Réchauffe ton coeur et celui des autres Estelle Austen © crédit Prélude ➽ date et lieu de naissance. Née le 28 décembre 1989 à Pittsburg ➽ nationalité : Américaine d'origine irlandaise ➽ surnoms : Lou, Loulou, Loulette ➽ état civil : Célibataire ➽ Appartenance : Esclave de Loelia Kinslet ➽ lieu d'habitation : Habite dans l'appartement de sa Maîtresse, Quartier Olive St. basée à Shreveport ➽ métier : Infirmière affectée principalement au service des urgences et travaillant seulement et uniquement de jour. ➽ étiquette qui vous est collée : J'ai une réputation de gentille fille, fêtard, joyeuse, pleine de vie, curieuse comme pas possible I. My feet, my hands, so ... Me ! traits de caractère. La joie de vivre me représente assez bien. Je suis sensible voir très sensible, il est facile de me faire pleurer pour un oui ou un non mais aussi de me faire rire. Je m'inquiète aussi beaucoup pour les gens plus pour eux que pour moi ce qui a tendance à me rendre assez attachante selon les autres. Une stressée de la vie, rigolote, joueuse. Je suis une personne sérieuse quand il faut, appliquée à faire les choses bien. Et surtout j'ai une énooorme curiosité ! Le regard des gens ne me fait pas trop peur, je suis timide dans la plus stricte intimité c'est un fait. Je me laisse rarement me dégonfler, toujours à la recherche de défi, on peut me voir comme une pile électrique bourrée d'énergie et hargneuse qui ne s'effondre que quand elle est vidée. Au niveau du physique, je suis assez petite, plutôt fluette qui donne une apparence très fragile. Je fais plus jeune que mon âge, des cheveux châtains. Une petite poitrine, pas forcément le corps de rêve que voudrait avoir toutes les filles ! Du coté des phobies j'en ai qu'une ce sont les insectes, je ne supporte pas ces petites bestioles poilu, avec 4 paires d'ailes, 10 yeux, 50 pattes et qui font un bruit de moteur d'avion à réaction quand ils volent. Fichu mutants... occupation diurne. Je suis infirmière ce qui n'est à vrai dire pas grand chose mais en dehors de ça mes occupations sont multiples et variées. Jouer du violon est une de mes principales activités, j'ai le chance de savoir en faire et bien, un style de musique plutôt électrisant que j'ajoute à une danse survoltée, oui je danse bien ! Faire la fête, les soirées déjantées avec les amies,, passer mon temps avec une boîte à mouchoir devant un film dramatique. Boire, fumer de temps en temps. Et même m'amuser à séduire ça m'arrive ! Par contre je ne fais pas de sport, vous avez vu mon physique ? A peine je cours, je m’essouffle. Mon seul "sport" serait le violon, sisi c'est du sport d'en faire. J'ai tentée le judo mais sans grande réussite, j'affronte toujours des poids lourd. manie, habitudes & goût. Toutoupidou, des habitudes.... hmmm.... Avant tout je perds toujours beaucoup de temps à m'habiller mais pas forcément pour m'habiller de manière sexy et provocante. Je suis plutôt décalée dans le style vestimentaire grâce aux couleurs fraiches, pétillantes et piquantes. Je ne banni pas les robes et jupe, bien au contraire j'en fais ma garde robe. Le matin je déjeune beaucoup et je mange peu à midi surement à cause du boulot, on a souvent très peu le temps de manger alors on avale le plus possible le matin. Tartine, pancake avec du sirop d'érable, patates rappés, œufs au plat, miaaam ! A rajouter avec la nourriture que je suis fan des fraises et des friandises hmmm <3 Dans les manies, j'ai tendance à faire beaucoup de mimiques devant le moindre appareil photo et caméra, difficile de me voir sans que je fasse une grimace. conviction. J'ai pas beaucoup de conviction si ce n'est quelques unes quand même. Ma vie est un exemple même de réussite à bas échelle, on peut réussir tout en étant différent, tout en ayant pas les mêmes choses, quand on veut on peut. Vivre au mieux sa vie et en profiter. Ne jamais chercher à faire du mal aux autres. Que pensez-vous de la