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 Sìobhan Hamilton

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MessageSujet: Sìobhan Hamilton   Sìobhan Hamilton Icon_minitime18/6/2013, 19:01


Sìobhan Hamilton
Feat Karen Gillan


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE Née le 13 Janvier 1993 à Saint Louis, MI ; NATIONALITE Américaine ; CAMP neutre ; CLASSIFICATION agressif, contrôlant difficilement ses capacités; ETAT CIVIL Célibataire LIEU D'HABITATION pour l'instant, une chambre d'hôtel dans le centre ville. METIER voir la liste. CLASSE SOCIALE pauvre à moyenne ETIQUETTE Elle vient tout juste d'arriver en ville. Elle a fuit Saint Louis.

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères
Comment décrire ce que peu voyaient pendant si longtemps ? Invisible, c'est ce qui la qualifia pendant toute sa scolarité. Ne pas faire de vagues, ne pas se faire remarquer, se fondre dans la masse.Ce n'est pas que Sìobhan soit asociale, loin de là, mais on lui a toujours dit de se cacher. Il ne faudrait pas que les voisins découvrent ce qui se cache chez les Hamilton. La façade lisse, nette de famille parfaite doit être préservée.
Ainsi, elle n'avait que peu d'amis, renfermée, timide. N'ayant jamais été de toute façon très bavarde, qu'est ce qu'elle aurait bien pu avoir à partager avec cette foule scintillante qui paradait chaque jour au lycée ?

Pour autant, elle est fière de ne pas être proie facile. Car bien qu’elle ait apprit à se dissimuler, ce n’est pas pour autant qu’elle se trouve dénué de tout caractère. Elle se trouve juste perdue, ne sachant parfois pas quoi faire face aux démonstrations inattendues de ses capacités de nécromancienne. Et comme son entourage, est encore plus terrifié qu’elle, on ne peut donc pas franchement dire que la confiance en soi l’étouffe.
Jeune adulte ayant du mal à trouvé sa place dans ce monde, bien que la Révélation, l’est, elle rassurer. Seule, elle ne l’était pas, et si son père cessait de se voiler la face, il pourrait peut être la comprendre ?
Elle commence enfin à se construire, car on ne peut pas vraiment dire que son enfance et son adolescence lui aient apporté autre chose que de la peur et de la méfiance. C’est curieuse et avec un regard quelque peu naïf qu’elle découvre le monde bien loin de son pavillon tranquille de Saint Louis. Elle se sent libre depuis qu’elle à décider de monter dans ce bus, libéré d’un poids qu’elle à trop longtemps porté. Mortelle, elle l’est, mais n’ayant put s’identifier à ses proches, elle se raccroche à ce qui fait d’elle quelqu’un de spécial, autre. Après l’avoir réprimé pendant tant d’années, ayant créé ainsi de nombreux incidents traumatisants pour sa famille, elle embrasse enfin sa nécromancie, car il s’avère que la petite souris est puissante, se laissant chevaucher par le pouvoir, ne contrôlant pas vraiment grand chose dans sa vie, pas plus que son pouvoir.

Occupation nocturne
Quand elle pense qu’elle à passé tellement de nuits à dormir, quel gâchis ! Laisser son inconscient prendre les rênes de sa nécromancie, quelle folie. Ce qui fait que durant la dernière année, elle éviter le plus souvent possible de dormir, la nuit... Heures à passer sur l’ordinateur, un café à la main, tentant désespérément de combattre le sommeil et sa nature. Elle à même finit par emprunter la console de son frère cadet, qui bien qu’il rechigna au début, finit par la lui laisser. C’était soit ça, soit retrouver les zombies de leur dernier chien couché devant la porte d’entrée. Elle pense bien d’ailleurs avoir tout tenté pour rester éveillée, épluchant tant et tant d’ouvrage sur la magie, pour trouver une réponse, terminer des jeux les uns après les autres, et puis boire, boire encore et toujours. Ne jamais rester sans une tasse fumante de café. Et puis il y a son commandement numéro un : ne jamais s’approcher de son lit, si tentant... Vous comprenez bien que pour une adolescente bien comme il faut, il fallait oublier les ballades nocturnes, et autres choses qui lui étaient déconseillés par ses parents, dont les films dont son père était si friant une fois que la mère de Sìobhan était au lit....

