➽ Date et lieu de naissance. Le 1er juillet 1987 à Moscou ➽ Nationalité. Russe ➽ votre forme animale. En loup gris ➽ date de la trasformation. Lorsqu’il avait 13 ans, il s’est fait contaminé par un lycanthrope. ➽ type de métamorphe. hybride. ➽ camp. Solitaire sans clan ➽ état civil. célibataire ➽ lieu d'habitation. Southampton. ➽ métier. Tatoueur au Rose’s Tattoos ➽ étiquette qui vous est collé. Anton est considéré comme quelqu’un de gentil mais en qui on ne peut que placer une confiance limitée, car il a la fâcheuse tendance à n’en faire constamment qu’à sa tête
I. I want know who you are
traits de caractère.
Solitaire. Il aime être seul, se débrouiller par lui-même, ne compter sur personne. Il n’arrive jamais à faire complètement confiance aux autres, il faut toujours qu’il fasse les choses pour être certain qu’elles soient bien faites. Il n’est pas méchant mais au fond, il éprouve une certaine haine et une certaine peur vis à vis des vampires. Et il n’aime pas les humains, il les trouve vils et plein de duplicité. C’est un fêtard plutôt amical et sociable, mais qui ne montre jamais qui il est vraiment. Il est passionné par la lecture et est très cultivé malgré son niveau sur l’échelle sociale. Il aime également faire chier les gens. Il aime fasciner et être fasciné, mais étrangement il n’est jamais vraiment à l’aise dans une foule. Il préfère de loin le calme des forêts sombres… Ce n’est pas un manipulateur, il est toujours sincère dans ses mots et dans ses actes, il déteste la lâcheté, la vilénie et à un code de l’honneur très strict. Il s’énerve facilement et est également un brin bagarreur mais il évitera toujours de créer des embrouilles, tant que cela lui sera possible. Il n’est pas très patient même s’il essaye de faire des efforts à ce sujet. Et pour tout le reste, venez donc le découvrir par vous-même…
occupation diurne.
Depuis qu'il est arrivé, Anton s'est trouvé un emploi en tant que tatoueur, en effet c'est avant tout un artiste dans l'âme qui adore le dessin. Il aime beaucoup ce qu'il fait et se montre même assez doué.
manie, habitudes & goût.
Lorsqu'il est stressé Anton a pour habitude de se mordiller les lèvres, de jouer avec le briquet qu'il a constamment dans la poche ou alors de pincer entre ses dents la chaine qu'il a autour du cou et dont il ne se sépare quasiment jamais. Il a la mauvaise manie de prendre tout ce qui lui arrive au second degrés, il n'arrive pas vraiment à s'impliquer dans des choses sérieuses, cela lui fait un peu peur, même s'il sait être clean lorsqu'il le faut, il préfère de loin être considéré comme le dernier des débauchés coureurs de jupons plutôt que comme un honnête et sérieux homme.
transformation.
Ayant été mordu par un lycan, il en est à son tour devenu un, aussi la forme animale qu'il adopte est celle d'un joli loup gris au poil ébourriffé, quelque peu maigrichon. Il ne fait cependant partie d'aucune meute et n'en ressent ni l'envie ni même le besoin, il aime sa solitude et refuse de se soumettre à un quelconque ulfric, même s'il respecte bien sur l'autorité de ces derniers lorsqu'il en croise...
conviction.
Je préférais la vie que je menais avant que la Révélation ne vienne tout bouleverser. Faire découvrir ce monde aux humains est une folie, il suffit de voir comment ils ont réagi. Nous n’avons réussi qu’à nous attirer des ennemis en plus. Le temps où il suffisait de se cacher d’eux est révolu, à présent, ils savent que nous existons et cherche à nous tuer dès qu’ils le peuvent ! La révélation a vraiment tout gâché.
signes particuliers.
