Sujet: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 21:55
JOSEF GRIM FRISK
Feat Jamie Dornan
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ dix mars soixante dix-neuf, dans un chalet bavarois ; AGE ☞ trente-cinq ans ; NATIONALITE ☞ bien qu'il soit né en allemagne, il est issu d'un père suédois et d'une mère britannique et possède les deux nationalités ; CAMP ☞ membre de la blanche confrérie ; TYPE DE MAGIE ☞ josef pratique la magie blanche, même si la magie noire, parce qu'elle apporte beaucoup de puissance, l'attire de plus en plus ; NOM DE VOTRE MENTOR ☞ freyja njörd-völsunga ; DATE DE LA FIN DE VOTRE INIATION ☞ encore en initiation ; STATUT ☞ simple membre de la blanche confrérie ; CLASSIFICATION ☞ potentiellement dangereux, la confrérie a bien conscience que quelque chose cloche chez josef même si elle est incapable de prouver quoique ce soit pour le moment. sa chasse aux artefacts anciens, ses absences prolongées, son penchant pour les magies puissantes sont autant d'indices qui leur mettent la puce à l'oreille ; ETAT CIVIL ☞ célibataire mais rarement seul ; LIEU D'HABITATION ☞ josef a fait l'acquisition d'une vieille maison dans le quartier nord. METIER ☞ il est archéologue et parcourt le continent à la recherche de trésors cachés, notamment ceux qui pourraient l'aider à améliorer sa magie, n'hésitant d'ailleurs pas à revendre ses trouvailles. afin de voiler ses activités derrière une façade de respectabilité, il est correspondant pour le daily comet ; CLASSE SOCIALE ☞ ses parents étaient des espèces de hippies riches, mais il n'a jamais touché un centime de leur part, excepté après leur mort où il a hérité d'un petit pactole. mais sa principale source de revenus reste son emploi, qui lui permet de mener une vie confortable. ETIQUETTE ☞ josef est vu comme un électron libre, un peu excentrique mais pas méchant. les parents ne conseillent pas à leurs enfants d'être vus en sa compagnie, qu'on estime un peu néfaste parce qu'il est athée et aime l'art expérimental, d'autant que les bruits et les lumières en provenance de sa maison ne rassurent pas les fermiers voisins. il entretient en revanche d'assez bonnes relations avec les vampires (comparées à celles qu'entretiennent le reste des sorciers avec eux), à qui il ne cherche pas de noises, et n'a que peu de relations avec les loups. chez les sorciers, il a plutôt une réputation sulfureuse à cause de son trafic d'artefacts.
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractèresJosef est quelqu’un d’ambitieux, qui recherche un pouvoir toujours plus grand, toujours plus achevé. Chaque décision qu’il a prise jusqu’à aujourd’hui, il l’a prise dans son intérêt propre, celui de l’enrichissement de sa magie. Bien qu’il ne penche pas naturellement vers la magie noire, si cette dernière peut lui apporter ce pouvoir qu’il désire, il n’hésitera pas longtemps à se tourner vers elle, d’autant qu’il est facilement corrompu. Il est également intrépide et n’aime rien tant que partir à l’aventure. En ce sens, son métier d’archéologue le comble puisqu’il lui permet de partir explorer les coins reculés du continent américain. Le danger et l’inconnu ne l’effraient pas, loin de là. Tête brûlée, Josef n’hésitera jamais une seule seconde à se battre pour obtenir ce qu’il veut, voyant le profit avant le danger. En dehors de cela, il est plutôt sociable et agréable, même s’il ne vaut pas mieux le croiser durant l’un de ses mauvais jours. Il peut en effet se révéler très brutal et violent lorsqu’on se met en travers de sa route. Josef ne s’embarrasse pas de convenances et de langue de bois, il dit ce qu’il pense, quand il le pense et passe pour un jeune homme un peu excentrique et pas toujours fréquentable. Occupation nocturneJosef se décrit lui même comme un explorateur, un aventurier, termes un peu romanesques pour décrire son métier d’archéologue. Il s’est spécialisé, au fil de ses études, dans les civilisations indo-américaines, qu’elles soient originaires du nord ou du sud du continent américain. Il est donc fréquemment sur les routes afin de se lancer à la recherche d’anciens sites à valeur archéologique. C’est relativement difficile en Amérique du nord parce que les Indiens n’y ont jamais véritablement établi de civilisation basée sur l’écriture, mais le centre et le sud du continent lui procurent davantage de satisfaction. Dans ses recherches, il découvre souvent d’anciens artefacts utilisés par ces civilisations qui lui permettent soit de pratiquer la magie, soit de gagner un complément de revenus. Cette partie-là de sa profession est bien entendue illégale et peu connue, mais les rumeurs vont vite à Shreveport, surtout qu’il travaille pour Freyja. Mais il lui arrive bien entendu de la doubler et de ne pas lui communiquer certaines de ses trouvailles. Josef se cache sous un voile de respectabilité en travaillant comme envoyé spécial pour le Daily Comet dans lequel il publie divers papiers concernant ses trouvailles archéologiques. Manies, habitudes & goûtsAmateur d’art, et en particulier d’art expérimental, il aime se rendre à diverses expositions, concerts et séances de cinéma en rapport avec ce domaine. D’ailleurs, dans sa maison de Shreveport, il possède plusieurs tableaux d’artistes qu’il apprécie. + C’est un cordon-bleu, il adore cuisiner et peut passer des heures dans la cuisine, ne portant qu’un tablier. + Josef aime voyager (vous l’avez compris) et se paie fréquemment des retours aux sources en Bavière là où il a grandi. + Il joue du piano et en possède d’ailleurs un sur lequel il aime s’exercer afin de ne pas perdre la main. Ce n’est pas un grand pianiste, mais c’est le seul instrument dont il sait jouer et jouer l’aide à se relaxer. + Josef a un petit rituel avant d’aller se coucher ; il prend systématiquement un bain accompagné d’un verre de vin rouge. Il n’en change pour rien au monde, sauf lorsqu’il est à court de vin, ou en bonne compagnie. + Matérialiste, il est attaché à ses possessions même s’il a bien conscience que ce ne sont que des objets qui peuvent être remplacé. C’est notamment le cas de sa vieille Mercédès qu’il possède depuis des années et qui ne fonctionne plus très bien, mais dont il refuse catégoriquement de se débarrasser. + Josef a un léger accent britannique. + Ses passe-temps favoris ? Le tricot, l’astronomie, le cinéma et les orgies. Il rêve de voir un film à propos d’un astronaute qui tricote et organise des orgies dans l’espace. Magie utiliséeDe la même manière que la plupart des autres sorciers, Josef a hérité d’un don de médium de sa mère, elle-même dotée de cette capacité. Ce don s’est déclaré chez Josef à l’âge de quatre ans, mais il n’a jamais vraiment été en mesure de le contrôler complètement, de même que son don de clairvoyance, lot commun des sorciers qui s’avère très accidentel chez lui, et qu’il ne maitrise guère. Lorsqu’il fut en âge de le faire, il rejoignit la blanche Confrérie en tant que simple mage, suite logique de son éducation par des parents qui croyaient en la paix et le bien (merci les hippies). Les pouvoirs qu’il a développés semblent proches de la terre et la nature, puisqu’il a appris à exercer le Barbarisme, capacité qui lui permet de devenir un être proche de l’animal, capable d’attaquer et de se défendre à mains nues, sans armes ni vêtements. Malheureusement, lui qui est désireux de devenir un mage de la terre a bien conscience que la magie tirée de la nature est en voie de disparition, la faute à l’industrie, polluante et destructrice, et son avidité de toujours plus de pouvoirs pourrait être rassasiée par la magie noire, plus puissante et plus gratifiante. Ses penchants ainsi que ses activités de commerce d’artefacts de parfois grande valeur lui ont valu d’être classé membre « potentiellement dangereux » par la confrérie. Comme bon nombre de sorciers et mages, Josef doit cependant composer avec les exigences de sa magie, qui le coupe peu à peu du reste des êtres humains. En effet, tourné vers la terre et la nature, il se dégoute de plus en plus de la civilisation et des rapports sociaux, et se réfugie auprès d’animaux (ou d’êtres humains capables de se transformer en animaux – les loups et les métamorphes par exemples, voire même les vampires). Il devient incapable d’entretenir des relations sophistiquées, est de plus en plus brut de décoffrage, ne s’embarrasse plus de politesses ni de mondanités. ConvictionsJosef estime que la Révélation a été une erreur monumentale, exposant des millions de créatures magiques plus ou innocentes au conservatisme et à la peur des êtres humains qui ne manquent jamais de moyens et d’idées quand il s’agit d’éradiquer. De plus, les différentes races magiques étant à présent à découvert, les guerres que se menaient les unes et les autres se sont déplacées sur un autre terrain, autorisant les vampires ou les lycanthropes à s’en prendre aux populations voisines du théâtre de leurs affrontements. Être dans l’ombre forçait les créatures magiques à agir avec prudence et à faire attention. Elles sont désormais libérées de cette prudence historique qui n’a jamais fait partie de leurs traditions. Pour Josef, les autorités ont fait une grave erreur, et la fragile paix entre toutes les races, y compris les humains, basculera à la première provocation. Signes particuliersJosef a un tatouage sur le bas de la jambe, juste au dessus de la cheville, représentant un corbeau en train de voler.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? inventé ; PSEUDONYME johnny tamère ; DERRIERE L'ECRAN derrière l'écran, il y a la pomme de mon macbook, et ensuite quelques romans et une photo de mes grands-parents, et puis une carte du monde et ensuite c'est le mur. CODE DU REGLEMENT eh bien il ne manque plus que le thème musical de dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? par un partenariat me semble-t-il ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM je suis abasourdi, le travail fourni est hallucinant. ; AVATAR UTILISE jamie dornan.
