? date et lieu de naissance.« Je suis né le 15 Septembre 1994 à Londres »? nationalité.« J'ai la nationalité Anglaise »? nom de votre vampire.« Celui que j'aime, Alessio A. Di Stefano »?date de la marque. « Il y dix mois environ »? état civil. « Je suis célibataire, mais cela techniquement... J'aime quelqu'un. Je suis aussi l'amant privilégié de cette personne. »? lieu d'habitation.« Je vis chez Alessio, dans le quartier District »? métier.« J'aide en tant que barman mais je suis avant tout danseur et stripteaseur. » ? étiquette qui vous est collé. « Je suis assez simple d'esprit. Je suis loyal et fidèle à Alessio, plus rien ne compte vraiment plus que lui. Je pourrais mourrir pour lui. J'ai du self contrôle à en revendre, je reste zen dans toutes les situations. Je ne me pose pas trente-six-mille question. Je fais ce que j'ai à faire. En dehors du boulot, je ne souris pas beaucoup, je fume et je reste seule quand je ne suis pas collé au basquette d'Alessio »

« Comment pourrais-je me décrire ? Je suis un homme simple, qui ne se prend ni la tête à comprendre quelque chose qui le dépasse et qui ne cherche aucune embrouille. Je suis ce genre de type. Voilà tout. Et même si je suis de nature solitaire, je reste tout de même ce mec, loyal et fidèle à cet homme, devenu cet beauté in conditionnable. L'amour rend aveugle ? L'amour dévoile des choses que personnes ne saurait révéler. L'amour rend fou, change les gens. Pas moi. Je suis toujours cet homme, lunatique et pourtant remplis de sympathie, de professionnalisme. C'est vrai, j'ai tendance à sniffer, à m'envoyer des rails, mais que voulez-vous, comment être à la hauteur de cette créature nocturne, qui, étant presque à la même démesure d'un dieu, ne peut être égaler ? Et puis, j'ai bien droit de me sentir fort durant un instant, non ? Je suis donc parfois un peu froid. Je picole un peu, mais j'essaye de le faire autre que sous les yeux d'Alessio, durant mes périodes où je veux être seule, loin de tout, loin de toute cette vie surnaturelle. Je ne reste pas longtemps seul. Tout au plus trois a quatre heures... Avant de me faire engueuler par télépathie par mon tendre compagnon de nuit et de jour. Pourtant, celle solitude est essentiel pour moi. A force de côtoyer l'éternité, j'en veut à celle-ci... Cela me perdra. Et sur ce doux son de gratte, je me laisse aller, en contemplant la nuit étoilé... »
« Hum... Il y a de la liste. J'aime me muscler. En gros je prend soin de moi et il faut, pour le boulot. Obligé quoi. Et puis faut savoir entretenir pour le dieu de la maison. J'aime avoir du choix. C'est comme ça. Entre écrire ou dessiner il n'y a qu'un pas. J'aime bien jouer avec Photoshop, le webdesign sa me réussit. Par ailleurs, je combine cela, avec le fait que je tien un site/blog. Je me raconte pas, mais je donne des anecdotes en essayant de jouer avec les mots... Je suis danseur et à vrai dire, j'ai suivis quelque cours... Fin sa. Longue histoire. J'aime jouait de la guitare, je joue souvent quand je suis seul, je me mets dans un coin, et je crée ma mélodie. Souvent pour évacuer le stress. Mais ça, a vrai dire j'ai autre chose pour me défouler, cela requiert un peu de précision de finesse et de concentration. Je tire une flèche à plus de cent soixante kilomètre heure avec un arc à poulie. De quoi bien me changer les idées ! J'ai aussi la boxe, seule, contre un sac, mais ça c'est réservé au jour je suis totalement énervé. Mais revenons à la musique, je fais pas mal de remix de chanson, classique et autre. Et puis, dernière petite chose. Je suis un marqué, d'un homme qui adore la domination, comment ne voulez-vous pas que j'aime le SEXE ? WHAT THE FUCK quoi ! C'est impossible de ne pas aimer avec un type pareil, surtout aussi bien foutu... Mouahahaha... //SBAFF// »
« Avant tout ! J'aime les mikados ! Pourquoi ? Je ne sais pas ! xD Entre le fait que je griffe toute personne qui me semble proche, j'apprécie particulièrement les morsures d'Alessio à toute heures de la journée. Le soir quand je danse, le matin dans le grand lit aux draps noirs. J'aime l'extrême, j'aime être soumis, que voulez-vous, de toute façon ça ne sera pas l'inverse avec lui... Un point c'est tout. On dit que je dessine pas mal, ouais, ouais, je vais pas me la jouer non plus... Pas rare que je câline tout le monde, mais surtout celui que j'aime. Je fume, je me drogue, j'aime sa, c'est bon, ne faisons pas une polémique. Y'a pas que moi. Et puis après tout, ce que je n’aime pas dessus tout, c'est Alessio. Pourtant, et je suis navré, il y a des choses que je hais, que je ne supporte pas... Me lever tôt. Ouais, jsais, truc d'humain. J'aime les grass' mat. Surtout dans ces bras. Je n'aime pas ne rien foutre de ma journée ou être isolé sans aucun moyen de communiquer. La claustrophobie. Dangeeeer ! A part sa, je ne peux pas dire, ne pas aimer le Sexe. C'est tout »