Anton a un tatouage sur son avant bras gauche, il y est écrit en russe : je suis un Homme => Я - Человек, avec deux masques très simples, l'un joyeux, l'autre triste. Sinon, il possède une cicatrice sur le flanc droit, la belle morsure qui lui valut de devenir un loup, ainsi que la cicatrice d'une balle en argent sur l'une de ses épaules. Il a également une balafre datant de lorsqu'il vivait à Moscou, causée lors d'un duel avec Aleksandr dont il n'est sorti vivant que grâce à l'intervention de son Ulfric. Plus récemment, il a une brûlure large de 2 ou 3 centimètres tout autour de son cou et des traces profondes autour des poignets dues à un collier en argent et à des chaines de la même matière... (ouai il commence à être cabossé de partout, c'est pas facile la vie d'un soumis *out*)
II. A true story
Option 2: la version anecdotique
(c)Applestorm
La bohème, la bohème Ça voulait dire on est heureux La bohème, la bohème Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Un caillou jeté après la fenêtre détourna l’attention du petit garçon. Il releva les yeux du livre de lecture que sa mère était en train de lui faire lire alors qu’un sourire se peignait soudain sur ses lèvres. « Anton ! Anton ! Le cirque est arrivé ! » Cria une voix derrière la porte et l’enfant fut aussitôt sur ses pieds, l’excitation le gagnant entièrement. Il attendait cet instant depuis plusieurs jours déjà. Les yeux pétillants il se tourna vers sa mère qui, assise à côté de lui, avait gardé le silence. Elle hocha doucement la tête avec un sourire attendri, lui donnant ainsi l’autorisation de stopper là la leçon qu’ils avaient commencé pour pouvoir sortir dehors. Anton se dépêcha alors d’enfiler son manteau de laine, sa paire de gants et s’expulsa littéralement de la caravane, retrouvant ainsi Sasha, son meilleur ami, qui s’apprêtait à lancer un autre caillou après la fenêtre. Il neigeait, un nuage de buée se forma avec sa respiration et le froid le saisit aussitôt, mais il avait l’habitude. Il faisait rarement très chaud à Moscou. Et dans le camp de gitans où il vivait avec sa mère, il y avait toujours quelqu’un trop faible pour mourir en hiver. « Qu’est ce que tu fichais ? » Demanda Sasha alors qu’ils partaient déjà tous les deux en courant rejoindre le reste des enfants. « Maman m’apprenait à lire » Marmonna Anton. Sasha lui avait toujours dit qu’il considérait la lecture comme une chose totalement inutile. Au camp presque personne ne savait lire, sauf sa mère et quelques vieilles personnes. Alors pour sa part, l’enfant était heureux de pouvoir s’initier à ce savoir, pouvoir déchiffrer les étranges dessins, les lettres qui auparavant n’avaient aucune signification. Et il savait au fond que son ami était jaloux, même s’il ne l’avouait pas. Sasha eut d’ailleurs un petit rire moqueur. « Mais ça sert à rien ça ! » Anton sourit. « Je ne trouve pas moi. » Ils continuèrent de courir à travers les petits chemins boueux formés entre les diverses caravanes et quelques minutes plus tard ils étaient dans la rue. Cinq autres enfants les attendaient et crièrent leurs prénoms en les voyant arriver, leur donnant ensuite quelques tapes amicales dans le dos, se chamaillant avec gaieté. Et toute la petite troupe repartie en courant dans les rues de Moscou… A sa droite, Sasha se faufila derrière un étalage de croissants encore chaud et il en vit quatre disparaître rapidement dans les larges manches de son manteau tandis que de son côté, Anton volait quelques sachets de fruits secs. Ils couraient déjà à l’autre bout du marché lorsque les cris des marchands commencèrent à se faire entendre et ils partirent en éclats de rire. Le cirque s’installait une fois par an et durant un mois à l’est de la ville, sur un grand terrain vague. Pour les enfants des gitans qui avaient rarement de quoi se payer des distractions, c’était le mois le plus joyeux. Ils pouvaient en effet sans aucun mal entrer à la sauvette et se cacher sous les bancs pour admirer le spectacle, ou encore grimper par dessus les grilles pour pouvoir aller voir les animaux sauvages dans les immenses cages. Pour l’heure néanmoins, ils n’étaient venus que pour observer les artistes monter le chapiteau, déballer les stands, tendre les gigantesques toiles dans un concert de cris et d’ordres, de geignements et de bruits d’animaux. Ils admirèrent cela la bouche grande ouverte et les yeux pleins d’étoiles, ayant déjà hâte de revenir le lendemain pour pouvoir voir les clowns et les acrobates. Ceux que Anton préférait, c’étaient les jongleurs, si habiles avec leurs doigts, si rapides lorsqu’ils jouaient avec des torches enflammées... Ils passèrent ensuite le reste de l’après midi à faire une bataille de boule de neige, finissant trempés et ankylosés, les cheveux pleins de flocons mais riant toujours avec l’insouciance de l’enfance. Ils mangèrent la nourriture qu’ils avaient tous volé sur le marché, se roulèrent dans la boue et finirent par faire la course pour rentrer au campement. Aux cris des marchands outragés d’avoir été volé succédèrent les cris des parents qui récupéraient leurs enfants on ne peut plus sales et bons à essorés.
Dans la chaleur des nuits de pleine lune, insomnies envoûtantes, sous le regard des chiens qui dorment à moitié, Les femmes se font vamps, les hommes se font loups, Chacun sa chacune et chacun son rendez-vous, A l'heure ou l'ont ose révéler sa face cachée , aux beautés indomptées...
