➽ date et lieu de naissance. 25 mars 1970 à Los Angeles ➽ nationalité. C'est évident non ? Américaine ! ➽ votre forme animale. En une créature immonde nommée Lycan. ➽ date de la trasformation. 17 décembre 2008... ➽ type de métamorphe. hybride...➽ état civil. Divorcé et célibataire. ➽ lieu d'habitation. A Shreveport dans un petit appartement. ➽ métier. Agent de police➽ étiquette qui vous est collé. J'ignore ce qui se dit sur moi et personnellement je m'en tape le coquillard. Je fais mon boulot point, celui qui vient me gratter où il ne faut pas aura à faire à moi. Je suis agent de police et pas n'importe lequel, je ne fais pas dans le velours et je traite le crime avec la même animosité que le criminelle. J'ai remarqué que les gens s'écartaient quand je passais...

Je suis un agent de police impitoyable, sans pitié et déterminé, c'est comme ça j'y peux rien. j’agis toujours sans aucune hésitation ou doute, mes attitudes et principes sont clairs et inconvertibles. La raison en est que je ne respecte qu’un seul principe - la loi - et que je lui accorde une confiance exclusive. C’est avant tout ma famille qui est responsable de mon attitude envers la loi. Mère prostituée, père trafiquant de drogue. J'entre alors dans la police et protège la société contre de tels individus. Dire de moi que je suis injuste ne serait pas exact ; au contraire, ma justice est excessive et sévère. Le problème est que pour moi, la justice, c’est une loi et je la respecte aveuglément et sans aucun égard. « Le fonctionnaire ne peut se tromper ; le magistrat n’a jamais tort. » et « ceux-ci (les criminels) sont irrémédiablement perdus. Rien de bon ne peut en sortir. » - ce sont mes thèses. Je respecte toujours l’autorité en tous points, sans tenir compte du fait que je sois d’accord avec leurs décisions. Je suis loyal, y a pas de doute là dessus et respectif avec ma hiérarchie. D’autre part je traite les « délinquants » sans aucun respect ou marque de sympathie – ma philosophie étant que c'est exactement ce qu’ils méritent. Grâce à cette opinion, je n’ai jamais de problèmes pour prendre mes décisions, jusqu’au moment où ma conviction est détruite. Mes jugements résolus peuvent être illustrés avant tout par rapport à mon comportement envers les autres. Malgré toutes mes actions impitoyables, il faut aussi m'accorder quelques vertus. Mon comportement dans les situations périlleuses me fait honneur, on ne peut qu’admirer mon sang-froid, mon audace et ma dignité.



Vous êtes pas curieux pour de sous vous... Vous voulez une petite liste de mes occupations dans le détail jusqu’à mes petits tours aux toilettes ? Vous voulez savoir mes critères de sélection pour le papier cul ? Pff…Bon, puisqu’il le faut, que croyez-vous qu’un flic puisse faire de ses journées ? Le premier qui pense à « glander » je l’envoi au trou, à poil, frotter le dos de tout les sodomites de la taule. En dehors de mon travail – éprouvant je dois admettre avec toutes les pourritures qui souillent la planète – je m’accorde un peu de temps pour entretenir mon corps. J’adore courir, c’est bon pour le Palpitant *désigne son cœur*, ça lui évite de tirer la gueule et de me lâcher des soupirs suffoquant. Mais si je soigne mon cœur, je pourri mes poumons. Ouai je suis fumeur et j’adore m’allumer des gitanes. Aucune équivoque j’vous préviens ! Des potes…mouai, tous des guignols ! Je les laisse croire à leur douce utopie comme quoi je les porterai dans mon cœur, mais aussi haut qu’ils puissent se trouver dans mon estime, ils ne dépassent pas le seuil de ma semelle de godasse. Voilà…c’est tout.



Des manies, j'en ai à l'appel. Ma persistance à suivre les règles et à vouloir incarner la droiture-même, me rend quelque peu rigide et perfectionniste. Le col froissé, ou un bouton mal fermé : cela est la preuve d'un grand tourment intérieur. Cependant, il m'arrive d'opter pour un manteau en cuir noir, ouvert et volant derrière moi comme une horde d'ombres chimériques à ma poursuite. Je n'ai de cesse de manipuler mon revolver et de jouer avec le barillet, sans doute pour se distraire. Bizarre, ça n'amuse pas tant que ça les criminelles que j'interroge, ça a tendance à les...rendre mal à l'aise... Comme tout le monde, j'ai d'excellentes habitudes. Ma détermination m'a permis de n'avoir à essuyer que très peu d'échecs durant ma carrière. Si je ne suis ni suicidaire, ni dépressif, je n'attache pas grande importance à ma vie, ce qui me permet de prendre des risques plus amples. Encore plus depuis que je suis devenu un sac à puce puant et baveux. Artiste dans ma profession, j'ai néanmoins la fâcheuse tendance à ne point faire preuve d'iniquité. Je n'ai vraisemblablement qu'une seule vraie peur, mais si elle venait à se réaliser, ça me détruirait. Ouai, je crois que je pourrais crever si demain on me disait que mon Bébé s'est faite tuer et que je n'ai pas été capable de la sauver...