« Je l'aime. J'aime cette homme, ce vampire. Bien que je n'ai vu que peux de fois sa véritable nature, et quand je parle de nature, je parle des émotions refouler. Mais qu'importe, je suis bien avec lui, chaque seconde que je passe avec lui, je me sens en sécurité. Je n'ai plus peur qu'un autre vampire m'en veuille, il sera là, s'il m'arrive quoi que se soit. Et bien que je ne sois qu'une bouteille de sang portative et un objet sexuels, je sais qu'il m'aime. Ce n'est peut-être pas une preuve mais je dors bien avec lui, dans ses bras, chaque jours. c'est peut être peu, mais je m'en contente. »
« Je m'en fiche. C'est fait, les vampires se sont révélés, mais il y a bien longtemps qu'une autre race est venu à moi. Les lycans. Je me suis fait à l'idée de cette nouvelle notoriété surnaturelle. Je ne suis qu'une infime particule qui en fait partie à présent. »
« Hum, j'ai une cicatrice dans le dos, recouvert grâce à un tatouage. J'ai le nombre treize tatouer dans un as au creux de mon cou et une carpe koï sur chaque mollet. Mes tétons sont percés. A part ça, je n'ai pas de différence mise à part le fait que je sois un marqués soumis et amoureux.

« La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin »
Même si je suis né un quinze septembre, de l’année mille neuf cent quatre-vingt-quatorze, même si je suis cet homme remplis de tristesse et d’amour à la fois, je reste cet homme, seule, celui qui reste dans le fin fond de mon esprit. Cet esprit tourmenté. Cet esprit qui ne verra plus le monde de la même façon en l’espace d’une seconde.
Mais avant de vous raconter, je vais vous résumé ma petite vie depuis ma naissance à ce tragique instant. Tragique. Même le mot sur le papier ne semble pas refléter toute la malheureuse situation… J’ai presque honte de ne pas être avec eux, enterré.
Je suis donc venu au monde un jeudi de pleine lune, comme si cela n’était pas déjà graver dans les pierres de mon destin. J’ai vu le jour dans un hôpital du centre de Londres, à trois heures du matin. Trois kilos sept cent. Un beau nouveau-né. Des yeux gris, ou l’on voyait déjà le malheur et la tristesse. J’ai grandi dans une famille tellement gentille que chaque problème ne pouvais ne durer qu’une infime partie du temps. Une enfance sans aucun point noir, sans aucun dérapage, sans aucune fausse note. C’est peut être aussi là que j’ai découvert une passion pour la musique. J’ai donc commencé à apprendre un instrument, la guitare, puis la batterie… Et plus mon apprentissage de la musique continuer, plus je devenais seul et distants. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je pense que voyais les choses arriver, je voyais le malheur arriver. J’eu cette phase durant quelque temps et puis, je suis revenu vers eux, passant le plus de temps possible avec eux. Quelque chose n’allais pas, quelque chose de mal allais arriver. Je respirais doucement et décidais par instinct d’appeler ma tante, j’étais aussi proche d’elle que de mes parents, je faisais beaucoup de chose avec elle… Nous discutâmes, longtemps et lorsque je descendis pour demander la permission d’aller passer un week-end chez elle, j’entendis un grognement, qui, en l’espace d’une seconde partis. J’entendis beaucoup de bruits, des animaux partir loin.
Je descendis et comme mon instinct me l’avait prédit, je trouvais mes parents, morts dans un bain de sang… Les larmes me vinrent, mais avec dignité je restais loin des corps. Lorsqu’au bout du fil ma tante me demandais pourquoi je pleurais, celle-ci ne me crus pas, quand je lui annonçais la mort de mes parents. Je crois que ce vide ne se comblera jamais.
En l’espace de trois heures ma tante m’avait rejoint, moi pendant ce temps-là, j’avais appelé la police. J’ai calme, j’essayer, je gardais mes émotions et ce n’est qu’à la fin de la déposition et de l’arrivée de ma tant que je m’effondrais en larme. Lorsque la mort s’abat sur des êtres cher, il n’y a aucun moyen de ne pas se souvenir un instant de leur disparition.
