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 Axel William Peters ~ " In the arms of cactus angels " [Terminé]

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MessageSujet: Axel William Peters ~ " In the arms of cactus angels " [Terminé]   Axel William Peters ~  " In the arms of cactus angels " [Terminé] Icon_minitime14/4/2014, 22:48

Axel William Peters
Feat Robert Downey Jr


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE Le 15 mars 1980 à Boston; AGE 35 ans; NATIONALITE Étasunienne ; CAMP Un inspecteur de la BRIS ;ETAT CIVIL Célibataire, c’est tellement bon LIEU D'HABITATION Appartement modeste dans un quartier sombre à première vue mais relativement calme. ; METIER Inspecteur; CLASSE SOCIALE Moyenne. ETIQUETTE Je suis plutôt réputé sauvage, solitaire. Louche disent les vieilles dames, mystérieux et cynique pour les plus jeunes. Je suis aux yeux de tous un flic appliqué et efficace mais trop douteux, obscur ou encore trompeur.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères
Orgueilleux : ça touche énormément de personne. Permettez-moi cependant de me différencier des autres.
Tout d’abord parce que je refuse d’être considéré comme un mouton qui suit bêtement le troupeau. Le plus frustrant c’est que nous sommes tous des pions dans la société et qu’il faut de temps à autre accepter ce principe.
Mais je déteste ça. J’ai besoin de briller, même si c’est de loin, même si c’est de façon évasive voire inquiétante. Je déteste qu’on porte atteinte à ma fierté, le ridicule me couvre de honte, la honte me dévore. J’ai besoin d’une image saine ou impressionnante, dans tous les cas marquante.

Possessif : certains diraient jaloux. Je le suis avec les femmes, pour le peu d’histoires sérieuses que j’ai vécu ainsi que pour mes amantes. C’est ainsi. Les femmes que je touche ne sont souvent que des coups d’un soir, des inconnues ou de faibles connaissances tout au mieux ; paradoxalement, elles me sont chères. Je tiens à elles. Je tiens à être un souvenir inoubliable, j’adore les entendre me décrire comme un type différent des autres de par mon arrogance murmurée, mes failles à peine soupçonnées.
Ce défaut m’a parfois conduit à l’ivresse, l’ivresse à la violence. C’est un trait de caractère qui me cause bien des torts et des souffrances mais que voulez-vous ? On n’se refait pas.

Railleur : j’adore critiquer. En mal surtout. Et de façon ironique, de sorte à ce que le public présent profite de la vanne et de mes mots bien placés. Les quelques réactions engendrées par mes moqueries m’encouragent à ne pas éteindre ce…défaut ? Vraiment ? Ça peut me donner un air amusant si je ne vais pas trop loin dans la dérision.

Juste : ah, difficile à croire pas vrai ? Malgré mes défauts je suis un homme loyal et intègre. Quand bien même il m’arrive d’avoir tort, je sais le reconnaitre. Si ce n’est ouvertement, au moins intérieurement. J’ai conscience du bien et du mal – ce qui reste subjectif je vous l’accorde – et je m’applique à ne pas faire pencher la balance selon mes seuls envies, préférences, désirs et intérêts.  

Habile : je crois pouvoir le dire sans prétention. J’ai de bons réflexes, physiques et intellectuels. Je suis vif d’esprit, perspicace. Une capacité qui s’est probablement développée grâce à ma profession, c’est d’une aide non négligeable. Pour ce qui est de la dextérité physique, l’expérience m’aide aussi mais de mémoire j’étais déjà un gamin adroit.

J'aime le silence - les brises légères - le levé du soleil - le piano - le sport - deviner l'admiration - apaiser l'angoisse - inspirer le respect - le calme avant la tempête - les croquis au crayon - ...

Je déteste les gens bruyants - le froid et l'humidité - le manque de subtilité - l'ignorance  (la mienne ou celle des autres) - les incompétents qui font perdre du temps - les prétentieux - les gens comme moi ? ...

J'ai bien quelques peurs. J'appréhende la mort, pas celle qui promet de nous éteindre à jamais mais bien celle qui peut être générée par les vampires. Je redoute aussi la solitude quand je ne l'ai pas décidée. J'ai peur du vide et je crains l'eau.

