Sujet: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 01:00
DILLON Ó SÚILLEABHÁIN
Feat arizona muse
PRELUDE
DATE & LIEU DE NAISSANCE Été austral 1899, Brí Chualann (bray) comté de Wicklow située au sud de Dublin sur la côte est d'Irlande ORIGINES Irlandaise CAMP Âme artificieuse auprès du Maître de la ville NOM DU SIRE Cinead Ó Súilleabháin DATE DE L'ETREINTE 1918, durant l’équinoxe de mars STATUT Ancillas DISCIPLINE Aliénation niv. 3 ETAT CIVIL Célibataire LIEU D'HABITATION La Côtelette METIER Dynaste des nettoyeurs. CLASSE SOCIALE Aisée, en pète d'aise mais s'en contre fou totalement ETIQUETTE Je m'en fous, de la dope, des seringues, du sida, des combats truqués, des kangourous massacrés, de l'infection, de la fièvre jaune, de la mouche tsé-tsé, des rejets, des vomissures, des extractions de balles, des éclats d'obus, de l'amputation en direct, des problèmes de couple, de l'orgasme, du divorce, de la chaise électrique, du revolver sur la tempe, des cinquante kilomètres à pied pour aller chercher de l'eau, de la télévision, je m'en fous. De ces connards, slip battant entre leurs jambes comme un drapeau en berne tant leurs zigounettes et leurs couilles de presque homme se font toutes petites. Détachée, arrachée, déchaînée, flegmatique, je m'exprime et me complet dans l'extase du crime. Ca ne se raconte pas. Ca se vit. Les larmes n'effacent pas le sang, le meurtre se fait douce caresse... voler une vie, ravir à Dieu un de ses enfants, supprimer les âmes comme on éteint une chandelle, faire couler le sang impur des infidèles. Assassin. Ce mot résonne comme un chant. Rien ne l'annonce, rien ne l'empêche, rien ne l'arrête. L'assassin a toujours raison dans sa démence. Mais dans un monde inconnu, terrifiant et vulnérable les tueurs sont peut-être victimes eux aussi ? Victimes d'une sensibilité hors du commun. Victime de leur folie sans limites, enivrés d'un air malsain, incapables de résister à la tentation du mal, effrayés par la vie...
INTRODUCTION AU GENRE
Traits de caractères
je ressens des choses que tu n'imagines même pas. ma vie est une overdose. un trop plein d'émotions. j'ai peur de toutes ces sensations. mon corps est une ecchymose.
D'une nature sans concession. Dévote à Dieu. Personnalité construite sur la notion d'absolu, d'extrême. Politiquement incorrecte. « Je suis morte. Une fois. » Insoumise. Aussi froide et tranchante qu'une lame de rasoir. Pécheresse. Les défis la stimule. Rentre sans peur dans les situations critiques. Stratège. « Je suis un couteau sans lame auquel manque le manche. » Cherche à obtenir satisfaction coûte que coûte. Polie. Se complet dans le tact esthétique. Rancunière. Évite les contacts étroits. Hyperactive. On ne supporte pas toujours son pressing émotionnel. Entre l'amour et la violence, choisit toujours le deuxième. Asexuée. Sait sans faute qui elle aime, qui elle aime pas, qui veut quoi, qui influence qui et pourquoi. Renier ces souvenirs d'enfance, un mantra qu'il ne faut pas lui briser. Véritable sauvage. 21.4Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. Insensibilité congénitale à la douleur. La carte postale, les montagnes, le ciel bleu, jusqu’à l´endos. Monochromatisme. Se rappelle parfaitement le bien et le mal et croit nécessaire de rendre la pareille. Lui est plus facile d'essuyer une défaite que de consentir au compromis. Impensablement cultivée. Ne connaît rien du chemin de la tentation, des jeux interdits et des dérives des plaisirs orgiaques. Rien de plus solide, de plus insensibilité, de plus égoïste, de plus coriace et, pour tout dire, de plus perfide que son corps sénile. Se caractérise souvent par l’âpreté des appréciations. Possède peut d'amis proches. Obtient toujours tout grâce à son propre travail. 20.27 Il n'entrera en elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l'abomination et au mensonge; il n'entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l'agneau. La soif, une tache noir sur un tableau blanc, insignifiant. Dangereusement mortelle. N'a conscience du mur qui se rapproche. Ne se donne la peine de se donne bonne conscience, n'en possède plus. Petite fille naïve. Les psaumes. Anesthésie : plaie sans douleurs. Neurasthénie : douleurs sans plaies.
Occupation nocturne
Je voudrais te tuer, t'étrangler, te voir souffrir le martyr, te voir agoniser pour enfin te voir, pour toujours, partir.
