AccueilAccueil  Tumblr DMTH  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 
Bienvenue sur DMTH Invité love01
PRENEZ LA ROUTE DE BÂTON ROUGE, SUIVEZ NOUS SUR LA V2 !
   
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime17/1/2012, 23:47

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.
Dreyen Lecter


© tumblr

Prélude

date et lieu de naissance. dreyen est né à cincinnati, dans l'ohio, le dix-huit mars 1987. nationalité. américain. état civil. célibataire. lieu d'habitation. il vit à coven garden, sur les hauteurs de la ville. métier. médecin légiste. étiquette qui vous est collé. taciturne, solitaire, on ne porte pas beaucoup d'attention à dreyen, si ce n'est pour se dire que ce gars-là est franchement étrange. avec ses cernes qui lui dévorent le visage et son air éteint, on le prend davantage pour un adolescent mal dans sa peau qu'un génie d'à peine vingt-cinq ans. on se méfie un peu de lui, la distance qu'il prend avec le reste du monde lui vaut de nombreux regards interrogateurs.



III. That thing I want to tell you

pseudonyme. rivergame âge. dixhuit code du règlement. il ne manque plus que le thème de Dracula Prince des Ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer avis général à propos du forum. ce que vous en avez fait en partant de true blood c'est juste, génial heart gros coup de cœur pour le forum, qui me fait de l'œil depuis un moment, pour sa qualité et sa constance. je ne prends habituellement pas de prédéfini mais quand j'ai vu ce petit Dreyen nomdediou l'idée d'incarner un personnage torturé comme lui dans un tel contexte c'est juste jouissif :53: avatar utilisé. andrew garfield


Dernière édition par Dreyen Lecter le 31/1/2012, 22:22, édité 13 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime17/1/2012, 23:48

