Sujet: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 01:04
London Original Rehn
Feat Ben Barnes
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ 18 septembre 1863 à Londres, Angleterre ; AGE ☞ Il fut figé à l'âge de 27 ans, mais il arrive sur ses 231 ans en réalité. ;ORIGINES ☞ Anglais-France; CAMP ☞ Il est pour le maître, autant à peu près qu'il fait abstinence.... à peu près très peu, il est sans avis. ; NOM DU SIRE ☞ Belle Morte ; DATE DE L'ETREINTE ☞ 12 janvier 1891; STATUT ☞ Ancilla ; DISCIPLINE ☞ Joujou à Ardeur et Dissimulation niveau 3 ; ETAT CIVIL ☞ célibataire LIEU D'HABITATION ☞ District. METIER ☞ Stripteaser/barman au Guilty Pleasure, prostitué syndicalisé ou non à quelques occasions (nombreuses), anciennement assassin ; CLASSE SOCIALE ☞ Officiellement moyen-pauvre, officieusement... un peu moins pauvre vu ses biens européens. ETIQUETTE ☞ Barman fidèle des Plaisirs Coupables, quel habitué ne le connaît pas ? Il endosse tour à tour le rôle de serveur et d'artiste ce qui lui vaut d'être hautement considéré comme un frivole et l'entraîne vers les penchants les plus dégradants. Parmi les siens, il réussit à ne pas se faire remarquer, passant pour un vampire lambda dans la masse. Infant de Belle Morte, il a en Europe une réputation dissolue et négative surtout depuis son départ de la Cour. Mais il ne faut pas s'y méprendre, il a beau n'avoir aucune limite dans sa débauche, il est un membre de la lignée de Belle et cache de nombreux secrets. Cependant, considérez qu'il n'est qu'un vampire peu puissant et tout à fait quelconque, c'est tout ce qu'il souhaite paraître.
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères C'est un accroc. Se voir refuser un plaisir de sa part est une chose qui n'arrive qu'à de rares personnes. Il est tout simplement incapable de dire non devant le sexe et ses dérivés. Quand à ses sentiments... Seuls ses yeux peuvent vous les laisser percevoir dans ces quelques moments qui suivent le plaisir. Si avoir été auprès de Belle Morte pendant des décennies lui a appris une chose, c'est le plaisir. C'est un don à double tranchant, de façon encore plus vraisemblable pour lui. En réalité, il a , pour ainsi dire, un goût prononcé pour le secret. C’est son péché mignon. Le mystère est son allié pour se protéger des autres. Bien qu'il sourisse beaucoup, il parle très peu. A quoi bon ? Être loquace, c'est se rendre vulnérable. Parler de soi, de ses blessures, de ses faiblesses, c'est attirer l'attention sur soi, c'est se mettre en danger.
L'individu n'est pas du genre très tendre. Enfin, dans son travail, il se montre très ouvert, suggestif, comme le souhaitait son sire, mais aussi très professionnel et personne ne lui a jamais reproché. Sauf son petit côté prostitué qu'il prend quelques fois. Bien entendu, quelques fois, c'est assez souvent en réalité. Il s'en rend compte, regrette quelques secondes, mais cela lui passe vite. Il se dit que ce n'est pas en étant sage et pieux avec les gens que l'on obtient quelque chose, contrairement à ce que pense beaucoup de monde. Le vampire a toujours eu du mal à s'attacher aux gens. Cela vient certainement de son éducation vampirique, Belle Morte n'étant pas connue pour ses gentillesses. C'est un homme méfiant, très borné. Un vrai sale petit caractère de cochon. Heureusement, le vampire en question est doté de nombreuses qualités qui font oublier tout ses petits défauts assez dérangeants quelques fois pour son entourage proche. Son caractère fort et impressionnant dégage toujours une sorte d'effacement, comme si il n'était pas réellement présent. C'est pour cela qu'il arrive facilement à se faire oublier. Il se dit toujours à même d'être le plus neutre possible et il n'a pas tout à fait tort. Il arrive toujours à trouver des solutions dans les moments les plus embêtants. C'est un homme plein de ressources qui ne vous révèlera jamais ses peurs.
Indomptable en secret, il ne se plie que très rarement à l'autorité, se contentant de faire le strict minimum pour ne pas tomber sous le regard des autorités. Dans son lexique, "docilité" rime avec "protection", tant qu'il reste dans la norme, voir en-dessous, quitte à se dévaloriser, il n'est pas en situation de risque. Mais le trait de caractère le plus dominant chez lui reste la passion. Attention, pas de l'amour, juste une folle et incommensurable attirance pour la chair et le sexe. Un véritable addict en somme. Il est capable de subir n'importe quoi et de tout accepter pour un livre de plaisir. Pour atterrir dans son lit, pas besoin de stratagèmes, c'est plutôt lui qui fera tout pour atterrir dans le vôtre tant qu'il y a un délice à la clé.
