➽ date et lieu de naissance. 17 Juillet 1966 à Los Angeles ➽ nationalité. Étasunienne ➽ votre forme animale. Un grand loup noir ➽ type de métamorphe. Pur sang ; Bêta ➽ camp. Cabot ➽ état civil C'est compliqué ➽ lieu d'habitation Coven Garden. ➽ métier Directeur du Strand Theatre ➽ étiquette qui vous est collée. L’homme le plus égocentrique de la ville, de part sa manie à ne penser qu’à lui et de voir à travers les autres que son intérêt propre. Il est également réputé comme étant l’un des meilleurs dominateurs dans les milieux sadomasochistes.

▬ Autoritaire, bien que je ne sois pas un Alpha, je suis de nature autoritaire. Quand je donne des ordres, j'aime qu'on les respecte et cela se voit dans mon travail de tous les jours. Mes employés au théâtre savent que s'ils ne suivent pas mes directives à la lettre, je suis capable de les licencier.

▬ Cultivé, je prends beaucoup de plaisir de découvrir les merveilles de ce monde. Je suis un grand amateur d'art, mais aussi de théâtre, poésie, littérature... Certes je ne porte pas dans mon cœur les hommes, mais je suis bien obligé d'admettre que certains étaient des génies et j'aurai bien aimé les rencontrer. J'envie les Vampires, car ces derniers vivent éternellement et je suis sûr que certains ont pu rencontrer des auteurs que j'apprécie comme Oscar Wilde ou Laurence d'Arabie.

▬ Dominateur, il n'y a rien de plus jouissif que de dominer quelqu'un. Le voir vous suppliez d'arrêter, c'est quelque chose qui m'émoustille au plus au point. J'aime montrer aux autres que je suis le plus fort, le plus charismatique... Le plus drôle dans cette histoire c'est que je ne suis même pas un lycanthrope de type Alpha, mais Bêta. Néanmoins, je pense comme eux, je ne me considère pas comme un Loup-Garou lambda, mais comme un Loup-Garou supérieur.

▬ Égocentrique, je me fiche éperdument des autres et de leurs problèmes. Tout ce qui m'importe c'est que ma vie se déroule comme je l'entends. Je vois le monde comme je le veux, si je dois tuer des veuves ou des orphelins pour obtenir ce que souhaite, je le ferai sans hésitation. Seul ma personne compte, je ne me soucis plus des autres et ceux depuis bien longtemps. J'ai oublié tout ce que ma meute m'avait appris jadis, respect des autres, compassion...

▬ Indifférent, voir un pauvre malheureux me demander de l'aider, cela ne me fait ni chaud et ni froid. Je me moque éperdument de son sort, la compassion est un sentiment que j'ai enterré il y a bien longtemps. Néanmoins, il se peut que je fasse preuve de générosité afin de faire bonne figure, j'ai un rang à tenir et je suis obligé de montrer un visage qui ne me ressemble pas. Si je fais cela à contre-cœur, c'est pour éviter que l'on découvre qui je suis réellement. Donc, il se peut que je fasse un chèque pour une bonne œuvre afin que la société pense que je suis un citoyen modèle.

▬ Intelligent, je suis peut-être un animal sauvage dénué de sentiment quand il se transforme, je suis toutefois un homme intelligent. J'ai de la repartie - quand je prends la parole -, je suis également capable d'imaginer des stratagèmes afin de ne pas être arrêté pour tel ou tel meurtre. On peut dire que je suis quelqu'un de réfléchi et de minutieux qui ne fait pas les choses aux hasards, je prends toujours le temps de réfléchir, car il est inutile de se jeter dans la gueule du loup.

▬ Manipulateur, si j'aime tuer des gens, j'aime aussi les manipuler. La manipulation est pour moi un sport extrêmement complexe et seule une poignée de personnes peuvent y jouer. Tout le monde n'est pas un manipulateur né, il faut remplir plusieurs critères comme être intelligent, raffiné, mais aussi bel homme. Toutes ses qualités permettent au manipulateur de séduire une personne intellectuellement que physiquement. Si j'arrive à obtenir ce que je désire c'est notamment grâce à cet autre don que la nature m'a donné. Je considère la manipulation comme un véritable atout pour un individu de mon genre, étant donné que je vis en solitaire il faut que je sois en mesure de me protéger outre les nuits de pleines lunes.

▬ Obsessionnel, si je veux quelque chose, je l'aurai. Je suis prêt à me donner tous les moyens inimaginables pour obtenir ce que je convoite.