I. I want know who you are

traits de caractère.
Dreyen est détruit, profondément heurté, jusqu'à la moelle, torturé, désireux, il observe, sans mot, juste pour le plaisir de voir le monde dont il se sent exclu. Il a toujours sur le visage cet air perdu, un peu décalé. Exacerbé, à fleur de peau, tout ce qu'il ressent n'a pas de juste milieu, il aime et déteste tant les choses qu'il joue l'indifférence, qu'il flotte dans la marée de vos quotidiens, perturbable voyageur invisible. Et il y a la solitude, cette douce amie, la seule qui soit toujours restée, il aime se complaire dans cette illusion, juste s'abandonner aux méandres de ce sentiment jamais à court. Il y a surtout ce corps, frêle, à la merci de n'importe qui, dont il voudrait s'échapper, cette enveloppe charnelle qui le rattache au sol, à ses folies, à cette névrose implacable. Son génie n'est pas un don, son génie ne l'aide pas à se hisser hors des tumultes de son existence ratée, non son génie le maintient dans ses travers, il ne peut pas fuir, il n'y parvient pas. Masochiste, devenu dépendant à la douleur et au sang, usé jusqu'à l'os par un immortel, traîné dans les tréfonds, dans la lie de l'humanité, bouffé de l'intérieur par sa propre démence, hanté par ses propres souvenirs. Le trouble lui colle à la peau, le manque menace à chaque instant, alors il ferme les yeux, quelques secondes, il espère un peu de lumière, jusqu'à ce que sa raison se brise à nouveau sous le coup de son obsession, prisonnier des ténèbres, sous le charme de ses propres chaînes.
occupation diurne.
Dîplomé de Harvard depuis deux ans, le jeune homme est médecin légiste à l'hôpital de la ville. S'il s'occupe des cadavres cela ne représente pas l'ensemble de son travail, il peut intervenir en cas de viols ou d'agressions, ce qu'il apprécie bien moins, le contact avec les autres humains n'étant pas son fort. Il est aussi amené à témoigner au tribunal de temps à autres. En dehors de son travail, il consacre énormement de à la lecture ou à ses délires hallucinatoires, perdu entre sa névrose et le manque quasi-constant qui l'étreint.
manie, habitudes & goût.
› il ne dort presque pas, le jeune homme n'a que trop conscience de ce que la nuit cache et ses songes ne sont pas de bons hôtes, ils le torturent avec une avidité terrfiante, mélange infâme des images de la folie et du suicide de son frère, de cette nuit où pour la première fois il a sentit la morsure de la mort...
› il passe beaucoup de temps à lire, de tout et ni'mporte quoi, rien n'est à jeter pour lui dans la littérature, il s'abreuve de livres autant que de sang. il a un faible pour les ouvrages de philosophie, Nietzsche en tête.
› il a une incroyable resistance à la douleur physique, résultat de quatre années de torture et de mauvais traitements, quatre ans à plier sous les coups et les désirs d'un vampire.
› il a longtemps été accro aux narcotiques et aux anti-dépresseurs, avant que le v-juice ne vienne en prendre la place.
› il parle très peu, que pour l'essentiel à vrai dire.
› il a un important besoin de soumission et de souffrance
› il fait tout le temps craquer les articulations de ses doigts
› il parle plusieurs langues dont le français et le russe.
› il ne s'est jamais vraiment posé de questions sur sa sexualité, il apprécie sans nul doute les courbes d'une femme mais s'est déjà senti attiré par un homme, il se considère commme bisexuel, malgré le peu d'expérience qu'il ait vécu.
› la sensation de l'hémoglobine qui coule dans sa gorge, la volupté de ce liquide tiède qui s'empare de ses sens, de son être, il se damnerait pour un dose, pour quelques gouttes, il venderait son âme s'il pensait en avoir encore une.
› il a toujours des écouteurs lorsqu'il travaille, notamment du vieux blues, du jazz ou du rock, il affectionne particulièrement la voix de billie holiday.
› il déteste le silence, paradoxal quand on sait que la solitude est sa plus fidèle compagne. il aimait le silence, à l'époque où ses cauchemars étaient tenus en laisse par la brume qui obstruait ses souvenirs d'enfance; la vérité c'est qu'il ne supporte plus de n'entendre résonner que ses pensées, le silence est un appât pour sa névrose, une puits sans fond ouvert sur sa démence.
conviction.
la révélation a fait naître chez Dreyen une véritable fascination pour les vampires, lui qui s'y intéressait déjà depuis la mort de son frère. il pense que l'humanité ne se porte pas plus mal de connaître leur existence, que comme pour les mortels, ils sont tous différents, bons comme mauvais. de son point de vue, toutes les races sont capables des pires atrocités, l'humain en tête, et chacune a le droit de vivre, qu'importe ce qui fait sa véritable nature.
signes particuliers.
Il a de nombreuses cicatrices, traces atemporelles des sévices qu'il a subit, hormis ses stigmates, il n'a rien de bien particulier.


Dernière édition par Dreyen Lecter le 1/2/2012, 01:23, édité 16 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime17/1/2012, 23:48

II. A true story




I'M SUFFOCATING, I CAN'T BREATHE
I'm out on the edge and I'm screaming my name like a fool at the top of my lungs, sometimes when I close my eyes I pretend I'm alright but it's never enough cause my echo is the only voice coming back, my shadow is the only friend that I have.
Il se balance dans les ténèbres, la tête dans ses genoux, les joues souillées de larmes, il attend l'inévitable, il va revenir, il revient toujours. Le manque. Ce manque dévastateur, terrifiant, qui fouille jusqu'au plus profond de son être la substance tant désirée. Il le sent qui le dévore, arrache des petites parties de son corps. Il a mal, la douleur est insupportable, il en tremble, il en pleure, et la pénombre est de plus en plus épaisse, l'air de plus en plus saturé. Il sent le manteau de la folie se refermer un peu plus sur lui alors il hurle, à s'en vider les poumons, il y puise le moindre petit atome d'oxygène, il essaie d'extraire la douleur, ce démon avide et sans pitié.

