AccueilAccueil  Tumblr DMTH  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 
Bienvenue sur DMTH Invité love01
PRENEZ LA ROUTE DE BÂTON ROUGE, SUIVEZ NOUS SUR LA V2 !
   
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 Robert Park i did it my way. Fin.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 19:00

ROBERT PARK
âge. en apparence... la quarantaine, mais en réalité il a 700ans.
date et lieu de naissance. 10 Juillet 1310 Paris
nationalité. Française.
nom du sire. Léandre.
date de l\'étreinte. Un Lundi matin de l\'année 1355
statut. LES ANCIENS
discipline. Occultation / Niv. 4 Disparition aux Yeux de l\'Esprit

état civil. célibataire
lieu d\'habitation. indéterminé.
métier. EQUINOX GALLERY - EMPLOYEE - GUIDES
étiquette qui vous est collé. Ceci reste un mystère, l'étiquette collé au jeune homme par les gens de cette ville est partager, comme il vient d'arriver.
Robert Park i did it my way. Fin. 2lsvdxz

Qui je suis
CES PETITS DETAILS QUI ME DEFINISSENT


traits de caractère.
Que voulez-vous savoir de moi ? N\'en avez-vous pas eu assez de mon histoire, pour cerner le personnage ? Je suis quelqu\'un d\'assez froid. Je mets une certaine distance entre moi et les autres, mais seulement au niveau des sentiments (s\'il est encore possible pour moi d\'en avoir). Moins je m\'attache et mieux je me porte. Ceux à qui cela ne plait pas, je ne m\'en soucis pas. J\'ai eu l\'habitude qu\'on me catégorie comme étant égocentrique et orgueilleux, et bien soit. Si telle est la façon dont vous me voyez, je ne m\'abaisserai certainement pas à vous contredire. Cela ne m\'empêche pas de montrer du respect envers les autres, je ne suis pas non plus un monstre *ahem*. J\'aime les belles choses oui. L\'art, la musique - belle pour les oreilles quand elle est bien jouée - et les êtres. Hommes, femmes, vampires, humains. Je ne considère pas vraiment ces derniers comme des poches de sang sur pattes, mais disons que je me sais plus puissant qu\'eux et je ne m\'en cache pas.
Enfin je tiens a vous parlez de mon physique...
Je ne me dirais pas \"beau\". Ce n\'est pas à moi d\'en juger, et je ne suis pas assez orgueilleux pour clamer au monde que je suis le plus beau. Je ne supporte pas ceux qui le font, je ne vais pas m\'y mettre. Je me coiffe souvent à \"l\'ancienne\", je me suis mis à la mode de l\'époque, il le faut bien. Je me rase de très près..enfin, je n\'affectionne pas la barbe ou la moustache sur ma personne. J\'ai su, quand j\'étais encore humain, prendre soin de mon apparence. Un esprit peu sain dans un corps sain... Côté vestimentaire, je ne porte quasiment que des costumes deux pièces. Mes chemises sont toujours d\'un blanc immaculé et mes vestes et pantalons sont de couleurs sombres pour la plupart, mais j\'en possède quelques uns qui soient blancs. Mon corps révèlent quelques traces du passé qui me poursuivent et me poursuivront toujours. Deux grandes marques sombres (cf. Histoire), en diagonale, prennent une bonne place sur mon dos à quelques centimètres l\'une de l\'autre. Sur mon flanc droit, caché la plupart du temps pour mon bras, j\'ai un tatouage non désiré qui représente une fleur de Lys (cf. Histoire).
.
occupation nocturne. A travers de lunettes sombres : le mal y est tangible et règne en maître, la fin des temps se profile à l'horizon et toute la planète est sur le fil du rasoir. Ce monde est celui des ténèbres. En surface, le Monde des Ténèbres ne semble pas si différent du monde " réel " dans lequel nous vivons. Cependant, l'horreur l'infeste de manière insidieuse car les malheurs de notre univers y sont accentués, nos peurs y sont plus réelles, nos gouvernements plus corrompus, notre écosystème se désagrège un peu plus chaque nuit. D'ailleurs, la plupart des différences entre notre monde et celui des ténèbres est surement la lumière. Robert est un vampire ancien et invisible, il joue avec les hommes comme les chats avec des souris. Chaque soir c'est la même histoire, une traque sans relâche, oui tout sa pour manger et par jalousie car L'immortalité est une malédiction pour les vampire, pris au piège dans une existence figée et des corps sans vie.
manie, habitudes & goût. Lorsqu'il réfléchit, il faut obligatoirement qu'il tienne quelque chose en main. Peu importe ce que c'est.
Les gouts de Robert Parks ?
J'AIME la pluie, le vent et les orages… J'AIME boire un café assis sur le rebord de ma fenêtre… J'AIME me coucher à l'heure où les gens se lèvent… J'AIME les films où le héro meurt à la fin… J'AIME le Wiskey Irlandais et l'Irish coffe… J'AIME les filles à petite poitrine qui portent des pantalons taille basse…J'AIME les filles qui regardent l'heure sur les parcmètres… J'AIME un petit cigare de temps en temps… J'AIME le design et le mobilier en plastique fin des années 60 - début des années 70… J'AIME regarder un film jusqu'à la fin du générique… J'AIME répondre à une question embarassante pour moi par une question embarassante pour mon interlocuteur…J'AIME écrire et penser… J'AIME les cartons, les boîtes et les malles… J'AIME les vieux objets rouillés qui ne servent à rien mais qu'on garde parce qu'ils sont jolis…
J'AIME PAS les phrases à la con genre "on s'appelle", "j'l'ai pas fait exprès" ou "on reste copains"… J'AIME PAS être en retard… J'AIME PAS les gens qui parlent au cinéma… J'AIME PAS les ciels uniformes tout bleu ou tout gris…J'AIME PAS les gens qui écrivent sans mettre de majuscule… J'AIME PAS avoir les mains prises quand je me balade… J'AIME PAS qu'on s'inquiète pour moi… J'AIME PAS entendre ma voisine pendant toute la nuit quand elle n'a pas vu son Jules depuis longtemps… J'AIME PAS ma tête quand je me marre… J'AIME PAS la foule, les boîtes de nuit et les soirées mondaines… J'AIME PAS les gens qui disent qu'ils t'adorent mais qui ne se rappellent pas de ton prénom quand ils ont désaoulé… J'AIME PAS quand je suis sincère et qu'on ne me croit pas… J'AIME PAS le week-end qui suit le bouclage d'un livre… J'AIME PAS passer des heures à table… J'AIME PAS le soleil et la chaleur… J'AIME PAS les chiens mouillés… J'AIME PAS les filles qui sont jolies et qui le savent, en général c'est les pires… J'AIME PAS qu'on me dérange quand je regarde les Simpson, c'est sacré les Simpson… J'AIME PAS les vampires qui changent tout le temps de numéro de portable… J'AIME PAS les couleurs vives, les gens qui crient ou qui parlent fort… J'AIME PAS qu'on dise de moi que je suis "gentil"… J'AIME PAS les chiottes à la Turc…
régime alimentaire. L'alimentaire, l'alimentaire, Robert aime le sang c'est un pur carnivore, et Robert a une chasse très efficace, il ingurgite beaucoup de sang il a un métabolisme rapide il consomme une quantité de sang qui peut représenter la moitié du poids du corps de monsieur Park.
conviction. Ce qu'il en pense ? rien de bon sauf l'immortalité, sinon les sentiments sont plus la le gout n'est qu'éphémère...
Rien n'est plus beau que d'être mortel, des sentiments en masses, des gouts qui explosent dans la bouche.
Sa vie n'est plus qu'un long fleuve tranquille.
signes particuliers. Mon corps révèlent quelques traces du passé qui me poursuivent et me poursuivront toujours. Deux grandes marques sombres, en diagonale, prennent une bonne place sur mon dos à quelques centimètres l\'une de l\'autre. Sur mon flanc droit, caché la plupart du temps pour mon bras, j'ai un tatouage non désiré qui représente une fleur de Lys.