Mais maintenant qu’elle est majeure et partie de chez elle, elle compte bien trouver un emploi, et pas n’importe lequel : Réanimatrice.


Manies, habitudes & goûts
Je suppose que vous souhaitez savoir autre chose que son parfum de glace préféré, qui est tout sauf original par ailleurs, vu que c'est chocolat. Voilà, c'est dit, vous savez. Sachez juste qu'elle à les églises en horreur, depuis que ses parents, fervent protestants, la forçaient à s'y rendre tous les dimanches, histoire de sauver son âme, forcement damnée, pensez bien... Devenue légèrement accro au café, et adore regarder la pleine lune. Autre chose ? Depuis son arrivée en Louisiane, elle se douche deux fois par jours, ne supportant pas de transpirer autant.

Nécromancie & vaudou
Promenons nous dans les bois, pendant que le croque-mitaine n’y est pas....
Hum, pardon, je m’égare.
La nécromancie de Sisi s’est révélée de façon assez abrupte et soudaine, alors qu’elle n’était qu’une délicieuse enfant adorant les licorne roses et les paillettes. Alors que le petit coton de tulear de la famille (une chose blanche, duveteuse qui faisait des ouah ouah assez intempestifs.) venait de décéder (ne me demandez pas comment bande de gens....bizarres !), son charmant cadavre refroidissant dans une boite en carton dans le garage, enfin, c’est ce que tout le monde croyait, jusqu’à ce qu’à son réveil, notre délicieuse enfant le retrouve en train de gratter à la porté vitrée du salon. Elle venait tout juste de le relever la coquine...
Une chose en entrainant une autre, les parents en parlèrent aux grands parents. Effrois consternation du côté des géniteurs de Sìobhan. Malaise de l’autre côté de la table couverte de cookies aux chocolat sortant du four... Un deuxième cadavre sorti du placard : le père de Sìobhan, Adam, avait été adopté. Et lorsqu’il était enfant, il prétendait voir des personnes invisibles, des fantômes. Bien évidement, si vous lui posiez la question, il réfuterait tout ceci en bloc, ceci reste donc entre nous...
 
Mais la nécromancie de Sisi est comme un cheval fougueux, indompté. Elle se laisse tout simplement dominé par son pouvoir, se laissant prendre au dépourvu. Ce n’est que tout récemment qu’elle à décidé de s’entrainer et d’y faire appel plus souvent, ne souhaitant pas relever tout ce qui est mort non loin d’elle, allant du chat écrasé au petit bandit abattu deux rues plus loin, après avoir volé du V à la mauvaise personne. Car elle ne peut, pour le moment, que relever des morts récents, quelques jours a un ou deux mois. Sans ça, elle perd le contrôle de son zombie, et n'ayant pas envie de finir comme une pauvre victime de film d'horreur, et bien, elle fait attention la cocotte. De plus, relever un zombie la vide totalement, un voire deux par jour, et avec un grand stock de sucre rapide sur elle, tomber dans les pommes pendant une réanimation, cela ferait désordre non ?


Convictions

Joie, espoir, libération.
Dire que tout ce temps elle s’était cru seule, un monstre de foire, une erreur de la nature. Mais non, il y en avait d’autres comme elle, et tellement plus encore. Un monde jusqu’alors insoupçonné se révélait au monde, à elle. Elle voulait l’étreindre, sortir dehors, courir, rire, se rouler dans l’herbe fraiche de la rosée du soir. Passer pour une hystérique ? Elle s’en foutait royalement. Ayant sur les lèvres des mots magiques : vampires. Puis loup-garous, et enfin, réanimateurs.
Elle n’avait plus à se cacher ! (piètre illusion jeune fille ! tu crois vraiment que tes parents vont te laisser ressusciter les morts ? trainer dans les cimetières comme une groupie gothique ?!) elle n’avait plus ressentie une telle joie depuis le jour où elle avait vu le regard de ses parents, ou encore celui où ils lui avaient dit que le père noël n’existe pas (et là encore, espoir, ce pourrait-il que lui aussi existe ?! [excusez moi, mais la narratrice que je suis ne peut laisser dire des inepties pareilles ! Sisi !! reviens là que je t’inculque un peu de bon sens !!!])