« Dreyen, donne moi la main. » Le petit garçon observait le visage bienveillant de son grand-frère. Il jaugeait son état, il cherchait dans ses traits la moindre trahison de sa maladie. « On n'a pas le droit de sortir. » Un sourire, son aîné lui lança un de ses sourires dont il avait le secret, qui donnait envie de la suivre même au bout du monde. Sept ans de différence, mais qu'importait quand l'amour fraternel n'avait de limite. Dreyen, du haut de ses huit ans, attrapa la main de Louhàn et se laissa embarquer vers l'extérieur, vers cet univers dont leurs parents les privaient, ces parents trop inquiets de l'image qu'on pouvait avoir de leur famille si atypique. Ils exposaient volontiers leur petit dernier, ce petit génie promis à un avenir brillant, à la hauteur de ces ascendants, mais ils cachaient avec honte le fils qu'ils avaient pensé être leur héritier, le futur patron des entreprises familiales. Louhàn, depuis quelques années, avait commencé à développer une des formes les plus inquiétantes de la schizophrénie. Mais Dreyen n'avait pas peur de lui, c'était son grand frère, son modèle, malgré tout. Ils couraient, à travers le parc, à perdre haleine pour rejoindre l'extérieur, pour filer loin de leur prison, loin de cette illusion de bonheur familial, ils n'étaient pas dupes tous les deux, ils savaient bien que dans les déclarations de leurs géniteurs rien ne sonnait très vrai. Louhàn, dans ses crises, n'avait plus aucune attache avec la réalité, plus aucun rapport censé avec ceux qu'il connaissait, il ne répondait plus qu'aux terribles voix qui résonnaient dans sa tête. Ils étaient désormais dans les rues de Cincinnati, ils n'arrêtaient pas de marcher, de lorgner sur les vitrines des magasins, de confiseries pour l'un, de livres pour l'autre. Ils finirent pas pénétrer dans une librairie plutôt lugubre, la main de Dreyen ne lâchait pas celle de Louhàn, ses yeux chocolats balayaient les étagères alors que le visage de son grand-frère, légèrement penché, était orienté vers des sujets sombres, monstrueux, terrifiants. Des murmures extérieurs attaquaient ses pensées. Ses doigts enserraient plus forts ceux de son cadet qui, sous la pression, leva son regard sur lui. Il saisit un des bouquins, le plus jeune parvint à apercevoir le titre, quelque chose comme l'encycopédie des morts-vivants. Ils s'installèrent au fond de la pièce, à même le sol et pendant un long moment ils épluchèrent tout ce qu'ils trouvèrent sur le sujet avec une curiosité morbide. Ils étaient hors du temps, relation privilégiée entre deux frères que tout oppose. L'après-midi passa sans qu'ils ne s'en rendent compte, les voix dans le crâne de Louhàn se faisaient de plus en plus fortes, de plus en plus pressantes. Il offrit un des livres à Dreyen et se précipita vers la sortie, les discours qui hantaient son esprit lui intimaient de se méfier du coucher du soleil, que ce qu'il avait vu dans les pages jaunies allait venir le chercher. Sa paranoïa s'amplifiaient alors qu'ils étaient sur le chemin du retour, chaque ombre, chaque bruit, le faisait paniquer. Ils bordaient la voix ferrée quand Louhàn le lâcha pour se tenir le crâne, boucher ses oreilles de ses paumes. Dreyen ne savait pas quoi faire, il le regardait, incapable de bouger, se sentant terriblement inutile à contempler ainsi la démence de son frère. La rumeur lointaine d'un train à l'approche fit trembler légèrement le sol, les graviers semblaient frétiller alors que le bruit se faisait de plus en plus fort. Le train allait arriver à leur niveau, un regard furtif, intense, entre les deux garçons, un dernier échange avant que Louhàn ne se jette sur les rails. Dreyen était resté là des heures, immobile, le livre serré contre son torse, à regarder le sang se répandre sur les pierres, le corps de son grand frère déchiqueté sous la lumière sinistre des lampadaires. La douleur de sa mort s'infiltrait doucement dans ses veines comme un poison, il se figurait que ce n'était qu'un cauchemar, que la vision allait s'atténuer puis s'éteindre, qu'il allait se réveiller et descendre manger le petit-dejeuner qu'aura préparer la gouvernante. Il allait commencer à déguster des pancakes et Louhàn arriverait avec son sourire habituel, harassé par les médicaments et par sa folie. Mais tout était vrai, terriblement réel. Il était plus seul que jamais.