Dernière édition par Josef Frisk le 26/1/2014, 11:42, édité 22 fois
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 21:56
Chronologie
10MARS79, UN PETIT CHALET AU CŒUR DE LA FORÊT NOIRE EN BAVIÈRE ▶Ma mère écarte les cuisses, et hurle. au bout de quelques heures de labeur, me voilà, rebuts de ses intestins, au milieu de ses entrailles dégoulinant sur le lit et sur sa peau. Mon père est là aussi. Je suis né, fils d'une bourgeoise anglaise possédant le don de médium, et d'un hippie suédois moustachu. Dehors il fait nuit depuis longtemps, mais la maison est malgré tout éclairée par un immense feu de cheminée qui éclaire toute la pièce et diffuse une lumière brillante. je me rappelle de cette sensation d'être né dans un monde chaleureux et doux - une sensation que je n'ai jamais retrouvée depuis - je m'en rappelle comme si j'en avais été conscient.07MARS83, LE MÊME CHALET ▶C'est mon anniversaire dans trois jours, mais quelque chose me tiraille. Je suis alors trop petit pour comprendre, me semble-t-il aujourd'hui, un pressentiment. Je ne suis pas heureux du tout depuis mon réveil, pas excité par les préparatifs de l'évènement qui s'approche. J'en fait part à mes géniteurs, trop camés pour m'entendre, qui articulent quelques paroles de réconfort, mais sans parvenir à me faire changer d'avis. Quelque chose arrive, je leur répète, quelque chose de "pas bien". Ils balaient mes inquiétudes d'un revers de la main, et retournent à leur jardinage/fumette. Je me renferme dans mon pressentiment et oublie que dans trois jours, j'aurai quatre ans.09MARS83, UNE MAISON DANS LA CAMPAGNE DE CAMBRIDGE, GRANDE-BRETAGNE ▶Mildred Osborne approche des quatre-vingts ans à grands pas, et elle a pris un coup de vieux ces dernières années. Ses traits ont vieilli d'un coup, presque artificiellement. Des rides sont apparues là où elles étaient absentes jusqu'à présent. Et surtout, la pauvre dame n'a plus toute sa tête. Sa fille ainée, la sœur de ma mère a même été obligée d'emménager avec elle afin de prévenir tout risque. Mais elle ne pouvait prédire (ou plutôt elle aurait pu le faire mais aucune vision ne lui vint) que sa mère mourrait d'une crise cardiaque.10MARS83, AÉROPORT DE MUNICH, ALLEMAGNE ▶Tandis que nous attendons l'avion qui nous emmènera en Angleterre, je peux entendre mes parents chuchoter à mon propos. Ma mère explique à mon père que mes dons se sont enfin manifestés, qu'elle ne s'y attendait pas, mon père hoche la tête à répétition comme s'il essayait de chasser des mouches qui tournoient au dessus de lui. Ma mère insiste et lui dit que j'avais raison, qu'on ne fêterait pas mon anniversaire.31JUILLET87, LA PETITE MAISON DE MA TANTE PRÈS DE CAMBRIDGE ▶Après la mort de ma grand-mère, ma tante est restée vivre dans la maison de sa mère, et nous lui rendons visite chaque été ; cette année ne fait pas exception, mes parents ne sont simplement pas venus avec moi. Ma tante s'est occupée de moi tout l'été, mais il est facile d'échapper à sa surveillance (pendant sa sieste quotidienne ou dans le noir de la nuit), ce que je fais avec grand plaisir. Aujourd'hui, en plein milieu de la nuit, je découvre, caché sous des encyclopédies dans le salon, un gros livre ancien, que j'ai du mal à prendre dans mes bras tant il est lourd. Quand j'ai réussi à le ramener dans la chambre que j'occupe, je le pose sur le lit et l'ouvre. Je ne comprends pas tout, mais il m'apparait vite qu'il s'agit d'un vieux grimoire plein de créatures fascinantes et de recettes intrigantes. Au fur et à mesure de mes lectures je prends la décision de le subtiliser et de le ramener en Bavière.26AOÛT89, COLLÈGE DE SALDENBURG, BAVIÈRE ▶C'est la rentrée scolaire. Ma première rentrée au collège. Tout le monde est excité autour de moi, mais je ne participe pas à l'ivresse collective. Je veux rentrer chez moi, retrouver ma forêt. Je secoue la tête, essaie de me ressaisir, mais quand on a seulement dix ans, on n'a pas autant de volonté, de force intérieure. J'entre donc dans ma salle de classe en tremblant. Il y a trop de monde autour de moi, je veux partir.03JANVIER92, UN MOTEL À QUELQUES LIEUES DE SHREVEPORT ▶Mes parents m'ont laissé dans le motel pour aller chercher les clés de notre nouvel appartement, ne voulant certainement pas s'embarrasser de leur gosse pour aller, en même temps, acheter de quoi s'embrumer l'esprit.31OCTOBRE94, BANLIEUE RÉSIDENTIELLE DE SHREVEPORT ▶C'est Halloween. On s'est tous déguisés. Certains d'entre nous ont apporté de quoi boire. On fait la tournée des maisons et on demande des friandises. A ceux qui nous répondent qu'on est trop vieux pour ça, on leur jette des œufs et des rouleaux de papier-toilette. Moi je les assortis de sorts mineurs que j'ai appris au fil du vieux grimoire de ma tante. Je me réveille dans me vomi le lendemain, déchet parmi d'autres déchets, une migraine qui cogne violemment contre mes tempes.02DÉCEMBRE94, NOTRE APPARTEMENT, SHREVEPORT ▶La nuit est tombée depuis longtemps mais je n'arrive pas à dormir. J'entends du bruit de l'autre côté du mur