Chasseur. Létal. Vit la nuit, somnole le jour. Observatrice. Toujours. Pour rien, pour le plaisir. Suivre les moindres faits et gestes de lui, d'elle, de toi. Cinead. A le sens du details et des apprences. Passera des heureus sur un contract pour ne rien laisser filtré. Noir, toujours le noir. Des rituels. Des prières. Chuchoter. Murmurer. Avant le départ. Au retour, juste pour dire merci. 6.7. Et l’Éternel dit : J’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel car je me repens de les avoir faits. Connard. Des armes. Toujours. Tranchantes. Émoussées. Aiguisées, froides et mortelles. Pareil que ces émotions. Son frère d'arme ? Un poignard. Sans manche. Minuscule. Dans les plis de ces vêtements lisses et sans imperfections. A l'image de ces intentions. A la nuit tombée, au clair de lune, parmi la pénombre obsidienne d'une nuit sordide, elle déambule dans la ville, jolie petite somnambule, à l'instinct primaire d'une traque animal. A la demande. Aux caprices et aux grès d'envies particulières. Dans les forêts humides. Les marécages boueux. Dans les vieux bayous de la lousine. Sur la prosaïque du territoire des chamanes. Le long des ruelles insalubres. Vicieuse et sans émotions. Dynaste castratrice. Exige et elle se fait ombre parmi les ombres. Main du maître de la ville aux doigts crochu tel un odieux rapace. Obéissante, extension de ces intentions, exécute ces moindres désirs. Jeune et juvénile aussi lisse que le marbre. Chef des nettoyeurs. Pratique regluriement le 4000 mètres. Pour la forme. Pour la traque et le ménage. N'aime passer du temps avec les machines et la lessive. Consommatrice à outrance, jette et néglige ces vêtements purpurines de ces crimes. Se gave de conneries. D’inepties. De versets et de prières afin d'embrasser son svastika. Seule, hyperactive survoltée, recherche la compagnie. Entre quatre murs. Le silence, des pelles à n'en plus finir. Dans son cagibi, sous son lit. Pour des soirées châteaux de sable. Dans le parc. Creuser pour mieux y verser ces châtiments cruelles. Sans remord.
Manies, habitudes & goûts
Foie, viscères, muscle juteux de ta résistance comme le loup mesquin s'approchant du chaperon Je lape cette exquise sapidité ferreuse...
L'éphémère. Celui qui ne dure qu'un instant. L'humanité. Etranges créatures partagées entre le plaisir. La joie. Le désir. Brûlant. Une souffrance... l'inconnue, un profond oublie volontaire au devant de son regard d'oisillon tombé du nid. La lecture. Intensive et rechercher. Biblique. Historique. Fantastique. Les actualités aussi. Toujours à la même heure. Toujours la même gueule. Même présentatrice. Peroxydée. Blonde au regard anthracite, lèvres vermeilles s'étirant en un charabia aux mêmes connotations matins, midis et soirs. Vampires. Lycanthropes. Sorciers. Incantations démoniaques. Malédiction de Cham. Orgies et sacrifices. « Sentir le sang couler, mieux qu'un polar, qu'un roman de gare, le massacrer. Et si on jouais à que t'avais mouru ? » Disséquer du regard son entourage. Lui essentiellement. Etre parfaite pour ne pas lui déplaire. Vénère la pluie, déteste le soleil. La pleine lune et ces nuits d'orages. Violentes et électrisantes. Les chaussures. Passion dévorante et encombrante. Tout comme les armes. Juste les armes blanches. Sans bruits et sans éclaboussures. Petites ou grandes, elle tapissent, silencieuses, de leur reflet argenté, les murs immaculés de sa chambre. Son intérieur. Maniaque dans l'âme. Sortir pour le plaisir. Celui de voir, découvrir, rire, s'enfermer, danser, crier, pleurer. Incomprise. Le piano que baise une main frêle. Ici. Dans le soir rose et gris. Dans le boudoir longtemps parfumé d'elle. Des notes en vrac. Déchirées, négligées. Pelle mêle dans son bureau. Chiffons immondes oubliés dans un joli bordel aux notes qu'elle a autrefois couché. On l'oublie mais a su écrire, toutefois n'y arrive plus. S'y refuse et rejette violemment toute forme de son ancienne vie. Reste assise à sa fenêtre, bras ballants, jambes dans le vide. Possède un carnet. Discret au cuire sombre. Dans sa commode de chambre. Pareil à une petite bible. Gribouillée. De colère, des dates à la suite qui s'entrecroisent, se suivent et s'enchaînent. Juste pour lui rappeler. Lui rappeler le temps qui passe quand elle s'oublie. « Le sang attire le sang. »La frénésie.
Discipline
dans tes yeux émergent mes désirs vermillon...
