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 LIVE AND LET DIE Vitaly

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Niklaus L. Bălan
 
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SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


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MessageSujet: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 22:40

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© SHADE

Leonid Vitaly Nolan
âge. 27 ans
date et lieu de naissance. 17 décembre 1982 à New York
nationalité. Américaine
camp. bien
capacités. Télékinésie
classification. Potentiellement dangereux
état civil. célibataire
lieu d'habitation. Appartement à Galloway Bd.
métier. tueur à gage spécialisé dans le surnaturel, chasseur hors-la-loi & gardien à la confrérie
étiquette qui vous est collé. Très peu de monde le connaît vraiment, il faut traîner dans les bas-fond pour le connaître ou alors être un vampire ou un lycan. Les services de police sont à sa recherche comme les vampires et les lycans, car c’est un chasseur encore en activité malgré la loi. Pour ses ennemis c’est une vermine qu’il faudrait éliminer, pour ses amis c’est l’homme sans attache, le mystérieux, celui qui débarque quand on ne s’y attend pas.
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Dernière édition par L. Vitaly Nolan le 18/5/2010, 23:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 22:40

Qui je suis
CES PETITS DETAILS QUI ME DEFINISSENT


traits de caractère.
Loin d’être quelqu’un qui se morfond en attendant que ce qu’il désire arrive, Vitaly est au contraire un fonceur. Son éducation à la dure l’a sans doute mené sur une vie où il passe le plus clair de son temps à se battre sans savoir s’il y aura un lendemain. Devoir prendre une décision rapidement, devoir se battre sans cesse sans savoir si l’on va réussir une nouvelle fois ou s’il on va tout perdre parce qu’on a pris la mauvaise décision n’est vraiment pas le genre de chose avec lequel le jeune homme se prend la tête. Bien au contraire, il est plutôt du genre fonceur, à ne pas réfléchir trop longtemps avant de prendre une décision, mais il faut dire aussi que le jeune homme est quelqu’un qui réfléchit rapidement, dont l’esprit brillant semble bien souvent aussi aiguisé qu’une lame de rasoir. Néanmoins pour beaucoup il passera pour quelqu’un de téméraire, un homme dangereux parce qu’il semble ne pas avoir conscience des risques qu’il prend ce qui n’est pas vraiment le cas. Que dire pour expliquer son manque d’intérêt pour ce que pense les autres ? Il se moque de passer pour quelqu’un de téméraire, peut-être parce que quelque part cette image de lui-même lui plait. Et puis quel mal y’a-t-il à être téméraire lorsqu’on ne perd jamais ?

Plus qu’être simplement téméraire, Vitaly aime le danger. Quoi qu’il se soit passé en lui lorsqu’il était enfant qui l’a poussé à devenir ce fou de la gâchette, ne tentez même pas d’essayer de comprendre quand on joue au psy avec lui ça l’énerve, il aime sa vie pleine de danger. C’est sans doute parce qu’il se dit sans attache, parce qu’il change d’identité régulièrement, mais il aime dire qu’il ne peut rien perdre. Ce qui n’est pas totalement vrai. En revanche, ce qui est vrai c’est qu’il se nourrit de l’adrénaline. Il est toujours sur un nouveau coup, toujours en mouvement, il ne reste rarement longtemps à un endroit, ce qu’il aime c’est vivre à 100 à l’heure, sans jamais s’arrêter pour souffler. C’est aussi parce qu’il a peur de s’arrêter et de réaliser que sa vie est vide. Il aime le danger et l’action parce qu’il se sent bon dans ce domaine. De même il aime dire qu’il n’a pas d’attache, pas d’identité, pas de nationalité et pas d’amis parce que c’est plus facile de vivre ainsi plutôt que de se confronter à une vie où le quotidien devient pesant. Il ne pourrait même pas envisager une seule seconde de fonder une famille, d’avoir un boulot normal, d’avoir des amis, et d’attendre impatiemment le week end. D’ailleurs, il ne sait même pas ce que sont des vacances, il ne s’en ai jamais vraiment accordé.

L’intelligence est un trait de caractère chez Vitaly des plus étonnants. En somme on peut dire que c’est un véritable petit génie. Ca n’est pas seulement une intelligence brillante qui lui permet de comprendre le monde dans toute sa complexité et de jouer avec parce qu’il en connaît les dures règles, c’est aussi un esprit capable de s’adapter sans cesse, c’est un esprit capable de faire des déductions très rapidement sur quelqu’un qu’il ne connaît pas d’un simple regard, c’est cette capacité à remarquer le moindre détail passant inaperçu pour la plupart des gens et d’en tenir un raisonnement logique qui lui permet d’établir en quelque secondes le profil de la personne sans le moindre mal et de tomber à tout les coups dans le mille. Ses capacités intellectuelles sont si approfondie qu’il s’ennuie d’ailleurs la plupart du temps. Est-ce pour cela qu’il passe le plus clair de son temps à s’amuser à jouer avec les gens, à leur faire croire des choses qui sont fausses. Etant un as de la manipulation, il ne lui ai guère difficile de passer pour quelqu’un qu’il n’est pas, de masquer ses prouesses intellectuelles pour tromper son adversaire aussi bien que son entourage. Jouer un jeu, il le fait depuis qu’il est enfant, passer pour autre est devenu pour lui une seconde nature. Inutile de dire qu’il est véritablement doué pour masquer ses pensées et ses émotions et même pour en faire apparaître sur son visage qui ne sont pas les siennes.

C’est ainsi que Vitaly passe facilement pour un ange. Les traits de son visage n’y sont pas pour rien, ni sa capacité à modeler ses expressions comme il le souhaite en chaque instant, ni sa capacité à conserver son sang-froid en toute occasion et à ne rien laisser passer de ses véritables émotions, comme un masque de tragédie grecque. Mais il est loin d’être l’ange qu’il veut faire paraître, très loin d’être cet être sympathique qui plaisante facilement contrairement à ce que son sourire charmeur pourrait laisser parraître, loin d’être quelqu’un d’attentif et de généreux et encore plus loin d’un être cherchant la paix, désirant rendre le monde meilleur. Parce que avant tout, ce monde lui plait comme il est, il y a sa place, il s’y sent bien, il ne pense pas qu’il en serait ainsi dans un autre monde, surtout pas dans un monde meilleur, à vrai dire, il aurait peur de s’y ennuyer.

S’il peut se montrer jovial, sympathique et ouvert au point qu’il se fasse facilement des amis, qu’on l’apprécie en un rien de temps, pour son caractère entier, sa franchise, et son humour ne manquant pas de piquant, tout cela n’est qu’une façade. Vitaly est quelqu’un de solitaire qui n’aime pas s’attacher. Il n’accorde que peu de valeurs aux gens puisque de toute façon il les déteste. Les foules l’irrite au plus haut point, il considère les gens comme des moutons, et traite tout le monde de haut avec mépris intérieurement. C’est un asocial qui n’arrive pas à se plier aux règles de la société. Il se fiche de tout et surtout des autres. La loi, ça lui passe largement au-desssus de la tête, la normalité ? il trouve ça profondément ennuyeux, la société quand à elle n’est qu’une prison qui retient des milliers d’esprits dans ses chaînes. Voilà sa vision du monde. Tout le monde ment, tout le monde triche, et pourtant ils suivent tous les règles. Les gens sont bêtes, méchants et cruels à ses yeux. C’est pour cela qu’il n’accorde pas tant d’importance que cela à la vie, pourtant, il ne tuerait jamais un humain à moins d’y être obligé. Le plus curieux c’est qu’il se dit sans attache, il affirme ne pas avoir d’amis et très bien s’en sortir, que l’amour est une invention de la société et que tout ce monde ne rime à rien. Pourtant, il a des amis, très peu, mais pour eux, il pourrait décrocher la lune. Le fait est qu’il accorde pas souvent sa confiance, et qu’il préfère se consacrer à des amitiés vraies, qui lui apporte quelque chose, il s’attache plus souvent aux personnes qui ont des névroses ou des problèmes, qui ne s’acceptent pas complètement.

Passer son temps dans l’obscurité, préféré la nuit à la journée, boire de l’alcool dès qu’il en a l’occasion, se perdre dans l’alcool, ne passer qu’une nuit avec une fille, jamais avec la même, se perdre dans leur toisons et ne jamais chercher à les aimer ou même avoir le moindre sentiment pour elles, comme pour les hommes n’est pas une manière de vivre qui permet d’être heureux. En fait, c’est comme si Vitaly s’interdisait tout bonheur. Il fuira à toute jambe tout bonheur susceptible de lui tomber dessus. Etre heureux, avec quelqu’un de stable, se fondre en son âme et lui rendre autant d’amour qu’il en donne, profiter de chaque instant sans penser à s’autodétruire, ça n’est pas fait pour lui. Il ne croit plus en ce mot qu’on appelle Bonheur, il ne croit pas plus en l’amour, tel que les humains aime tant le dire, pour lui ça n’est pas possible dans un monde tel qu’il est devenu. Mais c’est très certainement la peur d’être blessé, complètement détruit qui guide le jeune homme. Le désir de contrôler sa destinée et de naviguer seul dans ce monde détruit est tellement présent en lui qu’il annihile tout autre désir, plus positif.

occupation diurne.