révélation ? Préférez-vous avant ou après la révélation ? La révélation a été un grand bouleversement dans ma vie comme celle de millions d'autres humains. Découvrir qu'ils étaient avec nous depuis si longtemps sans qu'on le sache. Ils étaient peut être la cause de tous ces meurtres qu'on a jamais pu élucider ! C'est un réel tournant. Maintenant ce que j'en pense, c'est plus ou moins une bonne chose, on peut désormais mieux surveiller cette communauté de vampire, nous les connaissons. Au point même de pouvoir être amis avec un vampire sans trop de problème. Finalement ils ne sont pas si éloigné de nous, c'étaient des humains avant. L'après révélation a ses charmes, étant quelqu'un qui aime faire la fête jusqu'au bout de la nuit, l'excitation, le goût du danger, m'amuser, les vampires sont très propices pour cela. signes particuliers. Absolument aucun ! II. A true story Option 2: Je prendrais le menu chocolat au lait mais pas trop chaud s'il vous plait <3 Ploc, ploc tel est le bruit des gouttes de la machine à café qui s'écrasent au fond du gobelet, suivit d'une cascade qui le remplit jusqu'à ras-bord. La pièce était remplit de cette horrible odeur caféiné, qui nous étouffe dès que l'on ose y mettre un pied, la machine se trouvait au milieu d'étagères désordonnées où feuilles, dossiers et post-it se chevauchaient. L'avantage à s'y trouver était de pouvoir se mettre à l'écart des autres, loin de tout le monde, séparé par un mur et une porte. Assise sur ma chaise, les jambes croisées, cheveux attachés formant une queue de cheval, vêtue d'une blouse bleu ciel caractéristique des infirmières, j'étais totalement penchée en avant, les mains frêle et tremblantes qui retiennent le petit gobelet blanc. Je n'attendais qu'une chose, à vrai dire j'attendais une information d'une importance capitale ! Mon amie Lili était douée pour garder le suspens jusqu'au bout, jouant avec mon impatience et ma curiosité démesurée. Elle se tenait devant moi avec un sourire au coin de la bouche, appuyée contre le rebord d'une étagère. Lili avait une couleur de peau typique des gens du sud, bronzée, brune, yeux marron. Elle avait un corps athlétique, un physique presque de rêve qui faisait très contraste avec moi, mais ça j'avais l'habitude avec quiconque que je rencontrais. - Alors ? Alors ??! Dit moi ! criais-je d'une petite voix surexcitée dans l'attente de cette nouvelle Son sourire s’élargit en se penchant un peu plus vers moi comme pour me dire un secret. En réaction, je tendis l'oreille, plus impatiente que jamais. Tout le monde me connais, j'adore les surprises, j'adore les secrets que je garde très bien ! Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer. - Il m'a proposé un rencard et j'ai acceptée. chuchote Lili - Non ??? Serieux ? Wouuaaaaa mais c'est géniaaal ! Je le savais qu'il te désirait, tu voit je te l'avait dit. J'avais la bouche grande ouverte, pareillement à l'expression d'une enfant émerveillée. La bave pouvait presque couler le long de mon menton, je ne la sentirais même pas. Quelle nouvelle ! Ce jeune homme du courrier qui lui tournait autour et cherchait à longueur de temps un prétexte pour voir mon amie. Dans le couloir ça semblait s'exciter, il y avait beaucoup de mouvements. Alors que Lili était ravie de ma réaction. - Et oui Estelle, par contre je t'interdis de fouiner et mettre ton nez dans ma relation, hmm ? me dit-elle en prévoyant mon futur comportement dans les semaines qui suivent. Avant même que je puisse lui rétorquer que j'étais une ange et que ça ne me ressemblait absolument pas, la porte de la salle à café s'ouvrit à la volée. Un ambulancier, plutôt charmant, musclé, cheveux court de couleur corbeau, apparut dans l'encadrement de la porte. Il semblait épuisé, plein de sueur et son regard ne disait rien qui vaille. - On a besoin de vous ! C'est urgent ! Et voilà que ça sonnait la fin de la récréation et le dur retour à la