ALIÉNATION n.m « la résurrection de tous les morts, précédera le jugement dernier. Ce sera l’heure où ceux qui gisent dans la tombe en sortiront pour la damnation. » Reine des émotions. Dynaste des âmes. Elle les dévore d'un appétit féroce. Telle une rose noire attrayant un volatile. Le regard profondément enfoui dans une carcasse désemplie, recueillant aux creux des mains le pistil épargné. Souffrances. Damnation. Telle la grande faucheuse, elle juge. L'épée de Damoclès flottant dans un instant éphémère sonnant le glas dans un tintement cristallin. Comme le loup mesquin s'approchant du chaperon, elle jauge de son regard mort. Pénètre et s'accroche à cette vague à l'âme. Impartiale, vicieuse, elle fait naître dans l'esprit les souffrances de toutes ces victimes passées, futures. Mais néophyte tapie dans l'ombre, elle attend le moment. Moment ou de ces griffes acérées elle passera le capte. Celui de l'infant. Celui de la chrysalide pour s'éveiller et se magnifier dans les tourments de l'âme. Franchir l'entrée interdire. Enfin. Pour le moment, rien de plus qu'une flamme vacillante. Elle consume et amplifie la démence. Muse suave de son aquarelle d'hémoglobine, somptueuse source inexploitable d'erbine. S'ensuit alors l'envie agitée qui l'emporte dans un fléau. « Sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon ». Toutefois, les limites s'imposent. Imposantes et insurmontables. Dévotion, macabre et sombre, tragiquement, cette partie d'échec se poursuivra sans rêne. Victime de son cannibalisme, plus rien ne la rend réellement épanouie. Insensible, silencieuse, dans toute sa dignité valeureuse, l'acide de son avidité à jugé ces bleus à l'âme. Souffrance planant sur son existence plus rien n'a d'importance. Le bien. Le mal. Ou se trouve la limite ? Ressentir une douleur. Une faim. Se pardonner. Plus rien. Juste le néant pour finir dans une décadence.
Convictions
comment raconter l'horreur avec lyrisme et finesse ? L'extase du crime ne se raconte pas, elle se vit...
Gravée dans l’éther, recroquevillée sur sa coquille, solitaire dans son monde. Rien n'aurait pu la réveiller à l'époque. A part peut-être un chamboulement au quotidien. « Il m'a beaucoup aimée. Il a bu de mes larmes. Il a dit qu'avec moi l'exil aurait des charmes, la prison du soleil, la vieillesse des fleurs. » Révélation. Promesse amer. Odeur envoûtante, alléchante, elle y a cru. Comme beaucoup. « Dieu guérit les malades, chasse les démons et ressuscite les morts. » Revenue dans le crépuscule, aberration, aujourd'hui une époque sombre se termine. A présent assise sur la chaise d'une nouvelle vie, yeux rivés sur l'horizon, c'était par une joie infinie qu'elle fêtait cette résurrection. Les gouttes de sang sur le sol. Sur la blouse de soie parfumée et tachée. Les lèvres rouges, légèrement écartées. Une lame, au sol, ensanglantée. Une impression de froid. Jamais puni. Comprise de part les siens. De part les autres. De part cette putain de révélation. Salope. La vie est une chienne. Se dévoiler c'est aussi accepter le contre coup de cette existence. Entre ciel et terre. C'est accepter. Accepter d'être décortiquer. Sous la lame d'un rasoir. Sur une planche froide. Animal qu'on saigne pour mieux se repaître. Autrefois prédateur craint. Aujourd'hui traquer pour mieux les vider. La révélation n'est qu'une mauvaise plaisanterie qui n'amuse guère l'infante. Ce tempérament entre Feu et Sang qui préfère le fond des coulisses au devant d'une scène faites d'intentions salaces.
Signes particuliers
les liaisons ennuyeuses ou tragiques sont des erreurs de peau, de squelette, de parfum, de voix.
Un bracelet. Une lanière de cuire. Tanné par les années, depuis son enfance, depuis plus cent ans. Il n'a jamais quitté son poignet droit. Un cadeau reçut lors de son premier anniversaire. Autrefois omis, aujourd'hui utopie fondée d'un bonheur espéré trop parfait et entièrement inexistant, elle caresse d'un touché éphémère une croix solidement encré. Laiton ternit par le temps, discrètement caché dans les plis de ces vêtements. Vestige d'un brouillon de vie rayé, unique merveille guérissant la dépression, si improbable dans un monde imparfait. Un squelette. Structure matérielle, charpente, principe en évolution, potentialité en mouvement. Encre de chine. Arabesques sombres sur le diaphane d'une peau monochromatique. Symbole du passage initiatique, de la continuité de la vie, de l'immortalité. Tracé indélébile, il habille sa peau, allant de sa nuque, il parcourt son dos, terminant sa course sur le creux de ses reins, ornant son corps d'un sensuel parchemin. Un délicat entrelacs qui accentue les désirs, accentuant la cambrure. Glissant, sinueux, il sublime ses courbes, flamboie. Entrelaçante parure, il fait parti intégrante d'elle.