Occupation nocturne
Je suis inspecteur. Ça devrait suffire pour faire comprendre que j'ai assez peu de temps pour sortir le nez du boulot.
Ma mère réussirait à vous convaincre que c'est exclusivement de ma faute. Que quand on veut, on peut.

Pour lui faire plaisir je m'efforce donc de sortir, quelques soirs dans la semaine en essayant tant bien que mal d'éviter les nuits blanches. Mais ça n'est pas qu'une corvée, au final. Rencontrer les gens reste une aventure intéressante et je ne perds jamais de vue ma profession : si j'ai moyen de choper quelques informations au passage...
Non, sans blague. Je peux aussi prendre l'air pour prendre l'air. Sans la moindre déformation professionnelle. Passé vingt et une heure, quand je quitte le bureau, j'aime fréquenter les pubs dans lesquels se produisent de jeunes groupes en quête de gloire. C'est divertissant et ça me permet de croire, l'espace de quelques minutes, que la vie est calme. Posée. Indulgente.
Mais le naturel revient au galop quand on tente de le repousser et c'est plus fort que moi : j'observe, j'étudie, je dissèque les scènes qui se déroulent sous mes yeux. Pas toujours discrètement si j'ai bu un peu trop, mais tant pis.

S'il est trop tard, si aucune belle demoiselle ne s'est montée intéressée ou si une affaire traine et menace de me déprimer, je n'attends pas d'être au bout du rouleau : je me jette carrément dans le vide. Un peu masochiste peut être ? Non, je m'installe derrière le piano - ok, ce n'est qu'un synthétiseur - et je joue. Ça peut durer des heures, je peux me laisser aller à chanter, une bouteille toujours posée sur la petite table à côté.
Je fredonne mes mélodies maladroites en rêvant qu'un jour j'aurai un véritable piano, avec un vrai son.

Voilà pour les soirées.

Les journées sont bien plus chargées, ce qui est une bonne chose. Je me lève entre cinq et six heures. Ce n'est pas du masochisme cette fois, c'est stratégique : je n'ai pas trouvé d'autre moyen de faire du sport. Et puis le matin, c'est le meilleur moment.
Après de bons étirements je commence par une heure de musculation, puis j'enchaine sur divers exercices jusqu'à sept heures trente. Une douche indispensable, j'avale un café médiocre - il est temps de changer de cafetière - je suis fin prêt.

Si j'ai longtemps prôné les avantages des transports en commun, aujourd'hui je les évite. J'ai fait ma part pour l'écologie, et je supporte de moins en moins les passagers. C'est tellement plus pratique d'être seul à bord, de se sentir indépendant. C'est le travail qui me donne bonne conscience : on a toujours besoin de se déplacer partout à la BRIS.
Ma mère hésite à me croire.

Au bureau je n'arrive jamais très gaiement. Imaginez si en plus il me faut prendre le bus !
Je salue tous mes collègues et me remémore aussitôt les enquêtes en cours. Parfois la nuit a porté conseil, on envisage les choses sous un autre angle et avec une bonne équipe, les investigations qui semblaient bloquées la veille peuvent soudain paraitre claires. Ça reste plutôt rare.
J'essaye d'être agréable avec tous les membres de la BRIS mais je suis si entêté, si obstiné à réussir qu'il m'arrive d'oublier la politesse.
Néanmoins mes collègues savent me rappeler que nous sommes ensemble et l'indulgence dont ils font parfois preuve est attachante.

Il m'arrive de prendre une heure pour faire une pause. Pour manger un bout et me laisser croire que j'ai le droit de souffler. J'ai déjà été renvoyé, coup d'pied au cul, pour ne pas déjeuner penché sur un dossier. Dans ces cas là je fais ma BA. Je passe voir ma mère, la rassure en répondant oui à tout et profite de ses talents de cuisinière avant de revenir.