Une histoire extraordinaire
TOUTES CES EPREUVES ONT FAIT CE QUE JE SUIS


[justify]histoire.

Parce tout commence par...


Je suis né en France, dans la capitale. Je sais que mon nom et mon prénom n\'ont rien de français, mais je vous assure que c\'est bien le cas. Mes parents étaient très jeunes. En même temps, en 1305, les mariages étaient précoces comparés à notre époque actuelle. Mon père, François, humble commerçant, vendeur de quincaillerie en tout genre, avait pris ma mère, Hélène, pour épouse, dans la perspective de fonder une famille à ses côtés. Nous ne furent que deux enfants à voir le jour de cette femme. Je ne l\'ai pas connu, elle est morte en couche, laissant à mon père la responsabilité de deux enfants. Deux garçons, des jumeaux. Pour l\'époque, cela n\'était pas bien vu de mettre deux enfants au monde après une seule grossesse. Pendant des années, je fus obligé de me faire passer pour le benjamin. Mais mon frère et moi savions de quoi il en retournait et bien que nous ne disions rien, nous ne nous séparions jamais, si ce n\'était pour nos besoins quotidiens. Nous étions tels des sangsues, ne se séparant jamais et ne voulant pas être séparés. Notre père n\'y voyait aucun inconvénient dès l\'instant où ne faisions pas de mal.

Il se remaria assez vite, comme si le deuil n\'avait jamais été présent, et une dame accepta de nous considérer comme ses propres enfants. Ils eurent ensemble deux autres enfants que Victor et moi considérions comme nos frères et soeurs. Ah oui, mon nom était donc Robert Park. Un nom des plus commun pour l\'époque. Bref. La vie ne fut pas belle tout les jours croyez-moi. J\'ai connu la faim alors que je n\'avais que cinq ans. J\'ai vu de jeunes gens se faire tuer devant la boutique de mon père car ils étaient protestants. D\'ailleurs, à partir de l\'année 1320, les enfants protestants étaient enlevés, afin qu\'on puisse les rééduquer. Le problème était que certains se rebellaient et étaient donc tuer. L\'Eglise prétextait que cela était pour le bien de la France catholique. En y repensant aujourd\'hui, je ne vois pas en quoi cela était bon pour la France de tuer des enfants. Un soir, installés à table, François disait une prière avant que le repas ne débute, quand des soldats de la garde française ont pénétré chez nous, cassant la porte et d\'autres meubles sur leur passage. Ils avaient appris que ma belle-mère était protestante et par conséquent, elle devait périr. Ils enlevèrent tous ceux présents, même mon père qui fut condamné pour l\'avoir épousé et lui avoir donné des enfants. Victor et moi, heureusement, ne nous trouvions pas à la maison à cet instant. Nous avions demandé la permission de notre père pour nous rendre chez une tante à notre mère. Elle n\'avait pas d\'enfants et nous aimait énormément. C\'était une femme bonne, et nous ne comprenions pas pourquoi elle n\'avait jamais trouvé de mari. Ce n\'était pas non plus nos affaires. Une fois rentrés chez nous, nous avions constaté les dégâts. Orphelins à l\'âge de 10 ans, notre tante nous prit sous son aile et ce fut elle qui s\'occupa de nous pour le restant des années à venir.