de ma chambre, là où se trouve l'appartement des voisins. Les bruits sont étouffés, mais les cris et les coups sont distincts. Je finis par me lever et je vais chercher mes parents, profondément endormis dans leur chambre. Ils se trainent avec moi jusqu'à l'appartement des voisins, et mon père frappe à leur porte. Personne ne répond. Je n'entends qu'un bruit de froissement puis plus rien. Nous retournons nous coucher.03DÉCEMBRE94, IDEM. ▶En rentrant du lycée, mes parents m'apprennent que nos voisins, un jeune couple, ont été sauvagement assassinés. La police n'a aucune piste, mais mes parents, eux, ont vu les corps. Ce sont des vampires qui ont fait ça. Ils m'annoncent qu'on doit partir, que Shreveport est remplie de créatures dangereuses dont les vampires sont les plus visibles. Nous ferons nos bagages le lendemain, et nous seront partis le 4 au soir.11JAN95, NOTRE MAISON, LOWER EARLEY, GB ▶À peine installés dans notre nouvelle maison anglaise, et les festivités de fin d'année terminées, mes parents m'annoncent qu'ils ont l'intention de m'envoyer dans un établissement privé perdu en pleine campagne anglaise. Ils me disent que c'est pour mon bien, pour que j'aie accès à une meilleure éducation. Je me résigne, ne dis rien ; dans deux ans mon calvaire sera terminé de toute façon. Deux ans, ce n'est rien. Surtout que je suis déjà versé dans l'art de la sorcellerie et que je sais que je vais bien m'amuser.25JAN97, BERTHRAM GRAMMAR SCHOOL FOR BOYS, MIDLANDS, GB ▶J'ai posé mes valises dans mon dortoir et dit au revoir à mes parents. Ils sont partis et m'ont laissé derrière eux. L'école est une vieille bâtisse qui date de Jérusalem, mais le parc est immense et s'étend à perte de vue, et l'avantage de ce genre d'endroit, est qu'il fournit un nombre incalculable de petites cachettes. Je n'attends pas que les adultes en charge viennent me trouver, et m'échappe du dortoir, profitant que les autres élèves sont en cours et que les couloirs sont vides pour me familiariser avec les lieux. Je ne reste pas longtemps dans les locaux et pars explorer les extérieurs, dépendances incluses. Tout en cheminant, à la recherche d'une cachette appropriée pour mon petit laboratoire à potions, je laisse voguer mes pensées. Pas de filles ici, dommage, mais pas grave, comme le disait si bien un de mes voisins de Shreveport, "y a du bon chez tout le monde". Je ferais contre mauvaise fortune bon cœur.14JUIN97, IDEM. ▶Je quitte le lycée, mon diplôme de fin d'études en poche, avec un sentiment de mélancolie. Ç'a été de belles années, malgré mes réticences initiales. Les longs weekends solitaires au pensionnat m'ont donné le loisir de m'intéresser un peu plus à la magie, plus que si j'étais resté avec mes parents, qui me surveillent toujours d'un œil circonspect, craignant de me voir rejoindre ce monde que ma mère a fui. Et puis je me suis bien amusé, dans les dortoirs et sous les douches...05NOVEMBRE01, BIBLIOTHÈQUE DE CAMBRIDGE ▶Il suffit de savoir où et quoi chercher pour trouver des livres intéressants dans cette bibliothèque. Les rayons "histoire" et "société" entre autres regorgent de petits trésors pour l'apprenti sorcier que je suis. J'ai rejoint la blanche Confrérie quelques années plutôt, mais il a fallu que je fasse mes propres recherches pour comprendre qu'il existait un autre type de sorcellerie, celles des mages. Depuis, c'est devenu mon objectif.10MAI02, JARDINS DE L'UNIVERSITÉ DE CAMBRIDGE ▶La date de ma soutenance approche à grands pas, mais il m'est difficile de me concentrer sur mes études avec le temps somptueux qu'il fait en ce moment. Alors en général, j'emmène mes révisions à l'extérieur et je m'étends au soleil, sans t-shirt, mes lunettes de soleil vissées sur mon nez, pour tenter de m'imprégner de "La fin des civilisations indigènes en Amérique", le titre de mon mémoire. Malheureusement aujourd'hui, j'ai été rejoint par un groupe d'amis, et les bières et cigarettes ont plus d'intérêt pour moi que les gros volumes que j'ai empruntés à la bibliothèque. C'est cet après-midi que je vais faire la rencontre d'Aaren Blackriver, un autre étudiant dans le même domaine que moi, que je n'avais jamais rencontré jusqu'à maintenant.05OCTOBRE02, CORDILLÈRE DES ANDES ▶C'est la première fois que je mets le pied en Amérique du sud, et accompagné de celui qui est désormais mon meilleur ami, Aaren, j'ai décidé d'arpenter la Cordillère des Andes afin de me familiariser avec ces lieux magnifiques. Mais ce soir, alors qu'Aaren est endormi dans sa tente, je me suis éloigné de notre campement, et j'ai lancé un enchantement afin d'augmenter ma perception, pour m'immerger complètement dans le monde qui m'entoure. Lorsque l'enchantement se dissipe enfin, je me sens vidé. L'idée de retourner au campement m'est insupportable, il me faut partir, m'en aller. M'enfoncer dans la montagne est la seule solution. Je me débarrasse de mes vêtements, et quitte le campement avec pour unique guide la lumière des étoiles et de la lune.11FÉVRIER03, FRONTIÈRE MEXICANO-AMÉRICAINE ▶Désorienté, je