➽ date et lieu de naissance. 05.15.1899, Georgia état du sud des États-Unis (usa) ➽ nationalité. américaine ➽ nom du sire. Pia Corleone ➽ date de l'étreinte. début du 20e siècle, 1899 ➽ statut. ancillas ➽ discipline. aliénation, level 3 (perçoit la nature profonde de sa victime) ➽ camp. instable, est uniquement fidèle à la famille Corleone ➽ état civil. célibataire ➽ lieu d'habitation. traîne par moment vers le stoner hill, dans les bas-fond de la ville ➽ métier. solitaire, travail de temps à autres pour Lucian ainsi que pour la mafia.
➽ étiquette qui vous est collée. Lui. Elle. Sa folie. Univers de perversion, sombre et enivrante, il a fallut d'un simple regard. D'une simple tentation pour y céder. Gamin riche. Gamin de la bourgeoisie, né avec une cuillère en argent dans la bouche, il a tout envoyé chier. S’acoquinant avec ces tourments, étreinte sanguinaire, il s’enivre aujourd'hui de ses pulsions violentes au goût de l'extase. Monstre. Paradis éphémère, artificiel, si vite touché que déjà il s'efface. Pauvres humains, si fragiles entre ces mains. Et au plus loin de la nuit, là où la cigarette est son dernier rempart, il veux le tuer. Toujours plus. Sentir le sang couler, mieux qu'un polar, qu'un roman de gare, le massacrer. Et si on jouais à que t'avais mouru ? Douce compagne depuis de longues années, sa folie reste sa seule amie. Alors viens pas lui dire à lui qu'au fond ici on s'aime, parce-qu'il te raye de sa vie et t'éclate sur le champs. Il sait qu'ici bas, dans ce grand merdier, ce théâtre dérisoire qu'on nomme la vie, on s'aime pas, on s'illusionne et on s'déchire. Fuck. Et il a l'odeur de ces putain de fleur qui décorent les cimetières, comme un fameux malheur. Sociopathe ? Tendance qui revient de plus en plus. Ca lui effleure par moment l'esprit, comme un vide presque palpable. Perturbé par cette âpre réalité, il reste assit à sa fenêtre, bras ballants, jambes dans le vide. Paumé, gamin à la dérive, il dérape et recommence à déconner se foutant au final de connaître la réponse.

NERVEUX - VIF - EXPRESSIF - PLEIN D'HUMOUR - PÉTILLANT - HABILE - CURIEUX - FANTASQUE - INDÉPENDANT - TOUCHE-À-TOUT - SPIRITUEL - IMAGINATIF - CHARMEUR - INDISCRET - LUNATIQUE - OPPORTUNISTE - ÉGOÏSTE - INSOUCIANT - FRAGILE - CHANGEANT - SOCIOPATHE - DANGEREUX - SANGUINAIRE
Il te contemple avec ses yeux assassins, et une fois qu'il t'a enterré sans un mot, il se permet un sourire timide et écrit du bout des doigts 'je t'aime' dans la poussière que te recouvre... un peu paumé, incertain et instable, sans trop savoir quoi faire ou comment faire, Nikolas s'enterre et reste cette bestiole venimeuse qui est avant tout focalisée sur ses déviances, les déclinants de façon orgiaque, perverse ou obsessionnelle. Toute sa vie de prédateur se focalise sur ce seul et unique domaine qui, de fait, déborde sur les autres aspect de sa personnalité. Un aspect un peu plus tendre, celui du gamin hyperactif et fragilisé par un esprit trop vieux et trop sombre qui se détourne bien trop souvent des normes sociales. Il est brillant d'orgueil. Tel une luciole de fierté, il illumine vos vies putrides jusqu'au cercueil. Et il déteste la gueule des écureuils, l'odeur du cerfeuil, ces foutus articles qui lui font de l’œil. Évidemment, il ne faut pas s’attendre à de grandes valeurs d’âme chez lui puisque sa vie est dirigée par le prédateur qu'il est devenu et que l’amour, l’amitié, le respect pour autrui et la charité sont pour lui de vagues abstractions. Aussi, d'une personnalité construite sur la dualité : détruire pour reconstruire, souffrir ou faire souffrir, être le maître ou être l’esclave, évoluer ou mourir, ses choix sont toujours extrêmes car il n’est pas un être de modération ni de tempérance. Mais n'est-il qu'un mensonge imparfait ? En tout cas il n'est pas condamnable, mais reste haïssable. Exigeant, critique, cruel, il s'en fout, des conséquences et du regard des autres et reste cet ennemi aussi dangereux qu’acharné car son mental obsessionnel fait qu’il est capable de réunir toute son énergie contre une seule personne, dans un seul but. L'anéantir. Il a des yeux qui peuvent tuer paraît-il. Un regard comme une lame de couteau. Et croise le. Pan, t'es mort. Il hait l'espoir, parce qu'il le porte aussi haut qu'il le laissera tomber, aussi aime-t-il détruire, salir, avilir et trouve un plaisir malsain à souiller et dégrader choses et gens. Bref, cette bestiole venimeuse est excessive, intraitable, tantôt glaciale et tantôt volcanique, selon les circonstances et son bon plaisir. Pour lui, la fin justifie les moyens et la satisfaction personnelle est au dessus de tout autre chose.