VIDEODROME
PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Superbe prédéfinit PSEUDONYME Naïade/Cora DERRIERE L'ECRAN Que dire... je suis une chômeuse mais qui ne touche pas le chômage. Une future étudiante qui n'a jamais connu de vie estudiantine. Je suis une geek, accros au jeux vidéos, à son ordi préhistorique et aux séries abrutissantes qui passent l'après-midi. J'ai la vingtaine bien passée, une vie amoureuse qui ressemble à la traversée du dessert. Next. CODE DU RÈGLEMENT Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. Amen. COMMENT NOUS AVEZ VOUS DÉCOUVERT? Via un partenariat (le petit frère de DMTH je crois bien, je n'ai jamais pu finir ma fiche) AVIS GÉNÉRAL SUR LE FORUM Déjà les couleurs ; superbes ! Tout comme le design, assez atypique mais ça fait tout le charme du forum. Et puis le contexte est vraiment très original, j'adhère x) AVATAR UTILISE Arizona Muse
Dernière édition par Dillon Ó Súilleabháin le 3/7/2013, 15:59, édité 19 fois
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 01:00
LE SENS ENCHEVÊTRÉ, J'HASARDE UN LIGAMENT, S'ENSUIT L'ENVIE AGITÉE QUI M'EMPORTE DANS UN FLÉAU. Inerte, laissant venir cette violence étrangère. Vicieuse et sombre, elle flamboie. Embrasant ma raison, elle explose. Et dans le silence immobile d'une chapelle depuis trop longtemps oubliée, reniée de part ces adeptes, un regard céruléen s'éveille. Il se veut éteint. Morne et sombre. Je crois qu'il m'appartient. Pupilles dilatées, figées et sans vie, elles restent paralysées sur une voûte défoncée. Poutres apparentes, elles abritent quelques nichées. Troglodytes des fées revêtant leur jolie parure azurée, piaillent et s'agitent, exacerbant mes sens. Détachée de toute chose, mon corps reste inerte. Etendue dans l'éclat marmoréen d'une pleine lune dissimulée. Les membres lourds, mes pensées s'éparpillent, éclaboussant les murs immaculés de mon esprit. Brûlante et dévorante faim, son ombre assassine me tient. Et sans trop savoir d'où provient sa naissance, je la laisse planter sa graine en mon sein, inhalant toutes pensées cohérentes.
Lentement, la conscience vacille. Elle fout joyeusement le camp. S'envole et arrache avec elle les derniers lambeaux d'une raison déjà quasi inexistante. Déchirure béante, je roule sur moi même, glissant de l'autel froid pour mieux venir embrasser le sol poussiéreux. Mon regard accroche les aspérités des dalles avant de s'élever lentement. Il croise celui de la Vierge qui se veut immaculée. Désapprobateur. Lisse et inexpressif. Mains jointent en une prière silencieuse. Je me redresse, lui faisant face. Étrangement, ces traits sereins attisent une ardente colère. J'ai ce besoin impérieux de lui démolir le portrait. Arracher sa gueule d'ange pour ne plus jamais voir son minois triste et mélancolique. Mais maculée de sang, l'odeur me monte à la tête. Enivrante et si tentante. Dans la douleur vicieuse d'un corps aux muscles atrophiés, je me contrefous des mes jupons retroussées. De mes bas souillés. De mon corset défait aux armatures apparentes. De mon air échevelé et de mes cheveux ébouriffé, raidit par un trop plein d'erbine. Mon attention se porte essentiellement sur cette odeur. Le sang. Sec et vieux. Passé. Mais il éveille une part sombre de ma personne. L'autre moitié. Je ne la connais pas. Sa grimace tiraille mes lèvres en une moue boudeuse et colérique. Ces poings se sert douloureusement alors que la rage l'étouffe et l'emporte dans une euphorie incontrôlable. Elle me bouffe de l'intérieur et lentement, je m'efface. Je lui laisse la place. Trop violente. Trop acide. Corrosive, elle devient maître.
Au fond de ma poitrine monte alors un grognement animal. Violence gratuite, je ravage le chérubin qui me sourit. Le marbre s'éparpille à mes pieds et je les fixe. Pareil un à puzzle, j'essaie de recoller les morceaux. De taire cette horrible impression d'avoir oublié quelque chose d’existentielle. Ca me rend folle. Folle de ne pouvoir calmer ce feu ardent qui me dévore les entrailles. Folle de ne pouvoir comprendre. Tout ce sang. Comment. Je vacille. Je ne me souviens pas. Pourquoi ? Agacée, je laisse mes derniers fragments de lucidités s'embraser et disparaître dans le néant. S'entassent, s'amoncellent alors les débris de ma haine. La violence à la pelle d'un trop plein de sensation contradictoire, m'infecte et m'envenime. Et je l'entends. Oui putain. Cette salope de voix intérieure fétide qui me glace l'échine de sa parole morbide. Tout saccager pour mieux combler ce besoin dévorant de satiété. J'en ai tellement mal. Je voudrais en pleurer de frustration. Et sous le coup de la colère je sens gonfler un cri dont l'intensité m'exaspère.