Lorsqu’il ne dort pas, puisqu’il a une nette tendance à vivre la nuit plutôt que la journée, il faut dire que son boulot de chasseur est plus facile à exercer la nuit que le jour, il passe ses journées d’une manière peu conventionnelle. Etant un chasseur mais hors la loi, il traque ses proies à partir de son ordinateur où ses quelques talents de pirate informatique lui permet de profiter des fichiers de la police ainsi que des sites dédiés aux surnaturels pour trouver ses prochaines proies. Il s’attaque aux vampires en général mais également aux loup-garous. Les vampires sont plus facile à trouver puisqu’ils ne se cachent pas. Généralement il recherche ceux qui vivent en clan, trouver un « nid » ou un « refuge », un endroit où plusieurs vampires dorment ensemble durant la journée pour ensuite aller asperger leur cercueil d’essence et faire un joli feu de joie est l’une de ses activités principales. En effet, les loup-garous ou les métamorphes, il les traque de préférence les nuits de pleine lune. Ca serait plus simple de les tuer sous leur forme humaine, mais tirer sur un humain de sang froid même quand on sait en quoi il se transforme n’est pas facile et puis il préfère le danger. Vous vous demandez s’il fait le tri entre les gentils et les méchants ? Absolument pas. Il tire dans le tas et fait le tri après.

Quand à son boulot de tueur à gage, il est généralement engagé par des familles qui ont perdu un proche à cause des vampires. Entre ceux qui ont perdu quelqu’un avant la révélation et dont le dossier à mystérieusement été classé par la police le jour de la révélation, et puis tous ceux qui ont vu un proche disparaître, il a du boulot. Pas mal de monde ne fait pas confiance au BIAS et pensent qu’ils sont de mèches avec les vampires, du coup, ça lui donne du boulot. Evidemment pour son boulot de tueur à gage il change de nom, jamais le même, histoire qu’on ne retrouve pas sa trace si facilement que cela. Son boulot lui rapporte plus d’argent qu’on ne le penserait puisque ça lui arrive d’être engagé par les monstres qu’il chasse. Un vampire voulant éliminer un rival, un loup-garou qui veut qu’on élimine un vampire, il y a toujours des monstres qui n’osent pas braver leurs lois à eux. Ca ne dérange pas Vitaly qu’un monstre le paie pour en tuer un autre, bien au contraire, mais généralement il finit tôt ou tard par tuer son employeur, bien évidemment après avoir empoché l’argent.

Si vous voulez parler un peu de son travail en tant que gardien, il y aurait beaucoup de choses à dire. A commencer par le fait qu’il n’a pas une bonne réputation à la confrérie. Déjà, on le trouve trop brutal, trop violent. Le fait qu’il tue des vampires et des loup-garous ne serait pas dérangeant si la confrérie n’était pas en paix avec ces deux races. Il pourrait se montrer discret, mais non, il ne fait même pas semblant, il ne nie même pas ses activités. S’il est encore en place, c’est uniquement parce qu’il y a quelqu’un qui l’aime bien au haut conseil, mais il est sur la sellette. Ce qui ne le dérange pas au fond puisqu’il a accepté ce boulot uniquement parce qu’il n’a pas eut le choix. Il est suffisamment assuré à présent pour pouvoir vivre sans l’appuis du haut conseil. Ce qui l’embêterait c’est juste de ne plus pouvoir botter les fesses à tous ces mauvais sorciers. Sans la confrérie ça serait plus difficile de les reconnaître.

manie, habitudes & goût. De toutes les vilaines manies de Vitaly, celle qui est le plus évident, est sa dépendance à l’alcool que lui-même pourtant si doué pour dissimuler la moindre chose émanant de sa personnalité ne peut dissimulé, tout simplement parce que cela fait longtemps qu’il ne peut plus agir dessus, que l’alcool fait partie intégrante de sa manière de fonctionner et que sans lui, Vitaly est une vraie loque, tremblante, et mal en point. Sa dépendance pour la drogue est moins visible, surtout parce qu’il la cache, mais aussi parce qu’étant donné la difficulté à se fournir en drogue dans ce monde, il ne peut faire autrement qu’attendre qu’une dose soit disponible même si c’est sans doute l’un des êtres les plus doués pour trouver une dose.

Il y a d’autres manies que Vitaly a dû mal à rendre invisible, comme son désir de tout contrôler, même s’il essaie de le faire passer pour un besoin de protéger ceux qu’il aime, ça reste parfois assez gênant pour son entourage mais qui doit faire avec. Ou encore sa manière de se mettre en colère qui est tout à fait inhabituelle, sa voix devient dure, son regard également, mais rien dans les traits de son visage ne viennent accentué sa colère. Il se met alors à parler comme si le monde entier devait lui obéir le plus naturellement possible. Très destabilisant.

Groupe.Chanteur(se) Favoris : Rock pur et dur. Il n’aime pas les musique mélancolique, pas les musiques douces, ce qu’il veut c’est que ça bouge, que ça hurle à en faire mal aux tympan.
Film Culte: Une nuit en Enfer de Robert Rodriguez
Chanson Fétiche: Welcome to the Jungle des Guns N’Roses.
Votre livre de chevet: Le catalogue de l’armement de l’armée américaine.
Plat que vous détestez : Les fruits de mers.
Votre expression de "touslesjours": « Et merde ! »
Objet indispensable à votre survie : Bouteille d’alcool se battaillant ferme avec le paquet de cigarette.


don.

La télékinésie ? Vitaly ne l’a jamais vraiment utilisé. Peut-être quand il était petit. En fait, il n’a jamais accepté ses dons. Lorsqu’il était enfant, il a cru qu’il était un monstre et ça le rendait malade d’avoir des capacités hors du commun, il sentait bien qu’on le regardait comme s’il était un monstre. Alors il a simplement oublié ses dons. Durant l’adolescence il a tout fait pour ne plus utiliser ses capacités. Si bien qu’aujourd’hui son don ne se manifeste que lorsqu’il est furieux, vraiment très en colère, les objets se mettent alors à voler autour de lui et bien sûr il ne maîtrise absolument rien. Et voir sa capacité se manifester le rendant encore plus furieux, ça peut devenir vraiment dangereux si on est dans les parages à ce moment là. Ce qui est étonnant c’est qu’en revanche, il utilise toutes ses capacités de médiums. Dans la traque des mauvais sorciers, il lis les auras, lorsqu’il opère un exorcisme, il utilise pleinement ses capacités de médium. Le fait qu’il n’est jamais accepté sa télékinésie alors qu’il utilise pleinement ses autres dons le rend plus faible qu’un autre médium. S’il manque de concentration, il peut se faire avoir par un vampire et leur regard, il peut se faire manipuler par eux. Malgré tout ce qu’on lui dit, il n’a toujours pas envie d’utiliser sa télékinésie. Il a l’impression que ça l’éloignerait de son humanité.

conviction.

Honnêtement ? La révélation l’emmerde plutôt qu’autre chose. A ces yeux les vampires ont opéré ça pour se redonner une seconde jeunesse ou juste pour se faire du fric. Ce qui l’emmerde vraiment ce n’est pas tant les vampires qui ont révélé leur identité, après tout ça devait arriver un jour. Non, ce sont les humains qui ont si gentiment accueillis les vampires, qui se sont imaginé que parce qu’il y avait un substitut au sang les vampires deviendraient de gentilles créatures. Ca l’a rendu fou furieux qu’on puisse offrir le droit de vote aux vampires, qu’on fasse d’eux des citoyens, qu’on les laisse même faire de la politique, ouvrir des bars. D’ailleurs il ne comprend pas pourquoi on est aussi tolérant avec les vampires alors que personne n’aime les lycanthropes les considérant comme des créatures contagieuses. Comme si les vampires ne pouvaient pas transformer d’humains ! Tout ce cirque le rend malade, les mordus fans de vampires le rende malade. Il ne sauvera jamais un mordu, les marqués et eux méritent bien ce qu’il leur arrive.

signes particuliers.

Comme tous les chasseurs, il a des cicatrices un peu sur tout le corps. La plus évidente est celle qui barre son front à la verticale. C’est une cicatrice des plus banales qui provient d’un éclat de verre. Il ne se souvient plus de comment s’est arrivé, cette fois-là il s’était éveillé dans le coltard, mais visiblement il était passé par une fenêtre. Il a une vilaine trace de morsure dans la nuque que lui a imposé un vampire. C’est une cicatrice qu’il déteste par-dessus tout. Parce que ça montre qu’il s’est laissé avoir, parce que les femmes adorent sa cicatrice comme si c’était un trophée, et parce que le vampire qui lui a fait ça court encore mais plus pour bien longtemps.

Un dernier détail : son véritable nom est Vitaly Matthew Fox, mais ça personne ne le sait excepté la confrérie et le haut conseil.