réalité. Je me lève précipitamment avec Lili et emboîte le pas du jeune ambulancier qui avait des fesses bien fermes, bien belles. On se retrouve en quelques secondes du calme plat de la pièce au couloir qui vomissait bruits et cris. Comme toujours, c'était bondé de monde, j'avais toujours autant de mal à me déplacer correctement. Les gens divers et variés me rentraient dedans murmurant à peine une excuse au passage. - Aie ! Aie ! Vous pourriez faire attention ! Bon ! C'est quoi le problème ? demandais-je au secouriste qui évitait sans problème les personnes à contre-sens. Il se tourne vers moi en pointant du doigt le fond du couloir où se trouvait une grande pièce et d'où arrivait une multitude de brancards. - Il y a eu un attentat, un mec s'est fait explosé dans un bar, c'est un véritable bordel ! Il y a des blessés partout, une partie a été envoyée dans les autres hôpitaux du coin, mais c'est nous qui en avons le plus et les plus graves. Je pousse un soupire et me dirige avec Lili sur la première personne agonisante. Une femme d'une quarantaine d'années, du sang plein le visage. - Vérifie son pouls. me crie Lili pendant qu'elle commence à appliquer les premiers soins. Avec trois doigts, je prends le poignet, tout en jetant un coup d’œil aux pupilles. Un médecin venu de nul part me poussa d'un coup de hanche pour prendre ma place, suivit d'une flopée d’infirmières. Il nous cracha un « occupez vous de l'autre ». D'un même geste mon amie et moi, regardâmes celui dont il était question. Abandonné dans un coin de la pièce, personne ne s'en était occupé. - Il doit pas avoir beaucoup d'ami celui la. chuchotais-je à Lili avec un sourire malicieux. La situation n'était pas prompt à rigoler, mais alors vraiment pas comme en témoignait le regard assassin de Lili. Je m'approchais de lui pour voir de plus près son état. Pour le coup, celui la était très mal en point. Recouvert de sang, la chemise déchiré, brûlé à de nombreux endroits. Il avait l'air d'être un beau homme, quel dommage. Je prends mon stéthoscope et commence à tâter la poitrine au niveau du cœur. Je ferme les yeux pour me couper du brouhaha autour de moi, j'inspire profondément. Aucun battement. - Oulala celui la il a vraiment mais alors vraiment pas l'air bien ! couinais-je Lili prit le support où se trouvait la fiche d'information, généralement gribouillé, quasiment illisible avec seulement quelques informations pas très utiles : - Vérifie quand même, il s'appelle Herbert Rinski drôle de nom. ajouta Lili J'étais déjà penchée sur son torse, après avoir ouvert sa chemise sans ménagement, arrachant la moitié des boutons d'un coup. Mon oreille, collée à sa peau, les deux mains à plats sur lui baignant dans le sang. Toujours rien. Même en prenant de nouveau son pouls. Je regarde l'heure, inquiète, il serait peut être temps de faire un massage cardiaque. Je commence les premiers gestes. C'est-à-dire, ouvrir sa bouche en écartant la mâchoire inférieure. Au moment où je m'approche de sa bouche pour lui insuffler de l'air, j’aperçois 2 immenses canines. Je hurle et tombe par terre sur les fesses au bord de la crise cardiaque. - C... C'est... C'est... Un pu... Putain de Vampire ! Le doigt pointé vers le cadavre en balbutiant. Lili se précipite vers moi et m'aide à me relever. - Il m'a fichu une de ces frousses. j'avais la main sur ma poitrine, à l'écoute de mon cœur qui tambourinait comme un fou prêt à percer ma cage thoracique et s'enfuir. Il a vraiment pas l'air commode avec ses dents, mais bon il a l'air d'être mort, raide mort. Lili acquiesça pendant que j’appuyais avec deux doigts maladroitement au niveau du ventre du vampire. J'appuie plusieurs fois, comme pour m'assurer d'une évidence. - Sincèrement je le préfère plus mort que vivant. me chuchota Lili à l'oreille. J'étais mille fois d'accord avec elle. On s'est jamais ce qui peut arriver avec eux. Ils tuent, ils mordent, ils boivent, se plaignent, sont malpoli, pour la plupart utilisent des tournures de phrases datant d'époques lointaines qui sont loin d'être compréhensibles. Il y a beaucoup de légendes et de rumeurs les concernant. Il parait même qu'ils sentent le mort. D'ailleurs je commençais à me pencher pour vérifier cette rumeur. Mais mon amie posa la main sur mon épaule pour me retenir. - Ne tente pas le diable Estelle, il est mort, on va pas se bouger pour lui hein ? Il y en a déjà assez comme ça. - Tu as raison. soufflais-je à Lili Beaucoup d'humains détestaient les vampires, on en faisait partie. Il était déconseillé d'avoir des relations avec eux. Il parait que ça tourne souvent mal. Je fais un signe de croix et embrasse la petite croix qui pends autour de mon cou. Je regarde la montre et écrit sur le papier qu'il était « mort à 13h47 ». Il était 14h03 mais bon il ne bougeait déjà pas quand on s'est occupé de lui, il est sûrement mort en chemin, en comptant à peu près au hasard le trajet et le peu de soin qu'il a du recevoir, à la louche et complètement au pif il a du mourir dans ces horizons la. De toute façon tout le monde s'en fiche et personne viendra le récupérer. Je pose la fiche sur le corps juste après que Lili l'ai recouvert. On pousse le corps jusqu'à la morgue, plusieurs étages en dessous, dans des sous sol croupissant, et grouillant de morts, de cadavres, froids, blancs et puants. Je déteste particulièrement cet endroit, je suis infirmière pour sauver des vies pas pour aller dans des endroits où on conserve des gens comme si c'était des archives. Pourtant je dansais en suivant Lili en repensant à l'homme du courrier qui avait le béguin pour elle. Je fis une pirouette, puis sautilla à cloche pied à coté d'elle. Au moment où j’écartai les lèvres de ma bouche pour dire quelque chose elle me coupa nette dans mon élan : - Non Estelle ! Je t'ai dit de ne pas t'en mêler. elle avait levée le doigt comme une mère qui interdit à sa fille de toucher à quelque chose ou de faire quelque chose. Je serre mes poings, frustrée de ne pas pouvoir jouer de la situation ? J'avais une de ces envies, d'intervenir, de m’immiscer dans sa vie pour connaître tous les détails, curiosité, curiosité quand tu nous tiens ! Mais Lili avait déjà pris un air bien plus grave, quelque chose la turlupinait : - C'est quand même dingue ce gars qui se fait exploser. - Oui, tu sait, c'est comme une mode, aujourd'hui s'en ai devenue une. On se fait exploser, faut croire que c'est jouissif ou quelque chose comme ça. Et puis tu devient connue. Les mains accrochées au brancard, je faisais des flexions de jambes alors qu'on venait d'arriver à l'emplacement où on devait laisser le mort. Quelle journée de merde. Le nombre d'attentats a considérablement augmenté, personne ne sait vraiment qui et pourquoi, des gens inconnus qui visent des gens inconnus. Faut dire c'est surtout depuis le gros attentat à Philadelphie qu'il y a eu une explosion d'attentats suicidaires ou à la bombe. - Hey ! Estelle, regarde ! Je fais comme les croque morts Perdue dans mes pensées, je regarde Lili et fait une grimace de dégoût, elle était entrain de mordre l'orteil du mort comme à l'ancienne époque pour vérifier que les personnes étaient bien décédées. C'est la que le vampire Herbert se redressa d'un coup en poussant un hurlement à glacer le sang, le visage complètement déformé. Je perdis connaissance devant l'horreur de la scène. Bref, nous venions de réveiller un mort. Ce monde avait bien changé, tellement de choses étaient apparue en très peu de temps et pourtant je me souviens encore de mon enfance, j'ai vécue dans une incroyable innocence pendant des années sans savoir ce qu'il y avait sous nos pieds, parmi nous. Des créatures dont on ose à peine lâcher le nom. Je ne suis et j'ai toujours été une humaine dans une foule qui n'a jamais eu de poids dans l'histoire. Je proviens d'une famille d'ouvrier d'origine irlandaise, arrivée