fonds en larmes. J'ai les lèvres desséchées, les membres endoloris, le goût du sang sur la langue. Mes cheveux sont longs et me tombent sur le front. Je cligne des yeux pour m'habituer à la lumière violente du soleil, quand tout à coup deux policiers m'agrippent et me tirent dans une baraque sombre. Il fait frais. Mes yeux, habitués à l'obscurité, peuvent enfin s'ouvrir grand. Ils me parlent en espagnol, et je ne comprends rien. Je hoche la tête, leur faisant signe que je ne sais pas ce qu'ils disent. L'un d'eux marmonne dans un anglais approximatif : « Votre nom ? » Je leur donne.12FÉVRIER03, UNE CELLULE À LA FRONTIÈRE MEXICANO-AMÉRICAINE ▶Il me semble que je suis enfermé ici depuis trois mois, mais ça ne fait même pas vingt-quatre heures. J'ai été balancé sous une douche froide pour me laver de la boue séchée, de la poussière et du sang, mes plaies ont été soignées, et on m'a foutu dans cette cellule sans s'occuper plus de mon sort. Deux hommes en costume-cravate s'approchent de moi et me parlent. En Anglais. Soulagement. Ils travaillent pour le consulat anglais et viennent me chercher. Je suis porté disparu pendant cinq mois, ils me disent.22AVRIL04, MA MAISON DE SHREVEPORT ▶Ma mésaventure de l'année dernière m'a servi de leçon, je ne pratique désormais plus de sortilèges trop en dessus de mon niveau et je fais surtout attention à la sorcellerie qui, je l'ai appris à mes dépens, me transforme. Son influence m'a forcé à errer sans but et sans vêtements dans toute l'Amérique du sud sans que je n'ai aucun souvenir de mon aventure. Et je sens que lorsque je tente de pratiquer de la magie élémentaire, l'animal qui est en moi rugit et veut sortir. Je peux sentir son emprise sur moi, me faisant haïr jusqu'au contact des autres humains. Je fais donc attention, même si je n'ai probablement pas choisi le meilleur endroit pour ma santé mentale : Shreveport. Je viens en effet d'y acheter une maison.
Test rp
L’Amérique du sud est un beau continent. Sauvage et dérangé, comme une femme folle et mal coiffée. J’aime m’y rendre, non pas que la Louisiane soit plus propre que l’Amérique du sud. Au contraire, il m’arrive même de penser que si ce n’est pour la langue atroce qu’on y parle, les pays du sud du continent américain sont plus civilisés que la Louisiane. Mais ils ont gardé une part tribale en eux, animale même, comme si les efforts des colons de la péninsule ibérique n’avaient jamais complètement pu éradiquer la force de la beauté primitive du sous-continent. On passe de bidonvilles en villages abandonnés avec la même conviction d’être les premiers visiteurs d’un monde perdu où la misère, la transpiration et l’urine ont, jadis, construit des merveilles et élevé des temples. Les odeurs sont lourdes et chargées d’épices, les hommes ont le front luisant et le pantalon sale à l’endroit où ils ont joui, les femmes ont le ventre déformé par leurs grossesses à répétition, et les enfants perdent leurs dents de lait qui ne sont jamais remplacées, faute de calcium. C’est un monde chargé de possibilités – mais des possibilités éteintes, perdues, enfermées dans les tombeaux sous les vieux temples couverts d’herbes sauvages et de nids d’insectes. Des tombeaux que je viens chercher, ouvrir et piller. Comme toujours dans ces vieux pays à peine entrés dans l’âge adulte de nos standards occidentaux, le voyage est une expédition cauchemardesque à elle seule, un périple dangereux durant lequel les bus sont vétustes et tiennent à peine la route mal terminée. On s’y entasse au milieu de poules et de chats galeux à la toison clairsemée, assis à trois là où ne devrait être que deux. La transpiration qui coule sur le bras de mon voisin s’essuie sur ma peau et se mélange à la mienne, défiant toutes les lois de l’hygiène américaine. Une odeur d’excréments animaux empoisonne l’air saturé du bus, malgré les vitres ouvertes au dessus de nos têtes. Le boucan est terrifiant, comme si le diable rugissait sous le bus, menaçant de le faire tomber en morceau. A chaque nid-de-poule sur le chemin, le véhicule sursaute et nos colonnes vertébrales encaissent le choc, se contractent, craquent. Alors on ferme les yeux, on se bouche le nez et on essaie de trouver un peu de repos, ou de penser à autre chose. Mais parfois, on ouvre les paupières et on jette un regard par la fenêtre couverte de crasse. Et on voit, sous nos yeux, à travers les nuages de poussière dansant dans l’air stagnant de l’été du sud, excités par le passage du bus, s’étendre au delà des frontières de l’horizon, plus loin encore que nous pouvons le percevoir, les immenses paysages sauvages de l’Amérique du Sud, ses forêts exotiques, ses montagnes accidentées, ses prairies asséchées. Et, au détour d'un virage, caché au milieu de la forêt ou agrippé à la façade escarpée de la montagne, un village. Celui-ci est particulièrement pauvre, adossé aux rochers, faisant face au sud, et donc aux assauts les plus périlleux du soleil. Les quelques maisons qui le composent sont décrépites, les toits sont percés, rafistolés