Occupation nocturne C'est un vampire, en cela, sa première occupation chaque nuit est de se nourrir. Ce n'est pas un végétarien, il a bien tester le True Blood et les animaux, mais franchement, boire ça, ce n'est pas nutritif. Généralement, il va dans les quartiers où l'on trouve des groupies à vampires, cela lui facilite la tâche, même si les repas ne sont pas de première qualité. Il arrive quelques fois qu'il se trouve un en-cas en fin de nuit, et dans ces cas là, il se nourrit avant de succomber au sommeil du jour. Ses activités professionnelles sont multiples. Il est barman au Guilty Pleasure, sous le nom de Spirée, autant vous dire que cela lui remplit déjà bien ses nuits. Peut être faudrait-il préciser que ce n'est pas sa seule fonction au club. Il est également stripteaser à de maintes occasions, pourquoi ? Parce que c'est un excellent moyen de s'exhiber publiquement sans encourir quoi que ce soit bien sûr. Il fait deux pierres d'un coup, il peut se nourrir un minimum et en plus, il arrondit ses fins de mois, le bonheur quoi. Parlons maintenant de ses activités.... extra-professionelles. Faire le tapin, c'est plus un passe-temps qu'un boulot pour lui, un véritable loisir, auquel il s'adonne un peu trop pour son propre bien. Vous n'imaginez pas le nombre de tordus qu'on peut croiser de cette façon là. Bon au moins, il se divertit, il y a toujours des moyens de varier les goûts et les couleurs. C'est donc également un bel habitué des clubs S&M, et autres en tout genre, que ce soit en tant que client, mais plus souvent en tant qu'objet à vendre. Ses frasques sont relativement connues dans le milieu, ce qui lui vaut de ne pas souvent manquer de partenaires. Il fut un temps où il était au service de Belle Morte, plus précisément dans son lit, mais également en tant que pion pour ses manœuvres politiques, que ce soit en tant qu'agent, espion, mais le plus souvent assassin.
Manies, habitudes & goûts - Ce n'est pas un drogué du sang, il se contrôle assez bien vis à vis de ça, mais s'il ne se nourrit pas suffisamment au coucher du soleil, il devient rapidement agressif, irrité, et dans ces moments là, il ne cherche plus une victime consentante, il chasse. - C'est un accroc au sexe, et cela, il l'a à moitié choisi, si une chose l'empêche d'aller prendre son pied convenablement, il peut y survivre, mais la nuit suivante sera d'autant plus épuisante pour ses partenaires et pour lui même. - Il a la manie de rabaisser continuellement ses pouvoirs, de sorte qu'on le croit faible voir inoffensif, pourquoi ? Pour qu'on le laisse tranquille, voyez, jusqu'à maintenant cela a été efficace, on ne le remarque pas. De même, il entreprend beaucoup de choses pour que l'on apprenne pas qu'il fait partie de la lignée de Belle-Morte. - Il a trois phobies prédominantes qu'il se garde bien de faire partager, celle du vide (très drôle pour un vampire), celle de l'amour et celle de retomber dans les bras de sa Sire. - Il a la manie des couleurs, il ne voit correctement que peu d'entre elles, chez lui vous ne trouverez que des dégradés du blanc au noir et du rouge, du rouge sang. Sa garde robe est exclusivement noire. Niveau style vestimentaire, il porte beaucoup de cuir et de soie, ce qui donne la plupart du temps, des mélanges originaux et très hétéroclites. - Il a la manie d'écouter de la musique de son époque d'origine en permanence, il ne supporte plus le silence.
- Suivant l'ordre de ses préférences : Il aime : - Coucher avec des partenaires différents, hommes et femmes, sans avoir de limites, mais aussi avoir le plaisir de retrouver régulièrement les meilleurs coups. - Le sexe évidemment, et pas seulement parce que sa lignée le veut. - Boire au cou de victimes consentantes et nourrir ses deux faims parallèlement. - Pouvoir observer des oeuvres d'arts et écouter des pièces originales. - Subir l'assaut de l'ardeur sur lui, cela lui procure la sensation la plus exquise qui soit. - S'exhiber et attirer les regards sur scène, il aime attirer les convoitises sexuelles.
Il n'aime pas : - Le fait d'être mis en pause à chaque lever de soleil, parce qu'il se sent impuissant face à ça. - Le silence, parce qu'il est trop longtemps rester enfermé sans bruit autour de lui. - Sa Sire, parce qu'elle l'attire et le terrorise en même temps. - Être dépendant de l'ardeur, ce qui arriverait surement si Belle Morte lui remettait la main dessus. - L'informatique, parce que selon lui, cela dénature l'humain, cela ne veut cependant pas dire qu'il ne sait pas s'en servir. - Se compromettre en montrant qu'il est beaucoup plus que ce qu'il laisse penser.