Caché sous le lit, dans le noir. La respiration hachée. Une peur qui noue le ventre, qui fait couler dans le dos un frisson glacé. Ne pas faire de bruit, ne pas faire de bruit… Il y a un animal à l’extérieur qui tourne autour de la caravane, qui renifle et gratte. Un loup au pelage d’encre aussi sombre que la nuit. Du sang, du sang, une odeur de sang qui donne la nausée. Garder les yeux fermés…respirer… Un fracas soudain, la porte de la caravane vole en éclat et un grondement se fait entendre. Fuir. Il faut fuir ! Mené par un quelconque instinct de survie Anton se faufila hors de sa cachette et se jeta hors de la caravane, hurlant comme un dément alors que le loup se mettait à sa poursuite. Il fut alors violement percuté par une masse de poils, une douleur fulgurante remonta le long de sa colonne vertébrale et il s’effondra au sol, perdant connaissance au moment où sa tête percutait la terre molle.
Anton traversa le camp vide avec l’impression d’arpenter un cimetière. De temps à autre il apercevait au sol une flaque rouge sombre, là où un cadavre avait reposé une semaine plus tôt. Dont ceux de sa mère et Sasha. Il avait survécu, lui et quelques rares autres gitans, mais ces derniers avaient alors désertés le camp, s’enfuyant ailleurs… L’animal lui avait mordu la hanche avant de prendre la fuite pour une raison qu’il ignorait. On l’avait soigné, mais chaque pas était un calvaire. Une douleur brûlante dans tout son corps, comme s’il avait de la fièvre. Pourtant il ne toussait pas, il n’avait même pas mal à la gorge… Il se sentait juste…mal. Comme si quelque chose couvait en lui. Il n’arrivait pas à trouver l’explication, il avait tellement faim… Il entra dans sa caravane où toutes ses affaires avaient été saccagées et il s’enroula dans une couverture avant de s’endormir… « Réveille toi. » Quelqu’un le secouait. Il entrouvrit les paupières, distinguant la silhouette d’un homme. C’était un ordre, il ouvrit donc complètement les yeux. Comment ? Pourquoi… ? Il n’y avait personne lorsqu’il s’était endormi, personne ne pouvait savoir qu’il y avait encore quelqu’un de vivant dans ce camp. Il avait du mal à garder sa concentration, pourtant, même s’il n’aurait sut dire pour quelle raison exactement, la présence de cet homme l’intimidait. Ce dernier s’accroupit pour se mettre à sa hauteur et lui souleva doucement le menton, le regardant droit dans les yeux. « Je suis venu te chercher. Je vais m’occuper de toi, maintenant. Je m’appelle Constantin. Quel est ton nom ? » L’homme parlait doucement pour être sur de se faire comprendre, articulant chaque syllabe en prenant une intonation neutre, sans aucune agressivité. « Anton. » Lui répondit-il alors qu’on l’aidait à se relever. « Tu vas me suivre, Anton. Je vais tout t’expliquer… » La première transformation fut sans doute la pire. La plus douloureuse, la plus déstabilisante… Mais on l’avait averti. Constantin était là, le reste de la meute également. Ils avaient couru dans la nuit à la poursuite d’un cerf noir, ils avaient chanté à l’unisson sous la lune ronde et généreuse…
(c)Applestorm
J'ai saigné longtemps, perdu beaucoup d'sang Le seul liquide qui coule encore vivant, bleu, il est bleu C'est de l'encre, de l'encre Alors je dessine et dessine jusqu'à la prochaine feuille Même si y'à qu'des cercueils...
Il était tard dans les rues, il n’y avait plus un chat, à part ces deux ombres adossées à un mur dont la conversation n’était qu’un chuchotement… « Je ne vois pas ce que tu veux dire... » Murmura Anton. Il avait la gorge nouée et le regard brillant, se retenant de pleurer. Il avait eut dix huit ans la veille et Constantin, son ulfric, avait insisté pour lui parler seul à seul… « Tu vois très bien… Anton… je te considère comme mon propre fils mais… Tu remets de plus en plus mes ordres en question. C’est un comportement que je ne peux plus tolérer. » Hin ? Le jeune homme baissa les yeux sous le poids du regard que Constantin lui adressait. Il sentait toute sa puissance, toute sa force, sa dominance. C’est lui qui l’avait élevé et il le respectait, alors pourquoi… voulait-il qu’il quitte la meute ? « Je veux que tu partes. Avant qu’un défi quelconque n’éclate, pars. Ton départ apaisera les tensions... » Son cœur se serra. Il pensait donc qu’il avait l’intention de le défier, bientôt ? Mais c’était faux. Il se trompait de loup, ce n’était pas lui ! C’était Nikolaï, Nikolaï le second qui voulait sa place…Anton le savait… Néanmoins il garda le silence, ne bougeant pas d’un millimètre, ne sachant pas vraiment comment réagir face à la situation. Il s’était si facilement intégré à la meute, c’était sa famille, depuis qu’il avait treize ans, depuis le jour où il était devenu l’un d’eux… Et voilà qu’à présent on lui demandait de partir, alors que c’était Constantin lui-même qui était venu le chercher… « Je… où veux-tu que j’aille ?... » « Peu importe. » Anton releva les yeux et croisa ceux de son chef de meute. Une colère sourde monta en lui. C’était injuste ! Il n’avait rien, nulle part où aller, il n'avait pas suivit d'études et ne savait rien faire à part dessiner… Il avait envie de lui bondir dessus, de lui déchirer la gorge. Il retroussa légèrement les lèvres sans même s’en rendre compte, à la manière d’un loup… Mais ce fut le geste de trop. Constantin l’attrapa par le col et le jeta violement au sol, loin de l’endroit où il se trouvait. « J’ai dit pars, traître ! Ne remets plus les pieds sur ce territoire, où je te tue. » Anton écarquilla un peu les yeux avant de se relever, non sans mal, haletant et choqué. Puis il se détourna de son ancien ulfric et partit en courant dans la nuit, essayant de contenir la douleur qui soudain lui coupait le souffle. A partir de maintenant, il serait un loup libre et sans meute, un loup sans attache, un solitaire sans clan.