La question qui me déglingue le bide et me retourne les glaouis rien que d’y songer…En quoi je me transforme ? Je vous invite à venir contempler l’effroyable spectacle de ma métamorphose les soirées de pleine lune. Je vous ai mis sur la piste, vous devinez un peu maintenant ? Je ne sais pas si les derniers hurlements que vous avez entendus étaient les miens mais en tout cas je peux vous assurer que chaque nuit où la lune est ronde, je m’initie à pousser la chansonnette. Et moi qui me félicité d’être le seul à pouvoir faire gémir les gens avec mes forts moyens de persuasions, voilà que je me mets à rugir comme un drag-queen en rûte parce qu’un rayon lunaire m’émoustille…tsss…
Je dois dire qu’à chaque transformation, c’est comme si un putain de psychopathe doué dans l’art du "charcutage" (ouai ça existe pas mais je m'en tape) venait t’arracher la peau avec un bistouri. Vous vous projetez la scène : une lame un peu trop raffinée et bien mince dans les mains d’un gros malade assoiffé de sang que l’on verrait mieux manier le couteau de cuisine ou la machette plutôt que ce petit canif gagnait dans les emballages de saucissons secs. Cette douleur infernale et infinie a le temps de devenir votre paradis. Puis y a une série craquements effroyables et ô combien douloureux qui vous retournent les tripes. C’est comme si on prenait une poignée de chips dans les mains et qu’on les serrait jusqu’à ce qu’elles deviennent de la bouillie. Un duvet brun/noir commence à recouvrir mon corps. Je sais que les poils ça fait fantasmer les nanas mais à ce point là…Mes mains que je nomme souvent « paluches » adoptent alors le véritable sens de ce mot. Des griffes acérées s’étirent à l’extrémité de mes doigts…Mon squelette prend peu à peu la forme d’une bête. Je me tiens toujours debout, légèrement courbée, adoptant une allure souple et athlétique. Transformé, j’ai l’impression de pouvoir griller Hercule aux jeux olympiques et de lui foutre sa dérouillée sur un ring bien Américain ! J’m’arrête là, vous êtes pas stupide, vous savez à quoi ressemble un lycan ? Je n'appartiens à aucune meute. J'étais un solitaire quand j'étais humain, je suis un solitaire maintenant. Les hurlements, ça passe...mais alors là qu'un autre clébard vienne se frotter à moi ou me pisser à la tronche pour faire de moi sa propriété...ça passera pas.



Je pense que ça fait des emmerdes en plus à me coltiner. A croire que j’en avais pas assez, le bon Diable ou qui que se soit à décidé de déboucher les crédits pour embaucher de nouveaux nigauds à me refourguer sur le dos. Avec ça, j’suis pas prêt d’être à la retraite. J’peux pas prétendre m’en foutre car je suis comme qui dirait concerné. Moi aussi je suis une bête dont l’existence est dévoilée en plein jour, pour nous, pauvres créatures nocturnes. Tout ce que je peux encore préserver, c’est mon propre secret. Que les gens sachent que des suceurs de sang et des chiens enragés arpentent les rues, je m’en balance, mais découvrir le pot aux roses sur mon compte…ça passe moins bien. Moi je continu ma route, lycan ou non, mon but ne change pas. Je compte bien rendre à ce monde la lumière qui lui manque et lui dérober ses ténèbres pour m’y dissimuler.



Je suis un homme grand et quelque peu musclé, aussi solide que ce caractère de plomb, rapide, lucide, méticuleux ; un des hommes qui semblent faits pour être toujours en contact avec leur monde préféré : la justice. J'ai un nez en trompette, un large front, de yeux bleus céruléens en amande au pouvoir troublant de détecter les profonds secrets de la mer ou de l'âme d'un homme. Ouai je fais dans la poésie, ça te pose un problème ? Mes lèvres sont plutôt fines et ma peau est d'une couleur voluptueusement blanche, un soupçon halée. Mon visage de forme parfaitement ovale/ronde possède 2 pommettes saillantes. Je ne suis pas un individu maniéré, mais plutôt arrogant et hautain. Ma fierté et ma droiture sont inégalables et surtout inébranlables. J'essaie de soigner ma personne, avec le besoin d'être toujours irréprochable, parfait, guindé. Alors, à croire ou non, mais j'ai entendu un jour qu'on disait cela de moi : "Ce redoutable policier possède un certain charme animal ce qui le rend aussi intriguant que beau." Pas mal hein ? Y a aussi ça attendez : "Son regard – qui vous pénètre comme un glaive - est aussi déstabilisent, autoritaire, méthodique qu'agressif...Ses prunelles de lapis-lazuli, qui paressent doucereuses, sont en réalités deux sentinelles vous traquant sans relâche, incapable d’éprouver ne serait-ce de la pitié ou du remord." Mouai...enfin aussi froid soit-il, mon regard possède un pouvoir assez ambigu mêlant intrigue et effroi. Ah oui, y a aussi mon front qui est barré d'une cicatrice en forme de croix, souvenir gardé d'une petite ordure qui s'était plu à me charcuter le portrait parce que je voulais l'arrêter. Sont fous ces gens franchement. Oh il a pas été déçu du voyage quand mes paluches se sont trouvées en liberté et couraient sur sa tronche pour la lui refaire.

Vous décrirez l'histoire de votre personnage, les passages importants de sa vie, sous forme de rp. Vous êtes totalement libre quand aux moments que vous désirez mettre en scène. Nous en revanche on vous contraint à faire un minimum de deux anecdotes différentes, dont la dernière qui doit être récente. Nous exigeons plus de 30 lignes pour cette partie, c'est à dire 600 mots.

➽ pseudonyme. Andy, Andrew, comme vous voulez ➽ âge. 20 ans ➽ code du règlement. "Et bien il ne manque plus que le thème musical de Dracula, prince des ténèbres, et je crois qu'on pourra commencer" ➽ avis général à propos du forum. Bravo pour le design autant que pour le scénario ! Sinon je ne serai pas là Mais un truc me manque ici : une chat box !➽ avatar utilisé. Bruce Willis