Désir intarissable d'extermination, digne de la grande vendetta sans nom. Jamais la tempête ne pardonne, elle damne. Depuis toujours la peur et la violence hantent mon être d'une corruption démente. Aujourd'hui à son apogée, elle enfle, grogne et explose contre les parois de cette foutue église branlante. Ni pondérée, ni rationnelle, avec la brutalité de l'animal affolé, mordant pour s'arracher du piège qui provoquerait ma chute, je m'acharne. Renversant l'autel, la pierre se fend en deux, ouvrant un caveau d'offrandes désuets et oubliées. Les enjamber pour mieux attraper un banc dans un nuage de poussière me semble nécessaire. Mains purpurines d'une hémoglobine asséchée, crispées, elles s'encrent au billot afin de mieux lui faire traverser la salle. Et impassible, immobile, je le regarde s'écraser au coté d'une porte que l'on pousse sans ménagement. D'abord deux silhouettes indécises. Elles avancent et calment de part leurs entrées mes ardeurs dévorantes. Mon regard vacille. Blond cendré au regard semblable au mien. Contre lui, l'ébène chevelure d'un éphèbe. Son odeur. Gémissement de ravissement, ma mâchoire m'élance douloureusement tandis que mon corps se fige en une attente insupportable. Immobile, je les suis du regard. La désinvolture de l'un contre l'angoisse grandissante de l'autre. Sous les flammes vives de la colère, un encens dense vient saturer l'air. J'ai l'impression que mon pouls cogne et empoigne ma poitrine comme une humeur à l'essence sanguine. Mais il n'y a que le silence. Le silence et cette respiration sifflante. Laborieuse et excitante. J'amorce un pas. La porte se ferme. Lourdement. Elle nous replonge dans un lugubre obscurité. Mais j'y vois très clair maintenant.
Dans mon délire létal, une cacophonie au goût de fer emplie ma bouche. On le bouscule. Il trébuche. Presque à mes pieds. Juste devant moi. Une offrande. Un corps frémissant, chaud et palpitant que je parcours avec avidité. Il geint un peu plus bruyamment. Toute mon attention focalisé sur lui, son odeur m'affole. M'électrise. Et cette foutue épaule découverte de part un col arraché. Elle me fait brutalement perdre pied. Là. Maintenant. Tout de suite, j'ai des envies lugubres. Le dépecer pour mieux le lécher. Le mordre pour mieux le vider. Le briser pour mieux me repaître. L'entendre supplier. Mais dans un tambourinement fougueux, à bout d'haleine, poursuivant d'une œillade alléchante la lente symphonie dans sa poitrine, je ne souhaite qu'aspirer, dévorer la moindre parcelle de vie. Laisser voguer mes lèvres le longs des fourches de ces veines palpitantes. L'envie de me jeter sur lui est abrupt. Cinglant. Toutefois quelque chose m'en empêche. Prisonnière d'un regard. Incandescent. Le tien. Il m'embrase. Fascinée, de tes yeux émergent mes désirs vermillons. J'exulte. Et ce n'est que dans l'inégalité d'un regard pervenche que j'y entrevois un souvenir fugace. Prémices d'une vie que j'ai souhaité écourtée. Abrégée pour ne pas avoir à supporté l'impensable. Une vie faites de chaînes et d'entraves. Tu as crié n'est ce pas ? Hurlé. Comme si j'étais qu'une gamine qui avait fait une grosse bêtise. Et ton sourire délicat se dessine, les fins traits de ton visage se font légers. Cinead. Toutefois, plus les secondes filent et défilent, plus mon humeur se veut violente. L'idée de défoncer cette vieille battisse se trouvant reléguée au second plan alors que mon attention se porte sur ma libation abandonnée. A cette instant, il y a juste cette extase qui explose en moi. Ainsi quand mon poignard pétrit son corps, lui, exposant comme unique anticorps des pleurs vils éloquents à mon égard, je veux qu'il sache que j'en jouis de plaisir. Morsure qui révèle bien plus qu'une simple blessure. Pareil à un écho obscur. J'y découvre une renaissance vivifiée. Artificielle mais au combien délicieuse. Dieu a donc été clément dans mes supplices de gamine paumé. Et je laisse, ceindre et geindre, en d'extrêmes accords. Mon orgasme exalte et tend au record. J'incarne le dieu de ton cauchemar. Et tu crois que ta fin approche... mais mon plaisir lui, démarre.
MON SOUFFLE SE FAIT COURT, MA BOUCHE SE FAIT FRIVOLE, JE N'AI PRESQUE PLUS DE CONSCIENCE, MON ESPRIT PERD LE CONTRÔLE. Ombre parmi les ombres, je déambule. Insoumise et l'air heureuse de vivre. L'air vivifié me fait frémir d'anticipation. Plus loin, une silhouette se découpe. Encapuchonnée. Recroquevillé. Elle avance. Chancelante petite marionnette. L'humeur lugubre. La vision vacillante. J'ai des envies animales qui s'envolent et s'éparpillent au grès de mes pas. Aucune envie de me retrouver ici. Ni même d'arpenter les rues en quête d'un quelconque foutu dîner. Pourtant, on m'y a poussé. Obligation dérangeante, je n'ai aucune envie de chasser. Je n'ai qu'une seule envie, ce putain de besoin d'exploser. De me laisser aller à une colère dévorante. Destructrice, elle ravage et assassine toutes pensées correctes. Obscurcit mon jugement. Oublier un peu l'atmosphère rugueuse qui m'entoure, me laisser entreprendre d'un seul élan toutes les demi-mesures de ce corps à cœur plein d'étincelles électriques et lumineuses. Mes jambes entremêlées dans les siennes dans une union féline et joyeuse. Un sourire sardonique étire mes lèvres. Mes pas cessent et je m'arrête un instant. La cadence de mon charmant sac à viande ralentit également. Son regard me transperce. Il trébuche. La terre mouillée du parc des hauts quartiers ralentit dangereusement son avancé. N'aie crainte, je saurais être à la fois femme délicate et sauvageonne. Je ralentirais la cadence si tu ne me suis pas. N'aie pas peur, regarde dans mes yeux le désir que je ressens pour toi.