"Se défaire d'une brique pour attirer le jade !"

Les années passèrent et je restai collé à mon frère. Nous étions bien plus complices que des frères normaux. Nous avions développé une complicité hors du commun. Du moins, c\'était comme ça que je le voyais à l\'époque. Nous étions maintenant suffisamment âgé pour songer à nous marier, mais cela n\'était pas dans nos projets. Nous avions dix-sept ans, et les premières amours firent leur apparition. Je ne sais pas comment cela se fait, mais Victor et moi avions été séduit pas la même jeune fille. Elle n\'était qu\'une enfant, mais Brigitte avait à ses pieds, une horde de jeunes fougueux tels que nous. Avec une poignée d\'autres garçons de notre âge, nous passions des heures entières sous sa fenêtre à guetter le moment où elle ouvrirait ses volets pour nous faire profiter de sa beauté avant que nous rejoignions Morphée. Ce fut Victor qui fut promis à Brigitte et à partir de cet instant, nos rapports se dégradèrent. J\'admirai et aimai toujours mon frère, mais je n\'avais pas pu accepter qu\'elle le choisisse lui. Qu\'avait-il de plus que moi ? Il était brun, et moi brun. Il était grand et je l\'étais aussi. Peut-être était-ce la couleur des yeux, les siens verts et les miens marrons. Mais la différence était si infime que je ne comprenais. Aujourd\'hui je sais qu\'elle n'avait pas choisi, que c\'était son père qui avait décidé de la marier à l\'aîné des Park étant donné que j'étais toujours considéré comme le plus jeune. Victor et moi ne nous parlions plus, ou lorsque l\'on s'adressait la parole, on en finissait la plupart du temps aux mains, par ma faute. Etant impulsif, je voyais vite rouge quand on parlait de Brigitte ou de Victor. Je déchantais assez rapidement et laissai ma futile rancune lorsque j'appris qu'ils disparurent en mer alors qu\'il se rendait en Inde. Ils avaient décidé d'y vivre. A cet instant, je ne pleurais pas la femme que j\'avais aimé, mais bel et bien le frère, mon complice de toujours. Je le savais déjà mort bien que j\'avais pas vu son corps. Je changeai à partir de cet instant. Je fis mon éducation sexuelle au près des catins de l'époque. J\'étais ivre chaque jour que Dieu faisait et cherchait querelle à chaque personne que je croisais.

"Le piège de l'agent double. "

Agé de 32 ans, j'avais conscience d'être un plutôt bon parti chez les commerçants, mais je commençai à voir plus grand. Avec quelques amis, nous décidâmes de voler de vieilles personnes pour se faire quelque argent de poche. Je m\'achetais mon premier costume qui me servit bien plus que je ne l'aurais pensé. Me promenant dans les rues de Paris, prêt à rentrer chez moi, une calèche s'arrêta près de moi. Une voix féminine s\'éleva et je fus tout de suite sous le charme.

_ Et bien jeune homme, n'avez-vous pas une femme dont vous devriez vous occuper à une heure pareille.

- Je ne suis pas marié et il n\'est pas si tard que cela Madame.

_ Vous n\'avez pas tort... Puis-je me permettre de vous raccompagner chez vous ?

- Je ne voudrais pas abuser de votre temps.

Elle insista et je ne sus refuser plus longtemps. Je montais à bord et m\'assis à ses côtés. Elle m\'expliqua qu\'elle n\'était pas française, cependant elle n\'avait aucun accent. Elle était anglaise et était venue à Paris pour les salons et les parfums que toute femme de bonne éducation possédait. Je l\'avais écouté avec attention, mais je ne pouvais m\'empêcher de me méfier de cette femme qui semblait que trop gentille avec mon humble personne. Cependant, ses bontés ne s\'arrêtèrent pas là. Au lieu de me ramener, elle réussit à me convaincre de la suivre chez elle, et elle m\'emmena dans son domaine qu\'elle partageait avec une parente elle. C\'est ainsi que je devins l\'amant d\'une des plus belles femmes de Paris. Elle faisait de moi son poupon, élève, amant, ami. Elle me présentait à ses amies qui voulaient aussi m\'avoir pour compagnie. Mais je n\'étais fidèle qu\'à cette chère et tendre Marina. Je la suivais dans toutes les soirées, vêtu d\'effets que des couturiers à ses ordres m\'avaient fait sur mesure. Je me pavanais à son bras, fier comme un coq. Les femmes me voulaient et les hommes m\'enviaient. J\'étais nourri, logé, blanchi, qu\'avais-je à demander de plus ? J\'étais bien loin de me plaindre, croyez le. Les années passèrent, et je restais aux côtés de ma Dame.