L'odeur du sang lui chatouille les narines, il la sent qui pénètre ses sens. Il a besoin du v, un besoin viscéral qui s'agrippe à ses entrailles et déchirent ses moindres résistances. Il serre tellement ses poings que les jointures en sont blanches, que ses ongles écorchent sa peau. Son poing s'abat sur le mur, ses phalanges craquent, il frappe à nouveau, encore et encore, la douleur phsyique étouffe le manque, juste quelques secondes, au moins quelques instants. Le sang coule le long de sa main, de son bras, et il contemple le liquide rougeâtre, cet extrait de vie qui quitte son corps.

Des pages se tournaient, c'était le seul bruit qui résonnait dans la bibliothèque. Le jeune homme était plongé dans des articles sur les vampires, depuis la révélation, la fascination qu'il avait pour ces créatures depuis son enfance s'était démultipliée, le livre que son frère lui avait offert trônait sur le tas qui les concernait dans son appartement, annoté de toute part. La bibliothèque d'Harvard comprenait beaucoup de bouquins sur le sujet, plus encore depuis les derniers mois. Il entendit des pas s'approcher auxquels il ne porta pas d'importance jusqu'à ce que... « Qu'est-ce que tu fais le génie, tu sais que c'est ton anniversaire aujourd'hui ? » lança une jeune femme aux longs cheveux bruns, séduisante, un sourire enjôleur accroché au visage. Dreyen déglutit. Il ne comprenait pas pourquoi cette fille s'intéressait à lui, il ne comprenait pas pourquoi les autres prenaient même la peine de le regarder. Il cacha maladroitement ses recherches sous ses cours de génétique. « 20 ans ça se fête Dreyen, allez viens avec moi. » Il fit un signe négatif de la tête. « J'ai... j'ai encore beaucoup de travail. » En un sens, il ne mentait pas, il avait encore beaucoup à faire pour satisfaire sa curiosité, il était insatiable, une des raisons son intelligence sans aucun doute. Vingt ans, et il écrivait son doctorat au sein de la plus grande des universités. Le génie de la famille Lecter exauçait les voeux de ses chers parents. Mais était-ce vraiment son désir ? Voulait-il vraiment être ce que les autres voulaient qu'il soit ? Ne crevait-il pas chaque jour un peu plus de se nourrir d'une vie qui n'était pas le sienne ? Elle le couve du regard, Olivia, trop belle Olivia, avec ses lèvres fines, ses yeux caramel et cette si jolie fossette. Il se surprit à sourire en la contemplant. Il voudrait tendre la main, saisir l'impossible du bout de ses doigts, frôler cette peau claire, s'abreuver d'un simple baiser, connaître enfin les voluptés du plaisir... mais la vérité c'est qu'il n'a pas le coeur à ça, pas l'coeur à grand chose. Il mordit sa lèvre inférieure, baissa ses iris sur les notes illisibles qui s'étalaient sur sa table. Il allait ouvrir la bouche quand la jeune femme rassembla les papiers et les bouquins, ne lui laissant guère le choix. Elle glissa le tout dans la sac de Dreyen et attrapa sa main. « Ce n'était pas une question, tu viens. » ajouta-t-elle d'un ton rieur. Moins d'une heure plus tard ils étaient tous les deux accoudés au comptoir d'un club branché de la ville, certainement pas le genre d'endroit où il serait entré sans Olivia à son bras. Si les narcotiques et les antidépresseurs faisaient partie de son quotidien, l'alcool, ce délicieux nectar, était tout nouveau pour lui. Il sentait le liquide ambré du whisky