J'ai parsemé, j'ai déposé, des graines d'étoiles opales sur ton chemin j'ai parsemé, j'ai déposé, des graines d'étoiles opales sur ton chemin, le long de tes reins...
« Tu ne sais pas lire ? » Anton releva les yeux du journal. Allongé sur le lit, il observait les images et essayait de déchiffrer. Sa mère lui avait pourtant appris… mais après sa transformation, on ne lui avait jamais offert l’occasion de mettre ses talents en pratique. On l’avait confiné au rôle de vendeur de drogue, et on lui avait interdit de trop s’approcher des humains. Ainsi donc, si avant il n’avait put aller à l’école par manque de moyen, après être devenu un loup il n’avait pas non plus put y aller à cause de sa nouvelle nature…Néanmoins, Ce genre de chose pouvait vraiment s’oublier ? Anton n’y croyait pas. Il était certain qu’un jour ou l’autre, à force d’essayer de lire ce qu’il y avait écrit sur ces feuilles grises, tout deviendrait clair. A présent il fixait son client d’un air idiot, ne sachant pas quoi répondre. Il avait honte d’avouer son illettrisme… « Et ben…si, bien sur que si… » Lâcha t’il alors que ses joues rosissaient. Son client eut un sourire attendri et il passa ses doigts dans ses cheveux avant d’approcher son visage du sien pour l’embrasser. Anton se laissa faire. C’était son boulot, après tout. Le seul qu’il avait trouvé, après avoir quitté la meute. Il avait été jusqu’à Perm, s’était présenté à l’alpha et ce dernier lui avait proposé ce travail… Au début, il avait refusé. Il était hors de question pour lui de s’abaisser à ça…offrir son corps en échange d’argent, c’était humiliant. Mais au bout d’un moment, il avait eut trop faim… « Je pourrais t’apprendre… » Murmura Samuel d’une voix suave alors qu’il mordillait sa gorge. Des frissons parcoururent le corps d’Anton et un soupire de désir s’évapora dans l’air. « En échange de… toi. Je pourrais t’aider à apprendre à lire. » Le loup eut un léger mouvement de recul. Il détestait ça… il détestait s’offrir à des gens qui payaient pour l’avoir, comme on payerait pour avoir à ses pieds un vulgaire chien. « Mais je sais lire… » Marmonna t’il. Haussant les sourcils, Samuel s’écarta et prit le journal pour le déposer sous le nez d’Anton. « Depuis le temps que je t’apporte le journal à chacune de nos nuits, j’ai bien remarqué que tu te contentais de regarder les images hin, je suis pas idiot. Lis moi ça, puisque tu prétends que tu peux le faire. » Il lui désigna une ligne et Anton se pencha dessus, ses yeux fixant le tracé précis de chacune des lettres… Se concentrer. C’était la clé. Pour pouvoir se rappeler les sens… Pourtant il eut beau y mettre toute sa bonne volonté, dix minutes passèrent sans qu’il ne puisse lire ce qui était écrit, et de rage il se mordit la lèvre inférieure… Samuel eut un sourire de triomphe alors qu’il passait ses bras autour de ses hanches pour attirer son corps contre le sien. « Donc… je disais que si tu voulais, je peux t’apprendre… » Ses lèvres accrochèrent à nouveau les siennes dans un long baiser langoureux, puis : « Regarde…le russe c’est inspiré de l’alphabet grec, c’est une écriture très simple à apprendre, tu vas voir. Ça c’est б minuscule, Б pour les majuscules, ça là c’est ж. » Anton observa le doigt du jeune homme parcourir la page, fasciné par ce qu’il disait. Après tout, peut-être qu’en réapprenant à lire, il pourrait se sortir d’ici…
De mille saveurs une seule me touche, Lorsque tes lèvres effleurent ma bouche. De tous ses vents un seul m'emporte, Lorsque ton ombre passe ma porte…