Toutefois. Indécise. Partagée entre l'envie de continuer à jouer et celle de lui sauter directement à la gorge pour mieux le saigner. J'ignore pourquoi on me pousse à chasser. A m'étancher régulièrement. Je ne ressens rien. Ni douleur. Ni faim. Juste un profond vide qui grandit et qui finit toujours par m'engouffrer totalement dans ce puits sans fond. Et alors que mes pensées s'éparpillent, je perds de vue l'essentielle. Mon visage s'incline et une poigne de fer entoure durement mon bras. On m'oblige a avancer. A continuer ce pour quoi je suis sortie ce soir. Pourquoi je me perds dans les rues étroites de Shereveport. Parmi les souillures humides de la nuit. Désagréable odeur de merdes et de cabots mouillés. Les odeurs terreuses de ma terre natale me manque. Et mon nez se plissent, emboîtant le pas. Peu conciliante au premier abord. Trop sauvage pour me laisser dicter mes faits et gestes. J'arrache mon bras et dépasse ce regard céruléen. Je suis le feu ardent qui y brûle. La part d'ombre dans ce cœur, le vide qui jamais ne se compense. Son rêve. Sa récompense. La noirceur dans sa couleur. Son amplificateur de douleur. Son soi intérieur, sa vie antérieure. Je suis le monstre qui sommeille en lui. L'enfer dans son paradis. Le sang et lui la chair. Nous deux, formons une chimère.
Fébrile et tendue, je ne l'explique que par une inactivité grandissante. Venir s'enterrer ici pour demeurer cloîtrer entre quatre murs. Attendre. Encore et toujours. Un signe. Une activité quelconque. Ne plus fixer un écran vide de toutes informations. Ronger son frein pour ne pas déborder. Se perdre dans les travaux. Les activités avilissantes. Des broutilles qui ont tendance à me montrer irritable. Je déteste cette nouvelle demeure. Trop vide à mon goût. Trop silencieuse. Entre lui et moi. Moi qui le suis. Lui qui me garde. Je veux pouvoir me perdre entres les cloisons d'un chez moi à mon image. Ici. Trop lisse et parfait. Désagréables souvenirs d'une vie révolue. Mais comme avant. J'attends. J'attends qu'on puisse relâcher la bride que je suis obligée de maintenir pour ne pas exploser. Imploser. Et irritation au paroxysme en ce jour, les choses commence enfin à bouger. Mais l'inactivité n'a pas que du bon. Négligée. Je me suis oubliée. Oubliée dans les sombres cotés de ma faim. Dans les sombres souvenirs d'une vie irlandaise. A ce jour, il ne reste rien d'elle. De cette petite fille soumise. Fragile. Juste une dévotion dérangeante pour certains, rassurante pour elle, envers le Tout Puissant. Je me permet enfin de voir le monde dans un grain de folie. Vivre à cent à l'heure. Du nord au sud. De l'est à l'ouest. Partir en exil sur une terre éphémère peuplés de chimères païennes. Parmi les plus puissants. Sous le berceau étoilé du commencent et de la fin. A la proue d'un navire de conifères fais d'amas de roches et d'écumes. Vivre et mourir sur la prosaïque du monde. Sur le sablon de l'océan. Dans le pourpre de l'automne indien. Dans l'anthracite de l'hivernal sans fin. Dans le céladon de l'océan. Dans le jais de l'écume. Dans le diaphane du soleil levant entre ciel et mer. Alors on me pousse. Force à sortir. Sortir de ma léthargie. De mes sombres humeurs pour retrouver un semblant de paix intérieure.
Extatique, j'hausse un sourcil. Regard interrogateur, je le bouscule pour mieux le dépasser. Accélérant le pas afin de rejoindre un gibier depuis trop longtemps délaissée, espérant y trouver une chasse qui aura quelque chose de grisant. J'espère y trouver un combattant dangereux. L'ombre mesquine de la grande faucheuse planer au dessus de lui. Sombre et envoûtante. Prête à le ravir pour me l’acquérir. Je joue à ce jeu dangereux. Je joue avec ma pseudo vie. Pour mieux oublier ce corps anesthésié. Et plus les risques sont grands, plus le plaisir est intense. Je ne peux m'arrêter. Même si la mort m'attend au tournant, je continuerais. Je veux la regarder en face. Pour lui échapper et la narguer. Pour mieux revenir vers elle et recommencer. Encore. Et je la vois. Dissimulée contre un arbre. Tremblant d'un sentiment qui m'est inconnu. La peur. Elle transpire par tout les pores de sa peau. Enivrante chaleur, de mes sens exaltés, elle attise la passion qui jaillit brutalement de mon corps, le transperçant d'un délicieux frisson. Silencieuse, je convoite sans mot ces lèvres argentées, consumant peu à peu ma chère volonté. Je ne puis supporter cette saine douleur qui ronge mon esprit. Impatiente c'est non sans un frémissement que j'accueille le coup. Ne l'ayant pas vue venir, j'accuse le coup. Enfoiré. Mais Poignard insensible qui de sa chaire argentée pourfend mon abdomen, c'est non sans une grimace que je l'entraîne dans une douce étreinte mortelle. La douleur... étrange caresse qui n'a de cesse de faire frémir mon être. Mais elle s'oublie. Oublier pour mieux la remplacer. Et marquée d'une charnelle agitation, de mes maudits doigts, je parcours sa nuque, agrippant, griffant cette chevelure dérangeante pour mieux sacrifier à mes dents cette chaire satinée afin de mieux l'obliger à me laisser le chevaucher. Le faire tomber pour mieux le domine pour que mon être se noient en folle déraison.