Dernière édition par L. Vitaly Nolan le 18/5/2010, 22:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 22:40

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© SHADE

Une histoire extraordinaire
TOUTES CES EPREUVES ONT FAIT CE QUE JE SUIS


histoire.

Chapter One
Ce n'est qu'une légende.


« On les appelaient les deux enfants de la nuit. Non pas qu’ils aient été conçus par une nuit glaciale et quelque peu fantastique comme leur légende le racontera plus tard, mais parce qu’ils n’étaient visible que la nuit et agissait comme les créatures qu’ils combattaient farouchement. Le frère et la soeur. Ils ne se ressemblait pas tellement. C’était un jeune homme mince et svelte, plutôt bien taillé et dont les muscles roulant sous la peau faisait fantasmer pas mal de jeunes filles, alors qu’elle était blonde, fine et menue, elle ressemblait à une poupée avec ses traits enfantins. S’il n’y avait eu leur complicité, leur manière d’être si proche l’un de l’autre, de se connaître aussi bien et leur taquinerie qui lorsqu’elle s’effaçait faisait place à une coalision effrayante pour leurs ennemis, on n’aurait jamais dit qu’ils étaient frère et soeur. On remis en doute leur lien de fraternité lorsqu’ils étaient trop proche, ne seraient-ils pas plutôt amant? Mais il était un fait établit qu’ils se considéraient l’un et l’autre comme un frère et une soeur et qu’ils agissaient ainsi en conséquence.
La légende qui racontait leur faits d’arme n’était pas une légende, c’était des faits réels mais tellement étonnant de la part de simple humain qu’on les avaient exagérés pour les transformer en mythe. Pour les autres survivants, ils étaient la lueur d’espoir, des héros des temps moderne prêt à sauver le monde. Pourtant ça n’était pas ainsi qu’agissait le frère et la soeur, ils n’ont jamais voulu qu’on les considère comme des héros et ne se sont jamais donné de tel nom. Tout ce qu’ils ont fait, ils l’ont toujours considéré comme normal, et parfois ils avaient peur d’y perdre leur âme, parce que la limite entre le bien et le mal est toujours faible lorsqu’on plonge dans la violence la plus extrême. Jamais ils n’auraient pu imaginer que on les jugeraient comme des héros, eux qui s’imaginaient finir par ressembler à ceux qu’ils combattaient. Et d’un certain sens leur craintes n’étaient pas exagérés. La violence dont ils étaient capable était absolument effrayante, voilà pourquoi dans les récits racontant leurs actes de bravoure, on passe rapidement sur la violence de leurs actes.
Il est difficile de parler de personne qui sont devenue une légende, difficile de faire la part du faux et du vrai. En vérité bien peu de personnes ne connaissait vraiment ces deux héros. Il faut dire qu’ils vivaient plutôt en solitaire. Elle s’appelait Katherine Milles Fox, elle avait quelque chose comme la vingtaine, mais elle paraissait tellement plus jeune. Lui, il s’appelait Julien Gregory Fox et il faisait facilement la trentaine bien qu’il soit plus jeune. Tous les deux vivaient dans un vieux manoir à moitié détruit dans la banlieue de New York, mais ils étaient trop souvent dans des squatts d’immeuble sur le point de tomber en ruine. Ils avaient peu d’amis, même très peu. Les autres chasseurs les connaissaient bien, ça c’est sûr, et ils étaient à la fois fasciné et méfiant. Leur vie n’a pas été aussi facile que le prétend leur légende. Ils n’avaient pas toujours de quoi se nourir, et pas toujours de quoi s’habiller. Le froid pourtant ne leur faisait pas peur. Je doute en vérité que quoique ce soit leur ai un jour fait peur.
Leur légende pris ses racines dans leur attaque pourtant suicidaire à un nid de démon, oh ils n’étaient pas aussi nombreux qu’on le dit, mais ils étaient assez fort pour que les Fox ne s’en sortent pas. Ils s’y sont attaqués seuls, n’ont pas utilisé la ruse, ils ont foncés dans le tas. Sans leur dons, je pense qu’ils serait probablement mort, mais les dons ne font pas tout. J’en connais pas mal des contaminés qui sont morts en pensant que leur dons les sauveraient. Et puis le pouvoir de Katherine n’était pas très puissant et elle n’aimait pas l’utiliser, je doute que c’est grace à son pouvoir qu’elle s’en ai si bien sorti de cette attaque. Julien en revanche, utilisait son pouvoir à la perfection. Il avait le don de télépathie comme il le disais lui-même, et ne s’en privait pas. Sa manière de l’utiliser était effrayante et il en a rendu fou plus d’un. Toujours est-ils qu’ils sont sortis de là vivants et les démons étaient tous morts.
Durant près de trois ans, ils ont continués à semer des cadavres sur leur chemin. C’était pas toujours des démons, c’est vrai. Les humains qui leur cherchait des merdes ne sont plus là pour en parler. Quand à certaines personnes qui semblaient bien sous tout rapport, ils disparurent après que des rumeurs coururent à leur encontre, comme quoi ils seraient des agents du gouvernement. Les Fox ne laissaient jamais de témoin, mais en revanche, ils ne s’attaquaient jamais aux innocents, c’est sans doute ça qui a contribué à leur légende. Les survivants que laissaient les Fox derrière eux pensaient que le couple les avaient sauvés. Je doute que les Fox n’ai jamais eu l’intention de sauver qui que ce soit. Au fond, ce monde leur plaisait. Ils y avaient une place. Je crois pas qu’ils aient voulu un jour que ce monde change. En tout cas ils n’y ont pas contribués malgré leur états de faits, et leurs actes de bravoure.
Tout à dérapé lorsque Kathy a rencontré Drancy. C’était pas un mauvais bougre, juste un utopiste. Julien se méfiait de ces gens là et je crois qu’il a eut bien raison. Mais Kathy en était folle. Elle était prête à tout abandonner, les combats, sa vie de nomade, et son frère pour épouser Drancy. Je sais pas trop ce qui s’est passé, et petit, je n’accuse personne, mais Drancy est mort. Le pauvre vieux a claqué. Je crois pas que ce soit à cause d’un démon. Si l’on en croit la gueule qu’il avait, c’était plutôt cette saleté de virus qui l’a tué. Mais Kathy, elle n’a pas aimé ça. Drancy était tout pour elle, vois-tu, elle aurait fait n’importe quoi pour lui. Sa légende, elle s’en moquait pas mal, sa vie de naguère lui semblait soudain illusoire. Et Drancy mort, elle s’est retrouvée seule, enceinte, et la douleur de sa perte manqua de la rendre folle. Heureusement Julien s’est occupé d’elle. Il a fait tout ce qu’il pouvait pour soulager sa douleur, mais je crois qu’il n’y avait rien à faire. Katherine ne pouvait cesser d’aimer Drancy, pas après ce qu’il s’était passé, pas après son destin funeste. Et le petit Vitaly est né. »


Chapter Two
Comment devenir un chasseur en trois leçons.


Le petit garçon observait devant lui l’espèce de créature qui se tenait devant lui, c’était un homme mais il avait perdu tout aspect humain, sa peau était tanée et ses yeux devenus rouge. La créature s’agittait dans ses chaînes, grognait, c’était un son ignoble. Mais le petit garçon ne cilla pas. Il détaillait la créature en silence sans rien dire. Des bruits de pas se faisait entendre autour de lui, quelqu’un faisait les cent pas juste derrière le petit garçon. Mais ce dernier n’y prêtait pas attention. Le centre de son attention était la créature qu’il observait comme si sa vie en dépendait. La créature avait beau grogner et gémir d’une horrible manière, le petit garçon ne laissait rien percevoir de sa peur, s’il en ressentait.

« C’est bien mon garçon. Etudie la, connais ses faiblesses, concentre-toi sur elle. »

Le petit garçon n’eut aucune réaction. Il était bien trop concentré. L’homme qui marchait derrière lui s’arrêta. Il était fier du petit Ethan. C’était pas la première fois que le garçon le surprenait par ses capacités d’analyse et son intelligence. Il ne doutait pas un instant que le petit garçon allait tuer cette créature. Ca n’était pas son premier entrainement. L’homme sourit. La relève était assuré avec un tel gamin. D’un signe de tête, il s’avança ayant pris sa décision et relâcha les chaînes de la créature qui se précipita aussitôt sur le petit garçon. Ce denier roula sur le côté pour éviter la charge et se releva à la vitesse de l’éclair. Il sortit une dague ciselée qu’il fit briller à la lumière. La créature se figea comme si elle devinait l’utilité de l’arme. Le petit garçon la fixa à son tour, se concentrant à nouveau. Puis il se mit tout d’un coup à courir comme pour prendre la fuite. La créature s’élança à sa poursuite. Profitant du manque de souplesse de la créature, le petit gaçron entama un demi tour sur lui-même et plongea son arme dans le flanc de la créature qu’il entendit pousser un hurlement de douleur. Il tourna l’arme dans l’abdomen de la créature, entendant de nouveaux hurlements, déchirant le silence. Puis il attendit que la créature s’écroule pour enlever son arme. Un sourire de victoire s’afficha sur ses lèvres. L’homme l’attendait les bras croisés.

