Anne-Ehlia Pierce âge. 22 ans date et lieu de naissance. 24 Décembre 1988 à Paris nationalité. Française nom de votre vampire. Stefan Delwild date de la marque. Une semaine état civil.Célibataire mais relation ambigus avec son vampire, la jeune femme éprouve de drôle sentiments envers lui... lieu d'habitation. quartier d'habitation en ville. métier. Photographe chez VICTORIAN'S CREATION étiquette qui vous est collé. Elle n'a pas vraiment de réputation vu sa discrétion depuis sa morsure. Mais si ces collègues doivent lui donner une étiquète sa serai celle d’une fille joyeuse qui ne se fait pas du tout remarqué et qui reste calme même devant des situations perturbante …

traits de caractère. Gentille fille au cœur d’or, malgré certains airs qu’elle se donne, elle est quelqu’un de très joyeuse de manière générale, mais ce n’est pas le genre de joyeux à la faire sauter partout. Non, c’est plus qu’elle tente de voir le bon côté des choses le plus possible. C’est sa façon d’être joyeuse. Cependant ne la croyez pas naïve. Oh mon dieu, quelle grossière erreur. Ceux qui l’ont un jour pris pour une bonne poire s’en sont casser les dents (au figuré bien que ça ait déjà finis au sens propre); elle est parfaitement consciente que le monde n’est pas tout blanc ou tout noir, qu’en réalité il est un nuancer de gris, et d’ailleurs elle n’est pas toute blanche elle-même, en revanche, elle sait parfaitement jouer les insouciante pour obtenir ce qu’elle veut.

Qui a dit que les femmes n’étaient que des créatures douces, gentilles et aimantes ? Ceux qui prétendent cela ne connaissent pas Anne-Ehlia. Elle l’est l’exemple parfait pour illustrer le proverbe : Les apparences sont parfois trompeuses; elle n’est pas bien grande, pas bien épaisse non plus, bref, elle semble frêle et fragile, et pourtant elle est tout à fait capable de mettre au tapis un homme faisant deux fois sa taille (un humain du moins). Du moins avant la mort de sa mère, maintenant je dirais qu’Anne est quelqu’un qui a peur de la vie, elle n’ose pas vraiment se mettre en avant, un peu suicidaire, car côtoyer des vampires il faut l’être… Mais quand on demande à ces collègues de nous la décrire, sa serai celle d’une fille joyeuse qui ne se fait pas du tout remarqué et qui reste calme même devant des situations perturbante … Et surtout qui ne parle jamais de son passé.

occupation diurne. Anne-Ehlia travaille au Victorian’s Creation comme photographe, elle aime beaucoup la photographie. En parallèle, elle fait du patinage artistique à ses heures libres. Sinon elle écrit des scénarios de court métrage ou des nouvelles, sinon on la voit souvent la tête dans un livre, à lire je ne sais qu’elle bêtise à l’eau de rose. Mais généralement elle a le nez dans ses photos alors si vous la cherchez, cherchez pas plus loin, soit chez elle soit au Victorian’s Creation.

manie, habitudes & goût.
Elle a beaucoup la sale manie de s’entortillé ses cheveux, c’est plus fort qu’elle. Dès qu’elle stresse, Bam entortillage de cheveux. Elle a aussi la manie de faire bouger ses bagues quand elle est nerveuse ou qu'elle a peur à la limite... Mais le truc qu’elle va devoir changer c’est que dès qu’elle s’énervé, elle tapé dans quelque chose… Et je dois dire que depuis son marquage… Elle peut plus tapé sans faire un trou dans le mur… Niveau goût, la miss est pas trop difficile, que ça soit niveau alimentation ou vestimentaire. Par contre elle adore les jours de pluie et/ou les journées grises bien nuageuses. Elle aime par-dessus tout prendre place à la terrasse d'un café qui se voudrait imitant les cafés français des années soixante, sa lui rappelle Paris.

conviction.
Pourquoi mal prendre quelque chose d'inévitable? En vouloir à des êtres qui étaient là avant soit serait un signe de faiblesse, limite d'irrespect... D’ailleurs quand on lui demande, elle nous répond avec un sourire « La révélation ? Ah… Et bien je trouve pour les vampires que c’est bien, ils peuvent se mêlés aux autres mais pour les humains… Moi je suis ni d’un côté ni dans l’autre bien de dans ma situation je pencherai pour les vampires. Mais d’après ce que je sais certains humains sont terrifié bien que je ne comprenne pas trop pourquoi… Mais bon pour moi Révélation ou pas, ça ne change pas mon destin ou ma vie. » Bref, elle s’en fiche tant qu’elle peut vivre avec Stefan sans avoir quelqu’un qui attaquerai son vampire.

