ses formes m'attirent. Tout m'intéresse. L'art est vie, l'art est humanité, l'art est divinité, l'art est bestialité. Je le préfère lorsqu'il ne cherche pas à se faire ex-voto ou prière rédemptrice. J'aime que son besoin soit assumé.
J'aime traîner un peu partout. Observer la vie autour de moi. Dévisager les gens. M'imprégner de leur présence. Errer d'un squat à l'autre sur Galloway Boulevard et ses environs.
Les temps sont sombres. Je me félicite d'être née en ce siècle et n'aurais pour rien au monde voulu connaître une époque plus calme.

conviction.
La révélation... Ha ! Sacré pétard mouillé c'truc-là. J'm'étais toujours doutée qu'y avait pas que des gens comme... moi, enfin, c'qu'on appelle aujourd'hui des humains, parmi ceux que j'pouvais croiser le jour ou la nuit. Mais quand c'est devenu officiel, tu sais, c'était tellement théâtral... Et au début j'ai trouvé ça dément - t'imagines ? Subitement, TOUT est devenu possible ! Les vampires, les loups-garous, les n'importe quoi garou, la magie, les feys... Ptet que les sorts que j'avais essayés petite pour allumer des lumières à distance, c'était pas juste des conneries ! Les gens qui disent voir des fantômes ne sont plus des fous ou des superstitieux, ils sont "clairvoyants". Crier à l'invasion de zombies n'est plus exclu par les rationalistes. PAFF ! Du jour au lendemain, le monde de la nuit n'était plus le seul à grouiller de mystères, c'était le bordel.
Mais trop vite, ils se sont tous mis à vouloir rassurer les gens, à établir de nouveau un ordre forcé. L'éclatement de l'abcès n'a pas suffi à les faire évoluer. Résultat, au lieu de laisser les métamorphes faire leur place par exemple, on leur a donné des droits spécifiques; ok, mais c'est tout. Allez, bouge vieux clebs, t'as eu tes croquettes. Enfin je parle des métas mais au fond, à part les vampires qui s'en tirent avec les poches pleines de flouz, j'crois qu'c'est un peu pareil pour tout le monde.
Le choc, tu vois, c'est la meilleure façon pour un gouvernement de faire aller les gens dans son sens. Quand ils se sentent paumés, ils disent amen à n'importe quel trou du cul qui leur promet la sécurité. On vit dans une société de lâches qui s'en remettent à des gros fourbes égocentriques - ouais, Captain Obvious bonsoir, mais putain, on y était, là ! On avait la chance de changer ça, de redonner un sens à l'aventure, à la découverte, au progrès ! Un monde nouveau s'offrait à nous. Et ils ont tout gâché. Rien trouvé de mieux que de le normaliser... Bon. Tu m'as foutu l'bourdon là ! haha... J'te sers quoi ?
T'sais quoi ? Le jour où ça va péter, parce que ça pètera... On vivra nos plus belles heures, mec.

signes particuliers.
Adolescente, j'ai abîmé ma peau. Des lignes pâles zèbrent l'intérieur de mes cuisses : la douleur y est plus vive et la marque, moins visible.
Lorsque je vivais à Los Angeles, il y a environ trois ans, je me suis fait tatouer un scorpion dans le dos. Sa tête au centre de la double marque de mes reins domine ses pinces qui descendent latéralement, tandis que la queue de l'animal remonte le long de ma colonne vertébrale, imitant les os qu'elle pare. Plus tard, à Seattle, j'ai modifié son extrémité : désormais le dard du scorpion est la base d'un buste de squelette, qui étend ses bras comme la bête étend ses pinces. Il est courbé en avant. Révérence ou posture offensive ? Quoi qu'il en soit, son front est orné d'un corbeau qui s'étend comme une croix de baptême. Depuis son dos, six ailes se déploient, elles ont le rouge profond du sang ou d'un feu chthonien. Si le scorpion est noir, le squelette, lui, est blanc (seuls ses contours sont encrés). Peu sont capables de mobiliser les connaissances symboliques nécessaires pour comprendre la signification de tout cela, mais comme j'aime énormément le tatouage en général, il m'arrive d'en discuter avec ceux qui me demandent des précisions.
Autre détail qu'on remarque facilement, et dont on me fait souvent la remarque : mes iris sont vert clair, mais celui de mon œil gauche est altéré d'une tache jaune doré.