aux Etats-Unis depuis des générations, pour fuir la Grande famine en Irlande au XIXeme siècle. Mon père n'arrêtait pas de me raconter notre histoire, alors à force ça rentre même si je n'écoutais pas spécialement. Pittsburgh est la ville où habite mes parents, William et Abbie Austen, dans l'état de Pennsylvanie. J'ai une soeur Andrea Austen et des tonnes de cousins, de cousines, de tonton et de tata. D'autant plus que mes parents avaient divorcés, ma soeur vécue chez mon père et moi chez ma mère. Pittsburgh est une ville industrielle au départ et par tradition bien que aujourd'hui elle a plutôt la tête d'une ville moderne avec un Centre d'Affaire comme dans toutes les grandes villes Américaines. Ma famille est assez pauvre, vivant ainsi dans la banlieue, on roule clairement pas sur l'or. Ce qui a été très difficile de payer mes études, j'ai du me débrouiller à peu près seule après avoir eu mon Hight School Diploma en 2007. Appartement en collocation à New York, travail dans la restauration rapide, l'horreur absolue, cette odeur de friture qui te colle à la peau 24h/24, des clients plus que chonchon et plutôt borné. Évidemment l'argent du travail ne suffisait pas, j'avais la chance d'avoir un don, au moins un ! Pour une fois que j'ai quelque chose qui sorte de la normal. Je joue très bien du violon, et ça c'est grâce à ma mère. Des petits concerts dans la rue, dans les festivals et on ramasse assez d'argent pour pouvoir tenir les années d'études. Étant quelqu'un qui a besoin de débourser beaucoup d'énergie, j'ai pu coupler ça avec mon instrument et vii le violon peut être très physique ! 3 ans d'études pour devenir infirmière au bout duquel j'ai eu mon BSN (Bachelor of Science in Nursing), ça été pour moi ma plus grande réussite, sauver des vies, ce bonheur d'être enfin utile quelque part, utile à l'humanité enfin presque. Je dis presque car malheureusement il n'y a pas que l'humanité qui existe. Non non, je ne parle pas des animaux, euh quoi que, on en est pas loin des fois. Mais je parle des Vampires ! J'avais 18 ans quand ils sont arrivés. Arrivés n'est pas le mot, je dirais montrés. C'est ce qu'on appel la Grande Revelation dans l'histoire. Ils étaient partout, parmi nous, de quoi devenir complètement parano ! Dans la politique, l'économie, l'industrie, l'école, les gens comme vous et moi. Les vampires étaient plus ou moins bien acceptés et intégrés à la société. Et moi dans tout ça ? J'ai continuée mes études, Je suis devenue infirmière dans un hôpital du centre ville New York, puis suite à quelques péripéties (à voir avec mes futurs rp) je me retrouve dans le nouvel eldorado des Etats Unis à 23 ans, qui est Shreveport. J'avais je n'aurais imaginée devenir l'esclave de Loelia Kinslet. Une vampire que à la fois je crains, que je haïs, mais qui change petit à petit mon point de vue envers elle et les vampires. Mon caractère n'aide pas forcément à m'avoir à son service, je suis intenable, capricieuse, sensible, maladroite, tête de linotte et j'en passe. Pour le coup, j'admire sa patience et sa façon qu'elle a de s'imposer, de se faire respecter, même par une humaine aussi fantaisiste que moi. C'est ma Maîtresse, digne et belle. J'ai pour principe de rester loin des vampires et autres bestioles maléfiques, mais malgré moi, je sais qu'ils viennent dans ma direction sans me laisser le choix. Un nouveau monde s'ouvre à moi, youpiiitralala ! III. That thing I want to tell you ➽ personnage inventé/scénarii/prédéfini ? personnage inventé ➽ pseudonyme. Estelle Austen ➽ âge. 23 ans ➽ code du règlement. et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula prince des ténèbres et je crois qu'on pourra commencer ➽ avis général à propos du forum. Très sympathique, complet, beaucoup beaucoup de chose à connaître d'un coup ce qui est assez difficile mais c'est ce qui fait son charme aussi, c'est complet ! ➽ avatar utilisé. Lindsey Stirling