Une femme apparue, elle venait d’un coin obscur de la pièce. Son visage est creusé, blême et elle a de long cheveux blonds qui encadrent son visage, ses cheveux sont très fins. L’homme se tourne vers elle. Il lui sourit, et elle essaie de le lui rendre mais semble ne pas avoir assez de force.

« Julien, pourquoi tu le laisse affronter un démon ? demanda la femme à la voix faiblissante trahissant son inquiétude de mère.
- Parce qu’il doit se préparer à ce qui l’attend.
- Rien ne l’attend. Il aura une vie normale. »

Julien se rapprocha de sa sœur, il l’entoura de ses bras cajoleurs, repoussant une mèche qui tombait sur son visage pour la caler derrière son oreille. Elle semblait si fragile, si malade. Il aurait voulu la protéger de la maladie, mais il en était incapable. Aucun de ses sorts n’avaient fonctionné sur elle. Rien ne pourrait la sauver et c’est ça qui le rendait malade.

« J’aimerais que ce soit possible, mais tu connais les termes du marché.
- Comment peux-tu laisser la confrérie m’enlever mon bébé ?
- Il aura une vie meilleure que la nôtre. Il grandira avec eux, il pourra apprendre à maîtriser ses dons. Tu ne comprends pas, c’est une chance pour lui.
- Mais ce n’est qu’un enfant…

L’homme sourit fièrement en regardant l’enfant.

- Et c’est le petit garçon le plus fort que je connaisse, Katherine. »


Extrait du journal intime de Vitaly Matthew Fox

Je ne sais pas si je leur en veux. Quelque part, oui, certainement. Ils étaient tous pour moi. Des parents, des amis, des confidents, ma seule famille et en même temps des professeurs exigeant. Julien a toujours été présent pour moi. Je sais pas si j’ai le droit de le haïr. Tout enfant, je l’adorais. C’était bien plus que de l’estime, le sentiment que je ressentais à son égard. Il était le soleil pour moi, un astre brillant, trop fort pour mes yeux d’enfant, mais aussi indéniablement magnifique. Je ne me lassais pas d’écouter ses histoires, comment il avait vaincu un puissant démon, comment il avait passé la plus belle des nuits dans les bras d’un autre homme, la manière dont ma mère était lorsqu’elle était une petite fille, leurs jeux d’enfants, heureux et naïfs. Tout en lui brillait de mille feux. Je n’avais que trois ans lorsqu’il me fit partager son entrainement quotidien. Mais j’avais adoré. Je me sentais si fort lorsqu’il était avec moi. J’avais l’impression que le monde pouvait s’effondrer autour de nous, peu m’importait, tant que j’étais avec lui, avec elle, nous formions une véritable famille. Lorsqu’elle est tombée malade tout s’est effondré autour de moi. Il est indéniable que la maladie de Kathy a touché aussi Julien. Comme il est inévitable qu’il en est souffert. Ce que je lui reproche c’est de l’avoir masqué comme il savait si bien masqué ses sentiment, lorsque ça n’allait pas personne ne pouvait le savoir avec lui. Mais c’était pas n’importe qui, c’était pas un simple mal passagé. On savait très bien tous les deux ce qui la rongeait. Et aucun de nous deux n’a versé une larme lorsqu’elle est partie. Aucun de nous deux.
Lorsque j’étais tout petit, je me souviens très bien des moments que nous passions ensemble tous les trois. Je ne sais pas à quel moment elle est tombée malade, qui aurait pu croire qu’elle l’était? Elle me prenait si souvent dans ses bras qu’on pouvait se demander si elle ne craignait pas à tout instant de me perdre, et peut-être que c’était une crainte qui ne la quittait jamais. Nous étions tellement heureux tous les trois. Cette période m’apparait aujourd’hui comme bénie. Jusqu’à mes six ans, tout me paraissait tellement facile, à moins que ça ne soit une impression qui me soit resté. Julien était toujours présent. Jamais trop. Il était là. Et nous le savions, Kathy et moi. Pourtant il y avait toujours cette nécessité d’être ensemble, elle ne pouvait rester trop longtemps loin de moi et je ressentais ce même besoin comme vital. J’étais pourtant un petit garçon indépendant, toujours curieux, rien ne me rassasiais, j’avais besoin de savoir, toujours envie d’en savoir plus. Julien me raconta plus tard comment je pouvais faire preuve d’intelligence à un point qui l’étonnais toujours. Mes questions, comme peuvent en poser tous les enfants, étaient plus pointue qu’on aurait pu le soupçonner, et je semblais comprendre énormément de choses juste en observant. Julien adorait m’apprendre un tas de choses bien que Kathy n’ai jamais été tellement d’accord avec sa manière de m’éduquer, mais elle le laissait faire. Je crois qu’elle n’a jamais été jalouse de la relation privilégiée que nous avions, comme Julien ne s’est jamais montré jaloux ou méfiant à propos de cet amour presque filial qui existait entre Kathy et moi.
Mais cette période n’a pas durer. Comme toute les bonnes choses en ce monde sinistre. Kathy est tombée malade. Julien savait peut-être ce qu’elle l’avait, mais il ne me l’a jamais dit. Cela aussi je le lui reproche. Et il le sais. Son état a rapidement été de pire en pire, elle perdait du poids à vu d’oeil, et son teint se rapprochait de plus en plus de celui de la mort. Même un enfant pouvait le deviner. J’avais 7ans lorsqu’elle ne pouvait plus se lever tant elle manquait de force. Julien m’entraînait de plus en plus fort, il ne se limitait plus, comme s’il avait peur que Kathy parte et me laisse seul dans ce monde si dur pour un enfant seul comme il le disait lui-même. Je ne lui reproche pas cet entraînement martial. Je sais que c’est pour mon bien, et je sais aussi qu’il avait besoin d’être rassuré, de savoir que je serais fort, aussi fort qu’elle l’avait été par le passé. Plus elle allait mal, plus il me racontait des histoires de lorsqu’elle allait bien et plus je me sentais prisonnier, comme retenu par l’amour qu’il me portait, incapable d’agir pour la sauver. Julien essayait de me remonter le moral, mais il savait que j’avais compris. Un enfant aussi intelligent que je pouvais l’être savait que Kathy allait mourir, savait qu’il n’y avait rien qui puisse la sauver et savait qu’après sa mort il n’y aurait plus rien à sauver. Cette période fut la plus sombre de ma vie. Je me mis à le détester de ne pas montrer son chagrin, à le détester parce qu’il ne faisait rien pour la sauver, pour de mauvaises raisons.
Après la mort de Kathy, qui remonte à trois ans à présent, Julien préférait rester seul. Moi qui lui en voulait tant, je quittais souvent le manoir où nous vivions pour aller à New York, dans le centre ville. Je me sentais comme un esprit opprimé depuis des années, qui avait besoin de s’ouvrir au monde, comme si l’on m’avait libéré de prison. L’horreur qui régnait autour de moi me paraissait belle parce qu’elle ne m’atteignait pas. Je pouvais rester des heures dans la rue sans manger ni boire, sans me soucier de quoi que ce soit, à observer ce monde survivre. Les gens me prenaient parfois en pitié, parfois ils préféraient m’ignorer comme si j’étais quelque chose de gênant, un enfant ne devrait pas vivre dans la rue, mais ça n’était rien en comparaison des monstres. Lorsque je me suis retrouvé seul pour la première fois face à un mauvais sorcier qui voulait m’utiliser, j’ai compris. J’ai compris l’inquiétude de Julien, pourquoi tous ces entraînements, mais je ne pouvais pas l’en remercier, parce que c’était devenu tellement normal pour moi. La vie dans la rue était devenue une nécessité. Je ne pouvais plus rester auprès de Julien. La mort de Kathy l’avait transformé... ça n’était plus l’homme que j’avais connu, que j’avais admiré. Finalement j’aurais préféré qu’il pleure, qu’il se mette à hurler, qu’il évacue sa colère et son chagrin, tout plutôt que ça. Son silence et son mutisme... Je me sentais si seul lorsque je revenais au manoir que j’ai finis par ne plus y revenir. Je me demande s’il y ai encore. Ca fait trois ans. Il est sans doute partit à présent.




