Tristan Luka Arlovski âge. 22 ans en apparence mais il a réellement 395 ans date et lieu de naissance. 6 Janvier 1615 à Bucarest nationalité. roumaine nom du sire. Gabriel Jones date de l'étreinte. 10 janvier 1637 statut. Caïnite discipline. Augure état civil. célibataire lieu d'habitation. District métier. tueur à gages et nettoyeur étiquette qui vous est collé.Des plus discret à cause de son métier, même au District personne ne le connait vraiment. Il a toujours été considéré comme un grand mystérieux, la plupart des gens racontent même qu'il doit avoir bien des choses à cacher pour être si calme et fantomatique.

traits de caractère.
Tristan, Luka comme vous préférez, n’est pas quelqu’un de très abordable. Mystérieux et distant voire carrément froid, il ne cherche pas du tout le contact avec les autres. De toute façon, il n’accorde pas facilement sa confiance alors à quoi servirait-il de se rapprocher d’autre personne. En revanche, si vous parvenez à vous en faire un ami, il sera le plus loyal. Fier et tenace, il ne vous abandonnera jamais, comme il ne faillit jamais à ses devoirs. C’est d’ailleurs pour sa qu’il est apprécié dans ses métiers qui après tout, sont tout à fait identique. Il a un défaut, c’est sa brutalité et son inconstance. Il peut démarrer au quart de tour, devenir incontrôlable, plus ravageur qu’un ouragan, plus sauvage qu’une tempête en mer. Il est réaliste, il se connait, il appréhende les choses d’une façon toujours très analytique, jamais il ne se fait d’illusion. Certains pourraient dire qu’il est ennuyeux à mourir et qu’il n’est pas vraiment vivant puisqu’il ne poursuit aucun rêve. Ceux-là ont raison, un vampire ne rêve pas, pas plus qu’il ne vit. Pour Luka, c’est surtout endurer une immortalité écœurante, contre nature et respecter des lois qui font de l’homme une proie ignorante.
Le Roumain n’a aucune peur et un seul souhait. Mourir. Pour de bon. Malheureusement c'est contre ses croyances de quitter ce monde sans avoir fini de le découvrir.

occupation nocturne.
Luka n’est pas du tout du genre à s’amuser ou à draguer dans les bars pour se nourrir. Il travaille pour le compte de mafieux, de chefs d’entreprises, de chefs d’Etats. Il supprime les personnes gênantes pour eux, sans la moindre compassion. Tout le monde meurt un jour… Ce n’est pas pour ça qu’il n’est pas intelligent, il s’arrange toujours pour être employé pour de bonne raison et jusqu’à présent, le seul sang dont il se soit nourri est celui de petites frappes ou de criminels.
Son autre occupation est de parcourir les rues désertes, de s’imprégner de l’ambiance. Il aimait cette terre avant de renaitre, il l’aime toujours autant et il n’a pas perdu sa passion pour l’histoire, la géologie ou encore l’art.

manie, habitudes & goût.
Luka n'est pas quelqu'un de très passionnant, sa vie est remplie d'habitude. Évidemment si on oublie qu'il est tueur à gage parce que sinon, de ce côté là, il a une existence assez exaltante. Il n'est pas très difficile à satisfaire. Par exemple, chaque matin quand il rentre de sa chasse de fin de nuit, il ouvre son journal et y écrit ses pensées, ses découvertes, ses réflexions - une vraie petite adolescente^^-. Bref, niveau habitude, ce serait presque trop long... Il dort à heures fixes sauf si quelque chose retient son attention. tristan est insomniaque, bizard pour un vampire... et il boit du True Blood chaque midi quand il se réveille en sursaut. Il travaille un peu à ses recherches puis se rendort jusqu'au crépuscule.
Pour les manies, c'est plus difficile à dire. Quand il réfléchit, il se mordille la lèvre inférieure et quand il est perdu, il ébouriffe les cheveux pour gagner du temps. Sinon, il y a aussi cette façon qu'il à de croiser les bras sur la poitrine quand il parle avec les gens. C'est comme un rempart entre lui et l'autre et puis ça lui donne un air un peu menaçant et supérieur qui le rassure.

régime alimentaire.
On peut considerer Luka comme un omnivore. Tant que son repas à la couleur, le goût et l’odeur du sang, il se fiche bien de savoir s’il est humain, animal ou de substitution. Bien évidemment, il préfère le sang humain, celui des habitants du sud en particulier. Il est beaucoup plus épicé. Pour chasser, sa technique est simple… La mise à mort rapide dans un cul de sac sombre lui suffit. Il déteste jouer avec la nourriture.

conviction.
Lorsque Tristan a compris que la révélation changerait tout, que le monde secret auquel il appartenait allait être dévolllé et que rien ne serait plus jamais pareil, sa première réaction fut la peur. Une fois de plus, il devrait changer ses habitudes. Depuis plusieurs siècles, il vivait caché et évitait tout contact avec les humains autre que ses proies. Il n'imaginait pas comment il parviendrait à reprendre le cours d'une vie "normale". Bien entendu, son métier de nettoyeur et de tueur à gage lui demandait un minimum de discrétion. C'est ce que le vampire a rapidement compris. Pour lui, la révélation ne représentait rien ou presque. Il vivait toujours en proscrit, dissimulé derrière une fausse identité d'homme ordinaire. Si ce grand changement dans l'histoire des vampires lui a apporté quelque chose, c'est un nombre considérable de clients qui s'en remettent à l'expérience du roumain pour leurs petites affaires de meurtres. Peu à peu, Luka apprécie même de ne plus devoir mentir. C'est un buveur de sang ? Et alors ? Il y en a un tas d'autres bien moins utiles que lui aux humains...

signes particuliers.
Il a une longue cicatrice sur le côté gauche du corps. C'est le seul reste de son humanité, la marque pâle d'un coup d'épée reçu aux côtes pendant un entrainement à la forge Arlovski.

histoire.
Renaissance
" Tous les lieux se ressemblent, et chaque terre est bonne pour un enterrement " C. Marlowe

Jamais le froid n'avait été si intense. La douleur l'envahit. Tenace. Déchirante. Révoltante. Alors que tout son être devenait souffrance, il sentait son corps perdre son or rouge, le seul bien précieux qui était vraiment sien. Il ferma les paupières, ou plutôt ses paupières se fermèrent. Un dernier souffle franchit ses lèvres. Son cœur semblait prêt à exploser, acharné à inonder ses artères du peu de sang qui lui restait. Un goût âpre de fer se déposa dans sa bouche. Il tressaillit lorsqu'il comprit. Les légendes étaient donc vraie. La monstruosité qui arrachait sa vie n'était pas de ce monde ou du moins, il n'avait pas sa place dans le monde que Tristan connaissait. Même si le jeune homme n'avait jamais cru à toutes ces histoires, la Roumanie entière se mouvait au travers d'elles. La Transylvanie n'est qu'à un pas de ce pays profondément religieux et superstitieux. Alors que la vie s'évadait doucement, il se demanda à quoi ressemblerait l'enfer. Après tout, il serait mort de la main, pardon des crocs, d'un... Vampyre ? C'était tellement absurde de prononcer ce mot dans ses pensées. Et, dans ces conditions, il finirait sûrement dans l'antre de Satan... Un nouvel éclair déchira son échine, tellement puissamment qu'il perdit totalement conscience de ses membres et de tout ce qui était chaire en lui. Pourquoi continuait-il de penser alors ? Ne pouvait-il pas finir cette vie de mortel dans un doux sommeil ? Quand arriverait le moment précieux où il verrait les portes du Paradis se refermer à son approche ? Soudain une flamme s'agita en lui, comme une décharge fulgurante d'adrénaline. Pourquoi s'entêtait-il à résister au repos éternel ? La vie ne lui offrirait plus rien. La peur au ventre, le bel humain se laissa tomber dans le néant.

Retourner à la forge ? Il n'en était pas question. S'il avait pu pleurer, il aurait sans doute verser un torrent de larme, mais pas du tout pour la perte de sa famille. Ses deux sœurs n'étaient que des enfants, sa mère n'était qu'une ombre et son père... Son géniteur n'était qu'un forgeron et ne serait jamais plus que ça. Il ne serait jamais un exemple, un mentor ou même la source d'un peu d'amour ou de fierté envers son fils. Depuis son plus jeune âge, Tristan n'avait été qu'un homme de plus derrière le feu brûlant de l'atelier. Même quand, plein de fierté, il faisait démonstration de son art de l'escrime, son paternel ne lui accordait pas la moindre attention. Et, même s'il ne s'entrainait pas seulement pour gagner l'estime de son père, la passion était née de ce désir brûlant d'être un homme à ses yeux. S'il ressentait un peu de peine, ce serait sans doute pour ses armes forgées avec une tendresse qu'on réserve d'ordinaire aux femmes. A 22 ans tout juste, le beau roumain n'avait rien connu d'autre que cette passion de l'escrime. D'ailleurs, c'était ça qui l'avait perdu. Il ferma les yeux, revoyant la scène. Lorsqu'on lui avait présenté Mr Jones pour la première fois, il y a quelques jours, ça n'avait été qu'un autre client ... Toutefois, il avait apprécié les talents du quarantenaire lorsqu'il maniait la lame. D'après les assistants de son paternel, cet homme était en affaire avec la forge Arlovski depuis très longtemps. Le plus ancien d'entre eux se souvenait de cet homme aux mêmes traits durs comme si c'était hier. En réalité, ça aurait tout aussi bien pu être des siècles plus tôt... Il toisa son créateur -comme Gabriel s'appelait lui-même- et lui lança un regard pénétrant, lourd de reproche. Un souffle ne tarda pas à lui répondre, ébranlant son monde : " Tu avais bien trop de talent pour une seule vie, je t'offre l'infini, à toi de voir si tu sauras faire que cet infini dure éternellement" A l'époque, Tristan ne comprit pas cette allusion. S'il avait su que rien ne changerait, que les règles seraient encore plus strictes et l'avenir bien plus incertain. Pour l'heure, il mourrait de soif...