Un bruit de pas dans l’escalier… Anton se força à sortir de la douce torpeur dans laquelle il s’était laissé glisser et il se redressa sur le canapé. A peine quelques secondes plus tard, la porte de sa chambre s’ouvrait, dévoilant Samuel. Le jeune loup sentit son cœur battre plus fort. La porte claqua doucement en se refermant. En trois enjambées, Samuel fut sur lui, capturant tendrement ses lèvres. Explosion des sens. Anton répondit au baiser avec une passion qu’il avait soudain du mal à réfréner, n’aspirant plus qu’à une seule chose, que cet instant dur encore et encore, mais lorsqu’ils s’interrompirent, il se força à ne pas en quémander plus... « Je vais partir. » Murmura Samuel, et Anton fronça les sourcils. « Quoi….tu… ? » « Viens avec moi ! Enfuis toi, pars loin, avec moi ! » Anton repoussa un peu Samuel, la gorge nouée et le cœur prêt à imploser. Il lui proposait de partir avec lui ? Mais où ? Et pourquoi ? Qu’est ce qui lui prenait ? « Pourquoi tu veux partir, d’un seul coup ? » Lâcha-t-il, un peu inquiet. Il n’avait pas l’habitude de voir Samuel aussi agité, il le sentait nerveux, sur le qui-vive. Sa tension le contaminait. Et lorsqu’il croisa son regard, il y vit de la peur. Une peur dont il espérait avoir l’explication… « J’en ai envie, c’est tout... Alors ? » Il mentait. Anton le sut immédiatement, il le connaissait suffisamment pour savoir que ce n’était pas la réponse qu’il attendait. Enlaçant les hanches de l’humain il le renversa sur le canapé malgré ses cris de protestations et s’installa à califourchon sur ses hanches. Là, il le tenait entre deux yeux. « Ne me mens pas, tu as toujours dit que tu aimais Perm. Alors pourquoi partirais-tu ? Et pourquoi avec moi ? Je… je suis juste un… prostitué. » Il y eut un silence. Pourquoi ne répondait-il pas ? C’était insupportable. Anton détestait qu’on lui mente, et il avait toujours eut un don pour repérer les mensonges. « Réponds moi…d’abord. Si je pars, tu accepteras de venir avec moi ? » Le lycan écarquilla légèrement les yeux. Il voulait donc vraiment qu’il vienne… Son cœur battait à tout rompre. Quelle idée il avait eut, de tomber amoureux d’un humain. Certes, Samuel n’était pas n’importe quel humain…après tout il lui avait réappris à lire…il lui avait rendu la mémoire. Mais s’il partait avec lui, il risquait de lui faire courir certains dangers… à la pleine lune, et même un peu avant, lorsque sa bête s’agitait, il devrait s’éloigner… Pourtant il avait terriblement envie d’aller avec lui. Il ne voulait pas le quitter, il voulait pouvoir continuer à veiller sur lui, à bercer ses nuits. La décision fut donc vite prise : « Oui, je viendrais avec toi. » Murmura t’il d’une voix où perçait le doute qui l’envahissait. Mais cela suffit à Samuel qui, dans un sourire rassurant, l’embrassa à nouveau avant d’expliquer : « Des humains se sont rassemblés, ils veulent tuer les CESS, ils ont prévu d’attendre la prochaine pleine lune pour… vous massacrer. » « Les imbéciles ! » Siffla Anton entre ses dents serrées alors que l’incompréhension se mêlait à la colère. Mais qu’est ce qu’ils avaient donc tous à s’en prendre aux créatures qui ne leurs avaient rien fait ? Il n’y avait jusqu’à maintenant jamais eut une seule attaque de CESS sur des humains, personne n’était mort, alors d’où venait cette haine viscérale ? Depuis la révélation… au début pourtant, tout semblait se diriger vers le droit chemin… enfin, pour les lycans, ça a toujours été difficile… Anton réalisait qu’il avait eu de la chance de trouver cet emploi, au final, puisqu’à présent plus personne à Perm n’embauchait de loups garous, de peur d’être contaminé. La connerie humaine dans toute son ampleur. « Ce sont eux qui vont se faire massacrer s’ils essayent d’attaquer la meute. » Il y avait en effet de fortes chances pour que ça tourne à l’hécatombe. Mais s’ils s’y prenaient bien, les humains pouvaient faire des ravages parmi les lycans. Avec simplement quelques balles en argent bien placés… Un frisson parcourut le corps d’Anton. « Pourquoi es-tu venu me le dire ?» « Je l'ai dit aussi aux autres mais... je veux que tu viennes avec moi... pour te sauver…parce que je t’aime… » Cash. Ça au moins, c’était sincère. L’espace d’un instant, Anton cessa de respirer. Délicatement, Samuel se dégagea de son corps pour se remettre sur ses pieds. « Ecoute…je vais revenir demain. Il faudra que tu sois prêt à partir, d’accord ? » Anton leva vers lui un regard perdu, digérant encore ce que Sam venait de lui avouer. Il l’aimait. Ils s’aimaient. Merde. « D’accord… » Répondit-il. Et l’humain lui ébouriffa les cheveux avant de sortir de la pièce sans un bruit.