Et j'en profite. Je vais jouer moi aussi. De cette putain de lame qu'il m'a gentiment laisse. Elle glisse en une douloureuse caresse sur ça peau qui doucement s’effrite. J’accueille ce liquide qui coule de plus en plus vite. De mes lèvres purpurines. De ma langue satinée. Glissant en une lente caresse le long de son épiderme. C'est comme une drogue. Plus calme et plus sereine, lame à plaisir et non âme à plaisir, j'ai beau parfois donner l'alerte, il n'y a que lui qui y voit les sombres desseins qui se dessine à l'horizon. Malheureusement, rien ne peut empêcher cette hâte dès que l'envie me prend. J'aime la souffrance intense et même si l'on ne me comprend, j'aime ce quart d'heure réussi de ma vie. Exaltée dans la chaleur naissante du début de l'été, je me sens de nouveau enfin libérée. Libérée de chaînes astreignantes. Libre de pouvoir fouler cette terre promise. D'étendre la suprématie de Fredriksen. Libre de faire ce que je sais mieux faire. Le ménage. Mais savourons d'abord ces membres si soignés. Foie, viscères... douce résistance qui ne fait qu'attiser mon plaisir. Broyer ces poumons de mes mains salies. Une éhontée insistance à mes assauts répétés. Humain désarticulé. Désabusé. Jolie poupée brisée. Laisse donc ton cœur se faire dévorer part mes médisances. Juste une ultime fois, avec ma langue... te minauder.
Dernière édition par Dillon Ó Súilleabháin le 3/7/2013, 16:05, édité 6 fois
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 01:25
Bienvenue ! J'aime beaucoup ton avatar En te souhaitant bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 01:44
Bienvenue :)
Bonne chance pour la suite
+1 pour l'avat.
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 07:57
Bienvenue !! Si tu as des questions n'hésites surtout pas !! Bon courage pour la fifiche amuse toi bien :D
SECRET DE CONFESSION
SIGNALEMENT : le démon qui gouverne les ombres de cette ville. HABILITIES : Thaumaturgie - La main de destruction ; capacité à voir le monde des esprits, sentir la mort. OFFICE : Chef de la mafia Italienne avec sa soeur jumelle. SERENADE : I'm Shipping Up To Boston - Dropkick Murphys
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
SOBRIQUET : Eden Memories ; Flan coco ; Pâte à choux ; La drag-queen MISSIVES : 8449 ACTE DE PROPRIETE : Eden Memoires; tumblr
I’m gonna make him an offer he can’t refuse. LE PARRAIN
Lucian A. Corleone
BIG BAD BOSS Ϟ Je suis... La Drag-Queen.
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 10:02
Oh une Dillon! C'est cool ça! Excellent choix de pv.
Et puis, bienvenue parmi nous. N'hésite pas si tu as une question.
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 10:05
Bienvenue parmi nous Bon courage pour la suite de ta fiche ! ^^ Et +1 avec mes 2 voisins du dessus
HELL COME HERE
SIGNALEMENT : Poilue pleine de crocs. HABILITIES : Pouvoirs Lycans. Communication avec les morts. OFFICE : Proprio du Sunco Gazoline SERENADE : Marta - Saez
You saw my pain, washed out in the rain Broken glass, saw the blood run from my veins But you saw no fault no cracks in my heart And you knelt beside my hope torn apart But the ghosts that we knew will flicker from view And we'll live a long life So give me hope in the darkness that I will see the light Cause oh they gave me such a fright But I will hold as long as you like Just promise me we'll be alright
Rosario M. Galeano
ALIAS≠ Rossou la croqueuse de framboises
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 20/6/2013, 16:57
Bienvenue J'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire du perso !
et cette bann dans la fiche :13: hein que je peux la croquer Papy-Loup ? :67:
Invité
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 14:22
merci pour vos messages mes agneaux ! pour ma part, c'est un véritable coup de cœur ce pv. un peu complexe la gamine mais tellement riche que j'ai pas pu résister ♥ par contre, j'ignore qui est papy-loup mais...