Les journées s'enchainent vite mais aucune ne se ressemblent. C'est passionnant et éreintant. J'apprécie la plupart de mes collègues; sans les emmerdeurs ce pourrait devenir lassant non ?
Ce traintrain désespère ma mère comme vous l'aurez compris mais c'est un quotidien qui me rassure. J'aime me savoir toujours occupé, débordé, me sentir utile, avoir l'impression d'être dans le bon camp, d'agir pour la veuve et l'orphelin. Voyez le topo ?
C'est lâche. C'est une façon de fuir tout ce qu'il pourrait se passer d'autre dans ma vie mais l'existence de ces créatures a terminé de me convaincre : personne ne peut vivre paisiblement ici. J'essaye de prendre les plaisirs qui passent et paradoxalement, je m'engage chaque jour un peu plus dans ma profession, surement pour qu'aucun plaisir ne m'entraine trop loin de cette sombre réalité.

Manies, habitudes & goûts
♠️ Ne me laissez pas avec un stylo dans les mains, je peux vite devenir agaçant. Il va tourner et virer dans tous les sens tandis que mes neurones s'agitent et se concentrent. J'oublie vite ce que je fais avec l'objet que je chahute, c'est une façon comme une autre d'être absorbé !
♠️ Je conduis mal. Enfin, c'est ce qu'on dit. Sauf que ma voiture n'a pas une seule rayure ! Disons que je ne conduis pas de manière très délicate, mais ce n'est pas une activité qui m'inspire des masses. Quand je conduis je suis en fait déjà entrain de travailler, encore entrain de cogiter, toujours focalisé sur ce que je viens de lire ou d'apprendre.
Ce peut être dangereux mais pour l'heure, je suis entier ainsi que tous ceux qui ont été mes passagers.
♠️ J'aime les femmes. Une, deux, quinze. Mais ça reste compliqué d'être attentif quand elles sont trop nombreuses, puis ça piaille. Plus sérieusement, j'aime surtout celles qui se démarquent des autres. Pas la peine d'avoir la tenue à la mode, l'expression de la semaine ni même l'attitude dictée par la société pour être une fille remarquable.
♠️ Trop d'excentricité tue l'excentricité et quand ils veulent finalement tous être topsusubranché, ils en deviennent ridicules. Ouais, j'ai du mal avec les grands ados.
♠️ Mes cheveux sont incoiffables, ce n'est pas un drame, si ?

Convictions
La révélation m'a bouleversé. Soyons honnête. Qui aurait pu apprendre ça et rester de marbre, reprendre son petit-déjeuner ou sa partie de poker ? J'ai d'abord eu peur, extrêmement peur pour ma mère. Sauf qu'on fini par se faire à tout, il faut croire, et elle fut la première à avaler la pilule.
Après la peur, j'ai ressenti énormément de colère. Comment a-t-on pu passer à côté ? Comment les personnes au courant ont-elles osé taire cette terrible vérité ? J'accordais déjà difficilement ma confiance, c'est devenu catastrophique.
Enfin, j'ai fini par me dire qu'il n'est jamais trop tard. Que désormais les choses sont dites, qu'il faut savoir se positionner et accepter le nouveau rôle de chacun.

Nous en savons de plus en plus sur ces différents créatures, mais rien de ce que je peux entendre ou lire ne me rassure vraiment. L'humain est déjà si déjanté, pourri et malsain. Il faut maintenant que l'on apprenne à vivre avec des démons ?
Je ne peux les apprécier, je peine déjà à les respecter. Ils sont contre nature, ils sont une menace permanente et quand bien même certains sont irréprochables, leur présence est une aberration.
Je garde pour moi cette animosité mais elle n'est pas compliquée à deviner...

En présence d'un de ces monstres je fais au mieux pour ne pas manifester mes rancœurs, mais il est vrai qu'au premier contact je suis distant, comme s'ils étaient repoussants. J'ai juste l'air encore plus méfiant !

