Fenrir Virgile Osvald âge. 822 ans date et lieu de naissance. Sur ses Papiers, il y a écrit 2 Septembre 1987; Helena, Montana nationalité. Américaine camp. Neutre type. Sidhe en exil appartenance. Cour d'été affiliation. Déesse de la fertilité état civil. Célibataire lieu d'habitation. quartier d'habitation en ville. métier. Étudiant employé à mi temps dans une librairie étiquette qui vous est collé. Fenrir fait tourner les têtes, donne des soupirs, attire des regards noirs, fait poser des questions, laisse lascif mais personne n'est indifférent à son passage. Il y a trois groupes qui se forment. Ceux qui l'ont approché et qui souhaite pouvoir encore le faire. Ceux qui s'en mordent les doigts vu les ennuis qui leur a attiré et ceux qui se nourrissent des rumeurs qu'ils ont entendu et dont la soif de le rencontrer est encore plus grande. On ne sait pas comment il peut mener un tel train de vie pour un étudiant qui bosse à mi temps dans une librairie. On ne sait pas comment il peut être en cours le matin alors qu'il a été vu dans un bar 3 h plutôt avec deux filles et un homme. Perplexe... C'est généralement le mot qui se dégage.

traits de caractère.
Comme toutes les fées, Fenrir se soucie avant tout de son bien être avant de penser à celui des autres. Habitué à briller parmi les humains, la vie lui paraît morne et bien trop tranquille. Égoïste et narcissique sont sans aucun doute les deux qualificatifs qui reviennent le plus suivis de près par superficiel. Toujours décidé à avoir raison, le voir jouer avec les mots est une habitude qui font que ses interlocuteurs ont tendance à s'avouer vaincus usés par la fatigue et l'usage complet de leur patience. Fenrir n'a encore rencontré plus fort que lui, son assurance sans borne lui vient de la. Assuré d’être un bon guerrier, il se permet de provoquer sans limite sans doute est ce une tentative un peu désespérée pour attirer l'attention d'un autre fey car il ne faut pas se voiler, il peut bien profiter de toutes les distractions de ce monde, rien ne changera le fait qu'il est seul et trop rares sont ses confrères pour qu'il puisse les croiser au coin d'une rue. Il pourra se faire passer pour le pire petit enfoiré des humains, il ne restera que la vérité en fin de compte: Il n'est qu'un exilé loin de chez lui.

occupation diurne. Normalement, on le retrouve à la fac, parfois en cours, parfois à la bibliothèque, souvent à la cafeteria à siroter un café tout en lisant un livre. Il a également été embauché dans une libraire en ville à temps partiel. De quoi le divertir un peu et donner l'apparence que oui, il a une vie ordinaire. Il n'est pas rare de le voir faire un jogging ou trainer au parc en fin de journée ou à l'inverse aux aurores en revenant de soirée, sa veste à la main, la cravate autour du cou pendant négligemment et la chemise à moitié ouverte.manie, habitudes & goût.
* Comme bon nombre de Fey. Vous ne trouverez aucune partie de métal apparent dans son appartement à moins que cela soit des métaux précieux.
* Il engloutie une quantité impressionnante de café, c'est son carburant en plus des sandwichs du snack de la fac.
* Mr a des gouts de luxe, il n'est pas rare de le croiser un soir dans le restaurant en vogue du moment.
* Taquiner les humains est son passe temps favori. Il n'est pas rare de le voir demander des comptes aux autres. Il n'oublie jamais quand il a gagné un pari.
* Si vous voulez l'impressionner en soirée, amenez le en soirée, payez une bouteille de champagne et emmenez le danser au milieu du carré VIP.
* Il adore danser car il sait ses que ses mouvements son parfaitement fluides et qu'il attire le regard.

raison de votre exil. Fenrir était l'amant du jeune prince en plus d'etre son garde du corps. Petit cousin éloigné de la famille, on a toujours toléré sa présence à la cour. Seulement le Prince s'étant amouraché de Fenrir hors de question pour lui de se marier et donc d'avoir des enfants. On a demandé à Fenrir de s'éloigner du prince, chose qu'il a fait mais l'héritier royal retrouvait toujours la trace de son ancien guerrier. La cour n'a trouvé d'autre solution que l'exil forcé pour lui afin de s'assurer que le prince ne serait plus " distrait ".
Le Fey exilé a toujours pris cette décision pour un acte injuste et traitre. Celui garde beaucoup de souvenirs amères de sa vie dans l'Outre monde. Manquant d'intérêts et d'objectifs dans la vie, il a décidé de vivre une vie de distraction chez les humains.