à l’aide de tôle ou de bâches en plastique. La lumière du soleil couchant inonde les ruelles sales du village, et les murs semblent s’embraser. Le bus s’arrête dans un vacarme infernal et je me faufile hors de la carlingue, tandis que le vieux chauffeur parvient à vaincre sa grosse bedaine et sort mes deux valises de la soute. Il les balance sur le chemin de terre et me tend une main ouverte. En lui glissant un maigre pourboire, je me félicite de ne pas posséder de sacs de voyage Hermès ou Vuitton, puis j’attrape mes bagages et laisse le bus derrière moi, qui redémarre bientôt et quitte le village en soulevant une tempête de poussière et de sable sur son passage. J’ai trouvé la petite maison que je cherchais, légèrement en retrait du village, un peu en contrebas, presque engloutie par la forêt qui recouvre les pentes de la montagne. Elle est à l’ombre, protégée du soleil par les arbres touffus qui la dissimulent aux regards indiscrets. La porte d’entrée est grande ouverte, et à côté est posée une bicyclette prématurément usée. Je peux entendre quelqu’un siffler à l’intérieur de la baraque, et je cogne deux coups sur la porte ouverte. Il fait sombre à l’intérieur, mais c’est probablement voulu afin de conserver la fraicheur gagnée grâce à l’ombre de la forêt. Je ne distingue pas tout de suite la silhouette qui s’affaire dans la pièce, mais le sifflotement m’oriente. « Joe ? » Il m’a reconnu, donc. J’entre dans la maison et il faut quelques secondes à mes yeux pour s’habituer à la pénombre. Le temps tout juste pour mon hôte de m’affubler d’une embrassade virile. « Salut Aaren. » Il me lâche et me propose d’aller sur la terrasse pour boire le thé glacé qu’il vient de préparer. Ca me fera du bien après mon périple, ajoute-t-il. Convaincu, j’accepte et le suis. Nous sortons et faisons le tour de la petite maison. Nous arrivons sur sa petite terrasse, donnant sur un pan dégagé de la forêt, d’où nous avons une vue imprenable sur les vallées en contrebas. Il fait frais de ce côté-ci, et libéré du poids de mes bagages, je peux enfin m’asseoir tranquillement sur une vieille transat artificiellement rembourrée de plumes de volailles locales. Aaren me tend un verre de thé glacé et s’assied à son tour, sur le bord de la chaise longue sur laquelle j’ai élu domicile. Je le connais depuis l’université, c’est un Anglais des plus traditionnels, attaché à son accent un peu ampoulé et à ses bonnes manières. Lui aussi a fait des études d’archéologie et s’est spécialisé dans les civilisations d’Amérique du Sud, où il a élu domicile. Il m’appelle lorsqu’il fait une découverte intéressante et j’accours pour venir m’exciter à ses côtés à propos d’un site maya ou inca, et il me laisse emporter avec moi deux ou trois pièces que je préfère revendre plutôt que voir exposées dans un musée où personne ne comprendra rien à leur utilité réelle. En échange de son hospitalité et de sa discrétion, j’accepte de dormir avec lui, voire de ne pas dormir et de le laisser passer une nuit moite entre mes cuisses. Nous ne buvons d’ailleurs pas longtemps notre thé glacé, puisque dès que les politesses en vigueur sont échangées, je le débarrasse de son verre et de ses vêtements, et lui exprime ma joie de le revoir. Fatigué par mon voyage, j’aurais aimé dormir, mais il nous a fallu nous lever avant l’aube afin de pouvoir partir en expédition avant que le soleil ne soit trop haut et ne commence à cogner. C’est l’une des règles d’or de l’archéologie – éviter les grosses chaleurs. D’autant qu’à une telle hauteur, une petite excursion innocente dans la montagne peut vite se transformer en cuisson à feu fort. Quand nous partons de chez Aaren, le soleil est donc seulement en train de se lever à l’est, mais la lumière de l’aurore est déjà suffisamment intense pour nous permettre de nous diriger sans craindre de nous perdre ou de trébucher, d’autant qu’Aaren connaît les lieux comme sa poche. Le trajet me semble long, entre des côtes abruptes, des chemins sauvages, des virages serrés et des sentiers presque invisibles dans la forêt, mais nous finissons par arriver au bord d’un petit lac ombragé. Aaren me demande l’heure et je regarde ma montre. Il est déjà dix heures passées, cela fait plus de trois heures que nous marchons. Je m’assieds sur un rocher, sors une clope et fais promettre à Aaren que demain, nous viendrons à vélo. Ce à quoi il rétorque d’un air moqueur qu’on ne peut accéder au site qu’à pied, que si ça ne me convient pas je n’ai qu’à aller dormir avec le reste de l’expédition, sous une tente près du site. Avant que j’ai pu répondre, il ajoute : « Puisqu’on a encore un peu de temps et qu’on est pas très loin, je vais piquer une tête. » J’éclate de rire, mais lui ne plaisante pas, et il ôte ses vêtements et plonge dans le lac. « Bordel, elle est glaciale, » hurle-t-il depuis le lac, « mais qu’est-ce que c’est bon ! » Je sais ce que ça implique… Aaren est le vice incarné. J’éteins la cigarette en l’appuyant sur le rocher, et jette mes fringues par terre. La recherche attendra.