II. A true story


C H A N T . I
Brave New World

____________



« Poussez, mademoiselle, poussez. Voiiilà, c'est très bien, respirez bien... Poussez. Le bébé est presque là. »

Ça fait bientôt seize heures qu'on est là. Je sais à quoi elle pense. Elle pense : ah, Dieu tout puissant, pourquoi donc ai-je été vendre mon âme au Diable là-bas, dans l'été sulfureux aux échos démoniaques de musique pour gros bœufs dégénérés, pourquoi ??
Je préfère vous le donner en version édulcorée, oui. Dans la réalité ça ressemblait plus à une cascade de sentences de mort à l'encontre du décérébré responsable en partie de ma venue. De mon côté, je me contente d'étouffer gentiment à mi-parcours, en me demandant comment l'anguille de papa a bien pu vouloir faire le tour du proprio là-dedans. Faut dire que la caverne d'Ali-Baba était grande ouverte ce soir-là. Open bar. Elle avait juste pas prévu que la note serait aussi salée au final.

« Oui très bien ! Un dernier effort, on y est presque ! »

Elle éructe un vagissement digne d'une vraie star du grindcore, et d'un coup, je sais pas pourquoi, cet incapable de doc-gynéco fait un fail, ses gants font "zwip" et moi "plaff". Le nez dans un lit tiède de fuites amniotiques et d'excréments tout frais.
« Bienvenue... dans le mooonde réeeel », aurait dit un afro-ricain avec une pilule dans chaque main.

Le glandu à gants de latex mouillés me chope là, l'air de rien, me refile vite fait à une sage femme qui tente tant bien que mal d'essuyer ma tronche alors que je hurle à m'en faire péter les cordes vocales, prélude symphonique à l'histoire de ma vie.

« Félicitations, c'est une... très jolie petite fille ! »

Félicitations de quoi, tu peux me dire ? Je fleure bon le minou maternel et autres rejets marrons moites, et déjà une seule chose agite mes neurones : "où est mon pétaaaaard", parce que cette chère môman n'a jamais cessé de fumer du vert en cachette.
Celle-ci se voit présenter le fruit béni de ses entrailles. Sa réaction est digne d'elle : souffrant certainement bien plus que le monde entier réuni n'a jamais souffert, ma fraîche personne en premier lieu, elle engueule celle qui lui a tenu la main tout du long en absence de père, en soulignant fermement ses réserves face à l'idée de m'allaiter un jour. En un mot comme en cent : « DÉGAGE ! »

On est le 1er avril 1987.
Et c'est même pas une blague.



C H A N T . I I
La Nausée

____________



« Il était un peu fruste, tout de même. Pauvre Claudine. La sainte femme. Elle a pourtant tout fait. Trop naïve, oui, trop naïve. Soit-disant que c'était un héros de guerre, mais pas du tout, il a juste eu de la chance. Les prisonniers, tous des planqués. Aucune éducation, en plus de ça. Pas très intelligent, au fond. Et pas vraiment de talent, après tout. Au lieu de dilapider son argent aux Stéitses, comme il disait, il aurait mieux fait de surveiller sa fille. Pas étonnant que la petite Julie ait tourné comme ça. Ha, on peut pas dire que les chiens font des chats ! Attention, en parlant de ça, voilà la dernière qui arrive. »

Dans l'assemblée, y a que des vieux. C'est limite si je ne me pose pas la question de ma venue. Heureusement que moi, je n'oublie pas pourquoi je suis ici aujourd'hui, contrairement à tout ce beau monde noir où les visages sont des chapeaux et les embrassades sont humides. Larmes de crocodiles ici et là dispersées indécemment.
Ils se succèdent devant le cercueil, balancent de la flotte sur le mort comme ils lui pisseraient à la tronche, ainsi qu'ils ont tous l'air d'en avoir longtemps rêvé. Ça oui, il avait plein d'amis. Tout le monde l'adorait, le gentil ébéniste qui a produit tant de merveilles pour les églises alentours. J'essaye de donner le change en regardant la vierge de chêne qui me sourit, contente qu'on l'ait mise sur l'autel pour l'occasion. Pétasse. C'est pas pour te voir qu'on se presse devant toi, espèce de gourde. C'est pour celui qui t'a permis de t'ériger en ce monde. Moi je l'ai compris, et je ne l'oublie pas.
Leur regard gêné sur ma bâtardise. Leur sourire pincé quand ils viennent me taper la bise, histoire de m'adresser des condoléances la plupart du temps muettes. Pour me servir des débilités hypocrites comme « Ton arrière-grand-père était vraiment un homme de bien. Nous l'aimions beaucoup. Il a fait de grandes choses pour son pays et l'art liturgique. Pour toi, aussi. »
Oui hein, après tout, il n'était pas obligé. Sa fille est tombée amoureuse d'un allemand, oh mon dieu. Ils ont eu une fille, ah, ciel. Ils sont morts dans un accident de voiture, bien fait. Il a élevé sa petite fille, bien sûr, c'était bien normal après avoir abandonné les siens pour partir outre-atlantique. Mais il faut voir comment : à croire qu'il n'a jamais su ce qu'était l'autorité. Et me voilà, moi, la troisième génération depuis lui. La troisième chose ténébreuse et maudite. Héritière de son sang manifestement tombé en disgrâce, pour quelque écart méconnu survenu aux États-Unis. Des choses dont vous n'avez pas la moindre idée, mais au sujet desquelles vous prétendez tout le contraire. C'est quoi votre problème ? Qu'il ait voulu vivre, alors que vous n'avez fait que vous accrocher à votre petit quotidien bien rangé comme des moules à un poteau ? Non, sa femme ne le lui a jamais pardonné. Elle est comme vous, de toute façon. Elle et ses compromis.
Elle ne voulait pas que je voie la suite au crématorium. Parce qu'en un sens, c'est indécent, la crémation. Mais je suis là, et je regarde la grande caisse de bois s'enfoncer dans les ténèbres, comme dans un passage vers un autre monde. Ils allument le four. Je sens la chaleur des flammes. Je les sens, elles grandissent, à l'intérieur de moi. Elles sont l'unique beauté du monde qu'il me reste, soudain si restreint. C'est ainsi que toute chose devrait finir, quand tout devient noir tout à coup. Je n'ai pas peur de la mort, plus maintenant. Il me montre le chemin. Les petits sanglots étouffés qui griffent ma plénitude, ma communion avec l'instant, je les exècre. Allez tous vous faire foutre avec vos principes et votre lumière immonde.

24 janvier 2002, voilà où est mon univers. Dans la nuit et les langues du feu purificateur, qui dévore tout pour ne laisser ici-bas que la médiocrité, le vrai terreau des jours présents.



C H A N T . I I I
Voyage au bout de la nuit

____________



Il appuie sur l'accélérateur et je m'accroche au pare-brise pour me lever dans l'habitacle, le vent hurlant dans mes oreilles tandis que je trinque la fiole de V avec les dieux. À fond sur la route mythique qui sillonne le désert, nous cramons nos vies à la faveur du crépuscule enflammé. Nos cris se mêlent dans le crépuscule de flammes. La rocaille sous les roues de la décapotable me fait flancher plusieurs fois, rodéo du diable. Jamais je ne me suis sentie aussi vivante de toute mon existence.