Discipline Il possède la discipline de la dissimulation, ce qui lui permet de détourner l'attention des spectateurs d'une chose ou même de lui-même. Il peut notamment dissimuler une grande partie de sa présence voir la totalité, c'est ce don qui lui permet de passer pour plus faible qu'il ne l'est. Ce n'est cependant pas assez subtil pour être utiliser d'un instant à l'autre, imaginez voir brusquement disparaître quelqu'un, c'est surprenant, voir effrayant. Il ne peut donc pas l'utiliser en cas d'extrême urgence sans justement attirer l'attention sur sa disparition. C'est un don qu'il contrôle assez bien, pour en utiliser le deuxième niveau régulièrement, mais il attise sa soif, de sexe et de sang, ce qui est une raison de la puissance de ses addictions. D'autre part, étant de la lignée directe de Belle Morte, il a hérité de l'Ardeur, cependant, ce n'est pas le don originel mais une forme passive, elle n'est pas invasive au sens même et ne le force pas à sauter sur le premier venu, mais le rend comme qui dirait, très accueillant vis à vis de son opposé, il peut nourrir l'ardeur à intervalles réguliers et courts sans se fatiguer. Mais le revers de la médaille est très lourd, en échange, il devient complètement accroc à l'ardeur, et comme toute addiction, cela est censé le détruire. Mais au vu de son goût très prononcé pour le sexe, on ne saurait vraiment dire quels sont les véritables effets de son pouvoir.
Convictions Il y a des points positifs et négatifs à la révélation, comme pour toutes choses. D'un côté, il trouve qu'il est extrêmement fatiguant de devoir faire attention à l'état de ses repas, et surtout très pénible de ne pas pouvoir se faire une rave sanguine de temps en temps. Il y a trop de lois et de règles inadaptés dans le monde humains.... D'un autre côté, depuis que les humains sont au courant, les vampires ont plus de difficultés à agir, surtout si ils ne veulent pas créer de remue-ménages, ce n'est pas qu'il veut échapper à sa Sire, mais cela l'arrangerait de ne pas avoir à retourner à la Cour. Quand on a été accroc à l'Ardeur donc à Belle Morte, le premier sevrage est dur, mais les suivants sont encore pires... Quand aux humains, ils ont la belle vie, maintenant qu'ils connaissent ce secret, ils savent aussi comment les tuer, quelqu'un a-t-il jamais été aussi vulnérable que les vampires dans cette situation ? Oui certainement, mais tous les vampires ne sont pas habilités à réagir face à une menace de la part des humains. En somme, il trouve que rien ne sert de s'encombrer d'opinions sur le sujet, il préfère vivre sa vie actuelle, bien tranquillement.
Signes particuliers Même si l'Etreinte a le privilège d'effacer de votre corps les sévices de l'humanité, il arrive que certaines marques ne disparaissent jamais totalement. London porte encore quelques unes de ces marques. Dispersées de part et d'autre de son corps, blanches et effacées pour la plupart, elles ne sont pas aisées à discerner pour qui ne souhaiterai pas les voir. Mais en observant bien, vous verrez sur son épaule gauche deux initiales "LT" réminiscence des années bien trop humaines du vampire.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Personnage inventé ; PSEUDONYME Rocaille ; DERRIERE L'ECRAN Je suis une tarée de la vie made in Orléans, comment ne pas être folle quand on vient d'ici ? Enfin je vous aime déjà CODE DU REGLEMENT Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? En cherchant toute seule comme une grande :11: Google est mon nouvel ami ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM Il est tout beau tout génial tout seksy tout perfect je suis amoureuse ; AVATAR UTILISE Ben Seksssy Barnes
Dernière édition par London O. Rehn le 1/5/2014, 01:21, édité 2 fois
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 01:04
› How beautiful is this life, how painful is this life, how beauctiful is this life, how painful is this life......
Ma naissance me destinait peut être déjà à mon existence. Fils de prostitué, fils d'esclave, prostitué et esclave à la fois. Je devais être un serviteur. Je ne cherche pas le pardon, l'abolition de mes pêchés, l'expiation de mes actes, je quête une terre, une maison, un abris, un lieu où sera ma place. Je suis un étranger dans mon propre monde, sans liens, sans famille, sans amis, je ne suis qu'une âme enchainé au monde et je tire ma peine comme un prisonnier, son lourd boulet de plomb.
Si un jour les pays ont été en paix les uns avec les autres, les hommes et les vampires ont su oublier et faire disparaître cette utopie. Les vampires les plus agressifs proclament que les hommes sont là pour les servir, ils considèrent leur servitude comme acquise et ne voient en eux, que le reflet de repas sans importance. Cette vision du monde, je l'ai remarqué, est aussi véridique pour les hommes vis à vis des femmes. Retournons quelques siècles plutôt :
Londres, de 1863 à 1876
Ma venue au monde avait été accueillie par une "famille", tout ce qu'il y a de plus étrange. A ma naissance, je ne m'en rendais pas compte, forcément, mais il était rare d'avoir des parents comme les miens. Je n'avais pas la même notion de la norme que les gens, il n'était pas normal d'avoir trois frères et une soeur, tout comme il n'était pas normal que des putains aient des enfants, et surtout en aussi grand nombre, encore moins quand ils étaient élevés comme une fratrie. Mes trois frères, Ox, Ehl et Red avaient hérités du côté mauvais de nos mères, ils étaient impétueux, dangereux, vicieux, même pour ma soeur, et surtout, pas foutus de ramener un peu d'argent au bordel. J'étais le plus proche de ma soeur, nous n'avions que quelques semaines de différence, et plus d'une fois, elle avait eu à essuyer des attentes, plus qu'indécentes. Quand à moi, je ne me plaignais pas franchement qu'on s'intéresse à moi, surtout de cette façon. Que voulez-vous ? J'étais très précoce pour mon âge. Pourquoi je vous en parle au passé ? Une nuit, alors que je faisais les alentours de la maison close avec une des filles, ma soeur avait à son tour manifesté la même maladie que mes frères, ce que j'ignorai alors. Je les avais trouvé tous les quatre dans mon lit, nus, couverts de sueur et autres, jusque là, j'étais sage. Mais plus après ça, plus jamais. Je m'étais mis à crier, plus d'excitation que de choc, et avait attiré la matronne par ce bruit. Elle ne s'était pas contenté de hurler, loin de là, elle avait empoigné un lourd chandelier en argent et il n'y avait pas eu de lutte possible pour mes frères. Pas de mort rapide non plus. Seulement des coups ouverts et à moitié animaux, trop pour survivre, ou trop peu pour mourir. J'assistais à la scène sans bouger, complètement extatique. Attendez, ce n'est pas le meilleur moment. Je riais devant ce charnier, je riais de voir et d'entendre ces cris de douleur qu'ils poussaient tous. Je finis par grimper sur le lit, sous les yeux de la matronne qui se stoppa et me prit par le bras pour me mettre à la porte. Littéralement... Je restais donc devant la porte, sans bouger, en attendant qu'elle me laisse entrer. Une fois qu'elle le fit, il n'y avait plus un bruit. Je montais sur le lit, et je me nichais au milieu des corps ni morts ni vivants, endormis, je trouvais enfin le corps de ma soeur dans ce nid gluant et me pelotonnai tout contre, et m'endormis avec eux.