relation avec votre marqué.
Anne-Ehlia est une des nombreuses personnes à avoir suivit un vampire de son plein grès. La raison? L'amour qu'elle porte pour ce dernier. Elle ne se voit plus sans lui et c'est exactement pareil de son côté, il l'a veut rien que pour lui & pour l'éternité. Si quelqu'un ose là lui prendre, il signe son arrêt de mort. Anne-Ehlia vit plutôt bien cette relation malgré le fait qu'elle doit boire le sang de Stefan & que sa force est plus grande...

signes particuliers. Ce qui la rend magnifique est sa peau laiteuse, on dirai une poupée.

histoire.

Commençons là où tout s'engendra...

Il faisait nuit noire, dans beaucoup de familles une règle était instauré, les enfants ne devait se trouvait dans les rues après une certaine heure mais voilà, beaucoup ne suivent pas les règles… Une jeune femme courait aussi vite qu'elle pouvait, son souffle était saccadé, elle évita la chute à de nombreuse reprise, levant sa robe pour ne pas tomber, elle approchait d'une ruelle qui allait déboucher sur son chemin, et c'est là que soudainement on lui attrapa son bras, elle fit plaquée contre le mur, une main sur sa bouche… L'homme la fixait dans les yeux, son regard en disait plus qu'il voulait en montrait... Claire n'aimait pas sa mais elle n'y pouvait plus rien... Il était là, face à elle, bientôt rejoint par des amis. Claire était pâle comme une morte, voir encore plus dénuée de couleurs, elle semblait assommée, ou bien était-ce autre chose? On pouvait lire quelque chose de terrible dans son visage, quelque chose que la jeune avait vécue mais qu'elle refusait d'accepter... Était-ce la mort de ses parents des semaines plus tôt? Était-ce son effondrement physique et psychologique? Était-ce les deux hommes qui s'étaient approchés d'elle alors qu'elle était à bout de force?

Alors qu'ils avaient commencés à la déshabiller en ricanant elle avait repris conscience de ce qui l'entourait, de ce qui existait vraiment, ses divagations avaient cessées, laissant place à la dure et froide réalité et alors que les deux hommes l'empoignait pour faire ce qu'ils avaient à faire elle comprit. Le monde n'était pas ce qu'elle avait imaginée jusque-là, le monde n'était pas ce qu'on lui avait raconté. Les hommes firent ce qu'ils avaient commencés, la laissant près d'une poubelle, dans une rue sombre, elle était à peine rhabillée et elle allait surement mourir. Mais tant pis. Elle n'avait même plus la force de pleurer, elle n'avait même pas eu la force de hurler au secours et puis de toute façon qui serait venu? Tous des pauvres diables, chacun pour soi, si un meurt tant pis pour lui, la vie est déjà bien assez dure comme ça. Pas besoin de s'emmerder avec un problème de plus. Tous les drogués passent à côtés d'elle, la regardant sans pourtant la voir. Elle les observe. Elle tente de comprendre. De savoir pourquoi elle... Elle cherche. Elle cherche encore. Mais elle ne trouve pas. Si il y a une réponse elle ne se trouve pas ici, elle n'est pas à portée d'elle. Pas à portée de sa compréhension. Elle n'avait jamais été une surdouée, elle était impulsive, peut-être ne trouverait-elle jamais la réponse... Elle s'en voulait, maintenant elle allait mourir ici, sans rien d'autre qu'elle, ses pensées, ce froid glaciale qui la pénètre et la tue à petit feu, aspirant peu à peu sa vie hors d'elle. Et puis elle se dit qu'elle s'en fout. Ce n’est pas vraiment grave. Mourir c'est ne plus souffrir. Elle est jeune mais elle a déjà pas mal endurée, si vivre c'est souffrir alors mieux vaut mourir. Elle divague un peu, ne sait plus trop quoi faire à part attendre. Alors elle attend.

Elle essaye...