Dernière édition par Josef Frisk le 26/1/2014, 11:55, édité 22 fois
And we are doomed to play
♦ Life is full of chapter. Just because you have one that`s bad doesn`t mean the book`s finished ♦
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin MISSIVES : 6790 ACTE DE PROPRIETE : Ziamsboy ♦ lordbryndenrivers ♦ The Meteors
« Mais évidemment, si les cochons avaient des ailes, le bacon volerait. » ♦ Dôme tome 2 ♦ Stephen King
Stella Montgomery
ADMIN ♦ Le jambon galactique, autrement appelé le distributeur Durex.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:03
Le gif de fifoouuuuuuu
Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche En cas de problème, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff. N'oublies pas de respecter le nombre minimal et maximal de mots et que tu peux flooder comme tu le souhaites
Invité
Invité
Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:05
Stella Montgomery a écrit:
Le gif de fifoouuuuuuu
Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche En cas de problème, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff. N'oublies pas de respecter le nombre minimal et maximal de mots et que tu peux flooder comme tu le souhaites
OH GOD, faut pas me dire ça.
Et le gif vient de Twin Peaks (et celui du renard d'Antichrist)
Merci en tout cas !
And we are doomed to play
♦ Life is full of chapter. Just because you have one that`s bad doesn`t mean the book`s finished ♦
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin MISSIVES : 6790 ACTE DE PROPRIETE : Ziamsboy ♦ lordbryndenrivers ♦ The Meteors
« Mais évidemment, si les cochons avaient des ailes, le bacon volerait. » ♦ Dôme tome 2 ♦ Stephen King
Stella Montgomery
ADMIN ♦ Le jambon galactique, autrement appelé le distributeur Durex.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:07
Flooder c'est bon pour la santé :05:
Je dois regarder Twin Peaks *rajoute sur sa liste de série*
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:08
Alors je suis en sacrée forme :11: Et oui, regarde, si tu aimes King tu aimerais Twin Peaks
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:10
Friskies
Bienvenue. Bon courage!
DEVIL INSIDE ME
SIGNALEMENT : la voleuse de corps, le monstre sur le seuil des ténèbres, le cauchemar au visage d'ange. HABILITIES : Télépathie à double sens ; absortion des cauchemars ; lecture d'âme ; création d'illusions ; magie noire. OFFICE : gère une petite troupe d'accrobate et des réunions occules au sous-sol de sa boutique SERENADE : Tiamat - Judas Christ
SOMBRES SACRILEGES
SOBRIQUET : Eden Memories MISSIVES : 945 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memories; tumblr
Freyja Njörd-Völsunga
BIG BAD BOSS ✥ la garce du nord
Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 20/1/2014, 23:22
Rien que pour le gif sur Twin Peaks j'ai envie de te faire l'amour. Bienvenue par ici toi. :51:
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 00:01
Un barbu tout nu qui m'accueille et Eva Green qui me saute dessus ? Where have you been all my life ? Merci à vous deux
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 00:02
Citation :
HABILITIES: clairvoyance, bon au lit.
Intéressant... xD
Bienvenue parmi nous Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 00:04
Merci
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 00:15
Bienvenue futur congénère ! Si j'ai bien tout suivi, on risque de s'croiser chez la mère Freyja !
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 10:18
Je vois que tu as passé le test du "Es-tu siphonné ?" avec brio, toutes mes félicitations. Bienvenu parmi nous et bonne chance surtout !
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 10:48
C'est le seul test que je passe avec brio en général Et oui, Shamina, c'est en effet une possibilité même si c'est pas encore arrêté. Merci à vous deux !
Invité
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 12:29
Il aime King, il connait Twin Peaks GOSH Bienvenue dans le coin monsieur :11:
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 12:52
Merci madame
SLOPPY LITTLE WEREBITCH.