Dernière édition par Dillon Ó Súilleabháin le 21/6/2013, 14:46, édité 1 fois
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 14:41
Elle veut juste dire que t'es mimi *embarque Rossou avant qu'elle ne fasse quoi que ce soit*
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 16:41
vu comme ça ! mais il faut mieux s'exprimer mon chou... croquer, mordre, manger, mastiquer, mâchouiller, ça revient à peut prêt au même pour ma part
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 19:45
Arrête encore un peu et elle allait dire ouiii
Et Papy-Loup c'est le roi des loups (Hansfried)
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 20:04
*lui file une fiole de sang de fey* tiens donne lui ça, tu auras plus de succès *la pousse vers la vampiresse*
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 20:08
Je proteste mon charme animal est largement suffisant
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 20:45
Dillon Ó Súilleabháin a écrit:
par contre, j'ignore qui est papy-loup mais...
Charming.
Rosario M. Galeano a écrit:
Et Papy-Loup c'est le roi des loups (Hansfried)
Oh, j'ai pris du gallon … Mais tu te trompes de crocs gamine. Viens chasser avec papy, tu mérites mieux que ça. ( j'ai vu une blonde galoper dans les bois, avec de jolies framboises … )
[Bienvenue Dillon. ^^]
Invité
Invité
Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 20:50
Ha putain j'avais pas remarqué ton pseudonyme Aless... Drag-Queen j'adore lol ! Jl'y vois dans un show, talons aiguilles, cuire et vinyle... Et t'inquiète Rosa' mon corps est peut être dévoué a Dieu mais ma bouche peut être dévouée a autre chose (a)
Thanks Papy !
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 21/6/2013, 20:54
Et voala elle craque
/suis quand même Papy-Loup Blonde et framboises, ça c'est de l'argument !
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Invité
Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 22/6/2013, 03:57
Vous sentez cette odeur ? Hmmm oui, ca sent le lien avec moi
DEAD LIKE ME
SIGNALEMENT : Batard dégénéré destructeur d'innocence. HABILITIES : Nécromancie, traditions gitanes, vagabonds sujet à la possession. OFFICE : Nécromant, il a une petite clientèle et ne désire pas plus. Arrondis ses fins de mois en jouant au faussaire d'artéfacte et de grimoires. Il vent également son sang sur le marché noir. SERENADE : ULVER - Darling didn't we kill you? | Hellraiser main theme
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Niklaus L. Bălan
FONDA Ϟ Pervers malsain psychotique.
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 22/6/2013, 11:53
Dillon, ma belle, tu sais utiliser les bons mots. (bon j'suis pas connecté sous le bon compte pour dire ça, c'est bizarre avec Roman)
Invité
Invité
Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 23/6/2013, 12:03
Mais ce sera vraiment avec plaisir Luciasims ! Hâte de pouvoir en discuter avec toi... si tu as déjà une idée... voir une envie tu connais le chemin
Ha mais Roman n'est pas mal non plus dans son genre, ça me va aussi en talons aiguilles et cuire Au faite j'aimerais une rallonge sur ma fiche si possible... je sais d'avance que je vais dépasser le délai et j'ai pas envie de bâcler le travail. Donc si c'est possible, merci Babe
Invité
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 23/6/2013, 12:18
Désolée de te décevoir, c'moi qui te donne ta rallonge belle plante ^^ :D
1 semaine ça t'ira?
Invité
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 24/6/2013, 14:51
Parfait ! Merci la belle :05:
SANDS OF TIME
SIGNALEMENT : #BornToBeAVictim HABILITIES : Chimérie III. OFFICE : Horloger & Première Dame du Chaos. SERENADE : Hagia Sophia - Irfan
« J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. »
Yago Mustaphaï
ALIAS ; Le juif pedofourbe en papillote. Tu veux des bonbons ?
Black Moon JE SUIS: CAPACITES: MEDISANCES:
Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 25/6/2013, 01:36
Ooow, voici un personnage fort prometteur... Je suis très friand du style, et j'ai hâte de découvrir les aventures de ta délicieuse diablesse.
Bon courage pour la rédaction de ta fiche :011:
Invité
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 25/6/2013, 23:54
Yago... comme dans le Roi Lion lol ? En tout cas, pour ma part, je suis baba de ton kit... et dire que je ne supporte pas la charmante gueule de Gaspard il y a quelques temps En tout cas, merci pour ton message
Je précise aussi que si ma fiche stagne sur le forum, elle avance sur Word, donc je n'abandonne pas son avancée, je suis juste un peu débordée avec cette semaine qui n'en finit pas...
SANDS OF TIME
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Sujet: Re: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] 26/6/2013, 00:19
Nope comme dans Aladdin o/ (C'est Zazu dans le Roi Lion. Oui, je connais mes classiques, MOI, Madame.)
Comment ne pas supporter la trogne de Gaspard ? (Laughlin, si tu passes par là, je t'entends râler d'ici ) Pour le kit, si tu t'es rincée l'oeil dessus (ouais ouais, fais pas semblant), il faut remercier Hans'. ^^'
Je passerai sûrement par ta fiche de liens après lecture de ton histoire, huhu. A tout bientôt.