La nuit vient. On s'arrête dans un bar, faisons connaissance joyeuse avec des motards, des routiers, un type me met la main au cul et se prend une droite phénoménale. Mon fauve se marre autant que moi et je vibre en le voyant se battre comme un vrai guerrier, féroce, passionné, dépourvu de toute peur. Le paquet de fric qu'on se fait des paris que j'ai tenus nous permettra de flamber encore un moment, et les types sont beaux joueurs, ou intimidés par la puissance de mon champion, ils payent le coût de l'héroïsme vain et nous laissent filer. Pourtant, on court quand même jusqu'à la bagnole en s'esclaffant de plus belle, avant d'embarquer pour un autre galop dans la poussière, sous la lune ronde qui nous accompagne, rieuse.

Autre étape, autre challenge. On n'a plus de juice. Je m'assois au comptoir et fais de l'œil à ce type qu'on a repéré en arrivant. Trop pâle, trop seul, trop sûr de lui. Cet abruti me drague en bonne et due forme, de cette manière surannée qu'ils apprécient généralement beaucoup plus que moi. J'suis pas une romantique, mec... Mais je joue le jeu, il en vaut la chandelle.
Sur le parking, je fais semblant de me croire seule. Bouh, il est là. Souvent je me suis demandée si je jouais vraiment bien la comédie ou si c'est l'appétit qui les fait toujours tomber dans le panneau. Moins galant d'un coup, il me retourne, me plaque contre le capot et s'immisce entre mes cuisses dévoilées, cherchant à attiser ma peur. Réflexe débile, je frémis, ça l'excite à mort jusqu'à ce qu'il sente le danger approcher. Ses yeux s'écarquillent au dessus des miens, mais trop tard. "Shlack" ! Les griffes énormes et luisantes du puma s'enfoncent dans la chair de son cou, il est projeté à terre mais se relève bien vite, furieux. Aucun de nous ne sait quel âge il a, quelle expérience il a, quels pouvoirs il a, mais on s'en fout. On est camés, le danger nous grise, à fond. Je cours dans son dos, il pense que je fuis pour sauver ma peau mais un réflexe le fait lâcher la bête des yeux un quart de seconde – suffisant pour donner l'avantage à l'adversaire qui lui bondit immédiatement dessus. Déstabilisé bien que confiant, il va pour encaisser le coup mais je lui balance une chaîne en argent autour du cou. Il veut crier mais ne peut pas. Le félin cloue sa proie au sol, celle-ci souffre trop pour répliquer directement, j'ai un laps de temps suffisant pour choper le tas de chaînes planqué sous le siège passager. En fait, ce soir, c'est facile... Presque déçus, on le traîne vers le coffre, et on ne fait pas de vieux os.

Cette nuit-là, au milieu du désert, le ciel blindé d'étoiles devient noir de suie. Nous dansons, ivres, autour du bûcher où se consume la dépouille du cadavre autrefois ambulant. Bacchanales modernes. Folle sarabande d'ombre et de lumière infernale.
Je m'arrête, haletante. Mon regard se perd dans la contemplation de ce brasier, Jérusalem Céleste et Pandémonium réunis sur la terre des mortels.
Je sens la peau ardente et rugueuse de sa main effleurer la mienne. Mes rêves sont là, ils se tordent et s'envolent vers les cieux occultes, tourbillon enragé, un glaviot balancé droit dans la face des anges.

« Ma luciférienne. »

Mes yeux retrouvent les siens. Deux iris d'une terre de feu aux reflets pourpres. La dureté de la pierre. La chaleur écrasante d'un soleil noir. Ce seul regard déclenche l'explosion d'un désir fou au plus profond de moi. Mon cœur éclate, mon corps hurle chaque lettre de son nom.
Aimer est folie pure. Aimer est autodafé, immolation. Aimer est chaos. Aimer est suicide. Et je l'aime à crever, sans satiété, sans raison, sans foutues limites.
Il m'étend non sans violence et me prend sauvagement, là, dans la poussière aride, les cendres du soleil mort, les roches qui ne pleurent plus et déchirent mes vêtements et ma peau.
Souffrance. Plaisir. Je brûle. Je l'aime.