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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 22:41

Chapter Three
Une drôle de rencontre


La nuit possède bien des significations, pour la plupart des gens c’est le berceau de peurs irrationnelles chez les enfants. Les parents s’inquiètent que leurs enfants viennent les réveiller au beau milieu de la nuit parce qu’il y a un monstre planqué dans le placard. Ils ont peur que leur enfant choisisse ce moment où ils sont tranquillement en train de dormir pour se lever et se balader dans la maison, ils ont peur que leur enfant sans surveillance se blesse ou tombe dans l’escalier, les parents ont toutes sortes de peurs mais des peurs justifiées. Ils ne croient pas que le monstre dans le placard existe. Mais ils n’ont pas de raisons d’avoir vraiment peur. La plupart des enfants ont peur du fameux monstre parce qu’ils savent. A cet âge là, les enfants possèdent une sensibilité particulière, ils savent que les monstres existent et qu’ils ne sont pas issus de leur imagination. Leur peur n’est pas irrationnelle, en revanche la présence du monstre dans leur placard peut l’être. Les monstres ne peuvent pas s’introduire dans un foyer à moins d’y avoir été invité. Dans un foyer vous êtes en sécurité. Pas dans les rues. Les enfants qui traînaient dans les rues la nuit étaient en grand danger, mais il n’y avait pas de parents pour s’en soucier. Soit ces enfants étaient des orphelins soit leurs parents se moquaient bien de leur sort. Pour Vitaly, ça n’était pas totalement ça, mais s’en était pas loin. Le gamin de 8 ans traînait dans les rues parce qu’il n’avait plus de maman, et qu’il avait fuit sa maison un an auparavant, à la mort de sa mère. Il n’avait pas pu supporter la lente descente en enfer qu’opérait son oncle. Il n’avait pas pu supporter cette maison vide où sa mère était morte sous ses yeux, lentement, douloureusement. Qui aurait supporté ? Son oncle n’avait pas eut la force morale de partir, l’enfant l’avait eut. Mais contrairement aux autres enfants, Vitaly n’était pas totalement démuni face aux monstres. Durant toute son enfance il avait été entraîné pour les tuer. Son seul problème était de trouver des armes parce qu’il n’avait pas un sou. Ca lui arrivait de voler pour manger, mais concernant les armes, il se débrouillait avec ce qu’il trouvait. Le couteau qu’il avait dans la poche, il l’avait confectionné avec un bout de métal qu’il avait affûté lui-même, et il l’avait entouré de gros scotch pour former un manche. C’était basique mais ça marchait plutôt bien. Pour le reste, il veillait à ne pas croisé de monstre lorsqu’il n’avait qu’un couteau sur lui. Ca aurait été du suicide. Pourtant, cette nuit, il n’avait pas peur de croiser un monstre, il avait cette rage intérieure qui dominait de loin les peurs qu’il pourrait éprouver. La certitude de vaincre l’emportait sur la peur. Si le petit garçon dans sa chambre, tremblant sous sa couette, savait que les monstres ne pouvaient pas entrer sans y être invité, sans doute aurait-il moins peur.

C’était une nuit comme les autres, et dans ce quartier, le petit garçon avait autant à craindre les monstres que les junkies fauchés cherchant désespérément leur dose, prêt à tuer pour quelques centimes. Il marchait dans les ombres, évitant soigneusement la lumière, son regard se baladait autour de lui, comme s’il cherchait quelque chose. Pour dire vrai, il était méfiant. Son oncle avait bien des tords, mais une chose qu’il lui avait apprise était qu’il valait mieux être parano plutôt que de se faire surprendre. Toujours sur ses gardes, le garçonnet marchait d’un pas lent, la main droite plongée dans la poche de son sweat, refermée sur le manche de son couteau fait maison. Tournant à droite, il allait droit sur son refuge, une maison abandonnée qu’il squattait pour l’instant. Il avait réussit à déloger un couple de junkie la nuit dernière qui avait voulu lui prendre son repaire. Le petit garçon savait se montrer persuasif avec ses armes faites maison et la lueur dangereuse brûlant dans ses prunelles. Le couple n’avait pas insisté et était parti. Mais il savait que ce ne serait ni les premiers ni les derniers à tenter le coup. Prêt à se battre pour conserver sa place, le petit garçon renifla l’air laissant son pouvoir s’étendre. Il senti une présence. Pas de surnaturel, ça n’était donc pas un monstre, mais un humain ou plusieurs, son don marchait plus facilement avec les monstres. Il entra en poussant la porte d’un coup de pied. Bien décidé à déloger l’intrus, le petit garçon brandit son couteau devant le visage baigné de larmes d’une fillette. Elle devait avoir six ans, mais elle semblait plus vieille, derrière ses prunelles il sentait le poids des années comme si elle en avait déjà trop vu. Il connaissait bien ce regard, c’était celui qu’il voyait dans le miroir. La gamine était en position fœtale et ne semblait même pas effrayée, c’était de la rage qu’il lisait dans son regard. Le petit garçon rangea son couteau. La menace ne marcherait pas sur elle, il en était convaincu. Mais il ne ressentait aucune pitié. Dans son esprit, la seule chose qu’il pensait, c’est qu’elle avait violé son intimité, qu’elle se trouvait chez lui et qu’elle n’avait rien à y faire. Si les menaces ne marchaient pas, il trouverait un autre moyen de la déloger.

« Ecoute, ici c’est chez moi. » commença-t-il. A peine avait-il prononcé ces mots qu’elle fondit en larme. Le petit garçon n’était pas habitué aux filles, aussi il se laissa avoir. La voyant pleurer doucement en silence, sans cri, sans hurlement, sans hystérie, il s’approcha, hésitant sur la conduite à tenir. Lui qui évitait soigneusement les victimes éplorées voulant à tout prix le remercier, il ne savait même pas comment faire pour réconforter quelqu’un. Il lui tapota l’épaule doucement puis resta comme un idiot devant elle, ne sachant comment réagir, il opta pour s’asseoir à côté d’elle sans bruit. Durant de longues minutes, ils restèrent comme ça. Peu à peu les larmes cessèrent de couler. La petite fille sécha ses joues, tout en regardant cet étrange petit garçon qui l’avait menacé de l’arme la plus pitoyable qu’elle n’avait jamais vue. Ca ne l’étonnait même pas, elle avait vu des choses bien pires. Il ignorait ce qu’elle avait pu voir, mais il savait qu’elle avait vécu quelque chose de terrible, ça se voyait dans son regard à la fois étrangement vide et à la fois dur, impénétrable. La petite fille n’ouvrit pas la bouche, et Vitaly ne savait pas quoi dire, aussi ils restèrent silencieux jusqu’à ce que le ventre de la gamine se mit à grogner méchamment. Vitaly se leva pour aller chercher une boîte de conserve, il saisit une bouteille d’alcool à brûler et une boîte d’allumettes. Amenant le tout, il commença à faire cuire la boîte. La petite fille observait les flammes danser sans un mot. Vitaly n’osa même pas lui adresser la parole. A présent qu’elle semblait plus sereine, il ne cessait de songer qu’elle était chez lui, sur son territoire. Ce qui ne l’empêcha pas de lui offrir la moitié de sa nourriture et plus tard de lui offrir une couverture. Il en avait trois, et un vieux canapé défoncé. Elle prit le canapé, et bougon, il dû s’allonger sur le sol froid. Il s’imaginait que demain elle serait parti, qu’elle lui aurait probablement volé ses réserves de nourriture et sans doute la couverture, mais lorsqu’il s’éveilla, elle était assise sur le canapé et le fixait avec ce même regard froid, dur et vidé de toute émotion. Il avait l’impression que ce regard le transperçait douloureusement.

Extrait du journal intime de Vitaly Matthews Fox
J’ai croisé une gamine. Enfin le plus exact, c’est que je l’ai trouvé chez moi. Sur le coup, je voulais la chasser, comme les autres, pourquoi est-ce que je devrais accepter de partager mon repaire ? Elle n’a qu’à s’en trouver un autre, c’est ce que je pensais à ce moment là, mais elle a pleuré et je n’ai pas pu la chasser. C’était la première fille que je voyais d’aussi prêt, et c’était la première fois que je voyais quelqu’un de mon âge pleurer. J’avais entendu des enfants crier, mais c’était différent, ils voulaient quelque chose et c’était le meilleur moyen pour l’obtenir. Elle avait pleuré en silence, camouflant son visage derrière ses bras. Le fait est que je n’ai pas pu la chasser. Alors elle est resté. Peu à peu, je me suis habitué à sa présence, mais il a dû se passer près d’un mois avant qu’elle n’ouvre la bouche. Lorsqu’elle l’a fait, j’ai sursauté. J’avais finit par croire qu’elle était muette. Ca a été un torrent, un torrent de parole, elle qui n’avait pas lâché un mot pendant tout ce temps semblait vouloir se décharger d’un poids. Elle m’a raconté comment sa mère était morte, tuée par des hommes en noir, dont elle semblait plus haïr que redouter, comment elle était resté planquée dans ce placard pendant une journée entière avant que la police ne la trouve, en état de choc, incapable de parler, de dire quoi que ce soit. Et puis elle a parlé de l’orphelinat, de ce lieu sordide où les gens faisaient semblant d’être gentil, de ce lieu qu’elle détestait, qu’elle avait finit par fuir pour atterrir dans les rues de New York. Elle n’expliqua pas les bleus qu’elle avait sur les jambes, ni pourquoi elle s’absentait durant une partie de la nuit. D’un autre côté, elle ne me posa aucune question sur mes absences. J’estimais que c’était mieux ainsi.
Avoir quelqu’un finalement c’est mieux qu’être tout seul. Je ne m’attendais pas à éprouver ce genre de choses, mais j’apprécie sa présence. Curieusement je n’ai pas peur pour elle. Quelque chose me dit qu’elle saura se défendre si c’était nécessaire. J’aime bien sa présence, c’est comme si nous étions plus fort. On ne parle pas souvent, elle n’est pas du genre bavarde. Je lui ai bien expliqué pourquoi j’étais là, je lui ai même parlé de ma mère, mais ça a été notre discussion la plus longue qu’on ai eut. Je ne m’en plaint pas, j’ai pas grand chose à raconter de toute façon. Je ne lui ai rien dit à propos de mes dons, ni à propos des monstres, je pense qu’il vaut mieux qu’elle n’en sache rien. Mais je sais qu’un jour il faudra que je lui dise ce qui hante les nuits, parce qu’un jour j’en aurais assez d’avoir peur qu’un monstre l’attrape. La seule activité que nous ayons c’est la bagarre. Je lui apprend à se battre et elle est vraiment douée. Quand je disais qu’elle savait se défendre. C’est une vraie teigne, elle ne lâche rien, et se relève toujours. Je n’aimerais pas l’avoir en ennemie. On se bat dans la cour derrière la maison, et parfois ça dure toute la nuit. Je crois qu’elle aime ça. Peut-être bien que je lui dirais pour les monstres. Elle a un vrai talent, je suis certain que si je l’entraînais dans les chasses elle aimerait ça.