▬ Peu bavard, depuis que je suis tout petit je n'ai jamais aimé parler. Vous ne me verrez jamais engager de grandes et longues discutions, je préfère être plongé dans un profond mutisme que de converser avec des idiots qui se font passer pour des individus cultivés et intelligents. Néanmoins, il m'arrive de parler, je n'ai pas fait vœux de silence comme les moines et les bouddhistes. Si je prends la parole c'est pour deux raisons assez simples, la première c'est pour manipuler le ou les personnes qui se trouvent à mes côtés et la seconde est plus sombre, c'est pour expliquer à mes victimes comment je fais les tuer.

▬ Possessif, je ne suis pas du genre préteur. Quand quelque chose m'appartient, personne n'a le droit d'y toucher, si cette règle venait à être enfreinte la personne sera tuée de mes propres mains.

▬ Raffiné, on peut être un monstre, mais aussi une personne appréciant la beauté de l'art. J'apprécie énormément les choses raffinées, cela va de la littérature aux comportements des hommes. Quelqu'un qui fera preuve d'un esprit raffiné comme le mien aura des grandes chances de ne jamais mourir de mes mains. Je ne tue que les gens qui sont aux antipodes du raffinement, prostitué, dealer...

▬ Rancunier, si on me plante un couteau dans le dos, je n'oublierai pas ce geste. Je ne pardonne jamais, je crierai vengeance.

▬ Sadique, j'aime faire souffrir les autres. Le sadisme me permet de prendre du plaisir et de calmer mes pulsions, si je ne les rassasie pas je deviens fou. J'entends une voix dans ma tête qui me demande d'être cruel et de faire souffrir autrui. Elle se manifeste toujours lors de mes ébats - d'où mon penchant pour le sadomasochiste - ou bien lorsque je ne séquestre pas suffisamment un être vivant.

▬ Violent, sans doute l'adjectif qui me qualifie le mieux. Sous mes airs d'homme intelligent, raffiné se cache un véritable monstre assoiffé de sang. Je ne vis que pour une chose, la violence. D'ailleurs je suis tellement dingue de cette dernière que j'en ai fait une personnification. Pour moi la violence n'est pas une façon d'être, c'est une femme capricieuse qui demande de nouvelles victimes jours après jours que je dois sacrifier sur son autel. Mon côté animal m'oblige à être violent, il m'octroie une force incroyable pour que je sois justement violent, mais en échange de cette force, mon sadisme est amoindri à mon grand regret.

Mes journées sont plutôt bien chargées. En tant que Directeur du Strand Theatre, j'ai des obligations qui sont dues à mon rang. Je dois vérifier que les acteurs soient présents, mais aussi m'assurer que les spectacles soient suffisamment vantés dans les journées de la ville. Néanmoins, je ne passe pas ma vie qu'au théâtre loin de là ! On ne va pas dire que j'ai une vie sociale puisque mes mœurs sont des plus sombres. Il m'arrive d'organiser des soirées dans ma demeure, ce sont des soirées interdites aux mineurs et aux prudes ou bien je me rends dans des clubs spéciaux où le silence et de rigueur. Certaines nuits - quand je n'ai pas eu ma dose de violence - je m'attaque à des humains que personne ne pleurera, cela va du pauvre sans domicile fixe, dealer à la prostituée. J'aime m'attaquer à ce genre d'individu, car c'est très facile de les capturer. Je promène aussi Canaille tôt le matin, car il faut bien qu'il coure le petit et puis cela me fait faire également du sport. Voilà à quoi ressemble mes journées, bien évidemment il arrive que des évènements non prévus se produisent, c'est la magie de la Fatalité.

J'ai la fâcheuse manie de tuer trop rapidement mes victimes. Je n'arrive jamais à contrôler ma force, portant je me force à être « doux » quand je torture quelqu'un. Mais, je ne sais pas, je m'emporte toujours et cela ne dure jamais bien longtemps, malheureusement. Lorsque je séquestre un innocent, je souris toujours, j'ai toujours un rictus sur le visage, sans doute l'euphorie de prendre la vie d'un être vivant. J'ai d'autres tics et manies, mais toutes les citées seraient trop longs et ennuyeux.

Quand un individu me parle et que ce dernier m'ennuie ou ne m'intéresse pas, je fais croire que mon téléphone portable sonne en mode vibreur. Ensuite, je prétexte que je dois y aller, car ce coup de fil est très important. Un jour lors d'une soirée, j'ai fait ce coup huit fois, à la fin ce n'était plus crédible et l'un des convives me dit : si on vous emmerde pourquoi venir ? Et je lui ai répondu : pour le plaisir de voir des cons. Là je crois qu'il m'a mis un pain sur la gueule. J'ai dû attendre la fin de la soirée pour le retrouver et lui briser la nuque.