Jamais. Rien ne la jamais forcé à travailler. Déjà gamin il se destinait à une vie facile. Prendre les raccourcis pour obtenir la fortune familiale. Avare, il aimait sa putain de richesse. Gamin sans remord, écraser ceux et celles qui pourraient un jour l'empêcher d'obtenir sa sécurité d'avenir ne lui posait aucun problème. Aujourd'hui, adolescent turbulent qui envoie chier le politiquement correcte, ses journées ne se résument qu'à son propre plaisir. Plaisir qu'il trouve dans chaque tourments, souffrances qu'il offre à ses victimes. Vicieux, s'amuser à chasser l'amuse. Putain de passe temps qui le fascine ! Tous les soirs, à l’affût, déambulant dans les rues sombres, il cherche, traque. Mais brimé par les coutumes drastiques de cette saloperie de ville, il ronge son frein. Toutefois, par moment il aimerait péter son plomb, avilir cette charmante petite gueule, la rendre plus tendre, plus chaude par ces coups d'amours et caresses. Jusqu'à son cœur. Ici, tout l'emmerde. Tout l'ennuie. Il grogne. Et par moment il dérape complètement. Il déteste cette ville, sa nouvelle vie. Caché. Ne jamais se montrer. New-york, ville de débauche et de lubricité lui manque. Eux, parmi ces sombres rues délabrées. Leurs vices exposés à son regard. Si délectable. Les massacrer. Orgies. C'était bon. Avec elle. Sa maîtresse. Certainement aussi fêlée que lui, leurs soirées avaient du bon. Il était bon de se balader dans les rues de la grosse pomme. Jamais personne pour les brimer. Leur interdire une petite tuerie. Mais aujourd'hui, prédateur dompter, dans l'ombre, il attend. Attend qu'on s'intéresse a lui. Qu'on lui confie une douce torture préméditée pour la mafia. Pour lui. Lucian. Mais en attendant, plus vorace il devient. Un peu plus chaque jour. A les voir, les regarder. Insouciant et l'air heureux d'exister en plein jour... pauvres ignorant. Ignorant du prédateur sociopathe, tapis dans l'ombre, qui les observe. Lui. Elle. Tous.
AIME ↔ le crime et l’aventure auprès de sa créatrice × sa tranquillité d'esprit × traînasser chez Lucian × emmerder le politiquement correcte × un bon vieux rock × les lucky strick × les soirées de pleine lune × chasser × continuer à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons × la traque, longue et harassante × se perdre dans son illogique × le sang × les orgies et les massacres sans raison × sa liberté × ses congénères × l'humanité, lubrique et si misérable à ses yeux × pia corleon × s'enivrer d'ivrognes, de junkie, camé, partageant ainsi leur monde acidulé × jouer aux jeaux vidéos × sortir, boire un verre × traîner dans les rues de shreveport × déconner et se foutre de la gueule des cons × les conneries × New-York × la mafia × lucian corleon × torturer des gars pour obtenir des informations × servir de temps à autres la mafia × ne pas avoir besoin de se donner bonne conscience, en a pas × vénère la pluie × cette noirceur qui détient le monde, cette audace, cette révolte, cette connivence avec l’horreur et la mort, cette rage de tout détruire
N'AIME PAS ↔ avoir l'impression que l'on fonce dans un mur, et accélérer quand même × perdre le contrôle × se soumettre × devoir ronger son frein × freiner ses pulsions × l'abstinence × les guéguerres intestines × se faire emmerder × retrouver sa fragilité humaine, sa lucidité d'esprit × les cabots × les humains, trop faibles à son goût × le sang reconstitué, à tendance à être malade et à le rendre de mauvaise humeur × perdre sa nonchalance × qu'on lui manque de respect × shreveport × le clan du maître de la ville × les lois vampiriques × son passé × les séances mélodramatiques × le soleil × lâche, non suicidaire × se faire contraindre × ne plus pouvoir s'amuser comme il souhaite avec sa bouffe × les interdictions × prisonnier du couloir de la mort × envisager l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui × gémir, pleurer, meurtri par cette existence
C'est viscéral. Il en a besoin. C'est un besoin tellement pressant. Impossible d'y résister, de s'en détourner. Lorsque le corps est chaud. Lorsque le sang pulse. Furieusement. Il a cette boule dans le gorge, ces griffes plantées dans les poumons. Ca le prend. Aux tripes. Au cœur. Actes violents qui le grise, il se couvre du manteau de l’abandon, voile ses rêves et se laisse brûler par cette flamme qui le consume. S'abandonnant à sa nature la plus profonde, Nikolas ne s’ennuie pas avec les préjugés, à essayer d'entrer dans le moule. Vivre comme il l'entend. Dépecer comme il le souhaite. C'est ça qu'il recherche. La bouffe synthétique. Cette merde en bouteille à tendance à le rendre malade. A tendance à lui faire péter les plombs. Il a bien essayer. Tenter de nouvelles expériences. Mais incapable de s'en contenter, d'en apprécier le goût, il est de ceux qui chasse, traque. Prédateur insatiable, lorsque cette soif destructrice s'empare de lui, contrôle et éblouit son esprit, éclaboussant les murs blancs de sa conscience, rien n'étanche cette pulsion. Enivré par le goût âpre et métallique du sang, il lui en faut toujours plus. Encore et encore.