couler dans sa gorge, il ferma les yeux un instant. Passé la première sensation, il trouva ça agréable, il en oubliait le malaise de se retrouver au milieu de la multitude, il avait l'impression que le monde entier était à portée de main... mais lorsque les premiers effets se volatilisèrent ils laissèrent place à un poids douloureux qui lestait son estomac, des vertiges le gagnèrent, des picotements naquirent sous ses ongles. Il s'excusa auprès d'Olivia, prétextant une envie soudaine d'aller aux toilettes, avant qu'il ne s'éloigne elle le saisit par le bras afin qu'il fit volte-face et qu'elle puisse l'embrasser. Le contact humain dont il se gardait tant rendu furtivement réel l'espace de quelques secondes; il resta de glace, le petit génie n'avait pas la moindre idée de ce qu'il devait faire, il attendit que le goût sucré de ces lèvres si douces se détache de lui et n'osant pas même poser le regard sur elle il se précipita vers l'extérieur. Alors qu'il allait sortir, il jeta un dernier coup d'oeil à la foule, il aurait juré l'apercevoir, une déception non feinte peinte sur son visage. Les rues étaient désertes, pour ne pas déranger le voisinage, le club était implanté à l'écart des habitations, dans une zone industrielle dont les recoins paraissaient de véritables cavernes où la nuit habitait pendant le jour. Il réajusta son sac sur son épaule et, ayant pris une grande inspiration, s'avança dans les ténèbres. Il sortit un tube de sa poche dont il tira deux cachets qu'il se précipita d'avaler, infime soulagement destiné à endormir ses traumatismes, à fondre l'image de son frère dans sa mémoire. Ce frère qu'il aimait tant, qui a hanté ses nuits pendant des mois après sa mort, dans des songes teintés de sang et ses parents l'avaient assommé de thérapies, jusqu'à ce qu'il parte pour Harvard. Un craquement déchira le silence lourd de la nuit. Dreyen s'immobilisa, tendit l'oreille. Ce fut bref, instantané, l'ombre sortit de la pénombre et le plaqua contre le mur. Il sut, il sut à l'instant exact son dos heurta la paroi que la chose qui était entrain de l'agresser était l'objet même de toutes ses recherches. Il n'était désormais rien de plus qu'une poupée de chiffon entre les mains puissantes d'un marionnettiste sadique. Il sentit les crocs déchirer sa chair, son sang quitter lentement ses veines, la vie glisser en dehors de son corps. Il s'agrippa aux épaules du vampire, ses jambes ne le tenaient plus. Il sentait le liquide rougeâtre couler le long de son cou et s'infiltrer sous ses vêtements, sa respiration ralentissait à mesure que les forces l'abandonnaient. La douleur, fulgurante, avait laissé place à une longue agonie. Alors, dans les limbes de sa souffrance il aperçut un visage familier, défiguré mais familier. Rouge sang, la vision de ce frère étendu sur un sol de graviers souillés. Il se voyait lui tendre la main, esquisser un geste, n'importe quoi, mais il restait spectateur de la terreur, spectateur de la mort de Louhàn comme il était désormais spectateur de la sienne. Par terre, éparpillées, toutes ses recherches imbibées d'eau et d'hémoglobine. Il pleurait, des larmes chaudes terrassaient ses joues mais il serrait les dents, il ne voulait pas crier, ne pas ajouter au plaisir du monstre qui le dévorait. Il se croyait mort, il se réveilla pourtant sur le bitume détrempé le lendemain matin.

