Traits de caractères Du venin, qui coule entre les lippes, qui s'écrase sur le tee-shirt. De la bave et du sang peut-être. Des tas de sécrétions dont on ignore pour la plupart la provenance et elle se tient immobile. Immédiate. Entre deux pôles, entre deux veines. Une langue fourchue, tendue, prête à surgir au moindre bruit et des neurones en vacances. Elle respire, à peine. De quoi sustenter son organisme frêle, son être démantibulé ; bon à lâcher aux chiens affamés. Entre trois coups de crocs pointus, des gueules grandes ouvertes et ses gémissements qui perforent l'acte. Sainte amochée. Une cinglée, une putain dégénérée sans armes et sans désirs. Juste celui de ne plus rien voir, de sentir surtout. Toujours. Une obsédante fantaisie de percevoir sans apercevoir jamais. Elle se perd. Elle se perd selon son bon vouloir, selon ses convoitises. Selon ses besoins ; la frénésie. Nulle ambition si ce n'est celle de s'accrocher le plus longtemps et crûment possible à la vie. Juste de quoi couvrir le drame qu'elle renouvelle, selon ses humeurs et ses fantasmes. Assez pour ne plus imaginer la moindre lumière au bout d'un quelconque tunnel. Mise sous tutelle, familles d'accueils, et des fugues à ne plus savoir compter sur les doigts. Un, deux, trois, six. Elle respire, encore. Et la réalité disparaît. Bouchon de champagne planté dans un plafond si haut, tellement haut, invisible, impossible, aux tâches d’humanité, humidité, aux toiles d’araignées suspendues. Elle se marre, quand il faudrait pleurer ; et les larmes trop rarement irriguent ses rétines sèches à devenir aveugle. Aveugle et sourde et pleine de rancœurs vaines. Elle existe, dans un cosmos purulent de conneries. Dans un monde inventé de toutes pièces par cet esprit maniaco-dépressif qu'elle traîne derrière elle tel un gros boulet. Poppy est une crampe à la jambe, une saleté dans l’œil, une tumeur à la tête, un point de côté quand il faut fuir. L'écorce d'un arbre qui vous écorche la paume de la main. Acide et méchante. Douce et puis mutine. Une enfant sauvage, une enfant acharnée, une fille à ne pas approcher, fréquenter. Une pétasse à ignorer. Une étreinte amoureuse qui vire à l'adieu, peut-être un plateau de charcuterie si l'envie lui en dit. Des viandes qui se superposent, une odeur insupportable, qui prend au nez, qui étouffe. Donne, confisque, fait ensuite dégueuler. Les mots manquent et les images, elles, deviennent de plus en plus pressantes, oppressantes, nombreuses, affolées. Elles deviennent vérité pure, mensonge merveilleux. Occupation nocturne Elle ne fait rien. Elle accepte – presque – tout. Une frimousse qui s'ennuie, une attitude qui n'impressionne personne. Qui attire, il se peut. Quand la brume matinale déverse sa mélancolie à travers la ville, qu'il ne reste plus que des souvenirs et des regrets à l'esprit. Les courbes ridicules qui s’arquent et s'entrelacent, Poppy est une nymphe sans cours d'eau. Desséchée sur le bas-côté à attendre qu'une voiture la percute, l'écrase, lui défonce sa mignonne petite tronche sur la chaussée. Mais ça n'arrive jamais. Crinière brune et longue et emmêlée. Un nez rond et des lèvres épaisses. Une gorge gracile et une nuque bonne à briser. Blanche, si blanche qu'on la soupçonne fantôme, apparition, muse oubliée. Poppy est le mensonge des siècles et des millénaires passés. Un individu parmi tant d'autres, dont la triste existence laisse à supposer que la solitude est un crime, ou que pareille bestiole devrait être enfermée. Écartée. Soustraite de l'attention du commun des mortels au risque de la perturber dans sa contemplation du vide