J’aime :

➽ Le sexe, pas le gentil celui qui fait mal.
➽ La pratique du bondage, j’excelle d’ailleurs dans ce domaine.
➽ Tuer des innocents.
➽ Voir la peur d’un humain dans son regard.
➽ La violence, les combats.
➽ La poésie de toutes les époques.
➽ Le théâtre et l’opéra.
➽ La littérature française du XIXème siècle.
➽ Les œuvres d’Oscar Wilde et de Laurence d’Arabie.
➽ Mon métier de Directeur de Strand Theatre.

Je n’aime pas :

➽ Les Vampires, ce sont des lopettes.
➽ Les hybrides lycanthropes, les bâtards de notre race.
➽ Discuter avec des gens.
➽ Les incultes, ils m’horripilent.
➽ Les meutes de Loup-Garou, il n’y a pas de liberté de penser et d’agir.
➽ Les humains qui croient que les créatures de la nuit sont leurs amis.
➽ Les hommes politiques, ils ne méritent pas de nous dicter leurs lois.
➽ Les Saintes ni-touches.
➽ Les lâches et les faibles, ils ne méritent pas de fouler notre terre.
➽ Créer des liens avec des gens.

Certains considèrent que c'est une maladie, d'autres une malédiction, moi je considère que c'est un don de la nature. Je ne suis pas un Vampire descendant des Carpates, je ne suis pas non plus un sorcier qui fait des petits tours de passe-passe, je suis un Lycan. Moi Zadig Warrens, je suis fier d'avoir dans mon sang le gène de la lycanthropie. Les nuits où la lune est pleine, je me transforme en Loup-Garou et quand je suis sous cette forme, je laisse l'animal qui est en moi prendre le dessus. Je ne suis pas du genre à me terrer dans une cave enchaîné de crainte de faire du mal à autrui. Quand la lune est ronde, je suis dans la nature, tout être vivant qui croise ma route ne verra pas le soleil se lever. J'attaque, je dévore et je tue. Je ne suis pas du genre à restreindre mes envies et puis tuer sous cette forme est une véritable aubaine, car personne ne sait qui se cache derrière ce pelage noir.

Comme tous les Loups-Garous mes premières transformations furent douloureuses, mais à cette époque j'étais avec ma meute de naissance, ces derniers m'aidaient dans cette épreuve difficile. Si je les ai quittés c'est pour deux raisons, la première pour l'indépendance, mais la seconde c'est parce que je suis capable de me transformer sans l'aide de personne et je ne ressens plus aucune douleur, je m'y suis habitué avec l'âge. En étant un pur sang, j'ai beaucoup plus de me faciliter qu'un hybride bien que je sois un bêta, mais à mon âge je suis arrivé à maturité, je suis en pleine apogée dans ma lycanthropie. Aujourd'hui, je vis en solitaire, je n'ai pas rejoint la meute de Shreveport, cela ne m'intéresse pas.

Les secrets ne sont pas faits pour durer, tôt au tard ils sont dévoilés. Alors que les mortels sachent que les créatures de la nuit ne sont pas des histoires que l'on racontent aux enfants, c'est quelque chose de burlesque, car maintenant ils sont envahis par la peur. Mais ce n'est pas tout, la Révélation a donné naissance aussi à la paranoïa, tout le monde se méfie, le voisin peut être un vampire, la petite copine de votre fils peut être une louve... Je dois avouer que c'est très drôle, surtout lors des premières semaines, personne ne sortait le soir de peur de faire une mauvaise rencontre. J'ai pris beaucoup de plaisir à tuer des innocents les premiers jours, je les regardais droit dans les yeux en leur disant que j'étais une créature de la nuit. Là, il se mettait à hurler, à pleurer et la peur suait de tous les pores de leur peau.

L'esprit humain est une chose fascinante, quand vous leur dite que vous êtes un monstre issu d'une malédiction vieille de mille ans, il s'imagine une mort des plus atroces et épouvantables, ils ont d'ailleurs raison sur ce point. Moi qui suis un lycanthrope, j'ai une force supérieure à celle d'un humain, il m'est donc facile d'arracher un cœur humain et de le montrer à sa victime. Arracher un cœur, cela demande de la pratique, une bonne force physique et surtout savoir où le prendre, les premières fois je me suis loupé, néanmoins la victime souffrait davantage. Enfin bref, tout ça c'est pour dire que la Révélation est une bonne chose, je prends plus de plaisir à tuer des hommes et des femmes qui savent ce que je suis, ce qui n'était pas le cas avant.