Signes particuliers
 Une toute petite cicatrice au niveau de la lèvre inférieure faite par coco le coton de tulear. (le premier que critique le nom de ce chien finira enchainé pendant un mois pour mon bon plaisir... mouhaha....)
VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? inventé ; PSEUDONYME Pluplumes; DERRIERE L'ECRAN euh... 24 ans, grande fan de ce courant littéraire que l'on nomme bit-lit et d'anita blake, je reviens donc au rp...  CODE DU REGLEMENT et bien, il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des Ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. ; COMMENT NOUS AVEZ VOUS DECOUVERT? grâce au partenariat avec VS il me semble ; AVIS GENERAL SUR LE FORUM dans la branche d'anita blake et autre, je ne peut que kiffer... Razz; AVATAR UTILISE Karen Gillan


Dernière édition par Sìobhan Hamilton le 25/6/2013, 17:11, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Sìobhan Hamilton   Sìobhan Hamilton Icon_minitime18/6/2013, 19:01

Chronologie


Mai 1992 – Par une folle nuit d’amour devant la télé (plus glamour, tu meurs), la moitié du code génétique de Sìobhan rencontre l’autre. Ô joie de la conception. Les voisins de cette tranquille banlieue de Saint Louis, Missouri, ne les entendirent pas soupirer, crier et autre pour ceux qui se poseraient la question.

13 Janvier 1993, Saint Louis’ university hospital – Naissance d’une petite fille, prénommée Sìobhan, en honneur de ses ancêtres irlandais du cotés de sa mère. De fins cheveux roux ornant son petit crane, de petits yeux bleus clairs, ensommeillés, alors qu’elle cherche goulument le sein de sa mère.

15 Juin 1996, même lieu que précédemment – Naissance de son petit frère, William.

16 Octobre 1997, Chatport Road, près du Mississipi – Sìobhan aperçoit une vieille femme qui lui sourit. La petite fille le dit à sa mère qui lui lance alors un drôle de regard... Sa fille aurait-elle un ami imaginaire ?!

17 Février 1998, chambre de Sìobhan, Chatport road – La veille, Coco est mort. Larmes et pleurs, la petite fille s’est endormi d’épuisement d’avoir trop pleuré. Et pourtant, alors qu’elle dort encore à moitié, elle jurerait l’entendre gémir. Elle se lèvre donc doucement, et descend d’un pas mal assuré. Elle semble savoir exactement savoir où il est, comme si elle sentait sa présence dans un coin de son crâne, et cette sensation lui fait tordre ses petits doigts dans sa chemise de nuit bleue. Il est huit heure du matin, la pâle lumière d’un levé de soleil timide et froid éclair le parquet d’un brun chaud sur lequel elle pose ses pieds doucement, timidement, ayant peur de regarder derrière la porte vitrée, ayant l’impression de voir de temps à autre une petite patte pelucheuse s’élever pour venir gratter contre le bois de la fenêtre.

2 Mars 1998, même ville, même adresse – Ses parents sont partis chez ses grands parents alors qu’elle était à l’école. Ils lui ont fait promettre de ne pas parler de l’incident. Mais elle se souvient du regard du chien alors qu’elle lui a dit de retourner dormir...
Ils la regardent étrangement alors qu’elle rentre de l’école, son petit cartable rouge encore sur ses épaules, elle peut sentir le malaise de son père. Il a les yeux rougit, que s’est-il donc passé chez ses grands parents ?

8 Mars 1998, Saint Louis – A l’arrière de la Ford bleue de ses parents, elle regarde passer le paysage, ayant du mal à supporter les regards furtifs que lui lancent ses parents. Ils ont peur, elle le sait. D’elle ? Pour elle ? elle ne saurait le dire, et pourtant la voilà, assise dans la voiture, silencieuse. Elle ne peut pas leur parler de ces doigts, ou tentacules froids qui sortent d’elle, ils sont invisibles, et pourtant, elle les sent qui sont là, cherchant. Quoi ? elle ne saurait le dire, mais leur présence fraiche, voire froide la rassure en ce moment même.
Arrivée devant l’église, elle sort avec son frère et sa mère pendant que son père va garer la voiture, et elle sent encore ces tentacules qui s’étendent, cherchant, alors qu’elle grimpe les marches de l’église. Et alors qu’elle passe la porte, elle sent les doigts de sa mère se crisper sur son épaule. Avait-elle peur qu’elle soit foudroyée ? La prenait-elle pour un démon ? La petite fille lèvre ses grands yeux bleus verts vers sa mère, qui, un sourire contrit sur les lèvres, caresse doucement la chevelure tressée de sa fille.