Mais le passé me rattrapa plus rapidement que je ne l\'aurais pensé. J\'avais à ce moment trente deux ans. J\'étais considéré comme vieux, mais fort heureusement, ma beauté et ma fausse innocence continuait de charmer plus d\'une dame, je suis comme le vin plus je vieilli plus je m\'embelli. Je fréquentai les salons et je retournai une fois par mois pour rendre visite à ma vieille tante. Je savais qu\'elle n\'en avait plus pour longtemps et je lui portai toujours de l\'affection. Et c\'est un de ces fameux week end, un hiver, qu\'un fantôme apparut : mon frère. Victor n\'était pas mort dans ce naufrage. Je fus effrayé mais soulagé de le voir se tenir devant moi. Il n\'y avait aucun doute, c\'était bel et bien Victor, nul doute. A part une bonne barbe, les cheveux plus longs, je reconnaissais ce faciès identique au mien et ses yeux verts que je n\'avais jamais oublié. Je n\'eus même pas le temps de lui demander ce qu\'il s\'était passé, je me retrouvai dans ses bras, pour une de ses accolades qui m\'avaient tant manqué. Mon frère pleura, chose que je n\'avais pas vu depuis la mort de notre père. Pour ma part, je ne m\'étais pas permis une once apparente de sentiments depuis sa \"mort\" à lui, alors je ne paraissais que stupéfait, bien que je fus vraiment chamboulé. Je passai plusieurs jours chez ma tante, retrouvant mon frère, écoutant son histoire. Son bateau était non loin des côtes indiennes quand il chavira à cause d\'une tempête. Beaucoup moururent noyés, mais lui s\'était juste évanoui sur une planche de bois du navire. Quand il se réveilla, il était dans une cabane où il avait été soigné par des indiens. Ils restèrent avec eux plusieurs années, à cultiver la terre et faire le deuil de sa femme. Je ne me rappelle pas vraiment du reste, j\'étais beaucoup plus absorbé par le fait qu\'il était de retour. D\'ailleurs, aujourd\'hui je sais que mon amour pour mon frère n\'était peut-être pas que fraternel... Je l\'informais de mon côté le bout de chemin que j\'avais fait. Nous étions beaucoup moins complice qu\'avant, à cause de ce qu\'il avait vécu et à cause de cette carapace anti-sentiment que je m\'étais créé.

Après nos retrouvailles, les choses se sont accélérées d\'une façon effrayante. Notre tante décéda, nous léguant tout ce qu\'elle avait. Cela ne se résumait pas à grand chose comparé à ce que j\'avais avec Marina. D\'ailleurs, cette dernière retourna en Angleterre, me laissant me débrouiller tout seul. Je restais donc à la maison de ma tante avec mon frère. Nous nous occupions de tout dans la maison mais je me retrouvais vite seul. Victor décéda, pour de bon cette fois, dans mes bras. Cet hiver là il y avait eu une grande vague de froid, Paris avait atteint les -23°. Il avait été habitué à la chaleur des Indes et n\'avait donc pas supporté la température. Et moi, que devais-je faire, tout seul ? Je décidais de faire ce que je savais le mieux, séduire les richissimes dames afin qu\'elle m\'entretienne. C\'était plutôt bas comme réaction, mais je \"pleurais\" encore mon frère et je ne savais faire que cela. Ca fonctionna quelques temps, mais je fus vite arrêté par la garde française. Et leurs méthodes de l\'époque pour punir les voleurs et usurpateurs étaient des plus... douloureuses. Je finis attaché par les mains à un poteau au dessus de ma tête. Je n\'avais sur moi que mon pantalon gris. Heureusement que l\'hiver était fini depuis longtemps... Il faisait sombre, un peu froid, mais j\'étais quand même en sueur. Je fus fouetté à plusieurs reprises dans le dos, j\'en garde encore deux marques sur le dos. Mes cris ne les faisaient pas arrêté mais au contraire, les incitaient à me frapper encore et encore. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais au bout d\'un moment, je ne sentais plus rien. Qu\'une piqure de plus sur mon corps ensanglanté. Pour finir, je fus marqué au fer sur le flanc droit, une belle fleur de lys, marque de la royauté en France. Je mis deux mois environs pour cicatriser. Comme j\'ai hais cette marque. Aujourd\'hui cela ne me fait plus rien. Juste un petit rictus amusé quand je repense à la cause de ma souffrance de l\'époque. Je fus ensuite enfermé en prison, sans plus d\'explication.

"Jouer l'idiot sans être fou !"

Alors que je croyais que j'allais mourir dans cette infâme cellule, un homme entra et vint s\'assoir en face de moi, me regardant ainsi pendant de longues minutes. Je ne dis rien sur l\'instant, puis il prit la parole avant que je ne le fasse.

_ Et bien Robert... Tu es bien plus robuste que je ne l\'aurais pensé... Bien des hommes seraient déjà mort après de telles heures de tortures et deux longs mois de prison injustifié.

- Comment connaissez-vous mon nom ? Et que voulez-vous ?

