➽ date et lieu de naissance. 17 décembre 1536 à Newlyn, en Cornouiaille, en Angleterre. ➽ nationalité. Bien qu’il est obtenu la nationalité américaine, beaucoup le considère comme italien du fait de son prénom et de sa facilité à parler l’italien, mais Alessandro est pourtant d’origine anglaise. Véritable petit noble anglais, il a reçu une éducation très anglaise jusqu’à ses croyances. Cependant il s’est longtemps fait passé pour un français, car il manipule aussi bien l’anglais, que l’italien venant de sa mère, ou le français de son éducation, puisqu’à l’époque le français était la langue de toutes les cours d’Europe, et il était d’une petite noblesse même s’il n’a jamais vu la cour d’Angleterre de ses yeux. ➽ nom du sire. Magnus, il ne se souvient d’ailleurs qu’assez peu du vampire l’ayant transformé. Ce dernier s’est en effet suicidé en se jettant dans les flammes d’un feu juste après avoir transformé Alessandro. ➽ date de l'étreinte. 1561. ➽ statut. Renégat, marrant quand on sait qu’il a été le maître de la ville durant une courte période où il remplaçait alors son jumeau. ➽ discipline. Protéisme n4. ➽ camp. Il a toujours eu du mal avec l’autorité, souvent il a été à l’encontre des loi des vampires au cours de son existence, mais aujourd’hui, il ferait n’importe quoi pour faire chier l’autorité, quelque soit sa forme. Cependant, il ne souhaite pas aller trop à l’encontre de Lise, par égart pour sa sire qu’il a aimé fut un temps. ➽ état civil. Les mots fidélités, mariage, amour éternel n’ont jamais eu le moindre sens pour lui. Eternel célibataire la seule et unique fois où il s’est exposé à l’amour cela a bien faillit le tuer, littéralement. ➽ lieu d'habitation. le District. ➽ métier. Chômeur et fier de l’être, il a abandonné son cher Guilty Pleasure laissant ce lieu de débauche en héritage à sa chère infante. ➽ étiquette qui vous est collée. Farceur de service, égoïste aussi, clown sur patte, séducteur, tout cela était l’étiquette qu’on lui collait, fouteur de merde aussi mais ça rare étaient ceux à le lui dire en face. Eternel enfant, il a aujourd’hui changé, énormément changé mais bien peu acceptent cet état de fait, beaucoup pensent que ce n’est qu’une phase, qu’un état passagé qui est voué à changer.

Tenter de comprendre le vampire, c’est comme jeter une alumette dans un bidon d’essence. Curieux, c’est également ce dont il rêve ces derniers temps. Il joue continuellement avec cette alumette, fasciné par la flamme lui qui avait si peur du feu. Il lorgne du coin de l’œil le corps nu reposant sur le lit, charmeur cela n’a guère changé malgré tout ce qu’il a pu se passé, malgré son visage qui a profondément changé à ses yeux. Il ne se reconnaît plus. Ni dans le reflet du miroir, ni dans ses actes. Un souffle s’échappe des lèvres de la jeune femme allongée sur le lit. Un hoquet et un gargouillement, le sang fait des bulles sur la gorge profondément ouverte. Tueur, oui, il l’a toujours été au fond. Ce qui a changé c’est qu’il ne se cache plus, qu’il n’essaie plus de faire semblant, qu’il ne tente même plus de masquer son goût du sang. Criminels ? pourquoi se limiter. C’est vrai qu’il a toujours aimé mêler sexe et sang, qu’il a toujours aimé profité de l’instant le plus intime pour prendre la vie. Maintenant il ne se gêne plus, ne s’arrête plus au moment fatidique. Il saisit ce qu’il désire lorsqu’il le veut. La vie ne vaut rien si elle n’est pas vécue à fond. Cela a toujours été sa devise.

Le sexe est sans nul doute l’une des meilleures choses au monde avec la mort, du moins c’est devenu son activité favorite, ses deux activités favorites. Il baigne encore dans le sang de la dernière femme qu’il a tué. Elle git là, marquée de partout. Sadique, profondément pervers, décadent, et inéluctablement dominateur. Il a été pendant un temps, à jouer les soumis, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Il joue avec ses peurs d’autrefois, s’alliant à une sorcière, jouant avec le feu, et envoie ceux qui faisaient parti de son monde se faire foutre. Ils peuvent tous aller crever, voilà sa rengaine. Non seulement il n’en a plus rien à foutre d’eux, mais il aimerait les détruire, tous ! Surtout ceux qui l’ont trompé, et absusé. C’est un besoin quasiment constant de partagé sa souffrance avec le monde entier qui le pousse et l’anime. Il veut faire ressentir à chacun la douleur qui l’habite, et en les regardant souffrir il se demande s’il comprendra ainsi sa propre souffrance bien que, ça ne fonctionne pas forcément ainsi.

The show must go on. Cela aussi était sa devise, avant il avait besoin d’une scène pour se produire, avant il avait besoin qu’on le regarde encore et encore, aujourd’hui, il n’en a plus besoin. Il a laissé ses parts de ses affaires à Ariel, son infante préférée, la seule pour qui il a encore un regard en arrière, pour qui il peut redevenir ce chevalier en armure blanche, la dernière qui puisse compter sur lui, les autres, soient ils plongent avec lui, soit ils deviennent les cibles de sa colère. Plus de travail, plus d’exposition de corps nu sur une scène, plus de secouage de boisson alcoolisé, plus de dandinement sur une scène, le monde entier est une scène, et la vie un spectacle tellement ironique, ne trouvez-vous pas ?

Faire chier Lorenzo était son activité favorite, maintenant c’est amuser Edelweiss ✁ Trouver le point de rupture dans la douleur physique que peut supporter sa victime avant de s’évanouir. ✁ Jouer avec les alumettes, foutre le feu à quelque chose, et observer les flammes danser devant ses prunelles. ✁ Attendre le dernier moment avant de se coucher, il pousse le plus loin possible, jusqu’à ce que la brulure du soleil devienne impossible à supporter. Et lorsqu’on lui demande d’où vient son teint halé, il répond qu’il a fait bronzette. ✁ Chasser du loup-garou, c’est un sport compliqué, et il est très rouillé. L’idée n’est pas tant de tuer le lycan, aucun intérêt, mais de faire croire à l’animal qu’il va le tuer, un jeu sadique fort amusant. ✁ Lorsqu’il n’a plus soif, il laisse sa victime se vider de son sang sous ses yeux, il l’empêche même de tenter de panser ses plaies, c’est un jeu qu’il raffole. ✁ Il déteste entendre quelqu’un geindre ou pire encore lui faire la morale. ✁ Supportant encore moins qu’un de ses proches fasse comme s’il était malade, il peut rentrer dans un accès de colère, froid, méthodique et sadique, il cherchera davantage à faire mal cependant. ✁ N’ayant guère pu soigner ses accès de colère, il se montre toujours aussi destructeur. ✁ Ce n’est pas parce qu’il a abandonné son groupe, en tuant d’ailleurs les membres du groupe, qu’il a pour autant lâché la musique. Il continue de jouer de la guitare, c’est ce qui le détend d’ailleurs. ✁ Il aime pioncer dans les églises et faire peur aux enfants de cœur, son petit plaisir mesquin, qu’il réserve particulièrement à un certain pasteur, bien sûr, il fait en sorte d’avoir disparu avant que le dit pasteur ne l’ai vu. ✁ Plus encore que pourchasser les lycans, il adore faire peur et menacer les métamorphes sous la protection de Micah. ✁ Il a du mal à supporter les vampires russes, et ne peut s’empêcher de vouloir leur faire du mal, la seule exception étant un vieil ami de cavale.