et des néons. Elle n'est pas malheureuse, Poppy. Elle attend. Elle attend que quelque chose se passe, se disloque, qu'un grain de sable flingue le bon fonctionnement du monstre mécanique, de chairs et de consciences aussi. Elle patiente dans l’intolérable mutisme qui la caractérise, la matière grise clapotant au sein d'une boîte crânienne sûrement ramollie. Car il est vrai que Poppy apprécie les pilules et les gélules et les pochettes surprises. Poppy, elle aime par-dessus tout le jus de vampire. Et le peu d'argent déposé entre ses doigts, disparaît aussitôt dans un miasme écarlate et pâteux, qui sur sa langue rose et humide s'étale et s’épanouit. Puisque Poppy, si elle n'est pas malheureuse, c'est parce qu'elle a réussi a trouver, ouais, elle a trouvé – elle a trouvé le moyen de s'évader. De s'échapper très loin d'ici. Convictions Demande-t-on à un chien s'il aime les croquettes ? La fleur sans teinte est en retard. Ou en avance ; Un cran d'arrêt et elle dérape. Bulle hermétique, de fantasmes et de chimères difformes. Poppy n'a qu'une vision dégradée, éraflée, tourbillonnante de ce et ceux qui l'entourent. Et si l'idée débile de la questionner sur un vampire taquinait un interlocuteur. Poppy ne serait pas en mesure de différencier le vampire du zombie, le zombie du cadavre et pourquoi d'ailleurs un zombie ça peut encore bouger. Un zombie ça bouge et ça parle ? Ça parle pas, ça vagit et le vampire palabre. Des iris dilatés et un vague rictus au coin droit des lèvres explosées. Elle hausse les épaules et roule ses orbites en direction du soleil. Poppy n'est pas idiote. Elle est seulement déconnectée de l'actualité. Poppy n'est pas inculte. Elle est tout au plus... sélective. Un lycanthrope est un gros chien, peut-être un chacal. Un loup vous-dites ? Un loup, d'accord. Un être mi-homme mi-bête. Elle éclate alors de rire, observe de biais et semble persuadée que vous voulez la tromper. Pourtant ce n'est pas les faits et les drames qui manquent. Poppy n'explore le journal que quand elle passe devant un kiosque. Poppy ne regarde la télévision que pour se vautrer sur un canapé. Poppy lit beaucoup de livres, des romans, des essais, de la poésie – des récits variés. Et elle juge et prétend avec aplomb qu'il ne faut pas confondre la fiction et la réalité. Signes particuliers Des cicatrices sur les bras, principalement. Sur les cuisses, légèrement. Sur le ventre, c'est exact. Les pieds, quelques-unes. Poppy ne fait pas attention où elle marche, où elle va, avec qui et pourquoi. Poppy gratte ses croûtes, convulsivement, dès que celles-ci apparaissent. Et puis elle se frotte, s'arrache le derme, systématiquement. Un toc qu'elle ne maîtrise pas, dont elle est à peine consciente. Ainsi ses bras sont lacérés, il lui arrive d'avoir des plaques et des rougeurs. Lorsqu'elle est toute seule, chez elle, dans son trou à rats puant, le ventre et les cuisses sont attaqués. Du stress, de l'inconfort, de l'anxiété ou du manque. Il y a tellement de raisons ; tellement qu'il est absurde de vouloir comprendre.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Inventé weshtavû; PSEUDONYME Si je le dis vous allez me cracher dessus et me mettre des coups de baskets dans le ventre ; DERRIERE L'ECRAN mes genoux et aussi mes doigts de pieds avec du vernis vert *_* CODE DU REGLEMENT Jésus, Jéé-éésus reviens. Jéé-éésus reviens parmi les tiens ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Il y a 400 ans aux confins de l'Inde ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM Je suis le plus terrible des orages, la nature qui pleure des larmes de rage ; sur les terres indomptées du Gevaudan ; je suis l'eau qui perfore les roches, qui se gorge des minéraux qu'elle emmène de force avec elle. Je suis l'eau qui jaillit en un million de bulles miraculeuses pour donner une vie longue, joyeuse. Je suis l'eau devenue légende é qué ssapélorio Quezac. Et sinon, ça va, j'me touche pas trop la nuit ; AVATAR UTILISE Freja Beha Erichsen
