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 DIES IRÆ. (terminée)

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AuteurMessage
 
Shaïma El Sabbah
 
DIES IRÆ

SIGNALEMENT : Mistonne de Seth
HABILITIES : Présence / niveau III
OFFICE : Vendeuse velléitaire d'artefacts sous couverture, délatrice pour le temple
DIES IRÆ. (terminée) Tumblr_ni0sm4IVV01r6mdwlo1_500
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Babycakes
MISSIVES : 12
ACTE DE PROPRIETE : Morphine

❝ on gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus — n. bonaparte
 
Shaïma El Sabbah
Do you want to play with the devil?


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MessageSujet: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 16:33

Shaïma El Sabbah
Feat Anne Curtis
204 † vampire † vendeuse d'artefacts

DATE & LIEU DE NAISSANCE 1791. Le Caire millénaire. AGE Gamine de  22 ans depuis 204 ans. ORIGINE Egyptienne du christianisme. CAMP Vendeuse indépendante, ici, n'appartient à personne mais respect l'essaim, ailleurs, au delà de Shevreport, appartient au clan de seth. NOM DU SIRE Rahina Mel Rebesh, la belle garce. DATE DE L'ETREINTE Mars 1813. STATUT  Ancillas. DISCIPLINE Présence, niveau III. UN MARQUE ? Non, n'est pas intéressé et ne souhaite pas s'enchainer qui que ce soit.  ETAT CIVIL Célibataire METIER Vendeuse de bouibouis, d’artifices et d’artefacts en tout genre. ETIQUETTE Elle est belle. Elle est douce. L’enfant des bas quartiers. L’enfant du caire. A l’image du soleil, brulant et insolent. Sans famille, celle qui a du grandir trop vite, papillon d’obsidienne, s’est abîmée les ailes en rencontrant les monstres lovés dans les marais aux cauchemars englués. Mordants et vils. Ils ont annihilés son odeur de jasmin, de rose et d’épices. Naïve, écorchée, malstrom de sentiments despotiques, aujourd’hui éternelle aux charmes désarmants, on la voit,  ivre de volupté, jaillissant des enfer. Jouissive cruauté faite d’ébène et obsidienne, elle apparait dans les ombres mouvantes de la nuit, orgueilleuse gargouille qui sculpte les vanités, ondulant sous le sourire sordide da la lune. Grotesque dans sa pâleur mortelle, elle souligne la noirceur de son être, malodorante et rampante. Elle court sous sa peau d’albâtre, toute son avilit, ses tares et cette atrocité sans visage. Elle est sa moitié. celle qui se fait mortelle et sempiternelle. Créature fabuleuse issue d’un autre monde, surnaturelle et divine au faciès grimaçant. Elle est ce visage sournois dissimulant une haine incontestée à l’expression douteuse. Elle est mortelle et douloureuse car dures et impures sont ses blessures.

Identité
✤ Traits de caractères Soit tout est blanc. Soit tout est noir. Sans demi-mesure, absolue et totalitaire, son caractère, une force d’esprit qu’elle impose à ceux qui l’entoure, est entièrement construite sur la dualité : détruire pour reconstruire, souffrir ou faire souffrir, être le maître ou être l’esclave, évoluer ou mourir. Ses choix sont toujours extrême car n’est pas un être de modération ni de tempérance. Sa nature sans concession, elle l’a construite sur la notion d’absolue, d’extrême. Violente dans un gant de velours, d’un sourire mortelle, elle abdique difficilement aux ordre pré-requis. Il n’y a que sa maîtresse et créatrice qui puisse la faire ployer et courber l’échine. Créature sectaire, c’est une putain de possessive rancunière et susceptible. Jalousie dévorante, toujours dans l’intensité, n’aime et n’accepte aucune trahison, réduisant tout simplement tout ceux qui ont un jour bafoué sa confiance, sous le silence d’une mort brutale et douloureuse. Exclusive, elle n’aime pas voir ceux qui lui sont proches s’approcher de trop prêt d’individus qu’elle juge juste bon à annihiler. L’ancillas, cette bestiole venimeuse, à alors une conception assez spéciale de la possession. Elle fera tout pour obtenir ce qu’elle désire. Elle se fera vile, abjecte, dépravée et avilissante mais une fois qu’elle l’aura, elle ne s’y intéressera plus vraiment et pourra même s’en débarrasser négligemment. En cela, elle fait penser à un félin repu qui, chassant pour le plaisir et l’excitation, pourra laisser sa proie à moitié morte à l’abandon.
✤ Occupations, manies, habitudes & goûts Ici, elle s’occupe d’artefacts. Toute une quincaillerie qu’elle s’est trimbalée jusqu’a Sheverport. Ils viennent de l’autre bout du monde, uniques et inestimables, une couverture qui lui sert pour passer inaperçue, inoffensive, bien loin des enjeux et complots qui font frémirent Sheverport. Installer depuis peu, faisant boutique directement chez elle, ils trônent dans un cabinet où l’odeur de la naphtaline stagne et s’incruste dans le vieux lambris des murs. Elle reçoit peu de client, peut-être à cause de ses jouets soigneusement rangées dans cette même pièce. Tout en cuire et en lanière. En fait, elle s’en fou pas mal. Les vendants trois fois rien, à qui en veut, elle s’ennuie. S’ennuie de ses petits jeux, de ses esclaves qu’elle a du délaissé pour venir ici. Ses esclaves, qu’elle assujettit à des actes dégradants, s’amusant à briser les esprits des plus fragiles pour mieux les dévorer une fois le pouvoir rompu. Ici, faisant profil bas, les journées dans son appartement noir, immobile dans le silence pesant du mobilier luxuriant, le temps passe lentement. Son attente la rend dingue. Aussi se laisse-t-elle aller a quelques chasses discrètes. Parce qu’on lui a demandé de faire profil bas, elle traque de pauvres créatures perdues dans des univers fait de pyrex et d'héroïne. Sans saveur, se rabaisser a de telles bassesses la rend d'une humeur massacrante et violente, ne montrant cette tendresse particulière qu’elle réserve à ceux qu’elle enserre dans les griffes crochues de son pouvoir. La chasse se fait alors brutale et cruelle, ne laissant aucune chance à ceux qu’elle pourchasse.
✤ Discipline Présence / niveau III. Manipuler les esprits, un jeu qu’elle affectionne tout particulièrement. S'en servant pour son propre plaisir, cumulant les esclaves, des fils de chien qu’elle asservit à ses propres caprices. Sa créatrice n’a jamais rien eu à dire sur ces pratiques plus que douteuses, entourant ses petites brebis d’une tendresse qui lui est peu commune, avec eux, ses sentiments peuvent éclore dans la violence comme dans la tendresse, redevenant un temps cette gamine des bas quartiers du Caire. Si elle se laisse aller, c’est pour mieux les dévorer par la suite, personne, non personne, ne ressort totalement de son entrave et si son chien est docile, sa mort n’en sera que plus douce et rapide. Toutefois elle préfère les cabots belliqueux et revêches, ceux qui lui résiste. Le jeux n'en est que plus existant. La révérence, son tout premier don, est apparu peu de temps après sa transformation. C'est quelque chose de presque inné chez elle, évoluant aisément tout en suivant les avis et recommandations de sa Sire, ce premier pallier lui permet de communiquer avec les membres du clan de Seth. Sans difficulté, les canaux s’ouvrent, s’agglomérant au psyché des siens pour leur livrer, par flash, des images de l'instant présent. Le regard terrifiant, deuxième pallier qu’elle a franchit après de longues années à se désespérer à ne pas voir dévolution dans son don. Rabaissée par sa Sire sur son inaptitude à progresser, lorsqu’elle parvient enfin au niveau supérieur, elle en a abusé encore et encore, se plaisant à créer des terreurs incontrôlable dans l’esprit de ses victimes, se délectant de leur folie. Puis enfin, la transe. Le niveau quatre lui semble encore bien loin, travaillant dur pour y parvenir, mais devant cette mission de grande envergure, elle semble avoir oublié ses priorités, celle de rendre fière sa créatrice en devenant l’infant le plus digne qu’elle n’ait eu, souhaitant ardemment supplanter sa première création : Zaki.
✤ Convictions Une belle connerie mais qui lui plait. Déjà à l’époque la chasse à la sorcière l’excitait, participant volonté à livrer de pauvres bougres qui avaient eu le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Elles brûlaient dans un immense feu de joie, le vent charriant l’odeur de leur chaire brûlée. Soupire, nostalgie d’une époque révolue, celle des armes à feu, comme une aberration. Alors qu’avant, certains leur vouait des cultes, aujourd’hui, chassés, craints ou parfois même tout simplement adulé par quelques mordues tordues, la discrétion n’est plus de mise et ça, ça lui plait.