L’enterrement avait été très douloureux, et c’est en vivant à présent avec ma tante que je fis mon deuil. Je n’avais que quinze ans. Nous avions récupérer mes affaires, un samedi, et mon oncle s’était chargé de mettre en vente la maison. L’argent me servirait pour voyager où pour mes études. Je ne savais pas vraiment ce que j’allais en faire, mais maintenant que je l’avais…
Deux ans plus tard, ma tante partis d’un arrêt cardiaque en plein travail. Ma tante était groom professionnel pour chevaux. Je me sentais plus que seul. Tout juste diplômé de l’année de mes dix-sept ans, avec une année en avance, je restais un moment vivre avec mon oncle et leurs deux filles. Une année. Juste une seule avant que ma meilleure amie me propose de vivre avec elle, dans un pays que je ne connais pas du tout, mise à part la langue. L’italien. J’avais suivis des cours gratuit avec une amie de maman, professeur de cette langue. En plus ça faisait cool au près des filles. Nous partions donc vivre à Florence. C’est là que, Angie, avait trouvé son boulot. Italienne de naissance, elle parler couramment. C’était sa langue maternelle l’italien. Nombres de délire que j’avais pu avoir avec elle, ah. Le bon vieux temps.
Tout juste arrivé à Rome, j’avais réussi a trouvé un boulot dans la même boîte que ma meilleure amie. Un coup de pot quoi.
Nos sorties en boites étaient régulières, et on s’était fait pas mal d’amis d’ailleurs. Français, anglais, italien surtout bien sûr. Nous entrâmes dans une boîte nommée : Il Fascino. Aller en boîte comme ça à dix-huit ans, faut le faire ! Bref, quelques verres par si, quelques danses par là et nous rentrâmes à pied étant proche de l’appartement. Mais quand on est un homme et qu’on à la vessie pleine… Enfin, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin. Bref, je partie pisser dans un coin, laissant Angie seule. On parlait dans notre anglais. Ah… Cette fille était tout bonnement génial. Pourtant quand j’eu finis mon affaire, je ne la trouvais pas. Je l’appeler par son surnom puis son prénom, je criais son nom, commençons à avoir mal au ventre. Une soirée au shooter, je me souviendrais qu’il ne faudrait jamais recommencer. Je régurgitai une bonne moitié de l’alcool avalé et mon regard se posa sur une petite lueur. J’avais appelé sur son portable et j’entendis le son d’un message laissé sur sa messagerie. Je m’essuyais avec le tee-shirt et marcha vers cette lueur. Je fus juste complètement dépasser et appeler rapidement la police, expliquant la situation. Des coups de fils comme cela, ils en avaient pas mal. Et ça faisait cinq ans à présent. Rebelote. Et une déposition ! Une. C’est fou comme la mort aime trainer autour de moi…
Les semaines passèrent et je commençais presque à me droguer. Quand je sautais le pas, j’avais été invité à une fête dans le centre de la ville, par un ami en commun à moi et à ma défunte meilleure amie. Je n’en repris pas. Pensant à autres choses, jouant de la musique. Je finis par démissionner et me demandais s’il ne fallait pas que je parte, que je reparte chez moi, à Londres ? Je ne savais plus. M’habillant bien, me coiffant et finissant par une touche de parfum je sortis en ville, un samedi de lune croissant.
Je marchais, passa une soirée sobre, et rentrais, m’ennuyant. J’avais ma réponse, plus rien ne me retenais. C’est à ce moment-là, accoudé au muret d’un pont que je sentis l’approche de quelqu’un. J’observais à droite et à gauche. Je repris mon chemin, et sous le coup du stress me trompais de ruelle. Celle-ci était un cul de sac.
Alessio : « Ce n’est pas très gentil de partir quand quelqu’un vous parle… »
Je me retournais et vu un homme, grand, mince, ténébreux. Ces trois adjectifs vinrent en premier et à une vitesse scandaleuse. Je sentais quelques choses qui n’allaient pas. Mon instinct me disait de décamper. Pourtant quelque chose en lui, émanait et m’attirer. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait quand ces lèvres se posèrent sur les miennes. Il s’arrêta, comme si, il venait de comprendre ma frustration. Du sang. A croire, qu’à trop être excité il s’était mordus. Ce sang coula dans mes veines. Une main posée contre le mur derrière moi, son autre bras caressant ma joue, il m’embrassait à nouveau, fougueusement. Je répondais comme si je jouais avec ma vie. Avalant un peu plus le liquide carmin. Qui à dis que je ne pouvais pas être cette partie infime, cette partie qui aimait les hommes et plus si affinités ? Les embrassades cessèrent et descendirent dans mon cou. Son bras droit m’entoura le dos, l’autre me caressait les cheveux. J’essayais de m’enlever, comprenant trop tard. Je me débattais tel un animal pris au piège. Je voulais hurler, mes ces crocs, transperçant ma chair, me fit cesser tout mouvement. J’appréciais presque cette morsure. Cette morsure devenant de plus en plus profonde, de plus en plus douloureuse.