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 12:08
1. Plafond. Immense et blanc, des tâches parfois. Ici et là. Par là-bas, elle remarque. Elle attend, elle sent. Elle reprend son souffle, s'étouffe. De l'espoir qui se distille, dans les câbles violacés qui sous son derme se dessinent, palpitent, gonflent. À l'intérieur de la tête, c'est un carnage. Des sensations violentes, des idées morbides. Son menton qui se hisse en direction du vide. Ses jambes se tordent, sous les salves de plaisirs des doses, éparses, trônant dans la pièce comme autant de preuves de ses échecs. De l'ancien au nouveau. Elle s'oblige à rester silencieuse. Il ne faut pas les réveiller. Qui ça ? Elle ne sait pas exactement, suppose les entrevoir. Dans une boîte à chaussures, une bouteille d'eau, une canette, entre les vêtements, noyés dans les draps, sous elle, quelque part entre ciel et terre. Des étoiles par milliers, une lueur nocturne triste, pâle, fantomatique. La vitre sale est ouverte sur le dehors. La brise hivernale s'engouffre et elle ne frisonne pas. L’entrebâillement laisse filtrer les membranes intangibles et si lumineuses pourtant, d'une déesse mystique, branque. Illustre madone laiteuse, crème, jaunâtre. Passablement merdique, avec ses bubons sur la face et ses airs de Marquise. Et Poppy, elle prie. Elle ignore qui. Elle prie, c'est tout. Comme une enfant à qui on a omis d'apprendre à prétendre. À se façonner pour l'existence, à travailler son masque, à se battre et débattre avec la vie. Elle énonce les sollicitations, les calvaires, les naufrages, à un ou une inconnue capable d'écouter ses divagations, ses soupirs. Ses lippes bougent, doucement, se collent l'une à l'autre, se pincent, se caressent. Les paupières s'abaissent, durant une minute, ou deux. Elle se concentre, voudrait entendre une réponse, trouver un signe parmi les mouvements agités des organismes qui se frottent, parmi les bruits alambiqués des rues critiques. Dans la quiétude des ténèbres, lourde et absolue. Il n'y a – hélas – que l'odeur de l'hémoglobine qu'elle a ingéré, si caractéristique. Il n'y a que la brûlure intense de l'héroïne, qui parcourt ses membres, malmène son système nerveux. Amorphe, elle regarde. Elle devine. Elle combine et les perceptions se superposent si vites. Des traces de sperme, et lui. Lui qui au dessus d'elle expire comme un bœuf. Un monstre qui la monte, qui la prend, qui la baise avec dirait-on pour dessein de mourir. Poppy ne bouge pas. Ne ressent que le néant et la chair de l'opposé qui touche et irrite la sienne. Elle ne voit que ses iris bleus, électriques, qui dans l'obscurité de la chambre irradient presque. La calcinent. Ses joues rosissent et lui serre plus fort encore ses mains sur ses bras maigrichons. Déjà les traces de ses doigts osseux zèbrent sa peau livide de fille fragile, malade, faiblarde. Ses cuisses malmenées par les siennes et ses cheveux qui s'emmêlent et collent à sa nuque. De la sueur et ses grognements à lui. Les fragrances emplissent ses narines et elle voudrait hurler. Il faut qu'il s'évapore comme la fumée d'une cigarette, il faut qu'il explose comme une bulle de limonade à la surface. Il faut qu'elle s'éloigne. Qu'elle s'endorme. Qu'elle s'envole.