Chapter Four
Entre rêves et réalité


« Vous ne savez pas ce que je ressens lorsque vous me parler de lui. J’ai peur et en même temps mon coeur bat à s’en rompre. Il avait à peine 12ans lorsqu’il a combattu le démon lâché à Brooklyn. On peut dire ce que l’on veut mais ce démon étaient sacrément fort. Je sais ce que l’on dit derrière mon dos. Elle rêve encore à son beau prince qui viendra la sauver. Mais je m’en moque. Moi encore j’ai des rêves, moi je n’ai pas encore perdu mes illusions. Je sais qu’il existe que ça n’est pas une simple légende. Et vous savez pourquoi je le sais? Parce que je l’ai vu. Oh je sais, vous allez moquer de moi, comme les autres, me dire que j’affabule, que j’invente, mais c’est vrai. Ce type existe. Ca n’est qu’un gosse, oui, un gosse, et il est frêle comme tout, mais il sait ce qu’il fait lorsqu’il part combattre des démons, il sait ce qu’il fait lorsqu’il les renvoie en enfer. Je l’ai vu à l’action. Il y a des papiers qui volent partout, les objets se mettent à léviter, les miroirs et les vitres volent en morceau. Je sais pas ce qu’il raconte exactement, mais ça les effraie. Les démons, ils ne supportent pas ce qu’il raconte. Tu les verrais, on dirait qu’ils vont se mettre à chialer. Et puis tout d’un coup, ça retombe, les objets je veux dire, et c’est un silence... assourdissant. Il observe le démon comme s’il allait lui percer le corps de son regard. Ensuite, c’est très rapide. Il y a du sang, de la violence, beaucoup de violence, mais il est agile, tellement agile, et il arrive à éviter les coups tout en labourant le démon de coup. Il a une arme je crois. Mais en fait, je n’ai vu que l’éclat de la lame. » Témoignage de Lucy Tathes recueilli par Norman Dolph pour la confrérie en 1995

Les enfants jouent dans la rue. Le soleil dare de ses rayons d’une force insoupçonnable. Malgré la sueur qui coule sur leur front, les enfants continue à jouer. Ils ne sont pas nombreux et la rue leur appartient pour eux seul. Certains sont déjà de jeunes adultes à 13ans à peine alors que d’autres sont que des enfants. Mais tous essayent d’oublier le monde horrible dans lequel ils sont contraint de vivre par leur jeux, enfantins, et plein d’innocence. Des cris, des rires, tout ce bonheur semble presque insupportable. Cette rue est leur royaume. Nul adulte pour les surveiller, ils se sentent les maîtres du monde, comme si rien ne pouvait les atteindre. Mais c’est faux. Ils ne pensent pas aux vampires tapis dans l’ombre qui rêvent de les attraper, aux lycans qui les déchiquèteront aux morceaux s’ils les croisent les nuits de pleine lune, ils ne savent pas que les monstres existent. Ils n’y croient plus, pour eux ce sont des mythes racontés aux enfants pour leur faire peur. Le monde qu’ils connaissent est tellement à l’opposé de ces histoires qu’elles leur paraissent fausses, évidement.
Appuyé sur un mur, un jeune garçon les surveille d’un air dur. Il a à peine 13ans, et n’est pas le plus vieux d’entre eux, mais son regard semble tellement plus âgé, comme s’il avait déjà vécu toute une vie. Ses bras sont musclés pour ceux d’un garçon de son âge. Ses cheveux sales s’emmêlent et tombent devant ses yeux clairs. Il les regarde. Comme s’il les surveillait, comme s’il les protégeait. Mais il n’y a nul sentiment dans son regard. En tout cas aucune envie de participer au jeu. Il n’est pas trop vieux pour ça. En fait, il n’en a pas envie. Il n’en a jamais eu envie. Bien souvent, il les voit jouer, depuis cinq ans qu’il traîne dans les rues, il les voit jouer mais ne les rejoint jamais. A dire vrai, il se sent supérieur à ces enfants, il n’aime pas leur innocence parce que pour lui c’est de la faiblesse, il n’a aucune envie de les rejoindre parce qu’il n’aime pas leur jeux, il n’a aucune envie de leur parler parce qu’il sait déjà que leur conversation va l’ennuyer. C’est un jeune garçon bien arrogant pour son âge.

« On raconte un tas d’histoire à propos d’un adolescent qui aurait des dons. Je sais pas si c’est vrai, je n’en ai pas beaucoup entendu qui avait quelque rapport avec la vérité. Ca n’est qu’un gosse comme tous les autres, qui brille et qui retombe dans l’anonymat. Dans le coin, ça discute pas mal dès qu’un chasseur se pointe, il faut dire que dans ce quartier il n’y en a pas beaucoup. Qui se soucie des gosses qui crèvent de faim, c’est certainement pas les chasseurs qui vont s’en préoccuper. Ca non. Alors lorsqu’un gosse qui grandit dans ces rues, qu’on voit tous les jours, se met à tabasser un démon comme s’il s’y connaissait, qui s’introduit chez des vampires avec un bidon d’essence, qui shoot un lycan avec un fusil à pompe, et qui survit à tous ces combats, on peut pas s’empêcher de parler. C’est bien normal. Moi je l’ai pas vu à l’action le bonhomme. Je sais juste qu’il est du coin. Il va dormir à un endroit différent à chaque fois. Je sais pas ce qu’il fuit, mais c’est sûr qu’il n’aime pas rester à un endroit fixe. Et son regard, on dirait qu’il a vu le diable le pauvre. De si beaux grands yeux qui n’ont plus rien de curieux. Ses yeux sont fixes et lorsqu’ils se posent sur vous, ça vous en arracherait des hurlement de terreur. Un gosse ne devrait pas avoir un regard comme ça. Ses méthodes d’actions sont certes brutales et grossières, mais il a du potentiel. Je ne pense pas que ce soit juste un gamin qui veut s’amuser, je ne pense pas que ces histoires soient des inventions. Je pense que c’est le gamin que vous cherchez. Il a manifestement un don. Personne de normal n’aurait pu survivre. Il a dû suivre un entraînement. Ca correspond à la description que vous m’aviez donné. Je crois que je suis capable de le retrouver et de vous le ramener. » Message d’un gardien à la confrérie.

L’endroit est sale et glauque. Il y a une forte odeur très désagréable qui y règne. Mais ça ne repousse pas le jeune garçon qui entre sans peur. Ses yeux clairs essayent de percer l’obscurité en vain. Le noir règne ici depuis presque toujours. Du moins c’est la sensation qu’il a. Curieusement, il ne connait pas la peur. Il en a trop vu pour avoir peur du noir, et il a trop vécu pour avoir peur de la mort. A vrai dire, si elle venait, il l’accepterait presque avec soulagement. La vie dans un monde aussi désolé n’est pas faite pour un enfant, ni pour un jeune garçon et certainement pas pour un adolescent seul et perdu sans personne à qui se confier, sans personne pour le protéger. Même s’il peut se défendre seul. Son arogance aurait dû le perdre, mais il a trop bien été éduqué pour se laisser piégé de la sorte. On l’a elevé pour qu’il survive, mieux encore, pour qu’il devienne un de ces chasseurs de démons qui parcourent New York. Son savoir lui a permit de survivre jusque là. Alors pourquoi aurait-il peur du noir?
Passé l’odeur, il y a des bruits, des gémissements. Des gens sont là, dans le noir. C’est un squatt comme il y en a tant dans la ville, mais celui-ci est sans doute le plus triste. Que viens y faire un jeune garçon de 13ans? Il s’est sans doute perdu dans les tréfonds de New York en essayant de fuir quelque chose ou quelqu’un. Le jeune garçon a déjà été ici. Il connait ces gens, sait ce qu’ils y font, sait qu’ils y meurent. Mais ça ne lui fait pas peur. Pas après ce qu’il a vu, pas après ce qu’il a vécu. La peur ne fait plus partit de son langage. Ni même les regrets ou les remords. Il ignore ce que c’est pour ne plus les avoir ressentit depuis très longtemps, s’il les a ressentit un jour. Ca n’est pas souvent qu’il vient ici. Il faut qu’il n’ai plus rien à faire, que ses longues journées se soient écoulées sans aucune action, sans aucun monstre sur lequel se défouler, pour qu’il vienne ici.
Ce qu’il cherche? Comme tous les autres, il cherche un moyen d’oublier. Il est jeune mais pas naïf. Déjà, il en croit plus en l’homme, déjà il sait que le combat est perdu d’avance. La mort, il l’a vu en face et plus d’une fois. A présent, il l’attends de pied ferme. Qu’elle vienne avec sa faux, il n’attends qu’elle. Le repos, enfin. Mais il n’y a pas le droit, n’est-ce pas? Pas lui. Il est trop jeune, il est trop fort, il a perdu cette innocence qui plait tant à la mort. Sa chair n’est plus aussi tendre. Alors en attendant, il vient ici. Même Lucifer ne viendrait pas ici. Ca n’est pas l’enfer ici, c’est bien pire. Mais il a besoin de cet endroit comme il besoin de ce qu’il vient y chercher. Ne parlez pas de dose, ça n’est plus le nom qu’on lui donne, pas plus celui de drogue. Il en prend pas toujours, on ne peut pas dire qu’il soit accro, de toute façon plus personne n’utilise ce terme. Mais de plus en plus ça devient une nécessité. Oublier. Encore.