Dreyen plonge sa main ensanglantée dans sa poche, il en ressort un tube. Il l'observe de ses yeux fiévreux, il déglutit puis se mord la lèvre inférieure. Il ne peut pas résister, il n'en a pas la force, il n'en a pas l'envie, il veut sa dose, il la désire plus que n'importe quoi à cet instant, il est capable de tout pour obtenir du v-juice. Ces espoirs sont vains, il se ne délestera jamais de sa dépendance. Il porte la fiole à sa bouche, le sang vampirique s'écoule dans sa gorge, flambée de bien-être, il sourit malgré lui. Pourtant il se sent si faible, si vulnérable, si terriblement lui.

La Louisiane, il n'y aurait jamais pensé, ça ne lui serait jamais venu à l'esprit, mais il avait suivit son vampire, succombant aux plus féroces délices de sa condition. Il n'avait plus de contact avec ses parents, mais au fond, avaient-ils seulement été une famille, rien qu'une fois ? Il se fichait de les décevoir, de les imaginer morts de honte quand on leur demandait ce qu'était devenu leur prodige, il se régalait même de les savoir chercher des bonnes excuses pour expliquer le petit Dreyen cotoyait les cadavres au lieu de sauver des vies. Médecin légiste, point culminant de sa fascination sordide pour la mort. Il avait flirter avec elle de si prêt, elle le suivait comme son ombre et il adorait ça. Il remplissait quelques papiers quand son regard glissa sur ses cicatrices, sur ses avants-bras écorchés, son corps était marqué à jamais par le passage de vampire dont il était devenu le calice, la réserve de sang, la chose. Cette créature qui avait pris plaisir à le torturer, à le lacerer et attendre que les balafres deviennent éternelles avant d'abreuver à son tour le jeune homme de son sang. Un sang auquel Dreyen avait goûté trop vite, auquel il s'était accroché, à en perdre la raison, à tomber jusqu'aux limites de ses vices et même au delà. Son vampire avait brisé les frontières de sa raison, écartelé ses derniers ramparts, le moindre contact avec la réalité, quatre ans d'un calvaire dont il ne sera jamais totalement lavé. Le bourreau était mort, mais il avait creusé trop profondément, avec trop d'avidité, pour que Dreyen espère retrouver un semblant de vie normale... de toute façon, qu'était-ce la normalité, dans un monde où immortels, métamorphes, sorciers et autres loups-garous se cotoyaient, où les humains n'avaient que la senteur du gibier et la détermination ridicule de penser qu'ils pourraient survivre, en fin de compte. Il avait les yeux bruns, les nuances claires s'étaient envolées, il regardait le monde d'un oeil sombre, rendu noir par la souffrance et la dilatation de ses pupilles quasi-permanente. Il aurait du se sentir libre, ça aurait du un goût exceptionnel la liberté, sauf qu'il n'y trouvait aucune saveur, rien qu'un profond vide, terrible, il avait besoin d'être contrôlé, il recherchait la douleur, elle seule le faisait se sentir en vie, il en redemandait, il était resté sous le joug de fausses promesses, il aimait ça, il avait appris à aimer ça et il n'avait plus la force d'y renoncer, tout son corps appelait cette torture. Le sang de vampire, ses propres maux, il en avait besoin, il n'avait besoin que de ça, ça et la sensation d'un pouvoir au dessus de sa tête, d'une force supérieure. Alors il avait essayé, et il essayait encore. Alessandro. Visage aux traits séraphiques pour une créature de la nuit, immortel désiré et désirable, il voulait le convaincre de faire de lui son calice, son marqué. Des efforts vains, mais tout son être criait aux supplices perdus.



Dernière édition par Dreyen Lecter le 1/2/2012, 01:29, édité 52 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime17/1/2012, 23:58

*regarde intensément le gif choisi pour la fiche*

...

Doit-on en conclure que tu vas nous faire un métamorphe arachnéen ?!