conviction. ENFIN un peu de nouveautés! Il était temps qu'un évènement de cet envergure vienne bouleverser le quotidien des humains. La situation amuse le Fey qui se plait bien lui de reste dans l'anonymat. Observant les créatures surnaturelles se dépatouiller comme elles le peuvent avec la grande révélation. D’après lui, c'était une bêtise car l'anonymat leur assuré une marge de manœuvre beaucoup plus grande. Mais ce qui m'amuse le plus dans tout cette zizanie, c'est l'humain. Maniaque compulsif du contrôle et de la suprématie qui croit qu'il est parvenu à savoir tous les mystères de ce monde qu'il a domestiqué le vampire, qu'il a enfermé le loup, que le nécromancien est à son service et que la sorcière est devenue son amie... Je m’esclaffe souvent tout seul devant la télé en voyant les dernières lois votées. Miracle! Les vampires peuvent payer des impôts! Je suis certain que cela améliore considérablement leur confort au quotidien...
Mais l'ironie dans tout ça, c'est qu'ils ignorent encore plus le plus le pire, mes semblables si beaux, si parfaits, si délicats qui pourraient s'ils le souhaitaient écraser cette cohorte humaine d'un pouce. Pensent ils vraiment que nous CESS avont besoin de leur accord pour vivre? Qu'ils ne s'en fassent pas, on ne les a pas attendu pour ça.

histoire.

De nos jours; Shreveport "Le passé, c'est une illusion, une plaisanterie ; les illusions ne sont jamais présentes ni futures ; elles sont au passé, toujours... Les êtres changent." Jean-Claude Clari

01h20 du matin, je rentrais dans le club accompagné d'une vampire et de son marqué. Un trio pour le moins inhabituel mais qui détonnait. Natasha était maintenant âgée de 121 ans, assez de retenue pour comprendre comment se tenir en société et comment dresser son humain. Habitué des lieux, nous avions accès facilement au carré VIP et le regard des autres n'avaient plus vraiment d'importance, je savais l'effet du glamour et de mon physique surnaturel. Son marqué monta rapidement sur un podium en commençant à s'accrocher à la barre, faisant un tour pour s'échauffer, il s'arrêta en face de nous et me tendit une main. Moi monter pour venir me coller à une barre en fer? Je n'étais pas encore idiot à ce point, je trouvais un moyen de détourner la situation en m'intéressant à sa maitresse: magnifique beauté Ukrainienne. Ma bouche allait déjà se poser sur son cou alors que ses crocs sortaient automatiquement sous le plaisir. Je savais l'effet que nous faisions aux vampires et le fait que je représentais pour elle une belle sucrerie cependant elle avait perdu notre défi. Elle avait donc interdiction de me mordre alors que moi... j'avais carte blanche. Quel plaisir d'avoir les autres à sa merci. Ses mains se crispèrent autour de ma taille et alors je me dégageais de son étreinte pour me diriger vers le bar et commander une Vodka-glace je leur avais plus lancé un regard, mon esprit déjà décidé à trouver une autre distraction. Je récupérais mon verre, me tournant dos au bar tout en m'appuyant dessus, la posture la plus désinvolte possible. Mon regard croisa celui d'un groupe d'humains. Tout ce qu'il y a de plus normal. Et à partir de ce moment la, je ne quittais plus des yeux le plus grand de la bande. Un grand brun, bien bâti qui se voulait résolument viril et qui s’agrippait un peu trop à sa copine pour que cela soit naturel. Il croisa mon regard et quelques secondes suffirent à me convaincre. Comme ci j’avais pu découvrir son secret, il détourna rapidement les yeux et resserra son étreinte sur sa copine alors que je lâchais un rire. Pas de doute, les homos refoulés étaient sans aucun doute les plus amusants. Pourquoi l’image de la folle dévergondée était l’image qui collait toujours à l’image des gays à notre époque ? Le fait que j’aime me servir à les râteliers, ne se voyait pas spécialement mais cela ne m’empêchait pas d’agir. J’attendais qu’ils bougent un peu pour traverser la foule et me planter face à lui. « Salut » me contentais je de lui lancer en plongeant effrontément mon regard dans le sien. Il me rendit la politesse visiblement incertain sur mes intentions.

« On se connait de la fac non ? » me demanda t il alors que je cherchais dans ma mémoire. Je ne l’avais pas remarqué, lui oui. Situation trop redondante pour moi.
« Peut être…. On va boire un verre ? »
« Euh.. Ben joins-toi à nous plutôt. »
« J’ai pas vraiment envie, je veux juste prendre un verre avec toi. »

Enfin, il comprenait ou je voulais en venir ou du moins, impossible de continuer à faire comme s’il n’avait pas compris. Il lui fallut plusieurs secondes pour adopter une expression qui se voulait agressive.

« Tu te plantes de personne gars ! »

Je ne rajoutais rien de plus, trop amusé de le voir jouer les gros durs… On en reparlerait dans quelques heures….


test rp.