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Nous nous on se prend On se prend pour des dieux, l'important c'est d'y croire On a pas la thune mais l'espoir, pas le blé mais l'envie L'important ami c'est d'aller… Jusqu'au bout de la nuit.
Anton s’était accoudé au bastingage, observant défiler les vagues. Le paquebot fendait les flots, envoyant en l’air des giclées d’écume opale et glacée. Après avoir longuement discuté, Sam et lui avaient décidé de partir pour les Etats Unis. La Russie devenait trop dangereuse, les groupes d’humains chasseurs d’Outres étaient de plus en plus nombreux et n’hésitaient plus à employer des méthodes de plus en plus violentes. Ils avaient déjà échappé à deux reprises à des attaques, ils doutaient de pouvoir survivre encore s’ils ne s’enfuyaient pas loin du pays… C’était donc sur les USA que s’était porté leur choix, le pays de la grosse pomme…Ils devaient arriver à Los Angeles le lendemain, après avoir passé quatre jours en mer. C’est Sam qui avait payé entièrement le voyage, malgré les nombreux refus d’Anton. Et maintenant il était là… il ne connaissait pas un mot d’anglais, il allait devoir apprendre, encore. Mais tout se passerait bien, il en avait l’intime conviction. Il allait entamer une nouvelle vie, loin de son passé de misérable gitan, prostitué, vendeur de drogue… il en avait honte, il voulait devenir quelqu’un d’autre. Quelqu’un de libre dans un endroit où personne ne le discriminerait. Il entendit soudain un étrange déclic, et l’étrange impression de recevoir un coup de poing dans le thorax. Pas grand chose, mais ses poumons se vidèrent de tout leur air et sa vision tangua brusquement. Hin ? Une douleur envahit soudain tout son corps et il se mit à gémir alors qu’il tombait à genoux, s’accrochant à la rambarde, haletant tandis que ses veines en feu semblaient exploser les unes après les autres. Toutes ses forces lui échappèrent… Il ne comprenait pas, son cerveau tournait à vide. Mal, mal partout. Il testait pour la première fois l’effet d’une balle en argent en plein dans l’omoplate. Mais qui… ? Il eut envie d’appeler Samuel à l’aide, mais il savait que c’était trop tard. Des chasseurs l’avaient retrouvé… ? Il lâcha prise. Son corps heurta de plein fouet le plancher humide d'eau de mer. Il aperçut des pieds, son regard remonta vers le visage... Le monde vira au rouge sang. « Samuel... » Souffla t'il.
C’était lui. Samuel l’avait vendu. Il y avait des vampires… Beaucoup de vampires. Il ignorait complètement pourquoi il était là. On l’avait drogué, la tête lui tournait. Il avait pourtant confiance en lui, pourquoi l’avait-il trahi ? Il était attaché avec une chaîne en argent. La douleur brûlante irradiait tout son corps. Frissonnant de fièvre. Les yeux bandés. Il n’arrivait même plus à réfléchir. Les seules choses qui lui parvenaient étaient des sensations, odeurs, bruits… « My friends thought that I was not capable of taming a dog. » Chuchota une voix à son oreille. Qu’est ce qu’il ficha it ici ? Dans quoi était-il tombé ? Il n’avait même pas compris ce qu’on venait de lui dire. C’était de l’anglais. Il n’avait jamais appris l’anglais… Etait-il arrivé aux USA ? Samuel lui avait-il vraiment tendu un piège ? Pourquoi ? «You indeed want to help me to prove them that they are wrong, wolf cub ? » Cette voix ne lui disait rien de bon. Il avait tellement mal… On lui retira soudainement le bandeau et il ouvrit les yeux. Pénombre. Il y avait exactement sept vampires. Il était couché au sol, au centre de la pièce. L’un d’eux s’était penché au dessus de lui et souriait d’un air moqueur. Et parmi les vampires, Samuel. Ce dernier était en train de se faire mordre par l’un d’eux et semblait prendre son pied d’une manière extraordinaire. Salaud, connard, ordure. Je t’aimais et toi tu m’as vendu à des fous. On dit que le temps passe plus vite quand on s’amuse. Quand est-il lorsqu’on se fait torturé ?... « Welcome to Los Angeles, dirt of werewolf. »
Je ne suis que l'ombre de l'ombre même Je ne suis qu'un fantôme impalpable Mais dans mes rêves je vous inonde De toute la haine qui m'incarne
On ne lui demandait rien. Rien à part jouer au chiot docile, chose qu’il avait appris à faire à merveille. L’avantage pour un vampire de posséder un lycan, c’est qu’il peut frimer devant les autres, et en plus il peut le torturer, vous voyez, ça guérit vite ces bêtes là. Mais il faut commencer à les éduquer dès leur jeunesse sinon c’est fichu, ils auront toujours dans leur tête cette envie de liberté, c’est le loup sauvage qui cherche à se rebeller. Anton ne comprenait toujours pas pourquoi il était là. Pourquoi lui ? Samuel allait et venait dans le manoir, mais il ne le regardait plus. Son âme se délitait avec le temps. Une haine prenait le pas sur la raison. Il allait s’enfuir, évidemment. Il attendait juste le moment propice… Il ne pouvait décemment par combattre sept vampires, il était en position d’infériorité, ils le savaient et en profitaient. Mais bientôt, il partirait. Il fallait juste être patient…ne surtout pas foncer tête baissée. Il avait déjà commencé par gagner sa confiance, puis il l’avait entrainé avec lui pour le vendre aux vampires. Une rancœur sans borne envahit le cœur du loup. Il ne ferait plus jamais confiance à quiconque. A présent, il se débrouillerait toujours pour vivre sans avoir besoin des autres. Il ne voulait plus… A force de les fréquenter, il avait fini par apprendre un peu leur langue. Ce n'était pas si difficile que ça, au final. Même si l'anglais était radicalement différent du russe. Il parvint à s’enfuir presque un an jour pour jour après qu’on l’ait capturé. Mais il n’en ressentit aucune joie. Il n’y avait aucune place pour ça dans son esprit, trop encombré par la haine. La rage de vivre, voilà ce qui le poussait vers l’avant. Vivre à tout prix. Il était loin le temps où il vivait dans une caravane, à l’abri des dangers… Les CESS avaient réduit en miettes son enfance. Il détestait presque sa propre race. A l’arrière du wagon, dans le noir, la lueur de sa cigarette éclairait son visage pâle comme un linge. Il avait pris un train sans se soucier de savoir où il allait. Son but était de partir le plus loin possible de Los Angeles… Alors maintenant, il allait en Louisiane. D’une manière complètement illégale, bien sur. Il n’avait pas d’argent. En réalité, il avait encore moins qu’auparavant. Il ne possédait que les vêtements qu’il avait sur le dos et des faux papiers que lui avait donné Samuel pour pouvoir prendre le bateau. Il s’était retenu de les jeter, car après tout, ça pourrait toujours lui être utile. Il descendit à Shreveport et commença par loger dans la rue avant de répondre à une annonce d’embauche en tant que tatoueur aux Rose’s Tattoos. L’argent gagné le premier mois lui permit de louer un minuscule appartement à Southampton dans lequel il vit toujours...
THE END. Not still...
III. That thing I want to tell you
➽ pseudonyme. Moon ➽ âge. bientôt 18 =p ➽ code du règlement. Et bien il ne manque plus que le thème musical de dracula prince des ténèbres et je crois qu’on pourra commencer. ➽ avis général à propos du forum. je le connais depuis au moins un an et j’ai enfin saisi l’occasion de m’inscrire alors wooooaaaa je l’aime *^* ➽ avatar utilisé. Cesar Casier
Dernière édition par Anton M. Vessolevski le 15/12/2011, 21:08, édité 47 fois
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 2/9/2011, 21:14
Bienvenue parmi nous Anton =D Ca fait plaisir de voir un compatriote... Si tu as la moindre question n'hésite pas, je te souhaite bonne chance pour ta fiche =)
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 2/9/2011, 23:46
Bienvenue :024/: Bon courage pour ta fiche =O puis cool, un ptit hybride <3 ça manque dans le coin, et c'est bien dommage ! je les kifouillasse ma race moi ! Comme l'a dit alek, si tu as des questions, hésite pas à nous sonner, tu peux même nous harceler sans raisons #SBAFF#
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 12:07
Lorenzo F. Llywlyn a écrit:
tu peux même nous harceler sans raisons #SBAFF#
merci messieurs suceurs de sang :64: la fiche devrait avancer assez vite normalement, j'ai tout le weekend rien que pour l'écrire :046/: Lorenzo, je prends note (a)
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 15:25
Ca marche je devrais aussi profiter de mon samedi pour me mettre à jour moi T-T et ouais ouais... prends note, petit galopin !
XD - ok je sors
SECRET DE CONFESSION
SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen MISSIVES : 8449 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr
I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 19:02
Bienvenue J'adore tes citations... et tes choix musicaux... hâte de lire ta fiche finie! Bon courage en tout cas. & comme dit ci-dessus, tu peux nous harceller si question tu as.