Paris, de 1876 à 1939
Hmm sautons encore quelques années, l'adolescence n'est pas un exemple chez moi. Quand j'atteignis enfin un âge décent pour le métier, le Bordel me vendit en promotion à une Maison Close parisienne. Je fus donc envoyé sans plus de cérémonies en France où je commençais à travailler dès mon arrivée. J'étais encore relativement très androgyne pour mon âge, ça ne posait pas le moindre problème, cela aidait même d'autant plus que j'avais un corps presque frêle. Mon apparence n'était pas la seule de mes qualités, j'étais déjà bien barré niveau sexe, et du coup, je récoltais des clients de toutes sortes, ça allait du vieillard au couple, en passant par la veuve ou la jeune mariée, il n'y a pas plus varié que les clients d'un bordel. Quand je me mis à grandir, tendant alors plus vers l'homme que vers l'enfant, et que je fus en âge de satisfaire une autre classe de clientèle, je fus dressé. Oui, vous avez bien compris. Dressé pour résister à la douleur, pour l'apprécier, y prendre du plaisir... J'étais disons, très réceptif à ces enseignements et ils portèrent très vite leurs fruits. Ce qui me valut encore et toujours plus de clients, encore et toujours plus de douleur et de plaisir. Quand aux noms que je porte, aucun ne m'a été donné à ma naissance, je ne suis qu'un fils de putain alors pourquoi m'encombrer d'un nom. On finit par m'appeler London à Paris, parce qu'il n'était pas aisé de m'apprendre sinon. Rehn fut un de mes noms de garçon de joie, Original est peut être celui que je chéris le plus du fait que ce sont mes amis qui me l'ont donné. Je les ai rencontré durant une grande soirée privée alors que tous les garçons et les filles de joie de Paris les plus demandés, avaient été acheté pour une gigantesque orgie organisée par un bienfaiteur inconnu. Il y avait Constantin, qui venait de Turquie et Madrid qui venait d'Espagne, nos gardes avaient trouvé amusant de nous parquer tous les trois ensembles et dans notre drôle de vie, nous étions devenus amis. Ce qui était exceptionnel dans notre milieu, on était amants, partenaires, binômes, mais amis... non. Avec eux, je m'étais rendu compte qu'il n'était pas tout à fait normal de pouvoir subir tout types de blessures sans finir par ne plus supporter la douleur, qu'il devait exister des mots d'arrêts pour arrêter les séances S&M trop avancées. Et surtout, nous avions débattu de nos techniques en matière de sexe, avec bien sûr, les applications des explications. Mais plus important encore, j'avais appris que nous étions achetés pour servir de buffet, à qui ? pourquoi ? Nous n'en savions rien, nous ne savions que faire ce pour quoi nous étions normalement payés, baiser. Mais au terme de cette soirée, Constantin m'avait annoncé leur intention d'arrêter le tapin, je me souviens de cette scène dans les moindres détails :
"Tu dois nous laisser partir Original, nous avons fait notre boulot pour la soirée. N'ait pas de regrets, on finira bien par se revoir dans un lit." "Mais pourquoi ? Pourquoi partir ? Maintenant ? Pourquoi choisir l'abandon à la douleur ? Alors que c'est si bon de pouvoir jouir comme ça ?" "Nous ne venons pas en un éclair, surtout durant ces séances, puisque les maîtres doivent nous y autoriser, aujourd'hui, nous ne pensons plus comme des putains. Nous ne reconnaissons plus le boulot pour lequel nous roulons, le sexe que nous pratiquons n'est pas le notre, ce monde n'est pas pour nous Original, on est meilleurs dans la branche classique." "Mais là nous sommes ici !" "Et si là n'était plus notre place mon vieux ? Nous avons trop subi, nous sommes lasses de cette vie, lasses de la douleur, lasses du sang, lasses de la nuit." "Est-ce que vous avez peur ?" "Non, non garçon, nous sommes emplis de joie, nous voulons nous consumer avec du sexe normal, après tout ce temps à naviguer dans les blessures, nous allons naviguer avec des choses plus douces pour la première fois." "Mais, votre vie ici n'est pas fini, vous gémissez, vous jouissez, vous êtes en vie ! Pourquoi aller vers la petite mort alors que la vie est tellement inconstante et excitante ainsi ?" "Tu es bien le seul qui arrive encore à nous surprendre toi. Ne sois pas triste pour nous, nous retrouverons tes vieux clients." Je ne pouvais me résoudre à les laisser partir, peu importe qu'ils aient plus d'expérience que moi, ils restaient mes amis, et malgré le fait que ce soit la vie que nous avions qui veuille ça, je ne les comprenais pas. Comment pouvait-on abandonner ça ? Et pourtant, il y eut une personne qui réussit à me le faire comprendre, Madrid : "Londres, ne te laisse pas aller à ces émotions, tu es un garçon de joie incroyable, tu es sans doute l'un des plus doués que j'ai rencontré. Tu peux tout faire et tu restes toujours maître de toi-même, tu as de quoi être fier, et nous aussi mais ce n'est pas une vie pour nous, notre tolérance à la douelur et à la limite du plaisir est basse, trop basse pour survivre dans ce milieu. Tu n'étais peut être pas destiné à naître dans un bordel et pourtant, tu es celui à qui cette vie convient le mieux.