story of your life


Le Caire.
1791.08.26  
Mélange d’odeurs.
Falafels, foul médamess. La fraîcheur au bord du Nil. Sa douceur, sa sérénité, sa modeste majesté. On est en août. Température estivale. Ici on étouffe sous cette chaleur sèche et poussiéreuse. On se bouscule sous les cris des vendeurs ambulants, des minarets. L’appel à la prière. Il est tôt.
On émerge tout juste d’une nuit mouvementé chez les El Sabbah. Ils vivent tous là. Entasser les uns sur les autres. Dans la demeure familiale. Cette vielle baraque en pierre s’effritant sous les bourrasques violentes du vent brûlant du dessert. Elle croule sous la vie rude d’un quartier famélique, s’abîme dans les dettes et la pauvresse de la famille. Dans ce tout petit cagibi, la vie n’a rien de belle ni de facile. Ils sont dix, bientôt onze.
Ereintée, asphyxiée par une vie merdique, bouffée par la fatigue et le salaire misérable d’une vie qui part à la dérive, la mère peine à nourrir toutes ces bouches béantes. Avec un père fuyant ces responsabilité pour mieux s’oublier dans le travail harassant au fin fond du dessert, on est pas loin de la crise de nerf. L’alcool étant prohibée, tout comme le suicide, on essaie de se perdre comme on peut.
En regardant les pupilles obsidiennes de son dernier rejeton, aucune tendresse n’anime ces traits. Lasse d’une vie de poule pondeuse, les plis de son corps alourdit par tant de grossesses, sa jeûneuse passée est bien loin. Quelques filaments gris parsèment sa chevelure d’ébène. Trente ans et déjà le faciès d’une vieille. La vie en belle salope n’a pas été tendre. Ni avec elle. Ni avec aucun de ces autres enfants.
Jeunes et insouciants, sous le soleil du Caire, ils s’éveillent, ces amères fardeaux. Bien loin des préoccupations de leur mère. Elle les regarde longer les murs de la maison, s’avachir sur les tapis rêches et poussiéreux dans la grande salle de leur deux pièces. Les côtes saillantes apparaissent sous des vêtements trop grands. Lugubre et funeste destin, quand son regard accroche celui de l’enfant, bien éveillé pour un nourrisson, son choix est fait.