Je venais de pénétrer dans le parc, les mains dans les poches, mes lunettes de soleil fétiches posées sur mon nez, aussitôt j'enjambais la petite barrière censée interdire aux gens de marcher sur le gazon et j'avançais sur la pelouse. Maigre substitut pour un amoureux de verdure mais c'est le tribu à payer pour vivre en ville. Ça pue, c'est bruyant,c'est bétonné mais c'est aussi la qu'il y a les bars, les boites, les opéras, tous ces évènements qui donnent un peu de profondeur aux humains...
L'odeur familière de mon ancienne amante vint chatouiller mes narines et je m'arrêtais quelques instants au loin pour l'observer. Elle avait gardé les mêmes cheveux châtains soyeux, son sourire était toujours éclatants. Quelques kilos en plus venaient changer le décor et surtout l'œuvre du temps. Nous nous étions donnés l'un à l'autre alors qu'elle n'avait que vingt et un an et vingt autres années s'étaient écoulées depuis... Je venais discrètement m'assoir à ses cotés sur le banc et elle se mit à sursauter quand elle se rendit compte que quelqu'un était à ses cotés.

« Bon sang! Tu m'as fait peur! » lança t elle en posant sa main sur sa poitrine. Généralement les humains ne parvenaient pas à m'arracher d'expression mais avec Kathleen, c'était spécial. Un sourire discret se forma sur mes lèvres alors que je laissais glisser mes lunettes sur le bout de mon nez pour la détailler de mes propres yeux. La surprise laissa vite place à l'admiration alors qu'elle me détaillait à son tour. « Mon dieu... » murmura t elle en posant doucement sa main sur ma joue. «  Tu n'as pas changé d'un pouce, tu es resté tel que dans mes souvenirs... »

« Toi par contre.... Tu es devenue comme un grand millésime. » Ben quoi? Je n'allais pas lui dire, tu as pris de l'age! On sait tous comme ils peuvent être sensibles et puis c'était seulement la vérité, je l'avais simplement tournée à ma sauce.

« Qu'est ce que tu deviens? » me demanda t elle curieuse.

« Rien de spécial, j'étudie quand ça me chante, je vais ou bon me semble.. » Tout ça pour dire que je n'avais toujours pas trouvé d'objectif à ma vie si ce n'était l'amusement. Mon sourire avait déjà disparu et alors je regardais un peu plus loin la famille en train de piqueniquer au bord du lac. Mon attention se porta sur un jeune homme, sans doute avait il la vingtaine. « C'est lui? »
« Oui... Plus le temps passe et... Je sais qu'il se sent différent, qu'il se pose des questions. »

« Pourquoi devrait il se sentir diffèrent? Être un être supérieur ne fait pas de lui un monstre. » répliquais avec toute l'arrogance dont j'étais capable. C'était la première fois que j'avais un descendant, j'avais pensé un temps le laisser se débrouiller mais ma conscience et mon envie d'avoir un hériter m'avait rattrapé même si je ne cachais pas ma déception de le savoir demi Fey seulement.
Je le détaillais alors, satisfait de son physique irréprochable, de son agilité de a force avec laquelle il brillait dans ce cadre d'humain. « Et son 'père' n'a jamais posé de questions? » lâchais je avec espièglerie alors que mes yeux se posaient sur cet homme bedonnant qui devait approcher la cinquantaine. Sa banalité était affligeante, je ne le trouvais même pas digne de Kathleen, c'était pour dire...
« Mike est un père exemplaire et dévoué! » lança t elle apparemment vexée et offusquée. Ces humains... toujours à venir pleurer d'avoir jouer contre plus fort qu'eux. Elle était venue à moi et avait réclamé encore et encore après moi durant le peu que notre idylle a durer. Cet enfant n'était pas que ma faute.

« Ne te vexe pas belle mortelle. Tu sais que mes pensées sont ma bouche et mon cœur mes lèvres. » répondis alors que je laissais mes doigts glisser une de ses mèches derrière ses oreilles, lui arrachant un frisson. Ce spectacle ne passa pas inaperçu aux yeux de « notre fils. » *Marrant à dire quand même* qui délaissa son petit frère pour venir nous rejoindre, son ballon de football toujours à la main. Apparemment fiston n'aimait pas voir maman si proche d'un gamin comme lui. La seule chose que je pus trouver face à son regard interrogateur fut cette phrase : «  Bonjour sang de mon sang. »


famille. un peu d'information sur votre famille.

Sa seule famille connue est un fils. Un demi fey. D'une vingtaine d'année qu'il a eu avec une humaine rencontrée quelques décennies plus tôt. La fibre paternel particulièrement délicate pour un fey et surtout aussi loin des réalités que Fenrir ne peut pas comprendre les besoins d'un enfant élevé chez les humains. Celui ci encore sous le choc de sa révélation de CESS refuse de lui parler et Fenrir pour le moment s'en amuse ne comprenant pas l'amertume du jeune adulte qui aurait aimé avoir tout simplement un père ordinaire et pas un espèce de playboy tête à claque trop occupé à se distraire pour comprendre le mot responsabilité.

Bienvenuuuue rha trop mignon je veux le même :005/:

Han Kellan :70:
Welcome Mister & have fun :65: