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 (Eirik) Hold my breath as I wish for death.

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MessageSujet: (Eirik) Hold my breath as I wish for death.   (Eirik) Hold my breath as I wish for death. Icon_minitime21/10/2013, 19:10

Eirik Zakaria Tägtgren
Feat Dawid Auguscik


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE Eirik est né le 4 Octobre il y’a de cela vingt-trois-ans. Il a poussé son premier cri au beau milieu de la capitale suédoise : Stockholm ; NATIONALITE Suédois de par son père et sa grand-mère maternelle mais également américain de par son grand-père maternel. Il parle couramment les deux langues mais un léger accent du nord perdure lorsqu’il s’entête à parler anglais.  ; CAMP A vrai dire, il ne fait partie d’aucun camp prédéterminé ; il a horreur d’être conditionné dans un groupe, de n’être réduit qu’à une coche dans une case. Il va où le vent le porte, plus par intérêts que par réelles convictions.  ; CLASSIFICATION Depuis peu, il compte parmi les agressifs. Jusqu’à présent, on l’aurait très certainement jugé potentiellement dangereux car apte à pratiquer la nécromancie, mais ses nombreux excès d’alcool et de colère ont fait de lui une personne plus agressive qu’auparavant et avec des idées bien plus sombres. Il suit la voie de son père, ce qui n’est pas forcément une bonne chose.  ; ETAT CIVIL célibataire, il n'a pas l'impression de manquer de quoi que ce soit, cependant, l'arrivée d'une jolie blonde un peu rebelle est entrain de bouleverser ses habitudes ; il n'aime pas ça ; LIEU D'HABITATION Le studio qu’il loue pour une misère le mois se trouve à Galloway Boulevard. Ce n’est pas très grand, ni forcément très propre, mais au moins, il peut profiter du calme et jouit d’une certaine indépendance qu’il ne quitterait pour rien au monde. Sa mère lui envoie mensuellement un peu d’argent pour survenir à ses besoins, mais pas assez pour qu’il se paie une chambre d’hôtel quatre étoiles au mois.  METIER En règle générale, Eirik s’improvise photographe et s’avère même être plutôt doué dans ce qui touche à ce domaine artistique. Il a une préférence pour les shootings de personnes humaines afin de jouer avec les ombres et la lumière pour rendre un cliché plus vivant qu’il ne l’est encore. Il a, à certaines occasions, également posé pour des revues de tatouages ou des affiches de tatoueurs : ses divers œuvres d’art parsemées sur son corps lui permettent de se faire remarquer assez rapidement dans le milieu.  CLASSE SOCIALE Il est passé par tous les stades. Jeune, il a été le parfait exemple du gamin riche rongé par le vice jusqu’à l’os. Cependant, suite à l’arrestation de son père, à la dépression de sa mère, il s’est retrouvé bien appauvri et a du apprendre à serrer la ceinture. Avec sa tante, il avait retrouvé une certaine stabilité jusqu’à ce que celle-ci ne s’amourache d’un bel orateur. Il s’est alors retrouvé seul et, en jeune célibataire, il vit le jour le jour en espérant avoir de quoi mettre du pain sur la table tous les matins.  Son métier restant assez régulier, certains mois il gagne un peu plus et flambe son argent en alcool et cigarettes. Une vie à la rock'n'roll bien comme il faut. ETIQUETTE En ville, tout le monde connaît Eirik, ne serait-ce que de vue. Avec son corps tatoué et ses airs de mauvais garçon, il ne passe pas inaperçu. Il est ce que les parents appellent « mauvaise fréquentation » : il fume considérablement, boit un peu trop, joue avec sa vie comme si celle-ci n’avait aucune valeur. Il est le garçon du fond de couloir un peu sombre qui fait des trucs louches contre quelques billets, il ne se prostitue pas, ne vend pas son corps : il offre sa magie à ceux qui paient, parce qu’il a tellement besoin de joindre les deux bouts.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères Aux premiers abords, Eirik fait peur.Il est l’un de ces gamins que l’on plaint dans la rue mais qu’on se refuse d’aider parce qu’on a peur qu’ils nous bouffent le bras. C’est tellement plus facile de fermer les yeux. Dans les bars du quartier, il est réputé pour ses nombreux excès de colère dus à l’alcool, parce que l’alcool ça le connaît, peut-être parce qu’il est Suédois, peut-être parce que pour le calmer quand il était gosse, sa mère lui donnait des verres de Vodka. Il s’endormait, offrait la paix à une génitrice dépassée. Il n’est pas violent pour autant, bien qu’il vaille mieux ne pas lui chercher des noises, il a beau venir du Nord, son sang est chaud…et il cogne fort.

Les autres le définiraient peut-être de misanthrope : il ne l’est pas. Son seul grand défaut à ce sujet reste sa sélectivité en ce qui concerne « ses amis ». Non, effectivement, il n’aime pas les gens, mais cela s’arrête à ceux qu’il ne connaît pas. Pas forcément solitaire, il est assez exclusif sur ses fréquentations et n’accepte que difficilement les nouveaux. Son air toujours blasé donne une fausse impression de tristesse, mais Eirik n’est pas triste, loin de là. Il estime juste qu’un sourire à un prix et donc, il ne sourit pas à n’importe qui. Pour l’émouvoir, il suffit de lui parler d’art. De vrai art. Il s’en émerveille sous toutes ses formes –du ballet classique à la musique la plus trash du monde- mais préfère de loin tout ce qui touche au dessin. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’il a encré sur sa peau, les plus beaux de ses chefs d’œuvres, pour les exposer à moindre coût. Afin de rester dans le domaine, il a décidé de s’acheter son premier appareil photo à treize ans et, encore aujourd’hui, il vole quelques clichés au temps qui passe. Il en a fait son métier. Eirik n’aime pas demander de l’aide aux autres, il a très vite pris un studio pour ne pas dépendre de qui que ce soit, pour être libre de faire ses propres choix. Trop jeune peut-être, il a du apprendre à être indépendant et, il s’en sort plutôt bien, finalement.

Concrètement, le suédois est un peu le rebelle des vieux quartiers, celui qui fume et qui boit, celui qui plonge dans une autodestruction lente sans même s’en rendre vraiment compte.

Occupation nocturne La nuit glace, efface, amasse, violente. Violente. Il revêt son masque d’horreur la nuit, promenant la bête qui sommeille en lui. Du haut de la fenêtre de son vieil appartement, un joint à la bouche, il regarde la faune en riant. Parce que la nuit change, la nuit écrase. Les gens se mangent, les gens trépassent. Et c’est la nuit que haut perché il sort de sa tanière et s’en va relever les morts dans les cimetières. Un sac à dos en guise de seul allié, il s’agenouille devant les arbres pour invoquer, les morts, les damnés. Ca le fait rire, il trouve ça drôle. C’est ridicule certes, mais autant en profiter. Souvent, il s’amuse avec les membres d’une même famille parce que les secrets non avoués ont été enterrés avec eux et qu’ils explosent une fois que ces êtres chimériques passent à nouveau le voile de la terre. La fine frontière qui les relie encore à un monde qui ne leur appartient pas, auquel ils n’appartiennent plus. Quand ce spectacle moribond l’ennuie, il fait demi-tour et va au studio pour développer ses clichés de la journée. La nuit lui offre un œil critique différent, un avis nuancé qu’il n’a que rarement la journée.

Quand il se fait tard et que chaque virage l’écoeure dans le bus pour rentrer au studio, il se perd dans les bars. Il boit plus que de raison et se met la tête en l’air pour oublier ce qu’il a fait plus tôt dans la soirée. Parce qu’Eirik n’est pas démuni de conscience et son don le répugne : il en profite parce qu’il n’a pas d’autre choix mais le vomit la nuit. La nature fait les choses comme elle l’entend et les morts devraient pouvoir sommeiller sereins, il trouble tout. Trouble fait moribond des nuits froides comme des chaudes. Il aime le pouvoir, pas les remords. Alors il se tue, lui aussi. Se dévore de l’intérieur pour le mal qu’il fait aux autres sans pouvoir l’admettre vraiment. Ce n’est pas son souci prioritaire ; il pense plutôt à comment payer le loyer. A subsister au mois parce que la vie d’artiste ne rapporte pas. Pas assez. Jamais assez.  Et le voilà qui boit encore un verre, de toute façon, demain, les souvenirs se seront envolés. Le néant. Le vide. Plus rien. Bois encore, c’est bien pour ce que tu as.

Manies, habitudes & goûtsIl a beau ne pas être une personne très équilibrée, ordonnée, il n’empêche qu’Eirik aime rythmer son quotidien par de petits rituels. Ainsi, tous les matins il s’assoit à la même table du café du coin et commande toujours le même café noir auquel il n’ajoute rien. Il le boit assez vite et ensuite, il passe au kiosque de l’autre côté de la rue et achète un paquet de cigarettes qu’il ne fumera pas car il préfère se les rouler lui même mais qu’il trouve ça cool d’en avoir toujours sur lui, alors, ils s’entassent dans le studio qu’il loue au deuxième étage de l’immeuble miteux qui fait l’angle avec le salon du tatoueur.

Il a la fâcheuse manie de toujours mastiquer les pailles quand il y’en a dans ses sodas et de manger ses frites avec les mains. Il en énerve plus d’un également lorsqu’en plein milieu du silence, il fait craquer sa nuque des deux côtés. Après l’amour, il fume toujours une cigarette car sinon il est de mauvaise humeur. Souvent, sa tante le réprimandait parce qu’il jurait trop, à son goût. Lorsqu’il photographie des gens, il a tendance à zoomer sur le sourire parce qu’il trouve qu’il n’y a rien de plus beau au monde que l’expression faciale d’un rictus.

Plus que tout, il aime le citron sous toutes ses formes mais sa préférence se porte sur les tartelettes dont il raffole. En général, la musique qui bouge le met de meilleure humeur que la calme, ce qui ne l’empêche pas d’avoir envie d’en écouter parfois. Il trouve les femmes belles mais préfère quand elles ont un petit air « garçon manqué » ou « femme enfant », il ne les aime pas superficielles. Il aime l’alcool, il aime fumer, il aime baiser. Sa vie se rythme aux petits plaisirs du quotidien.

Nécromancie & vaudou Le vaudou, il n’y a pas vraiment cru pendant longtemps. Dans les livres il y’avait certaines légendes, qu’il jugeait n’être que de vieilles épopées pour enfants un peu trop rêveurs. Quand sa mère a commencé à disjoncter ; elle l’a envoyé chez sa tante et c’est là qu’il a tout appris. Elle savait son gosse étrange, tout comme sa sœur et s’est juré que les deux feraient la paire pour ne pas avoir de remords un jour de s’être débarrassée du fruit de ses entrailles. La tante d’Eirik est ce que l’on peut qualifier de sorcière épanouie, touche à tout, elle connaît tous les plus sombres recoins de la résurrection et des filtres d’amours.  Elle lui a appris le béhaba du vaudou et il lui en sera à jamais reconnaissant. Il aime bien le vaudou parce qu’il trouve ça glauque, tout comme le fait d’avoir hérité de ce putain don de nécromancie. Cependant, il préfère relever les morts dans les cimetières plutôt que de pratiquer cet art occulte, ça lui coute trop d’énergie : voilà sa première excuse.

Les morts, il y’a un petit bout de temps qu’il les relève. Le premier fut un prêtre qu’il avait croisé à un culte et qui s’était donné la mort suite à une accusation pour viol. Eirik voulait savoir : il ne fut pas déçu. Les rumeurs sur les prêtres se certifièrent à ses yeux et il est aujourd’hui bien incapable de les voir comme des âmes pures et chastes entièrement livrées à une force supérieur, à un quelconque Dieu que lui ne connaît pas. Cependant, même s’il excelle dans l’art de relever les morts, il y prend de moins en moins gout car les yeux rivés sur lui la nuit l’effraie en quelque sorte. Toutes ses âmes qu’il a volé à l’au-delà le suive constamment et ça le rend nerveux car il affectionne tout particulièrement sa solitude.