L’avenir de sa cadette ne sera pas de son ressort.
1796.10.15
Métropole d’un pays pauvre.
Désabusée, de son regard d’enfant, elle regarde les gens passer. Là, juste devant elle. Ils la frôlent mais ne la calcul pas. Une pauvre âme parmi tant d’autres. Certains ris, le sourire gras qui fait rebondir leur ventre tendu par une bonne pitance. Elle ne voit que ça. Ne vit que pour ça. Et son ventre qui n’a de cesse de gronder. Elle a faim. Faim de cette faim douloureuse et mordante. Elle se répand dans ses membres, s’amusant à la rendre faible et amaigrit.
Un pouce en bouche, de ses grands yeux de poupée fragilisée, elle fixe l’étalage sur le trottoir d’en face. De la nourriture à foison. Elle brille dans son estomac et son regard se fait obsédant. Mais du haut de ses cinq ans, elle sait ce qu’on fait. Ce qu’on fait à ceux qui volent. La famine comme un crime, elle les pousse à se faire couper des mains, aux coups de bâtons et aux fouets. Toutefois, pour une main, quelques coups de bâton, elle se ferait bien un petit festin.
Elle s’imagine, à la table d’un repas luisant de gras. Bien habillée, dans la chaleur rassurante d’un foyer tendre. Oui, dans ses frocs trop grandes, elle aimerait qu’on s’occupe un peu d’elle. Comme sa mère le faisait de temps en temps. Souvenirs fuyants, juste une douce chaleur, une étreinte et tendre caresse dans ses cheveux. Rien de plus.
On lui tire discrètement la manche, l’arrachant à sa contemplation. Son regard de gamine paumée, se vrille à celui d’Alaë. Son corps aussi efflanqué que le sien, gamin d’une dizaine d’année, il est celui qui la tiré de son trou ou l’avait laissé ses parents. Recroquevillée dans l’angle d’une impasse, à regarder les passants passer et traverser, sa vie s’était suspendu au signe d’au revoir de sa mère. Puis il était venu. Munit d’un bâton en main pour mieux la tâter, de peur de trouver un cadavre, c’est une gamine en larme qui l’avait agrippé pour ne plus le lâcher, la peur et le froid la poussant au contact. Trouvant en ce garçon un ami, le toit d’une nouvelle famille au fond de sa cabane puante, elle ne l’a plus quitté et s’est laissé embarquer dans les quartiers des orphelins. A la pelle, ils déambulent dans les rues, cherchant de quoi manger, se vêtir, vivre. Tout simplement.
Il lui tend une belle orange et son visage s’illumine d’une joie enfantine. Bravant l’interdit pour chiper quelques trucs à se mettre sous la dent, Alaë a toujours quelque chose pour elle, s’occupant de l’enfant comme s’il s’agit de sa propre famille. Toutefois, elle n’est qu’une autre bouche de plus à nourrir, aussi se fit-il un devoir de lui apprendre l’art de voler.
1802.14.06
La fin justifie les moyens.
Depuis quelques temps, cette phrase, pareil à un mantra, habite Alaë. C’est un bon gars. Sympa et joviale, il lui apporte toujours le sourire et l’allégresse que lui prive la rue. D’un putain d’optimisme éreintant, il la fatigue de part ces blagues douteuses et puis, depuis quelques temps, il cherche tout le temps à la tripoter. N’importe quel prétexte est bon pour glisser une main vicieuse et baladeuse sous ses vêtements. Comportement obsédant, celui qui se dit son ami depuis plus de cinq ans, commence doucement à déraper sur des agissements libidineux.
Ca la révulse, n’arrivant plus à voir en lui le gamin inoffensif de son enfance. De six ans son aîné, ces fréquentations deviennent ambiguës. Ces anciens amis de rue sont à ce jour louches et vieux, se promenant avec des filles dont leurs regards lourdement maquillé par le khôl s’alourdissent sous les remarques graveleuses des mecs qui les accompagne. Sourires aguichants, entêtants et provoquant, pour quelques billets durement gagnés, volés, elles s’adonnent à des plaisirs qui lui échappe.
Mais elle s’en fou. S’en fou et s’en balance. Car elle, tout ce qui l’intéresse, ce sont les poches bien fournis des ces putains de gosses de riches. Dans ce quartier, ils pullulent. Ils aimaient, avec Alaë, venir s’adonner à quelques voles en tout genre. Toutefois, seule depuis quelques temps, le duo ayant volé en éclat, c’est elle qui ramène la bouffe et l’argent à la maison. Alaë lui en prend plus de la moitié, la laissant amère et froide, toutefois, de silence elle se fait, préférant taire sa rancune envers l’unique et seule personne qui lui a un jour tendu la main. Elle le laisse faire, se contentant des miettes qu’il daigne bien lui laisser.
Evoluant ce jour parmi ces gosses de riche, elle dénote légèrement dans le paysage, ses souliers usés jusqu’à la trame, foulant le pavé frais du quartier. Brillants et excessivement opulents, c’est sans honte qu’ils exposent leur fortune sous le nez des autres.
Sa victime du jour, elle le suit depuis quelques brèves minutes. Un jeune homme d’une vingtaine d’année. Il se stop juste devant elle. Pourquoi lui ? Elle ne peut le dire. Mais son choix s’est arrêté sur lui à la seconde même ou elle l’a vu. Magnétique, pareil à un papillon de nuit attiré par l’ardente flamme, elle s’est élancée à sa suite.
Petite pour son âge, une coupe à la garçonne et ne faisant qu’à peine ses malheureux onze ans, elle s’avance vers lui, les mains dans les poches trop grandes de son pantalon et ses foulées sont longues et souples. Contrôle absolument de son corps alors que son coeur s’affole. Petite souris qui souhaite ardemment sortir de son trou, elle le percute durement. Il ne bouge pas. Pas d’un millimètre. Son corps, pareil à du granit, son épaule douloureuse, elle grimace et le regarde un instant, choquée, avant de reprendre sa route, son précieux butin coincé contre sa frêle poitrine.
Douleur lancinante, son regard marqué au fer rouge dans son esprit, elle se caresse doucement le bras, ralentissement considérablement le pas alors qu’elle tourne au coin de la rue. Son regard se porte une dernière fois derrière elle. Juste une seconde. Souhaitant ardemment se souvenir de sa silhouette. Toutefois, de surprise, son corps se fixe alors que son regard balaye un trottoir vide, les gens avançant comme si de rien n’était alors qu’un homme vient tout juste de se volatiliser sous leurs yeux aveugles.
Sans trop comprendre, son corps parcouru d’un frisson, sur sa nuque s’hérissent ses cheveux avant même qu’elle ne le voit. Elle sait qu’il est là, juste devant elle. A seulement quelques centimètre de son corps, immobile, il se tient. Majestueux dans ces vêtements sans accroc, de sa prestance il l’immobilise… l’électrise.
Attrapée, la main dans le sac, son regard se perd dans le sien, hypnotique. Ces lèvres bougent, mais aucun son ne lui parvient alors qu’elle tend machinalement ce qu’elle vient de lui voler. Et ces lèvres s’incurvent en un sourire insolent. Vile serpent qui vient de refermer ces crocs luisants sur la souris, prise au piège, entêtant, elle se laisse aller au charme désarmant de cet inconnu.
Plus tard, elle l’appellera pas son prénom. Plus tard, elle embrassera cette peau basanée. Plus tard, elle se dira éprise de celui qui l’a un jour arraché à sa vie de misère, lui donnant la chance de vivre une nouvelle vie :  Zaki El Hanesh.
Genève.
1808.02.12
Froid mordant.
L’hiver est là. Il s’installe et étend son manteau immaculé. Du haut de ses 17 ans, elle observe sa famille d’accueil s’agiter dans le jardin. Déballant les décorations de noël, un culte qui atteint nullement la jeune femme, préfèrant les regarder s’agiter n’apportant que peu d’importance à eux. Dans quelques temps, ils ne seront plus, ils oublieront bien vite qui elle était. Cette peur viscéral dans leur regard s’amenuiseront sous l’attaque mortelle qu’apporte les affaires avec les vampires.
Ayant quitter les affres et la rude vie du Caire, elle n’a aucun regret. Ici sa vie est douce. Elle est belle. Sombre et froide, mais elle s’en contre fou pas mal, c’est celle qu’elle a choisi. A ces cotés. Elle déambule dans un monde teinté d’horreur et d’erbine. Carminée est sa liaison avec Zaki.
Loin d’en plaire à sa Créatrice, ces regards à son encontre sont toujours froids et mortels. Rictus méprisant, elle n’aime pas cette présence omnipotente dans la vie de son infant. Elle régit ces faits et gestes dans un contrôle qui échappe totalement à Shaï. Elle aimerait le défaire de cette femme dont la beauté n’a d’égal que sa froideur. Il semble la tenir en estime et la placer au centre de sa vie alors qu’elle aimerait en être la seule. Qu’il soit son monde comme il est le sien et ce, depuis des années. Accrochée à lui, incapable de respirer un autre oxygène que le sien, avec lui, elle s’épanouit. Lui offre ses sombres visions sporadiques. Lui offre les morts qui parsèment sa vie. Elles apparaissent parfois douces, parfois sordides et elle lui en conte les moindres aspects, fière de cette particularité, hilare d’être le regard de la grande faucheuse.
Loin de lui déplaire, Zaki s’en amuse, lui demandant même un jour si elle l’a déjà vu mort dans l’une ses visions. Douleur lancinante à cette demande plus qu’étrange, loin de se prêter au jeu, elle a préféré lui balancer la vérité telle qu’elle la voyait : jamais. Pareil à une divinité, dans son regard de gamine éprise, elle ne pouvait le voir mort mais, au contraire, s’élever, majestueux, portant volontiers le visage d’un Dieu.
