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 DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE]

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MessageSujet: DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE]   DEVIL IN A NEW DRESS [TERMINEE] Icon_minitime20/6/2013, 01:00

DILLON Ó SÚILLEABHÁIN
Feat arizona muse


PRELUDE

DATE & LIEU DE NAISSANCE Été austral 1899, Brí Chualann (bray) comté de Wicklow située au sud de Dublin sur la côte est d'Irlande ORIGINES Irlandaise CAMP Âme artificieuse auprès du Maître de la ville NOM DU SIRE Cinead Ó Súilleabháin DATE DE L'ETREINTE 1918, durant l’équinoxe de mars STATUT Ancillas DISCIPLINE Aliénation niv. 3 ETAT CIVIL Célibataire LIEU D'HABITATION La Côtelette METIER Dynaste des nettoyeurs. CLASSE SOCIALE Aisée, en pète d'aise mais s'en contre fou totalement ETIQUETTE Je m'en fous, de la dope, des seringues, du sida, des combats truqués, des kangourous massacrés, de l'infection, de la fièvre jaune, de la mouche tsé-tsé, des rejets, des vomissures, des extractions de balles, des éclats d'obus, de l'amputation en direct, des problèmes de couple, de l'orgasme, du divorce, de la chaise électrique, du revolver sur la tempe, des cinquante kilomètres à pied pour aller chercher de l'eau, de la télévision, je m'en fous. De ces connards, slip battant entre leurs jambes comme un drapeau en berne tant leurs zigounettes et leurs couilles de presque homme se font toutes petites. Détachée, arrachée, déchaînée, flegmatique, je m'exprime et me complet dans l'extase du crime. Ca ne se raconte pas. Ca se vit. Les larmes n'effacent pas le sang, le meurtre se fait douce caresse... voler une vie, ravir à Dieu un de ses enfants, supprimer les âmes comme on éteint une chandelle, faire couler le sang impur des infidèles. Assassin. Ce mot résonne comme un chant. Rien ne l'annonce, rien ne l'empêche, rien ne l'arrête. L'assassin a toujours raison dans sa démence. Mais dans un monde inconnu, terrifiant et vulnérable les tueurs sont peut-être victimes eux aussi ? Victimes d'une sensibilité hors du commun. Victime de leur folie sans limites, enivrés d'un air malsain, incapables de résister à la tentation du mal, effrayés par la vie...

INTRODUCTION AU GENRE

Traits de caractères
je ressens des choses que tu n'imagines même pas. ma vie est une overdose. un trop plein d'émotions. j'ai peur de toutes ces sensations. mon corps est une ecchymose.
D'une nature sans concession. Dévote à Dieu. Personnalité construite sur la notion d'absolu, d'extrême. Politiquement incorrecte. « Je suis morte. Une fois. » Insoumise. Aussi froide et tranchante qu'une lame de rasoir. Pécheresse. Les défis la stimule. Rentre sans peur dans les situations critiques. Stratège. « Je suis un couteau sans lame auquel manque le manche. » Cherche à obtenir satisfaction coûte que coûte. Polie. Se complet dans le tact esthétique. Rancunière. Évite les contacts étroits. Hyperactive. On ne supporte pas toujours son pressing émotionnel. Entre l'amour et la violence, choisit toujours le deuxième. Asexuée. Sait sans faute qui elle aime, qui elle aime pas, qui veut quoi, qui influence qui et pourquoi. Renier ces souvenirs d'enfance, un mantra qu'il ne faut pas lui briser. Véritable sauvage. 21.4 Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. Insensibilité congénitale à la douleur. La carte postale, les montagnes, le ciel bleu, jusqu’à l´endos. Monochromatisme. Se rappelle parfaitement le bien et le mal et croit nécessaire de rendre la pareille. Lui est plus facile d'essuyer une défaite que de consentir au compromis. Impensablement cultivée. Ne connaît rien du chemin de la tentation, des jeux interdits et des dérives des plaisirs orgiaques. Rien de plus solide, de plus insensibilité, de plus égoïste, de plus coriace et, pour tout dire, de plus perfide que son corps sénile. Se caractérise souvent par l’âpreté des appréciations. Possède peut d'amis proches. Obtient toujours tout grâce à son propre travail. 20.27 Il n'entrera en elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l'abomination et au mensonge; il n'entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l'agneau. La soif, une tache noir sur un tableau blanc, insignifiant. Dangereusement mortelle. N'a conscience du mur qui se rapproche. Ne se donne la peine de se donne bonne conscience, n'en possède plus. Petite fille naïve. Les psaumes. Anesthésie : plaie sans douleurs. Neurasthénie : douleurs sans plaies.