La Mort et tous ses amis viendront bientôt. Il suffit de les attendre simplement et humblement. Pourtant quelque chose demeure en elle, un truc qui refuse de la laisser partir, de la laisser suivre la Mort. Alors elle se rappelle d'une parole de sa mère: " Il faut vivre ses rêves et garder son sens de l'honneur" Oui... Elle veut rêver. Mais quand on meurt, on ne rêve plus? Alors elle se bat et se débat, on ne l'aura pas comme ça! Ses yeux grands ouverts observent le ciel sombre et pollué, une larme s'écoule, lentement, puis va se perdre sur le bitume, elle inspire plus profondément, elle ne veut pas! Non, elle ne veut pas! Pas maintenant... Pas comme ça... Elle ne veut pas suivre la Mort et tous ses amis. Les larmes abondent, tandis qu'elle fait cette silencieuse promesse. Elle essaye de bouger, mais ne ressens que la douleur, tout en elle n'est que souffrance, elle a peur maintenant, va-t-elle mourir ici? Non !! La jeune fille sait ce qu'elle veut, elle commence à essayer de bouger, malgré la morsure du froid ou bien la douleur elle lève son poing au ciel tandis qu'elle observe ce dernier, elle promet, elle jure, plus jamais elle ne se laisserait marcher sur les pieds, plus jamais on ne choisira pour elle, plus jamais elle ne sera dominée. Elle fera ce qu'il faut pour survivre, pour vivre, pour rêver...

*Je ne veux pas*

Les larmes coulent de son visage, on dirait presque une cascade sauvage et impétueuse, alors qu'elle continue à lutter, le bras tendu contre le ciel.

*Je ne veux pas suivre la Mort et tous ses amis!!!*

Alors elle lutte, encore et toujours, car elle ne veut pas les suivre, elle ne veut pas mourir, elle veut rêver. Alors qu'elle s'effondre aux portes de la Mort, quelqu'un passe près d'elle, c'est un jeune homme, de quelques années de plus qu'elle, il l'observe, voit que la vie est encore en elle, alors il se décide de changer quelque chose dans ce bas monde, d'entreprendre une action dont les conséquences ne sont pas encore mesurées. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, il l'emmène chez lui, avec la ferme intention de s'occuper d'elle afin qu'elle vive...

Quelques années avant aujourd'hui...

Un cri... Oui un cri résonne dans la petite maisonnette. Une petite fille au grand destin vient de naitre... Une magnifique petite fille à la peau de porcelaine, douce et fragile, un magnifique bébé de 3 kilos 600, cette jeune fille qui venait de voir le jour se portait bien. Le Mal avait trouvé un cœur facile à corrompre, un cœur qui semblait créé pour lui, comme un écrin vermeil accueillant un sombre bijou. Elle fut très entourée durant sa tendre enfance, de par l'amour de son "père" adoptif mais surtout par sa mère... Bien qu'elle fût née d'un viol, sa mère ne pouvait pas passé une minute sans sa fille. Anne-Ehlia grandie alors avec tout l'amour possible, elle apprit tout ce qu'elle pouvait, musique: Violon, piano, flûte, harpe, chant. Sport: équitation, course, karaté. Et elle aimer bien apprendre, elle disait que sa fessais partie d'elle. Quand sa mère lui demander si ça aller, si elle n'était pas fatigué la petite fille répondait: "Pour avoir un avenir il faut travailler dure maman alors je commence maintenant." Et sa fessait sourire son "père".

Puis vint le jour où elle trouva sa voix, la photographie. Son "père" lui offrit un appareil photo pour ses 16 ans. Toute heureuse, la jeune fille était partie prendre des photos de la tour Eiffel, la nuit était vite tombé et quand elle rentra à la maison le soir... Au fond d'elle maintenant elle se dit qu'elle n'aurait jamais dû rentrer ce soir-là... Elle ne veut plus se souvenir de ça, mais pour faire bref, elle à retrouver sa mère, mort, baignant dans son sang. Elle est morte mystérieusement, elle ne put même pas aller lui dire au revoir tellement la jeune fille était bouleversé. Sa mère est enfaite morte des mains d’un chasseur de vampire. Et oui, l’homme avec qui la jeune Claire était depuis tout ce temps, depuis la naissance d’Anne-Ehlia, n’était qu’en fait un vampire végétarien.

RP:

La lumière brilla si fort dans ma chambre, l’inondant d’une lumière si belle, si douce. Une voix me sortit de mes songes, ma mère qui hurla mon nom et qu’il fallait que je descende. Attend on est quel jour aujourd’hui ? Ahhhh !! 24 Décembre !? Regardant par la fenêtre, la neige avait tombé, surement pendant la nuit, tout Paris était sous la neige. Encore un appel de ma mère, bon ok je descends... M’habillant vite fait, je courut dans les escaliers pour sauter sur Mattias qui me rattrapa en riant. Je l’embrassai vivement sur la joue, je sais qu’il n’ait pas mon père mais c’est tout comme, il m’a élevé, il a toujours été là. Ma mère apparut, souriante comme toujours vêtu d’une magnifique robe de noël.