C H A N T . I V
A Song Of Ice And Fire

____________



J'ai connu le soleil au sommet de ma chute.

Et maintenant je suis là, depuis combien d'heure je n'en sais rien. Combien de jours, combien de nuits... Non, pas de jours, c'est un concept surfait. Le jour n'existe pas. Seul compte le vide, immense, cette indescriptible sensation qui est celle de mon propre corps comme un poids insupportable. Un labyrinthe infini. Enchaînée à l'instant qui ne s'éteint jamais.
Les volets sont fermés, on croit que j'ai quitté les lieux, et peut-être est-ce effectivement le cas. Je gis là, hors de moi, hors du temps. Pas un mot, pas un bruit, pas un souffle. Plus rien qui présage ma survie ni même ma mort. Je suis simplement cette chose sombre lovée au creux de l'obscurité. J'avale et je recrache, je me remplis et me vide des ténèbres qui m'entourent. Manie. Plus aucune envie. Satiété éternelle de l'insatisfaction et du manque. Les seules traces de résistance sont des paquets de cigarettes vides. Et cette flamme que je fais craquer sans discontinuer. Déchets carbonisés d'allumettes épuisées, comme des vers rampant dans la pénombre que mon délire fait se tordre et s'étendre tour à tour.
C'est comme me contempler de l'extérieur. Mon corps perdu dans le noir, ses yeux mornes qui ne se ferment plus. Et moi, quelque part, dans un ailleurs sans réalité, où rien d'autre n'existe qu'un concentré sulfureux. La lente lumière sombre d'un soleil froid.
Seul décompte avant l'explosion de la chambre muette : la flamme de l'ultime bougie qui fait vaciller mes prunelles fixes, mortes. Avec elle, je m'endors, ma chrysalide est enfin complète.

Plus rien ne me retient ici.
Los Angeles scintille de cent destins sibyllins, souffrance et stupre liés. Plus aucun être céleste ne veille sur ses heures. Aux abords des rivages de Santa Monica, une crack house. Un vieux cabanon délaissé qui ne ressemble à rien, qui tangue sur lui-même avec les vagues en contrebas, un peu plus loin. La nuit m'enveloppe comme une cape, ou des ailes occultes dont le ciel est la limite. Pas d'autre lumière que celle du monde que j'abhorre. Personne pour m'arrêter.
Suis-je là pour me libérer ? Suis-je là pour effacer ma mémoire ? Ce froid intense que je ressens, ce n'est pas le vent venu du large, qui tant de fois nous attira comme un linceul de velours. Ce ne sont pas les fantômes disgraciés des collines de Hollywood la putain, qui abrita nos débauches. C'est l'abîme. L'inoubliable absence. La perte, cruelle faucheuse. Mon ventre, un tombeau à la bouche béante. Mon crâne, un sépulcre oublié, où ne repose plus rien, où croît l'abandon.
Je serre dans une main un bidon d'essence. Dans l'autre, un paquet d'allumettes.
Les miroirs éclatés des « toujours » et « à jamais » écorchent les miettes de mon cerveau. Au travers de mes plaies entrouvertes, c'est ton visage que je ne vois plus.
Ma procession se poursuit comme on le faisait au temps anciens lors des noces. Ceindre un foyer de ses pas. Y jeter mon offrande. Bénir les murs par un besoin impulsif de purifier tout ce qu'ils représentent. Me purifier, moi, par procuration. Je suis trop lâche pour aller jusqu'au bout du rituel. Trop de haine, géhenne suave en moi déversée; je suis indigne d'y présenter mon corps, et tu l'es encore moins de mon sacrifice à ta seule détestable personne. Je te déteste de t'aimer autant. Sans raison, l'acte en lui-même. Sans raison, son histoire. Sans raison, je suis (pourtant). Immuable est ma valse entre mon besoin de t'étreindre et celui de te rendre le mal que je subis. Mais je suis trop fière pour danser face à toi.