Ouais, c'est assez ignoble comme concept, mais je trouve ça tellement classe Cool

Bienvenue sur le forum Dude !
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 00:05

Un métamorphe tarentule, c'est un peu comme Kiara juste avant qu'elle fasse son épilation hebdomadaire non?

Welcome & bon courage pour la fiche! :D
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 01:12

Bienvenue parmi nous ! Mention spéciale pour les citations du profil, de la fiche et de la signature. Bonne rédaction, j'ai hâte de voir ça. Wink
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 16:01

Haha non pas d'araignée, Dreyen est un humain accroc au V tout ce qu'il y a de plus normal... :62:

Duncan, merci pour le compliment et puis Fassbender, quel choix heart

Merci tous les trois pour l'accueil :74: :93:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 16:04

Bienvenue parmi nous :)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 18:47

Bienvenue parmi nous, petite chose fragile Razz
Merci de tes compliments, on fait ce qu'on peut hein.. Ravie que ça t'ai plu en tous cas et que le personnage de Dreyen t'ai attiré!

Bonne chance pour ta fiche, si tu as la moindre question n'hésite pas à contacter Alessandro (si ça concerne le personnage en lui-même, pour tout le reste tu peux t'adresser à moi ^^ Ne t'étonne pas si elle ne répond pas immédiatement, la cruelle loi des examens..)
Au plaisir de te valider sous peu! :015/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 20:03

Bienvenue heart
Merci pour les compliments.

Hey, je répond rapidement, et c'est pas les exams qui provoquent mes absences en ce moment mais un nouveau job! (champagne s'il vous plait lol)

Bon plus sérieusement, je suis très heureuse que tu ai choisis ce pv qui à mon sens est très intéressant, j'ai hâte de voir ce que ta fiche va donner!

LOL pour le métamorphe arachnéen, je trouve l'idée géniale pour ma part.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 21:27

Je trouvais aussi l'idée de l'araignée-garou très bonne (j'ai voulu faire ça ailleurs mais... pas vraiment eu le temps de développer, le forum s'est tari. T.T) !

Enfin bon, un humain, c'est pas moins bien. =) Vivement !
Revenir en haut Aller en bas
 
Lucian A. Corleone
 
SECRET DE CONFESSION
you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno3_250

SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville.
HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort.
OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle.
SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys

you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Tumblr_lxp2oqgn0n1qggrzno7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen
MISSIVES : 8449
ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr

I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
 
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 21:38

Attend le perso de Dreyen, il est vraiment cool lol. J'adore ce genre de personnage torturé!
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 21:45

Je dois avouer ne pas avoir lu le PV. xD
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime18/1/2012, 22:09

BIENNNNNNNNNNNNNNNNNNNVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE *sort les tambours, les pompoms girls*
courage pour la fichette !

Et tsss... vous avez vraiment des idées... x_x...
XD

j'avoue aimé aussi ce pv *-* ce serait cool que tu sois notre dreyen définitif \o/
le dernier dreyen en jeu... et le seul en fait ayant passé l'étape fiche Oo... je l'ai fracassé par terre *-* parce que... parce que... ON TOUCHE PAS A MON FREROOOOT *hurle et casse tout* ... *attrape aless et l'embarque*

*sort*

Hâte de voir la suite en tout cas Razz
et... je suis... trop fana de ta signature ^^
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime19/1/2012, 19:17

Mdrr euh on oublie l'idée du métamorphe araignée, merciiiii =D
( moi, détester ces bestioles? Mais non...)

MDR Lorenzo TU SORS! Avec moi tiens! *le tire par la peau du cou dans un coin sombre* (a)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime19/1/2012, 22:59

Bienvenuuuuuuuuuuuuuu !