Occupation nocturne
Je voudrais te tuer, t'étrangler, te voir souffrir le martyr, te voir agoniser pour enfin te voir, pour toujours, partir.
Chasseur. Létal. Vit la nuit, somnole le jour. Observatrice. Toujours. Pour rien, pour le plaisir. Suivre les moindres faits et gestes de lui, d'elle, de toi. Cinead. A le sens du details et des apprences. Passera des heureus sur un contract pour ne rien laisser filtré. Noir, toujours le noir. Des rituels. Des prières. Chuchoter. Murmurer. Avant le départ. Au retour, juste pour dire merci. 6.7. Et l’Éternel dit : J’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel car je me repens de les avoir faits. Connard. Des armes. Toujours. Tranchantes. Émoussées. Aiguisées, froides et mortelles. Pareil que ces émotions. Son frère d'arme ? Un poignard. Sans manche. Minuscule. Dans les plis de ces vêtements lisses et sans imperfections. A l'image de ces intentions. A la nuit tombée, au clair de lune, parmi la pénombre obsidienne d'une nuit sordide, elle déambule dans la ville, jolie petite somnambule, à l'instinct primaire d'une traque animal. A la demande. Aux caprices et aux grès d'envies particulières. Dans les forêts humides. Les marécages boueux. Dans les vieux bayous de la lousine. Sur la prosaïque du territoire des chamanes. Le long des ruelles insalubres. Vicieuse et sans émotions. Dynaste castratrice. Exige et elle se fait ombre parmi les ombres. Main du maître de la ville aux doigts crochu tel un odieux rapace. Obéissante, extension de ces intentions, exécute ces moindres désirs. Jeune et juvénile aussi lisse que le marbre. Chef des nettoyeurs. Pratique regluriement le 4000 mètres. Pour la forme. Pour la traque et le ménage. N'aime passer du temps avec les machines et la lessive. Consommatrice à outrance, jette et néglige ces vêtements purpurines de ces crimes. Se gave de conneries. D’inepties. De versets et de prières afin d'embrasser son svastika. Seule, hyperactive survoltée, recherche la compagnie. Entre quatre murs. Le silence, des pelles à n'en plus finir. Dans son cagibi, sous son lit. Pour des soirées châteaux de sable. Dans le parc. Creuser pour mieux y verser ces châtiments cruelles. Sans remord. 