Amour à la limite de l’inceste, celle qu’elle considère comme un membre de sa famille, n’a de cesse de la caresser dans un touché éphémère, la rendant avide de cette douce torture. Avide de ses baisers mordants et caressants. De ces lèvres humides qui s’entrouvrent comme un calice sur sa peau embuée. Des ces mouvement lascifs qui, en caresses secrètes, la touche et l’affole. Il lui suffit de la frôler pour qu’elle palpite, corps et âme. Dévotion dévorante, elle n’a d’yeux que pour lui et malgré ses tentatives désespérer d’entreprendre de lui rendre chaque caresses données, il se dérobe, la laissant toujours dans cette frustration grandissante et assourdissante, ne comprenant pas le pourquoi de ces refus, toujours plus nombreux.
Soupire. Elle regarde la montre. Bientôt l’heure du rendez-vous, et inconsciemment, un sourire étire ses lèvres. Elle a hâte. Hâte de le rejoindre malgré les regards noirs de sa Sire, avide des histoires qu’il lui raconte. Avide de cette richesse qui lui a inculqué, elle l’illettrée. Jamais elle ne le remerciera assez de lui avoir donner une de chance de grandir, de s’élever en femme libre, loin de sa misère d’antan.
1813.13.03
Douloureuse est la chute.
Peut-être s’est-elle crue au dessus des autres. Evoluant dans l’univers d’un vampire tout en étant aussi fragile qu’un petit insecte lui a fait perdre la tête. Un instant, elle s’est crue immortelle face à cette cruelle vérité. Mais cette salope l’a poignardé alors qu’elle riait d’une méchanceté gratuite, balançant, à cet homme, crument, sa mort qu’elle avait, l’espace d’un instant, entre-vu, alors qu’on la basculait pour lui voler son sac.
Elle l’attendait et l’attend toujours. Là. Sur le parvis de la rue sombre et abandonnée. La température frôlant le zéro, juste une douce caresse sur ces joues d’albâtre. Elle se sent totalement engourdit par cette violence gratuite. Elle n’a pas très bien comprit que, sous le regard fou d’un homme agité, la mort l’attendait. Sourire béant, elle l’a dévoré, s’est jetée sur elle sans lui laisser le temps de comprendre. Elle en aurait ri si sa gorge ne c’était pas trouvée étoufféé par des râles d’agonies. Celle-ci, elle ne l’avait pas vu venir. Douce ironie, celle qui voit la mort, n’a pu ni voir, ni anticiper la sienne.
Mourir ici l’effraie. Mourir, seule, la renvoie dans cette enfance merdique du Caire. Fixant le ciel, immobile, elle entrevoit Alaë entouré de toutes ces poules. Dans son bidonville pourrit, à ramasser la merde par poignée pour mieux se perdre dans la débauche et les paradis artificiels, oniriques. Il l’attend. Et il sourit. Il a l’air de bien s’amuser l’enfoiré. Sa main se tend, vers elle, il semble vouloir l’aspirer, l’attirer et l’enfermer dans l’enfer de leur ancienne vie, à se perdre et à ronger les restes des autres pour mieux survivre. Autour de lui, le décors semble fondre, tout comme sa peau, elle  cloque et fond comme une bougie. Son sourire se tord. Grimace sur fond de terreur, son regard rougeoie et ces dents deviennent crochets. Il est la mort telle qu’elle l’a toujours vue. Et elle est là, juste pour elle.
Sursaut de lucidité alors qu’on la bouge, les secousses lui font douloureusement mal alors que sa main agrippe désespérément celle de l’homme qu’elle a ardemment souhaité voir une dernière fois. A le savoir prêt d’elle, elle sait que maintenant, elle peut mourir dans la sérénité, calme et fière. Des sons s’élèvent juste autour d’elle, ces sons, ces chants harmonieux. Nulle voix d’homme n’est si belle.
Pas de saint suaire en toile fine, juste un robe de mousseline à treize volants éclaboussée, émoussée par l’erbine fragile de sa vie. Pas de coussin de larmes brodé, juste sa chevelure inondée soulignant sa parure préférée, qui de son premier regard, l’a sacrée. Et le soleil qui brille, l’éblouit…
1813.16.03
Coquetterie posthum.
Loin, à l’abri des regards, le travail de la putréfaction a fait son effet ayant laissé son corps marqué. Elle peine à y voir clair. Un voile opaque s’étend au devant de son regard. Ici tout est flou. La terre battue qu’elle touche semble vouloir retenir son derme alors qu’elle se tourne sur le coté. Ses poumons veulent trouver l’air qu’ils leur manquent, mais cruelle elle se fait car aucune activité ne semble vouloir les animer. Un gémissement, pareil à un animal blessé, s’échappent de ses lèves gercées, crevassées. Ses terminaisons nerveuses, à vifs, s’étirent, activant son bras alors qu’elle cherche à ramper, puis rompent sous la déshydratation qu’apporte la putréfaction. Le parcheminement de la peau, le derme à nu devenu sec, brunâtre, dur, son corps ne semble plus lui appartenir.
S’agrippant au sol, elle aimerait pleurer, pleurer sa douleur de cette cruelle nouvelle. Pleurer l’abandon de celui qu’elle considérait comme son attache, sa buée dans la tourmente de la vie. Qu’on l’aide à sortir toute cette étouffante tristesse, mais la personne qui se tient devant elle, immobile, ne semble pas de cet avis. Jamais elle aurait cru que naître une nouvelle fois pouvait être aussi douloureusement triste. Sans lui, la vie n’a plus le même goût. La même saveur. Elle n’en vaut plus le coup, son soleil s’étant fait dévoré.
Chimère onirique, la présence bouge devant elle, et elle aurait tout aussi bien pu l’imaginer si cette dernière ne portait l’odeur nauséabonde de la mort. Rahina. Belle dans son horreur, la savoir auprès d’elle à la place de Zaki, lui laisse un goût de cendre sur la langue. Et elle n’a de cesse de tourner autour d’elle, pareil à un vautour, sourde à sa soif dévorante. Et elle rit. S’amuse. Sa magnifique voix s’élève. Encore et encore, joussive, lui rappelant cette douloureuse vérité crue qui l’abime un peu plus que jamais plus il se tourna vers elle. Que jamais plus il se tiendra prêt d’elle.
Le coeur à l’abandon et pourtant une âme qui ne voulait que fusion, elle s’aperçoit alors qu’elle n’a été que bercé par des sirènes qui chantaient horriblement faux, telles des vilaines.
2017, à  ce jour.
Shevreport.
Engeance à la colère.
Elle anime ces traits depuis des années. Encore plus depuis qu’elle foule les terre fétides de Sheverport. Elle l’anime depuis son éveil auprès de sa garce de Sire. Celle qu’elle déteste et respect. Déteste pour l’a rabaissé continuellement, la mettant toujours plus bas que terre alors qu’elle n’a de cesse de vouloir la rendre fière. Respect, parce que, malgré tout, elle est restée, elle. Restée malgré son instabilité émotionnelle qui n’a de cesse de la rendre tantôt irritable, tantôt amusée. Toutefois, malgré tout ses efforts pour intérioriser sa rancune, depuis des année, la colère anime ses moindres faits et gestes. Loin de plaire, celle qui se fait despotique quand le contrôle de sa personne l’abandonne, a longtemps cherché à résoudre ses tares.
Renouant avec ses anciennes habitudes, reproduisant les faits d’autrefois, les souvenirs de Genève, elle s’oublie et se perd auprès de personnes qu’elle asservit. Toutefois, malgré la monté de plaisir, la chute est toujours dure et cruelle. Et elle aurait pu continuer encore longtemps comme ça, à s’autodétruire dans une relation malsaine avec ses souvenirs fantômes si sa Sire n’avait eu l’idée, avec le clan, de l’envoyer à Sheverport.
La sortant de se torpeur, inconsciemment, elle recommence à espérer. Espérer de le revoir. Enfin. Loin d’oublier le regard que lui lança sa Sire avant de partir, comme un avertissement, elle n’est nullement prêtre à renouer des liens avec ce traître à son coeur. Lui qui a n’a eu de cesse de se montrer hypocrite, ne trouvant en elle, qu’un léger amusement de part son don de clairvoyance, la laisse amer. Amer d’avoir cru en lui, d’avoir vu en lui l’image d’un être que rien ni personne ne pourrait séparer. A part sa mort.
Petit sadique et pervers qui préfère les humains et elle le sait et l’exècre encore plus pour ça ! A l’époque, cette elle, elle qui évoluait à ces cotés, aujourd’hui c'est lui. Putain de marqué, il empeste son odeur et ça la rend désespérement folle. Folle d’une jalousie dévorante. Possessive et rancunière, loin d’avoir digéré le cruel abandon de Zaki, elle ne désir que le détruire pour mieux s’élever. En disparaissant, sur que sa Sire la verrait enfin, elle !
Rire amer, se sentant ridicule en essayent de se convaincre qu’elle pourrait un jour détruire et nuire intentionnellement à Zaki. Celui qui a été un temps son monde, aujourd’hui encore trône dans une partie traite de son corps alors que son âme n’a de cesse de se lacérer et de se déchirer  un peu plus en pensant à lui. Amertume, besoin d’un garde fou, quand elle fait le vide dans sa tête, tout s’efface, sauf lui, rien qu’une silhouette qui reste.
Et sa Sire voudrait tant voir en elle une infante mature, loin d’être dictée par ses sentiments viles de petite fille bafouée. Digne du clan, elle s'est qu'ici elle doit faire ses pauvres si elle veut continuer à évoluer dans la serre très sélecte des disciples de Seth. Mais Shaïma est une tare à elle toute seule. Un vase fêlé dont les sentiments n’ont de cesse de s’en échapper par flots violents et irréguliers la rendant faible dans sa maitrise des armes et du combat. Faible dans sa quête qu’elle ne doit en aucun cas échouer : celle d'introduire le clan du chaos.
Spoiler:

Paradis artificiel
CHOIX DANTESQUE Scénario P'TI NOM Babycakes RUMEURS Il se dit que je suis une putain de casse-couille, mais un peu comme toutes les nanas j'ai envie de dire What a Face SESAME Validé par Stella LE VENT D'EST Il y avait de la lumière, alors heuuu... DECLARATION Ca sera ma déclaration d'amour du jour, mais il est beau, complet, riche, des membres sexys a souhait, un vrai petit bijou  pleaseuh TROMBINE Anne Curtis.



Dernière édition par Shaïma El Sabbah le 3/3/2016, 21:55, édité 9 fois
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Vinzent G. Henkermann
 
DER GNOM

Here it is, the splendor of our failure : your name lingers on my lips that speak no more of love.
SSVF Bro. #2
SOBRIQUET : Minou
MISSIVES : 4566
ACTE DE PROPRIETE : AVATAR ; Erik Danielsson (edit). SIGN ; acidbrain + tumblr + edit.

You must be ready to burn yourself in your own flame : how could you become new, if you had not first become ashes ? ~ Friedrich Nietzsche.
 
Vinzent G. Henkermann
MJ ; Gnomus Lubricus, Saint Empereur Germanique du Chalet


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 17:17

Wow, jusque ici, superbe interprétation d'un très beau scénario ! J'ai hâte de lire la suite.
N'hésite pas à contacter le staff si tu as besoin d'aide, Zaki (et ses multicomptes grin) ne devrait pas tarder à ramener sa fraise mais tu peux bien entendu lui envoyer des MPs également.