« -Ah enfin te voilà toi. Bon aller vient voir, Mattias ta acheté quelque chose. »

Fixant Mattias qui riait dans sa barbe, je suivis ma mère qui me tendit un paquet. Quand je l’ouvris, j’eus la merveilleuse surprise d’y trouver un Canon EOS 20D, un appareil photo. Sautant partout répétant sans cesses merci, Mattias me regarda

« -Et si on aller le testé ? Des photos de la tour Eiffel dans la neige ? Claire tu viens avec nous ? »

Ma mère refusa... J’aurai du insisté... L’embrassant sur la joue, je suivis Mattias. Les photos de ce jour-là, je les ai toutes brulées une par une... Sur le chemin du retour, un mauvais pressentiment m’envahie, alors je le dis à Mattias mais lui aussi semble inquiet, bizarre... C’est seulement quand je suis rentré dans l’appartement que j’ai compris son inquiétude... Mon hurlement c’était fait entendre dans tout le quartier... Ma mère gisait là, sur le sol froid, son sang était rependu sur le sol... Quand les secours sont arrivé il été trop tard, ils ont emmené ma mère à la morgue et moi en service psychiatrique... Pourquoi ? Et bien le choc causé par la vue de ma mère morte, m’avais complètement paralysé et donc je devais voir des psychologues et tout le tralala...


Elle n'était que la jeune fille sans parents. Elle grandissait auprès de l'homme qui l'avait élevé et continuait ses études dans la photographie grâce au soutient de Mattias, son père adoptif. Il lui avait promis un soir de ne jamais s’éloigné d’elle quoi qu’il arrive ou qu’elle aille. Mattias était tellement fier d’elle, elle passa son BEP-CAP de Photographe facilement, puis son BAC et ensuite son BTS haut la main. Anne-Ehlia adoré sa, l’école ne la gêné pas mais elle n’arrive pas à se faire d’ami, préférant resté seule dans son coin. Puis à 21 ans elle partit pour les USA plus exactement à Shreveport en Louisiane. Là-bas, elle entra dans une boite de photographie, VICTORIAN'S CREATION, où elle put apprendre à avoir des vrais amis et des gens qui l'aiment. Petit à petit elle s'est refait une vie...

Et Maintenant...

La vie est tellement faite bizarrement... Une soir qu'elle se baladé seule, elle rencontra un jeune homme qui chamboula sont destin. Un jeune homme au doux nom de Rowann Gaheris. Un jeune homme froid et distant mais pourtant si doux... Il l'a invité à diner, elle n'a pas pu refusé, il était tellement gentil. Quelques discutions et il s'est avéré que Rowann était nouveau en ville et chercher un travail en mannequin. Elle lui dit qu'elle pourrait parler en sa faveur au Victorian's Creation. La soirée finie, il l'a raccompagna, l'embrassa même sur la joue puis après échange de numéro, chacun chez soi.

Ils se sont revu, puis un soir alors qu'ils aller passé le cap de la nuit ensemble, car ils était devenu un couple, Rowann se laisse un peu trop aller et mordit la jeune fille sans le vouloir. Mais il l'a mordit simplement, sans faire de gaffe. Mais Anne semblait tellement effrayé. Alors il lui expliquât, tout en détail, de sa vie à sa mort, son chagrin à l'envie de faire d'elle sienne pour toujours mais comment la rendre comme lui sans lui ôté la vie, chose qu'il se refusé à faire. Puis il lui parla de quelque chose, être sa servante, celle qui veillera sur son repos… En échange, il lui offre l’éternité & son cœur... Comment refuser?

(Mon histoire démarrera d'ici.)