Manies, habitudes & goûts
Foie, viscères, muscle juteux de ta résistance comme le loup mesquin s'approchant du chaperon Je lape cette exquise sapidité ferreuse...
L'éphémère. Celui qui ne dure qu'un instant. L'humanité. Etranges créatures partagées entre le plaisir. La joie. Le désir. Brûlant. Une souffrance... l'inconnue, un profond oublie volontaire au devant de son regard d'oisillon tombé du nid. La lecture. Intensive et rechercher. Biblique. Historique. Fantastique. Les actualités aussi. Toujours à la même heure. Toujours la même gueule. Même présentatrice. Peroxydée. Blonde au regard anthracite, lèvres vermeilles s'étirant en un charabia aux mêmes connotations matins, midis et soirs. Vampires. Lycanthropes. Sorciers. Incantations démoniaques. Malédiction de Cham. Orgies et sacrifices. « Sentir le sang couler, mieux qu'un polar, qu'un roman de gare, le massacrer. Et si on jouais à que t'avais mouru ? » Disséquer du regard son entourage. Lui essentiellement. Etre parfaite pour ne pas lui déplaire. Vénère la pluie, déteste le soleil. La pleine lune et ces nuits d'orages. Violentes et électrisantes. Les chaussures. Passion dévorante et encombrante. Tout comme les armes. Juste les armes blanches. Sans bruits et sans éclaboussures. Petites ou grandes, elle tapissent, silencieuses, de leur reflet argenté, les murs immaculés de sa chambre. Son intérieur. Maniaque dans l'âme. Sortir pour le plaisir. Celui de voir, découvrir, rire, s'enfermer, danser, crier, pleurer. Incomprise. Le piano que baise une main frêle. Ici. Dans le soir rose et gris. Dans le boudoir longtemps parfumé d'elle. Des notes en vrac. Déchirées, négligées. Pelle mêle dans son bureau. Chiffons immondes oubliés dans un joli bordel aux notes qu'elle a autrefois couché. On l'oublie mais a su écrire, toutefois n'y arrive plus. S'y refuse et rejette violemment toute forme de son ancienne vie. Reste assise à sa fenêtre, bras ballants, jambes dans le vide. Possède un carnet. Discret au cuire sombre. Dans sa commode de chambre. Pareil à une petite bible. Gribouillée. De colère, des dates à la suite qui s'entrecroisent, se suivent et s'enchaînent. Juste pour lui rappeler. Lui rappeler le temps qui passe quand elle s'oublie. « Le sang attire le sang. » La frénésie.

Discipline
dans tes yeux émergent mes désirs vermillon...
ALIÉNATION n.m « la résurrection de tous les morts, précédera le jugement dernier. Ce sera l’heure où ceux qui gisent dans la tombe en sortiront pour la damnation. » Reine des émotions. Dynaste des âmes. Elle les dévore d'un appétit féroce. Telle une rose noire attrayant un volatile. Le regard profondément enfoui dans une carcasse désemplie, recueillant aux creux des mains le pistil épargné. Souffrances. Damnation. Telle la grande faucheuse, elle juge. L'épée de Damoclès flottant dans un instant éphémère sonnant le glas dans un tintement cristallin. Comme le loup mesquin s'approchant du chaperon, elle jauge de son regard mort. Pénètre et s'accroche à cette vague à l'âme. Impartiale, vicieuse, elle fait naître dans l'esprit les souffrances de toutes ces victimes passées, futures. Mais néophyte tapie dans l'ombre, elle attend le moment. Moment ou de ces griffes acérées elle passera le capte. Celui de l'infant. Celui de la chrysalide pour s'éveiller et se magnifier dans les tourments de l'âme. Franchir l'entrée interdire. Enfin. Pour le moment, rien de plus qu'une flamme vacillante. Elle consume et amplifie la démence. Muse suave de son aquarelle d'hémoglobine, somptueuse source inexploitable d'erbine. S'ensuit alors l'envie agitée qui l'emporte dans un fléau. « Sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon ». Toutefois, les limites s'imposent. Imposantes et insurmontables. Dévotion, macabre et sombre, tragiquement, cette partie d'échec se poursuivra sans rêne. Victime de son cannibalisme, plus rien ne la rend réellement épanouie. Insensible, silencieuse, dans toute sa dignité valeureuse, l'acide de son avidité à jugé ces bleus à l'âme. Souffrance planant sur son existence plus rien n'a d'importance. Le bien. Le mal. Ou se trouve la limite ? Ressentir une douleur. Une faim. Se pardonner. Plus rien. Juste le néant pour finir dans une décadence.