Bon courage pour la rédaction de la fiche en concurrence...
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Gabrielle Sorabella
 
I LIVE FOR DANGER

SIGNALEMENT : Indéniablement insupportable.
OFFICE : Barmaid à temps partiel chez Hardware Roadhouse
SERENADE : So I love when you call unexpected. Cause I hate when the moment's expected ♪

DIES IRÆ. (terminée) 216260tumblro2y9kuKWcY1regz06o6250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES

Siegounet

Eochou

Izabelle

Josh

BRIS vs HA

Jovan

Hannibal

SOBRIQUET : Gabrielle Sorabella
MISSIVES : 704
ACTE DE PROPRIETE : Angie

Beautiful. You'd think the word was invented for her. When she danses, revealing her body, like a bird spreading its wings ready to fly ~ Notre-Dame de Paris
 
Gabrielle Sorabella
Do you want to play with the devil?


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 17:31

Bienvenue à toi ! Et bon courage pour la fichette ! What a Face
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Bailey Cuthbert
 
Survivante

SIGNALEMENT : Grande fausse blonde pouvant vous mettre la fessée, nettoyant ensuite les dégâts
HABILITIES : Vision de la mort
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Gedauphin
MISSIVES : 392
ACTE DE PROPRIETE : Panda ○ alainashuffman ○ Hôtel Morphée

Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas l'espoir. ○ Gabrielle Roy
 
Bailey Cuthbert
Admin ○ Un petit coup de Purell ?


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 19:00

T'as quelque chose qui coule golmut

Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche superman
J'ai validé le code du règlement :dédé:
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Marlow D. Havenford
 
KNOCKING ON HEAVEN'S DOOR

DIES IRÆ. (terminée) Jj1m2o
Undo this storm
I can't control withering wonders, flowers that lose their shape. I lie awake and watch it all. It feels like thousand eyes. I'll be the calm I will be quiet, stripped to the bone, I wait. No, I'll be a stone, I'll be the hunter, a tower that casts a shade.
DIES IRÆ. (terminée) JBn8a

SIGNALEMENT : Le sacrifice.
HABILITIES : Déchaîner le chaos tout en ayant l'air d'un paquet de bonbons.
OFFICE : Enchaîne les petits boulots sans intérêt. Donne des cours de danse à des gamins du coin.
SERENADE : Metric || Help I'm Alive - Of monsters and men || Thousand eyes

DIES IRÆ. (terminée) Tumblr_njpuo7ZvaN1tk8rgio5_250
Help, I'm alive.

DIES IRÆ. (terminée) Tumblr_o0m0sqFNez1qf8jkho2_250
SOBRIQUET : Atomique / Heda
MISSIVES : 680
ACTE DE PROPRIETE : R.S (avatar); solosand (signature); the100daily (gifs)

"Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait à côté de la fenêtre. Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme." || Baudelaire
 
Marlow D. Havenford
MJ ; Marshmarlow, la guimauve chaotique


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 19:01

Oh god, je ne connais pas du tout cette bouille, mais quelle classe. In love
Bienvenue dans le coin et bonne continuation pour la suite ! J'aime énormément ce que j'ai lu jusque-là !
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Yago Mustaphaï
 
SANDS OF TIME

SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim
HABILITIES : Chimérie III.
OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos.
SERENADE : Hagia Sophia - Irfan

DIES IRÆ. (terminée) 597027JafaarIago
WELCOME TO THE MACHINE
SOBRIQUET : Scrabs.
MISSIVES : 4308
ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 19:15

Chaos is coming. pleaseuh
(Une Beauté Orientale pour le Clan. cute)

N'oublie pas de passer nous voir au motel le Samedi soir. DIES IRÆ. (terminée) 864293309

Bienvenue parmi nous ! lala
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Shaïma El Sabbah
 
DIES IRÆ

SIGNALEMENT : Mistonne de Seth
HABILITIES : Présence / niveau III
OFFICE : Vendeuse velléitaire d'artefacts sous couverture, délatrice pour le temple
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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Babycakes
MISSIVES : 12
ACTE DE PROPRIETE : Morphine

❝ on gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus — n. bonaparte
 
Shaïma El Sabbah
Do you want to play with the devil?


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 19:32

Hey ! Merci les copains pour vos messages !
Ca fait plaisir !
/câlines ses éventuelles prochaines brebis
tototriso

Bailey Cuthbert a écrit:
T'as quelque chose qui coule golmut
sourcil

Vinzent G. Henkermann a écrit:
Wow, jusque ici, superbe interprétation d'un très beau scénario ! J'ai hâte de lire la suite.
N'hésite pas à contacter le staff si tu as besoin d'aide, Zaki (et ses multicomptes grin) ne devrait pas tarder à ramener sa fraise mais tu peux bien entendu lui envoyer des MPs également.

Bon courage pour la rédaction de la fiche en concurrence...

Oui, j'ai longuement hésité avec le scénar' je n'aime pas tellement me lancer dans une fiche, qui, peut-être, n'aboutira pas, mais bon, l'autre se trouvant en danger, why not  What a Face En tout cas, j'espère avoir saisi le principe de la donzelle, je ne tarderais pas à aller voir mister Zika, et puis, merki meouebiensur

Yago Mustaphaï a écrit:
Chaos is coming. pleaseuh
(Une Beauté Orientale pour le Clan. cute)

N'oublie pas de passer nous voir au motel le Samedi soir. DIES IRÆ. (terminée) 864293309

Bienvenue parmi nous ! lala
Samedi soir ?
C'est quelle genre de soirée ? Avec ce genre de regard de petit pervers huhuhuhu
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Cillian Ó Connor
 
Chaton à apprivoiser

SIGNALEMENT : petit chaton du Pard
HABILITIES : métamorphe once
OFFICE : trapèziste - acrobate
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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Calli Attha
MISSIVES : 6688
ACTE DE PROPRIETE : avengedinchains & Tumblr

Les chats tout comme les roses ne griffent que ceux qui ne savent pas les prendre. # Inconnu
 
Cillian Ó Connor
PARRAIN ; Chat-volant


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 20:04

Bienvenue et courage avec ta fichette
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Sieghart Mönch
 
HELL COME HERE

HABILITIES : Je t'insuffle tout ce qui me chante, je caresse ton esprit et en modèle les pensées.
OFFICE : Psychologue.
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INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Euh... Zig-Zig ?
MISSIVES : 719
ACTE DE PROPRIETE : .

« Toutes les choses vraiment atroces naissent dans l'innocence », Hemingway.
 