Un craquement, presque inaudible. Embrassement. Le bleu dispute son hégémonie au blanc dans la course vers les frontières de l'essence. C'est un vrombissement feulé par une bête qui ne connaît ni faim ni satisfaction, ni début ni fin. Statique devant le chant des Enfers, devant le banquet des démons qui m'invitent, je cueille bientôt le pendentif creux accroché à mon cou. Mes dernières gouttes de V. Et mon sourire renaît, je devine enfin les oracles sensuels que me porte l'ardeur. Tout cela, tout ce que je vois dans les flammes, c'étaient mes désirs au diapason des tiens.

« J'avais envie de détruire quelque chose de beau. »



C H A N T . V
A Room of One's Own

____________



« Et ma bière, elle vient à pattes depuis l'Allemagne ou quoi ?
- Es kommt... alkoholiche Hurensohn... »

C'est un peu le tableau type de mes soirées. Au début, je trouvais ça chiant, je me voyais retenir la tronche de toutes ces poches à vin qui défilent devant le comptoir et plantent leurs yeux globuleux droit sur mon cul quand je me retourne. Aucun n'a dû voir le moindre petit miroir de sa vie... Du coup, aucun ne se rend compte que je les vois. Le mur du bar en est placardé et les rangées de bouteilles ne masquent pas tout. Mais maintenant que je suis dans ce taudis depuis un petit moment, je me suis faite à sa population.
Bosser au Hell's Angels est un boulot comme un autre. Pondre des pages d'illustrations pour le Daily Comet n'est finalement pas beaucoup plus exaltant. Ça a beau se rapprocher de mon domaine de prédilection, le ramassis de connards et d'hypocrites que j'y croise ne vaut pas forcément mieux mes piliers de comptoir. La vie est ce qu'elle est, il faut bien bouffer quand personne comprend que ce que je veux dire par l'art a un sens. Avant, c'était différent. Je gagnais de la thune pour avoir mon fix, parce que je ne voulais plus chasser mais sans être capable de me débarrasser de mon addiction.
Les choses ont changé. Enfin, je fais au mieux pour que ce soit le cas.