Extrait du journal intime de Vitaly Matthews Fox

Croire que je serais mieux sans Julien a sans doute été une grossière erreur. Je ne suis pas quelqu’un qui pense qu’on a besoin d’être entouré de gens qu’on aime. En fait je suis même plutôt quelqu’un de solitaire. La présence des autres m’insupporte. Ils m’ennuient avec leur problèmes qui me semble dérisoire, ils me lassent avec leur histoire qui me semble irréelle, leur mensonge sont comme une brûlure sur ma peau, car tout le monde ment et je le sais. Ce n’est pas de ma faute ou si parce que je ne fais rien pour changer ce trait de caractère mais il est vrai que je suis né ainsi. Un rien me lasse, et tout m’agace. Cependant Julien était quelqu’un que j’aimais, que j’appréciais et les gens qui ont mon estime sont si rare. Je ne sais si lui est mieux sans ma présence. Cela est vrai, j’aurais été horrible si j’étais resté, insupportable, je me sentais prisonnier de son amour mais m’en éloigné me rend horriblement malheureux comme me savoir loin doit lui être douloureux. J’ai été ignoble en partant ainsi sans donner de nouvelle, sans chercher à lui faire savoir que j’allais bien, que j’étais encore en vie. Mais quelque part je sais qu’il me sait en vie, il me connait trop bien, il m’a trop bien modeler à l’image qu’il voulait me donner. J’ai été son jouet, son modèle, la sculture qu’il a construit à travers ces années. Et cela ne me déplaisait pas jusqu’au décès de Kathy. Cependant cette période est à présent révolue et revenir en arrière m’est impossible.
La solitude ne me pèse pas. Finalement les rues de New York sont pleine d’animation. Il y a toujours un démon à combattre, il y a toujours une bataille pour rester en vie, et c’est ça qui me plait et m’attire. Bien sûr que j’y perd un peu plus de mon âme, si jamais j’en ai possédé une. Je n’ai jamais été comme les autres, et je ne le serais jamais. La recherche d’un bonheur m’est impossible, la simple idée que le bonheur puisse exister m’est insupportable, et puis je sais que cela serait vain, car je ne croit pas en ce mensonge tout à fait humain. Courir après le danger est comme une seconde nature. Ca n’est pas que je n’accorde aucun prix à ma vie, mais c’est seulement que l’adrénaline a besoin de couler dans mes veines, c’est ainsi que je me sens vivant.



Dernière édition par L. Vitaly Nolan le 29/5/2010, 18:01, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 22:41

Chapter Five
Une nouvelle vie, une nouvelle mission.


Ordre de récupération.
Le jeune Vitaly Fox a été retrouvé. Il semblerait d’après les rapports des gardiens vivre dans les rues de New York. On ne peut que supposer sur son état, mais il semble en bonne santé. D’après des témoignages il aurait combattu des vampires, et même quelques démons. Nous ignorons l’étendue de ses dons. Il pourrait avoir pratiquer un exorcisme. Sans nouvelle de son oncle qui a disparu de nos radars, impossible de savoir où en était l’éducation du gamin. Il peut être dangereux. Faites attention. Essayez de ne pas lui faire peur. Nous le voulons entier et si possible pas mort de peur. Ne faites pas étalage de vos pouvoirs.


« Qu’est-ce que je fais ici ? » bougonna le gamin en se renfrognant. Il fixait l’homme devant lui avec un regard dur comme s’il voulait le tuer du regard. Quelque chose dans le regard du gamin met l’homme mal à l’aise, aussi il commence à faire les cent pas. Luc qui a ramené le gosse s’est éclipsé depuis longtemps, il semblait ne pas vouloir rester là, comme si quelque chose le mettait mal à l’aise lui aussi. C’est peut-être la cicatrice énorme sur le bras du gamin ou l’odeur qui se dégage de lui, ou encore le fait qu’il était complètement stone quand on l’a trouvé. Un gamin dans cet état lamentable ça vous fait quelque chose. Forcément. On ne peut pas rester impassible. Encore moins quand on a des enfants. L’homme était rassuré que la sorcière soit là. Elle saurait lui parler.

« Tu n’as pas à t’inquiéter, nous sommes là pour t’aider. » fit la jeune femme en s’approchant du gamin. Voyant que celui-ci lui adressait un regard noir et dur, la jeune femme dû prendre sur elle pour ne pas faire comme son collègue. « Ta place est parmi nous. Ta mère voulait que tu sois avec nous. Elle aurait voulu que tu sois heureux, que tu puisse maîtriser tes dons plutôt que tu te torture, que tu vives dans la rue et que tu te drogue. »

« Qu’est-ce que vous en savez ? Ma mère est morte ! » explosa Vitaly de colère. « N’essayez pas de m’amadouer en disant que ma mère voulait que je vienne avec vous ! » Il était peut-être pas au courant de ce que sa mère voulait ou non pour lui. Il ne se souvenait plus de ce qu’elle avait pu lui dire, mais si elle lui avait parlé d’une confrérie de sorcier, il s’en serait souvenu. C’était Julien qui l’avait éduqué, qui lui disait que c’était sa destinée, qu’il aiderait des gens qu’on comptait sur lui. Qu’on tente de l’amadouer ainsi, c’était nul, nul à chier. En plus, ils le prenaient pour un idiot en pensant qu’il allait avaler leur morceau tout cru. « Vous êtes les sorciers qui combattent le mal c’est ça ? Julien m’avait parlé de vous. Mais moi je n’ai jamais dit oui, d’accord ? J’emmerde Julien et je vous emmerde aussi. »

Il se leva brusquement. La femme se leva à sa suite et lui attrapa le bras. L’adolescent lui bloqua sa main et en un mouvement brusque, il envoya la femme au tapis. Aussitôt deux hommes sortirent de nul part et tendaient leur main vers lui. Il sentit l’atmosphère picotée. Le pouvoir s’accumulait dans la pièce. Quand ça allait exploser ça ne serait pas beau à voir. La femme leva les mains en signe de paix et se releva avec grâce. Il n’avait jamais vu quelqu’un se relever aussi vite ni avec autant de grâce d’ailleurs. Elle n’était pas humaine, il le sentait à plein nez, mais elle n’était pas un monstre. Elle était comme l’oncle Julien, puissante et forte. Une sorcière. « Non, attendez. C’est un adolescent. » fit-elle pour interrompre ce qui allait tourner en un combat. « Il est suffisamment intelligent pour comprendre que nous sommes sa seule famille désormais. Il reviendra. »


Extrait du journal intime de Vitaly Matthew Fox

Ca fait six mois maintenant que je suis à la Confrérie. Ils veulent me changer, ils disent que je suis un diamant brut qu’il faut tailler, mais je ne vais pas les laisser faire. Soit, ils ont besoin de moi et j’ai besoin de manger, on peut passer un accord mais ça sera tout. Je n’ai pas envie de changer pour eux même si certains sont sympa. Je commence à bien aimer la sorcière, celle que j’ai rencontré la première fois que je suis venu ici. Elle n’est pas comme les autres, c’est comme si elle me comprenait. Il n’y a qu’à elle que je fais confiance. Elle m’a promis de respecter ma volonté mais je sais qu’elle m’a mentis. Si les autres veulent me changer, elle ne pourra rien y faire. Mais j’ai l’habitude et je n’ai pas besoin qu’on m’aide. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, ça ne changera rien. Je vais jouer leur jeu parce que ça m’arrange, mais au final, c’est moi qui aurait les derniers mots.
On n’arrête pas de me donner des cours, on me dit comment faire, on veut m’apprendre la magie, me dire comment combattre les monstres, comme si je ne savais pas m’y prendre. Ils veulent m’apprendre des choses que je connais déjà. Ce n’est pas grave. Le seul truc qui m’ennuis c’est que je suis bloqué chez eux la plupart du temps. J’ai hâte d’aller sur le terrain. Si tu savais comment ça me démange. Ca fait trop longtemps que je ne me suis pas battu. Ils disent que je ne suis pas prêt à affronter des sorciers, que je ne tiendrais pas longtemps. Je ne suis pas d’accord. En quoi un mauvais sorcier est différent d’un démon ou d’un vampire ? De toute façon ce sont eux qui contrôlent les démons, ils ne doivent pas être tellement différent. En plus je peux les blesser facilement. Je me demande seulement si je serais capable de les tuer. Ils sont humains au fond. Des monstres, mais à l’apparence humaine. Ce ne sera pas aussi facile qu’avec les vampires, mais si je me concentre sur leur aura je saurais alors ce que j’ai à faire.


test rp.