Sieghart Mönch
Alias ; Zig-zig, le Monster Munch 100% tournesol, 100% plaisir


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 20:05

Je te mets en garde Shaïma, ne vas pas voir Yago, ni le samedi soir, ni jamais Big Eyes  
Pas pour ça, ils sont tous gays comme des phoques là-bas arrow, mais ils cherchent activement une bonne à tout faire. Pour nettoyer leurs saloperies. Moi j'dis ça, je dis rien hein... yuhou

En tout cas, je te souhaite la bienvenue ! Tu te feras rapidement des liens va, ça viendra tout seul, ton personnage ne sera sûrement pas dépendant de Zaki. Et bon courage pour la suite !
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Shaïma El Sabbah
 
DIES IRÆ

SIGNALEMENT : Mistonne de Seth
HABILITIES : Présence / niveau III
OFFICE : Vendeuse velléitaire d'artefacts sous couverture, délatrice pour le temple
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SOBRIQUET : Babycakes
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ACTE DE PROPRIETE : Morphine

❝ on gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus — n. bonaparte
 
Shaïma El Sabbah
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 22:05

taggle Nan ! Essayé de me faire venir pour que je joue les Marie-Conception afin que j'astiquer je n'c'est quoi lors de vos soirées cuire et SM...
Yago...  :toto:

Et puis merci Sieghart pour ton message :dédé: et à toi aussi Cillian !
Non elle ne sera pas du tout dépendant de lui, peut-être légèrement obsédée un brin psychotique sur les bords, à jouer aux poupées vaudous sur sa poupée miniature qu'elle séquestre dans une boite sous son lit, mais ça s'arrête là awwwhuuh
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Yago Mustaphaï
 
SANDS OF TIME

SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim
HABILITIES : Chimérie III.
OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos.
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DIES IRÆ. (terminée) 597027JafaarIago
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SOBRIQUET : Scrabs.
MISSIVES : 4308
ACTE DE PROPRIETE : Michaux & Rimbaud (citations) ; Shiya (avatar) ; SWAN (code signature) ; Biscotte (crackship)

« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
 
Yago Mustaphaï
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 23:10

Non mais Sieghart va mourir, justement j'essaie de renflouer les rangs de présence féminine, et toi tu sabotes tout. Big Eyes

Allez viens Shaïma. cry
On est bien. cute
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Eoghan Underwood
 
SSVF (Sorcier Sans Vagin Fixe).
DIES IRÆ. (terminée) 795497bloggif56bf8763e31be

SIGNALEMENT : Sorcier venimeux ondulé de la toiture. Gosse du bayou.
HABILITIES : Pratique à haut niveau de la Magie rouge.
OFFICE : Vendeur de reptiles.
SERENADE : I'm a man ¤ Black Strobe / Vengeance ¤ Zack Hemsey

Trust in me ♪
DIES IRÆ. (terminée) 177553e929ed3080a3cad1e4ff50feb5b1c729
SOBRIQUET : Le Tueur de Fun
MISSIVES : 2141
ACTE DE PROPRIETE : Aurélie (ava') / Emi Burton (signa') / Biscotte Cynique (crackship)

No sleep until I am done with finding the answer. Won't stop before I find a cure for this cancer. Sometimes, I feel like going down and so disconnected. Somehow, I know that I'm haunted to be wanted. They say that I must learn to kill before I can feel safe. But I, I'd rather kill myself than turn into their slave. Sometimes, I feel that I should go and play with the thunder. Somehow, I just don't wanna stay and wait for a wonder.
 
Eoghan Underwood
MJ; Tragédie featuring Oedipe ; Est-ce que tu m'entends, Eo ?


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime28/2/2016, 23:23

DIES IRÆ
Non mais déjà rien que ÇA, j'ai envie de dire. :pape:

Une Jasmine, en plus DIES IRÆ. (terminée) 864293309
Bienvenue à toi et bon courage pour la suite de ton histoire, ça sent déjà bon le papyrus, cette fiche-là.
Te laisse pas entraîner par les conneries des andouilles du dessus et fais pas attention à Yago. Il est un peu bizarre mais il est sympa, au fond.
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Zaki El Hanesh
 
Zakouille la Fripouille

SIGNALEMENT : Une goutte d'eau dans l'océan.
HABILITIES : Main de la destruction niveau 4
OFFICE : Banquier ou escroc selon le point de vue
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Cloud
MISSIVES : 338
ACTE DE PROPRIETE : cloud

 
Zaki El Hanesh
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime29/2/2016, 00:08

Bienvenue officiellement par ici Wink

Comme je te le disais tu as Shaï dans la peau :brill:

Tu l'incarnes divinement ^^. Hâte de découvrir la suite et que nous jouons les «retrouvailles» :)
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Laughlin S. Valentine
 
BIATCH PLEAZ'

HABILITIES : Mémoire décuplée ~ Arme psychique ~ Invocatrice
OFFICE : Institutrice maternelle // Accepte de faire pas mal de choses pour quelques billets verts ...
SERENADE : I'm a bitch ~ Alanis Morisette

DIES IRÆ. (terminée) Tumblr_inline_n78minXfb71ssoiqt
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SOBRIQUET : Sac à doala
MISSIVES : 1996
ACTE DE PROPRIETE : As' ♥ ~ Mish' ♥²

I wanna feel passion. I wanna feel pain. Don't make me laugh. Or don't make me cry. Just make me feel. Alive.
 
Laughlin S. Valentine
MARRAINE ; Grande prêtresse du harcèlement par MP & du détournement publicitaire sauvage


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime29/2/2016, 08:45

:dédé:

~ Ma foi, c'est très prometteur tout chat coucou

*Pat-patte la bête*

DIES IRÆ. (terminée) 1875992022

*biatch pleaz yuhou
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Magnus S. Rahkamo
 
TROLL²

SIGNALEMENT : un illusionniste emmerdeur sympathique devenu parano et insomniaque.
HABILITIES : Illusionniste
OFFICE : Indic, dessinateur.
SERENADE : stupeflip ▬ stupeflip vite

DIES IRÆ. (terminée) Tumblr_nrpvwwUOHl1rbculuo7_250
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Metalotroll
MISSIVES : 1329
ACTE DE PROPRIETE : Black Diamonds

I so much regret the regrets.
 
Magnus S. Rahkamo
ALIAS ; Le troll squatteur


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime29/2/2016, 11:25

Oh yeaaaah Shaïma ! nimuqueuse J'aime déjà beaucoup ce que je viens de lire. coucou Si tu as des questions sur le Clan du Chaos, n'hésite pas (ça ne se voit pas sous ces traits, mais je joue aussi Salâh ad-Dîn, si, si.) Bienvenue en tout cas et bonne chance pour la suite ! lala
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Miša Novak
 
PARASITE
DIES IRÆ. (terminée) 33avsko

LIFE SIZE GHOSTS
Cut your ties they have lived to die. Trace your hand round an untouched land ; Or watch fortune's skill ; As it becomes invisible

Now will you be invisible?