ALIÉNATION, NIV. 1: PASSION 
MODIFIE L'INTENSITÉ DES ÉMOTIONS DE LA VICTIME. NIV. 2: HANTISE
 PEUT TROUBLER POUR UNE PÉRIODE LES SENS DE LA VICTIME. NIV. 3: YEUX DU CHAOS
 PERÇOIT LA NATURE PROFONDE DE SA VICTIME.
Le regard expiatoire. Le regard du diable. Du chaos. Une simple discipline qui marque la différence entre lui et ses victimes. Toile qu'il tisse chaque jour pour retenir ses dérapages. Et il affectionne son don, l'utilise à l'outrance, se foutant des conséquences. Faible face à son esprit, vorace et insatiable, ce dernier dévore toute manifestation de rébellion et d’hérésie. Pourtant il freine, vacille au bord du gouffre, mais c'est le prochain courant d'air qui va décider si il ira rejoindre les cailloux que ses pieds ont envoyés sans faire exprès dans l’abîme. La haine ronfle au fond de sa gorge comme un félin tapit dans l'ombre de l'hérésie. Et s'éveillant d'une noire torpeur, les doigts crochus tel un odieux rapace, il ouvre les vannes, libérant cette douloureuse noirceur. Celle qu'il retient in-extrémiste lorsque son mentor lui dit de rester à sa place. De ne pas déconner. De ne pas déraper. Mais lorsque l'appel se fait trop fort, son regard s'encre au premier venu. Pauvre mortel. S'y accrochant, tel un paumé dans la tourmente, il y déverse toute sa démence. Lui donne. S'en décharge et s'y abandonne. Pouvoir mystique qui plonge ceux qui le subissent dans des visions proches de la folie, cette dernière ne dure jamais bien longtemps.
Joli petit foutoir. Une connerie à son goût. Une aberration à ses yeux. Une entrave à ces instinct. Un boulet. Une chaîne. Et sa tourne, ça vire, comme une barque qui se détraque. Un conscient plus emmerdé qu'un bric-à-brac. Lui aurait préféré rester dans l'ombre. Ne pas être mit en avant. Ne pas être brimé par des lois merdiques. Les violer un peu plus chaque jour l'emmerde. Et il se cherche. Mais ne se trouve jamais dans les images qu'un corps sans vie, un morceau de chair à vif, emprisonné, serré, un chiffon écorché qui traîne. Informe, illisible. Un puzzle en attente. Oui. Il attend. Attend le moment ou toutes ces conneries et déviances voleront en éclat. Le moment ou les monstres redeviendront mythes et légendes.
Avant, on éduquait son enfant à coup de bâton. Tradition qui à longuement perduré dans la famille Lawson, là ou son grand-père inventait de pseudo êtres surnaturels pour le prémunir, son père y voit une façon bien plus radical de le faire avec un bâton. Aujourd'hui, vieilles cicatrices indélébiles, à jamais imprimé le long des ses flancs, il en garde les séquelles. Enfance brimé par un père trop autoritaire, une mère soumise, il en résulte un gamin pleins de défauts. Il a le cœur bourré d'un amour erroné. Alors forcément, ça laisse peu de place aux sentiments. Nikolas est hermétique à toute forme de tendresse. Il s'immerge bien au fond de son cocon, bien à l'abri derrière sa bulle, il cimente et bétonne un peu plus son mur à chaque tournant. Et puis il y a son esprit. Toujours. Depuis gamin. Stigmates qu'il traîne depuis des années, il se pose peut de question sur son état d'esprit pourtant bien trop instable par moment. Branlant et bancale. Aujourd'hui on y voit des troubles de la personnalité. Prompt, généralement à un comportement impulsif, troubles caractérisant des tendances antisociales, ignorant particulièrement les normes sociales.

➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? scénario de Lucian C. ➽ pseudonyme. manel/many ➽ âge. majeur ? ➽ code du règlement. et bien,il ne manque que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer ➽ avis général à propos du forum. très beau bébé, contexte au son d'un bon vieux rock, avec un soupçon de trash et d’hémoglobine, j'adore ♥ ➽ avatar utilisé. xavier samuel