Convictions
comment raconter l'horreur avec lyrisme et finesse ? L'extase du crime ne se raconte pas, elle se vit...
Gravée dans l’éther, recroquevillée sur sa coquille, solitaire dans son monde. Rien n'aurait pu la réveiller à l'époque. A part peut-être un chamboulement au quotidien. « Il m'a beaucoup aimée. Il a bu de mes larmes. Il a dit qu'avec moi l'exil aurait des charmes, la prison du soleil, la vieillesse des fleurs. » Révélation. Promesse amer. Odeur envoûtante, alléchante, elle y a cru. Comme beaucoup. « Dieu guérit les malades, chasse les démons et ressuscite les morts. » Revenue dans le crépuscule, aberration, aujourd'hui une époque sombre se termine. A présent assise sur la chaise d'une nouvelle vie, yeux rivés sur l'horizon, c'était par une joie infinie qu'elle fêtait cette résurrection. Les gouttes de sang sur le sol. Sur la blouse de soie parfumée et tachée. Les lèvres rouges, légèrement écartées. Une lame, au sol, ensanglantée. Une impression de froid. Jamais puni. Comprise de part les siens. De part les autres. De part cette putain de révélation. Salope. La vie est une chienne. Se dévoiler c'est aussi accepter le contre coup de cette existence. Entre ciel et terre. C'est accepter. Accepter d'être décortiquer. Sous la lame d'un rasoir. Sur une planche froide. Animal qu'on saigne pour mieux se repaître. Autrefois prédateur craint. Aujourd'hui traquer pour mieux les vider. La révélation n'est qu'une mauvaise plaisanterie qui n'amuse guère l'infante. Ce tempérament entre Feu et Sang qui préfère le fond des coulisses au devant d'une scène faites d'intentions salaces.

Signes particuliers  
les liaisons ennuyeuses ou tragiques sont des erreurs de peau, de squelette, de parfum, de voix.
Un bracelet. Une lanière de cuire. Tanné par les années, depuis son enfance, depuis plus cent ans. Il n'a jamais quitté son poignet droit. Un cadeau reçut lors de son premier anniversaire. Autrefois omis, aujourd'hui utopie fondée d'un bonheur espéré trop parfait et entièrement inexistant, elle caresse d'un touché éphémère une croix solidement encré. Laiton ternit par le temps, discrètement caché dans les plis de ces vêtements. Vestige d'un brouillon de vie rayé, unique merveille guérissant la dépression, si improbable dans un monde imparfait. Un squelette. Structure matérielle, charpente, principe en évolution, potentialité en mouvement. Encre de chine. Arabesques sombres sur le diaphane d'une peau monochromatique. Symbole du passage initiatique, de la continuité de la vie, de l'immortalité. Tracé indélébile, il habille sa peau, allant de sa nuque, il parcourt son dos, terminant sa course sur le creux de ses reins, ornant son corps d'un sensuel parchemin. Un délicat entrelacs qui accentue les désirs, accentuant la cambrure. Glissant, sinueux, il sublime ses courbes, flamboie. Entrelaçante parure, il fait  parti intégrante d'elle.
VIDEODROME

PERSONNAGE INVENTE, SCENARIO OU PV? Superbe prédéfinit ♥️ PSEUDONYME Naïade/Cora DERRIERE L'ECRAN Que dire... je suis une chômeuse mais qui ne touche pas le chômage. Une future étudiante qui n'a jamais connu de vie estudiantine. Je suis une geek, accros au jeux vidéos, à son ordi préhistorique et aux séries abrutissantes qui passent l'après-midi. J'ai la vingtaine bien passée, une vie amoureuse qui ressemble à la traversée du dessert. Next. duncanounetCODE DU RÈGLEMENT Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer. Amen. COMMENT NOUS AVEZ VOUS DÉCOUVERT? Via un partenariat (le petit frère de DMTH je crois bien, je n'ai jamais pu finir ma fiche) AVIS GÉNÉRAL SUR LE FORUM Déjà les couleurs ; superbes ! Tout comme le design, assez atypique mais ça fait tout le charme du forum. Et puis le contexte est vraiment très original, j'adhère x) AVATAR UTILISE Arizona Muse


Dernière édition par Dillon Ó Súilleabháin le 3/7/2013, 15:59, édité 19 fois
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