Néanmoins je suis un professionnel appliqué, permettez. L'expérience m'a démontré plus d'une fois que certains humains sont pires que les lycanthropes, les sorciers. Les vampires sont vraiment une race particulière que je n'arrive pas à avaler, mais encore une fois je fais preuve de recul - autant que possible - pour rester impartial, juste. Ça fait partie de mes valeurs, je ne me laisserai jamais guider par mes simples intuitions si elles sont infondées.
J'ai même pu remarquer qu'il y avait parfois plus d'humanité chez un médium ou un métamorphe que chez un bon vieil humain. C'est le genre de prise de conscience qui nous évite de devenir parfaitement sectaire. Je veux laisser une chance à chacun. Je commence par être méfiant, avec les non-humains comme avec mes congénères - on n'est jamais trop prudent - mais un brin de clémence est toujours présent, ça doit me venir de ma mère.
Chacun son héritage.
Mon implication dans la BRIS me permet de garder un œil sur les plus soupçonnables, je savoure mon rôle lorsque j'ai la possibilité de faire payer une de ces créatures, que la victime soit humaine ou non d'ailleurs. J'ai aussi pu ressentir une étrange fierté, une satisfaction dérangeante lorsque l'inculpation d'un criminel a blanchi un vampire.

Mon but est de faire en sorte que justice soit rendue. Que les coupables soient jugés à hauteur de leur crime et que les victimes soient dédommagées.
L'espèce de l'individu concerné n'a pas à influencer mon enquête. Il s'agit de savoir écouter son instinct sans le laisser nous aveugler ; rester le plus ouvert possible pour attraper les preuves évidentes.

VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Inventé ; PSEUDONYME Chouu’ ; DERRIERE L'ECRAN Il n’y a pas grand-chose à dire voyez-vous ! Je rp – vraiment – depuis plus de quatre ans, quand les études de droit puis la recherche de boulot me le permettent, à moins que ce ne soit l’inverse.  nimuqueuse J’aime évidement écrire mais aussi dessiner, les jeux de rôle en général, le soleil, le tiramisu, les Marvel (bd surtout). Voilà. Autre chose ?  CODE DU REGLEMENT " Eh bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu’on pourra commencer."  ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Grâce à Rebekah T. Kenton ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM J’ai bien peu fréquenté les forums fantastiques mais celui-ci est beaucoup trop attrayant pour que je passe à côté. Hâte de savourer chaque recoin en votre compagnie… ; AVATAR UTILISE Robert Downey Jr


Dernière édition par Axel W. Peters le 16/4/2014, 09:47, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Axel William Peters ~ " In the arms of cactus angels " [Terminé]   Axel William Peters ~  " In the arms of cactus angels " [Terminé] Icon_minitime14/4/2014, 22:48

Chronologie

• 15 mars 1980, Boston : Naissance. J'ai fait peur à mes parents, non pas que j'étais vilain - quoiqu'un bébé à la naissance n'est pas franchement beau - mais j'avais de la fièvre. Il a fallut m'expédier dans un autre hôpital.
• 23 juin 1982, Boston : L'arrivée d'un frangin. Tout s'est bien passé pour mes parents, pour moi ce fut différent. J'étais encore bien jeune pour tout saisir, mais l'essentiel était explicite : on venait de me voler la vedette !
• Août 1998 : J'entame des études de droit, naturellement motivé par la carrière de mon père. Il est agent du FBI. Ma mère tente de me dissuader, mon frère trouve ça désolant.
• 1er janvier 2001 : Mon père décède à l'hôpital suite à un accident de voiture. Mon frangin hurle à l'assassinat, ma mère prend dix ans d'un coup et je fais mon possible pour tenir la petite famille.
• 2004 : Je mets tout en œuvre pour être admis au FBI. Envoyé en Virginie pour suivre la formation, je choisis de faire confiance au cadet pour s'occuper de ma mère. Mes tests physiques sont prometteurs et mes résultats scolaires assez satisfaisants. Ma mère prend sa retraite la même année, elle était institutrice.
• 2009 : Après quelques années d'exercice, je deviens inspecteur et mon travail m'oblige à déménager. Shreveport. Connais pas. Ce n'est pas comme si j'avais le choix ! Et je n'ai pas le temps de m'y faire : tout se précipite.
> La révélation.
> Je fais venir ma mère ici pour pouvoir veiller sur elle.
> Mon petit frère refuse de suivre et prétend poursuivre ses études à Boston. Je ne l'ai pas vu depuis et les nouvelles sont rares.
> J'intègre la BRIS.