Profondément mégalo, cela n’a guère changé. L’egoïste qu’il était demeure, toujours aimant être sous les projecteurs il ne cherche même pas à masquer les corps qu’il sème derrière lui comme le petit poucet. Jouer avec l’autorité l’amuse profondément au fond, et montrer que l’ancien maître est devenu un être décadant et monstueux l’enchante plus encore, rien que d’imaginer le conseil ruminer dans son coin l’excite, et lui donne envie de faire un vrai et beau massacre. D’ailleurs il ne se contente plus de Shrevport. Il peut faire six cent kilomètres pour commettre ce qu’il appelle un véritable massacre. Les frontières n’ont jamais été un problème pour lui, et il profite de ses ressources surnaturelles pour comettre ses plaisants petits voyages sanglants.

Sa discipline lui permet pas mal de choses mais la seule capacité qu’il trouve vraiment utile est de se transformer en corbeau et de s’envoler. Quelle meilleure manière de fuir ? Il a également la capacité de lire les pensées des humains, très utile pour chasser en toute tranquillité. Cette capacité ne fonctionne hélas que sur les humains, cependant le reste de ses pouvoirs accordés par sa discipline fonctionne en n’importe quelle occasion pourvue qu’il s’est suffisamment nourrit, ce qui n’est vraiment pas un problème.

Il est probablement l’un des rares vampires à approuver la révélation. Il a toujours été convaincu que les humains finiraient par découvrir le pot au rose et surtout trouvait les vampires bien trop convaincu de leur supériorité. Il détestait ces fichues règles l’obligeant à masquer sa nature. Exhubérant, il a toujours aimé s’afficher et dévoiler ce qu’il était. Depuis qu’il y a eu la révélation, il ne peut s’en plaindre. Au contraire, il trouve que les humains sont trop indulgents à oublier si vite ce qu’ont été les vampires et quelque part ce qu’ils demeurent. Mais il doit avouer que la vie lui semble bien plus amusante depuis la révélation. Se cacher dans la lumière est bien moins évident.

Ni tatouage, ni marque, ni cicatrice, sa nature de vampire l’en a empêché. Sa peau est toujours immaculée pourvue qu’il se nourrisse comme il le faut. Il lui arrive d’avoir un teint hâlé dû à un petit séjour sous le soleil un peu trop long le matin aux premières lueurs du jour. Cependant il est condamné à conservé la coupe de cheveux de l’époque où il était vivant, des cheveux longs qu’il doit couper très très régulièrement s’il veut avoir une coupe plus moderne, ce qu’il fait actuellement d’ailleurs. Chaque nuit, à chaque début de nuit, il se coupe les cheveux. A noter qu’il lui arrive souvent de porter des lunettes de soleil ou alors des lentilles, il n’aime pas le reflet surnaturel de ses prunelles devenues bien trop claires à ses yeux.

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DOMAINE FAMILIAL DES LLYWLYN, 1562.
« Qu’est-ce que tu as fait ? » demanda le vampire en n’arrivant pas à refermer ne serait-ce qu’un tout petit peu ses paupières, ce qui l’obligeait à garder stupidement ses yeux grands ouverts. L’effroi qui s’y lisait empêchait cependant toute moquerie. Il bondit sur son reflet dans le miroir, l’empoigna par le col, le secoua comme un prunier. « Qu’est-ce que tu as fait, espèce de monstre ?! » Il le secouait encore et encore mais Lorenzo ne réagissait pas. Il demeurait dans les bras de son frère, un sourire stupide collé aux lèvres a moins que ce ne soit une moue. Peu importe. Le poing de Alessandro finirait tôt ou tard par s’abattre sur la jolie gueule de son frère. Le sang froid et gluant macula de sitôt les vêtements et le visage du vampire qui écumait de rage. « MONSTRE ! » beugla-t-il à son reflet.
Monstre, un terme qui allait très vite définir l’existence du jeune vampire. Non seulement son frère en était un à ses yeux, en tuant toute leur famille humaine, et en ne montrant aucun signe d’humanité, mais il n’allait pas tardé à en devenir un lui-même, partagé entre sa haine pour son frère jumeau l’emplissant, le poussant à le torturé, lui enlever la femme qu’il aime par exemple, s’amusant à venir le tourmenter, le détruire à chaque fois qu’il tente de se reconstruire, un cercle infernale construit sur une haine basée sur du vent, du vide, et une nécessité impériale de le sentir, à l’intérieur. Deux pièces d’un seul et unique puzzle qui est voué à la destruction, à l’enfer, et aux tourments. La folie emporte l’un, une colère égoïste l’autre. Il se jette dans les bras d’une femme qui ne l’aimera jamais, en repousse une qui se morfond de lui, se jette sur n’importe quelle scène, proclame sa nature aux yeux de tous, acclame à deux bars la révélation, enfin dit-il tranquillement installé dans le lit de son jumeau exaspéré par l’attitude infantile de son double.