« La solitude est un poids lourd à porter lorsqu’on ne l’a pas choisie. On est alors rempli de regret et sans cesse tourné vers le passé, on a une boule à la gorge à chaque fois qu’on songe à tout ce qu’on a raté. Vivre dans le regret est une douleur de tout les jours, mais lorsqu’on est seul et tourné vers le passé, il n’y a aucun moyen d’échapper au regret, il faut juste apprendre à vivre avec. C’est sûrement l’une des choses les plus difficiles au monde, parce qu’on ne s’y habitue jamais, parce qu’on a la sensation que les autres sont plus heureux qu’on ne pourra jamais l’être, parce qu’on finit par croire que le bonheur est un sentiment qu’on ne retrouvera plus jamais. Les êtres qui sont seuls, qui subissent cette solitude, ont tendance à devenir si froid que revenir vers les autres leur paraît impossible. Ils finissent par haïr les autres parce qu’ils ne sont pas seuls, parce qu’ils sont heureux, parce qu’ils sont présent. »

Shreveport, une de ces villes du sud où les monstres ont élus domicile. Allez savoir pourquoi ils sont si nombreux en Louisiane. Il y a plus de soleil que dans le nord, si j’étais un vampire j’aurais plutôt choisit New York ou Portland, mais non eux, ils se regroupent ici. Le chasseur était venu ici pour plusieurs raisons. D’abord parce que la Confrérie voulait lui confier une nouvelle mission, même si le chasseur savait que c’était plus un test. Ils voulaient savoir s’ils pouvaient lui faire confiance. Et ils avaient tord. Bien sûr que non qu’ils ne pouvaient lui faire confiance, il n’arrêterait pas de chasser les monstres parce que la confrérie estimait que la paix était plus importante, qu’ils aillent se faire foutre ! Qui allait aider ces familles, ces êtres déchirés par le malheur parce qu’un de ces monstres si gentil selon la loi avait tué un des leurs ? Certainement pas le BIAS qui mettait un temps bien curieux pour obtenir un mandat, qui était incroyablement lent et qui classait si vite les affaires. La confrérie pouvait bien le tester, le chasseur n’en avait rien à foutre. Le plus important était son nouveau contrat.

Les Quincy, une gentille famille. Le père travaille à l’hôpital, c’est un médecin qui sauve des vies tout les jours, la mère est femme au foyer et leur seule enfant, leur petite fille chérie leur a été sauvagement enlevée. Ca s’est passé avant la révélation. Ils ont eut beau dire, beau faire, on savait que c’était des vampires les coupables et pourtant on a classé l’affaire. C’était plus simple et plus facile comme ça. Pourquoi rouvrir une ancienne affaire alors qu’on concluait le marché du siècle. Le gouvernement pouvait taxé éternellement les vampires en impôts et ces derniers avaient le droit de vote. Et là-dedans, les Quincy n’était qu’une triste histoire qu’on oublierait. Pas eux. Lisa Quincy avait disparu il y a deux ans maintenant. Les chances de la retrouver étaient inexistante. Mais ses parents avaient besoin de savoir que les coupables étaient morts pour faire leur deuil. Ils paient bien et Vitaly ne pouvait supporter bien longtemps de les voir pleurer. Il leur rendrait justice. Il était venu pour ça. Peu de monde serait capable de retrouver les coupables, mais il avait ses méthodes bien à lui, et il savait comment s’y prendre pour retrouver la trace des vampires.

C’est pour ça qu’il s’était discrètement introduit au BIAS en pleine nuit. Le fait d’avoir couché avec une des enquêtrices aidait. Elle savait ce qu’il cherchait. Vitaly pouvait mentir, mais il disait la vérité lorsqu’il ne sentait pas le besoin de mentir. La jeune femme n’avait même pas pu lui dire non. Elle lui avait juste demandé d’imiter un cambriolage afin qu’on ne remonte pas jusqu’à elle. Il était donc dans les bureaux, aux alentours de minuit, et fouillait dans les dossiers. Ce qui l’écoeura le plus c’est qu’il y avait beaucoup de dossier. Combien de personnes avaient été ainsi tuée, qu’on avait mené une enquête et presque aboutit jusqu’à ce qu’on décide finalement de classer le dossier, de laisser les coupables courir ? Il saisit un carton et empila les dossiers. Elle lui avait dit de simuler un véritable cambriolage ? Tant mieux, il prenait tout. Les Quincy n’étaient pas les seuls et il rendrait justice à tous ces malheureux qu’on avait oublié. Ca faisait un bon boulot qui allait peut-être lui prendre des mois, mais il était prêt à sacrifié sa vie de nomade pour cette nouvelle mission. En sortant, il en profita pour prendre des armes histoire de ne pas être en reste. Piquer seulement des dossiers paraîtrait bizarre. Il prit aussi un ordinateur portable qui traînait sur un bureau.

famille. Il n'a j'amais connu son père. Il ne s'est jamais posé la question de qui ça pouvait être, il savait ce qu'il avait à savoir, sa mère l'avait aimé et il était mort. Sa mère est morte quand il était encore enfant. Sa mort l'a poussé à couper les ponts avec son oncle. Il ne l'a jamais revu après ça.
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:02

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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:05

Mouarf t'as troqué Cassie contre Jensen?
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:06

Yep, il te plait mon chasseur de monstre?
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:07

Huhu, moi j'ailme.
Tu devrais juste changer ton rang xD
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:08

Ouaiiiiiiiiiiiiiiis je l'adore. En plus tu sais mon attrait pour Jensen (c'notre ptite conversation qui t'as fait changer d'avis? xD)

Il nous faut un lien, le genre SUPER HOT, parce que sinon je vais passer mon temps à baver dans ta fiche xD
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:09


BIENVENUE !
Quoi ? Dire bienvenue à un admin, c'est mon rêve !
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:10

Bonne idée ça. Merci mademoiselle.

Wou! Prépare ton clavier ma belle dans ce cas.
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:11

Mdrrrrrrrr, y manque plus que Gaspi et je pourrais mourir de bonheur devant mon écran entourée de toutes ces merveilles :93:

Je te prépares mon clavier et tout ce que tu voudras d'autre *SBAAAAAAF*

:sort:
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:27

Wade: ils ne sont pas dans la même catégorie.^^

Meurt pas, reste avec moi!
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:31

Mouarf, je vais vivre ... (et là les derniers neurones de Camille décédèrent) *se roule par terre* (mdr après avoir bouffé les tables elle se roule au sol maintenant xD)

Jensan, Cam, Jared... :049/: merci mon Dieu...

:56:
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:31

Re-bienvenue Cass'/Aless' XD

Camile XD Je veux réanimer tes neurones ^^
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:36

Vite un défébrilateur, elle va nous faire une crise cardiaque!

merci Neelah, alors il te plait mon perso?
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:44

J'adoooooooore :046/: :050/:
C'est juste parfait ^^
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:46

Je commence à avoir une petite idée de lien canon pour toi^^.
Contente qu'il te plaise! :040/:
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:49

Le défibrilateur ça marche sur les neurones? :suspect:

En fait ils vont plus me tuer que je ne le suis déjà...

Gnieuh? A qui tu causes?
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:51

*sautille partout comme si c'était noël*

Hâte de savoir :025/:
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime18/5/2010, 23:57

A mademoiselle Neelah, t'inquiète Camille tu auras aussi un lien, je veux pas que tu couvre ton clavier de bave et que ton cerveau se déconnecte.
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime19/5/2010, 00:00

Ah :64:

C'toi aussi qui me provoque... je croyais que Jensen t'inspirait pas :69:
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime19/5/2010, 00:09

Bin tu vois, y'a que les imbéciles qui ne change pas d'avis.
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MessageSujet: Re: LIVE AND LET DIE Vitaly   LIVE AND LET DIE Vitaly Icon_minitime19/5/2010, 00:14

Mouais elle est facile celle là. (Mouarf j'ai bientôt finit de rep à Aless, je suis un peu partie en free je te préviens.)
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