SIGNALEMENT : Marchand de peur
HABILITIES : Ami des fantômes
DIES IRÆ. (terminée) H2qSt2nU
DISTORTED LOVE
SOBRIQUET : Asleth
MISSIVES : 1346
ACTE DE PROPRIETE : (Ava) Odistole (code sign) Ziggy Stardust (img sign) Eden Memories (Lyrics) Muse & Mt. Wolf

 
Miša Novak
MishMish, le bricoleur-zombie qui rêve de récupérer l'esprit de Valérie Damidot


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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime29/2/2016, 18:40

Dès que je vois ce sujet, j'ai Mozart qui me gueule dans les oreilles arrow

Allez, viens mettre le chaos par ici dildo
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Aliénor de la Chesnaye
 
HELL COME HERE

SIGNALEMENT : Petite blonde en talons, avec une démarche assurée, une voix chantante et un accent indéfinissable.
HABILITIES : Occultation, niveau 3.
OFFICE : Fondatrice et CEO de AC-Info Inc ; consultante pour la BRIS.
Emily VanCamp
GOOD TO KNOW
SOBRIQUET : Lnou
MISSIVES : 259
ACTE DE PROPRIETE : Ava: Candy Apple / Signa: Lnou.

 
Aliénor de la Chesnaye
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime1/3/2016, 05:47

Bienvenue à toi ! :dédé:
Je me permets de lécher le sang au coin de tes lèvres, pour les lèvres et pour le sang. suce
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Anonymous
 
 
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime2/3/2016, 07:03

Mais oui, faut venir à nos Samedi soirs. yuhou
Bienvenue !
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Shaïma El Sabbah
 
DIES IRÆ

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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime2/3/2016, 14:12

Yago Mustaphaï a écrit:
Non mais Sieghart va mourir, justement j'essaie de renflouer les rangs de présence féminine, et toi tu sabotes tout. Big Eyes

Allez viens Shaïma. cry
On est bien. cute
Nan, ça me semble trop louche ton histoire de motel...
Mais je viendrais y faire une descente, un de ces jours, mais pas pour les mêmes raisons si tu insistes DIES IRÆ. (terminée) 864293309

Eoghan Underwood a écrit:
DIES IRÆ
Non mais déjà rien que ÇA, j'ai envie de dire.  :pape:

Une Jasmine, en plus DIES IRÆ. (terminée) 864293309
Bienvenue à toi et bon courage pour la suite de ton histoire, ça sent déjà bon le papyrus, cette fiche-là.
Te laisse pas entraîner par les conneries des andouilles du dessus et fais pas attention à Yago. Il est un peu bizarre mais il est sympa, au fond.
Oui j'ai bien compris qu'il était louche le petit, certainement un traumatisme durant l'enfance  hum
Merci en tout cas pour ton message meouebiensur récite bien tes psaumes, t'en auras peut-être besoin...

Magnus S. Rahkamo a écrit:
Oh yeaaaah Shaïma ! nimuqueuse J'aime déjà beaucoup ce que je viens de lire. coucou Si tu as des questions sur le Clan du Chaos, n'hésite pas (ça ne se voit pas sous ces traits, mais je joue aussi Salâh ad-Dîn, si, si.) Bienvenue en tout cas et bonne chance pour la suite ! lala
Hey ! Le fameux Salâh !  yuhou Hate de faire ta connaissance. Si un jour elle se fait.
Et puis, pas de soucis, je viendrais vous voir en cas de soucis, t'inquiète donc pas bllllll & merci pour ton petit mignon message beuh

Et puis, merci vous tous pour vos messages, c'est ça vraiment plaisir yuhou
loviou2

Zaki El Hanesh a écrit:
Bienvenue officiellement par ici Wink

Comme je te le disais tu as Shaï dans la peau :brill:

Tu l'incarnes divinement ^^. Hâte de découvrir la suite et que nous jouons les «retrouvailles» :)
:brill: je suis vraiment contente que ça te plaise et oui, les retrouvailles risque d'être un peu mouvementées, promis je ferais en sorte de ne pas trop t'abîmer avec ma jalousie possessive  beuh


Dernière édition par Shaïma El Sabbah le 3/3/2016, 06:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime2/3/2016, 15:01

Ho la grosse boulette !
Doublons complètement inutile, pas fais exprès m'sieurdame cute


Dernière édition par Shaïma El Sabbah le 4/3/2016, 18:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime3/3/2016, 01:00

Je valide cette fiche de mon humble point de vue de créateur du scénario Wink

J'ai adoré te lire, merci d'avoir pris Shaïcoco :brill:
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime4/3/2016, 18:08

/câline Zaki
Je saurais te rendre ce plaisir What a Face

Un petit mot aussi pour signaler que ma fiche est terminée yuhou
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Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas l'espoir. ○ Gabrielle Roy
 
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MessageSujet: Re: DIES IRÆ. (terminée)   DIES IRÆ. (terminée) Icon_minitime5/3/2016, 01:57

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Je suis là pour te guider

Tout d'abord, je te souhaites la bienvenue sur Drag me to Hell de la part de toute l'équipe administrative.
Ensuite, maintenant que ta fiche est achevée, je viens la modérer pour la validation.



○ Ta signature fait planter la page Shaïma, j'ai testé mon message sans rien dedans et ça bug pareil. golmut

○ [...] « sous le silence d’une mort brutale et douloureuse. » Promis, je vais être gentille ! carton
○ « Ses esclaves, qu’elle assujettit à des actes dégradants, [...] » faint
« Elle se répand dans ses membres, s’amusant à la rendre faible et amaigrit. » sad
« [...] aussi se fit-il un devoir de lui apprendre l’art de voler. » I believe I can flyyyyy ♫

○ C'est Shreveport, pas Sheverport awwwhuuh mais j'ai aussi mis du temps avant de l'écrire correctement mdr Sinon, bon jeu :dédé: .

J'ai le bonheur de t'annoncer
que tu es validé !
Toutes mes félicitations !




Maintenant que tu fais partie des Dragibus de Drag Me To Hell, tu peux :

♣️ Remplir ton profil ;
♣️ Demander à être parrainé si jamais tu te sens un peu perdu ;
♣️ Créer ta fiche relationnelle ;
♣️ Demander un RP ;
♣️ Visiter le coin des sujets multijoueurs pour pimenter ton jeu.

PS : tu pourras demander un logement et créer une entreprise, en cas de besoin, lorsque tu auras deux mois d'ancienneté et trois RP achevés.

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu sur Drag me to Hell.
Amuse-toi bien, et rappelle toi, que si tu as la moindre question nous serons toujours là pour y répondre.
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