Sur le coup, j'en avais été convaincu, j'étais de leur avis, jusqu'à ce que je croise l'organisateur de la soirée, qui d'ailleurs était une organisatrice. Que je me retrouve à coucher avec d'autres de toutes les façons possibles devant elle et que je finisse dans son lit pour me réveiller trois jours après dans la peau d'un vampire avec une seule envie, celle de tuer quelqu'un en le baisant. Sympathique non ? J'ai dès lors, été complètement incapable de résister à Belle-Morte. Elle fit ce qu'elle souhaitait de moi, me réduisit à pire qu'un animal, me fit supplier, m'enferma, me coupa de mon besoin le plus important, la soif, puis me força à nourrir son Ardeur jusqu'à je sois encore plus addictif qu'avant. Elle s'amusa à me torturer, à me blesser en m'empêchant d'en tirer du plaisir, elle me fit subir toutes les bassesses du monde et pire encore. Mais comment ai-je pu réussir à me soustraire à son emprise ? Je n'y ai pas réussi. Il y eût une fois de trop, une fois de trop où elle me fit presque vider de mon sang par un vampire et que je manquai de déranger la Bête affamé qui trotte dans ma tête. Pour la première fois de ma vie, je me rebellai et réclamai ma liberté à Belle-Morte après des années de loyaux services et d'esclavage. Ne vous méprenez pas, elle prit cela comme une énorme blague et me donna ma liberté juste pour que, je cite, "je prenne conscience que je n'étais rien sans elle". Visiblement elle avait tort, puisque je réussis à survivre au sevrage de son Ardeur même si l'abstinence sexuelle restait impossible pour moi...
Shreveport, 2015, Récemment, Guilty Pleasure
L'heure sonna. Et je me décidai aussi à aller prendre mon poste derrière le bar, me mêlant aux quelques employés évoluant dans la salle. Je passai le début de la soirée à servir tranquillement les clients, à l'abri du bruit et de la masse les plus importants qui se traînaient autour de la scène. Ce n'était pas encore mon heure et quand vint le moment de ma pause, je fus heureux de me libérer de cet univers trop oppressant. D'ordinaire, jamais je n'aurais été dérangé par une foule aussi extatique que celle-ci, je sentais leur désir sur ma langue, leur excitation battre la pulsation de leur sang, là, juste à la base de leurs cous. Mais là, j'étais un peu trop conscient du côté sanguin des spectateurs pour réussir à garder la tête froide, j'étais conscient du visage que je devais préserver, de ma faible puissance aux yeux de tous, et je dissimulais sciemment mon potentiel, l'ajustant volontairement à un niveau un peu en dessous de celui de la majorité. On m'invita à monter sur scène sur le chemin de ma liberté, et croisant le regard intéressé de la plupart de ces gens, j'acceptai de remplacer le numéro suivant, en échange d'heures supplémentaires. J'acceptai pour un numéro. Je me dirigeai vers la loge, afin de mettre en pratique la tenue que j'étais censé porter sur scène. C'est à dire pas grand chose, hormis un harnais complet exclusivement en cuir. Quand la musique changea, ce qui marquait le début de mon rôle, je me détachai de mon antre temporaire et entrai sur la scène qui serait mon territoire pour quelques minutes. Je suivis le rythme de la musique, glissant sur la scène pour aller m'asseoir sur une chaise qu'on avait placée au centre. Il n'y avait pas un bruit parmi le public, seuls des soupirs d'attente et de petits gémissements d'excitation se faisaient entendre. Puis ce fut l'entrée de mon binôme tout choisi. Tout en grâce et en muscles déliés, je sus qu'il était sur scène au moment où je sentis les regards se détourner de moi. Il arriva derrière moi, lent, lascif, et se pencha sur la chaise au-dessus de moi, effleurant mon corps du bout de ses doigts avant d'arriver à mes poignets. Je me cambrai légèrement sur la chaise, offrant mon corps aux regards pour le besoin du spectacle. Les yeux mi-clos, j’arborai une expression toute naturelle d'attente insupportable. J'entendis les cliquetis des boucles et sentis le cuir se refermer sur mes poignets, puis la scène recommença sur mes chevilles alors que mon partenaire s'agenouillait devant moi, mettant en évidence certaines parties de son corps cachées jusque là. Déjà autour de nous, le public hurlait. Je rouvris les yeux totalement et fis en sorte de mettre encore plus en avant ma position de ligoté, je me tendis sur la chaise et tester la force de mes