J\'étais bien faible en cet instant, mais cela ne m\'empêchait pas de rester arrogant. Cette personne pouvait être mon bourreau, je ne me défilerais pas aussi facilement. Il me regardait de nouveau dans un silence de plomb, et je me mis à faire de même. Je ne me savais pas encore insensibles aux charmes des hommes, mais je ne pouvais détacher mon regard de cet homme. Grand, élancé, brun, les yeux d\'un noir ébène absolument délicieux. Il se leva et se rapprocha de moi, un sourire amusé sur les lèvres.

_ Voilà une réaction qui me surprends d\'autant plus... Tu es au bord de la mort et tu trouves le moyen de continuer de te battre... Tu me plais !

- Vous n\'avez pas répondu à mes questions... Et qu\'est-ce que cela veut dire ?

Je commençai à m\'énerver. Se moquait-il de moi ? Je ne savais pas ce qu\'il voulait, mais je ne supportais pas qu\'il tourne autour du pot de la sorte. Sans plus un mot, il se leva pour se rapprocher de moi. Il était d\'une grâce égale à celle d\'une femme. Il s\'accroupit devant moi et m\'agrippa sauvagement les cheveux. J\'essayai de me défaire de son emprise mais il était incroyablement fort. Il planta ses yeux noirs dans les miens et je me calmai immédiatement.

_ Veux-tu sortir d\'ici ? Veux-tu que tes désirs de grandeurs deviennent réalité ?

Je ne savais pas de quoi il parlait, mais j\'acquiesçais. Il me fit sortir de prison et je fus hébergé chez lui. Je n\'avais plus rien à perdre à part la vie, il ne me restait plus rien à part la vie, alors je m\'y étais accroché du mieux que je le pouvais, sans savoir qu\'elle serait encore prolongée sur plusieurs siècles. Le soir même, une fois que j\'eus fini mon repas, et l\'eau de vie, mon hôte, Léandre, me sauta à la gorge, pour me vider de mon sang. J\'étais perdu, qu\'est-ce que cela signifiait ? Pour moi c\'était fini, du moins, je l\'ai cru un instant. Je me réveillais quelques jours plus tard, sonné, différent. J\'ouvrais les yeux difficilement sur une chambre qui me semblait changée. Les couleurs étaient plus vives, plus belles. Est-ce à partir de ce moment où j\'ai commencé d\'apprécier les belles choses à leurs justes valeurs ? Certainement, cela ne m\'étonnerait guère.
Léandre me rejoignit dans ma chambre, un sourire fier sur les lèvres. Effrayé, je sautais hors du lit avec une nouvelle agilité surprenante. Les yeux écarquillés, je le fixais.

- Que m\'avez-vous fait ?

"_ Arrête de me vouvoyer et laisse moi t\'expliquer."

Il tendait un bras vers moi qu\'il voulait que j\'attrape. Au lieu de cela, je fixais la porte que je me devais d\'atteindre. Avant même que je n\'y ai pensé concrètement, il se trouva devant moi, avant de m\'envoyer sur le lit et de venir se poser sur moi, me tenant fermement les bras. Je me débattais comme un lion, comme un enragé, mais il était toujours plus fort que moi, bien que je me sentais moins faible qu\'auparavant. Je me calmais après une bonne heure à batailler de la sorte. Il finit par m\'expliquer que j\'étais une créature de la nuit, un vampire. Je l\'écoutais perplexe. Cela n\'existait pas pour moi. Au début, j\'essayais de ne pas me nourrir de sang, mais la nourriture n\'avait aucun goût et finit par me dégouter. Je le regardai lui se nourrir de jeune fermière innocente après avoir profité de quelques plaisirs charnels avec elle. J\'observais, apprenais, et répétais. Je finis par faire comme lui : séduire, conduire chez nous et me nourrir jusqu\'à ce que je sente que la vie passe de son corps à ma bouche. Au début effrayé par ces nouveaux pouvoirs que je possédais, je fus finalement plus que ravis de les posséder. J\'avais l\'impression que le monde m\'appartenait. Quelle douce sensation ! Je restais \"caché\" pendant plusieurs années. D\'abord parce que Léandre estimait que je n\'étais pas encore prêt à me contrôlais en publique et à bien me comporter, et aussi parce qu\'il était d\'une jalousie maladive à mon égard. A chaque fois que je me délectais d\'une jeune personne qu\'il m\'apportait ou que j\'étais parti chercé dans les environs, je le voyais, toutes canines dehors, me regardait avec colère. Je ne relevais pas. Je ne lui appartenais pas, mais je le respectais pour ce cadeau qu\'il m\'avait fait.
Mais je devais respecté 6 tradition à présent.

Première Tradition
la Mascarade: Tu ne révéleras point ta vraie nature à qui ne partage pas ton Sang, sinon tu seras banni de ton propre Sang.

Deuxième Tradition
le Domaine: Ton domaine est ta charge. Tous doivent t'y respecter. Nul n'y défiera ta parole.

Troisième Tradition
la Descendance: Tu ne seras sire que si l'un d'eux y consent. Si tu crées sans le consentement des Anciens, toi et les tiens serez détruits.

Quatrième Tradition
la Responsabilité: Ceux que tu crées sont tes descendants. Tu seras leur maître jusqu'à leur émancipation. Leurs fautes seront les tiennes.

Cinquième Tradition
l'Hospitalité: Honore le domaine d'autrui. Dans une ville étrangère, présente-toi à celui qui y règne. Sans sa reconnaissance, tu n'es rien.