Existence
" Le temps n'a pas la même allure pour tout le monde " W. Shakespeare

Un son puissant lui ébranla les oreilles et le beau brun sauta sur ses pieds. Son regard alerte parcourut la chambre et il poussa un soupir. Rien à signaler. RAS. Il posa les yeux sur le cadre de lumière que formait la fenêtre. Un rideau épais la recouvrait et il prenait toujours soin d'éviter cet endroit en plein jour. Alors qu'il continuait à inspecter la pièce pour identifier le bruit qui l'avait tirer de son sommeil sans rêve, il croisa son regard dans le miroir. Ses lèvres étaient vermeilles. S'était-il nourrit cette nuit ? A moins qu'il n'ait encore été sujet à une de ces crises de folie ? Depuis que la guerre était finie, il lui arrivait souvent de perdre le souvenir d'une soirée. L'an 1919 serait aux portes des limbes cette nuit. Avec cette année, Tristan en finirait avec une époque de violence et d’incertitude. Caché dans la noirceur des tranchées et l’obscurité du ciel envahi de suie, le vampire avait servi un pays qui n’était même pas le sien en tant que Sergent. Même s'il était affaiblit par le jour levant, il s'était battu, en égal de tout autre homme et n'avait pas péri... Une chance à moins que ce ne soit un malheur... Il jeta un dernier regard autour de lui pour s’assurer que rien ne clochait même s’il connaissait déjà la réponse. La seule chose qui n’était pas « normale » ici-bas, c’était lui. Il avait encore un peu de mal à accepter qui il était. Depuis maintenant presqu’un siècle, il vivait seul, Gabriel n’était resté que pour lui apprendre le stricte nécessaire. Ils ne s’aimaient pas et perdre une personne qu'on ne peut décrypter, qu'on ne peut envisager autrement que comme un monstre procure une sorte de bien être. La plénitude que Tristan éprouva alors n'avait pas de nom, se réveiller sans Gabriel Jones fut une renaissance bien plus douce que sa mort humaine. D’ailleurs ça n’avait jamais été le cas, plutôt qu’un mentor, le maitre s’était révélé n’être qu’un simple professeur. La seule raison pour laquelle il avait choisi de transformé Tristan était qu’il maitrisait à la perfection les armes. Cette capacité le rendait exceptionnel mieux encore, il était doté du pouvoir d’Augure et le vieux vampire en était ravi. Malheureusement, la séparation était inévitable car son Infant ne lui pardonna jamais.

Nettoyeur ? Le beau roumain l’était devenu par la force des choses dans les années 2000. Il vieillissait, il savait se battre, avait l’étiquette de fin stratège et n’éprouvait apparemment aucune compassion pour sa propre race. La guerre l’avait endurci encore un peu plus et sa seule passion était les armes. Ces balles à UV l’avaient passionné dès le début et il en gardait une en secret. Elle lui était réservée. Tristan savait qu’un jour ou l’autre il ne pourrait plus du tout supporter sa condition. Les quelques amitiés qu’il liait ne changeait rien et il se sentait toujours aussi mal à l’aise en présence des autres. Sa solitude était sa compagne de route. Il se promit que lorsqu’il aurait fini son tour du monde, il retournerait en Roumanie pour mettre fin à ses jours. Il espérait qu’aucune loi ne lui interdirait alors.

Défaillance
" En disant deux fois pardon, tu ne pardonnes pas deux fois, mais tu rends le pardon plus solide " W. Shakespeare

Les choses finissent toujours par changer. Tristan se fit un véritable ami en la présence de Marcus Valentine. Les souvenirs vampiriques sont toujours bien plus aiguisés et celui-là est bien plus clair que tout autre. Volterra, la ville italienne où les choses changèrent abritait Tristan depuis quelques temps déjà. Il faisait des recherches sur les Etrusques dans leur cité première. Il rencontra le Maïtre de ces murs, Marcus, qui l’aida autant qu’il le put, passionné lui aussi de culture et d’histoire. Mais il rencontra également la nièce du vampire. Une humaine qui portait le doux nom d’Evan. Le coup de foudre n’existe pas pour les vampires cependant, ils peuvent ressentir de petites émotions qui les rendent un peu plus… vivant si on peut dire. La jeune femme s’offrit à lui, il gouta son sang et une sorte de dépendance s’installa. Il restait un obstacle pourtant. L’humanité de la belle brune était une souffrance pour le vampire qui savait que la mort n’épargnerait pas sa drogue. Il pensa bien à la transformé mais il connaissait Marcus et sa position quant à la transformation. Tout comme Arlovski, Valentine regrettait presque d’être un vampire et ne le souhaitait à personne.