SIGNALEMENT : † psychotique névrosée aux allures de chien écrasé. HABILITIES : † Lycanthrope (hybride/forme Lupus) et toutes les habilités qui s'y rattachent. OFFICE : † petite chieuse de renom; membre du Pard (squatte momentanément chez Teodor); impliquée dans le crime organisée (anciennement trafiquante de V-Juice pour le compte de Vladimir); recyclée dans cette capacité de ne ''rien faire''; enceinte jusqu'aux orteils.
THAT'S THE THING WITH WHISPERS; YOU PUT A THOUSAND OF THEM TOGETHER, AND YOU GET A HOWL.
SOBRIQUET : † feunoyr. (pseudo), Capitaine HighLiner ou SodoMilliSeins pour les intimes. Chagasse est aussi acceptée; Milli. La Cruche. Grosse Bebite Poilue. Mildrew. Millou. Pâté en croûte. Chattoune. Millouchamour. Millouschnaps. Millouche. Minouscka. Millitrou. Mi-Nichon. Mi'Chat. Michon. Michouille. Millichon. Millouchat et cie. Je les collectionne. MISSIVES : 1448 ACTE DE PROPRIETE : † Katie McGrath. Avatar par feunoyr. et Gifs de faymcwrath tumblr.
WHO'S THE BADDEST BITCH IN TOWN?
Millicent Fitz
ALIAS ☾ SodoMilliseins: chagasse de service
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:00
Bienvenue chez les fous!
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:06
Josef Frisk a écrit:
ETAT CIVIL ☞ possédé
Possédé ? Par qui ? Quoi ?
Josef Frisk a écrit:
ETIQUETTE ☞ josef est vu comme un électron libre, un peu excentrique mais pas méchant.
Tiens, tiens, ça me rappelle quelqu'un...
Bienvenue mister, et bon courage pour la suite de la fiche. (du monde dans la BC, c'est cool ça !)
Invité
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:12
Jules E. Lancester a écrit:
Josef Frisk a écrit:
ETAT CIVIL ☞ possédé
Possédé ? Par qui ? Quoi ?
SPOILERS :05: Enfin cette partie de l'histoire est un peu nulle, je crois que je vais la changer.
Jules E. Lancester a écrit:
Josef Frisk a écrit:
ETIQUETTE ☞ josef est vu comme un électron libre, un peu excentrique mais pas méchant.
Tiens, tiens, ça me rappelle quelqu'un...
Ahah toi ?
Merci en tout cas (et très bon choix d'avatar)
Invité
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:47
Josef Frisk a écrit:
SPOILERS :05: Enfin cette partie de l'histoire est un peu nulle, je crois que je vais la changer.
Josef Frisk a écrit:
Jules E. Lancester a écrit:
Josef Frisk a écrit:
ETIQUETTE ☞ josef est vu comme un électron libre, un peu excentrique mais pas méchant.
Tiens, tiens, ça me rappelle quelqu'un...
Ahah toi ?
Non monsieur, moi je suis méchant pour de vrai.
En passant je te retourne le compliment, Dornan dans la peau d'un mage blanc à pervertir, ça le fait pas mal. (enfin presque noir... disons gris... GANDALF QUOI MAIS AVANT TU-SAIS-QUOI)
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:51
Jules E. Lancester a écrit:
Josef Frisk a écrit:
Jules E. Lancester a écrit:
Josef Frisk a écrit:
ETIQUETTE ☞ josef est vu comme un électron libre, un peu excentrique mais pas méchant.
Tiens, tiens, ça me rappelle quelqu'un...
Ahah toi ?
Non monsieur, moi je suis méchant pour de vrai.
En passant je te retourne le compliment, Dornan dans la peau d'un mage blanc à pervertir, ça le fait pas mal. (enfin presque noir... disons gris... GANDALF QUOI MAIS AVANT TU-SAIS-QUOI)
/me is not even afraid. :12:
Bah oui, ça me fait bizarre aussi, mais je m'y habitue et puis le personnage s'adapte aussi à Dornan en fait, je change certains détails en fonction de lui. Puis je l'aime d'amour. A la base je voulais prendre Skarsgard, c'est avec lui que j'avais construit le personnage, mais il est déjà réservé alors j'ai dû improviser.
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:57
FEAR ME YOU LITTLE CUTIE :21:
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 13:58
I AIN'T EVEN CLOSE.
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 16:05
*chantonne sur l'air de la signature*
Sinon, cette photo, je crois qu'en entier, sans découpage ni rien elle est juste ... scandaleuse. Mes petits yeux en sont horrifiés en souvenir, si c'est bien celle à laquelle je pense Mais j'ai une bonne mémoire pour ... ça
Bref, bienvenue mister *_*
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Sujet: Re: [terminée] here comes the night time 21/1/2014, 16:10
/me chantonne avec Ace. (Prénom d'enfer, sexiest king in the north ever, troll, ily already)
Elle est très scandaleuse, d'où le découpage. Je suis prude quand même (LOL says the world).
Merci Gros DarDar (et après ça vient parler de scandale !)