2. Elle marche. D'une dégaine branlante, ailleurs, mal assurée. Le souffle court, les tripes en morceaux. De la douleur, de la douleur. Une centaine de douleurs et des coups de bâton. Dans le bide, entre les jambes, sur les chevilles. Elle s'accroche. S'écorche. Poppy avance, avec le malheur des crétins, la terreur des amochés, des imbéciles. Des déments. Ses semelles défoncées par les rues parcourues s’éraflent toujours davantage sur l'asphalte sale de la cité de sang. Du sang partout. Sur les murs, sur les lampadaires, les fenêtres ; Dans l'air, aussi. Elle ferme les yeux. Pour croire que plus rien n'est vrai. Pour ne plus avoir la crainte de remarquer l'horreur du pire. Que ses côtes sortent bientôt, que ses veines jaillissent de sous la peau. Le manque, et la langue pâteuse qui va et vient sur le palais puis les gencives. Les dents sont douloureuses. La gorge est exagérément sèche. Et les poumons se disloquent tandis qu'elle agonise – mutique. Prunelles de l'Innocence trouée. Des billes d'un bleu vacillant au gris allant du vert et virant à l'impossible. L'impossible des couleurs qui aliènent, des reflets qui s’enchaînent. La nuit. La nuit qui tombe et elle qui ne sait plus ce qu'elle est. La fille seule sait ce qu'elle veut, surtout. Poppy feint, Poppy n'oublie jamais vraiment le but d'une démarche entamée. Parce que bouger demande des efforts alors il ne faut pas gaspiller l'énergie durement préservée. Il l'a dit, il l'a murmuré, répété. L'autre. L'autre qui attend dans le studio immonde, dans une artère sordide. Un junkie avec qui elle voyage, pour annihiler la solitude et toucher un esprit qui n'aura pas peur, qui n'aura pas de dégoût, qui s'en fout. Il ne faut pas, elle se souvient toujours et elle halète. Comme une chienne sans chaleur, une gosse sans humeur. Une orpheline des rues qui traîne. Prépare un mauvais deal ou souhaite seulement se faire sauter pour quelques centimes. Des billets verts peut-être, avec de la chance. La chance des nouveaux-nés, celle qui n'existe que dans les rêves. Et sa mignonnette trogne se projette en travers la ville. Poppy, la jolie Poppy, elle cherche de quoi calmer ses envies, ses passions, pulsions. Ses besoins primitifs. Absurdes. La respiration saccadée et le cœur qui ne sait plus tellement où il en est. Ça l'achève, croit-elle. Ça l'agresse, ça la tord, la démonte. Et elle s'arrête. Là, au milieu du trottoir. Sa veste en jean trop grande, lui bouffant plus de la moitié du corps. Et ses guibolles au vent, qu'un short trop court et déchiré dissimule à peine. Tignasse brune devant les rétines éclatées, le crâne penche. Sur la droite. Dangereusement. La silhouette se cambre et elle observe. Elle guigne avec l'obsession des dégénérés, un chat noir s'extrayant d'un mont de sacs poubelles. Ainsi au manque s'ajoute la faim. La gosse crève la dalle, elle se souvient n'avoir rien avalé depuis deux jours. C'est long, deux jours. Et ses viscères s'entortillent, son estomac lui file des crampes et son cerveau n'est plus capable de réagir correctement. La bouche s'ouvre, molle, baveuse, ignoble. Ses genoux lâchent et son cul percute le bitume poisseux d'averse passée et de pisse récente. Poppy, assise au milieu d'un quartier pourri, la rage au ventre. Les sens détruis – comme une petite mort aimante.
CHRONOLOGIE RAPIDE.
1989 (10 novembre) ; Naissance de Poppy à Hambourg. Allemagne. 2004 ; Sa mère entre en dépression. Son père est en déplacement durant des mois, pour son travail. 2005 (courant octobre) ; Adolescence, mauvaises fréquentations. Première prise de stupéfiants. 2005 (décembre) ; Arrêtée avec de deux ses camarades, pour tapage nocturne et insultes à agents. 2006 (juin) ; Arrête les études, et ne passe pas son diplôme afin d'entrer en université. Surveille sa mère, se démène à sa manière et sa prise de drogue se fait de plus en plus régulière. Elle s'essaye à l'héroïne avec son petit ami du moment. 2007 ; La révélation. Elle en entendra parler sans vraiment s'y attarder, associant davantage la chose à une bande d'illuminés. Continue d'errer. 2008 (janvier) ; ses parents divorcent. Mère dépressive depuis des années et sous cocktail médicamenteux la plupart du temps. Son père obtient donc la tutelle exclusive de Poppy. Sa mère est mise dans un établissement spécialisé, malgré les suppliques de Poppy pour ne pas l'y faire enfermer 2008 (février) ; Le mois qui suit, son père l'emmène en Amérique. 