Les choses finissent toujours par changer. Mais parfois, ça ne modifie en rien le cours de l’histoire ou même le cours d’une vie. Tristan abandonna Evan Valentine comme il avait quitté sa première vie. Sans un regret, sans un remord. Il abandonna son premier prénom pour Luka car pour avancer, il lui fallait perdre son identité. Les débuts furent difficiles mais on s’habitue à tout n’est-ce pas ? Devenu tueur à gages, il abandonna ses rêves historiques et il se contenta de passer de villes en villes, de pays en pays, du nord au sud en vendant ses services au plus offrant. Il se donnait encore dix années pour atteindre l’âge respectable de 400 ans. Mais le destin à de drôles de façon de jouer avec les pauvres âmes qui marchent sur cette terre. Shreveport était une destination comme les autres, ce qu’il ignorait, c’était que le monde changeait et que son passé allait ressurgir.

famille.
Les parents et les deux sœurs de Tristan sont morts il y a une éternité.
Son Sire, Gabriel Jones, a disparu et il n’a plus eu de nouvelles. De toute façon, il n’en cherche pas.
Luka n’a pas d’Infant, il déteste bien trop être vampire pour faire subir ce sort à quelqu’un d’autre même s’il a été tenté une fois. Mais Evan Valentine ne devait pas être vampire, ce n’était pas sa destinée.

test rp.
La brume se levait, insouciante. La brume n'avait que faire de ce qu'on pensait d'elle. Elle était là, sereine, à envahir tout ce que l'homme connaissait, à cacher, modifier la vérité des choses. La clarté du monde s'en trouvait déstabilisée. Les gens dans les rues se pressaient, effrayé par l'ambiance morbide et le silence ouaté qu'elle imposait à la ville. Dans l'ombre, des silhouettes que les hommes ne connaissaient que trop bien patientaient. Bientôt, la nuit serait totalement tombée sur Shreveport et la cité serait à eux. Eux, les créatures de la nuit. Tristan était appuyé contre le mur d'une ruelle. L'impasse était déserte mais il n'en avait que faire. Après tout, il était le prédateur, le danger. Qui oserait s'attaquer à un vampire aussi ancien ? Il ferma les paupières et se laissa envahir par les bruits de la ville. Son oreille percevait les sons avec clarté, contrairement à ceux des humains qui percevaient des bruits amortis par le brouillard épais qui montaient. Une voiture passa non loin, une femme pleurait en maudissant son amant du moment, un enfant fermait sa fenêtre à l'ordre de ses parents, un père quittait la maison sur une moto gros cylindre. La vie coulait inébranlable. Pourtant quelqu'un allait mourir cette nuit.

Il caressa du bout des doigts la crosse de l'arme qui reposait contre ses côtes. Il lui arrivait d'avoir la nostalgie des épées et des sabres, mais pas ce soir. Le fin calibre qu'il portait lui arracha un sourire et il croisa les bras sur la poitrine. Il avait tout son temps. Sa proie viendrait, elles venaient toujours. Un bruit sourd attira son attention et il se demanda ce qui pouvait bien se passer. Jetant un coup d'œil sur le bar en face, il vit un vampire en sortir, menacé par une bande de simples mortels. Il ricana et le vampire se dirigea droit sur lui. Dans un murmure, il le salua.

"Belle soirée ?"
"Ça dépend pour qui..."

Luka capta le regard de son interlocuteur. Le revolver. Il se contenta de hausser les épaules et de quitter la ruelle avec un signe de la tête.

Une dizaine de minute plus tard, il tua le directeur du bar d'une balle en pleine tempe. Trafic de drogue. Ce coup-là était pour un flic blasé qui ne parvenait pas à arrêter la vague d'overdose du quartier due à une poudre mal coupée. Sans un bruit, il sortit du bureau en silence comme si derrière la porte ne reposait aucun cadavre pâle. S'asseyant au comptoir, il commanda un verre de True Blood et son regard se posa sur une jeune femme qui l'observait. S'approchant d'elle, il la regarda sans en croire ses yeux. Une foule de souvenirs lui revinrent alors qu'il chuchotait :

"Evan ?"

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T. Luka Arlovski a écrit:

Josh :046/: :042/: Pardon je m'emballe ^^

bienvenue :046/: et bon courage pour la suite :55:

T. Luka Arlovski a écrit:

pluzunaucazou ^^