*entend Lorenzo crier qu'on touche pas à son frère. Hausse un sourcil. Se rapproche discrètement d'Aless* "piout!" *Touche l'épaule de son sire avec le doigt et attend la réaction de Lorenzo*
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime20/1/2012, 19:28

Moi je veux bien marchander avec toi, petit humain. :014/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime20/1/2012, 22:04

Sinon tant que j'y pense, ce serait bien de mettre l'état d'avancement de ta fiche dans le titre "en cours" ou "terminé" histoire qu'on sache où tu en es et que tu n'attendes pas trois semaines pour ta validation x) Parce qu'on ne peut pas tout surveiller...Merci d'avance ^^
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 01:21

Amelia; merci heart

Aleksandr; Ian Ian Ian Ian Ian Ian, épouse moi :74: :baise:
J'ai changé pour le titre. Et merci pour l'accueil :54:

Alessandro; Félicitations pour ton job alors :028/: ça en fait un qui arrive à en trouver :038/: XD
Merci, j'espère assurer pour le pv. :64:

Lorenzo; waaah plaque-moi sur le sol oui :93: :sort:
Merci pour la signature et pour l'accueil :040/:

Ariel; merci :004/:
T'as touché Aless :shock: (retient son souffle :72: )

Camille; oh jolie vampire :70: où tu veux, quand tu veux :036/:



notabene: je m'excuse de faire durer l'écriture de ma fiche, j'ai un peu le moral dans les chaussettes ces derniers jours -réaction post-exam sans doute :85: -mais je n'abandonne pas, je m'y mets au plus tôt :028/:

Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 01:25

Pauvre Dreyen :023/:

Au pire, flood un bon coup avec nous et ça te remettra d'aplomb crois moi :021/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 01:26

Bah oui j'le touche Rolling Eyes C'est mon sire, tu vois ? Comme un grand frère. Un grand frère qui s'habille bizarrement, mais un grand frère quand même...j'fais avec. Et puis regarde. J'peux même lui toucher les cheveux si j'ai envie *attrape une mèche* le décoiffer aussi *ébouriffe* J'peux lui grimper dessus *monte sur son dos* pincer ses joues...et tout et tout. Il est très malléable, tu sais ?
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 01:33

Courage, c'est toujours un peu dur le contrecoup du stress. Pense à l'après-fiche, tu vas pouvoir venir flooder comme pas permis avec nous, tout ça... Et lancer ton super perso ! Même que t'auras plein de demandes de liens direct la fiche adéquate ouverte aux propositions ! Puis regarde moi ça le design de folie qu'Eden nous a pondu là...

Allez, je suis avec toi, je t'attends sur la ligne d'arrivée avec un bonne bouteille ! :56:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 02:03

Ariel. Stop. T'es pas crédible. :69:

Allez courage Spiderman, tu vas y arriver! :56: :56: :56: :56: :56:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime23/1/2012, 09:55

*se retourne* ... *regarde ariel*
AAAAAAAAAAAAAAAAAhahahahahah.
ouais ouais tu peux le toucher, tu peux le pincer. mais... MAIS ! AHAHAHAH espèce de frustrée va. frustrée ! frustrée ! frustrée ! *scande*
*s'en va tout content*

Ouh petit coquinou. Fais gaffe, si j'te plaque... Jte mords Cool
XD


Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime24/1/2012, 13:45

OH LE PETIT LECTER !!

Bienvenue sur le fo', bonne chance pour ta fiche ! =D
Revenir en haut Aller en bas
 
 
 
Contenu sponsorisé



you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Empty
MessageSujet: Re: you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)   you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

you don't care how it hurts △ dreyen” (terminée)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

-
» A.R. Rosenwald - I don't care if it hurts I want to have control
» Jonah Montgomery | It Hurts So Good [Terminé]
» Dreyen Lecter
» [terminé] Take care, you're followed by the falcon
» Cassandre A. Roseburn « I don't care, I'm still free »

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DRAG ME TO HELL ::  :: Never Forget :: Archives fiches de présentation-