Sixième Tradition
la Destruction: Tu ne détruiras point tes semblables. Seuls les Anciens détiennent le droit de destruction et peuvent lancer une chasse au sang.

1386, enfin je sortais de ma cachette et renouais avec la noblesse française. Comme cela m\'avait manqué de côtoyer toutes ces belles femmes pouponner, leur poitrine mise en avant pour attirer l\'oeil du jeune homme qui débute dans la société. Fort heureusement pour moi, je ne paraissais pas trop vieux, et j\'avais la mâturité de savoir comment il fallait se comporter dans ses salons. Je n\'avais pas perdu de ma gloire d\'avant et je m\'amusai avec les dames, me jouais des maris, enfin j\'avais repris mes activité d\'antan. Mais Léandre avait d\'autres projets alors je me devais de le suivre. En même temps il ne m\'avait pas vraiment laissé le choix.

"Sur l'arbre les fleurs s'épanouissent"

Nous arrivèrent donc en Angleterre qui était aussi belle et prometteuse que ce que j\'avais entendu. Je ne voulais plus quitté ce bel endroit et pour me mettre au goût du jour, je décidai de changer de nom. Léandre trouvait cela complètement inutile, mais j\'avais envie et besoin de ce changement, pour que Robert rejoigne son frère mort. Je n\'étais plus le même depuis cela et je pouvais pas prendre une autre identité, alors autant abandonné. Nous restâmes dans la capitale, mon Sir ne voulant pas voyager plus loin. Il était d\'une nonchalance désarmante et surtout ennuyante. J\'avais besoin de bouger, découvrir, jouer. Je sortais donc seul dans ses nouveaux salons anglais. Mon côté petit français (à cause l\'accent et non du nom) attirait beaucoup. Je leur avais dit que mon père anglais avait épousé une jeune française. Ils m\'avaient cru. Cela était tellement facile de manipuler les humains, de les amener à croire ce qu\'on voulait.

Bref, c\'est en Angleterre que je rencontrais des personnes des plus intéressantes. D\'abord, cette femme, magnifique, intelligente, sensuelle. Je ne pouvais rêver mieux. Ce fut la seule personne que je me laissais aimer et qui m\'aimer en retour. Dans ses bras j\'en avais oublié que j\'étais un vampire. Son nom : Elisabeth, oui comme la reine mais ce n\'était pas elle. Mon amour pour elle était telle que j\'avais même du mal à croire que c\'était réel. Mais cela malheurement ne dura pas. Léandre, et sa jalousie maladive, découvrit que j\'entretenais quelque chose de fort avec elle et voulut y mettre un terme. Un soir, il se rendit chez elle, prétextant qu\'il venait de ma part, et usa de son don pour qu\'elle fut sous son pouvoir. Il fit en sorte qu\'elle le désire comme elle ne l\'avait jamais fait jusqu\'à maintenant. Quand j\'arrivais chez elle, il avait déjà profité d\'elle. Je devins fou de rage de voir ce qu\'il lui avait fait. Il n\'avait fait qu\'abuser d\'elle, mais pour moi, ce fut comme s\'il l\'avait tué devant mes yeux. Je m\'emportais plus que de raison, finissant par monter le ton avec mon Sir pour qui j\'avais toujours montré un grand respect. Jamais je n\'avais osé crier sur lui de la sorte, mais il était allé trop loin à mon goût, tout ça par jalousie. Je trouvais cela stupide. Ne cessant de crier, je réveillai Elisabeth qui se leva et se tétanisa littéralement lorsque je plantai mon regard haineux dans le sien. Ce fut ainsi que je découvrais mon premier pouvoir. J\'étais tellement en colère, j\'en étais devenu effrayant et elle, pauvre humaine, le ressentait dix fois plus que nécessaire. Je vins rapidement aux mains avec mon propre Sir alors que je savais pertinement que je n\'arriverais jamais à l\'évincer. Nous cassâmes plus d\'un meuble chez ma douce et tendre. Après un long moment, il me souleva par le cou, m\'étouffant, et me regarda avec pitié.

_ Soit tu arrêtes tout de suite de te rebelle contre moi, sois tu ne me reverras plus jamais.

Je jouais des pieds pour qu\'il me libère, serrant son poignet de mes mains que trop faibles. Il finit par me lancer contre un mur et partit. Seul, dans cette chambre presque totalement dévastée, j\'étais toujours en colère. Seule une chose pouvait me calmer et cette chose était le sang. Je n\'y réfléchis pas à deux fois et me jetais sur celle que j\'aimais, tel un animal sauvage, ayant perdu toute raison. J\'aurais du m\'arrêté en sentant l\'odeur de l\'urine qui embaumait la pièce, mais je n\'y étais pas arrivé. Je la vidai de son sang, avare, assoiffé et la laissai à terre. Je m\'assis contre le lit, la fixant de mes yeux humides. Je l\'avais tué de mes propres canines, sans le moindre remord, à cause de mon Sir. Jamais je ne pourrais lui pardonner. Elle avait été la seule que je m\'étais permis d\'aimer depuis des années. Après des années de solitude elle avait été mon rayon de soleil dans ma nuit... Mais je décidai de tirer un trait sur elle, comme sur ma vie humaine. Plus question de m\'apitoyer sur mon sort de la sorte. J\'étais plus fort que ça.