Je me relevais dans mon lit en sursaut et en sueur. Mon premier réflexe avait été de mettre ma main sur mon cou. J’en avais des frissons. Qui était cet homme ? Ce vampire… ?
Je me levais et partie me doucher. J’essayais de ne plus penser à cela. Je jouais de ma guitare mais n’osais plus sortir de chez moi. Je fus tout de même bien obligé de sortir. Je fis quelques courses et croisais un ami, qui me tendit un carton d’invitation pour le Il Fascino en disant d’y aller car ce club était juste incroyable. Je pris mon courage à deux mains et rentrais me préparais pour cette dernière sortie. J’avais prévu le lendemain de repartir en Angleterre.
Alors que j’entrais et que je rejoignais des amis, je vu, dans le carré V.I.P, un homme… Non. Un vampire. C’était le vampire de mes rêves. Mais étais-ce vraiment un rêve ? Il croisa mon regard, souris et repris la conversation qu’il avait avec ses amis. Des frissons me parcouru. Je me levais voulant presque quitter la boîte, mais je résistai et allais demander une autre vodka citron. Quand je marchais vers l’emplacement de mes potes, je regardai le carré V.I.P et n’y vu plus le vampire. J’allais m’asseoir et sirota doucement ma vodka citron, parlants a côtés avec mes amis.
Il était déjà deux heures du matin, je passais aux toilettes, et c’est en ressortant, me lavant les mains qu’il entra. J’avais peur et mon corps ne me répondait pratiquement plus. Je me forçais à finir de me rincer les mains et ce fut comme dans ce rêve. J’entendis des hommes demandait quand les toilettes serait disponibles. Il avait donc bloqué l’accès pour avoir de l’intimité avec moi. Je ne pensais plus un instant que ce rêve en était un. Mon sang ne lui avait pas suffi où l’avait-il juste mis en appétit ? Il me prit par le poignet et m’emmena non sans un regard plein d’intention, vers une porte. Celle-ci menait à l’arrière de la boîte de nuit. Une fois seule, ce fut comme dans la ruelle. Nous nous embrassâmes, ces crocs me transpercèrent à nouveau. Et puis, nous montâmes un escalier vers les appartements de ce vampire… Ce que je redoutais le plus était qu’ils me finissent, pas le fait qu’il me prenne d’un coup sec. Une tempête, un ouragan. Ce vampire voulait plus, plus que le fait que nous soyons amant d’une nuit, il me voulait pour ma vie. Il lécha mon cou, se retirant d’en moi et en un seul regard il me demandait presque l’absolus. Il se mordit le poignet et me le présentais, tel un trophée à ma portée. Je bus quelques gorgées avant de le laisser cicatriser ses plaies et les miennes.
C’est à cet instant que tout changea. Mon envie de partir de ce si beau pays s’évanouis profondément en l’espace de quelque minutes. Les heures passèrent et je repartis chez moi, pour récupérer quelques affaires, je m’occuperais des papiers plus tard.
Un peu plus tard, dans la semaine suivant ma deuxième marque, je rencontrais le sire d’Alessio. J’avais peur de lui, mais je restais en arrière faisant tout pour limiter quelconque outrances. Je saluais et suivais Alessio dans sa suite. Après nos folles envies mis à nues, je sentis les douces caresses dans mes dos, sur la cicatrice, présente, mais recouvertes. Une cicatrice dut à une agression, quelques mois avant mon départ avec Angie pour Florence. L’évocation de son prénom me fit une pointe au cœur. Alessio le sentis et vint m’embrasser, me serrant dans ses bras. Il me proposa par la suite de travailler au « Il Fascino » en tant que danseur, voir stripteaseur. Je voulais le bonheur de ce vampire, a présent mon maître, celui à qui je vouais le reste de ma vie, mon âme, mon corps, mes sentiments.
Quelque mois plus tard, nous déménageâmes à Shreveport, nouveau havre de paix ou la nouvelle boîte de nuit de mon amant avait ouvert ces portes. J’étais toujours danseur et stripteaseur mais j’aidais de temps en temps au bar.
Je me sentais bien.
Et d’un air de gratte, je vous dis adieu, vie, en regardant le vent me caressait mon doux visage, je vous souris et me maudis.

Spoiler:

Ma seule famille… C’est Alessio… Mes parents ont été tués par une meute de loup, ma tante est morte d’un arrêt cardiaque et ma meilleure amie c’est fait mordre par un vampire.

? pseudonyme. Devinez! ? âge. Devinez aussi tien ! ? code du règlement. Eh bien, il ne manque plus que le thème musicale de Dracula, prince des ténèbres, & je crois qu'on pourra commencer ? avis général à propos du forum. Hum ! BEAU ! ? avatar utilisé. Nico Tortorella