2008 ; les voyages de son paternel reprennent après une courte période de pérennité et de stabilité. Il lui verse régulièrement de l'argent sur son compte. Revient un week-end sur trois à la "maison" qui n'est rien d'autre qu'un bel appartement aux hauts plafonds en centre ville. 2009 (10 novembre) ; Jour de son anniversaire, son père lui avait promis de rentrer pour ses 20 ans. Un empêchement le bloque dans une autre ville. Poppy fait une tentative de suicide. Elle appellera pourtant d'elle-même les urgences, comme on crie du silence. 2009-2010 ; Internée dans un centre de désintoxication. 2010 ; Elle recommence à errer. Son séjour lui fait découvrir et approcher celui qui la fera plonger. Elliott. Après leur sortie respective, une amourette s'en suit. Et les deux jeunes amants retombent dans les mauvaises habitudes. Par désenchantement, par langueur, qu'importe les raisons au fond. 2010 (02 mars) ; Goûte pour la première fois au V. La spirale débute, elle n'en sortira plus. Elle mélange le joint à l'héroïne. Et le V répare, le V libère. 2010 (09 avril) ; Elliott décède d'une overdose. 2010 (avril/mai/juin/juillet) ; second séjour en centre. 2011 ; son père lui accorde son indépendance, à la seule condition qu'elle reste clean. Et pour cela qu'elle fasse des dépistages réguliers. Elle accepte. Réussie à rester loin des poisons durant une année. Se trouve un job, reprend en alternance ses études. 2012 (12 janvier) ; On lui téléphone pour lui annoncer le décès de sa mère. 2012 (13 janvier) ; Poppy disparaît.
Dernière édition par Poppy Weiss le 17/10/2013, 09:32, édité 35 fois
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 12:13
Rebienvenue si je ne m'abuse. Ca fait plaisir de te revoir parmi nous et de pouvoir relire tes lignes toujours aussi :67:
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 12:53
Citation :
PSEUDO: LA LARVE.
:52:
Rebienvenue parmi nous ! Bon courage pour cette nouvelle fiche ^^
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< I think that we need mythology. We need a bedrock of story and legend in order to live our lives coherently. > Alan Moore
Benjamin Rahkamo
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:06
Le flood est ouvert, les gens. :11:
ET C'EST MOI QUI LA PIÉTINE A COUPS DE BASKET!
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:11
Pauvre Larve, laisses lui au moins le temps de finir sa fiche et qu'elle débarque dans le rp pour lui faire ça (oui ça doit être mon jour de bonté aujourd'hui lol)
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:15
Emporte tes bons sentiments ailleurs Don pioupiou, c'est la larve mince.
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:26
Toi. Toi. TOI!! MISERABLE ! /l'emmène dans un coin sombre et la viole dans tous les sens
T'a déserté le temple de ta déesse, maintenant rampe, larve.
JE T'AIIIIME
( ça fais très délire psychotique.. Et ça fais très la meuf qui était pas au courant xD)
Et ÉVIDEMMENT je mets déjà le gros ticket rouge sur ta ptite face adorable. PREUM'S
HELL COME HERE
SIGNALEMENT : Poilue pleine de crocs. HABILITIES : Pouvoirs Lycans. Communication avec les morts. OFFICE : Proprio du Sunco Gazoline SERENADE : Marta - Saez
You saw my pain, washed out in the rain Broken glass, saw the blood run from my veins But you saw no fault no cracks in my heart And you knelt beside my hope torn apart But the ghosts that we knew will flicker from view And we'll live a long life So give me hope in the darkness that I will see the light Cause oh they gave me such a fright But I will hold as long as you like Just promise me we'll be alright
Rosario M. Galeano
ALIAS≠ Rossou la croqueuse de framboises
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:37
Si c'est pas marrant ce que nous ramène la marée
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:38
T'a vu frip on me surnomme marée maintenant grâce à toi, c'est class. C'est violent, intense, ça me qualifie bien :54:
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:41
Benjamin Samuell a écrit:
Emporte tes bons sentiments ailleurs Don pioupiou, c'est la larve mince.