Parallèlement, je faisais la connaissance des Dabielson. Un couple charmant, cultivé, aimable. Le mari était un brillant soldat et avait un titre dans la noblesse Anglaise que je jalousai quelque peu. Je fus avec eux lorsque nous apprenions que madame était enceinte. Depuis le temps qu\'ils attendaient leur héritier, ils étaient plus qu\'heureux. Je restai à leur côté bien des années, voyant grandir l\'enfant. Mais je fus obligé de partir avant qu\'il ne se pose des questions sur ma nature. Je surveillai néanmoins leur activité de loin. Je leur écrivais des lettres pour prendre de leurs nouvelles et ils faisaient de même de leur côté. J\'appris ainsi les aventures passionnées de leur progéniture que me fit bien rire. J\'aurais aimé le connaitre d\'avantage. Il devait être un homme brillant et talentueux comme l\'était son père. Quand ses parents moururent, je sortis du placard, pour faire la connaissance des Winter qui reprirent le titre des Dabielson. Je jouais de courtoisie pour qu\'on donne ainsi des nouvelles du jeune Lawrence.

Et un soir, un évènement inattendu m\'offrit mon titre à mon tour. Alors que j\'étais parti en chasse dans une forêt non loin de Londres, j\'entendis des cris qui m\'interpellèrent. Une jeune enfant était agressée par une jeune vampire. Je me décidai de m\'interposer. J\'avais eu envie de lui voler son repas. Je n\'étais pas très fairplay avec mes congénères à l\'époque. Me débarrassant de lui comme d\'un vulgaire insecte, je me rapprochai de l\'enfant qui me remerciait mille fois. Sur qui ne tombais-je pas ma plus grande surprise. Une petite cousine du roi d\'Angleterre était dans mes bras et me remerciai. Je n\'avais pas eu l\'intention de la laisser envie, mais posséder un titre me rendait fou de joie. Je voulais jouir de pouvoir et d\'argent pour faire ce que je voulais et quand je le voulais. Cela était vil certes, mais je ne m\'en souciais guère. Je la ramenais donc à sa famille et quelques temps plus tard, le roi me fit Vicomte. Lord Robert Park, Vicomte du Hampshire. J\'y vivais depuis un moment, mais je ne pensais pas en devenir le Vicomte. Contrairement à ce que je pensais, je ne me pavanai pas pour montrer mon titre. Je préférais faire profil bas et amasser la fortune dont j\'avais besoin pour découvrir le monde.

La fin du XIXe siècle approchait et il me tardait de voir à quoi ressemblait la France. A la capitale, il n\'y avait plus de roi, cela était fini depuis la révolution que je n\'avais pas vu. J\'aurais voulu profité des festivités. Je n\'étais plus le petit Robert Park, fils d\'un modeste vendeur en quicaillerie, mais un Lord anglais respecté. Je ne faisais pas vieux os en France. Quelques victimes et je prenais le premier bateau pour les Etats-Unis. Ce pays était encore plus prometteur que l\'Angleterre. Je m\'installa dans le nord de Chicago et créait une petite entreprise d\'import-export. Je gagnais plus d\'argent que je ne l\'aurais jamais pensé. Je n\'étais le plus intelligent des petits garçons et maintenant, plus riche que je ne l\'aurais jamais pensé. Mon père et mon frère ne devaient pas être très fier de moi, mais je m\'en moquais.

Depuis des années 1920, et je me laissais emporté par la vague de l\'industrialisation. Je n\'en devenais que plus riche, passant d\'une entreprise à une autre plus performante et plus adaptée. Mon amour pour les belles choses s\'affirmait de plus en plus. Et je passais d\'un homme à une femme, d\'un vampire à un humain. Tel Don Juan écrit par Molière, j\'aimais ce perpétuel changement, j\'étais bon pour reprendre la tirage sur l\'éloge de l\'inconstance.

En 1970, je revoyais mon Sir, bras dessus, bras dessous avec une belle jeune femme. Loin de moi la rancune passée, mais je sentis un certain pincement au coeur - ce qu\'il en restait- que je le vis. Il me reconnut et s\'arrêta pour me fixer, comme ce soir dans la cellule. Je dis rien et le regardais aussi, attendant un geste de sa part ou une parole. Mais rien... Ce fut la dernière fois que je le vis.

Je revins en Europe au milieu du XXIe siècle, laissant mes affaires à un homme de confiance. Je lui laissais un bon chiffre d\'affaire, pour être sûr qu\'il reste. Mais je lui faisais confiance. Je le connaissais depuis des années et il ne m\'avait jamais trahi. Et puis, s\'il le faisait, il savait plus ou moins ce qu\'il l\'attendait. Sans lui dévoiler ma vraie nature, je l\'avais menacé de tuer sa famille s\'il s\'avisait de me doubler. Je n\'avais pas encore envie de retourner en Angleterre bien que j\'avais entendu parlé du Royaume d\'Alexandre de Bretagne. Un confrère m\'en avait parlé à Chicago. Mais je préférais visité encore un peu. Je choisi donc l\'Espagne et l\'Italie. Deux pays du Sud intéressant. Le sang des espagnols et des italiens était fruité, exotique, tellement différent des américains. J\'en devins presque accroc. Je m\'intéressai à la culture et la langue. Je me concentrai sur l\'Espagne principalement autant pour la langue que pour la culture. Je parlais trois langues couramment, mais de temps en temps, le français revenait.