Les réunions d'addicts anonymes, par exemple. Car oui, je cherche me renaissance dans la déchéance des autres. Est-ce que c'est sale ? Non, je ne crois pas. Peut-être que c'est difficile à comprendre, tout simplement. Il y a là-dedans comme une une volonté de me reconnaître chez autrui. Certains parleront de vampirisme psychique, comme si j'avais besoin de ma dose de noirceur et que je la tirais à la source d'autres que moi. C'était sans doute un peu ce que je faisais à travers ma consommation de V. Parce qu'au fond, c'était ce que j'aimais chez lui... Celui qui m'a donné la première becquée. Ce déni du monde, cette colère. Montrer les crocs, se battre en se complaisant dans une solitude qui le faisait pourtant souffrir. Mais ce n'est pas un appétit qui nait comme ça, d'une claquement de doigts. Non. C'est quelque chose qui vit à l'intérieur de moi, que je l'aie découvert plus tôt ou que je m'en rende compte petit à petit, ou même bien plus tard en faisant un bilan quelconque. Je crois plutôt à la volonté de ne pas être seule. Se rendre compte que la vie vaut d'être vécue. Paradoxalement, j'ai réappris à aimer la communauté des vivants quand la mort s'est présentée à mes portes, et que je lui ai dit : pas aujourd'hui. Ha, ça ferait une super réplique de bouquin ou de film... Non ?
Le fait qu'on soit réunis dans cette sale prend des allures de preuve. On ne fait que passer dans la vie des uns et des autres, en se disant qu'au moins on n'est pas seul. Le voir et l'entendre a sans doute un pouvoir plus grand que de simplement le savoir comme une vérité générale toute bête. Peut-être que c'est juste un espoir indéfinissable. D'autres le cherchent ailleurs. Moi j'aime prendre ce risque : brûler mes ailes dans la chute de météores comme ce type que vois, parfois... Ça fait peu de temps qu'il se joint à nous. Je me souviens avoir parlé devant la petite assemblée de mes compagnons de déroute. Il était là, pas très loin. J'avais du mal à ne pas le regarder, uniquement lui, comme s'il éclipsait tous les autres. Sa différence, peut-être, cet espèce de détachement, son manque de volonté apparent. Comme si on l'avait poussé à venir là. Il est opaque. Quand il était à la même place, qu'il faisait entendre sa voix, j'ai scruté son visage, son regard, son attitude. Et aussitôt sortie je n'ai pas pu m'empêcher d'enchaîner les esquisse. J'ai un portrait de lui en route. J'aimerais qu'il pose pour moi. Peut-être que je lui proposerai un jour... Oui, je le ferai. Je sais que je n'y manquerai pas. Je ne peux pas laisser les choses comme ça.
Je veux puiser en lui. Je veux goûter son âme. Cueillir une mandragore impérissable en son sein, et porter son empreinte matérielle en l'univers des mortels. Rendre immuable à ma façon la marque qu'il m'a posée.
Une marque... Peut-être, oui. Finalement, peut-être sommes-nous tous des vampires à notre façon.


III. That thing I want to tell you

pseudonyme. Minou âge. 22 code du règlement. Eh bien, il ne manque plus que je thème musical de Dracula, Prince des Ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. avis général à propos du forum. ♥___♥ avatar utilisé. Katie MacGrath


Dernière édition par Lilas Dresden le 20/2/2012, 13:45, édité 42 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 02:41

GRAOU. ♥
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 06:57

Bienvenue :)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 09:30

Somebody .. toutoutoum. Somebody put Something in My Drink. toutoum toutoutoum. Somebody put Something in My Drink. yaaaah.
What a Face

Bienvenue !!! Courage pour la fiche Razz
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 12:30

Rebienvenue et bon courage pour ta fiche ^^
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 18:54

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche!
Si tu as la moindre question n'hésite pas =)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 18:57

T'inquiète, j'suis pas un timide, mon gros. :014/:

(C'est moi personne a remarqué que Lilas avait un multi ? lol
btw : c'est Lorenzo qui m'a dit sur msn que j'pouvais faire un DC... patapé)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 19:01

Mdrrr na j'avais pas vu je fais rarement attention quand je suis pas prévenue Razz
Han si c'est toi alors, va te faire voir et démerde toi, sale cabot! A moins que tu ne monnaies mon aide? :030/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 19:02

Je t'offre la petite soeur de Gigi (et Gigi lui-même s'il fait son cake et proteste), ça te va ?
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 19:04

Juste Gigi ça ira! Quoi que la soeur fera une bonne entrée....
VENDU!

*attrape Dunn et l'emmène dans un coin sombre*
Je vais te révéler les grands secrets de la connaissance absolue...
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 19:07

OO

Euh, tiens, prends Lilas à ma place... me touche paaaas T.T Gigiiiiiiiiiiiiiiiii !!
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 19:43

Hein mais...OO C'quoi ça...On deale mon corps et on m’avertit pas? :032/: Je vais être méchant, très méchant, et encore plus si vous touchez à ma soeurette!