2007, Révélation , Catport Road – C’est en revenant de cours, alors que ses parents étaient devant la télé, blêmes ou devrais-je dire livides qu’elle l’apprit : les vampires, ils étaient bien réels, en avait-elle déjà senti alors qu’ils reposaient inertes durant leur repos diurne ? Après tout, n’étaient ils pas des cadavres alors ? Tant de questions qui fusaient dans sa tête. Mais une émotion si pure qui l’envahissait alors que ses parents semblaient vivre un cauchemar : Elle était heureuse. Elle n’était pas une erreur de la nature. Mais en voyant son sourire, sa mère aux yeux agrandis par la peur lui ordonna de garder le silence quant à sa « particularité » comme elle le disait. Pas question de devenir le monstre de foire du quartier ! Alors adolescente, elle sentit en elle une vague de colère monter, pourquoi continuer de se cacher ? Mais une fois congédier dans sa chambre, son sourire revint sur ses délicieuses lèvres.

16 Mai 2014 - Inscrite à l'université de Saint Louis après sa graduation, elle travaille également dans un petit café, histoire de mettre de l'argent de coté. tout semble normal, et c'est bien cela qui l’étouffe. Dans les vestiaire, alors qu'elle enlève le t-shirt à l'effigie du bar, dévoilant sa peau si pâle, sa résolution est on ne peut plus ferme. Elle doit partir, elle ne se laisse pas le choix, ses parents prétendent que tout va bien, qu'elle est une humaine comme les autres, se voilant totalement la face, ayant même refusé qu'elle postule comme réanimatrice. Rangeant ses affaires dans son casier en métal d'un vert passé, elle chasse rapidement une vague de culpabilité. A quoi bon rester après tout, ses parents ne veulent pas comprendre ce que ses de renier ainsi sa nature, de devoir se cacher dans la noirceur de la nuit dans un parc pour pouvoir laisser libre cours a son don, et relever un chat errant écraser, un un oiseau mort. Et pourtant ça ne suffit pas, elle à en permanence l'impression d'être sur le point d'exploser, de se noyer dans son propre pouvoir. Le tenir en laisse n'est pas une solution, elle le sait, elle à lu quelques ouvrages qu'elle a acheté avec son salaire, ça et un billet aller simple pour la Louisiane.

2 Juin 2014, 6 heures du matin - Le soleil n'est pas encore levé, un vieux sac de voyage en cuir chiné un an plus tôt à saint Louis avec une amie, elle y entasse ses vêtements de manière automatique. Elle sait bien que la plupart de ses vêtements ne seront pas adaptés au climat de la Louisiane, surtout en été, mais elle en achètera d'autres sur place. Elle n'a pas grand chose à elle, et elle veut en amener le maximum. Stupide non ? S'attacher ainsi à son ancienne vie alors qu'on veut en débuter une nouvelle. La discussion qu'elle à eu avec ses parents au sujet de son départ la semaine dernière hante toujours son esprit, mais elle est majeure maintenant, et elle évite ainsi de les exposer en partant si loin, voilà la piètre excuse qu'elle avait trouvée pour mieux faire passer la pilule. William lui ne lui parle plus depuis, il est toujours chez un copain.
Elle ferme son sac d'un geste énergique, ses affaires de toilettes y sont depuis la veille, ainsi que ses bijoux.
Attrapant son lecteur mp3 et le sac bandoulière qui lui sert de sac à main, elle vérifie bien la présence de son billet avant de se rendre dans la chambre silencieuse et son petit frère. Déposant une enveloppe blanche sur son couvre-lit vert, elle ravale les larmes qui voudraient s'échapper. Ce n'est pas le moment de pleurer.
descendant doucement les escaliers, elle quitte la maison sans bruit, décidant de ne pas regarder en arrière. Réajustant la position de son sac sur son épaule frêle, elle sort dans la nuit chaude de ce mois de juin. Le ciel commence déjà à s'éclaircir à l'est alors qu'elle se rend vers son arrêt de bus qui la mènera à la gare routière.