Vous savez le chemin de la vie que j'ai empruntée est des plus tumultueux. Je n'ai pas choisi une vie facile, j'ai décidé d'ouvrir mes bras à une femme qui parfois ne vous le rend pas, la Violence. Elle est ma nymphe, celle qui me fait fantasmer jour après jour, c'est elle qui alimente ma vie. Bien évidemment cette vie faite de violence n'est pas de tout repos. Empoigner la Violence comme je le fais n'est pas sans risque, ma vie est à chaque fois en jeu, à tout moment elle peut me quitter pour un autre, lui offrant une ivresse de violence supérieure à la mienne lors d'une mise à mort. Pour le moment, la Violence ne m'a pas quitté, elle n'a pas été infidèle avec moi, elle me suit là où je vais et je peux le prouver grâce à ce corps qui me permet d'être cette bête féroce. Mon torse conserve les griffures, morsures... de mes ennemies, mais ces cicatrises ont une signification importante pour moi. Elles ne sont pas de simples marques indélébiles, ce sont des trophées de guerre, car ceux qui me les ont donnés sont morts. Quand, je me regarde dans une glace, je vois bien plus que des marques, je vois des visages, des cris, des hurlements, le sang chaud coulant de lors corps inerte. Elles ont un effet positif sur moi, car elles me permettent d'emmagasiner de la confiance et puis elles me donnent également un sentiment de puissance. Me blesser est une tâche qui n'est pas impossible puisque des gens ont réussi, mais me tuer est une toute autre histoire.

Né dans une meute de l'union de deux purs sangs, je suis un Loup-Garou de premier ordre. Je ne suis pas comme l'un de ces bâtards qui composent notre meute. Je n'ai jamais réussi à m'entendre avec mes frères de sang, j'ai toujours eu des conflits avec ces derniers. Ne pouvant plus supporter mes frères et mes sœurs, j'ai décidé de partir et de vivre en solitaire. Mes parents m'ont supplié de rester, car la vie que j'avais décidée d'emprunter n'allait m'apporter que peine et douleur. Je me fichais éperdument de leurs avis, pour moi je n'avais plus rien à faire avec eux. Je n'avais plus qu'une chose en tête vivre ma vie comme bon me semble. Aujourd'hui et avec le recul, je suis heureux d'avoir fait ce choix, la solitude m'a permis de devenir l'homme que je suis maintenant. Toutes les actions que j'ai pu commettre par le passé ont été bénéfiques pour la création du Zadig Warrens qui vit actuellement à Shreveport. Mais avant d'être ce que je suis aujourd'hui, j'ai dû traverser maintes épreuves.

Pendant une décennie, j'ai voyagé à travers les États-Unis, ce long voyage m'a permis d'expérimenté des choses que je n'aurai sans doute jamais osé faire dans ma meute. J'y ai appris la torture auprès d'un groupe sectaire dans l'état de Virgine, mais également le sadomasochisme à Las Vegas la ville de tous les péchés. D'ailleurs, c'est sans doute la cité où j'ai le plus laissé libre court à mes pulsions sombres, pratiquant le sexe sauvage avec des prostitués, mais également le meurtre auprès de sans domicile fixe. Il faut savoir que ceux qui n'ont pas de toits à Las Vegas vivent dans les tunnels, ce qui fait un terrain de jeux des plus excitants pour un individu de mon genre. Les pauvres, ils étaient incapables de me voir dans l'obscurité, ils criaient de peur en entendant leurs amis hurlés de douleurs. Je suis resté dans cette ville pendant trois mois, soit trois pleines lunes. Cette décennie à parcourir les States m'avait donné l'impression que je tournais en rond. J'étais las de ce pays, j'avais envie de découvrir le monde. J'ai donc immigré au Mexique, j'y ai résidé pendant deux belles années. Le Mexique est un pays qui regorge de chairs fraiches, néanmoins il faut faire très attention, car certains d'entre eux possèdent des pouvoirs comme la sorcellerie. Un jour, je traquais une femme comme une bête sauvage. Malheureusement, je me suis fait avoir, puisqu'un sorcier pratiquant la magie noire lui est venu en aide. Il m'a lancé un sort qui m'a littéralement écrasé. D'ailleurs il m'a même fait une énorme cicatrise sur mon thorax. J'ai eu beaucoup de chance de ne pas mourir ce jour-là, le sorcier aurait pu me tuer s'il l'avait voulu, mais il n'en a rien fait. Paradoxalement, le mage n'était pas là pour sauver la jeune femme, mais plutôt pour la capturer, en fait il voulait la sacrifier pour un rituel c'est ce qu'il m'a dit avant de me laisser sur le sol comme un animal blessé. Après cette malheureuse aventure, j’ai pris plus de précautions lorsque je m’attaquais à des civils.