Cela dit...Si c'est pour Aleks, je vais y réfléchir...SBAF

Allons Dunn, fais pas ton coincé....Ton rang te le permet plus...Rolling Eyes
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 22:00

ah merde. j'avais pas remarqué. j'suis un peu débile, c'pour ça =D

Et sinon. euh... mhhh... mmmmmmmhhhhh... Attention... ATTENTION !
Je... je vais... je vais devenir tout rouge, taper des pieds, hurler, tout casser. et puis manger tout le monde... èé.
fripouille... FRIIIIIIIIIIIIPOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLLE *hurle et casse les vitres* TU REVIENS ICI TOUT DE SUITE ET TU LACHES LE CHIEN ! ET REMETS LUI SON PUTAIN DE SLIP !!!!!!!

:57:
Revenir en haut Aller en bas
 
Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime13/2/2012, 23:52

Bienvenue heart
Tu m'escuseras, j'ai la flemme de me connecté sous Valentin pour te souhaiter la bienvenue mais le coeur y est.
Si tu as la moindre question par rapport au personnage, je suis là.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime14/2/2012, 03:02

Pas de souci Edenou ! J'comprends bien. ^^ Y s'peut que j'aie la flemme de changer de compte aussi pour t'envoyer les MPs concernant Lilas, mais t'façon, quand c'est la même personne derrière, c'pas c'que ça change... Wink

Merci à toi et à tous les autres ! J'ai été malpolie tout à l'heure en répondant juste à Aleks, désolée. Faut dire qu'il est envahissant aussi, on l'aura tous bien remarqué...
Je buche sur ma fiche - ET sur mes RPs, vous inquiétez pas, ça suit son cours !
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime14/2/2012, 15:41

C'est ça, des excuses. La prochaine fois, j't'enverrai des coeurs en papier mâché rempli d'amiante, ça te fera les pieds.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime14/2/2012, 15:46

Mais moi non plus je ne t'aime pas, mon Gigi.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime14/2/2012, 20:47

Bienvenue ou re dans ce cas-ci si j'ai bien suivis :twisted: puis Katie elle est juste superbe (a)
Bon courage pour ta fiche ♥️
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 06:08

Merci ma jolie SM ! *,* Ça va, bizarrement, j'ai l'impression qu'elle vient bien cette fiche, c'est rare. Bonne validation à toi ! ^^

EDIT : Je pense avoir terminé ! Bon courage à la personne qui s'occupera de la lecture, et j'attends vos remarques avec impatience. ^^ (owi frappez-moiii /sbaff)

EDIT 2 : bon alors par contre y a une sorte d'énorme bug, je comprends pas pourquoi ça m'a coupé trois chants ENTIERS de ma bio... Je... Mh... Je vais essayer de remettre ça...
---> Voilà, ça a l'ai arrangé. J'ai pas compris ce qu'il s'est passé.
Revenir en haut Aller en bas
 
Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 15:07

Welcome
Je suis là pour te guider

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.


Très belle fiche, j'aime beaucoup ton histoire. Tu as parfaitement capté l'essence du personnage.

Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] 20j09sn
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé!
Toutes mes félicitations!


Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option!
Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 15:18

Merciiiii ! Contente d'avoir réussi à faire ce que tu attendais!
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 15:18

FELICITATIONS MINOU!!!!!!!!!!!! :020/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 15:35

Félicitations la pyromane !
*lui offre des allumettes* :twisted:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime20/2/2012, 15:54

Bravo Minou ! Hâte de te voir brûler le poil du gros Duncan *__*
Revenir en haut Aller en bas
 
 
 
Contenu sponsorisé



Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Empty
MessageSujet: Re: Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]   Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Lilas Dresden ~ « Le rire est satanique, il est donc profondément humain. » [Terminé !]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Adam Barthélémy, un humain comme les autres mais en mieux. [terminé]
» L'humanité est-il seulement un concept humain?
» .:Je ne suis qu'un trucage humain, en voyage loin de la Russie:. Lena Kiszkaliuczkuva [90%]
» [Terminé] Alone and cursed.
» ~ Terminé . PARK Min Joo .

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DRAG ME TO HELL ::  :: Never Forget :: Archives fiches de présentation-