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 19:07
oh mais Lorenzo pas besoin de me le dire deux fois :93: *va le chercher dehors* :90: merci Alessandro :90: :005/: je l'ai bientôt fini, normalement demain c'est bon !
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 19:12
Cool.
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 3/9/2011, 19:14
Cool !! :93: *va faire des cachoteries dans un coin sombre* #SBIM#
Bon depuis le temps que j'attends un ptit hybride moi ! obligé tu me reserves un rp ! Et un lien ! ou alors... on voit comment évolue notre lien dans le rp... ou bien d'abord un lien et ensuite un rp... ou alors... t'as une idée ? ou alors... #BAF#
Ah et et et... je plussoie les dires de edenounette !! J'avais pas encore vu que t'avais mis Siaaaa !! *-* je suis trop en extase sur la musique de cette fille x) hâte de voir ce ptit anton en jeu =O
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 4/9/2011, 08:48
ahahaha (aa) *perversion !! ♥* oh j'ai bien fait de faire un hybride alors, j'avais trop hésité avec un sang pur en plus :046/: :93: avec plaisir un lien !!!! Faudra que j'aille lire à quoi ressemble le caractère de Lorenzo ! et puis un rp avec plaisir of course of course*out* :93: :050/: d'ailleurs si tu veux qu'on commence le rp avant d'avoir défini un lien ça me dérange pas, on verra comment ça évolue dans le rp ! et merci pour la musique. Je suis aussi à fond sur Sia en ce moment, elle est douée quoi :64: *va vraiment se dépêcher de finir sa fiche làààààà :035/: * je suis en train d'écrire un roman y_y
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 4/9/2011, 11:14
Je plussoie tous les autres, bons choix de citation et de musique. C'est rare les gens qui connaissent Pauline Croze! Bienvenue à toi! :D
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 4/9/2011, 12:35
Tu as reconnu Pauline croze :046/: merci pour cet accueil ! :005/:
edit : j'ai vu que tu as mis du cocorosie dans ton jukebox j'adore !
:015/: :018/: Il me semble avoir fini ma fiche ! :013/: :013/: :013/: :013/: j'espère que ça vous ira, mon dieu que mon histoire est longue, bon courage pour la lecture @_@ *sort*
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 4/9/2011, 22:24
Welcome
Je suis là pour te guider
Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative. Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.
Jolie fiche, j'aime beaucoup. Pauvre petit louloup, on a envie de lui faire un calin.
J'ai le bonheur de t'annoncer que tu es validé! Toutes mes félicitations!
Avant toute chose, laisse-moi un peu te guider pour faire tes premiers pas sur le forum en tant que membre validé! youhou! Première chose à faire, si tu ne l'as pas encore faite, c'est de finir de remplir correctement ton profil, et ta feuille de personnage même si tu n'as pas encore de relations, de toute façon, il te faudra sans doute l'éditer dans les temps futurs. Ce n'est pas grand chose, mais d'un c'est plus joli et de deux, on cerne plus vite ton personnage ainsi. Ensuite tant que tu es sur ton profil, pense à mettre dans ta signature un lien vers ta fiche de présentation. Comme ça c'est plus facile pour les autres joueurs de savoir à qui ils ont affaires! Deuxième étape et pas la moindre: remplir ta fiche de relations. C'est la manière la plus rapide pour t'intégrer complètement au forum, et bien évidemment cela va te permettre d'avoir un panel de joueurs avec qui faire un rp tout simplement. La suite logique étant de répertorier tes rp en cours ainsi que tes futurs rp ici, tu pourra bien évidement faire des demandes de rp via les topics des autres joueurs. Nous te conseillons vivement d'aller à A.N.P.E. pour bloquer le boulot de ton personnage, tu pourra aussi créer ta propre boîte si tu le désire. Ensuite, fort de ton salaire, tu pourras demander un logement, n'oublie pas que la colocation est aussi une bonne option! Quand tu auras fait tout cela, tu pourras aller jouer avec tes petits camarades. Pour mettre un peu de piment dans ton jeu n'hésite pas à faire un tour du côté des clans et meutes pour choisir ton clan. N'hésite pas à faire un tour dans le quartier des sujets multijoueurs pour animer ton jeu. Et puis, en attendant une réponse d'un joueur, tu peux toujours aller flooder avec nous jusqu'au bout de la nuit!
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell. Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 4/9/2011, 23:04
Faire un calin... XD tu me fais rire quand tu dis ça. Sinon, félicitation !!! :97:
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 5/9/2011, 08:11
merci XDD :046/: :050/: :050/:
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Sujet: Re: Devil is beautiful „ Anton 5/9/2011, 10:31
Félicitations pour ta validation! :56: Pense à aller te recenser ^^