liens, avant d'abandonner l'air vaincu. L'autre porta sa main à sa ceinture et empoigna l'objet principal du numéro, un fouet. Il le soupesa dans sa main, le libéra, claquant l'air de façon magistrale alors que la musique changeait de rythme. Il déclama à l'ensemble de l'assistance, les nombreux délits dont j'étais censé avoir fait preuve, charme auquel tous répondirent par des cris et scandant ma punition. Satisfait, l'autre se tourna vers moi et asséna le premier coup, attendit les réactions du public alors que je me tordais. Puis vint le deuxième, le troisième, les cris s'amplifièrent, le quatrième toucha une partie de moi alors extrêmement réveillée et je gémis plus ouvertement qu'à mon habitude. Le public hurla comme jamais et en réponse la cadence des coups redoubla, tripla, à tel point que j'en perdis le compte. La morsure de la douleur me comprimait dans mon costume, me brûlant délicieusement, j'étais content d'être là, peut être encore plus que d'habitude. Et quand je me tendis réellement, l'autre décida qu'il était temps de mettre un terme à notre petit jeu. Il lâcha le fouet qui roula au sol, suivit par les yeux de la plupart des spectateurs. Mais déjà l'autre se mouvait vers moi, engoncé, lui aussi dans son pantalon de cuir moulant, il se pencha vers moi, caressant les marques de flagellation avec ses doigts jusqu'à cet endroit plus bas qu'il effleura trop doucement à mon goût. Il entreprit de faire quelques aller retours sur mon corps avant de saisir mon menton et de plonger vers ma bouche, avide et spectaculaire à souhait. Il s'arracha au baiser sadiquement avant de se retourner vers le public, bras écartés, en tournant sur lui-même et d'annoncer la fin du spectacle. Les lumières s'éteignirent et l'on m'aida à sortir de l'estrade pendant que déjà le numéro suivant se mettait en place. Alors que les brumes du plaisir semblaient se dégager de mes sens, je sentis la soif s'ouvrir dans ma gorge, le besoin fit littéralement exploser mes barrières d'ordinaire si bien érigées. Le pouvoir se dégagea, perfide et sournois à force d'être restreint, tombant sur la personne la plus proche de moi, mon binôme, avant que je puise les forces nécessaires à le remettre en cage. Chose que je fis juste après l'incident mais qui me coûta mes dernières réserves de self-control vis à vis de la Soif. Il dût le voir, car autant je m'emportait, autant il restait parfaitement calme. Il sortit par la porte de service et je le suivis aussi vite que j'en étais capable. Je vous laisse deviner la suite.......
« Sais-tu que j’y pensais tout à l’heure ? A danser…toi contre moi…comme ça » dit-elle en déposant un baiser sur son front. Sa voix s'était fait chaude, sensuelle, presque rauque. Ses yeux dérivèrent sur les joues de sa cible, puis sur la ligne virile de sa mâchoire. « Je t’enlaçais… » Murmurait-elle contre son oreille, en accompagnant les gestes à la parole « puis je te goûtais…comme ça » sa voix n’était qu’un souffle, mais London pouvait parfaitement l’entendre. Il déposait de tendres baisers le long de sa mâchoire descendant toujours un peu plus, avant de descendre vers son cou et de laisser le bout de sa langue tracer une arabesque contre sa peau. Il remonta lentement, lascivement, savourant les tremblements dont son partenaire était pris. London l’explorait, le goûtant de ses lèvres, puis de sa langue, et inversement, toujours langoureusement, le mettant au supplice car il voulait plus, toujours plus. Il resserra encore un peu plus son étreinte, jusqu’à ce que leurs bassins se touchent. Leurs corps étaient enfin collé-serré, mais ne pas pouvoir sentir sa peau sous la sienne le frustrait d’autant plus. Ses yeux étaient assombris par un désir violent qu’il contrôlait comme il pouvait, sinon il se serait jeté sur elle et leur étreinte aurait été trop passionnelle pour une pièce aussi raffinée. Il risquait d’y avoir de la casse. Elle frôla les lèvres de l'homme, ses yeux rivés dans les siens « Mes mains dansaient sur toi…comme ça » son souffle percutait la bouche de sa proie, mais elle ne bougeait pas, voulant frustrer ce dernier autant qu’elle le souhaitait. Sa main gauche griffa les reins de London en remontant le long de son dos, doucement, alors que de l’autre, elle remontait le long de son flanc, appréciant le corps finement sculpté qu’elle sentait sous ses doigts à travers sa chemise.