2010. J\'ai décidé de quitter mes pays aux saveurs exotiques pour retrouver mes congénères anglais. J\'ai fait une courte escale à Paris pur m\'acheter quelques costumes et voilà que j\'arrive ici. Je me demande maintenant si j\'aurais la chance, ou le malheur, de croisé de vieilles connaissances.


Dernière édition par Robert Park le 12/5/2010, 14:46, édité 14 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 19:06

test rp.
Spoiler:
famille. Mon père, François, humble commerçant, vendeur de quincaillerie en tout genre, avait pris ma mère, Hélène, pour épouse, dans la perspective de fonder une famille à ses côtés. Nous ne furent que deux enfants à voir le jour de cette femme. Je ne l\'ai pas connu, elle est morte en couche, laissant à mon père la responsabilité de deux enfants. Deux garçons, des jumeaux.
Aujourd'hui mon frère et mon père son mort, je me sent coupable d'être encore la entrain de décrire en quelques mots ma famille perdu il y a bien des années. [/justify]

pseudonyme. T'chiken ?!
âge. 19 ans
code du règlement.
avis général à propos du forum. Wonderful.
avatar utilisé. Robert Downey JR.


Dernière édition par Robert Park le 12/5/2010, 13:43, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 19:07

pfiiiiiiiiiiiiou robert downey bordelou Robert Park i did it my way. Fin. 294969
très très bon choix d'avatar,
Et puis il le fait trop bien comme Ancien,

Bonne chance pour ta fiche, bienvenue sur B&P et amuse-toi bien parmis nous ^^
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 19:53

Bienvenue heart
Très bon choix d'avatar et de discipline.
Bon courage pour ta présentation.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:27

Bienvenue :93: :93: :93:
Mon personnage va devenir gay, je ne peux me résoudre à laisser Robert me filer entre mes doigts xD
Okay', je me calme en tout cas : Bonne chance pour ta fiche :90:
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:35

Tien tien... je vais le dire à mon doublon, qu'il garde cette information quelque part dans son cerveau.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:37

Nooooooooooon! Je rigolais voyons :83:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:38

gay ? gay ! GAY ! Comment ça gay ?!
Tu peux pas nous faire ça !
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:40

Et pourquoi pas ? Tu te fiches pas mal de moi alors t'en mêle pas >>'
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 20:45

Robert :005/: Rhalala voila un personnage qui promet. Bienvenue parmi nous. ^^

Loooooool décidément c'est l'amour vache entre vous xD
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:21

C'est clair, ça me fait mourir de rire!
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:23

C'meuhgnon ca fait vieux couple :006/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:24

C'est exactement ce que je n'arrête pas de leur dire mais ils veulent pas me croire.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:28

Ils sont encore dans le déni c'pour ça MDR
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:34

Après viendra la colère... et puis à la fin l'acceptation et le mariage :031/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:37

Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiis :021/:
Pas besoin de médium ou de conseillers matrimoniaux, nous on est là :029/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:42

Exactement! On ferait de bonnes demoiselles d'honneurs tu ne trouve pas? :041/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 21:46

Fiou, pour sûr, y en aurait pas de meilleures :55:
Revenir en haut Aller en bas
 
Niklaus L. Bălan
 
DEAD LIKE ME

SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence.
HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession.
OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir.
SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme

Robert Park i did it my way. Fin. Tumblr_m267zeKZdg1r6tdwbo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories
MISSIVES : 1920
ACTE DE PROPRIETE : Twixnfun; tumblr

 
Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.


Black Moon
JE SUIS:
CAPACITES:
MEDISANCES:
Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:01

Carrément. On organiserait l'enterrement de vie de jeune fille! (dans une morgue bien évidemment)
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:02

Le truc trop joyeux... rien qu'avec ça on va la dégouter ne serait ce même que de nous inviter MDR
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:03

Un mariage ? J'préfère me pendre.
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:07

Mdr, te pendre, ça rentre bien dans le contexte, au moins tu seras bien intégrée dans le paysage de ton futur enterrement de vie de jeune fille. xD

Puis on sait toute que t'as envie de lui mettre la corde au cou à lui aussi

:56:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:09

C'est complétement faux ! :87:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 22:12

Ttttttt, tu ne peux rien me cacher, pas la peine de nier... Dis plutôt à tata tout ce que tu as sur le cœur ça te soulagera... Je t'aiderai à l'attraper et à l'attacher s'il est trop récalcitrant si tu veux. :035/:
Revenir en haut Aller en bas
 
Anonymous
 
 
Invité
Invité


Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime11/5/2010, 23:10

Bien, je vous remercies tous et toutes.
Quel accueil Ouah.
Je vais faire au plus vite pour finir ma fiche !

merci
Revenir en haut Aller en bas
 
 
 
Contenu sponsorisé



Robert Park i did it my way. Fin. Empty
MessageSujet: Re: Robert Park i did it my way. Fin.   Robert Park i did it my way. Fin. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Robert Park i did it my way. Fin.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

 Sujets similaires

-
» ~ Terminé . PARK Min Joo .

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DRAG ME TO HELL ::  :: Never Forget :: Archives fiches de présentation-