SHREVEPORT DECEMBRE 2012
Tout est allé de mal en pis, et à chaque fois qu’il regarde sa sale gueule dans le miroir il se dit qu’il a atteint le fond, mais il y a une chute nouvelle qui l’attend un peu plus loin. Il aimerait mentir, dire que tout va bien, faire comme Lorenzo, s’abreuver de dessin animé en ignorant l’ignoble vérité, mais il ne peut pas. Il essaie tant bien que mal de faire mine de quoi, il sait pas, mais il essaie. Pour Ariel, son infante, jeune vampire qui aurait dû connaître un autre destin, livrée à elle-même, avec pour seuls alliés deux jumeaux détraqués, pour Rebecca, sa marquée dont il s’éloigne à chaque instant en se disant que c’est pour son bien, pour tous ceux qui attendent quelque chose de lui, pour ceux-là, il fait semblant. Le passé si brillant semble s’estomper progressivement sous ses yeux, et à chaque effort qu’il fait pour ne pas couler, il s’enfonce à chaque mouvement, et sent l’eau gluante s’accumuler dans sa gorge, son goût rance demeurer sur son palais.
S’il regarde en arrière, il a l’impression que tout s’est construit jusqu’à ce point de non retour. Il y a d’abord eu son désir de s’installer ici, puis le retour de Camille, il est tombé amoureux d’un pasteur qu’il a charmé sans lui donner de raison valable de croire réellement en lui, il a laissé une jeune fille croire qu’il était fidèle, il lui a même laissé croire qu’il était un ange, il a couché avec un vampire russe, il l’a laissé entrouvrir la porte de son cœur, il a cru en sa vie d’aventure, pensant pouvoir tout avoir sans jamais n’avoir à en payer le prix, couchant à droite à gauche, aimant sans pour autant se livrer entièrement, mentant, volant, s’amusant, jusqu’à connaître la chute. L’instant de grâce puis l’enfer sur terre. Tout est allé crescendo. D’abord, son frère a commencé à piquer de plus en plus de crises de démence, et lui, inquiet a lâché brusquement le russe, ce con était tombé amoureux, jaloux, il s’est battu avec son double, malheureusement ses sentiments se sont tournés vers lui. Alessandro perdait un frère et un amant. Sa colère allait alors se déchaîner, la haine remplir son cœur comme au bon vieux temps, sauf qu’il avait des choses à perdre, des êtres qu’il aimait, auxquels il s’était attaché, et il les a tous perdus, progressivement. Ariel, morte qu’il a transformé en vampire, Candice qui s’est barré chez son père, Damian disparu, Camille repartie, Orphée brûlée vive revenue le hanter, tous jusqu’à la lie, jusqu’à un achèvement morbide d’une incroyable cruauté. Suzanne morte. Et soudainement, il n’avait plus envie de rien.
L’envie de gerber le prenait à tout instant, encore et encore. Il n’avait pas envie de leur dire ce qu’il pensait vraiment, alors il faisait semblant. Le même sourire, archi faux, et les mêmes mensonges, le même rire sonnant faux, la même sensation d’étouffer se répétant inlassablement.