Après ce séjour dans le pays du sombrero, j'ai parcouru l'Europe & l'Afrique jusqu'à mes quarante ans. Là-bas j'ai laissé mes pulsions meurtrières prendre le dessus sur moi. Même si j'étais loin de ma terre natale, je n'ai pas perdu une seule miette le procès de ce Vampire qui permit à ce dernier de révéler l'existence de sa race aux yeux du monde. Maintenant les hommes savaient que les créatures de la nuit existaient, à la suite de cette nouvelle j'ai imaginé un plan relativement ingénieux. Je suis retourné aux États-Unis où j'ai séduit une femme plus âgée que moi de trente ans. Je l'ai manipulé en écartant bien évidemment le reste de sa famille. Nous nous sommes mariés et j'ai réussi à lui faire modifier son testament. Il faut savoir que cette femme était la propriétaire d'un grand groupe industriel et qu'elle était très riche. Dès que mon nom fut marqué sur le testament de ma femme et que ce dernier fut donné au notaire, je l'ai tué d'une façon bestiale. Pourquoi ? Je voulais faire croire qu'un vampire l'avait tué à ma place. Étant donné que les gens ne savent pas que je suis un lycan, ils m'ont donc éloigné de la liste des suspects comme ils savent que je ne suis pas un vampire puisque je sors le jour. Le meurtre parfait.

J'ai donc pu hérité de sa fortune conséquente, augmentant au passage mon train de vie. J'ai vécu comme un roi, m'offrant des biens immobiliers dans tous les États-Unis, que ce soit à New-York, Miami et Hawaï tout en continuant à prendre la vie de pauvres malheureux. Cinq ans après la Révélation, j'ai décidé de m'installer à Shreveport où j'y ai acheté une somptueuse maison. De plus, j'ai très rapidement réussi à me faire une place dans cette ville, grâce à mon argent, mais aussi par mon style.



« Vo-vous alalallez me tuer ? » Dit la jeune femme que j'avais ligotée sur une chaise. Je lui caressais le visage tendrement, affichant un petit sourire mesquin. « Oui, je vais te tuer, mais pas tout de suite, j'ai besoin de parler avant. Je sais cela ne me ressemble pas en principe je n'aime pas discuter, mais là je suis obligé de communiquer avec toi. » Lui dis-je toujours en caressant son visage. C'était une très belle femme, de beaux cheveux blonds, des yeux verts à croquer, une poitrine sublime. Elle était ravissante, mais aussi désirable. « Vous êtetetes ununun vamvampire ? » Elle balbutiait comme une gamine. Je me suis mis à rire lorsqu'elle me demanda les yeux en larmes si j'étais un vampire. Franchement, les humains sont trop accrocs à ces buveurs de sang qui sont incapables de sortir le jour. « Non ma belle, je ne suis pas un Vampire. Bon Dieu je suis mieux que ça ! » Je la regardais avec un regard bestial, je voulais qu'elle voit dans mon regard l'animal qui vivait en moi. Les yeux sont le miroir de l'âme, alors si elle observe bien, elle verra ma véritable nature. Malheureusement la peur l'aveuglait totalement, elle me suppliait de la laisser vivre, qu'elle ne dirait rien à la police, qu'elle oubliera cette histoire. Je la gifle violemment pour qu'elle arrête de déblatérer des inepties pareils. Elle sait très bien qu'elle ne pourra jamais garder une histoire pareille pour elle. Cette petite nympho' a vu mon visage, je ne peux pas la laisser en vie, mais je peux m'amuser avec. « Mon amour, tu sais très bien que tu ne verras pas le soleil se lever ! Tu sais quoi, je vais te parler et ensuite je te tue, tu es d'accord ? De toute façon je me moque de ton avis. » Je lui redonne une gifle tout en rigolant. « En principe tu aimes ça les gifles un ? Je t'ai vu avec homme l'autre jour qui te giflais les fesses avant de te pénétrer » Elle était choquée que je sache cela. « Co-comment, vous m'avez espionné ? » Me demanda-t-elle. « Oui, je t'ai observé, tu crois que je tue des gens au hasard ? J'aime bien savoir qui je tue avant. Je sais que tu es une pute et que tu fais venir les hommes chez toi, alors ne sois pas choqué si je t'ai maté, tu vends bien ton corps. » Lui lançais-je en souriant.