*pique la bouteille de vin de Ben pour la boire* Namého (Don pioupiou :*grayson*: )
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 13:55
*enfile la paire de Caterpillar - qui veut dire quand même chenille en anglais - pour aller piétiner la Larve*
Rebienvenuuuuue :52:
BIATCH PLEAZ'
HABILITIES : Mémoire décuplée ~ Arme psychique ~ Invocatrice OFFICE : Institutrice maternelle // Accepte de faire pas mal de choses pour quelques billets verts ... SERENADE : I'm a bitch ~ Alanis Morisette
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Sac à doala MISSIVES : 1996 ACTE DE PROPRIETE : As' ♥ ~ Mish' ♥²
I wanna feel passion. I wanna feel pain. Don't make me laugh. Or don't make me cry. Just make me feel. Alive.
Laughlin S. Valentine
MARRAINE ; Grande prêtresse du harcèlement par MP & du détournement publicitaire sauvage
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 14:48
~ La question n'est pas de savoir qui tu es, mais à parti de quelle partie de la fiche on s'en est rendus compte :11:
Re
(Ce début de fiche est tout juste :63: )
Sinon, tu vas nous faire poireauter longtemps avant d'écrire la suite?
SIGNALEMENT : L'innocence perdue HABILITIES : Elémentaliste Terre spécialité guérison et protection OFFICE : Palfrenière SERENADE : Bastille - Oblivoin ~Believe in fearies - The Celtic Harmony
Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 15:36
Putain la LARVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
*la couvre de câlins baveux*
Rewelcome HOME!
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 19:09
*Et il sort exceptionnellement de sa tanière interpelé* Cette prose bordel ** qu'est ce qu'elle a pu manquer Devine quoi ? Oui c'est exact tu vas te faire violer dans la minute qui suit et ne fais pas cette tête tu t'y attendais Oh et je ne peux qu'approuver cette chanson bien entendu *La ramène avec lui dans sa grotte histoire de marquer le coup *
P'tain avec ton pseudo j'ai toujours Poppy Z. Brite en tête
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:18
Ehmf comment que... que je suis trop contente. Après les vacs et la reprise des cours, j'me suis aperçue que j'avais re du temps pour mumuser et... j'dois bien avouer que ma maison du rp et tous les barjots qui la peuplent me manquait trop.
MERCIIIIIIIIII de cet accueil sans déconner. Je suis trop happy.
Silhan ; eh bah dis-donc... mercieuh beaucoup é_è. On s'est déjà croisées ? Tu avais un autre perso ?! o_o parce que je dois avouer que celui-ci ne me dit absolument rien @_@. Enfin... je "crois" savoir qui t'es, mais pour éviter de dire des conneries qui risquent de te choquer si c'est pas le cas... je préfère attendreuh.
MMJ ; COUCHEZ GROGNASSE *lui gicle de la morve dans ses cheveux de princesse* ( tu as vu, mon amour pour toi ne peut désenfler, tu es le soleil qui irradie mes soirées, tu es l'eau qui coule de mon robinet, tu es... tu es, tu es le papier Q triple épaisseurs qui ravie mes fesses quand vient le temps de pousser. :63: )
Tishtish; Merciiiieuh. Toi au moins, tu m'aimes, et.. et... ET NE VEUT PAS ME FRAPPER tout de suite. Pas comme l'autre du dessus. :58: (ouais, j'aime jouer les Caliméro, j'trouve que ça me va bien *_*)
FRIP ; CHUUUUUUUT. Tu me fais passer pour faible et tout. :14: C'est pas bon pour le business. *remet sa culotte en place* :35:
Rossou ; *lui ramène une cagette pleine de moules* (oui bon ok, elle était facile celle là)
Sunny ; Maieuh... *la renifle un coup* et sinon, la santé, ça va toujours ? /SBAF/
LAUGH ; mooooh >< comment que... que t'es trop chou sans dec. Tin je sais plus où me foutre avec vos conneries. ARRÊTEZ MERDE JE SUIS SCANDALISÉE MOI je m'attendais à être huée et tout. De vous avoir lâchement abandonné. Je vais essayer de pas te décevoir alors, pour la suite de la fichette. Promis je grouille mes ptites fesses. :36:
Melou ; *se laisse bavouiller dessus* Mercieuh. :toutmou: Ça fait trop du bien.