MEXICO 2013
Assis au bord du lit dans une chambre miteuse rempli de l'odeur métallique caractéristique du sang humain, le vampire aborde un léger sourire sarcastique alors que l'ancien s'agite. D'abord il y eut Lorenzo qui le traîna ici, pour d'obscures raisons, une tempête s'approchant ou je ne sais quoi, un beau foutoir qu'il allait raté, dommage. Son jumeau avait été tellement chiant que Alessandro avait finit par le suivre, mais désabusé, sans même songer un seul instant à lui ou à l'insupportable nécromant qui les accompagnait. Il avait prit une chambre à un étage différent. Loin de son double. Il avait appelé une boîte locale et des filles étaient venues dans sa chambre. Dites filles qui était à présent étalées sur son lit, l'une d'elle se vidait de son sang progressivement alors que l'autre gisait inconsciente ou morte, peu importe. Et là dessus l'ancien avait débarqué avec son infant.
Le même ancien qui l'avait remis sur les rails des siècles auparavant s'avéra complètement inefficace ce coup-ci. Alessandro n'avait pas envie. Tout simplement. Une moue boudeuse légèrement provocatrice collée aux lèvres, ces dernières encore barbouillée de sang, il s'était amusé à les pousser à bout l'un puis l'autre. De dépressif au bord de la falaise, il était devenu autre chose. Monstrueux dirons certains, mais qu'est-ce qui est monstrueux et qu'est-ce qui est normal? Définissez le bien et le mal. Lui n'a plus envie de faire cette distinction, plus envie de faire des efforts, collé à un idéal? très peu pour lui. Il s'est assagit pour les beaux yeux de tous ces crétins abusés par des émissions à la MTV, une génération de junkie aux écrans, à la haute technologie plus aveugle encore que les générations passées. Lui-même s'était laissé aveuglé. Il avait à présent les yeux grands ouverts, et bon sang, qu'est-ce qu'il avait les crocs!


SHREVEPORT, QUELQUE PART DANS LE BAYOU, FEVRIER 2014
Il ne demeurait que des ruines, des cendres s'éparpillant au vent, et un goût amer dans sa bouche. Le manoir où il y avait eu tant de rire, tant de cri, où il avait redécouvert son frère, où il avait fait violemment l'amour à Camille, l'endroit où Candice avait découvert le monstre en lui, là où avait aménagé Ariel, le lieu où une famille s'est créer fut un temps, assez court, finalement, tout était parti en flamme. Les fantômes traumatisants finiraient pas aller errer ailleurs. Il n'avait pas besoin de voir Nimue entrer en crise de panique pour le comprendre. Les flammes avaient dévorer tout ce qu'il restait. Une poutre s'était effondrée sous ses yeux. Un nuage de poussière s'éleva alors que la fumée se dispersait au vent.
Longtemps, le passé l'avait hanté, rongé de l'intérieur, mais il était parvenu à un équilibre. Assez audacieux en somme. Chassant les fantômes, sans pour autant les oublier, il s'était redéfinit t surtout avait redéfinit sa vision du monde. Ne se souciant plus des autres, il s'était enlevé un poids considérable des épaules. Sa fureur allait enfin pouvoir se déchaîner. Ses lèvres se soulevèrent alors qu'il serrait entre ses mains une boîte d'allumette. Il avait senti ce parfum envoûtant qui lui rappelait une Venise délicieuse et pleine d'ombre, de masque, de jeux de séduction, un parfum qui subsistait au delà du voile qu'il avait posé sur son passé, un parfum qui laissait envisager de nouveaux jeux, de nouveaux terrains. Elle était ici, il en était pratiquement certain, son odorat l'avait rarement trompé.