Elle ne posa pas sa bouche sur la sienne. Torture… Elle laissa son nez se nicher dans son cou, humant le parfum qui n’appartenait qu’à lui seul, avant d’y déposer un baiser. Du moins il l'avait pensé. Elle avait planter ses crocs, juste là, l’emprisonnant, se fondant en lui afin de le faire sien. Il avait eu peur un instant, mais il était sans limite et le goût de ce plaisir était le plus tentant qu'il eût jamais connu. Il se laissa faire, se laissa emmener sans la moindre idée de ce à quoi il avait affaire. Durant cette découverte tactile, sensuelle, olfactive, ils n’avaient pas cessé de danser, se déplaçant à leur rythme, suivant l’envoûtement de la mélodie. Il ne voulait pas de valse, ni de quoi que ce soit d’autre, il voulait du sexe. C’était sa danse à elle, la danse de ses crocs, suivant sa propre musique. Mais le duo n’avait rien de pudique. Quiconque aurait été présent, aurait assisté à une explosion d’érotisme, tel un courant de lave brûlant qui risquait à coup sûr de tout enflammer sur son passage. Car, il le saurait plus tard, Belle-Morte était la plus intense et la plus dangereuse des flammes. La musique poursuivait son œuvre, tandis que la vampire griffait de ses mains le dos de London, tel un loup, sur son torse, ses hanches, ses fesses, pour remonter vers sa nuque… Elle jouait un ballet primitif, sauvage, accentuant la pression, diminuant la vitesse selon son bon plaisir, comme si London était son instrument, afin d’en sortir les plus belles notes, les plus beaux sons, les cris, les hurlements… Ses crocs plantés en lui, elle le renversa sur le grand lit paré entièrement de soie rouge et là, le chevaucha sans ménagement, le plongea en elle alors qu'il émettait des râles de plaisir. Elle le fit sien, le dompta comme l'on dresse un chien. Et quand les sensations lui firent atteindre le paroxysme, elle le submergea totalement, il sentit presque une partie de lui qu'il ne connaissait, se calciner sur ce passage et l'aspira hors de lui-même.
J'ouvris les yeux en entendant mon propre cri. Il n'était pas normal d'avoir rêvé de cela, il n'était pas normal d'avoir revécu ma première visite dans le lit de Belle-Morte, il n'était pas normal d'avoir senti l'Ardeur à ce point au travers d'un rêve. Et pourtant ce souvenir était réel, je ressentais à nouveau intensément son attirance pour l'Ardeur, peut être aurait-je même pu y goûter à nouveau pleinement sans préavis si je m'était écouté. Même des décennies depuis notre dernier contact, même à des kilomètres, Belle-Morte pouvait toujours faire ce qu'elle voulait de moi et si un jour elle réussissait à nouveau à me toucher de n'importe quelle façon, je savais que je sombrerai à nouveau, impuissant. Vous savez ce qui est le plus terrible dans mon histoire ? Ce n'est pas toute la douleur, la crainte, la perte, la solitude, le sexe, la dépendance ou la plaisir. Non, c'est la colère qui me hante depuis que j'ai surpris mes frères et ma soeur. Cette colère qui me ronge, que je restreins, dont je me nourris. Cette colère que tous ignorent, que je ne libère pas, car j'en perdrais la tête. Autour de moi, les gens ne s'en rendent pas compte, ils ne savent pas, ne se doutent pas de cet entité que j'héberge depuis des millénaires. Peut être est-ce mieux ainsi, les gens craignent pas ce qu'ils ignorent.... Mais surtout, elle me permet de rester censé.
Si j'ai appris une chose en vivant comme putain puis comme esclave, c'est la Mort. Nombreux sont ceux qui vivent et qui méritent la mort et beaucoup meurent alors qu'ils méritent la vie. Mais pouvons nous la leur donner ? Non. Oui. Pas selon les lois humaines. Alors ne soyons par trop ardents à vouloir donner la mort au nom de la justice.
Je me souviens de ce que nous disaient les plus vieilles putains londoniennes quand les clients partaient au petit matin, elles s'asseyaient sur nos lits et se donnaient des airs de savants en déclamant :
Vous avez beau vivre et jouir de la vie, votre vie n'est qu'une mort, vous qui en gaspillez la plus grade part dans le sommeil et dormez tout éveillés, vous qui hantez les songes, vous qui subissez le tourment de mille maux sans parvenir jamais à en démêler la cause, et qui flottez et titubez dans l'ivresse des erreurs qui vous épargnent. Enfin, pourquoi trembler si fort dans les alarmes ? Quel amour déréglé de vivre vous impose ce joug ? Certaine et toute proche, la fin de la vie est là ; l'heure fatale est fixée, vous n'y échapperez pas. Mais pourquoi donc vouloir plus longue vie ? Qu'en sera-t-il retranché du temps qui appartient à la mort ? Vous ne pourriez rien en distraire qui diminuât la durée de votre néant. Ainsi, vous aurez beau vivre assez pour enterrer autant de générations qu'il vous plairez, la mort toujours vous attendra, la mort éternelle, et le néant sera égal pour celui qui a fini de vivre aujourd'hui ou pour celui qui est mort il y a des années et des mois. Votre âme est stupide de chercher à persuader un malheureux de rester en vie et de vous empêcher d'atteindre la mort avant votre terme. Montrez-moi plutôt combien le couchant est beau ! Est-ce si terrible ? La vie a une durée limitée : même les arbres finissent par tomber. Même si les maux disparaissent, mon malheur subsiste. Celui qui fauche les hommes et les vampires vous emmènera de toute façon, sans ménagement, comme n'importe quel criminel, en disant : "Je vous emmène, car votre destin est de mourir, quand bien même votre nom continue à vivre." Peut-être que quand je mourrais, peut-être, la mort seule me donnera la clef et la suite et la fin de cette aventure manquée qu'est ma vie. Il n'y a pas de naissance pour aucune des choses mortelles; il n'y a pas de fin par la mort funeste; il y a seulement mélange et dissociation des composants du mélange. Naissance n'est qu'un nom donné à ce fait par les hommes.