TOÂ ; Comment j'ai trop la classe quoi, juste pour moi t'es viendu par ici wesh. T'es trop chou. Ouais t'as bien lu. ET DIS TOI BIEN QUE C'EST LA DERNIERE FOIS QUE TU L'ENTENDS. mercieuh. MAIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!! MON CORPS N'EST PAS A PRENDRE/VENDRE/TOUT UN AUTRE TAS DE TRUCS EN ENDRE. Ouais hein pour la musique ? *_* je la kiff aussi. Cela dit, j'viens de cliquer sur celle de ta sign, et elle me fait troooop penser à du sons of anarchy, bref je kiff. Et pour Poppy lol ! pareil sur le moment. Mais une fois commencé l'écriture, ma Poppy est bel et bien àmoâ !
Brefouille la citrouille, Je m'aime.
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:23
Mais de rien la larvette Et oui c'est un autre personnage, on s'est tous donné le mot pour revenir je crois xDDD J'étais Avalon, c'est à toi que je dois le mythique "avalons vite, avalons bien, parole de vierge" )
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:25
looooool XDD Putain je m'en doutaiiiis. Mais j'osais pas le sortir. Bon eh bien, faut que j'trouve une autre devise pour ce perso-ci Mais ça va être un peu plus compliqué
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:27
C'est l'histoire d'une famille qui part en vacances, et le petit garçon, dans la voiture -modèle familial- ça fait 3 plombes qu'il casse les pieds à son père. Qu'est-ce qu'il dit?
J'ai envie de faire poppy.
OUAIS COURSE DE CADDIES. P'tain, tu m'as manquée. :63:
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:29
PTDRRRR Ben, ta blague est tellement conne que je me marre comme une baleine xDDD (oui, une baleine ça se marre)
J'avoue que là, tu vas avoir du mal à trouver une devise, mais je sais que je peux te faire confiance pour ça la larve, t'es douée dans ce domaine. xD
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:41
Benjamin Samuell a écrit:
J'ai envie de faire poppy.
C'était tellement grand...*BAM*
Frip désolée mais tu...es...faible. Et c'est tant mieux pour nous /la reviole en arrachant sa culotte
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 20:48
Putain... la blague merdiiiiiique XD le pire c'est que sur le moment, j'me suis demandée où est-ce que tu voulais en venir Mon dieu, je meurs. C'est juste totalement pourri, sérieux, rien que grâce à ça, j'peux te retourner l'instant bisounours.
juste pour toé :
EDIT : VIDEOTROCLASSEQUIMARCHEPAS C'était l'étééé évidemment. et j'ai compté en te voyant, mes nuiiiits d'automne. J'ai mis de l'or dans mes cheveux, un peu plus de noir sur mes yeux... ça la fait riiiiiireuh
Tkt tkt, ça va venir. Suffit de perdre quelques neurones en une soirée.
*se tortille et sort du faussé* :03:
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 21:07
T'as vu ça un peu, espèce de chanceuse, tu vas faire des jalouses et moi des jaloux forcément vu que t'en es au stade des surnoms affectifs quand tu m'vois SISI A PRENDRE, A VENDRE, A TENDRE, A DISTENDRE ! Et je dirai même plus, à fendre, oui madame ! C'est complètement pompé sur l'ost de SOA je me suis dit la même chose, mais ça va bien au vieux loup grincheux MAINTENANT CESSE DE TE DISTRAIRE AVEC CES LOUANGES ET ECRIS, on va voâr à quel point ta Poppy elle est poisseuse et malsaine d'esprit, donc par conséquent si elle est bonasse ou pas quoi pour parler en terme que tu comprends :54: *retourne la prendre, et un tas de trucs en endre juste pour la forme*
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 21:19
Oui, je sais. Des fois, j'ai des moments où je me fais honte. Mais ils sont rares. :56:
Je rejoins MVDD. Tu finis cette fiche qu'on va pas lire et tu vas mettre ta Poppy en route, qu'on lise enfin et qu'on voit quelle tarée c'est? Ou faut te faire quoi pour que tu t'y mettes?
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Sujet: Re: Piece of shit ; Poppy. 29/9/2013, 21:44
*se frotte à Poppy tout en ronronnant et la léchouille avec sa langue rapeuse* Oué moi je suis une gentilleuh d'abord
Mais n'empêche c'est trop drôle quand même, comment vous revenez tous en même temps tel un appel magique lancé par le forum pour rameuter ses anciens membres fidèles *.*