Il lit beaucoup sur le vaudou au jour d’aujourd’hui, afin de savoir comment se débarrasser de ses âmes qui se refusent à le laisser tranquille. Il veut bien jouer avec les morts, avec la mort mais il refuse catégoriquement que ces êtres décharnés jouent avec ses nerfs, avec sa vie.

Convictions A coups de petits travaux aux noirs, il arrive à se faire un peu plus d’argent depuis la révélation, mais rien de plus. Il est persuadé que le monde n’était pas prêt à lever le voile sur ces funestes et sombres vérités mais il s’en fiche, il peut exercer son don aux yeux de tous sans pour autant passer pour un taré ou pour un charlatan. Toutes ces créatures, il les connaissait de par son don, à lui aussi, mais ne les avait jamais côtoyées auparavant. Les liens se sont resserrés et il essaie de garder le cap, de relativiser et de nuancer ses jugements mais parfois, il flanche lui aussi et il a peur. Car la révélation n’a pas été uniquement bénéfique, elle a rendu le monde extérieur dangereux, bien plus qu’il ne l’était auparavant. Certaines personnes tendent à vouloir éradiquer toute forme de paranormal, il sait qu’il ne l’épargneront pas si un jour ils ont l’occasion d’avoir sa peau et il espère juste que ce jour là, il sera prêt, qu’il aura les armes nécessaires à disposition. Il jouit d’une plus grande visibilité et ceux pour les bonnes comme pour les mauvaises choses. Parfois, il est montré du doigts quand les gens l’accusent pour sa magie noire et pourtant… il n’arrêterait pour rien au monde. Sa curiosité le pousse à toujours repousser les limites, aller plus loin de jour en jour et défier les lois de la nature. Oui, c’est ça : défier les lois de la nature. C’est ça qui le fait vibrer.

Signes particuliers S’il n’avait pas décidé il y’a longtemps de recouvrir son corps de marques indélébiles, on aurait très certainement pu relever le bleu de ses yeux comme un signe distinctif. Il est rare d’en voir de si clairs, et parfois, il se plait à se convaincre qu’il peut voir son âme à travers son regard. Il essaie aussi, avec les autres, mais n’obtient pas un très grand succès. Il a plus de facilité à mettre à nu l’âme des morts que celle des vivants.

Son corps est presque intégralement recouvert de tatouages de types divers de couleurs et de formes diverses et les gens le reconnaissent souvent de loin grâce à cette spécificité. Non pas que les tatoués soient rares, mais plutôt que la couleur des siens choque, souvent. Chacun de ses tatouages a une signification lourde pour le suédois qui les soigne avec minutie. Tous les ans, il retourne chez le tatoueur pour retoucher ceux qui ont perdu de leur éclat. Le 21 sur sa joue gauche, par exemple, c’est le nombre de jours que son père a passé avec lui, au cours de sa vie, dans ce fin laps de temps qui s’écoulait entre les différentes condamnations.

Ses oreilles sont ornées d’un écarteur chacune, des trous qui ne se referment plus, des néants infinis qui marquent à vie. Il en a quelques autres, autour des cartilages, mais s’est arrêté au bout de moment, ce qu’il ne fera jamais pour les tatouages.

Il s’habille souvent en noir, ou en kaki, il a beaucoup de peine à porter des habits colorés bien que les chaussures n’entrent pas dans le lot. Il a certaines paires de baskets à la mode de couleur mais ne sort généralement jamais sans ses Doc Martens qu’il affectionne tout particulièrement

Atypique sans chercher à l’être, il est difficile de ne pas reconnaître Eirik lorsque l’on passe à côté.

VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? je l'ai inventé, azy je suis trop une ouf c'est définitif giiih  ; PSEUDONYME Stauffy ou Brioche ; DERRIERE L'ECRAN Christelle. twentyyearsold. baccalauréat en Psychologie. CODE DU REGLEMENT écrire ici ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? Par le bacon magique arrivé en même temps que moi et dont j'arrive jamais à me séparer daddyperv  ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM écrire ici ; AVATAR UTILISE Dawid Auguscik


Dernière édition par Eirik Z. Tägtgren le 30/10/2013, 23:17, édité 18 fois
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