« T'es un pauvre type, je suis sûre que t'es même pas capable de bander plus de cinq minutes. Ouai c'est ça tu es un impuissant qui se fait dominer par tout le monde » Dit-il. Elle ne pleurait plus, elle venait d'avoir un regain d'énergie. J'arborais toujours ce sourire sadique et mesquin. Je ne disais rien, je restais silencieux et souriant, elle me cracha à la figure. Son regard était sombre, elle n'avait plus peur du moins pour le moment. Je lui arrachais son oreille gauche d'un geste vif, elle poussa un horrible hurlement. Son calvaire n'allait que commencer, j'enfonçais mon pouce dans cette plaie. Je m'amusais à le plier et à la déplier dans son orifice. Elle se tordait de douleur. « Tu crois qu'un impuissant est capable de faire ça ? » J'étais en train de la perdre, peut-être que j'ai enfoncé trop profondément mon pouce ? Merde, je n'ai pas réussi à me contrôler. Tant pis autant faire un carnage. Je commençais à la tabasser, cette fois-ci je ne donnais plus de gifle, mais des coups de poings. Je frappais de plus en plus fort, cet assaut n'a duré que six coups. Sa nuque se détacha de son corps, provoquant sa mort immédiate. Je ne suis même pas sûr qu'elle était consciente à ce moment-là. Encore une fois, je n'ai pas réussi à faire durer le plaisir. Je n'avais plus de raison de rester ici, je pouvais quitter les lieux. Je me marre d'avance lorsque l'agent immobilier verra ce cadavre dans sa maison à vendre, il n'est pas prêt de trouver un acheteur. Je pense que j'ai fait mon temps ici. J'irai bien a Shreveport, cette ville à l'air des plus démentes et je pense que je vais prendre à malin plaisir à torturer quelques innocents et pourquoi pas des vampires ? C'est vrai que cela fait un petit moment que je ne me suis pas attaqué à un de ces buveurs de sang, la dernière fois que j'ai planté un pieu dans le cœur d'une de ces créatures remonte à trois mois, soit une éternité. Je me demande aussi à quoi ressemble la meute de cette ville. Faut que j'arrête de me poser toutes ces questions, suffit que je prenne un billet d'avion et j'aurai les réponses à mes questions. Je regardais une dernière fois le cadavre de la jeune femme. « Au revoir » Dis-je avant de quitter la maison à vendre que j'avais choisi pour commettre ce meurtre sauvage.

- Comme tout le monde j'ai une famille, sauf que je ne lui plus adresse la parole, en fait cela fait presque vingt-cinq ans que je n'ai pas pris contact avec cette dernière. Mon ancienne meute vit en Californie, du moins c'est là où elle se trouvait quand j'avais dix-neuf ans. De toute façon qu'elle soit vivante ou morte cela ne me fait ni chaud et ni froid, ça ne changera pas mon quotidien.

- Néanmoins, j'ai réussi à m'attacher à une femme - chose exceptionnelle -, elle se nomme Easter Jefferson. Je ne vais pas dire que je suis tombé amoureux d'elle et que mon cœur bat pour elle, mais elle m'apaise. Je pense que c'est mon seul contact humain sincère, Easter est la seule personne qui arrive à me parler sans m'agacer.

- Je possède aussi un petit chiot que l'on m'a offert il y a quelques mois, au début je voulais le noyer, mais quand nos regards se sont croisés, j'ai eu l'impression qu'il avait pu sonder mon âme et voir ma véritable nature. Je n'ai pas eu le courage de le tuer et ça c'est une première. Maintenant il vit avec moi et je l'ai baptisé Canaille.

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? Prédéfini ➽ pseudonyme. Aucun, malheureusement ➽ âge. 19 ans ➽ code du règlement Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres et je crois qu’on pourra commencer. ➽ avis général à propos du forum. J'aime ce design, je connaissais votre forum, mais le design rouge/noir ne me plaisait pas, je le trouvais trop sombre. Alors quand j'ai vu celui-là, je me suis inscrit sans hésité ➽ avatar utilisé. Christian Bale