Je ne crains pas la mort, je l'ai vue, encore, et encore, la Mort est ma plus vieille amie comme Belle-Morte est ma plus grande ennemie et ma plus grande tentation.
Dernière édition par London O. Rehn le 1/5/2014, 01:20, édité 1 fois
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 02:55
Hannn un faux faible ! Dot va se sentir moins seule, même si c'est une vraie faible /pan/
Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche :29: En cas de besoin, tu peux toujours demander à un membre du staff
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 09:04
Bienvenue parmi nous et bonne continuation :05:
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 09:48
Oh un joujou sexuel!! (oui bon hein, faut assumer sa connerie) Bienvenue parmi nous
You must be ready to burn yourself in your own flame : how could you become new, if you had not first become ashes ? ~ Friedrich Nietzsche.
Vinzent G. Henkermann
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 10:34
Ah carrément infant de la reine des catins ! On s'refuse rien. Bienvenue parmi nous et bonne rédaction
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 15:21
Bienvenuuuue
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 30/4/2014, 16:33
Bienvenue ! Je dirais pas bonne chance pour la fichette puisqu'elle est bien avancée !
Vinzent G. Henkermann a écrit:
Ah carrément infant de la reine des catins ! On s'refuse rien.
Ca fait la deuxième fois que je cite Vinz en se moment. On doit être dans le même état d'esprit en se moment ... ou pas ! En tout cas je suis d'accord avec lui. On ne se refuse rien par ici !
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 1/5/2014, 01:25
Merciiii à tout le monde vous êtes adorables
Vive les joujous sexuels moi je dis La connerie, c'est la vie :11:
On aime pas la reine des calins par ici ? :63: :58: Dites moi si il y a des choses qui cloche, ça fait un petit bout de temps que je me suis pas remise au goût du jour niveau vampire et tout le tralala
★ OFFICIER DIEGO ★
SIGNALEMENT : Prince du Chaos ; Fils du Feu ; Lui-qui-attire-les-goules-dans-les-multis ; HABILITIES : Pouvoir de l'attardus debilitus ; OFFICE : Briseur de la vitrine d'Eoghan ; Cow-Boy qui fait du rodéo sur Poney-Sanford ; Némésis de MishMish ; Associé de l'Agent Oups, le chatccident ; SERENADE : /watch?v=D365SZuES18 /watch?v=PDsqAz4Io4o /watch?v=IBDJQF3EXpU
Je bois dans ta déchirure et j'étale tes jambes nues ; je les ouvre comme dans un livre où je lis ce qui me tue. - GB
Rhys V. Archos
ALIAS Rhysette ; l'amateur de pâté en croûte et de sérénades au clair de lune
Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 1/5/2014, 01:27
Moé je veux bien des câlins, surtout sur le ventre et derrière les oreilles
Bienvenue en tout cas M. Durex
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 1/5/2014, 15:57
Oh Ben Barnes
Bienvenue parmi nous En espérant que tu t'amuseras bien par-ici !
Why So Serious ?
Met un peu de couleur dans ta vie !
SIGNALEMENT : Nobody said it was easy It's such a shame for us to part Nobody said it was easy No one ever said it would be this hard Oh, take me back to the start. HABILITIES : Infecté par la gêne Lycanthrope Amadeo a perdu ses dons de Necromanciens qu'il a cédé à l’horrible Betty dans un mariage funeste. Lycanthrope faible. OFFICE : Voleur de renommé, travaillant occasionnellement pour la MB. Charlatant, Escrocs. Consultant thanatopracteur. SERENADE : Young - Hollywood Undead / Scientist - Coldplay
As long as you don’t choose, everything remains possible.
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 2/5/2014, 12:07
Grraaouu Ben Barnnnneesss !!!!! *court partout et viole*
Bon courage pour la suite de la rédaction !
In my head I’m losing ; For sanity I’m begging
SIGNALEMENT : ton pire cauchemar « Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. » ; -La ligne verte- ; Stephen King
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Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon. Ou, tout simplement : tu deviens fou. ; Stephen King
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Sujet: Re: [en cours] London O. Rehn ☆ 95% 24/5/2014, 00:47
Hello !
Le délai pour faire ta fiche est terminé. Veux-tu plus de temps ? En cas de besoin, n'hésite pas à demander.