test rp.
Il a les yeux fermés, il ne dort pas j’en suis certaine, moi je ne fais que de le regardé. Il sourit en coin, sourire qui me fait fondre à chaque fois puis il se retourne vers moi pour me prendre contre lui et sourire avant de rouvrir les yeux. Combien de fois je me suis perdu dans ses yeux ? Bien trop pour m’en souvenir et ce sourire… Il me regarde, caresse ma joue, chose qui me fit frissonner. Sentant mon frisson il ne put se retenir que de rire doucement. « -Pourquoi rit-tu ? » Il embrassa mon front. « -J’avais oublié au combien il est agréable de frissonner. Être humain… Sa me manque parfois… Mais bon aujourd’hui je suis heureux d’être vampire, chose que je n’aimais pas il y a 3 mois encore. » Il rit à nouveau et je le fixais. « -Tu n’aimait pas ta condition ? Mais pourquoi ? » Il prit tendrement mon visage dans ses mains si douce. « -Pourquoi ? Le soleil me manque mais aujourd’hui j’en ai un nouveau, toi, et il rayonne tellement… Que j’ai peur… Peur qu’il disparaisse dans la nuit… » Il chercha mon regard que je caché de peur qu’il voit mes larmes… Ce qu’il avait dit, que j’étais son soleil et qu’il avait peur de me perdre… Tout ça avait déclenché des sanglots incontrôlables. « -Heeey pourquoi pleure-tu ? » Il me remonta le visage, souriant, moi j’éclatai de rire, un rire nerveux. « -Tout ce que tu as dit… Personne ne l’avait dit avant… Depuis la mort de ma mère … » Il me prit dans ses bras me berçant, j’avais sommeil et il le sentit vu qu’il me bercé doucement. Là, les ténèbres de la nuit vienne me cherché pour petit à petit m’envoyé dans les bras de Morphée.

famille.
Rowann Gaheris
Il est le seul qui me reste comme “famille”. Est oui, il est mon maître vampire, je suis sa marqué, notre lien est fort… Il est le seul qui me reste près de moi, j’ai perdu ma mère et mon père adoptif et pour le reste de famille je ne l’ai ai jamais connu. Mon père reste un mystère et la famille de ma mère n’a jamais voulu me connaitre.

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J'aimerais beaucoup que tu développe un peu plus les occupations diurnes, manies et convictions parce que ces trois parties me paraissent trop courtes. Donne plus de détails, n'hésite pas à parler de ses loisirs, de ce qui l'énerve le plus, de ce qu'elle adore, et pour conviction, eh bien je dirais que tu pourrais parlé un peu de ce que tu as ressenti sur le moment. As-tu été surprise? ou au contraire tu savais déjà?

Ensuite l'histoire. Je dois te dire que beaucoup trop de drame à mon avis son arrivé dans sa vie. Née d'un viol, déjà c'est pas mal, mais en plus ses deux parents sont tués... massacré apparement. Je trouve que ça fait beaucoup pour une seule personne (qui a l'air saine d'esprit). C'est d'aileurs quelque chose qui me choque, quand je lis son caractère je peux pas croire qu'elle ai vécu tout ça. On peut pas subir toute ces choses et être aussi saine d'esprit, ne pas avoir de problèmes, de névroses, toc, ce que tu veux... tu vois ce que je veux dire?
Ensuite, le couvre feu c'est tout récent. Donc là je comprend pas trop pourquoi il y avait un couvre feu à l'époque de la jeunesse de la mère de Anne?
Et pour terminé avec les truc qui vont pas, je n'ai pas tout compris ce qu'il est arrivé à ses parents, et on ne sait pas qui l'a élevé après ça. Il manque pas mal d'élément dans ton histoire, certaines choses ne sont pas très claire. Si tu as besoin que je sois plus précise, tu peux me poser des questions si tu le désire.

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Bon, c'est mieux mais c'est toujours pas ça. L'histoire me paraît toujours aussi... comment dire... biscornue? bancale? Je sais pas, ça paraît un peu baclé, et on n'y croit pas en fait. Je sais pas comment expliquer ça, mais la partie enfance ne me convient pas du tout en fait. Trop rapide l'histoire du massacre de sa mère, et pas assez centré sur ton personnage dans la globalité.
Ensuite quelque chose me gêne avec ton vampire. Il fait trop Stefan Salvadore pour être franche. La relation que tu as avec lui, pas de problème, mais entre son caractère qu'on perçoit et le prénom que tu lui a choisit... ça fait un peu trop reprise du personnage. On est dans un univers inventé où l'on accepte que les personnages inventés. (inspiré de, oui, mais pas non plus copié collé, tu vois ce que je veux dire?)

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J'ai pas l'impression que le problème soit régler. Tu parle trop rapidement de la mort de sa mère, qui est pourtant un évènement important pour elle, et tu insiste sur des détails comme la photographie. Je veux bien croire que ça soit important pour elle, mais bon la mort affreuse de sa mère ça a dû la marquer non? Je pense pas qu'en te demandant de modifier à nouveau ce passage ça s'arrangera. En plus j'ai la légère impression que tu n'as pas vraiment le niveau. Alors je te propose que tu traite la mort de sa mère comme une annecdote, et que tu décrive la découverte du corps, ce qu'elle a ressenti. Joue le comme un rp, fais-nous une quinzaine de ligne. Je serais plus à même de juger ton niveau comme ça, je pense.